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Formation Continue du Supérieur

8 mars 2013

Your first degree course is a MOOC

My PhotoBy . The quest for a sustainable business model for xMOOCs (those open courses offered by major universities) continues with a variety of possible solutions such as offering examination (and a chance to earn credits) or extra tuition for a fee as well as selling student contacts to headhunting companies. However the latest model to emerge would seem to be highly attractive to mainstream universities.
MOOC2degree is a new initiative that offers the first course of a degree program as a MOOC in the hope of recruiting students on to the full program. A consortium of seven US universities under the coordination of Academic Partnerships are already on board and intend to use MOOCs as a shop window for their regular programs. The MOOCs will be free, open to all and will actually give you credits if you sign up for the full degree program. Whether students who do not register to continue will be able to keep their credits is not clear to me but the business case here is perfectly clear and justified if it can help the university recruit more students.
"With MOOC2Degree, Academic Partnerships has collaborated with public universities to offer credit-bearing MOOCs as a first step and a free start toward earning a degree. Through this new initiative, the initial course in select online degree programs will be converted into a MOOC. Each MOOC will be the same course with the same academic content, taught by the same instructors, as currently offered degree programs at participating universities. Students who successfully complete a MOOC2Degree course earn academic credits toward a degree, based upon criteria established by participating universities." Read more...
8 mars 2013

Jean-Marc Ayrault choisit le campus Paris-Est pour dévoiler le Nouveau Grand Paris

Le premier ministre a choisi l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM) et la Cité Descartes « où l’enseignement supérieur, la recherche et le développement industriel se rencontrent et se fertilisent mutuellement » pour présenter sa vision du « Nouveau Grand Paris ».
Après avoir découvert le nouveau bâtiment de l’École des Ponts ParisTech, Descartes+, et la nouvelle bibliothèque de l’UPEM, il a annoncé ses arbitrages sur le financement et le calendrier de la réalisation du futur réseau de transport en Ile-de-France dont le « Grand Paris Express » qui assurera l’interconnexion de tous les territoires franciliens. Grâce à ce futur métro automatique en rocade, les deux pôles du campus Paris-Est seront reliés dès 2020 en 11 minutes par la ligne 15. Le pôle Université Paris-Est, atout majeur pour l’Est francilien et son développement, s’est fortement impliqué dans le débat public au côté des collectivités. C’est aussi la question de l’équilibre des territoires qui trouve réponse aujourd’hui. La ligne 15, qui raccordera directement les sites de Créteil/Maisons-Alfort et de la Cité Descartes, améliorera la mobilité des étudiants et enseignants-chercheurs, les interconnexions avec les autres places scientifiques franciliennes et les grands pôles économiques et d’emploi de la Région.
Le Grand Paris Express permettra ainsi de poursuivre la dynamique de transformation portée par UPE et contribuera à sa visibilité nationale et internationale: enrichir les collaborations inter-établissements, renforcer son ancrage territorial et  innover pour mieux assurer l’égalité des chances par un meilleur accès à l’enseignement supérieur. Retrouvez le dossier de presse du Nouveau Grand Paris en cliquant ici. Suite de l'article...
The Prime Minister chose the University Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM) and the Cité Descartes' where higher education, research and industrial development to meet and fertilize each other "to present his vision of the" New Grand Paris". More...
8 mars 2013

Synthèse de la réunion du Bureau de l'Unédic du 28 février 2013

http://www.unedic.org/sites/default/files/logo-31_0.pngCette première édition inaugure l’un des engagements de l’Unédic de renforcer la transparence en termes de gestion et de gouvernance. Conformément à l’accord du 17 février 2012 sur la modernisation du paritarisme, chaque Bureau de l’Unédic fait désormais l’objet d’une synthèse publique. La synthèse rend compte des travaux des gestionnaires de l’Assurance chômage.
Points d'actualité
Audition de l’Unédic par la mission Pôle emploi de l’Assemblée nationale

Le Président rend compte de l’audition par la mission d’information de l’Assemblée nationale sur Pôle emploi et le service public de l’emploi. Cette audition a porté notamment sur la réglementation de l’Assurance chômage. Les partenaires sociaux sont conscients de la nécessité de toujours chercher à améliorer la réglementation afin qu’elle soit compréhensible par les demandeurs d’emploi et qu’elle atteigne les objectifs qui lui sont fixés. Aussi, l’Unédic a-­t-­elle engagé avec Pôle emploi une analyse des difficultés de mise en oeuvre de la réglementation dont les conclusions seront présentées au Bureau de l’Unédic. Pour prolonger cet engagement, le Bureau propose d’objectiver le diagnostic posé sur la réglementation d’assurance chômage, par exemple en recueillant les perceptions des demandeurs d’emploi. Un plan d’action allant dans ce sens est demandé aux services de l’Unédic.
Mission Pôle emploi:
consulter l'audition de M. Jean-François Pillard, Mme Patricia Ferrand et M. Vincent Destival sur le site de l'Assemblée nationale.
Politique sociale et politique de l'emploi
Avenant n°2 à l’Accord National Interprofessionnel relatif à l’emploi des jeunes

Les partenaires sociaux ont décidé de prolonger jusqu’au 31 décembre 2013 le dispositif d’accompagnement prévu par l’ANI du 11 juillet 2011 relatif à l’accompagnement des jeunes pour favoriser leur maintien dans l’emploi. Le Bureau fait le point sur les décisions que les partenaires sociaux doivent prendre dans le cadre de cet avenant. L’Unédic préparera les dispositions nécessaires à la mise en oeuvre de cette décision.
Prolongation de l’Activité Partielle de Longue Durée (APLD)

Les partenaires sociaux ont décidé, conjointement avec l’Etat, de prolonger la mise en oeuvre de l’APLD jusqu’à la mise en place des nouvelles dispositions prévues par l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013. La convention actuelle liant l’Unédic et l’Etat venant à échéance à la fin du mois de mars, le Bureau a donné mandat au Président et à la Vice­‐Présidente pour actualiser cette convention sans attendre la prochaine réunion.
Relations avec les opérateurs
Plan d’audit 2013-­‐2014

Dans le cadre des relations de l’Unédic avec ses opérateurs, des audits sont organisés selon un plan annuel proposé et validé en séance. Pour 2013, le plan propose 12 missions qui traiteront de l’indemnisation (8 missions concernent Pôle emploi), du recouvrement des contributions (3 missions concernent l’ACOSS et la CCMSA), mais également de la mise en oeuvre des orientations issues de l’accord de modernisation du paritarisme. Le rapport annuel sur le Contrôle rendra compte des résultats de ces missions d’audit.
Projets
Déclaration Sociale Nominative

La mise en place de la DSN pose la question du rôle de l’Attestation Employeur remise par l’employeur au salarié.
Le Bureau souhaite poursuivre 2 objectifs: l’accès du salarié aux informations qui le concernent et la simplification des obligations des employeurs.
Le Bureau se prononce en faveur du maintien d’une Attestation d’Employeur aménagée: un document reprenant les données transmises par l’employeur à la fin du contrat de travail, hors rémunérations versées qui sont déjà connues du salarié via ses bulletins de salaire.
Situation de l'Assurance chômage à fin décembre 2012
En savoir plus: Consulter la situation générale et détaillée de l'Assurance chômage à fin décembre 2012.
Documents à télécharger
Synthèse de la réunion du Bureau de l'Unédic du 28 février 2013.
Pour aller plus loin
Sur le même thème
http://www.unedic.org/sites/default/files/logo-31_0.pngInaugurates an chéad eagrán ar cheann de na gealltanais na trédhearcachta Unédic a fheabhsú ó thaobh rialachais agus bainistíochta. Níos mó...
8 mars 2013

First Arab-Euro University Conference on Higher Education

LogoConference announcement: First Arab-Euro University Conference on Higher Education, Barcelona, Spain 30-31 May 2013
The University of Barcelona (UB), in collaboration with the Association of Arab Universities (AARU) and EUA, will organise the First Arab-Euro University Conference on Higher Education from 30 to 31 May 2013 in Barcelona, Spain. The conference, hosted by UB, will consider specific themes in Arab-European collaboration and compare recent higher education developments in both regions, including internationalisation.
The main topics to be discussed are the following:
    * Higher education development trends in Europe and the Arab World including:
    - comparability and equivalence of higher education systems: Bologna as an example;
    - employability: cultural, social and economic perspectives;
    - research and doctoral education;
    - internationalisation of higher education.
    * Towards enhanced higher education collaboration between Europe and the Arab World.
Participation in the conference is open to rectors, vice-chancellors and presidents of universities or to their delegates from both regions and will allow for networking as well as bilateral and multilateral meetings and the signature of collaboration agreements.
Please note that registration will commence in March 2013. Please direct any further enquiries or expressions of interest to participate to Carmen García (carmengarciam@ub.edu); or Zeineb Mazouz (zmazouz@ub.edu).
8 mars 2013

Call for participation: EUA surveys the impact of rankings within universities

LogoCall for participation: EUA surveys the impact of rankings within universities
With the aim of conducting the first pan-European study of the impact and influence of rankings on European universities, EUA has recently launched a new project entitled “Rankings in Institutional Strategies and Processes” (RISP).
Universities worldwide are increasingly being confronted with ranking and classification initiatives. While reservations may be expressed about the methodologies used, there is a growing recognition that rankings are currently part of the higher education landscape, and many institutions feel the need to respond.
Together with its partners, the Dublin Institute of Technology, the French Rectors’ Conference and the Latvian Academic Information Centre, EUA will seek to provide an understanding of how rankings impact and influence the development of institutional strategic decision-making, as well as identify how institutions can use rankings as a strategic tool to promote institutional development.
The first step of the RISP project will be based on a survey of European universities and higher education institutions, in order to capture and analyse how rankings have impacted or are about to impact on their institutional choices. EUA invites all higher education institutions to take part in the survey by 17 June 2013 at the latest.     
To find out more about the project, please visit this website.

The RISP project is supported by the Lifelong Learning Programme of the European Union.
8 mars 2013

Internationalisation and international mobility

http://www.aca-secretariat.be/fileadmin/templates/2009/images/logosmall.jpgACA 20 year anniversary conference: Internationalisation and international mobility. Where do we stand, where are we heading?
The Hague, 9-11 June 2013. Co-organised by Nuffic.

ACA’s Annual Conferences have become a synonym for high-quality information, analysis and discussion on current policy and practice-related issues in the area of European and international higher education. They bring together central actors and decision-makers in higher education, such as rectors, vice-rectors, faculty and international relations staff, as well as policy-makers and practitioners from government departments, international institutions, non-governmental organisations and think tanks. And they offer opportunities for learning, exchange and networking at a high level. 
The 2013 Annual Conference will be no exception to this rule, but it is a special event nonetheless. In 2013, ACA will celebrate its 2Oth anniversary.  The conference will be a core element in the celebrations of the jubilee.  For this occasion, we thought it appropriate to return to those themes which were at the centre of our Association’s interest at the time of foundation in 1993 and which always remained high on ACA’s agenda: internationalization and international mobility.  We will deal with these issues in plenaries, but more than in the past also in workshops, to enhance interaction between participants.  The two-day event will take place in The Hague in the Netherlands, and will be preceded by a welcome reception and a social programme on 9 June.
8 mars 2013

Cultiver son réseau: du virtuel au réel, les leviers du succès

http://presse.apec.fr/extension/apec/design/presse/images/topbar/presse/header.png7ème édition des « Informels » de l’Apec, en partenariat avec L’Express
Lancés en 2011, les « Informels » vous donnent rendez-vous pour une nouvelle édition! Les afterworks organisés par l’Apec, en partenariat avec l’Express se tiendront les 21 et 26 mars. Au programme de cette 7ème édition, échanges et partages d’expériences autour du thème: « Cultiver son réseau: du virtuel au réel, les leviers du succès ». Sept villes accueilleront ces afterworks, avec pour cette édition la ville de Rennes. Espace Presse - CP Les Informels - mars 2013.
Les « Informels » Apec - L’Express, un concept plébiscité par plus de 2300 cadres lors des 6 éditions précédentes : « une soirée enrichissante […] un bon levier pour se rebooster […] une impulsion supplémentaire […] une ambiance conviviale, de bons conseils […] se créer un réseau et mieux connaître les réseaux».
Fort du succès des précédents « Informels », le concept reste inchangé: des tables rondes animées par des consultants Apec où se retrouvent « In Real Life » les membres de la communauté Apec sur Viadéo pour échanger sur une problématique clé de la vie professionnelle, de façon…informelle… Des témoins qui ont su frapper aux bonnes portes, saisir les opportunités aux bons moments et qui ont envie de partager leur expérience avec d’autres cadres. L’occasion de développer un réseau professionnel, la possibilité d’obtenir des éclairages sur son parcours personnel… avec l’idée de prolonger les échanges sur Viadéo.
EN PRATIQUE
Les prochaines soirées « Les Informels » se dérouleront de 18h00 à 21h00 le jeudi 21 mars à Marseille et Strasbourg, le mardi 26 mars à Paris, Lyon, Rennes, Bordeaux et Grenoble. Les inscriptions se font en ligne (nombre de places limité) dans l’onglet « Evénements » du site Viadéo.Vous n’avez pas encore de compte sur Apec.fr? Cliquez ici! http://bit.ly/qvpO84. CONTACT PRESSE: Carine Nagot et Paulina Ciucka/01 40 52 20 29/presse@apec.fr.
Le 21 mars :
Marseille: http://www.viadeo.com/
Strasbourg: http://www.viadeo.com/
Le 26 mars :

Paris: http://www.viadeo.com/
Lyon : http://www.viadeo.com/
Rennes : http://www.viadeo.com/
Bordeaux : http://www.viadeo.com/
Grenoble : http://www.viadeo.com/
Marseille: http://www.viadeo.com/
Jeudi 21 mars 2013 18h00. La Boate, 35 Rue de la Paix Marcel Paul, 13001 Marseille (Provence-Alpes-Côte d'Azur).
« Cultiver son réseau : du virtuel au réel, les leviers du succès »

Vous êtes cadre, vous souhaitez développer et construire efficacement votre réseau (e-reputation, entourage professionnel et personnel…)? Pour évoluer dans votre carrière professionnelle, vous voulez rencontrer des personnes clés et optimiser votre visibilité auprès des recruteurs? Alors inscrivez-vous aux prochaines soirées « Les Informels » Apec – L’Express, organisées dans 7 villes à travers la France!
Inscrivez-vous à la prochaine soirée « Les Informels » Apec – L’Express, organisée à Marseille en mars 2013!
Au programme:

Des tables rondes animées par des consultants Apec au cours desquelles vous pourrez échanger avec d’autres cadres venus faire part de leur expérience, bénéficier d’éclairages nouveaux sur votre parcours, tout en développant votre réseau professionnel…
Inscrivez-vous dès maintenant! (nombre de places limité).
http://presse.apec.fr/extension/apec/design/presse/images/topbar/presse/header.png 7 ° edizione del "informale" di APEC, in collaborazione con L'Express. Lanciato nel 2011, il "informale", vi diamo appuntamento per una nuova edizione! Più...
8 mars 2013

La taxe d’apprentissage ne financera plus que l’apprentissage

http://blog.educpros.fr/michelabherve/wp-content/themes/terrafirma_mabherve/terrafirma/images/a10.jpgBlog Educpros de Michel Abhervé. François Hollande annonce que la taxe d’apprentissage ne financera plus que l’apprentissage. Chiche!
Dans son discours de Blois, après la visite d’un Centre de Formation d’Apprentis, François Hollande a consacré une part importante de son discours à l’alternance. Nous le reproduisons ci-dessous.
Je terminerai sur l’idée de l’alternance.
C’est une vieille idée. Nous avons regardé souvent des modèles à l’étranger mais c’est une idée que nous pratiquons ici en France. C’est non pas une solution pour simplement des jeunes qui seraient en échec scolaire, sûrement pas, l’alternance, ça doit être une solution pour tous les jeunes, quelles que soient les filières, de l’enseignement professionnel, de l’apprentissage ou de l’enseignement général. Passer du temps en entreprise, faut-il aussi que les entreprises accueillent. Ça c’est une responsabilité. Faut-il aussi que le système de formation et notamment universitaire, accepte – c’est en train de se faire – cette idée. Donc nous devons développer l’alternance sous toutes ses formes. Et d’ailleurs l’apprentissage n’est plus simplement au niveau 4 ou 5 ; aujourd’hui, l’apprentissage peut aller du BTS, licence professionnelle et même diplôme d’ingénieur. Donc il faut ouvrir l’apprentissage, le proposer à tous les publics, y compris, je le disais, à des étudiants de l’enseignement supérieur.
Suite de l'article...
Blog Educpros Michel Abhervé. François Hollande announced that the apprenticeship tax will not fund more than learning. More...
8 mars 2013

La responsabilité sociale des universités: une vision de l'université

http://www.letudiant.fr/static/etucmsEduPlugin/img/educpros-footer.gifPour Jean-François Balaudé, professeur de philosophie et président de l'université Paris-Ouest-Nanterre-la-Défense, le débat sur les orientations générales de l’enseignement supérieur n’a pas encore eu lieu, malgré la nouvelle loi ESR en préparation. Il défend dans une tribune une vision structurante et globale des missions des universités – la RSU, responsabilité sociale et sociétale des universités – qui va sensiblement au-delà des missions traditionnelles de formation et de recherche.
La nouvelle loi en préparation sur l'enseignement supérieur et la recherche donne lieu en ce moment même à de nombreux commentaires inquiets ou déçus, au regard de ce qu'elle dit et surtout ne dit pas. Un point particulièrement important concerne la ligne directrice de cette réforme. Est-elle ou non en rupture avec la loi LRU? Quelle est l'ambition précise de cette nouvelle loi? Brièvement introduit, le transfert des résultats de la recherche, seule nouveauté en matière de missions, n'éclaire guère sur la vision globale de l’université supposée orienter la loi. L'exposé des motifs, quant à lui, insiste sur la réussite étudiante, mais également sur le redressement national, dans une perspective essentiellement économique où affleurent des enjeux sociaux. En l'état, on ne peut dire que ces éléments épars répondent à toutes les interrogations. Suite de l'article...
http://www.letudiant.fr/static/etucmsEduPlugin/img/educpros-footer.gif Jean-François Balaudé, ollamh le fealsúnacht agus uachtarán Ollscoil Pháras West-Nanterre la Defense, nach bhfuil an díospóireacht ar an oideachas ginearálta níos airde go fóill, in ainneoin an ESR dlí nua ullmhú. Molann sé fís i struchtúrú fóram agus misin domhanda na n-ollscoileanna - an RSU, freagracht chorparáideach agus shóisialta na n-ollscoileanna - a bheidh go suntasach thar na misin traidisiúnta an oideachais agus taighde. Níos mó...
8 mars 2013

Rechercher et retrouver un emploi après 55 ans

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTY-S0WB8tUeDLqhhl-9sb2t4kYX4YnFfUaVGJ6gCAduv5UamKP8QqsMgPar Stéphanie Govillot, Marie Rey. Rechercher et retrouver un emploi après 55 ans.
Résumé:
En France, le taux d'activité des plus de 55 ans est particulièrement faible, surtout pour les hommes. Pour ces derniers, il a fortement diminué entre 1975 et 2000, sous l'effet des préretraites et de l'abaissement de l'âge légal de la retraite, avant de remonter dans la première moitié des années 2000, en lien avec les réformes des retraites et l'extinction des préretraites. Entre 2008 et 2011, le taux de chômage des 55-59 ans a fortement augmenté, du fait conjugué de la crise et de la fin des dispenses de recherche d'emploi. Pour autant, le taux d'emploi des 55-59 ans a continué de progresser: entre 2008 et 2011, il a augmenté de 2,6 points par an en moyenne. En 2011, 36% des 55-59 ans n'ont pas d'emploi et parmi eux un sur six déclare souhaiter travailler. Ces derniers sont principalement d'anciens ouvriers ou employés et ils ont le plus souvent perdu leur emploi suite à un licenciement. Ils recherchent par ailleurs plus souvent un emploi à temps partiel que les plus jeunes. Le taux de retour à l'emploi des chômeurs quinquagénaires a progressé au cours des dernières années. Plus de la moitié des personnes de 55 à 59 ans qui ont retrouvé un emploi en tant que salariés travaillent toutefois à temps partiel, choisi ou subi. La part des contrats aidés dans les emplois retrouvés progresse avec l'âge.
Le taux d’activité des plus de 55 ans est particulièrement faible en France, surtout pour les hommes

Dans l’ensemble des pays industrialisés, la vie active est aujourd’hui principalement concentrée autour des âges médians, de 25 à 54 ans. La France se distingue cependant par un « décrochage » particulièrement marqué de la participation au marché du travail à partir de l’âge de 55 ans. En 2011, le taux d’activité des 55-59 ans atteint 69%. Il est de 17 points inférieur à celui des 50-54 ans. L’écart entre ces classes d’âge est de 14 points en moyenne dans l’Union européenne à 27 (UE 27), et encore plus faible aux États-Unis ou dans l’ensemble des pays de l’OCDE. Après 60 ans, en raison des nombreux départs à la retraite, la baisse des taux d’activité est à nouveau plus marquée en France que pour la moyenne des autres pays de l’UE 27 ou de l’OCDE.
Alors que le taux d’activité des 50-54 ans est supérieur de quatre points à la moyenne européenne de l’UE 27, celui des 55-59 ans en est proche. Cependant, ceci masque des situations très différentes entre hommes et femmes: le taux d’activité des hommes de cette tranche d’âge se situe au niveau du dernier tiers de l’UE 27 et est l’un des plus bas de l’Union européenne à 15 (UE 15). La situation est inversée pour les femmes du fait d’une participation élevée des femmes au marché du travail depuis quelques décennies. Le taux d’activité des 60-64 ans, qui s’élève à 20% en 2011, fait partie quant à lui des cinq derniers de l’UE 27, et c’est le plus bas de l’UE 15. La situation masque à nouveau des différences selon le sexe: le taux d’activité des hommes de 60-64 ans est l’avant-dernier de l’UE 27 et le dernier de l’UE 15 et le taux d’activité des femmes, même s’il est bien inférieur à la moyenne européenne, est supérieur à celui de neuf des pays de l’UE 27 et à celui de quatre des pays de l’UE 15.
Le taux d’activité des hommes de plus de 55 ans a fortement diminué en France entre 1975 et 2000

Dans les années 1970, la France avait un taux d’emploi des 55-64 ans supérieur à 50%. Ce taux était plus élevé que celui des pays d’Europe continentale et de la moyenne européenne [Dares, 2011]. Plus de 50% des hommes de 60 à 64 ans étaient actifs en 1975 (figure 3a). Cette proportion a été divisée par deux en dix ans: elle a d’abord diminué de 15 points entre 1975 et 1980, suite au développement des préretraites ciblées sur les plus de 60 ans qui ont accompagné les restructurations industrielles, puis à nouveau de 13 points entre 1980 et 1985, avec le passage de 65 à 60 ans de l’âge légal de la retraite en 1983. Elle a continué à décroître entre 1985 et 1995, se stabilisant à la fin des années 1990, notamment sous l’effet des mesures prises dans le cadre de la réforme des retraites de 1993. En 2000, il n’y avait plus qu’un homme sur dix de 60-64 ans en activité.
Entre 55 et 59 ans, la proportion d’hommes actifs a chuté de plus de 15 points entre 1980 et 1985, passant de 79% à 64%, en lien avec la montée en charge, sur cette période, des préretraites destinées aux salariés de cette tranche d’âge. Cette proportion s’est globalement maintenue jusqu’à la fin des années 1990, s’établissant à 60% en 2000. Au cours des années 1990, le nombre de bénéficiaires de dispositifs publics de cessations anticipées d’activité s’est stabilisé, la dispense de recherche d’emploi devenant le dispositif public prédominant.
Dans le cas des femmes, les évolutions apparaissent moinsmarquées , la généralisation de l’activité féminine compensant en partie la baisse tendancielle de l’activité aux âges élevés. Le taux d’activité des femmes de 60 à 64 ans s’est réduit, passant de 28% en 1975 à 10% en 2000, et celui des femmes de 55 à 59 ans a crû de 43% à 46%.
Depuis le début des années 2000, le taux d’activité des personnes de plus de 55 ans augmente

Entre 2000 et 2011, la progression du taux d’activité des 60-64 ans a été dumême ordre en France que dans l’ensemble de l’Union européenne à 27 (9 points) et, pour les 55-59 ans, elle a été en revanche légèrement supérieure (de 16 points contre 13 points en moyenne dans l’UE 27).
Alors que l’activité des personnes de 60 à 64 ans diminuait régulièrement depuis 1975, elle est repartie à la hausse depuis le début des années 2000, notamment sous l’effet des réformes des retraites de 1993, 2003 et enfin de 2010, qui ont durci les conditions d’accès à la retraite à taux plein. Les réformes de 2003 et 2010 ont par ailleurs créé, avec le dispositif de la surcote, une incitation financière à prolonger son activité au-delà du taux plein. En dix ans, le taux d’activité de la tranche d’âge des 60-64 ans a augmenté de dix points pour atteindre 20% en 2011, soit un taux comparable à celui de 1985. C’est pour les personnes de 60 ans que la progression a été la plus forte récemment: leur taux d’activité s’est accru de 10 points entre 2003 et 2011, dont 6 points sur le second trimestre de l’année 2011, principalement sous l’effet du report de l’âge légal de la retraite à 60 ans et quatre mois au 1er juillet 2011 pour la génération née entre le 1er juillet et le 31 décembre 1951. Le taux d’emploi des 60-64 ans a quant à lui progressé de 9 points entre 2000 et 2011, et s’élève à 19% en 2011.
Le taux d’activité des personnes de 55 à 59 ans a encore plus progressé au cours de la dernière décennie. En 2011, il s’élève à 69%, contre 53% en 2000. La hausse a été plus forte pour les femmes (19 points) que pour les hommes (16 points), et s’est amplifiée à partir de 2009, en lien avec la forte réduction du nombre de bénéficiaires de dispositifs de cessation anticipée d’activité à financements publics (en particulier des dispenses de recherche d’emploi – DRE – et des départs anticipés pour carrière longue) depuis 2009. Le taux d’emploi des 55-59 ans a quant à lui progressé de 15 points entre 2000 et 2011, et s’établit à 64% en 2011.
Entre 2008 et 2011, le taux de chômage des 55-64 ans a fortement augmenté

En France, le taux de chômage des 55-64 ans est légèrement inférieur à la moyenne européenne en 2011 (6,5% contre 6,8% dans l’UE 27 et 6,7% dans l’UE 15). Entre 2008 et 2011, il a crû de 1,9 point en Francecommeen moyenne dans l’UE 27, et de 1,5 point dans l’UE 15. Le taux de chômage est structurellement plus bas pour les personnes de 55 à 64 ans que pour les personnes plus jeunes, en partie à cause des dispositifs de retrait d’activité existant à ces âges, mais aussi du poids relativement important dans cette tranche d’âge des indépendants et, pour les salariés, des emplois stables. En 2011, il s’élève à 6,5% contre 9,3% pour les 15-64 ans. L’écart était beaucoup plus faible dans la seconde moitié des années 1970. Il a augmenté régulièrement pendant la première moitié des années 1980, sous l’effet des préretraites et de l’abaissement de l’âge légal de la retraite, et depuis, le taux de chômage des 55-64 ans a toujours été d’au moins deux points plus bas que le taux de chômage global.
Le taux de chômage des 60-64 ans a connu une évolution particulière: du début des années 1980 à la fin des années 1990, il est resté très bas, proche de 2,5%, quelle que soit la situation conjoncturelle. À partir de 2003, la durée de cotisation permettant un départ en retraite à taux plein a été progressivement relevée, l’âge légal de la retraite restant toutefois fixé à 60 ans. Ce facteur a pu contribuer à la hausse du taux de chômage des 60-64 ans. En 2005, il s’établissait à 5%, proche du taux de chômage des 55-59 ans (5,3%).
Entre 2008 et 2011, les 55-64 ans n’ont pas été épargnés par la hausse du chômage: les taux de chômage des 55-64 ans et des 15-64 ans ont augmenté de 1,9 point chacun. La hausse a été de 2,2 points pour les 55-59 ans, et de 0,9 point pour les 60-64 ans. La crise n’est pas la seule responsable de la hausse du chômage des 55-64 ans: à partir du 1er janvier 2009, l’âge minimal pour bénéficier de la dispense de recherche d’emploi a été progressivement relevé, de 57 à 60 ans; les seniors sans emploi, auparavant dispensés de recherche, ont été plus nombreux à rechercher activement un emploi et par conséquent classés comme chômeurs au sens du BIT, ce qui semble confirmé par la forte augmentation, de 2009 à 2011, des taux de chômage des personnes de 57 à 59 ans [Dares, 2012]. Les taux de chômage de ces âges ont même dépassé celui des personnes de 55 ans: alors que ce dernier se situe à 6,3% et a augmenté de 0,9 point depuis 2008, le taux de chômage des personnes de 57 ans se situe à 7,8% en 2011 (8,3% pour les personnes de 58 ans) et a augmenté de 2,7 points entre 2008 et 2011 (de 4,4 points à 58 ans). Pour autant, le taux d’emploi des 55-59 ans n’a cessé de progresser: entre 2008 et 2011, il a augmenté de 2,6 points par an en moyenne, contre 0,9 point par an entre 2000 et 2008.
En 2011, 36% des 55-59 ans n’ont pas d’emploi et parmi eux un sur six déclare souhaiter travailler

La suite de l’étude se concentre sur les plus de 55 ans sans emploi, et au sein de ces derniers, sur les 55-59 ans, pour qui la sortie vers la retraite n’est pas dans le cas général une option possible dans l’immédiat, et qui sont de ce point de vue comparables aux actifs plus jeunes. 1,4 million de personnes, soit 36% des 55 à 59 ans n’ont pas d’emploi en 2011. La majorité d’entre eux ne souhaite pas travailler: 30% des personnes de 55 à 59 ans n’ont pas d’emploi et ne souhaitent pas travailler. Sur ces 30%, 13% sont retraités, préretraités ou dispensés de recherche d’emploi; 17% sont dans une autre situation d’inactivité, par exemple dans le cadre d’un dispositif d’invalidité ou au foyer.
En 2011, 6,4% des 55-59 ans n’ont pas d’emploi et souhaitent travailler; cette part a augmenté de 2,1 points entre 2008 et 2011, contre 1,2 point pour les 50-54 ans comme pour les 45-49 ans. Trois quarts des 55-59 ans sans emploi qui souhaitent travailler sont chômeurs au sens du BIT, soit la même proportion que parmi les 25-54 ans. Les 55-59 ans qui souhaitent travailler sont cependant plus souvent des « travailleurs découragés » (3,9%) que parmi les plus jeunes (0,8%): ce sont les personnes souhaitant un emploi, disponibles pour l’occuper, mais qui n’en recherchent pas car elles estiment que ce n’est pas le moment, ou que leur âge est un frein pour trouver un emploi, ou qu’il n’y a pas d’emploi disponible dans leur domaine de compétence. L’indisponibilité pour raison de santé est également plus courante chez les 55-59 ans que chez les plus jeunes: 8,8% des 55-59 ans souhaitant travailler sont concernés, contre 6,8% des 25-54 ans souhaitant travailler.
Les 55-59 ans qui souhaitent travailler sont principalement d’anciens ouvriers ou employés

Parmi les 55-59 ans qui souhaitent travailler, 98% ont déjà exercé une activité professionnelle régulière. Deux tiers sont d’anciens ouvriers ou employés, alors que ces emplois ne représentent que 47% des emplois occupés dans cette tranche d’âge. Ces écarts s’expliquent par des risques de perte d’emploi plus ou moins élevés selon la catégorie socioprofessionnelle. Ils ne sont pas propres à cette classe d’âge: 72% des 25-54 ans souhaitant travailler et l’ayant déjà fait sont d’anciens ouvriers ou employés. À l’inverse, les 55-59 ans en emploi sont plus souvent cadres, professions intermédiaires ou non-salariés. Les anciens ouvriers non qualifiés sont particulièrement surreprésentés parmi les 55-59 ans souhaitant travailler: leur part y est deux fois plus importante que dans les emplois occupés de cette tranche d’âge. Ceci est cohérent avec le fait que les 55-59 ans souhaitant travailler sont moins diplômés que leurs homologues en emploi: en 2011, 14% ont un diplôme de l’enseignement supérieur, contre 23% des 55-59 ans en emploi.
Plus de la moitié (54%) des 55-59 ans souhaitant un emploi et qui en occupaient un auparavant travaillaient dans l’industrie, la construction ou le commerce contre 38% des emplois occupés par cette classe d’âge. Les 55-59 ans en emploi sont beaucoup plus nombreux à travailler dans l’administration publique, l’enseignement, la santé ou l’action sociale (35% contre 22% des 55-59 ans souhaitant travailler, figure 9). Dans la fonction publique, le risque de chômage est a priori inexistant, sauf pour les non-titulaires, et par ailleurs, pour certaines catégories d’agents dites actives, il est possible de partir à la retraite avant 60 ans. Ceci conduit logiquement à une sous-représentation de l’administration publique dans les secteurs occupés antérieurement par les 55-59 ans souhaitant travailler. Les 25-54 ans souhaitant travailler sont également issus en majorité de l’industrie, de la construction ou du commerce (54% des emplois antérieurs, contre 42% des emplois occupés dans cette tranche d’âge).
Entre 55 et 59 ans, les licenciements constituent de loin le premier motif de départ du dernier emploi (figure 10). En 2011, 39% des 55-59 ans souhaitant travailler et l’ayant déjà fait étaient sans emploi suite à un licenciement, 26% à une fin d’emploi à durée limitée, 11% à une rupture conventionnelle, 10% à une rupture suite à une maladie et 6% à une démission. Les 25-54 ans sont quant à eux beaucoup plus concernés par les fins d’emploi à durée limitée et dans une moindre mesure par les démissions.
Le taux de retour à l’emploi des chômeurs quinquagénaires progresse Lorsque l’âge augmente, les retours à l’emploi deviennent de moins en moins fréquents: alors qu’à 30 ans, sur la période 2009-2011, 25% des personnes sans emploi (qu’elles se déclarent « chômeuses » ou « inactives ») ont retrouvé un emploi un an après, à 45 ans elles ne sont plus que 19%, et à 55 ans, 8%.
Parmi les personnes sans emploi, celles qui se déclarent « chômeuses » sont plus proches du marché du travail que celles qui se déclarent « inactives ». Avant 55 ans, la part de personnes qui retrouvent un emploi parmi les « chômeurs » baisse régulièrement lorsque l’âge augmente (37% à 30 ans, 30% à 45 ans et 11% à 55 ans, figure 11), tandis que la part de personnes qui restent au chômage augmente symétriquement. Après cet âge, la baisse du taux de retour à l’emploi s’accentue, compte tenu des possibilités de sorties vers d’autres situations (préretraites et retraite): entre 60 et 64 ans, les sorties du chômage se font davantage vers l’inactivité que vers l’emploi.
Le taux de retour à l’emploi des « chômeurs » quinquagénaires a progressé au cours des dernières années. Le taux de retour à l’emploi des « chômeurs » de 50-54 ans était de 23% sur la période 2004-2008; il s’établit à 27% sur la période 2009 - 2011, se rapprochant ainsi de celui des « chômeurs » de 45-49 ans. Quant aux « chômeurs » de 55-59 ans, leur taux de retour à l’emploi est passé de 8% sur 2004-2008 à 11% sur 2009-2011. Une analyse toutes choses égales par ailleurs sur des transitions trimestrielles confirme le rapprochement des taux de retour à l’emploi des 45-49 ans et des 50-54 ans.
Plus de la moitié des personnes de 55 à 59 ans qui ont retrouvé un emploi en tant que salariés travaillent à temps partiel

Parmi les personnes de 55 à 59 ans sans emploi ayant retrouvé un emploi un an après, 14% sont à leur compte; c’est du même ordre de grandeur que chez les personnes entre 30 et 55 ans. Parmi les 55-59 ans qui ont retrouvé un emploi en tant que salariés, 50% travaillent en contrat temporaire (CDD, intérim). Là encore, il ne s’agit pas d’une spécificité liée à l’âge, puisqu’après 30 ans, entre 50 et 54% des personnes retrouvant un emploi sont en contrat temporaire. Ce type de contrat ne représente cependant que 6% des emplois salariés occupés par les 55-59 ans, et entre 6 et 12% des emplois salariés occupés après 30 ans. La part des contrats aidés dans les emplois retrouvés progresse avec l’âge: ces contrats représentent 9% des emplois retrouvés entre 45 et 49 ans, 13% entre 50 et 54 ans et 16% entre 55 et 59 ans.
Les seniors retrouvent plus souvent des emplois à temps partiel: 56% des personnes de 55 à 59 ans qui ont retrouvé un emploi en tant que salariés sont à temps partiel, contre 34% entre 30 et 34 ans. Cette proportion augmente régulièrement avec l’âge. Ceci s’explique d’une part par un effet d’offre de travail: avec l’âge, les personnes recherchent de plus en plus un emploi à temps partiel. En 2011, c’est le cas de 23% des 55-59 ans qui recherchent un emploi, contre 11% des 30-34 ans. Cette situation tient d’autre part à des effets de demande. Ainsi, les contrats aidés du secteur non marchand correspondent fréquemment à des emplois à temps partiel. Au final, on observe plutôt une tendance à l’augmentation du sous-emploi avec l’âge: alors qu’entre 30 et 34 ans, 18% des personnes qui ont retrouvé un emploi salarié sont en sous-emploi (hors chômage technique et chômage partiel), entre 55 et 59 ans elles sont 28% dans cette situation, et l’augmentation se fait progressivement lorsque l’âge augmente. Les personnes en sous-emploi peuvent chercher un autre emploi qui leur conviendra mieux, ou souhaiter travailler plus dans le cadre de leur emploi actuel. Si la part des premières est globalement stable quel que soit l’âge (de 6 à 8% environ), la part des secondes augmente régulièrement avec l’âge: entre 55 et 59 ans, 20% des personnes sont en sous-emploi sans rechercher ailleurs, contre 12% des 30-34 ans. Suite...

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTY-S0WB8tUeDLqhhl-9sb2t4kYX4YnFfUaVGJ6gCAduv5UamKP8QqsMg By Stephanie Govillot and Marie Rey. Search and find a job after 55 years.
Summary: In France, the rate of more than 55 years is particularly low, especially for men. For the latter, it fell sharply between 1975 and 2000 as a result of early retirement and lowering the age of retirement, before recovering in the first half of the 2000s, in connection with reforms pensions and early retirement extinction. More...

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