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Formation Continue du Supérieur
30 septembre 2011

Le moteur de recherche des thèses de doctorat françaises, theses.fr

http://www.theses.fr/images/theses.gifLe moteur de recherche des thèses de doctorat françaises, theses.fr, donne désormais accès au signalement des thèses en préparation dans les universités. La description de plus de 65000 thèses en cours depuis 2001, recensées auparavant dans le Fichier central des thèses, est désormais accessible, ainsi que celle de plus de 6000 thèses soutenues en France depuis 2006. Le texte intégral est accessible pour près de 5000 d’entre elles.
Theses.fr
propose deux onglets de recherche:
- toutes les thèses: les thèses soutenues sont identifiés par un pictogramme vert; les thèses en cours par un pictogramme orange. Deux filtres sont applicables à l’ensemble de la base de données pour limiter la recherche aux seules thèses soutenues ou aux seules thèses soutenues accessibles en ligne.
- thèses en préparation:  un filtre permet de limiter aux thèses en préparation dont la soutenance est imminente. Ce filtre ne renvoie aujourd’hui aucun résultat car l’annonce d’une soutenance ne pouvait pas être indiquée dans le Fichier central des thèses, alors qu’elle sera possible dans STEP, la nouvelle application pour le signalement des thèses en préparation qui ouvrira courant octobre.
Theses.fr
  génère une page par personne ou organisme impliqué dans l’élaboration de la recherche doctorale sous réserve que cette personne ou cet organisme soit identifié de manière unique par sa notice d’autorité dans le Sudoc. Ainsi, en un coup d’œil,  il est possible de connaitre les thématiques de la recherche doctorale à l’université Montpellier 1 grâce au nuage de mots construit à partir de l’indexation des thèses, ou de savoir à quel titre M. Denis Apotheloz  est concerné par telle ou telle thèse.
Le chargement de ces nouvelles données a aussi été l’occasion d’apporter des améliorations ergonomiques (par exemple, lors de l’utilisation des facettes, il est désormais  possible de chercher au sein de la liste) et fonctionnelles (de nombreux flux ATOM sont disponibles).
Plus d’informations seront publiées dans les prochains jours sur Punktokomo, le blog technique de l’ABES. Vous pouvez également nous faire part de vos suggestions et remarques via l’assistance de theses.fr.
http://www.theses.fr/images/theses.gif Wyszukiwarka francuskich prac doktorskich, theses.fr , teraz zapewnia dostęp do zgłaszania prac w przygotowaniu na uniwersytetach. Opis ponad 65.000 prac w toku od 2001 roku, zidentyfikowanych wcześniej w Centralnym Rejestrze tez, jest już dostępna, a także ponad 6000 prac we Francji od 2006 roku. Pełny tekst dostępny jest na około 5000 z nich. Więcej...
30 septembre 2011

Universités: Wauquiez en appelle au privé

http://www.lefigaro.fr/medias/2011/09/30/5c4d3504-eba4-11e0-a91a-1f1eee6ae54c.jpgPar Marie-Estelle Pech. INTERVIEW - Pour le ministre, le maillon faible est le secteur privé qui ne s'investit pas assez dans l'enseignement supérieur. Lancé en 2009, le grand emprunt (ou investissements d'avenir), d'un montant de 35 milliards d'euros, bénéficie à 60% à l'enseignement supérieur et à la recherche. Une liste des premiers lauréats a été dévoilée ces derniers mois, une seconde suivra cet automne.
LE FIGARO. - A quoi vont servir les divers projets («Idex», «Labex» - laboratoires d'excellence -, etc.) primés dans le cadre du grand emprunt ?
Laurent WAUQUIEZ.
- Jamais un gouvernement n'aura autant investi sur la recherche. Ce sont 22 milliards d'euros dans le cadre du programme des investissements d'avenir qui sont consacrés à l'enseignement supérieur, 800 projets ont été déposés, 220 sélectionnés pour le moment pour 11 milliards d'euros. Les universités et leurs laboratoires de recherche primés vont recevoir cette année une avance de 1,3 milliard d'euros. Pour les trois «Idex» lauréats, Bordeaux, Strasbourg, Paris, nous avons décidé avec René Ricol, commissaire général à l'investissement, de leur verser une avance de 10 millions d'euros chacune pour mettre en place leurs projets dès maintenant. Je suis fier de voir que dans certaines disciplines nous avons les meilleurs chercheurs au monde. Si nous voulons rester compétitifs et faire des découvertes pour changer la vie des Français, il faut investir et le président s'y est engagé. Cela permet dans le domaine médical de créer des traitements anti-cancer, d'améliorer les greffes, peut-être de trouver un vaccin contre la maladie d'Alzheimer. D'autres travaillent à un blé qui résiste mieux à la chaleur. Nos chercheurs travaillent sur les technologies des smartphones de demain.
Mais en quoi ces investissements vont-ils changer la vie des étudiants?

Ils auront des amphithéâtres rénovés. On va multiplier les bases de données en ligne avec les cours disponibles, les équipements sportifs, aussi, vont être améliorés grâce à «l'opération campus» lancée en 2008 en complément des investissements d'avenir. Enfin, le principe, à travers les «Idex», notamment, est d'offrir des cursus pluridisciplinaires avec des diplômes plus riches. Les philosophes interviendront en médecine par exemple. Les diplômes d'ingénieurs, de gestion et de techniciens se compléteront. Ces passerelles permettront aux étudiants de mieux s'insérer professionnellement.
Les universités craignent que le grand emprunt ne tende à se substituer à leur budget habituel et estiment que les sommes attribuées ne leur permettent pas de faire face aux nouvelles charges engendrées par l'autonomie. Que leur répondez-vous?

En quatre ans, le budget des universités a crû de 25%. L'engagement présidentiel de neuf milliards d'investissements a été tenu. La somme annuelle dépensée par étudiant est par exemple passée de 8430 à 11.430 euros. Et en aucun cas nous ne confondons les investissements d'avenir avec les budgets habituels des universités.
En dépit de l'effort consenti par l'État avec le crédit impôt-recherche (CIR), l'effort de recherche stagne autour de 2% du PIB depuis cinq ans, comment l'expliquez-vous?

Souvent en France, on considère que le secteur public est à la traîne. C'est faux. L'université s'est profondément rénovée ces cinq dernières années et l'État a beaucoup investi. Mon message est simple : bougez-vous messieurs du privé, ne restez pas sur le quai comme des spectateurs. Les entreprises privées doivent participer à l'effort national. Les laboratoires de recherche sont prêts à travailler avec elles. Il faut donc que les entreprises changent leur état d'esprit. En Allemagne, l'embauche d'un jeune doctorant, c'est la norme. En France, le recrutement reste archaïque. Quand je vois certains patrons affirmer qu'ils ne prendront pas de doctorants, je trouve cela absurde. Ils doivent dépoussiérer leurs habitudes.
Un tel appel au privé n'est-il pas illusoire en pleine crise financière?

La meilleure arme contre la crise, c'est d'anticiper. Je compte organiser des rendez-vous réguliers entre chercheurs et entrepreneurs. Par ailleurs, des progrès ont été faits, la coopération entre public et privé n'a jamais été aussi forte. Les laboratoires de recherche public-privé sont en constante augmentation: on en recense 214, dont plus de la moitié ont été créés après 2005. PSA a annoncé en 2010 deux nouveaux partenariats à Marseille et à Bordeaux pour animer toutes ses structures public-privé. De nombreuses universités accueillent par ailleurs des start-up. Les universités ont su s'ouvrir vers le monde socio-économique. Aux entreprises d'être à l'écoute d'universités profondément transformées, loin des clichés du passé.
http://www.lefigaro.fr/medias/2011/09/30/5c4d3504-eba4-11e0-a91a-1f1eee6ae54c.jpg Marie-Estelle PECH. Intervjuu - Sest minister, nõrk lüli on erasektor investeerib piisavalt kõrgharidust. Käivitati aastal 2009, suure laenu (või tulevased investeeringud) on $ 35000000000 eurot, on 60% kõrgema hariduse ja teaduse. Nimekirja esimesed võitjad avati viimastel kuudel, teine ​​jälgib sel sügisel.
Le Figaro.
- Mis teenib erinevate projektide ("IDEX", "Labex" - laborite excellence -, jne.) Võita on suur laen?
Laurent Wauquiez. - Mitte kunagi valitsus on investeeritaks teadustegevusse. See on 22 miljardit eurot investeeringute programmi tuleviku, mis on pühendatud kõrgharidusega, 800 projekti olid esitanud, 220 valitud aega kuni 11 miljardit eurot. Ülikoolid ja teaduslaborid saavad auhindu tänavu ette 1,3 miljardit eurot. Velle...
30 septembre 2011

Nouvelles mesures pour développer l'alternance

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Le développement des contrats d'apprentissage et de professionalisation est un objectif partagé par les pouvoirs publics et les partenaires sociaux. Pour favoriser l'accueil et la formation de jeunes et de demandeurs d'emploi dans ce cadre, plusieurs modifications législatives et règlementaires sont intervenues cette année, notamment la loi Cherpion de juillet dernier.
Pour avoir une vue synthétique de ces changements, en complément de nos fiches techniques juridiques sur ces contrats, nous publions un document qui sera mis à jour et complété au fur et à mesure de la parution des textes d'application. Télécharger le document: Développement de l'alternance.
Pour les entreprises, embaucher une personne en contrat d’alternance c’est participer à la formation de son futur salarié, lui apprendre un métier et l’intégrer à la vie et la culture de l’entreprise.
La formation en alternance, c’est la sécurité de recruter une personne adaptée aux besoins de son entreprise.
Pour les jeunes, les formations en alternance permettent à la fois d'acquérir des compétences théoriques en centre de formation d'apprentis (CFA) ou dans un organisme de formation, et des compétences pratiques en entreprise.
La loi Cherpion du 28 juillet 2011 comporte de nombreuses dispositions visant à favoriser le développement de l’apprentissage et du contrat de professionnalisation. Elle traduit la volonté de l’Etat de faire de l'alternance une arme de lutte contre le chômage des jeunes.
Ce document, qui sera actualisé en fonction de l’actualité réglementaire, fait le point sur l’ensemble mesures visant à développer les contrats en alternance.
MESURES CONCERNANT LES DEUX CONTRATS - COMPENSATION DES CHARGES PATRONALES POUR L'EMBAUCHE D'UN JEUNE SUPPLEMENTAIRE

Jusqu'au 31 décembre 2011, les entreprises de moins de 250 salariés, peuvent bénéficier, pendant un an, d'une compensation des charges patronales pour l'embauche d'un jeune supplémentaire en alternance.
Bonus Malus Alternance

La loi de finances rectificative pour 2011 instaure un bonus-malus pour la contribution supplémentaire à la taxe d'apprentissage (CSA) due par les entreprises de 250 salariés et plus, en fonction de leurs efforts de recrutement de salariés en alternance. A partir de 2012, la contribution sera due si l'entreprise n'atteint pas un quota d'alternants de 4% de l'effectif annuel moyen, au lieu de 3%. Son taux sera modulé selon le pourcentage d’alternants employés pour s’établir à:
. 0,2% des salaires pour un quota d’alternants inférieur à 1% (0,3% des salaires pour les entreprises de 2000 salariés et plus),
. 0,1% des salaires pour un quota de 1% à moins de 3%,
. 0,05% des salaires pour un quota de 3% à moins de 4%.
Certaines entreprises dont le quota sera supérieur ou égal à 3% seront exonérées de CSA en justifiant notamment d'une progression du nombre de leurs alternants. Un décret devrait prévoir le versement d’un bonus aux entreprises dont le quota d’alternant est égal ou supérieur à 4%.
NOUVEAUTES INTRODUITES PAR LA LOI CHERPION
(sous réserve de la publication de textes d’application)
Ouverture des contrats en alternance aux activités saisonnières
Deux employeurs peuvent désormais conclure conjointement un contrat d’apprentissage ou un contrat de professionnalisation en CDD pour l'exercice d'activités saisonnières. Une convention tripartite entre les deux employeurs et le bénéficiaire doit être annexée au contrat.
Renouvellement du contrat chez un même employeur
Un contrat de professionnalisation en CDD est renouvelable une fois dans les cas suivants: échec à l'examen, maternité, maladie, accident du travail ou défaillance de l'organisme de formation. Il est désormais possible de le renouveler une fois, avec le même employeur, pour préparer une qualification supérieure ou complémentaire.
Une POE avant un contrat de professionnalisation
Une Préparation opérationnelle à l’emploi (POE) peut être réalisée avant une embauche en de pro en CDD d'au moins 12 mois.
Poursuite de la formation après la rupture du contrat
En cas de rupture d'un contrat d'au moins 12 mois, le bénéficiaire pourrait continuer à bénéficier, pendant 3 mois au plus, des actions d'évaluation et d'accompagnement et des enseignements nécessaires pour achever sa formation. La rupture ne doit pas être à l'initiative du salarié. Les partenaires sociaux pourront prévoir par accord les modalités de continuation et de financement de ces actions.
Conclusion du contrat par un particulier employeur
À titre expérimental, un particulier employeur va pouvoir conclure un contrat de professionnalisation, sous réserve d’un accompagnement adapté du particulier aux spécificités de son statut. Un accord de branche étendu devra déterminer cet accompagnement adapté, les conditions de financement et l’OPCA chargé de financer.

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Väljaõppe arendamine ja professionaalsemaks on ühine eesmärk valitsuste ja sotsiaalpartnerite vahel. Edendada vastuvõtu ja koolituse noortele ja tööotsijatele sellega seoses mitmed õiguslikud ja regulatiivsed muudatused toimunud sel aastal, sealhulgas õiguse Cherpion juulis.
Ülevaate saamiseks neid muudatusi, lisaks meie juriidiline teabelehed nende lepingute avaldame dokument ajakohastada ja täiendada ja millal avaldamist rakendusmäärustes. Download paber: Development of vaheldumine. Velle...

30 septembre 2011

La VAE en reportage sur les petits écrans

http://www.formanoo.org/html/carif2.gifEvoluer dans son entreprise en obtenant une qualification par la valorisation de son expérience professionnelle. Diriger sa petite entreprise après l’obtention d’une qualification qui s’appuie sur la pratique de plusieurs années. Tels sont les exemples choisis par les télévisions locales pour illustrer la Validation des Acquis de l’Expérience dans les reportages de leurs journaux télévisés.
Gilles VERGERIO est ainsi devenu directeur de l’entreprise de menuiserie-aluminium dans laquelle il travaille depuis près de vingt ans. Embauché en tant qu’ouvrier sans qualification, il a tout appris « sur le tas ». Après avoir connu les divers aspects du métier au sein de cette même entreprise, tels que poseur, technicien, formateur, il entame la démarche de la VAE en 2009, en poussant la porte d’un Point Relais Conseil. Il fait ensuite valider son expérience professionnelle pour acquérir une qualification qui lui permet de prendre les rênes de l’entreprise depuis un an. Pour en savoir plus, visionner le reportage « Sans diplôme, Gilles devient Directeur de son entreprise » diffusé le 14 septembre dans le Journal télévisé de 19h30 d’Antenne Réunion, sur le site Linfo.re.
Fabiola est passionnée de coiffure depuis son adolescence. D’ailleurs, c’est à 15 ans et demi qu’elle donne ses premiers coups de ciseaux. Après un CAP et dix ans d’expérience, elle obtient son Brevet de maîtrise qui lui permet de diriger son salon. Fabiola ne compte pas en rester là. En valorisant son expérience, elle peut également devenir formatrice, ce qu’elle ambitionne dans le moyen terme. Ce reportage illustre l’interview accordée par Marie-Françoise BUZENOT, Chargé de mission à la Cellule Régionale Interservices de la Validation des Acquis de l’Expérience (CRIS-VAE) au Journal télévisé de midi du 16 septembre. En répondant aux questions du journaliste, plusieurs précisions ont été apportées concernant la VAE: les domaines dans lesquels la VAE peut ou non être demandée, le rôle de la VAE dans la reconnaissance de l’expérience professionnelle que peuvent obtenir ceux qui ont commencé à travailler jeunes sans qualification, l’opportunité que la VAE représente dans l’insertion et la ré-orientation professionnelle aujourd’hui. Pour en savoir plus, visionner le reportage diffusé le 16 septembre 2011 dans le Journal télévisé de 12h30 de Réunion Première, sur le site de Réunion Première.
http://www.formanoo.org/html/carif2.gif Evolve in his business by obtaining a qualification by the upgrading of professional experience. Leading his small business after obtaining a qualification based on the practice of several years. These are the examples chosen by local television stations to demonstrate the validation of acquired experience in reporting their news. For more information, view the broadcast September 16, 2011 in the Journal of televised meeting 12:30 First, the site of First Meeting. More...
30 septembre 2011

Guide de l'apprenti en Meurthe-&-Moselle

http://www.inffolor.org/portail/public/sites/all/themes/acquia_marina/images/frontoffice/logo_inffolor.gifIl met à disposition toutes les informations relatives à l'apprentissage pour contribuer à le développer. L'apprentissage concerne tous les niveaux de formation du CAP aux diplômes d'ingénieurs. Classement des CFA par site et par spécialité. Télécharger le guide.
De plus en plus de jeunes choisissent de se former par l’apprentissage. Ouvert aujourd’hui à tous les niveaux de formation, du CAP aux diplômes d’ingénieurs, l’apprentissage constitue une voie qui facilite l’insertion professionnelle. La Région Lorraine propose une offre de formations de qualité diversifiée, assure le financement des CFA, accompagne les jeunes apprentis pour leur permettre de suivre une formation dans les meilleures conditions et aide les employeurs pour encourager l’embauche et la formation.
LES DÉMARCHES POUR DEVENIR APPRENTI
1 • Choisir sa formation

Il est essentiel de bien s’informer avant de s’engager, de prendre le temps de réfléchir à ses projets, d’échanger avec d’autres personnes. Pour cela, il peut être intéressant de rencontrer un conseiller d’orientation-psychologue dans le centre d’information et d’orientation le plus proche de chez soi, à la mission locale, au pôle emploi. S’informer sur le métier et les secteurs d’activité est primordial, sur internet par exemple. Rencontrer des professionnels ou des jeunes en formation est encore une meilleure solution: sur leur lieu de travail, lors de salons des métiers ou de journées portes ouvertes, ils pourront vous parler concrètement de leurs activités.
2 • Trouver un maître d’apprentissage

Trouver l’entreprise d’accueil est la condition absolument nécessaire pour l’entrée en formation. Il faut multiplier les démarches dès le printemps et ne pas s’arrêter au premier refus. Les recherches peuvent êtres directes: connaissances, annonces, internet… ou s’effectuer auprès d’organismes.
Les CFA peuvent éventuellement aider le jeune dans sa démarche et proposer des listes d’employeurs. Ils procèdent à une évaluation du projet à travers des séances d’information, des entretiens, des tests… Les organisations et syndicats professionnels peuvent disposer de listes d’employeurs, tout comme les agences pôle emploi, qui centralisent beaucoup d’offres d’entreprises.
3 • Signer le contrat

Une fois l’entreprise trouvée, un accord est passé entre les différentes parties qui est formalisé par la signature du contrat d’apprentissage. Le formulaire est envoyé ou remis aux employeurs qui en font la demande par le service apprentissage de la CCI. Le contrat est à signer par l’employeur, l’apprenti et ses parents s’il est mineur.
4 • S’inscrire au CFA

Ensuite vient l’inscription administrative au CFA de rattachement dont dépend la formation de l’apprenti. Elle peut se faire par l’apprenti ou directement par l’employeur, sur présentation de la photocopie du contrat.
5 • Débuter son apprentissage

Si le contrat débute à la rentrée de Septembre, l’apprentissage débute en alternant temps en entreprise et temps de cours. Si le contrat débute pendant les vacances scolaires d’été, l’apprentissage peut débuter à temps plein en entreprise (35 ou 39 heures).
Es bietet alle Informationen rund um das Lernen zu helfen, entwickeln sie. Lernen für alle Ebenen der Ausbildung, die GAP-Engineering Grad. Rangliste CFA pro Standort pro Spezialität. Anleitung herunterladen.
Immer mehr junge Menschen wählen, um durch Lernen gebildet werden.
Öffnen Sie heute auf allen Ebenen der Ausbildung, die GAP Engineering Grad, ist das Lernen ein Weg, um die berufliche Integration zu erleichtern. Die Region Lothringen bietet eine qualitativ hochwertige Ausbildung diversifizierte Fonds der CFA, hilft jungen Auszubildenden, damit sie unter den besten Bedingungen trainieren und hilft den Arbeitgebern die Einstellung und Ausbildung zu fördern. Mehr...
30 septembre 2011

CPRDFP: la formation professionnelle en mouvement!

http://www.carif-idf.org/upload/docs/image/jpeg/2011-09/th-55x100-decryptage_1.jpg.jpgLe GIP CARIF Ile-de-France vient de publier son 1er numéro de Décryptage. Découvrez dans ce numéro différents éclairages sur le CPRDFP, Contrat de plan régional de développement des formations professionnelles. Télécharger Décryptage n°1 le cprdfp.
Quels sont les objectifs et les grandes orientations du CPRDFP? Que change la "contractualisation", comment ce CPRDFP s’est élaboré en Ile-de-France? Quels en sont ses acteurs? Quelles sont les thématiques majeures retenues et en quoi celles-ci font écho aux grands enjeux franciliens en matière de développement économique?
Tout savoir sur le Contrat de plan régional de développement des formations professionnelles
Edito

Définir quelles seront demain les filières de formation professionnelles offrant la meilleure garantie d’insertion sociale possible, permettre aux Franciliennes et aux Franciliens, jeunes et adultes, d’accéder à une insertion professionnelle de qualité, leur rendre lisibles les dispositifs de formation, développer les contrats en alternance et la formation des demandeurs d’emploi, telles sont les ambitions du Contrat de plan de développement des formations professionnelles.
Relever les enjeux économiques, sociaux et environnementaux, accompagner les salariés et les demandeurs d’emploi et les adapter à la transformation de notre société et de ses métiers, répondre à l’impératif écologique est encore un des nombreux défis que s’est fixé ce CPRDFP.
Partenaires sociaux, chambres consulaires, représentants des services de l’orientation, lycées, CFA, services de l’Etat et de la Région près de 300 participants ont contribué à la construction de ce plan de développement des formations. Cette très large concertation de tous les acteurs engagés dans le développement de la formation professionnelle en Ile-de-France a permis d’aboutir à des propositions.
Les partenaires signataires de ce contrat se sont d’ores et déjà engagés à mener des actions concrètes: améliorer les conditions d’hébergement des jeunes en formation, mettre en place dans les territoires des journées d’information et de recrutement sur l’alternance, renforcer l’information des conseillers de missions locales et des réseaux d’accueil de jeunes sur les dispositifs existants et les besoins des entreprises.
En Ile-de-France, le CPRDFP entre dans sa dernière ligne droite et devrait être voté d’ici la fin de l’année. Avec la signature de ce CPRDFP, l’Etat et la Région s’engagent durablement à renforcer les moyens humains et financiers en faveur de la formation professionnelle.
Mon ambition est que chaque Francilienne et Francilien trouve à travers la formation une solution durable d’insertion professionnelle et je le fais le voeu que ce CPRDFP contribuera à l’atteinte de cet objectif. Sébastien Pietrasanta, Président du GIP CARIF Ile-de-France, Conseiller régional d’Ile-de-France.
Le CPRDFP en Ile-de-France, une démarche participative guidée par une ambition stratégique

En Ile-de-France, ce contrat s’inscrit dans une stratégie plus large de développement économique de la région. Les questions soulevées par le CPRDFP rejoignent ainsi d’autres priorités politiques du moment: réflexions engagées autour des Etats généraux de la conversion écologique et sociale (EGCES), lutte contre les discriminations, réduction des inégalités territoriales et compétitivité du territoire francilien…
Par ailleurs, le CPRDFP prolonge une contractualisation déjà existante sur le territoire francilien et invite tous les acteurs de la formation à renforcer ces partenariats déjà existants dans le domaine de l’insertion et de la formation professionnelle autour de projets ou d’accords: Accord cadre d’objectifs et de moyens sur l’apprentissage; Convention Etat, Région, Partenaires sociaux du 16 avril 2009 « actions concertées pour la sécurisation des parcours professionnels et la consolidation de l’emploi en Ile-de-France »; Contrat de plan Etat Région (2007 - 2013).
Le CPRDFP est avant tout un outil « opérationnel » au service de tous les Franciliens et c’est cette opérationnalité qui explique en partie l’ouverture en direction de tous les acteurs de la formation.
En Ile-de-France, près de 300 participants ont par leurs contributions écrites permis d’aboutir à un avant projet: représentants des services de l’Etat et des services de la Région, des partenaires sociaux, des chambres consulaires, des représentants des services de l’orientation, des écoles, des lycées, des CFA.
Les travaux se sont organisés autour de thématiques qui sont autant de reflets des préoccupations politiques et sociales actuelles et des grandes orientations en matière de développement des formations. Chaque thématique a fait l’objet de travaux en ateliers qui ont permis de produire 15 fiches Projet opérationnelles, précisant à la fois les objectifs à atteindre et des actions concrètes pour y parvenir.
Des modalités d’évaluation et de suivi accompagnées par le CNFPTLV

Le CNFPTLV, Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie, a mis en place un groupe technique pour accompagner l’élaboration des CPRDFP et proposer au CCREFP des modalités générales de suivi et d’évaluation, comme le prévoit la loi du 24 novembre 2009. « Pertinence, efficacité, efficience et cohérence » seront les quatre principaux critères qui permettront d’évaluer les CPRDFP:
• « Pertinence » : les objectifs font-ils consensus au regard de l’analyse des problèmes à résoudre?
• « Efficacité » : les résultats sont-ils à la mesure des objectifs que se sont fixés les CPRDFP?
• « Efficience » : les résultats sont-ils à la mesure des moyens mobilisés par les différents acteurs?
• « Cohérence » : les moyens mobilisés sont-ils adaptés à ses objectifs?
La version finale du contrat sera examinée au cours du prochain CCREFP du 10 octobre.
Le développement des formations en alternance est un enjeu majeur pour l’Etat. Quels sont vos objectifs?

Les formations en alternance constituent une voie de qualification durable dans l’emploi, qu’elles soient sous statut scolaire, étudiant, stagiaire ou sous forme de contrat de travail. Le plan régional de développement des contrats en alternance devra ainsi concourir à l’atteinte des objectifs nationaux, fixés à 800000 jeunes en contrat en alternance – apprentissage et professionnalisation - en 2015.
Des actions concrètes sont d’ores et déjà identifiées comme la mobilisation des acteurs territoriaux et de l’emploi et de la formation professionnelle pour le développement de contrats en alternance:
- promotion des contrats de professionnalisation notamment pour les publics en insertion et dans les TPE-PME;
- meilleure utilisation des places disponibles en apprentissage;
- création de places supplémentaires en apprentissage;
- renforcement de l’accès des jeunes suivis par les missions locales et des jeunes en situation de handicap aux contrats en alternance;
- prévention des ruptures de contrat.

Et dans les autres régions ?

Elaborés dans le contexte de la crise économique et financière de 2008, les CPRDFP se sont construits autour d’un double enjeu commun à toutes les régions:
• La sécurisation des parcours professionnels en vue de favoriser l’insertion dans l’emploi tout au long de la vie;
• L’anticipation des mutations économiques et le développement des territoires.
Des axes de stratégie, des priorités, ainsi que des secteurs économiques clés ont cependant été définis au regard des spécificités de chaque région.
Depuis mai 2011, plusieurs régions ont signé leur CPRDFP

La première région est celle du Nord Pas-de-Calais avec pour fil rouge de ce contrat « l’élévation pour tous du niveau de qualification professionnelle et sociale ».
La Champagne-Ardenne définit cinq grands axes: la sécurisation des parcours professionnels, l’orientation, le décrochage scolaire, l’équilibre des voies de formation, (notamment en travaillant de concert avec le rectorat), l’accompagnement des publics (matériel, transports, restauration).
L’Alsace se fixe pour priorité de « permettre à chaque individu de construire et de réaliser son projet professionnel en cohérence aves ses aspirations personnelles et les réalités de l’économie régionale ».
La Lorraine, dans la logique de formation tout au long de la vie, décline 4 « parcours »: « formation initiale-premier emploi », « insertion », « mobilité subie-recherche d’emploi », « mobilité choisie-professionnalisation ».
La région Rhône-Alpes définit 2 priorités « permettre à chacun d’accéder à des savoirs et des compétences de base », « améliorer l’accès à l’information et à l’élaboration d’un projet professionnel » en tenant compte des « nouveaux enjeux économiques à l’échelle de la région et des territoires ».
Le CPRDFP de Basse-Normandie s’articule autour de 3 axes « Prospective des métiers, accueil et orientation », «développement de compétences et des qualifications en lien avec les territoires et la « gouvernance ».
Pour le Centre, « Mieux former », « favoriser l’égalité d’accès à la formation » et « promouvoir l’innovation dans la formation » sont les 3 principaux axes du CPRDFP.
La région Limousin s’engage « à offrir à tous les jeunes Limousins une offre de formation professionnelle initiale de qualité et diversifiée dans un rayon moyen de 30 minutes de leur domicile jusqu’au niveau IV (bac) ».
La Haute-Normandie met l’accent sur la « rencontre entre les besoins de compétences des employeurs et les aspirations des « publics à former », la nécessité de « cibler et optimiser » les actions entreprises pour permettre de « trouver des solutions formation pour les situations qui ne sont pas prises en compte par les dispositifs existants » et sur la « capitalisation des outils d’observation, de prospective et d’évaluation ».
D’autres régions ont choisi de repousser la signature d’ici à la fin 2011, dont l’Ile-de-France, la Bretagne, l’Aquitaine, et Paca. Télécharger Décryptage n°1 le cprdfp.
http://www.carif-idf.org/upload/docs/image/jpeg/2011-09/th-55x100-decryptage_1.jpg.jpg GIP CARIF Ile-de-France opublikował właśnie pierwszy numer deszyfrowania. Odkryj w tej kwestii na różnych CPRDFP oświetlenie, kontraktu regionalnego dla rozwoju kształcenia zawodowego. Pobierz rozszyfrowanie nr 1 cprdfp.
Jakie są cele i polityki CPRDFP?
To zmienia "umowę", jak to rozwinęła CPRDFP Ile-de-France? Jakie są aktorzy? Jakie są główne tematy wybrane i jak echo najważniejszych problemów gospodarczych Paryżu rozwoju? Więcej ...
30 septembre 2011

Reconnaître l’engagement bénévole en valorisant les compétences acquises

http://www.strategie.gouv.fr/sites/all/themes/cas/logo.pngEn 2010, 32 % des Français de plus de 18 ans étaient engagés dans une activité bénévole dans le domaine sportif, humanitaire, économique, écologique, culturel ou social. Télécharger la Note d'analyse 241 - Développer, accompagner et valoriser le bénévolat.
Ce nombre, qui ne cesse de croître depuis 20 ans, place la France dans la moyenne européenne et concerne des situations extrêmement diverses (degré d’implication des individus, taille des associations concernées, domaines d’intervention, etc.).
En faisant de 2011 l’année du bénévolat et du volontariat, l’Union européenne visait précisément à encourager l’engagement des citoyens, mais aussi à favoriser l’intégration professionnelle des jeunes. De manière générale, le bénévolat permet de concilier intérêts individuels et intérêts collectifs. Il est cependant confronté aux défis de l’individualisme et du vieillissement de la population, lesquels tendent à modifier les besoins des bénévoles comme des bénéficiaires de leurs actions. Le bénévolat s’inscrit également dans un contexte d’évolution du monde du travail et des modalités d’action des pouvoirs publics, qui invitent à questionner les conditions de son exercice. Dès lors, comment promouvoir l’engagement bénévole et comment soutenir les nouvelles formes de bénévolat adaptées aux mutations économiques et sociétales, sans risquer de trop l’encadrer ou de trop l’institutionnaliser?
Reconnaître l’engagement bénévole en valorisant les compétences acquises
Les associations souhaitent fidéliser leurs bénévoles. Pour ce faire, leur action doit être davantage reconnue, à différents niveaux. Selon le Baromètre opinion des bénévoles de 2010, en matière de reconnaissance, 19% des bénévoles (surtout les plus jeunes) privilégient la prise en compte de leurs compétences professionnelles acquises dans le cadre de leur action bénévole, et 39% des moins de 25 ans sont favorables à une valorisation de leur engagement dans le cadre de leurs études. Les étudiants engagés dans les associations de certaines grandes écoles se voient délivrer par ces dernières des crédits European Credits Transfer System (ECTS). On pourrait envisager de systématiser ce dispositif.
Au-delà de la question financière, l’octroi d’avantages matériels aux bénévoles (trimestres de cotisation, incitations fiscales, etc.) risque pour sa part de dénaturer les valeurs du bénévolat. Nombre de responsables associatifs privilégient des mécanismes de reconnaissance immatérielle, à l’initiative de la campagne d’affichage de la mairie de Paris, qui remercie les bénévoles parisiens.
Néanmoins, une manière de reconnaître et de valoriser les compétences acquises est de faciliter les mobilités professionnelles en prenant en compte les activités bénévoles et ce, quelle que soit la motivation initiale de l’engagement dans le bénévolat.
Des dispositifs formalisés existent. Un premier exemple est fourni par le “passeport bénévole”. Créé en 2007 par l’association France Bénévolat, il permet aux étudiants, aux hommes ou femmes au foyer et aux salariés de faire valider par un responsable associatif leur expérience bénévole.
La validation des acquis de l’expérience (VAE)
offre, sous certaines conditions, la possibilité de faire valoir son expérience bénévole pour obtenir des équivalences de diplômes reconnus par l’État, de titres ou de certificats de qualification professionnelle. Les activités exercées doivent être en lien avec celles décrites dans les référentiels de certification définis par le législateur. Comme le “passeport bénévole”, elle gagnerait à être davantage connue et appliquée.
En la matière, on pourrait aussi s’appuyer sur la liste de huit “compétences clés” dans la formation tout au long de la vie définie par l’Union européenne, et sur les certifications et habilitations correspondant à des compétences transférables que le législateur français a établies.
PROPOSITION 2

Définir, au niveau européen, les conditions pour rendre les engagements bénévoles éligibles à l’obtention de crédits universitaires (European Credits Transfer System [ECTS]).
Des réticences persistent toutefois du côté des employeurs: selon une étude récente, avoir exercé des activités bénévoles pendant leurs années d’études supérieures serait neutre, voire pénaliserait les jeunes dans l’accès à certains emplois(50). On peut penser qu’il existe, en France, un préjugé selon lequel des employés effectuant du bénévolat sont professionnellement moins disponibles.
Une deuxième piste concerne l’accompagnement des bénévoles au quotidien. Des systèmes d’écoute, de partage d’expériences, de suivi de la VAE pourraient être mis en place. Le développement de dispositifs de formation, complémentaires à ceux déjà existants pour les bénévoles employeurs et responsables d’association, semble également important, de même que l’établissement de chartes pour clarifier les missions respectives, au sein de chaque association, entre bénévoles et salariés.
Voir aussi sur le blog: Bénévoles: la VAE en trois points.

http://www.strategie.gouv.fr/sites/all/themes/cas/logo.png 2010, 32% Prantsusmaa inimesed üle 18 aasta tegelenud vabatahtliku töö spordi-, humanitaar-, majanduslikke, ökoloogilisi, kultuurilisi või sotsiaalseid. Lae arutelu märkus 241 - Arendada, toetada ja edendada vabatahtlikkust.
See number, mis kasvab 20 aastat, pannes Prantsusmaa Euroopa keskmisest erinevates olukordades (osaluse määr üksikisikute, suurus asjaomaste ühenduste alad jne)
.
Valideerimine omandatud kogemus (VAE) annab, teatud tingimustel võimet teha oma vabatahtlike kogemus ekvivalentfaktoreid diplomite riigi poolt tunnustatud väärtpaberite või kvalifikatsiooni tõendavad dokumendid. Tegevused peavad olema seotud kirjeldatud sertifitseerimise standardid kehtestatud seadusandja poolt. Nagu "vabatahtlike pass", see väärib rohkem tuntud ja rakendada. Velle...
30 septembre 2011

L’apprentissage à l’Université: un incubateur de réussite!

http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gif79% des diplômés du CFA SUP 2000 trouvent un emploi dans les 6 mois qui suivent la fin de leurs études, c’est ce que révèle l’enquête IPA 2011 «Insertion dans la Vie Active des Apprentis» menée par le CFA SUP 2000 à la demande du Ministère de L’Education Nationale et du Conseil régional d’Ile-de-France. L’enquête a été réalisée entre janvier et février de cette année, auprès de plus de 2200 apprentis diplômés qui ne poursuivent pas leurs études. Avec un taux approchant les 80% d’insertion, le CFA SUP 2000 concurrence le taux de placement des diplômés des ESC qui avoisine les 76% et aussi celui des écoles d’ingénieurs avec 72%.
L’étude menée par le CFA montre ainsi que ces 80% de diplômés (tous niveaux et diplômes confondus) qui ont trouvé un emploi - dont près des 2/3 (63,5%) en CDI - touchent un salaire mensuel moyen de 1600€ net/mois. Si on décortique les chiffres, on constate que les Bac+2 flirtent avec les 62% d’insertion dont 44,5% en CDI avec un salaire moyen de 1270€ net mensuel. Tandis que les Bac+3 et les Licences professionnelles en particulier explosent les statistiques avec 84% d’insertion dont 64% en CDI pour un salaire moyen de 1550€ net mensuel. Les Bac+5 rejoignent le taux d’insertion des ESC ou écoles d’ingénieurs avec un taux de 76,4% de placement, dont 67,5% en CDI avec un salaire moyen de 2000€ net mensuel.
La hausse de 7% de placement (tous niveaux confondus) en comparaison avec l’année dernière est un signe du recul de la crise. Ce taux d’insertion est quasi identique à celui de 2009. Mais surtout, ces salaires de 31200€/an placent les apprentis de Bac+5 presque au même niveau que les jeunes sortant d’une ESC ou école d’ingénieurs avec un salaire moyen annuel brut de 33060€.
44% des apprentis du CFA SUP 2000, tous niveaux confondus, poursuivent leurs études, dont 80% toujours en apprentissage, tandis que le pourcentage de jeunes diplômés des ESC en poursuite d’étude s’établit à 5%. Ce pourcentage de poursuite d’études pour les apprentis est presque doublé au niveau DUT avec 76,4%. Il est de 37% au niveau Licence et tombe à 6% en Master. L’apprentissage reste le mode de formation plébiscité pour la poursuite de leurs études par tous ceux qui l’ont testé.
La reprise de l’emploi est particulièrement nette par rapport à 2010, et rejoint presque le taux de 2009 (80,6%). L’embauche semble être la principale variable d’ajustement du marché du travail, avant le montant du salaire, le statut de cadre ou non, et la durée du contrat de travail.
Devenu une priorité pour l’ensemble des pouvoirs publics, au niveau régional et national, l’apprentissage dans l’enseignement supérieur - à l’université en particulier - a gagné ses lettres de noblesse et concurrence désormais les grandes écoles.

L’apprentissage universitaire permet aux apprentis aussi bien en Licence professionnelle (qui représentent une grande partie des effectifs du CFA SUP 2000) qu’en Master de trouver leur place sur un marché du travail encore fragile, aussi rapidement et dans d’aussi bonnes conditions salariales que les étudiants des grandes écoles.
L’expérience pédagogique originale de l’apprentissage permet d'approfondir les liens entre les entreprises et la formation universitaire, au bénéfice des apprentis. La pédagogie de l’alternance s’inscrit clairement dans un objectif d’insertion professionnelle. C’est une vraie passerelle vers l'emploi.

http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gif 79% of CFA SUP 2000 graduates found employment within 6 months of graduation, that's what the investigation reveals IPA 2011 "Inserting the workforce Apprentice" conducted by the CFA SUP 2000 the request of the Ministry of National Education and the Regional Council of Ile-de-France. The survey was conducted between January and February this year, with more than 2,200 apprentices graduates who are not in school. With a rate approaching 80% of insertion, the CFA SUP 2000 competition the placement rate of graduates of ESC of around 76% and also that of engineering schools with 72%. More...
30 septembre 2011

Nouveau prélèvement de 300 M€ sur le FPSPP: Projet de loi de finances pour 2012

http://www.fpspp.org/portail/LOGO%20FPSPP%20moyen.jpgArticle 63 :
Exposé des motifs:

Le présent article a pour objet de prélever une contribution de 300 M€, en 2012, sur le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) et d’affecter cette contribution à plusieurs organismes intervenant dans le champ de l’emploi et de la formation professionnelle. Les fonds ainsi prélevés contribueront au financement en 2012 de cette politique publique.
Le FPSPP, créé par la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie, est chargé à la fois de recueillir un pourcentage de la participation des employeurs à la formation professionnelle, ainsi que les excédents des organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) au titre de la professionnalisation et du congé individuel de formation, de contribuer au financement d’actions de formation professionnelle et d’organiser la péréquation des sommes dédiées à la professionnalisation et au congé individuel de formation.
La contribution prélevée sur ce fonds sera affectée:
 - à hauteur de 75 M€, à l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) pour le financement, notamment, de la mise en œuvre des titres professionnels du ministère de l’emploi;
 - à hauteur de 200 M€, à l’Agence de services et de paiements (ASP) pour le financement de la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle;
 - à hauteur de 25 M€, à Pôle emploi pour le financement de l’allocation en faveur des demandeurs d’emploi en formation (AFDEF).
%% Http://www.fpspp.org/portail/LOGO 20FPSPP 20moyen.jpg Artykuł 63:
Argument:

Ten artykuł ma na celu zebranie wkładu € 300 milionów w 2012 roku, Fundusz wspólnego bezpieczeństwa kariery (FPSPP) i przypisać ten wkład do kilku organizacji działających w obszarze zatrudnienia i kształcenia zawodowego.
Zgromadzone fundusze pozwolą funduszu w 2012 r., porządku publicznego. Więcej...
30 septembre 2011

Etude - l'enseignement des langues étrangères dans les écoles d'ingénieurs

Logo Une grande diversité de langues obligatoires ou non, est proposée par les écoles. L’ensemble consolidé des écoles enseigne au total 16 langues étrangères différentes: 10 langues européennes, 3 du Moyen-Orient (Arabe, Hébreu, Turc) et 3 d’Extrême Orient (Chinois, Japonais, Coréen). Evidemment, toutes les écoles enseignent l’anglais, 92% l’espagnol, le même pourcentage l’allemand, 71% le chinois et 53% le japonais. Télécharger l'Etude - l'enseignement des langues étrangères dans les écoles d'ingénieurs.
La connaissance d’une langue non-européenne à forte universalité potentielle est une compétence visée par les établissements et souvent les étudiants, et recherchée par les recruteurs.
Evidemment, toutes les écoles enseignent l’anglais, obligatoire selon les dispositions de la CTI. 92% des écoles enseignent l’espagnol, le même pourcentage l’allemand, 71 % le chinois et 53% le japonais.
7 langues ne sont enseignées que dans une école: basque, coréen, hébreu, turc, roumain, suédois et polonais.

Face à l’internationalisation du savoir et de la production technologique, l’école d’ingénieurs se doit de former un professionnel qui réponde aux attentes du marché du marché du travail et aux exigences des recruteurs ainsi qu’aux évolutions de celles-ci. L’ouverture à l’international est donc un besoin, que l’ensemble des écoles assume avec enthousiasme et vitalité. L’enseignement des langues étrangères accompagne cet effort de l’école à l’internationalisation. Il est un indicateur qui permet de mesurer le degré d’internationalisation de l’école...
L’enquête a montré que, pour la presque totalité des équipes de direction des écoles (97%), il est important d’intégrer plus d’une langue étrangère dans le cursus d’ingénieur. La moitié d’entre elles voudrait ajouter une langue de plus à son offre actuelle. La langue la plus fréquement citée dans ce cas a été le portugais (37%). La présente étude prétendait établir une correspondance entre les langues enseignées dans l’école et les pays, ou régions linguistiques, avec lesquels l’école a actuellement des échanges académiques ou de recherche, mais le nombre et la diversité des pays cités sont tels qu’ils ne permettent de dégager des correspondances claires. Néanmoins, les pays le plus cités ont été l’Espagne, ou autres pays hispanophones, l’Allemagne, la Chine et le Royaume-Uni (ce qui correspond aux quatre langues les plus enseignées dans l’ensemble des écoles d’ingénieurs). En revanche, pour les coopérations à venir, on voit se détacher clairement la Chine suivie du Brésil. Les écoles devancent cette tendance et font actuellement un effort important pour intégrer l’enseignement du chinois et du portugais dans le cursus.
Validation des acquis externe à l’école

Le pourcentage des écoles qui font appel à une validation des acquis externe à l’école est de 100% pour l’anglais, suivant les dispositions de la CTI, mais descend très vite pour les autres langues: 32% pour l’espagnol, 33% pour l’allemand, 10% pour l’italien, 3% pour le chinois et le russe et 0% pour le japonais, le portugais et l’arabe.
Logo Erinevaid keeli vaja või mitte, on pakutud koolides. Konsolideeritud kool õpetab kokku 16 erinevat võõrkeelt: 10 Euroopa keelt, kolm Lähis-Ida (araabia, heebrea, türgi) ja kolm Kaug-Ida (Hiina, Jaapani, Korea). Loomulikult, kõik koolid õpetavad inglise, 92% hispaania, saksa, sama protsendi võrra, 71% Hiina ja 53% Jaapani. Lae uuring - võõrkeelte õpetamise koolides insener.
Teadmised Euroopa-väliste keelte millel on suur potentsiaal universaalsus on oskus, mida asutused ja sageli õpilaste ja ihalda värbajate.

Loomulikult, kõik koolid õpetavad inglise, nõutud sätetele CTI.
92% koolides õpetama hispaania, saksa, sama protsendi võrra, 71% Hiina ja 53% Jaapani. Velle...
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