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Formation Continue du Supérieur
31 août 2012

L’entreprise Durable et Responsable reste à inventer

http://blog.adhere-rh.com/wp-content/uploads/2012/01/rse-adhererh.pngPar Constant Calvo. Les concepts et démarches du Développement Durable et de la RSE (DDRSE) connaissent un essor continu. La somme d’ouvrages, de travaux universitaires et de recherche,  et de colloques qui leur est chaque jour consacrée, tout autant que le nombre d’experts qui ont émergé ou d’entreprises qui s’y engagent l’attestent, le DDRSE est bien là pour durer.
Après une dizaine d’années d’avancées mais également de déceptions, on est surpris d’entendre des observateurs et spécialistes confier leur confiance dans l’ancrage culturelle du DDRSE dans les organisations. ils s’autorisent même à penser – ou à prédire – que le DDRSE se banalise, dans le bon sens du terme, non pas parce que « l’effet de mode » décrié par certains est passé tel un rêve, ni que la « poudre aux yeux » du capitalisme cherchant à se vêtir des beaux habits de la respectabilité présentée par d’autres a cessé de créer l’illusion, mais parce qu’il tend à perdre son statut d’activité privilégiée, voire de secteur économique à part entière. Suite de l'article...
http://blog.adhere-rh.com/wp-content/uploads/2012/01/rse-adhererh.png~~V Με συνεχή Έννοιες Κάλβο. Και προσεγγίσεις της βιώσιμης ανάπτυξης και της εταιρικής κοινωνικής ευθύνης (DDRSE) επεκτείνονται συνεχώς. Το ποσό της, ακαδημαϊκά βιβλία εργασίας και έρευνας, καθώς και σεμινάρια για τους κάθε ημέρα αφιερωμένη, όπως ακριβώς και ο αριθμός των εμπειρογνωμόνων που έχουν προκύψει ή επιχειρήσεις που ασχολούνται μαρτυρούν, είναι DDRSE και ήρθε για να μείνει. Περισσότερα...
31 août 2012

Enseignement supérieur - les défis de la professionnalisation

http://www.portail-formation-ouest.fr/logo.pngLe CEREQ vient d'éditer un dossier sur le sujet.Comment choisir une formation professionnelle? C'est la première question des jeunes et de leur famill ; utiliser un classement des établissements de l'enseignement supérieur selon un indicateur d'insertion professionnelle semble un bon élément de réponse. Mais, il est bien difficile de hiérarchiser les établissements, en raison de la diversité de leurs étudiants et des formations dispensées.
L'origine sociale pèse sur le devenir professionnel des jeunes quelle que soit la formation suivie. Le stage serait-il le sésame pour un avenir professionnalisant en compensant le déficit de capital social des parents? Mais tous les stages ne se valent pas et le rôle de l'établissement, son prestige, restent déterminants.
Rapprocher encore plus temps de formation et temps en entreprise serait alors la solution? Cela apparaît à la fois prometteur et limité. En analysant le secteur stratégique de la recherche-développement, il est démontré que certains doctorants parviennent à valoriser leurs compétences dans ce secteur. Au-delà, développer ses compétences ne dépend-il pas également des entreprises et de leur capacité à accueillir des jeunes et à développer leurs professionnalisations? Les jeunes débutants sont confrontés à des segments différenciés du système d'emploi. Aux deux extrêmes, certains font plutôt face à une précarisation « déprofessionnalisante » (30%) tandis que d'autres bénéficient d'une insertion professionnali­sante dans la stabilité (25%).
À la lecture de ce dossier, les professionnalisations se déclinent bien au pluriel. Elles dépendent autant de l'individu que du contexte, que ce soit en matière d'information (capacité des individus à choisir et s'orienter, et donc de l'entourage familial et social) que des possibilités offertes par les établissements de formation et les entreprises, notamment à travers les stages, ou les formations en alternance.
Face à la diversité des étudiants, il est essentiel pour professionnaliser les formations de l'enseignement supérieur, de se préoccuper aussi de la professionnalisation des enseignants du supérieur.
http://www.portail-formation-ouest.fr/logo.png CEREQ να επεξεργαστείτε ένα αρχείο μόνο για sujet.Comment επιλέγουν την επαγγελματική εκπαίδευση; Αυτή είναι η πρώτη έκδοση των νέων και famill τους, χρησιμοποιώντας μια κατάταξη των ιδρυμάτων της τριτοβάθμιας εκπαίδευσης ως ένας δείκτης της απασχολησιμότητας φαίνεται ένα καλό στοιχείο απάντηση. Αλλά είναι δύσκολο να ιδρυμάτων βαθμό, λόγω της ποικιλομορφίας των μαθητών και τις προπονήσεις τους. Περισσότερα...
31 août 2012

Incentives to attract foreign students

Shanghai is encouraging foreign students to study at local universities with a package that includes scholarships and language-training programs.
Municipal officials hope the number of foreign students will increase to 70,000, a 45 percent gain, by 2015.
The municipality will establish a comprehensive scholarship system to encourage outstanding students to study in the city, according to a Shanghai Municipal Education Commission development plan for the 2011-15 period. The plan was unveiled over the weekend. According to the plan, the city will increase the number of government-funded scholarships and add a full scholarship for undergraduates.
The number of international students in the city has gone up in recent years. In 2011, about 47,700 overseas students were studying in Shanghai, but only a third of them were in long-term degree programs. The plan's goal is to have at least 70 percent of foreign students studying in long-term degree programs.
"We hope that a greater number of outstanding students will come to Shanghai, and take long-term and degree programs in the city," said Yang Weiren, an official of International Exchange and Cooperation Department of the Shanghai Municipal Education Commission.
Meanwhile, Shanghai is also encouraging universities, enterprises and other social bodies to establish scholarships and funds for deserving foreign students.
Last month, the Tohee International Student Village, one of the city's biggest international student-dorm communities, joined some universities to launch the Tohee International Students Service Fund. The fund will cover apartment rentals for students during their four years of study. Beneficiaries will mainly be those who excel academically and are from needy families.
The first students to get city government scholarships to study in Fudan University were three Nepalese students.
The government scholarship will cover their tuition, while the Tohee fund will grant their accommodation subsidies, totaling 200,000 yuan ($31,500), for their four years of study.
"Shanghai is an international metropolis. The cost of living is very high," said Bikesh Adhikari, one of the students who received the subsidy. "I was worried that I could not finish the four-year study due to the high cost of living in Shanghai.
"The accommodation subsidy removes my concern. And I can focus my attention on my studies," he said.
Fudan University has more than 4,000 foreign students from 118 countries and regions. Each year, the university grants about 1.5 million yuan to its foreign students.
"Those who apply for higher degree study in the university and are from top universities overseas, especially those who are majoring in science and engineering, are extremely encouraged," said Zhang Yi, deputy director of International Students Office of Fudan University.
The city is also encouraging local universities to offer more high-quality summer-school courses, lectures and international exchange programs to attract foreign students.
This year, Shanghai Jiao Tong University invited more than 80 overseas professors and scholars to give lectures during its four-week summer courses, which were added this year.
"It's very exciting, and I like Shanghai very much," said Connor Ryan, a student from Wittenberg University in Ohio. Ryan had just completed Fudan University's international summer session, which attracted about 100 students from more than 10 countries.
"Before I came to Shanghai, I had no idea about the country. And this is my first time to come to a non-English-speaking country," Ryan said.
"I learned some Chinese in my country. Here, I communicated with the local people and talked a lot in Chinese," he said.
Among the courses that Fudan University arranged for the students were Chinese history and culture, social science, politics, economics and management.
In a bid to help foreign students adapt to studying and living in Shanghai, the city will establish a preparatory school that will teach Chinese-language and computer skills. The first batch of 60 students will start their Chinese study in September. According to the plan, the city will establish a series of foreign-student service centers, which can provide one-stop service, such as accommodation, Chinese learning and tours.
In addition, the city will establish 10 Chinese culture bases for foreign students to better understand the country and its history and culture.
30 août 2012

CV - révolu ou révolution ?

http://la-page-de-l-emploi.pagepersonnel.fr/wp-content/themes/pagepersonel/images/logo_pp.pngPar La Page de l'Emploi. On a récemment vu apparaître des méthodes de recrutement « sans CV » au sein d’entreprises telles que l’ING Entertainment, leader mondial du jeu vidéo. Le processus de recrutement se joue alors purement sur les compétences et non plus sur des éléments tels que la formation ou l’expérience. Certains y voient déjà la fin annoncée du CV; nous parlerons dans un premier temps d’une révolution.
Si les entreprises du secteur informatique et des nouvelles technologies peuvent se permettre de recruter sans CV à travers des ateliers visant à tester les compétences techniques des candidats, la grande majorité des recruteurs continuent d’exiger une candidature classique (CV + lettre de motivation) en réponse à leurs offres. La fin du CV dans le processus global du recrutement semble par conséquent assez loin, même s’il est indéniable que le modèle du CV type tend à évoluer de plus en plus rapidement.
Dans des secteurs comme l’assistanat, la logistique, les fonctions RH ou juridiques, le CV classique au format A4 reste de mise. On observe cependant depuis plusieurs années déjà une réelle révolution du CV dans les secteurs plus « malléables » de la communication, du marketing, des Relations Publiques ou du Commerce.
Parmi les dernières tendances, l’intégration des profils en ligne dans son CV. De plus en plus de candidats insèrent ainsi l’URL de leur profil LinkedIn ou Viadeo, de leur CV en ligne sur DoYouBuzz voire de leurs profils personnels Facebook et Twitter. Les recruteurs ne s’y trompent pas et consultent de plus en plus ces réseaux sociaux dans le cadre de leurs recherches. CV en ligne et recherches Google (mentions du nom du candidat) viennent compléter le processus. Pour justifier la pertinence d’une telle démarche, on invoque en général une plus grande crédibilité et plus de pertinence. Prenons l’exemple de LinkedIn: il semble plus difficile de fournir des informations erronées sur son profil, visible de tous y compris de son ancien employeur ou de ses anciens collègues (qui éventuellement auront accepté de se porter garants des informations citées en recommandant le candidat) que sur son CV.
Autres tendances du moment: l’insertion de flash codes (pointant vers un profil en ligne par exemple) ou la rédaction de CV sous forme d’infographie. De telles pratiques permettent de mettre en avant certaines compétences techniques et de se démarquer en fonction du poste visé.
La lettre de motivation, adaptée au poste sollicité, démontre un intérêt pour une offre et une entreprise en particulier et reste appréciée par les recruteurs. Bien rédigée, elle saura venir appuyer le CV et renforcer la candidature soumise.
Source: Article du 16.07.2011, Recruiter.com (EN).

http://la-page-de-l-emploi.pagepersonnel.fr/wp-content/themes/pagepersonel/images/logo_pp.pngBy The Employment Page. It has recently emerged recruitment methods "without CV" in companies such as ING Entertainment, a worldwide leader of video games. The recruitment process is played so purely on skills rather than on factors such as training or experience. Some see it as already announced the end of the CV and we'll discuss in a first stage of a revolution. More...

 

 

30 août 2012

La culture, une autre victime des marchés?

Toute l'europe.eu, Toute l'europe en un clicLe quotidien britannique The Guardian a publié début août une carte européenne des coupes dans les budgets de la culture. Elle présente les musées, les théâtres ou encore les universités dont le budget a été réduit à cause de la crise.
Ce projet, mené en collaboration avec cinq autres quotidiens européens (dont Le Monde), dresse ainsi un bilan alarmant de l'état de la culture en Europe.
D'un soupçon à la réalisation de la carte

Ils avaient déjà collaboré ensemble pour la réalisation de deux numéros spéciaux autour de l'Europe. Cette fois-ci, The Guardian, Le Monde, El Paìs, La Stampa, Gazeta Wyborcza et Süddeutsche Zeitung ont réuni leurs rédactions pour mettre en place un projet de "data journalism". Grâce à l'outil informatique fourni par le moteur de recherche Google (la fameuse Google map), les internautes peuvent insérer dans la carte toutes les institutions culturelles dont les fonds ont été réduits pendant les derniers mois.
Des données en cours d'analyse 
La rédaction du Guardian n'a pas encore commencé à analyser les données soumises par les internautes. "La deuxième étape de ce projet consiste évidemment en la vérification et l'étude des données", affirme Mark Rice-Oxley. "Pour l'instant, il est difficile de tirer des conclusions précises, mais nous avons déjà remarqué des tendances intéressantes", poursuit le journaliste, "personnellement, je ne m'attendais pas à voir un nombre si important d'universités et d'écoles parmi la liste des institutions culturelles en difficulté. En outre, les internautes nous ont envoyé des commentaires très critiques contre leurs gouvernements. Souvent ils étaient carrément en colère et cela aussi m'a surpris".
D'autres tendances visibles sur la carte restent pour l'instant sans explication précise. Dans certains pays par exemple le nombre des contributions est très bas. C'est le cas de la France, de la Grèce et des plusieurs pays de l'Europe de l'Est. "Il est difficile de dire si cela reflète la bonne santé des institutions culturelles nationales ou si simplement il n'y a pas encore assez de contributions", commente M. Rice-Oxley.
En automne, la carte sera publiée dans le nouveau numéro de "Europa", le magazine spécial réalisé simultanément par les six quotidiens européens. Pour l'instant, et en attendant que le Guardian termine l'analyse des données, on peut déjà observer une carte de l'Europe décidément très alarmante. Plus...
Throughout europe. Eu europe All in one click The British newspaper The Guardian published a map early August European cuts in the budgets of the culture. It has museums, theaters or universities whose budget has been reduced because of the crisis.
This project, in collaboration with five other European newspapers (including The World), stands as an alarming state of culture in Europe
. More...
30 août 2012

WebTV de Pôle Emploi - se reconvertir à 50 ans, c’est possible

Aller a la home de France 5Au lieu de regarder le dernier clip de Carly Rae Jepsen sur YouTube, regardez plutôt le dernier numéro des rendez-vous pour l’emploi co-réalisé par par Pôle Emploi et France 2.
Aux manettes Sophie Pignal, journaliste à Télé Matin, présente le parcours de Jean-Jacques, 50 ans originaire de Bourg en Bresse. De son usine de plasturgie à l’ouverture de son pub, Jean-Jacques a bénéficié tout au long de sa reconversion du soutien de Pôle Emploi aussi bien pour trouver les aides financières que pour déployer une méthodologie commerciale.
Πήγαινε στο σπίτι του France 5 Αντί να παρακολουθούν το τελευταίο κλιπ της Carly Rae Jepsen στο YouTube, φαίνονται μάλλον τον τελευταίο αριθμό των διορισμών για την απασχόληση με συμπαραγωγής της France 2 και Pôle Emploi. Περισσότερα...
30 août 2012

Pupils need more information about the costs and benefits of higher education

http://static.guim.co.uk/static/9e8b82205d3e1e5b43897b809e8a92ac774af2ad/common/images/logos/the-guardian/professional.gifHow much do pupils know about the new university fees structure and could an awareness campaign make a positive impact? Gill Wyness reveals LSE's research findings.
Many people point to the fall in 2012/13 applications to English universities as evidence that students have been put off applying because of the near trebling of tuition fees. In theory, however, no-one should be put off by this change. Fees will now be deferred and paid back gradually after university, once a graduate is earning a good wage. And there are generous maintenance loans and grants on offer, meaning everyone, regardless of background, should be able to afford upfront to go to university.
But how many potential students actually understand this new payment structure? So far there is little evidence of whether young people making important decisions about university actually understand how much it costs, how and when they have to pay, and crucially, whether the financial benefits outweigh the costs.
A team of researchers at the LSE, led by Professor Sandra McNally, undertook a study aiming to find out what school pupils know about the costs and benefits of going to university and the potential impact on their knowledge and aspirations of an 'information campaign'. Our study took place in the 2010-11 academic year with 54 participating London schools. In each school, we surveyed all year 10 pupils (14-15 year olds) – around 12,000 took part in total.
An initial survey questioned pupils about their knowledge of the costs and benefits of higher education, after which some schools were given an information package, including access to a website, leaflets, a video and a presentation about staying in education. Other schools were given the package only eight to 12 weeks later, after all participants had completed a second survey. Both surveys took place at the time when the increase in tuition fees was announced. Results therefore reflect not only the impact of the information campaign but also the short-term impact of media reporting of the fee increase.
The survey revealed large gaps in pupil knowledge about the costs and benefits of higher education. For example, less than half of pupils knew that fees are paid after university, and once they have a job, while fewer than half regarded student loans as a "cheaper/better way to borrow money than other types of borrowing". Furthermore, around a quarter of pupils held the view that going to university was "too expensive".
Media reporting around the time of the fees hike improved pupils' knowledge of how much university would cost but also increased the negative perceptions of affordability, with a significant increase in the proportion who thought university was too expensive. This increase was greater among pupils from comprehensive schools compared with those from independent schools.
Results also suggested that misperceptions over the costs and impact of the fee increase can be easily corrected with an information campaign. Pupil attitudes changed considerably in response to the information package, which stressed the availability of grants and how loans can be repaid rather than focusing on the fee increase per se. As well as improving student knowledge about the benefits of higher education – something lacking in the media focus – the campaign significantly reduced negative perceptions of affordability across the board.
Previous research has shown that factors determining whether pupils go on to university are largely set before they finish their compulsory education at the end of Year 11. We should not be waiting until exams have been sat and subject choices made before ensuring that pupils have the correct information on which to base their future decisions. Nor does the fact that careers information classes are not specifically resourced or required by government help create the right incentives for schools to raise their game.
Gill Wyness is an education researcher at LSE and research associate of the liberal think tank
CentreForum.
30 août 2012

Learning From One Another

HomeBy Steve Kolowich. That is how J.R. Reddig, a 61-year-old program director for a Virginia-based defense software contractor, described his classmates’ essays in Internet History, Technology and Security, a massive open online course (MOOC) the University of Michigan is offering through Coursera.
The course, which largely focuses on the history of cyber-infrastructure, is one of the first humanities courses run by Coursera, the largest MOOC provider. That means it is an early proving ground for Coursera’s peer-grading system -- the company’s answer to the challenge of running a course with tens of thousands of students and only one professor. For every essay they submit, students in the course have to read and evaluate four others written by their classmates.
“Did you learn from them?” asked Charles Severance, an associate professor at the University of Michigan, who is teaching the course. Severance is sitting with Reddig and eight other students in the basement of a modish downtown coffee shop here, where he has arranged an “office hours” meet-up -- one of several he has held in cities around the country. A miniature fountain babbled nearby. Ambient jazz trickled out of unseen speakers.
Reddig shook his head: “Umm, no… no.” Not about the essay topics, anyway. Mainly, Reddig said, he learned how to read past the spelling and grammar hiccups of non-English speakers and try to grade them based on their ideas. “I said, Well, O.K., you can’t apply an empiric standard to them,” said Reddig. “These people attempted to follow a thought, and so give them a 10.” More...
30 août 2012

Hacia la universidad multinacional

el país J. A. Aunión. Hace mucho tiempo que la internacionalización se convirtió en una palabra-mantra para las universidades: si quieres ser alguien en el mundo de la educación superior, tienes que tener muchos estudiantes extranjeros, también profesores e investigadores, proyectos en colaboración con otras partes del planeta, titulaciones conjuntas... Se trata de buscar, encontrar y atraer el talento allá donde esté, pero también de catar una parte de un atractivo negocio que mueve miles de millones de euros al año: distintas estimaciones hablan de que los alumnos extranjeros aportan unos 14.000 millones al año a la economía de EE UU (según la Association of International Educators) o 13.000 millones a la de Australia (cálculo del propio Gobierno).
Así, muchas universidades ya no se conforman con intentar atraer a los alumnos foráneos, sino que salen en su busca. “Los campus británicos tienen ya más estudiantes que cursan sus títulos fuera que dentro del Reino Unido”, asegura Maurits van Rooijen, rector de la Escuela de Negocios de Nyenroden (Holanda). Se trata de varios recursos distintos: oferta a distancia a través de Internet, de validación de títulos (que ha causado disgustos y escándalos sonados a alguna universidad), de franquicias y sucursales (branch campus). De estos últimos (que ofrecen títulos del campus matriz, sobre todo, en Estados en vías de desarrollo), había 200 en 67 países del mundo en 2011, 38 más que en 2009, según un trabajo del británico Observatorio para la Educación sin Fronteras.
Puede que, como señalan expertos como el profesor del Boston College Philip G. Altbach, se esté inflando una especie de burbuja universitaria alrededor de estas sucursales. O tal vez solo sean un paso previo hacia las “universidades multinacionales”, como señalan en un reciente trabajo los especialistas de la Universidad de Sydney Sean Gallaguer y Geoffrey Garrett. Preocupados porque la crisis y la creciente competencia internacional están haciendo que decrezca el dinero que gana Australia con los estudiantes extranjeros (sobre todo de Asia), han analizado a fondo la situación desde un punto de vista empresarial.
Y su análisis es que, igual que Apple diseña en EE UU, construye en China con componentes hechos en Alemania, Japón, Reino Unido y vende después sus productos en todo el mundo, las universidades van a empezar a hacer algo muy parecido. Por ejemplo, a utilizar sedes en “los países en desarrollo para investigar, porque es más barato construir buenas infraestructuras y contratar a personal cualificado”, o “a diseñar títulos especialmente dirigidos para el mercado local”, aventuran. Es decir, creen que habrá una especie de deslocalización de los campus más potentes del mundo, como ocurre desde hace muchas décadas con las empresas. “En la globalización es más común trasladar el producto que trasladar al consumidor”, comenta por correo electrónico Van Rooijen, que también preside el Grupo de Compostela, una asociación que reúne a 70 instituciones de todo el mundo, incluida la gallega que da nombre al grupo.
El estudio australiano pone dos ejemplos principales: la universidad de Duke y la de Nueva York —ambas estadounidenses y privadas— que, a través de acuerdos con campus y Gobiernos locales, intentan “educar e investigar en todo el mundo, aprovechando nuevas fuentes de talento académico, de financiación, y mercados estudiantiles de una manera muy parecida a la que las corporaciones multinacionales hacen con las cadenas mundiales de suministro y distribución”, argumentan Gallaguer y Garrett en su trabajo. En ambos casos tienen en marcha proyectos, en colaboración con Gobiernos y universidades locales (que toman la mayor parte del riesgo financiero) en China y Shanghái, de sedes que ofrecerán títulos de los campus matrices, exactamente iguales, pero con mayor implicación que con los branch campus, que son más baratos, pero más difíciles de controlar en cuanto a su calidad, añaden Geoffrey y Garrett.
La Universidad de Nueva York (NYU) lleva años abriendo sucursales en todo el mundo: tiene 12 centros en seis continentes y tres sedes principales: en Nueva York, Abu Dabi y Shanghái (esta última abrirá el año que viene). Su rector, Jonh Sexton, acepta gran parte de la argumentación de los especialistas australianos, pero rechaza que su motivación sea eminentemente financiera. “No podemos hablar por otras universidades, pero podemos decir que la transformación de NYU en una universidad global en red es por razones académicas, no comerciales. Nuestra idea central es enriquecer la investigación y el aprendizaje de nuestros estudiantes”, señala por correo electrónico.
Van Rooijen insiste en esta idea: “Las universidades tienen una agenda más amplia. Por ejemplo, Westminster puso en marcha hace 10 años la Universidad Internacional de Tashkent en Asia Central, en Uzbequistán, porque encajaba con su misión (ofrecer educación de gran calidad a aquellos que reunan los méritos suficientes) y porque les permite acceder a una fuente de talento que de otra manera no podría”.
En todo caso, ese modelo de universidades multinacionales también cuenta con serias dificultades, para empezar, legales. Estas son mucho mayores en el contexto europeo, con una fortísima preeminencia de campus públicos dependientes de los Estados. “Las universidades eminentemente públicas deberán buscar sus posibilidades en los márgenes legales”, los campus privados y las escuelas de negocios tienen más facilidades para empezar a recorrer esta senda, añade Van Rooijen. “Es evidente que pocas universidades europeas están metidas en esta carrera hacia la creación de sitios en el extranjero. Porque no tienen la mentalidad empresarial que se requiere, pero también porque no son tan atractivas en los países donde reside la demanda. Además, porque su enfoque está más en la cooperación que en la competición”, explica el experto europeo en universidades Guy Haug.
La profesora de la Universidad Rovira i Virgili Mercè Gisbert rechaza de plano que las universidades se conviertan en “multinacionales de la educación superior que ‘venden’ productos educativos y formativos y que intentan proyectar modelos universitarios como una forma encubierta de perpetuar la idea de la colonización”. Sin embargo, es consciente de que, “tal y como evoluciona la situación económica en España, y teniendo en cuenta que siempre hemos ido a la cola en temas de Educación y de I+D+i, quizá no queda más remedio que salir a buscar recursos fuera”.
En todo caso, parece que la idea de universidad multinacional aún le queda muy lejos a los campus españoles. “Creo que el concepto no está nada desencaminado, pero desde el punto de vista español es muy complicado. Las universidades españolas aún son muy poco internacionales”, dice el presidente del Consejo Directivo de IE University, Rafael Puyol, que forma parte del grupo de expertos nombrado por el Gobierno español para emitir un informe que fije el rumbo de la reforma universitaria.
Puyol considera que los campus deben antes de llegar hasta ahí recorrer un primer camino, mejorando sus flojas cifras de estudiantes y profesores internacionales y de docentes españoles formados en el extranjero: las universidades españolas tienen un 2% de alumnos extranjeros (sin contar el doctorado), frente a un 9% de Alemania o a un 21% de Australia, según datos de la OCDE. Los campus españoles han de darse mucha prisa, asegura Puyol; les va el futuro en ello. “Las universidades regionales y nacionales van a ir dejando de tener sentido”, opina, por lo que deben empezar buscando aquella área de la enseñanza o de la investigación que les ponga en el mapa internacionalmente.
30 août 2012

An international hub for higher education?

http://www.theborneopost.com/images/logo_raya.pngBy Professor Dr François Therin. RECENTLY, foreign universities such as the United Kingdom’s Heriot-Watt University and the University of Reading announced opening branch campuses in Malaysia. Several other universities also intend to expand their operations here, including Manipal University of India which plans to open a campus for up to 20,000 students. The news is hardly surprising as the Ministry of Higher Education has indicated that up to 25 foreign universities have applied to open branch campuses in the country.
Inevitably, it has triggered a strong reaction from the existing players, with some trying to convince the ministry that by allowing an overly large number of foreign branch campuses to operate, the competitive landscape would be adversely affected.
Such a reaction would be deemed quite normal in any industry, but it would be interesting to ponder whether it is reasonable or not. Firstly, let us look at some figures related to higher education in Malaysia. Currently, there are approximately 1.1 million tertiary students in Malaysia, including 500,000 pursuing bachelor’s degrees and 400,000 pursuing diplomas. Among the 1.1 million students, some 80,000 are international students with the majority representing five countries — China, Iran, Indonesia, Nigeria and Yemen.
Yearly, the higher education sector sees an enrolment of 400,000 new students while 250,000 graduate from different universities throughout the country. These students are served by 21 public and 23 private universities, including five foreign branch campuses. They also come from 21 private higher education institutions with university college status. In fact, more than 20 other foreign universities are already actively operating in Malaysia through twinning programmes with the university colleges. So is it likely 25 new players would negatively affect the competitive landscape?
Clearly, Malaysia aims to become a higher education hub. Despite marketing higher education internationally much later than Singapore, it already has more international students, the number having doubled since 2006. The objective now is to reach 200,000 by 2020. Of course, many of the universities exist to diversify the sources as the current major ones could be subject to internal political changes, which could consequently affect the number of students sent to Malaysia. For example, Oman recently announced that it would send up to 4,000 students a year compared to only 400 in 2010.
Meanwhile, student intakes from India and Egypt, as well as neighbouring countries such as Thailand or Vietnam, are very low and have not met the forecasted numbers. For instance, there are only 1,400 students from India. In Malaysia, a bachelor’s degree has become the minimum requirement for one to land a first-time skilled job. Malaysia’s economy is doing very well and employers’ increased need for qualified staff has created a demand for more graduates, particularly from critical fields such as engineering, business and medicine.
There is a natural growth in the local student population. We can expect the population to continue to grow, and subsequently, a greater demand for universities to offer higher degrees. There are currently only 63,000 students pursuing studies at the master’s level and 21,000 at PhD level. Malaysia is making a clear stand on quality, though at the start of the internationalisation process, and as many other countries did, more importance was placed on quantity rather than quality. Take the recent issues in Vietnam, for example. Malaysia is now very carefully monitoring the quality of the existing institutions, both public and private, and is becoming more and more exacting when considering the applications of new players. The implementation of a very detailed and stringent rating system for the country’s universities, the Setara Rating System for Institutions of Higher Learning, is helping raise standards.
In the field of business, for example, public institutions have been asked to go for international accreditations such as Equis (European Quality Improvement System) and AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business). Not compromising on quality will certainly convince local students to study within Malaysia rather than go overseas. Currently, around 80,000 Malaysians are studying abroad — 30,000 of them under scholarships and 50,000 self-sponsored.
This indirectly raises the attractiveness factor for international students to pursue their tertiary education in Malaysia, particularly those from countries where the number of higher education institutions is still too low to meet internal demand and/or where the move towards quality has not been effectively implemented. Therefore, I do not share the concerns of some of my colleagues on the competitive risk. On the contrary, I believe that more competition can help to strengthen the path towards better quality. It will also offer a wider choice for local and international students in Malaysia, and subsequently, reinforce the country’s vision of becoming an international education hub.
Professor Dr François Therin is the dean of the School of Business at Curtin Sarawak.
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