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Formation Continue du Supérieur
29 février 2012

Utilisation de la cotisation formation des collectivités

Le CNFPT présente ses résultats: agents formés en 2010, nombre de journées de formation organisées. Découvrez tous les résultats dans la plaquette 1% en cliquant sur l'image.
RENDRE DES COMPTES: UNE OBLIGATION DU SERVICE PUBLIC

Rendre des comptes sur l’emploi des deniers publics est un principe démocratique auquel je suis particulièrement attaché, en tant qu’élu de la République. Le document que vous avez entre les mains traduit ma volonté d’appliquer ce principe au Centre national de la fonction publique territoriale. Que devient la cotisation formation, versée au CNFPT par toutes les collectivités employant au moins un agent à temps complet?
À quoi est-elle utilisée? À qui profite-t-elle en vérité? Chacun doit savoir ce qu’il en est : les employeurs territoriaux, qui financent le service public de la formation; les 1,8 million d’agents territoriaux, qui ont gratuitement accès à une offre de formation variée et proche de leur lieu de travail; les organisations syndicales, qui font vivre le dialogue social; tout un chacun, citoyen de notre République, qui a le droit de savoir comment est utilisé et géré l’argent public. Quand on parle mesure et évaluation d’activité au CNFPT, on entre dans une dimension difficilement comparable: plus de 860000 agents accueillis par an, presque 200000 journées de formation organisées… Quel autre organisme travaille à cette échelle?
Ces résultats traduisent la force de la mutualisation, qui décuple la capacité d’action et diminue les coûts: une journée de formation professionnelle au CNFPT ne revient qu’à 137 euros par stagiaire! C’est environ cinq fois moins que le prix de vente dans le secteur privé (669 euros) et quatre fois moins que dans le reste du secteur public et parapublic (441 euros). Cette performance financière se réalise en améliorant sans cesse la qualité et la diversité de nos formations.
Avec ses 18 pôles de compétences, le CNFPT rend disponible les savoirs et les moyens pédagogiques les plus adaptés aux besoins des agents et des métiers territoriaux. N’est-ce pas la preuve que le service public de la formation est plus avantageux que le « tout externalisé »? En quelques chiffres et en quelques pages, ce document retrace l’essentiel de l’activité 2010, mise en oeuvre par les agents du CNFPT, grâce à la cotisation des collectivités à hauteur de 1% de leur masse salariale. Une cotisation que le Parlement a réduite à 0,9% pour les années 2012 et 2013. FRANÇOIS DELUGA, PRÉSIDENT DU CNFPT, DÉPUTÉ-MAIRE DU TEICH.
AU PLUS PRÈS DES AGENTS ET DE LEURS BESOINS DE FORMATION

Le CNFPT s’appuie sur un réseau unique de 29 délégations régionales et 64 antennes départementales, 18 pôles de compétences et 5 instituts, pour concevoir des formations au plus près des besoins, des réalités professionnelles vécues par les agents et des problématiques qui se posent à la collectivité, et au plus près des lieux de travail, afin de garantir à chacun l’occasion de développer ses compétences et de progresser professionnellement.
L’action du CNFPT s’inscrit dans le cadre du Projet national de développement (PND), fruit d’une large concertation entre les représentants des collectivités et des agents territoriaux, qui constituent, à parité, les instances nationales et régionales du CNFPT. Le PND définit la stratégie, les objectifs et la ligne d’action du CNFPT pour les années 2010 à 2015, en intégrant notamment la nouvelle donne établie par la loi du 19 février 2007 sur la formation des agents territoriaux.
Avec la loi du 19 février 2007, il n’y a plus de formation initiale ni de formation continue. Il y a une formation professionnelle tout au long de la vie ponctuée:
• par des dispositifs de formation: intégration, professionnalisation, perfectionnement…;
• par des outils de positionnement et de reconnaissance des acquis: bilan de compétences, REP (reconnaissance de l’expérience professionnelle), VAE (validation des acquis de l’expérience).
Conséquence: une nouvelle conception de la formation, liée autant à l’évolution professionnelle de l’agent qu’à son évolution statutaire.

The present results CNFPT: agents trained in 2010, number of training days organized. See all results in plate 1% by clicking on the image.
ACCOUNTABILITY: A DUTY OF PUBLIC SERVICE

Accountable for the use of public funds is a democratic principle which I am particularly fond, as an elected official of the Republic.
The document you have before you reflects my desire to apply this principle to the National Centre for local government service. What happens to the training fee, paid by all communities CNFPT employing at least one full-time?
What is it used?
Who benefits does it really? Everyone needs to know what it is: territorial employers, who finance the public service training, the 1.8 million territorial agents, who have free access to a varied and offer training close to their workplace ; unions, who live on social dialogue; everyone, citizen of our Republic, which has the right to know how is used and managed public money. More...

29 février 2012

Nombres d'emplois offerts de professeurs des universités et de maîtres de conférences

Retourner à la page d'accueil de Légifrance Arrêté du 23 février 2012 fixant les nombres d'emplois offerts à la mutation, au détachement et au recrutement par concours des professeurs des universités et des maîtres de conférences jusqu'au 31 décembre 2012. JORF n°0051 du 29 février 2012, texte n° 35. NOR: ESRH1201913A.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche,
Vu le code de l'éducation;
Vu le décret n° 84-431 du 6 juin 1984 modifié fixant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants-chercheurs et portant statut particulier du corps des professeurs des universités et du corps des maîtres de conférences;
Vu le décret n° 92-70 du 16 janvier 1992 modifié relatif au Conseil national des universités;
Vu le décret n° 93-1335 du 20 décembre 1993 modifié relatif à la déconcentration de certaines opérations de gestion concernant les professeurs des universités et les maîtres de conférences;
Vu le décret n° 2008-618 du 27 juin 2008 relatif au budget et au régime financier des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel bénéficiant des responsabilités et des compétences élargies;
Vu l'arrêté du 15 juin 1992 modifié fixant la liste des corps des fonctionnaires assimilés aux professeurs des universités et aux maîtres de conférences pour la désignation des membres du Conseil national des universités;
Vu l'arrêté du 15 décembre 1997 modifié portant délégation de pouvoir en matière de recrutement et de gestion des professeurs des universités et des maîtres de conférences;
Vu l'arrêté du 7 octobre 2009 relatif aux modalités générales des opérations de mutation, de détachement et de recrutement par concours des professeurs des universités;
Vu l'arrêté du 7 octobre 2009 relatif aux modalités générales des opérations de mutation, de détachement et de recrutement par concours des maîtres de conférences,
Arrête :
Article 1

Le recrutement de professeurs des universités est autorisé, pour pourvoir à des emplois jusqu'au 31 décembre 2012 et dans la limite de 1 462 emplois. Ces emplois sont, dans les mêmes conditions, offerts à la mutation et au détachement.
Article 2

Le recrutement de maîtres de conférences est autorisé, pour pourvoir à des emplois jusqu'au 31 décembre 2012 et dans la limite de 2 099 emplois. Ces emplois sont, dans les mêmes conditions, offerts à la mutation et au détachement.
Article 3

Les emplois offerts en application de l'article 1er et de l'article 2 sont soit vacants, soit susceptibles d'être vacants. Chaque emploi et ses caractéristiques sont publiés par les établissements où ces emplois sont à pourvoir sur un site internet du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche accessible à partir de l'adresse suivante: http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr, rubrique « emploi dans l'enseignement supérieur et la recherche », puis « GALAXIE ».
Retur til startsiden Légifrance Dekret af 23 Februar 2012 om fastsættelse af antallet af job til rådighed til at overføre, udstationering og konkurrencedygtig rekruttering af universitetets professorer og lektorer indtil den 31. december 2012. Statstidende nr. 0051 af 29 Februar 2012, tekst n 35. NOR: ESRH1201913A. Mere...
28 février 2012

La crise est un levier pour le e-learning

http://www.le-grep-rh.com/imgs/le-grep-rh.pngPropos recueillis par Raphaëlle Pienne. Co-fondateur de CrossKnowledge, Steve Fiehl pilote l'innovation produit. A ce titre, il dirige les équipes de recherche et développement pédagogiques et techniques du groupe, qui se présente comme le leader européen du développement des compétences managériales à distance par les nouvelles technologies et qui a réalisé le premier baromètre européen du e-learning, en partenariat avec le cabinet d'études Féfaur.
Le baromètre montre que les grandes entreprises sont majoritaires à utiliser le e-learning. Les PME s'y mettent-elles également?

"Nous pensons que les PME seront le levier de croissance du e-learning. Les grandes entreprises s'y sont mises plus tôt. Cela répondait, pour elles, à une logique d'investissement et à la recherche de la réalisation d'économies d'échelles. Mais aujourd'hui, les PME ont des changements à mener afin de rester compétitives sur un marché international.
Le travail à distance se développe, les populations sont de plus en plus excentrées, tout cela concoure au besoin de former la juste personne de façon plus flexible. Alors que les grandes entreprises ont tendance à acheter des formations e-learning en "catalogue sur étagère", les PME nous contactent en revanche pour avoir la technologie, et développent leurs propres outils de formation."
En pleine période de crise, le baromètre prévoit une croissance du e-learning en 2012… n'est-ce pas paradoxal?

"Le baromètre indique que l'objectif que les entreprises assignent prioritairement au e-learning est l'optimisation des coûts de formation. La crise est donc un levier pour notre secteur. Jusqu'à présent nous étions en présence d'entreprises qui avaient saisi l'opportunité du e-learning, et d'autres qui hésitaient pour des raisons culturelles.
Aujourd'hui, celles qui y allaient à reculons voient qu'elles n'ont plus le choix. La situation a changé par rapport aux crises précédentes, où les entreprises coupaient le budget dédié à la formation en premier. Les entreprises savent aujourd'hui qu'elles n'ont pas intérêt à diminuer la formation, mais elles souhaitent la garder à moindre coût."
La France semble en retard dans l'utilisation du e-learning par rapport à d'autres pays comme la Grande-Bretagne ou les pays du Benelux. Comment l'expliquez-vous?

"En France, l'obligation de se former depuis la loi de 1971 a créé une forte habitude de la formation en présentiel. L'arrivée du e-learning induit un fort changement pour les entreprises, mais aussi pour les prestataires de la formation.
Ceux-ci se retrouvent face à une explosion des possibilités de formations. Alors qu'ils avaient une "recette unique", ils se retrouvent à gérer un restaurant avec un menu complet!
Les formateurs se voient également assigner de nouveaux rôles. Les changements sont énormes pour tout un secteur qui pèse des milliards en France, et cela peut faire un peu peur. Mais ce changement ne se fera qu'avec eux."
http://www.le-grep-rh.com/imgs/le-grep-rh.png~~V Interview med Raphaelle Pienne. Medstifter af CrossKnowledge, Steve Fiehl ledeprodukt innovation. Som sådan, fører han forskningsgrupper og udvikling af uddannelses-og teknisk gruppe, der præsenterer sig som Europas førende udviklingen af ledelsesmæssige færdigheder på en afstand af nye teknologier, og der gjorde den første barometer for europæisk e-learning i samarbejde med analysefirmaet Féfaur. Mere...
27 février 2012

Paris first - QS Best Student Cities in the World 2012

http://www.topuniversities.com/sites/default/files/articles/best-student-cities-banner.jpgQS are proud to announce the first ever Best Student Cities ranking. Based on a complex set of measures taken from public information, population sizes, number of educational establishments and their quality (as judged by the QS World University Rankings) the results are the first ever independent measure of the Best cities to study across the world.
Click through the city name in the table below in order to view the detail for that City, including a list of all of the qualifying educational institutions, population size, quality of living, affordability and the ratio of international students.
1 - Paris.

Unlike London and Boston, Paris does not have a global top 30 university, so it may come as a surprise to some that it ranks as the top city in the world for international students. But consider this: Paris has 16 institutions in the QS World University Rankings, comfortably more than any other city on the planet; international tuition fees are a fraction of those in the UK, Australia and North America; situated in the heart of Europe, Parisian graduates are targeted by a vast range of employers throughout the continent; and perhaps most importantly for students, all of this takes place in one of the most historic, culturally vital and beautiful cities imaginable. There's a reason why Paris is the most visited city in the world.
Elite Parisian universities such as ENS Paris, Ecole Polytechnique, Sciences Po and the Sorbonne have produced some of the most important philosophers, theorists, scientists, and mathematicians of the last 100 years, not to mention seminal movements in literature, film and art. Students often enjoy extensive access to leading academics, with small class sizes and intensive teaching belying the universities' low tuition fees. Paris is frequently rated as one of the most liveable cities in Europe, and it scores highly in the quality of living indicator. Perhaps the only real drawback for students is that socializing in Paris can be a costly affair – but then it's also a city that excels in the things that come for free.
14 - Lyon.
Positioned at the picturesque confluence of the Rhône and Saône rivers, with a charming medieval centre that is illuminated beautifully after dark, Lyon is known as the gastronomic capital of France – which is saying something. It is also home to one of the nation's top institutions, Ecole Normale Supérieure de Lyon (ranked fourth in France and 133 in the world), plus three others that make the global top 700: Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2 and Université Jean Moulin Lyon 3.
46 - Toulouse.
26 février 2012

Le programme de professionnalisation du Prisme Limousin

http://www.prisme-limousin.fr/sites/default/files/prisme_logo.pngLe programme de professionnalisation est en ligne sur le site de Prisme Limousin: http://www.prisme-limousin.fr/.  
Nous avons le plaisir de vous informer que des places sont encore disponibles pour les prochaines actions en février et mars. Nous vous recommandons de vous inscrire le plus tôt possible (nombre de places limitées pour les actions de formation, par publics et par ordre d'arrivée).
1- Réforme de la formation professionnelle et réforme des Opca

Conférence donnée par Jean Philippe Cépède, Directeur du département juridique de Centre Inffo. Introduction par la COPIRE Limousin, conclusion par les représentants de l'Etat et de la Région. Mardi 21 février 2012 de 14h à 17h. Dans les locaux de Chéops, 55 rue de l'Ancienne Ecole Normale des Instituteurs, 87000 Limoges Salle Auditorium.
25- Mieux connaitre les métiers en région: Les métiers de l'industrie:
Présentation et échanges avec l'Observatoire de Prisme Limousin, des représentants du secteur et des chefs d'entreprise. Lundi 12 mars 2012, de 14h à 16h, à BRIGUEUIL au sein de l'entreprise Sté Micro Contrôle.Conférence de présentation générale de l’Industrie en Limousin avec une focale particulière, via des témoignages de professionnels, sur les métiers en tension dans ce secteur (notamment ceux de la mécanique et de l’usinage) et visite commentée de l’entreprise Sté Micro Contrôle. et Mardi 13 mars 2012 de 9h à 17h à la Cité des Métiers de Limoges et du Limousin (Atelier 1 – Côté Jardin): Bourse à l'information (échanges de documents, plaquettes, flyers...) sur les métiers et les formations de l’industrie. Présentation de MAPPI le 8 mars 2012 au matin dans les locaux de Prisme-Limousin, Présentation Aidéo le 20 mars 2012 au matin dans les locaux de Prisme-Limousin, FIL (fonds d'information sur la lecture) le 13 ou 30 mars à Tulle ou Guéret.
14- Appels d'offres et dématérialisation des marchés publics de formation.

Laurence Herpin, Agilis. Jeudi 22 et vendredi 23 mars 2012 de 9h à 17h dans les locaux de Prisme-Limousin, le carré Jourdan 13 cours Jourdan 87000 LIMOGES Salle de conférence.
24- "Compétences transversales" et "compétences transférables" des compétences qui facilitent les mobilités professionnelles.

Frédéric Lainé, Centre d'Analyse Stratégique Paris. Vendredi 30 mars 2012 dans les locaux de Prisme-Limousin, le carré Jourdan 13 cours  Jourdan 87000 LIMOGES Salle de conférence.
http://www.prisme-limousin.fr/sites/default/files/prisme_logo.png~~VDen professionalisering Programmet er online på Prism Limousin http://www.prisme-limousin.fr/.
Vi er glade for at meddele Dem, at der stadig er ledige pladser for fremtidige aktioner i februar og marts. Vi anbefaler, at du registrerer så hurtigt som muligt (pladser er begrænset til uddannelse af offentlige og i rækkefølge).
1 - Reform reformen af erhvervsuddannelse og Opca

Foredrag af Jean Philippe Cépède, direktør for Juridisk Afdeling Inffo Centre.
Indledning ved COPIRE Limousin, indgået af repræsentanterne for staten og regionen. Tirsdag, februar 21, 2012 fra 14h til 17h. De lokaler Cheops, 55 Rue de l'Ancienne Ecole Normale af lærere, 87000 Limoges Hall Auditorium. Mere...

25 février 2012

Non à la liquidation du CEREQ

http://www.humanite.fr/sites/default/files/humanite2010_logo.gifFormation, emploi... non à la liquidation du CEREQ (CGT FERC) - Communiqué de la fédération de l'Éducation, de la Recherche et de la Culture CGT
A l’heure où le rapport du député Alain Joyandet met l’accent sur la question de l’accès à l’emploi des jeunes, allant jusqu’à suggérer la création d’un ministère dédié à ce problème, et que d’aucuns évoquent une nouvelle réforme de la formation continue pour faire face à la crise et à l'urgence sociale, le gouvernement, les directions des établissements poursuivent le démantèlement de l'ensemble des acteurs publics de la formation professionnelle continue mais aussi initiale.
Plan stratégique pour les uns, l'Afpa, transformation à marche forcée en Groupements d’Intérêt Publics autonomes (GIP) pour les autres, les Greta, ce sont là les moyens mis en œuvre pour poursuivre le désengagement financier de l'Etat vis à vis de ces acteurs du service public de formation.
Ces transformations s'accompagnent de la remise en cause du maillage territorial tant de l'Afpa que des Greta au travers des projets d' « empreinte au sol » qui devraient conduire à la fermeture de nombreux centres de formation.
L'objectif en partie avoué du gouvernement et des directions d'établissement est de sortir l'Afpa, les Greta, mais aussi le Cnam, également soumis à des projets mettant en cause son cadre public et national, du service public et de leur faire lâcher prise sur leur utilité sociale.
C'est dans ce contexte que le Centre d’Études et de Recherches sur les Qualifications (Céreq) est à son tour déstabilisé. Établissement public autonome placé sous la double tutelle du ministère de l’Education nationale et du ministère de l’Emploi, le Céreq est compétent en matière d’études et de recherche sur les relations entre formation et emploi. Il réalise notamment des travaux, à la pertinence reconnue, sur l’insertion professionnelle des jeunes, l’évolution du travail et des professions, l’accès des salariés à la formation professionnelle continue à destination des ministères et agences nationales, régions et collectivités territoriales, branches professionnelles, organismes publics et privés du champ de la formation et de l’emploi.
Aujourd'hui, suite à une diminution de 56 % de la subvention du ministère de l'emploi, le Céreq présente un budget déficitaire et voit ses 16 centres régionaux associés menacés risquant ainsi de mettre fin à quatre décennies d’accumulation de connaissances sur ses champs d’analyse.
Ainsi ce sont toutes les politiques publiques de formation au service du développement économique de la Nation qui sont attaquées. Pour la Cgt, l'heure n'est pas à la casse des services publics mais à leur reconstruction et à leur développement au moment où les questions de jeunesse, de travail et de formation sont de toutes parts présentées comme essentielles pour l’avenir.
La formation constitue aujourd’hui, un droit majeur, acquis au service des personnes et de la Nation. Elle participe à l’émancipation sociale des individus et à la cohésion sociale. Elle doit être axée sur le développement d’un service de qualité aux usagers avec la mise en place de filières de promotion des personnes respectant en conséquence les spécificités de chacun des organismes. Les pouvoirs publics doivent assurer la pérennité et la continuité du service public de formation sur tout le territoire en garantissant le développement de ses moyens et en reconnaissant l’engagement, l’implication et les métiers des personnels.
http://www.humanite.fr/sites/default/files/humanite2010_logo.gif Odbornej prípravy, zamestnanosti ... nie likvidovať CEREQ (CGT FERCE) - Vyhlásenie Federácie vzdelávanie, výskum a kultúra CGT
V čase, keď člena Joyandet Správa sa zameriava na problematiku prístupu k zamestnanosti mládeže, dokonca navrhovať vytvorenie ministerstva venovanej tomuto problému, a že niektoré evokujú novú reformu učí zvládať krízy a naliehavú sociálnu, vláda, riadenie inštitucionálne aj naďalej odstránenie všetkých verejných aktérov odborného vzdelávania, ale aj originálne. Viac...
24 février 2012

Pour en finir avec les réformes inabouties

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/formation-professionnelle-pour-en-finir-avec-les-reformes-inabouties-debat-avec-marc-ferracci-un-des-auteurs-du-rapport/33800-9-fre-FR/Formation-professionnelle-pour-en-finir-avec-les-reformes-inabouties-Debat-avec-Marc-Ferracci-un-des-auteurs-du-rapport_large.png« Formation professionnelle, pour en finir avec les réformes inabouties » - Débat avec Marc Ferracci, un des auteurs du rapport. La France dispose d’un système spécifique de financement de la formation continue. La loi du 16 juillet 1971 introduit pour les employeurs une obligation financière visant à développer la formation professionnelle continue de leur personnel et contribue ainsi à légitimer l’entreprise comme lieu de réalisation du droit à une formation continue pour les salariés. Dans leur rapport « Formation professionnelle, pour en finir les réformes inabouties, les auteurs Pierre Cahuc, Marc Ferracci et André Zylberberg dénoncent un «système inégalitaire et d’une efficacité quasi-nulle pour ceux qui en ont le plus besoin ».
Le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq) vous invite vendredi 6 janvier 2012 à 14h, à  une rencontre avec l’un des auteurs de «  Formation professionnelle, pour en finir avec les réformes inabouties ».  Marc Ferracci présentera ce rapport  dont les propositions seront discutées au regard des travaux récents du Céreq.
Compte-rendu du débat avec Marc Ferracci.

Dans le cadre des rencontres du Céreq, Marc Ferracci présentait le 6 janvier 2012 à Marseille le rapport « La formation professionnelle des adultes : pour en finir avec les réformes inabouties » co rédigé avec Pierre Cahuc et André Zylberberg. La discussion a été ensuite introduite à partir des travaux du Céreq exposés par Isabelle Marion et Josiane Vero. Jean-Frédéric Vergnies, rédacteur en chef de Formation Emploi retrace ici les principaux éléments du débat.
Le rapport pose trois principaux constats, largement partagés, sur les défauts du système actuel de formation continue est à la fois inégalitaire, trop complexe et surtout inefficace. Lors de ces rencontres, le débat a porté sur le levier d’action à privilégier: incitation financière avec suppression de l’obligation légale de financer comme le suggère le rapport présenté ou refondation de la relation à la formation des entreprises et des personnes comme l’argumentent les travaux du Céreq?
Le diagnostic du rapport :

Le rapport formule un diagnostic des limites actuelles du système imputées largement à une obligation légale de financement de la issue de la loi de 1971:
- Inégalités d’accès à la formation entre qualifiés et non qualifiés, entre salariés et demandeurs d’emploi, entre demandeurs d’emploi éligibles à l’assurance-chômage et non éligibles. Ces inégalités sont non seulement inéquitables mais aussi inefficaces. L’accès des moins qualifiés à la formation est bénéfique à l’ensemble de la collectivité (externalité positive) et à ce titre peut être subventionné.
- Complexité du système: l’appareil de formation compte pléthore de prestataires, sans information fiable sur la qualité des formations.
Il est alors difficile pour les salariés, les demandeurs d’emploi ou les entreprises de construire des parcours de formation qui soient garants d’une véritable sécurisation des parcours et d’une meilleure compétitivité. En outre, les dispositifs et leur mécanisme d’accès au financement des formations (Droit individuel à la formation DIF, congé individuel de formation CIF), ou de collecte par les Organismes paritaires collecteurs agréés - OPCA sont complexes. Le système est en grande partie opaque et arbitraire, ce qui constitue un frein à la construction d’une culture de la formation. À cet égard, le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels, nouvellement créé, majore cette complexité.
- Relative inefficacité de la formation des adultes par rapport à la formation initiale: la formation continue a peu d’impact en France sur la mobilité professionnelle, même si elle favorise la stabilité professionnelle.
Les bénéfices de la formation sont captés par les entreprises. Au final, les rendements individuels de la formation sur les salaires sont faibles. Les réformes récentes sont inabouties de ce point de vue.
L’obligation légale entretient les inégalités d’accès car elle est indifférenciée, c’est-à-dire non ciblée sur les individus les moins employables. On sait que les inégalités d’accès se sont creusées depuis 1970. Pour les entreprises en dessous du seuil, l’obligation légale revient à une taxe qui pèse au final sur les salaires et donc se fait au détriment des salariés. Pour les entreprises au-dessus du seuil, l’obligation légale n’incite pas à tenir compte des externalités positives de la formation (effet positif sur le collectif de travail, le bassin d’emploi…) et donc limite les efforts de formation. En outre, les besoins de formations sont hétérogènes et ne sont pas pris en compte par une obligation uniforme. L’obligation légale contraint parfois à des dépenses de formation en l’absence de véritable besoin.
De manière générale, la réforme de 2009 ne semble pas remédier à ces trois défauts car elle ne revient pas sur l’obligation légale et accroît la complexité du système.
Les trois axes de réforme du rapport

Les auteurs proposent trois axes de réformes à partir de l’analyse économique libérale et des bonnes pratiques dans d’autres pays. Il s’agit pour résoudre les questions d’inégalités d’accès, d’inefficacité et de complexité du système:
- Supprimer progressivement l’obligation légale de financement.
En effet, les partenaires sociaux auront besoin de temps pour trouver d’autres sources de financement. Cette obligation serait remplacée par une cotisation sociale prélevé par les URSSAF.
- Inciter financièrement les entreprises à former et les individus à se former en instaurant un système de subvention via des crédit d’impôt (aussi bien pour les entreprises que pour les individus) ou des chèques formation pour les chômeurs.
Il serait modulé en fonction de la contribution à la réduction des inégalités d’accès, par exemple en fonction du niveau de diplôme initial. Cela serait une façon d’ouvrir un droit différé à la formation. Droit d’autant plus applicable que le service public de l’emploi disposerait de plus de moyens pour accompagner les chômeurs dans leur projet formation.
- Développer en parallèle un système de certification des prestataires de formations avec la participation des OPCA.
Cela permettrait aux entreprises et aux individus de choisir à partir d’une bonne information. Les formations seraient certifiées sur la base de leur rendement. Certaines formations pourraient continuer à être mutualisées via les OPCA, mais sur une base volontaire, par exemple pour organiser des formations pour plusieurs entreprises. Le rapport souligne aussi la nécessité de modifier les conditions du dialogue social et de la représentativité syndicale.
Les discussions, introduites par deux exposés de travaux du Céreq par I. Marion et J. Vero, ont ensuite souligné les limites des dimensions financières pour privilégier l’importance du système de relations la formation mettant en jeu entreprises , individus et partenaires sociaux.
- La question des inégalités d’accès renvoie principalement aux caractéristiques des entreprises plutôt qu’à celles des individus

Les entreprises financement à plus de 80% les formations. Aussi, afin d’améliorer l’accès des catégories les moins favorisées, il convient d’abord d’identifier quelles sont les entreprises qui forment peu et leurs motifs, pour au final identifier les leviers qui permettraient d’augmenter la formation. Parmi les entreprises de 10 salariés et plus, si plus de la moitié forme au-dessus du seuil légal, au final ¾ des salariés bénéficient d’une formation. Au final, les petites entreprises forment peu tandis qu’au-delà de 50 salariés la quasi-totalité des entreprises sont formatrices.
- L’absence de formation n’est pas due principalement à des questions financières
Quand les entreprises ne forment pas, elles invoquent presque toutes une absence de besoins. Seules 16% évoquent des raisons financières comme le coût trop élevé de la formation. C'est plutôt le temps, ainsi qu’une charge de travail trop lourde. Les déclarations des entreprises révèlent le besoin d’être mieux informées sur les formations ou les dispositifs. Cet accompagnement dans la construction de leur politique de formation relève d’une mission clef des OPCA.
- Il ne suffit pas d’ouvrir un droit formel pour bouleverser les usages de la formation: l’exemple du DIF

Dans le cadre du droit individuel à la formation, (DIF), 6 % des salariés accèdent à des formations d’une durée de moins de vingt cinq heures et stables d’une année sur l’autre alors que ce droit augmente de 20 heures chaque année et devrait avoisiner 120 heures, plus de six ans la création de ce dispositif. Le droit individuel à la formation est donc finalement peu utilisé.
- Comment mettre les individus en capacité de se former? Les conditions collectives sont déterminantes

On sait que les réformes récentes sur la formation (Accord national interprofessionnel de septembre 2003 et la loi de 2009 relative à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie) organisent un cadre de délibération entre employeurs et salariés. Il apparaît que l’entreprise est un maillon essentiel pour permettre aux salariés d’être les acteurs de leur formation. Cela passe par l’ouverture d’opportunité de formation mais aussi d’espace de délibération individuelle et collective (entretien individuel , relais d’informations…) Aujourd’hui près de 10% des entreprises s’inscrivent dans l’esprit et la lettre des dernières réformes.
Le facteur qui influence le plus les besoins de formation des individus est la politique de formation de leur entreprise. Vouloir se former ou pas dépend d’abord de l’entreprise et de sa politique de formation, de la citoyenneté dans l’entreprise et des conditions mises en place plus que d’une plus ou grande moins inclinaison personnelle ou des possibilités financières des individus. Les débats entre l’auteur et la salle ont ensuite abordé différents points: On constate que les formations sont de plus en plus courtes, même si elles sont de plus en plus nombreuses. Dans ce contexte, il semble difficile d’attendre un quelconque impact sur l’évolution professionnelle ou le salaire.
Un autre défi est l’évolution de la relation des individus à la formation alors que l’on sait que cette relation est en grande partie construite dans la formation initiale. Comment faire évoluer cette relation chez ceux qui ont le moins bien réussi à l’école?
La question du crédit d’impôt fait émerger celle de l’avance du montant de la formation (à rembourser ensuite) et donc la mise en place d’une ingénierie financière particulière. Comment certifier des organismes sur la base de taux de placement fournis par les organismes eux-mêmes? Ils auraient alors intérêt à sélectionner les meilleurs candidats pour avoir les meilleurs résultats.
En outre, les organismes de formation sont très hétérogènes; notamment, beaucoup d’entre eux n’ont pas la formation comme activité principale. Souvent, ce sont des consultants issus de milieu professionnel. Les formations mises en place participent alors d’un système de co-construction pour résoudre un problème dans l’entreprise, dont la formation est un volet à coté du conseil. On est donc loin de la certification d’un titre, comme c’est le cas en formation initiale ou de la formation de chômeur, ou même d’un programme de formation existant a priori. On pourrait plutôt utiliser la logique des normes ISO plutôt que de certifications basées sur des programmes.
Le plan de formation reste de la prérogative de l’employeur, et l’on n’est pas dans un système de cogestion comme en Allemagne, ce qui rend difficile les transferts de bonnes pratiques étrangères à la France. Un des grands enjeux de l’efficacité du système de formation est que les salariés les moins employables bénéficient de formations longues. Les PME et TPE sont alors confrontées à de multiples obstacles que ni le salarié, ni a fortiori l’employeur ne sont enclins à dépasser, même en présence d’un chèque formation ou de déduction fiscale. Certains travaux du Céreq montrent combien la relation à la formation des dirigeants des très petites entreprises est souvent distant.
Contact Presse/Marie-Christine Antonucci. E-mail: servicepresse@cereq.fr, Tél.  04 91 13 28 94. Coordination: Jean-Frédéric Vergnies – vergnies@cereq.fr.

"Školenia, do konca reformy inabouties." - Diskusia s Marcom Ferracci a autor tejto správy Francúzsko má osobitný systém financovania vzdelávania.  Zákon 16. júla 1971 sa zaviedla požiadavka zamestnávateľa na rozvoj schopností finančné vzdelávanie vlastných zamestnancov a pomáha legitimizovať spoločnosť ako miesto realizácie práva na ďalšie vzdelávanie zamestnancov.  Vo svojej správe "odborného vzdelávania, dokončiť reformy inabouties, autori Pierre Cahuc a André Zylberberg Marc Ferracci vypovedať o "nerovné účinnosť systému a takmer nulové pre tých, ktorí ju potrebujú najviac." Viac...

24 février 2012

Pas d'urgence à réformer le système de formation professionnelle en France?

http://www.leclub.org/cms/uploads/pics/Logo_amphi_100.jpgAvec Françoise Geng, présidente de la section du travail et de l'emploi du CESE. Et Vincent Merle (discutant), professeur titulaire de la chaire " Travail, emploi, acquisitions professionnelles " du CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers).
« Quarante ans après la loi fondatrice du 16 juillet 1971, notre système de formation
professionnelle repose aujourd'hui sur des bases solides grâce, notamment, aux nombreusesréformes déjà engagées. C'est pourquoi, à peine deux ans après la réforme de 2009 qui n'a pasencore eu le temps de produire tous ses effets, notre assemblée considère qu'il n'y a pasd'urgence à réformer à nouveau le système de formation professionnelle. »
Avis du Conseil économique, social et environnemental (CESE), en date du 13 décembre 2011 (174 voix pour, 22 abstentions).
Le système de formation professionnelle français reposerait sur des bases solides: en 2012, il faudrait simplement lui apporter quelques améliorations.
L’avis du CESE formule à cet égard « quatre objectifs prioritaires à toute évolution négociée du système de formation professionnelle: mieux articuler formation initiale et continue, accroître l’efficacité et la qualité de la formation, faire de la formation un outil de sécurisation des parcours professionnels et, enfin, clarifier la gouvernance ». Suite...
http://www.leclub.org/cms/uploads/pics/Logo_amphi_100.jpg~~V Med Françoise Geng, formand for Sektionen for arbejdsmarked og til beskæftigelsen EØSU. Og Merle Vincent (diskussion), professor stol "arbejdspladsen, beskæftigelse, virksomhedsovertagelser" CNAM (Conservatoire National des Arts et metierer).
"Fyrre år efter grundlæggelsen lov af 16. juli 1971, vores uddannelsessystem
Forretning i dag er baseret på et solidt grundlag, især gennem de mange reformer, der allerede. Derfor kun to år efter 2009 reformen, der ikke har endnu ikke haft tid til at producere alle sine virkninger, vor forsamling mener, at der ikke er nogen presserende at reformere igen erhvervsuddannelsessystemet." Mere...
24 février 2012

Le nouveau site d'Europass

pcassuto | 15 février, 2012 00:55

http://europass.cedefop.europa.eu/static/images/europass-logo.pngUne porte ouverte pour apprendre et travailler en Europe - Cinq documents pour exprimer clairement vos compétences et qualifications en Europe
Curriculum vitæ

Un document pour présenter vos compétences et qualifications de manière efficace et claire. En savoir plus.

Passeport de langues
Un outil d’autoévaluation pour vos compétences et qualifications linguistiques. En savoir plus.

Les autres documents Europass.

Dans chaque pays (Union européenne et Espace économique européen), un Centre National Europass coordonne l’ensemble des activités relatives aux documents Europass. Il constitue le premier point de contact pour les citoyens ou les organisations qui souhaitent utiliser – ou obtenir de l’information sur – Europass. En savoir plus.

Europass et vous
. En savoir plus.

 

http://europass.cedefop.europa.eu/static/images/europass-logo.png~~V En indgang til at lære og arbejde i Europa - Fem dokumenter til at formulere dine kompetencer og kvalifikationer i Europa
Genoptag
. Mere...

23 février 2012

Dispositif seniors en agriculture

http://anefa.org/system/files/Formation/photo%20dispositif_0.jpgSalariés agricoles de 49 ans et +
Les partenaires sociaux ont confié à l’ANEFA, la coordination et le développement du dispositif d’accompagnement des salariés seniors à la construction d’un nouveau parcours professionnel.
De quoi s’agit-il?

D’un accompagnement gratuit de 10 heures sur 2 ans, assuré par un expert agréé pour:
    construire, avec le salarié, un projet professionnel,
    obtenirdes informations utiles sur les métiers et les parcours de formation,
    et soutenirle salarié dans ses démarches.
Pour qui?

Tout salarié du secteur agricole:
    de plus de 49 ans,
    ayant travaillé au minimum 5 ansdans le secteur agricole,
    et en poste depuis au moins 1 an dans la même entreprise relevant du secteur agricole.
Comment en bénéficier?

Il suffit de:
    télécharger le formulaire de demande d’autorisation préalable, avec sa notice,
    choisir son accompagnateur sur la liste des accompagnateurs,
    remplir le dossier avec son accompagnateur et l’adresser à: ANEFA - Service seniors, 6 rue de La Rochefoucauld, 75009 Paris.
Pour en savoir plus, contacter l’ANEFA:
- par teléphone au 01 46 07 06 05,
- par mail à seniors@anefa.org,
- par courrier: ANEFA - Service seniors, 6 rue de La Rochefoucauld, 75009 Paris.
Devenez accompagnateurs!

Vous connaissez le secteur agricole et ses métiers, vous êtes au fait des dispositifs de la Formation Professionnelle Continue, vous maitrisez les techniques de recherche d’information, vous êtes un accompagnateur potentiel…
Consultez cette page pour en savoir plus.

http://anefa.org/system/files/Formation/photo% 20dispositif_0.jpg Agricultural employees of 49 years +
The social partners have entrusted ANEFA, coordination and development of the support system of older workers in the construction of a new career
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