Formation Continue du Supérieur

Un  rapport de l’IGAENR et de l’IGEN, paru en juillet 2016, dresse une cartographie de l’offre de formation professionnelle et souligne les tendances qui ont caractérisé l’enseignement professionnel au cours des dernières années. Il remet en cause l’offre de formation au niveau régional estimant qu’elle varie davantage en fonction des impératifs de qualification des jeunes que des réalités économiques locales. Voir plus...

Le Coparef  Grand Est publie les données sur le CPF au 26 août 2016. On y  trouve  le nombre de dossiers de formation, avec une répartition par âge  des bénéficiaires, une répartition en fonction du niveau de diplôme le plus élevé, par type d’organismes valideurs  et le top 10 des certifications choisies par les titulaires. Lire le document. Voir plus...

En 2014, les universités, les écoles d’ingénieurs publiques et le Cnam ont formé 476 300 stagiaires contre 471 000 en 2013 (1). La hausse des effectifs de stagiaires de 1 % concerne l’ensemble des types d’établissements sauf les écoles en baisse de 8 %. Les individuels payants perdent deux points en passant de 46 à 44 % au profit des salariés (36 %) ainsi que des autres actifs non salariés (8 %) qui gagnent respectivement un point par rapport à 2013. Parmi les salariés, les contrats de professionnalisation continuent leur forte progression (+ 9 %), et plus particulièrement ceux signés avec les stagiaires de plus de 26 ans qui affichent pour la première fois une hausse de 62 %. Dans les universités, si le total des stagiaires augmente de 1 %, on constate une hausse des salariés et des actifs non salariés (5 % et 12 %), mais une diminution des demandeurs d’emploi et des individuels payants (7 % et 10 %). Le Cnam enregistre une hausse des stagiaires inscrits de 5 %, due aux stagiaires salariés (29 %) et aux demandeurs d’emploi (21 %) alors que les individuels payants et les actifs non salariés baissent respectivement de 7 et 25 %. Les écoles, quant à elles, voient leur public diminuer de 8 % malgré une hausse des contrats de professionnalisation de 37 %.
Le nombre d’heures-stagiaires dispensées, augmente globalement de 4 % avec une forte hausse de 18 % pour les salariés inscrits au titre du plan de l’entreprise. La durée moyenne totale de formation augmente de 6 heures en passant de 147 à 153 heures. L’allongement de cette durée est surtout portée par celle des salariés au titre du plan de formation de leur entreprise qui atteint 107 heures soit 16 heures de plus qu’en 2013.
Le chiffre d’affaires de la formation continue dans l’enseignement supérieur dépasse 452 millions d’euros en 2014, soit une hausse de 8 % par rapport à 2013. Les recettes des universités, qui représentent 63 % de l’ensemble, augmentent de 4 %, celles des écoles de 6 % et celles du Cnam et de ses centres associés de 17 %. L’origine privée des ressources de la formation continue dans le chiffre d’affaires des universités atteint 76 % des fonds, dont 53 % en provenance des entreprises et des OPCA et 23 % pour la contribution des stagiaires et des particuliers payants. Celle des fonds publics dans la formation continue des universités baisse à 18 % de l’ensemble. La part consacrée par l’État et les collectivités territoriales à la formation de ses propres agents diminue de 1,5 %.
Suite dans le RERS 2016. Publication annuelle, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche (R.E.R.S.) réunit en un seul volume toute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français.

A l'occasion des journées numériques de lutte contre l'illettrisme (6 et 7 septembre à Lyon), Centre Inffo se penche sur un sujet qui touche 2,5 millions de personnes en France et détaille les axes proposés par les acteurs de la formation, notamment dans le cadre du projet de loi Egalité et citoyenneté dans un hors-série Illettrisme. Voir plus...

La Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte) publie un panorama des employeurs éligibles au CAE dans la région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine. Voir plus...

L'Action de formation préalable au recrutement (AFPR) de Pôle emploi va être élargie à titre expérimental aux CDD de moins de six mois dans 24 départements pendant douze mois. L'AFPR est destinée à accompagner et à faciliter l'ajustement des compétences à un poste d'un demandeur d'emploi qui en a besoin, afin de faciliter son embauche. Voir plus...

Le 23 août a été lancée la 2^nde vague de l’appel à projets destiné à labelliser de nouvelles formations. Assorti d’une enveloppe de 10 millions d’euros, il sera ouvert de manière continue avec trois relevés successifs (23/09/2016, 25/11/2016, 24/02/2017). D'ici fin 2017, l'objectif est d’arriver à une labellisation de 200 fabriques et de former 10 000 apprenants, notamment 50 % de jeunes peu ou pas qualifiés, ni en emploi, ni en formation et 30 % de femmes. Voir plus...

En 2015, 22 768 contrats d’apprentissage ont été signés au sein des dix départements de la région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine. Plus précisément le Bas-Rhin, la Moselle, le Haut-Rhin, la Meurthe-et-Moselle enregistrent plus des deux tiers des contrats. Les apprentis sont principalement issus de l’enseignement du second degré. Ceux entrés sans diplôme progressent de 4% sur un an. La part des femmes en apprentissage progresse de 3%. Elles sont plus diplômées à l’entrée d’un contrat d’apprentissage. Voir plus...

Dans un scénario de « croissance progressive »,  le nombre de recrutements de cadres augmenterait de 10% en 2016 et atteindrait le seuil des 200 000. En 2017, plus de 210 000 cadres seraient recrutés et plus de 220 000 en 2018. Ces prévisions s’appuient sur un modèle économétrique élaboré en 2009 par l’Apec qui repose sur la relation existant entre, d’une part, les recrutements de cadres, et d’autre part, les investissements, la croissance économique et les départs à la retraite de cadres en poste. Voir plus...

Les personnes occupant à un moment donné un emploi à temps partiel ont des profils socioéconomiques et des comportements d'activité différents. Cette étude vise à en identifier les principales figures en suivant les parcours professionnels entre 20 et 40 ans des femmes et des hommes nés entre 1935 et 1964, en les reliant à leurs caractéristiques individuelles et familiales, notamment le calendrier des naissances. L'étude conduit  à identifier six types de parcours comprenant un épisode de temps partiel entre les âges de 20 et 40 ans. Voir plus...