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Formation Continue du Supérieur
31 août 2011

Où s'inscrire à la rentrée quand on a toujours pas d'idées ?

http://www.kelformation.com/images/structure/logo-kf.gifPar Aurélie Tachot. L’été touche à sa fin mais vous n’êtes toujours pas décidé pour votre orientation? Rassurez-vous: il existe des filières vers lesquelles vous pouvez vous tourner, même tardivement. Tour d’horizon de ses possibilités dernière minute.
« Tous les ans, en septembre, nous recevons de nombreux jeunes bacheliers sans solutions pour la rentrée et qui ont peur de faire un choix ou qui ne sont tout simplement pas prêt à le faire », souligne Agnès Bénis, conseillère d’orientation psychologue au sein du Centre d’information et d’orientation (CIO) de Brest. Et pour cause : « l’orientation est une étape cruciale qui requiert une bonne dose de lucidité et de maturité », ajoute-t-elle.
Université : les filières dites « généralistes »

« Plutôt que de perdre une année supplémentaire à réfléchir, mieux vaut s’inscrire dans une filière généraliste à l’université afin de rester dans un cadre d’apprentissage de connaissances », explique la conseillère d’orientation. Non seulement vous acquerrez une bonne culture générale, mais vous développerez également vos capacités d’analyse et de synthèse.
Afin de ne pas vous fermer des portes, ratissez large: privilégiez les formations en lettres, langues, histoire, géographie, économie, AES…, selon votre série de baccalauréat. Ces cursus sont relativement pluridisciplinaires et vous permettront d’engranger des savoirs utiles si vous vous réorientez en fin de première année de licence.
« L’avantage, c’est que les universités - publiques comme privées - acceptent des inscriptions jusqu’à mi-octobre », souligne Michèle Pouliquen, conseillère d’orientation psychologue au sein du CIO de Hyères.
Pour vous inscrire, rendez-vous sur le portail Admission Postbac. La procédure complémentaire, valable jusqu’au 23 septembre, vous permettra de formuler jusqu’à 12 vœux d’orientation. « Et de voir, au jour le jour, le nombre de places restantes au sein des établissements sous contrat », ajoute-t-elle.
Des DUT orientés « secteur »
Si le BTS prépare les étudiants à un métier, « le DUT les forme à une famille de métiers, voire même à un secteur », explique un conseiller d’orientation psychologue du CIO de Toulon. Intégrer un Institut universitaire de technologie (IUT) après le bac peut donc être une solution viable pour ceux qui ont une vague idée du champ d’expertise qu’ils aimeraient apprendre ou développer.
Les DUT Techniques de commercialisation, Information et communication et Génie civil sont ceux qui laissent le plus de portes de sortie. À noter: « il est généralement possible de s’y inscrire jusqu’aux vacances de la Toussaint », explique Michèle Pouliquen. Pour ce faire, rendez-vous sur le site Admission Postbac.
http://www.kelformation.com/images/structure/logo-kf.gif Przez Aurelie Tachot. Lato dobiega końca, ale nadal nie zdecydował się na orientację? Nie martw się: nie są kanały, do których można włączyć, nawet z opóźnieniem. Przegląd jego możliwości last minute.
"Każdego roku we wrześniu, otrzymujemy wiele młodych absolwentów bez rozwiązania dla rozpoczęcia i boją się dokonać wyboru lub po prostu nie są przygotowane do zrobienia", powiedział Błogosławiony Agnes, psycholog doradca zawodowy Centrum Informacji i skierowań (MKOl) z Brest. I nie bez powodu "orientacji jest ważnym krokiem, który wymaga wiele wglądu i dojrzałości", dodaje
. Więcej...

31 août 2011

Les Régions au cœur de l’éducation

http://www.arf.asso.fr/wp-content/uploads/2011/08/Capture-d%E2%80%99%C3%A9cran-2011-08-31-%C3%A0-12.49.55-579x594.pngLes Régions investissent massivement dans l’éducation et la formation des jeunes et des adultes. Ces deux secteurs constituent, de très loin, leurs budgets les plus importants. En cette rentrée 2011 marquée par de nouveaux désengagements de l’Etat,  l’ARF a souhaité présenter l’action volontariste des Régions qui va bien au delà de leurs strictes compétences en la matière. Pour en savoir plus, consultez le dossier de presse de rentrée scolaire: « Les Régions au cœur de l’éducation », Annexe 1, Annexe 2.
Extraits

L’investissement des Régions dans l’éducation et la formation va bien au-delà des obligations inscrites dans la loi.
Ce que dit la loi:
la Région a la responsabilité de la planification de formations, au travers notamment du « schéma prévisionnel des formations » et du « plan régional de formation professionnelle » (PRDF) qui intègre la formation initiale des jeunes, sous statut scolaire ou sous contrat d’apprentissage, et la formation continue des adultes à la recherche d’un emploi ou d’une réorientation professionnelle.
En 2011, le «Contrat de plan régional de formation professionnelle» (CPRDFP) se substitue au PRDF. Signé pour une durée de six ans entre l’État (recteur et préfet) et le président du Conseil régional, il a pour objet de définir une programmation à moyen terme des actions de formation professionnelle des jeunes et des adultes et d’assurer un développement cohérent des filières de formation professionnelle initiale et continue.
4,6 Mds €. C’est la somme investie par les Régions en 2009 pour les lycées, soit une hausse de 11% depuis 2004. Si on y ajoute l’enseignement supérieur, cela représente 24% du total des budgets des Régions de métropole.
Enfin, les crédits consacrés à la formation continue baissent, année après année, alors que former les enseignants aux nouveaux usages numériques et les assister dans l’utilisation quotidienne des outils est la condition absolument nécessaire pour que la France rattrape son retard dans le développement des technologies de l’information et de la communication pour l’éducation.
Le champ du CPRDFP est le plus souvent très large (incluant les enseignements technologiques, la formation continue, l’orientation) car il vise à renforcer l’articulation des approches en termes d’économie, d’emploi et de formation, ainsi que la sécurisation des parcours professionnels. Au 14 juillet 2011, 11 CPRDFP ont été signés (alors que la loi prévoyait le 1er juin 2011 comme date butoir): Alsace, Centre, Champagne-Ardenne, Languedoc-Roussillon, Limousin, Lorraine, Nord-Pas-de-Calais, Basse-Normandie, Haute-Normandie, Pays-de-la-Loire, Rhône-Alpes. Une 2e vague de signatures devrait avoir lieu à l’automne après d’ultimes négociations, du fait de l’absence d’engagements ou de représentation unique de l’État.
Une clarification du rôle des acteurs est permise par la suppression de la fonction d’acheteur de formations de Pôle Emploi. Les interventions respectives des partenaires sociaux et des Régions sont précisées sur la formation des demandeurs d’emplois et la formation continue des salariés.
En matière de formation continue des salariés, l’intervention des Régions est centrée sur les mutations économiques et sur la lutte contre les inégalités. Le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) est pour partie régionalisé. Il est co-piloté par les partenaires sociaux et les Régions, afin d’assurer une bonne cohérence entre politiques de formation et développement économique.
Piirkondades on suuri investeeringuid hariduse ja koolituse noortele ja täiskasvanutele. Need kaks sektorit, mis on kaugelt nende eelarved on suurimad. Sügisel 2011 tähistatud uus riik tagasivõtmise, ARF soovis esitada positiivsed meetmed piirkondade, mis ületab nende range pädevuse kõnealuses küsimuses. Lisateabe saamiseks vaadake vajutage kooli tagasi: "Regioonide südames haridus", lisa 1, lisa 2.
Väljavõtted

Regioonide Investment hariduse ja koolituse laiem tulenevate kohustuste seadus.

Mida seadus ütleb: Region vastutab planeerimise, väljaõppe, eelkõige "muster prognoositud koolitus" ja "piirkondlik kutseõpe" (FDSR), mis ühendab koolitust noorte koolisüsteemi või leping praktikat, ja täiendõppe täiskasvanutele, kes otsivad tööd või karjääri muuta.

Aastal 2011, "Lepinguline piirkondliku kutsehariduse" (CPRDFP) asendab FDSR.
Sõlmitud kuueks aastaks valitsuse vahel (president ja Reeve) ja Assotsiatsiooni president, selle eesmärk on määratleda keskmise tähtajaga programmi kutseõppe noortele ja täiskasvanutele ning tagada jätkusuutlik ühtset kutseõppe kursuste ja veelgi. Velle...
31 août 2011

Etudier à l'université

lesmetiers.netBientôt bachelier ou déjà titulaire d’un diplôme de l’enseignement supérieur, l’université vous tente? Partez à la découverte des multiples formations universitaires, de la vie étudiante et des débouchés.
Introduction.
Vue comme l’institution idéale pour acquérir une solide culture générale ou un savoir spécialisé, l'université est devenue de plus en plus professionnalisante. Son défi et sa promesse : produire les compétences dont la société a besoin.
Repère

En France métropolitaine et dans les départements d'Outre-Mer, on a recensé à la rentrée 2009, un peu plus de 2230000 étudiants inscrits dans l'enseignement supérieur dont 1250000 en université (hors IUT).
L'université ne date pas d'hier. Le terme remonte à l'Antiquité et la première université en Europe a été fondée à Bologne en 1088!
A ce jour, la France, métropole et départements d'outre-mer compris, compte 83 universités. Elles sont au nombre de 17 implantées en Ile-de-France, auxquelles s'ajoutent deux grands établissements universitaires (INALCO et IEP), l’ensemble réparti en 3 académies: Créteil, Paris et Versailles.
Les universités franciliennes diffèrent par leur taille. Ainsi, l'université de Marne-la-Vallée compte 11 000 étudiants contre 38 300 à Paris. Elles se distinguent aussi par leurs offres de formation, pluridisciplinaires ou à dominante scientifique, comme l'université Paris VI.
En France les enseignements universitaires sont répartis en grands domaines comprenant des disciplines ou groupement de disciplines ; droit, sciences politiques, sciences économiques, gestion, lettres, langues, sciences humaines et sociales, sciences de la nature et de la vie, médecine, art, technologies, recherche, santé… Les licences sont signalées par des mentions, les masters par des spécialités.
Deux universités peuvent proposer une même licence sous des appellations différentes. Pour vous repérer, découvrez la liste des licences proposées en Ile-de-France dans la rubrique Les grands domaines et les diplômes.
Depuis 2007, trois principes permettent d'offrir aux étudiants une orientation plus progressive et ainsi faciliter leur mobilité:
- la réforme LMD (Licence, Master, Doctorat);
- le système européen de crédits (ECTS - European credit transfert system);
- l'organisation des formations en semestres et en unités d'enseignement (UE).

Les universités franciliennes.

Chaque université de l'Ile-de-France ayant la possibilité de définir ses propres domaines de formation, il est important de prendre connaissance de leurs offres respectives
En Ile-de-France, au 1er janvier 2010, les universités Paris II, Paris V, Paris VI, Paris VII, Paris XI, Paris XII, Paris XIII, Versailles-Saint Quentin, Cergy-Pontoise et Marne-la-Vallée sont devenues autonomes. Elles gèrent les ressources humaines et la masse salariale.

Université d'Evry Val d'Essonne.

Panorama: les chiffres, les diplômes.
Université, mode d’emploi.
Les grands domaines et les diplômes.
La vie étudiante.
Les débouchés, l'insertion professionnelle.
Glossaire.
Liens utiles.

Soon or already have bachelor degrees in higher education, the university tempt you? Discover the many university courses, student life and opportunities.
Introduction
Seen as the ideal institution to acquire a broad general or specialized knowledge, the university has become more and more professional. The challenge and promise: to produce the skills the company needs.
Landmark
In France and the overseas departments, there were in September 2009, just over 2.23 million students enrolled in higher education with 1.25 million in college (excluding IUT).
The university did not start yesterday. The term dates back to antiquity and the first university in Europe was founded in Bologna in 1088! More...

31 août 2011

Les travaux d’élaboration du CPRDFP en Aquitaine

http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/publication/photo_publi/couv_lettre_acm.jpgLa loi relative à l’orientation et à la formation tout au long de la vie du 24 novembre 2009 a fait évoluer le cadre institutionnel de la coordination des politiques en matière de formation en renforçant la portée du PRDFP (Plan régional de développement des formations professionnelles). L’Etat et la Région, en concertation avec les partenaires sociaux, doivent ainsi s’accorder autour d’objectifs communs définis au sein d’un CPRDFP (Contrat de plan régional de développement des formations professionnelles) qui sera soumis au CCREFP (Comité de coordination régional de l’emploi et de la formation professionnelle) puis voté par l’Assemblée plénière du Conseil régional avant d’être signé par le Président du Conseil régional, le Préfet de Région, le Recteur d’Académie et le Directeur régional de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt.
En cours de finalisation, le CPRDFP 2011-2014 doit renforcer la stratégie régionale de formation en répondant aux enjeux de compétitivité économique et de cohésion sur les territoires dans un contexte de mutation des emplois et des compétences. En ce sens, il devra enrichir les axes stratégiques de l’actuel PRDFP qui repose, pour rappel, sur les 6 grandes orientations suivantes:
- donner aux aquitains les moyens d’une orientation choisie,
- développer l’accès à la certification et la qualification pour tous,
- contribuer à sécuriser les parcours professionnels,
- répondre aux besoins de l’économie et des entreprises,
- agir avec et sur les territoires,
- faire vivre une gouvernance partagée et pilotée de la formation.
Le CPRDFP veillera à intégrer l’importance du pilotage des différentes mesures contractuelles existantes: COM (contrat d’objectifs et de moyens) apprentissage, contrats d’objectif territoriaux et de branche, COM jeunes….
Enfin, conformément à une circulaire du 22 octobre 2010 qui précisait le cadre global de sa mise en place, le CPRDFP devra se traduire au travers de conventions d’application et de schémas par des mesures et des engagements concrets.
Le diagnostic régional réalisé par l’Oref d’Aquitaine, dans sa mission d’appui aux travaux préparatoires du CPRDFP, met en avant les principaux éléments ci-après :
Démographie.

La forte aaugmentation du nombre de personnes âgées engendrera une hausse importante du nombre de personnes dépendantes, renforçant au cours des prochaines décennies l’enjeu majeur que constitue leur prise en charge et la formation aux métiers des services à la personne.
Economie régionale et effets de la crise.

Le ralentissement de l’activité économique a été particulièrement sensible pour les métiers de l’exploitation forestière et du travail du bois, ceux de la pêche-meraquaculture, de l’imprimerie, du BTP et de l’hôtellerie-restauration avec des hausses remarquables du nombre de demandes d’emplois enregistrées de 2007 à 2010.
Evolution des métiers et besoins en compétences.

En Aquitaine, comme ailleurs, les métiers se « tertiarisent » et se « féminisent » en cohérence avec le repli de l’emploi dans les domaines agricoles et industriels et l’essor des services.
En Aquitaine, près de 40% des métiers sont exercés aujourd’hui par des 45 ans et plus. Les départs à la retraite seront nombreux, notamment dans les métiers de l’agriculture, du tertiaire de bureau et tertiaire spécialisé et du sanitaire et social. Pour ces derniers, les nombreux départs potentiels à la retraite se conjuguent à une forte dynamique de l’emploi.
Formation professionnelle initiale et continue.

Avec 60% des chômeurs aquitains possédant un diplôme inférieur au niveau Bac et plus de 15% de la demande d’emploi non qualifiée, la poursuite des efforts de qualification s’avère majeure pour sécuriser les parcours des publics les
plus éloignés de l’emploi.
Le diagnostic préalable au CPRDFP

Conformément à la circulaire de mise en oeuvre des CPRDFP, Aquitaine Cap Métiers en tant qu’Oref d’Aquitaine, a été mobilisé pour assurer la production d’un diagnostic régional comportant aussi bien des données du marché de l’emploi gérées par la Direccte que des données de formation initiale gérées par le Rectorat, les résultats de l’enquête BMO…
Un travail d’analyse a donc permis de reprendre ces différents éléments tout en présentant des projections à l’horizon 2015.
Ce diagnostic préalable à l’écriture du CPRDFP a fait l’objet d’une présentation par l’Oref lors du CCREFP du 31 mars dernier. Il est actuellement téléchargeable ainsi que les annexes qualitatives et quantitatives sur le site: www.aquitaine-cap-metiers.fr (rubrique Observatoire).
Aquitaine
Faisant suite à sa participation active dans le cadre de l’élaboration du PRDFP 2009-2014, le Conseil Economique, Social et Environnemental Régional d’Aquitaine a souhaité s’associer aux travaux d’élaboration du CPRDFP, témoignant ainsi du même souci d’accompagner la préparation de la stratégie régionale pour le développement de l’accès à la formation professionnelle des demandeurs d’emploi...
En conclusion, le Conseil Economique, Social et Environnemental Régional encourage la poursuite de la démarche participative instaurée lors de l’élaboration de ce CPRDFP et espère enrichir les travaux de ses observations et propositions. Dans ce sens, les partenaires sociaux et représentants de la société civile associés aux travaux des commissions réunies pour son élaboration, élargis à l’économie sociale et solidaire, pourraient être également associés au suivi et à l’évaluation annuels ainsi qu’à la détermination des évolutions nécessaires sur la période concernée.
Voir aussi Aquitaine, le diagnostic du CPRDFP.

http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/publication/photo_publi/couv_lettre_acm.jpg Ustawa o orientacji i szkoleniu przez całe życie z 24 listopada 2009 zmieniła ramy instytucjonalne koordynacji polityki w zakresie szkoleń, poprzez zwiększenie zakresu PRDFP (Regionalny Plan Rozwoju Kształcenia Zawodowego). Państwa i regionu, w konsultacji z partnerami społecznymi, i muszą uzgodnić wspólne cele określone w CPRDFP (umowa na rzecz rozwoju regionalnego kształcenia zawodowego), które należy przedłożyć CCREFP (Komitet Regionalne koordynacji zatrudnienia i kształcenia zawodowego), a następnie głosowanie na sesji plenarnej Rady Regionalnej przed podpisaniu przez Prezesa Rady Regionalnej, regionalnych prefekta, Rektor Akademii i Dyrektor Regionalny Żywności, Rolnictwa i Leśnictwa. Więcej...

31 août 2011

Vincent Merle, nouveau président d’Aquitaine Cap métiers

http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/publication/photo_publi/couv_lettre_acm.jpgLe 14 juin, le Conseil d’administration d’Aquitaine Cap Métiers a élu Vincent Merle Président de l’association. Lors de l’assemblée générale qui précédait, Jean-Louis Daguerre annonçait en effet son souhait de ne pas renouveler son mandat de président après avoir, pendant 7 ans, servi l’Arepa puis Aquitaine Cap Métiers.
Professeur au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers), titulaire de la chaire Travail, Emploi, Acquisitions professionnelles, Vincent Merle succède ainsi à Jean-Louis Daguerre qui a d’abord oeuvré à la présidence de l’Arepa de 2004 à fin 2008, travaillant aux côtés du Conseil régional d’Aquitaine et de ses partenaires pour assurer, en 2009, la création d’Aquitaine Cap Métiers.
Bordelais d’origine, Vincent Merle est aujourd’hui un expert reconnu sur les questions relatives à la validation des acquis de l’expérience, à l’orientation, à la formation tout au long de la vie, et au marché du travail.
Il a notamment occupé, dans les années 90, le poste de directeur du Céreq avant d’être, au secrétariat d’Etat aux droits des femmes et à la formation professionnelle, le directeur de Cabinet de Nicole Péry de 1998 à 2002.
Ce 14 juin, Vincent Merle a rappelé que «en 7 ans, Jean-Louis Daguerre a fait un travail remarquable». Les deux hommes se connaissent et s’estiment pour avoir travaillé à l’ANPE dans les années 80.
Il terminait son premier discours de Président en assurant aux adhérents de l’association sa volonté de valoriser à l’échelle nationale le travail réalisé en Aquitaine par les partenaires et équipes d’Aquitaine Cap Métiers.
Le 15 juin, Vincent Merle déclarait au Centre Inffo: «Ma nomination correspond à une nouvelle étape dans la vie d’Aquitaine Cap Métiers (...). Le président du Conseil régional d’Aquitaine, Alain Rousset, a voulu créer en Aquitaine une structure qui soit la préfiguration du service public régional de l’orientation».
http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/publication/photo_publi/couv_lettre_acm.jpg 14. juuni juhatuse Aquitaine Cape Vincent Merle Trades valitud president ühing. Üldkoosolekul mis eelnes, Jean-Louis Daguerre teatas oma soovist tegelikult mitte pikendada presidendi ametiaja pärast 7 aastat, siis oli Arepa Aquitaine Cap käsitöö.
Professor CNAM (konservatooriumis National des Arts et Métiers) esimees Labor, tööhõivele, ettevõtete ülevõtmised, Merle Vincent õnnestub Jean-Louis Daguerre kes esimesena töötas president Arepa 2004 2008 lõpp , tehes koostööd Aquitaine maavolikogu ja tema partnerid tagada, 2009, luua Aquitaine Cap käsitöö
. Velle...
31 août 2011

Le 0800 222 100 à votre écoute

http://www.etoile.regioncentre.fr/webdav/site/etoile/shared/Upload/kogito/images/2010/1011_numero_vert_204.jpgVous vous posez des questions sur la formation professionnelle? Vous avez besoin d’être guidé? Salariés, demandeurs d’emploi et employeurs: le 0800 222 100 vous concerne. Au bout du fil, une équipe de professionnels vous répond.
Une plateforme pour être guidé

Vous songez à prendre un congé de formation ? Vous envisagez de vous reconvertir ? Vous souhaitez recruter une personne en contrat de professionnalisation ? Le N° Vert 0800 222 100 (appel gratuit depuis un poste fixe) vous aidera dans vos démarches. Lancé en avril 2009, ce guichet régional unique répond à toutes vos questions concernant la formation professionnelle. "Un tiers des appels provient de salariés. Nous orientons également des demandeurs d’emploi, des étudiants, des retraités, des professionnels de la formation" explique la coordinatrice et chargée de mission au GIP Alfa Centre. De janvier à septembre 2010, le Conseil Professionnel a ainsi répondu à 4759 personnes. Après les 26-40 ans, les moins de 26 ans sont de plus en plus nombreux à composer le 0800 222 100: de 32% en 2009, ils sont successivement passés de 34% au 2e trimestre 2010 à 36% pour la période estivale. En progression également, les appels des salariés des TPE et des PME : "nous souhaitons particulièrement les toucher parce qu’ils ne bénéficient pas toujours d’un service de ressources humaines. Ce public ne pense pas forcément à nous joindre alors que nous pouvons les aider dans leurs démarches."
Des demandes très variées

Ouverte du lundi au vendredi, la permanence téléphonique est assurée par une équipe du GIP Alfa Centre. CIF, DIF, Visas, VAE, contrat de professionnalisation, apprentissage: elle informe sur tous les dispositifs de formation, que le projet soit encore flou ou que les questions soient précises. Le Conseil Professionnel est également joignable via un formulaire en ligne disponible sur la page d’accueil du site Etoile: "nous traitons ensuite chaque mail et répondons dans les 24 heures." Dans 95% des cas, le 0800 222 100 oriente immédiatement les personnes vers les interlocuteurs concernés (organismes de formation, missions locales, Pôle Emploi, Fongecif, OPCA, etc.) Car les demandes et les profils sont très variés : cette année par exemple, 25% des personnes qui ont composé ce numéro souhaitaient faire évoluer leur carrière et 42% envisageaient une reconversion professionnelle. Comment se qualifier? Comment financer une formation? Qui contacter? Autant d’interrogations auxquelles l’équipe du N° Vert saura trouver une réponse.
Téléphone ou Internet : à vous de choisir !

Gérée par une équipe du GIP Alfa Centre, le No Vert 0800 222 100 est accessible du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h. Le Conseil Professionnel s’engage à vous renseigner dans les 24 heures. "Nous ne fonctionnons pas comme un centre d’appels, bien au contraire ! Nous prenons le temps nécessaire avec chaque personne." En cas de forte affluence, vous pouvez transmettre votre demande par mail à l’aide du formulaire; en dehors des heures ouvrées, vous avez également la possibilité de laisser un message sur le répondeur.
Pour joindre plus facilement le Numéro Vert et afin de réduire le temps d’attente, vous pouvez contacter de préférence les conseillers pendant les tranches horaires de faible affluence.
Quelques liens pour aller plus loin

>> N° Vert : 0 800 222 100 (appel gratuit depuis un poste fixe). Ce numéro fonctionne de 9h à 12h et de 14h à 17h du lundi au vendredi - Fermeture le mardi après midi et  jours fériés.
>> Le formulaire de contact en ligne (également accessible en cliquant sur le logo N° Vert situé en haut à droite des pages du site Etoile).
You have questions about the training? You need to be guided? Employees, job seekers and employers: the 0800 222 100 you. On the line, a team of professionals answers your questions.
A platform for guidance

Thinking about taking time off for training?
You plan to convert? You want to hire a professional contract in person? The Green No. 0800 222 100 (free call from a landline) will help you in your efforts. Launched in April 2009, the single regional office answers all your questions about training. "A third of calls came from employees. We direct also for job seekers, students, retirees, professional training," says the coordinator and project manager at Alfa GIP Centre. From January to September 2010, the Professional Council has responded to 4759 people. After 26-40 years the age of 26 are more likely to call 222 100 0800: 32% in 2009, they were successively increased from 34% in Q2 2010 to 36% for the summer. Up also calls for employees of SOHO and small, "we want to particularly touch them because they do not always have a human resources department. The public do not necessarily think to contact us so that we can help in their efforts." More...
31 août 2011

La VAE en Martinique

L'expérience permet de construire des savoirs et des compétences au même titre que la formation scolaire, la formation continue des adultes ou l'apprentissage. C'est la reconnaissance du caractère formateur du travail.
Ministère de l’ Enseignement supérieur et Recherche - Licences, licences professionnels, masters… Université des Antilles et de la Guyane - Centre Martinique, Institut Universitaire de Formation Continue (IUFC), BP 7209, 97275 SCHOELCHER CEDEX. 05 96 72 73 32, 05 96 72 73 36, Virginie.Belibi@martinique.univag.fr
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La Validation des Acquis de l'Expérience est un droit individuel qui permet de faire reconnaître ses connaissances, ses aptitudes et ses compétences acquises lors d'expériences professionnelles, afin d'obtenir tout ou partie d'une certification (diplôme, titre ou certificat de qualification professionnelle).
Loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, livre IX du Code du travail (art. L900-1 et suivants) et au Code de l'Education (art. L613-3; L613-4 ; L613-5 et L313-6).

Vous souhaitez valider vos acquis ?
Vous êtes demandeur d'emploi » cliquez ici.
Qui est concerné par la VAE ?
Que peut-on obtenir par la VAE ?
Quelle expérience est prise en compte ?
Peut-on être obligé de faire une VAE ?
Combien coûte une VAE ?
Comment être informé sur la VAE ?
Quel est le parcours de VAE ?
Comment se déroule la VAE ?
Qu’est-ce que l’accompagnement VAE ?

Vous êtes salarié, agent de la fonction publique » cliquez ici.

Qui est concerné par la VAE ?
Que peut-on obtenir par la VAE ?
Quelle expérience est prise en compte ?
Peut-on être obligé de faire une VAE ?
Combien coûte une VAE ?
Comment être informé sur la VAE ?
Quel est le parcours de VAE ?
Comment se déroule la VAE ?
Qu’est-ce que l’accompagnement VAE ?

Vous souhaitez favoriser, mettre en place la VAE
Vous êtes employeur, DRH, responsable de formation » cliquez ici.

Cette page permet aux employeurs du secteur marchand ou non marchand d’être informés sur les principaux outils de développement des compétences.
Capitaliser les compétences
devient un enjeu de compétitivité. L’entreprise dispose d’une palette d’outils qui deviennent des passages obligés de la réussite économique.
Le principe de formation tout au long de la vie (LOI n° 2004-391 du 4 mai 2004 sur la formation professionnelle et au dialogue social, repris par la LOI n° 2009-1437 du 24 novembre 2009 relative à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie) oblige les entreprises à passer d’une approche ponctuelle à une logique de gestion prévisionnelle des compétences. La formation doit dorénavant s’inscrire dans des parcours de professionnalisation.
Les salariés doivent devenir acteur du développement de leurs compétences. Mais pour que cela soit possible, encore faut-il pouvoir leur proposer des trajectoires individualisées d’évolution professionnelle mobilisant toutes les nouvelles ressources formatives.
Concevoir un parcours de la professionnalisation, c’est élaborer un plan de formation individuel en posant des questions simples :♦ Quel emploi aujourd’hui (compétences, expériences, qualification) ?
♦ Quel emploi demain (compétences, expériences, qualification) ?
♦ Quel parcours professionnel pour atteindre l’objectif ?
Cette notion de parcours de professionnalisation met l’accent sur la nécessaire ingénierie de la professionnalisation à développer dans une logique préventive.
La démarche de professionnalisation va souvent de pair avec l’individualisation des parcours. La professionnalisation relance la gestion des compétences. Elle initie le passage:
◊ d’une logique d’organisation qualifiée,
◊ à une organisation qualifiante,
◊ puis à une organisation apprenante : l’entreprise favorise les transferts et la reconnaissance des savoirs par une politique de mobilités (horizontale, verticale, promotionnelle, géographique, de spécialisation).
La professionnalisation est le dispositif central de la réforme de la formation professionnelle continue
: entretien professionnel, projet professionnel, parcours professionnel, contrat de professionnalisation et surtout période de professionnalisation.
La professionnalisation représente une véritable opportunité de revoir le management de la formation et, plus généralement, le développement des compétences.
Le plan de formation est un outil stratégique de développement des compétences. Il est la traduction opérationnelle de la politique de formation de l’entreprise.
Le plan de formation retrace l'ensemble des actions de formation retenues par l'employeur pour les salariés et peut également prévoir des actions de bilans de compétences et de validation des acquis de l’expérience et proposer des formations qui participent à la lutte contre l’illettrisme.
Il peut comporter deux types d’actions :
– Les actions visant à assurer l’adaptation du salarié au poste de travail ou liées à l’évolution ou au maintien dans l’emploi dans l’entreprise (catégorie 1) ;
– Les actions ayant pour objet le développement des compétences des salariés (catégorie 2).

Vous êtes professionnel de l'information conseil en VAE, de la formation et de l'emploi » cliquez ici.
Bienvenue dans l'espace dédié aux professionnels de la Validation des Acquis de l'Expérience
Vous y trouverez une banque de ressources sur la VAE en Martinique:

♦ des informations sur l'organisation de la VAE en Martinique    
♦ des publications : Rubrique Outils et ressouces / Publications VAE.
♦ les textes fondateurs de la VAE : Rubrique Outils et ressouces / Législation.    
♦ des annonces relatives aux Actions de professionnalisation.
Le dispositif de VAE en Martinique

Depuis octobre 2002, l'AGEFMA a été chargée d'animer et de professtionnaliser le réseau des acteurs de la VAE, et d'assister sur un plan opérationnel, dans sa mission de promotion du dispositif de VAE, le Comité de pilotage régional de la VAE, co-piloté par l'Etat et la Région. De par le transfert de compétences en matière de formation professionnelle aux régions (loi n°2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales), la Région Martinique a confié à l'AGEFMA la coordination du dispositif d'information conseil sur la VAE.
Ce dispositif est composé:
- d'un Point Relais Conseil situé à Fort-de-France, lieu neutre d'information sur la VAE, ses modalités d'accès, les procédures de validation, les possibilités de financement. Le Conseiller VAE analyse avec le bénéficiaire la pertinence d'une démarche VAE au regard du projet professionnel et/ou personnel, aide à l'identification de la ou des certification(s) correspondante(s) et enfin, oriente vers les différents organismes appropriés au regard du projet.
- de plusieurs Espaces d'information répondant à un besoin de proximité (Antennes du Pôle Emploi, OPCA, CFPPA, GRETA...) qui délivrent une information globale sur la VAE et oriente le demandeur en fonction de son projet.
Septembre 2010 a vu la création d'une Commission VAE au sein du CCREFP (Comité de coordination régional emploi formation professionnelle) dont le rôle est de développer la VAE en Martinique et de structurer le réseau des acteurs. Cette commission est composée du Conseil Régional, des institutions de l'Etat, des administrations, organisations professionnelles et syndicales.
La nouvelle organisation régionale de la VAE se présente ainsi: Cliquez ici.
Z doświadczenia budowania wiedzy i umiejętności, a także kształcenia formalnego, kształcenia ustawicznego lub kształcenia dorosłych. Jest to uznanie trenera pracy.
Ministerstwo Szkolnictwa Wyższego i Badań Naukowych - Licencje, licencje zawodowe, mistrzów ... Uniwersytet Antyli i Gujany - Martynika Centrum, Instytut Kształcenia Ustawicznego (IUFC)
, BP 7209, 97275 CEDEX SCHOELCHER. 05 96 72 73 32, 05 96 72 73 36, @ Virginie.Belibi martinique.univag.fr.
Walidacja Przed Uczenie się indywidualne prawo, które mogą być uznane wiedzy, umiejętności i kwalifikacji zdobytych doświadczeń zawodowych w celu uzyskania całości lub części dyplomu (świadectwa, dyplomu lub świadectwa kwalifikacje zawodowe).
Społecznego ustawy Modernizacja 17 stycznia 2002 r. Książka IX Kodeksu pracy (art. L900-1 i następne) oraz Kodeksu Edukacja (art. L613-3 L613-4 L613-5 i L313-6). Więcej...
31 août 2011

Mieux comprendre l’alternance pour corriger ses défauts

http://staffingtalk.com/wp-content/uploads/2011/03/manpowergroup-logo.jpgXavier Bertrand a lancé, jeudi 13 octobre dernier le Portail de l’alternance. Ce guichet numérique unique a pour «  double objectif d’informer sur les dispositifs de la formation en alternance et simplifier les démarches administratives pour les jeunes et les entreprises, en proposant une série de services pratiques en ligne », a-t-il expliqué.
Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large et déjà ancienne de simplification administrative: par le biais de ce portail, le formulaire Cerfa est dématérialisé. Ceci signifie que les entreprises peuvent, qu’en moins de 10 minutes, remplir directement le contrat sur Internet, avec une aide informatique facilitant la démarche. Par ailleurs, le formulaire Cerfa lui-même a été simplifié (un item sur 3 supprimé) et la demande de certaines pièces justificatives sera très prochainement supprimée.
Bref, tout est mis en place pour inciter les entreprises à faire appel à une formule qui fonctionne mais qui ne rencontre pas encore le succès escompté. En effet, l‘apprentissage a prouvé son efficacité et suscite lasatisfaction de ceux qui y recourent. Une toute récente étude de l’Apec sur les jeunes diplômés 2010 (dont l’Atelier de l’Emploi s’était fait l’écho) montre que:
- 83% des diplômés de 2010 qui ont suivi au moins une partie de leur formation en alternance ont obtenu un premier emploi au cours des huit mois qui ont suivi, contre 76% des non alternants;
- parmi eux, respectivement 58% et 48% ont trouvé un CDI.
Néanmoins, malgré ses avantages avérés, alors que des publications toujours plus nombreuses s’y intéressent et que les jeunes en alternance se mettent à témoigner en sa faveur, la notoriété de l’alternance reste trop faible. Les candidats manquent et les effectifs stagnent en dépit des incitations:
- seulement 420000 entrées en alternance en 2009-2010;
- les signatures de contrats d’apprentissage et de professionnalisation ont nettement ralenti cet été.
Dans ce contexte, la campagne gouvernementale en faveur de l’alternance se comprend donc aisément. Saura-t-elle corriger l’autre singularité de l’alternance « à la française » ? Car aujourd’hui, l’alternance profite surtout à ceux qui en ont le moins besoin. En effet, il est avéré que les dispositifs d’alternance ne constituent pas une solution miracle à la « polarisation entre une main-d’œuvre jeune diplômée et attractive pour les entreprises etune partie de la jeunesse qui reste en marge du salariatstandard »:
« La France compte chaque année plus de 100000 jeunes qui sortent sans diplôme du système éducatif, soit un jeune sur six [...]. [Mais] l’alternance n’est pas la solution miracle: les dispositifs de l’alternance se révèlent sélectifs et se sont surtout développés pour des formations déjà appréciées des entreprises. Ils n’ont jusqu’à présent pas répondu au problème d’emploi des jeunes les moins diplômés. »
Terra Nova complète
, en se focalisant sur l’apprentissage:
« Si l’apprentissage a explosé sur les segments où les jeunes n’éprouvent pas de difficultés particulières d’accès au marché du travail, il ne s’est pas développé pour l’accès à un premier niveau de qualification :

- 232000 jeunes préparaient un CAP ou un BEP en apprentissage en 1995;
- ils étaient toujours 232000 en 2008;
- leur nombre a baissé substantiellement en 2009 (210000). »
Pour mieux comprendre le phénomène, il convient de l’analyser avec précision. Car, comme le montrent Jean-Jacques Arrighi et Virginie Mora dans un rapport du CEREQ soulignant la diversité des usages des contrats de professionnalisation et d’apprentissage,  « l’univers de l’alternance est un kaléidoscope » (et, si les contrats d’apprentissage et de professionnalisation sont différents, un rapport du Céreq a montré qu’ils sont plus complémentaires que concurrents).
Ce que nous apprend un autre rapport du Céreq, consacré à la démocratisation par l’apprentissage dans l’enseignement supérieur, c’est que si les effectifs d’apprentis augmentent, il n’existe pas de filières qui permettraient aux jeunes socialement défavorisés, voire discriminés, d’accéder aux formations nécessaires à leur insertion sur le marché du travail.
Alors, comment faire évoluer les dispositifs pour qu’ils bénéficient à ceux qui en ont le plus besoin?
Le blog Social Innovation souligne
lui aussi le fait que « les apprentis du haut ne sont pas ceux du bas [et]l’entrée du mode de formation par l’alternance au sein de l’enseignement supérieur ne réduit pas les inégalités entre les jeunes mais aurait tendance à les renforcer ». Son auteur, Catherine Belotti, avance une première piste : elle nous invite à réfléchir « un peu plus finement sur comment valoriser les atouts pédagogiques de l’alternance tout en en faisant bien une solution à nos problèmes d’emploi des jeunes. »
http://staffingtalk.com/wp-content/uploads/2011/03/manpowergroup-logo.jpg Xavier Bertrand launched last Thursday, October 13 Portal alternate. This one-stop digital single for "dual purpose of providing information on the features of the work and training and simplify administration for young people and businesses, offering a variety of convenient online services," he said.
This initiative is part of a broader, long-standing administrative simplification: through this portal, the form Cerfa is dematerialized.
This means that companies can, in less than 10 minutes, completing the contract directly on the Internet with a computer help facilitate the process. In addition, the Cerfa itself has been simplified (one of 3 item removed) and the application of certain supporting documents will soon be deleted.
In short, everything is set up to encourage companies to seek a formula that works but does not meet the expected success. Indeed, learning has proven its efficiency and raises the
satisfaction of those who use it. More...
31 août 2011

Dossier "Usages de la certification par les acteurs de la formation et place du RNCP"

http://www.intercariforef.org/images/photos/0004/img_1139669630656.jpgLes documents référencés dans ce dossier sont disponibles, sur simple demande, auprès du centre de ressources documentaires du Carif-Oref des Pays de la Loire. Pour connaître les modalités d’emprunt et/ou de consultation de ces documents, contacter le centre de ressources: doc@cariforef-pdl.org – tél. 02 40 20 40 16, www.cariforef-pdl.org. Télécharger le dossier Usages de la certification par les acteurs de la formation et place du RNCP. Voir aussi l'article Usages de la certification par les acteurs de la formation et place du RNCP.
Sommaire
- Bibliographie des intervenants
. Pascal Caillaud
. George Asseraf
- Les évolutions du cadre réglementaire de la certification en France
. La place du «diplôme» dans la société française avant la création du RNCP

L’idée d’une prise en main par l’État des affaires d’enseignement a été évoquée dès 1789. Cependant, l’essentiel paraissait alors de doter la République d’un réseau destiné à instruire toutes les classes de la société. L’instruction publique devient un ministère à part entière en 1828, renommé Éducation nationale en 1932. Depuis, traditionnellement, le ministère de l’Éducation nationale est considéré comme le lieu de construction de programmes de formation et de transmission des savoirs.
La notion de diplôme national sanctionnant différents registres de savoirs et conduisant à des types identifiés d’emplois qualifiés s’est imposée lentement. Le diplôme a cependant pris progressivement une énorme influence dans notre organisation sociale. En effet, le diplôme était essentiellement considéré comme une forme d’évaluation en interne de performances scolaires et non comme un signal externe d’accès à l’emploi, d’autant plus que les besoins du marché du travail absorbaient sans grande peine les sortants du système de formation, diplômés ou non.
Avec l’apparition des difficultés d’insertion des jeunes, dans les années 1970, la valeur du diplôme comme signal sur le marché du travail est devenue importante. Parallèlement à ces diplômes d’enseignement général se sont développées, à partir du début du XXe siècle, d’autres certifications, issues du monde de la production, pour répondre au besoin de main-d’oeuvre qualifiée des branches. Dès les années 1920, la grande marge d’autonomie laissée aux instances locales a engendré une fragmentation des métiers en de multiples spécialités et a entraîné une très grande hétérogénéité des contenus des formations et des conditions de leur validation.
Progressivement, diplômes et certifications ont été marqués par une grande variété: diplômes d’État (des ministères de l’Éducation nationale, de l’Agriculture, de la Jeunesse et des Sports…), diplômes d’universités, titres du ministère du Travail, Certificats de qualification professionnelle (CQP) des branches, habilitations, attestations…
. La création du RNCP (loi de janvier 2002) : données de cadrage

La Loi de modernisation sociale de janvier 2002 a mis en place une Commission nationale de la certification professionnelle (CNCP) ainsi qu’un Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), notamment pour gérer et rendre lisible cet ensemble de certifications professionnelles particulièrement composite et plutôt opaque.
Loi n° 2002-73, chapitre II, section, article 134

La Loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 donne à la certification un sens plus large que celui qui avait cours auparavant en créant une nouvelle instance et un nouvel outil exclusivement adressés à tous ce qui a trait à la certification entendue comme document attestant de connaissances et de compétences liées à une activité professionnelle.
. La situation du cadre réglementaire de la certification depuis la création du RNCP

George Asseraf, président de la CNCP, présente les missions de la commission sur le site consacré à la manifestation
Usages de la certification par les acteurs de la formation et place du RNCP du 18 mai 2011. www.certification-orientation.fr/.
. Les certifications professionnelles : nouvelles normes, nouveaux enjeux.
La Loi de modernisation sociale de 2002 a fixé un nouveau cadre réglementaire de la certification mais les réflexions qui ont mené à sa création se poursuivent, liées, en particulier, à l’obligation de dialogue social dans la régulation de l’offre de certification.
De nouvelles évolutions apparaissent, réalisées au nom des principes d’équité, de protection des individus sur le marché du travail grâce à la sécurisation de leurs parcours, mais aussi de hausse du niveau des qualifications professionnelles, de transparence des qualifications et de fluidité du marché du travail. Ces évolutions combinent des valeurs et des intérêts qui s’affrontent sur certains points et se révèlent porteuses de changements profonds.
- Les usages de la certification et du RNCP par les acteurs de la formation professionnelle continue
. Les partenaires sociaux

La transformation des qualifications professionnelles, dans un contexte de mutations technico-économiques, a fait de la formation professionnelle un enjeu central de la négociation collective de branche depuis la fin des années 1980.
En 2008, 119 accords de branche ont été conclus sur la formation professionnelle, abordant principalement l’apprentissage, les Commissions paritaires nationales de l’emploi et de la formation professionnelle (CPNEFP), les Certificats de qualification professionnelle (CQP), l’entretien professionnel, le passeport formation, le bilan de compétences, la Validation des acquis de l’expérience (VAE), le financement de la formation professionnelle continue, le plan de formation, les contrats de professionnalisation et le Droit individuel à la formation (DIF).
. L’utilisation de la certification par les branches professionnelles

Depuis les années 1970, parallèlement au développement de l’offre de certifications professionnelles, les branches et les fédérations d’employeurs mettent progressivement en place des politiques de certification. Au niveau des entreprises, les stratégies sont plus le plus souvent élaborées lorsque la certification est explicitement un argument commercial ou lorsqu’elle permet de défendre une certaine image de l’entreprise. Depuis la Loi de modernisation sociale de 2002, le développement de ces politiques et stratégies s’accélère. L’objectif principal est de répondre aux besoins de qualification.
Il peut s’agir de :
- garantir l’employabilité des salariés et leur ouvrir l’accès au marché du travail,
- gérer les trajectoires d’emploi, principalement pour les entreprises de travail temporaire, les associations d’insertion et d’aide par le travail,
- fidéliser la main-d’oeuvre et internaliser leur parcours professionnel pour une intégration durable des salariés et éviter, ainsi, le turn-over,
- prévenir les restructurations : dans le cadre d’une politique préventive de gestion de l’emploi, certifier les salariés permet d’accroître les possibilités de reconversion dans un espace de mobilités interbranches,
- valoriser des secteurs professionnels, des métiers et des personnels souvent peu considérés, - conférer plus d’objectivité aux pratiques de promotion interne et favoriser la mobilité interne,
- bâtir des passerelles entre les différents métiers d’une même branche,
- accroître le niveau de qualification du personnel pour réduire l’écart entre l’accroissement de la complexité des missions et le déficit de qualification des salariés,
- oeuvrer pour l’avenir des entreprises et du secteur…
. La particularité de la Validation des acquis de l’expérience (VAE)

La Loi de modernisation sociale de 2002 a également institué la Validation des acquis de l’expérience (VAE). Ce dispositif de reconnaissance de l’expérience est de plus en plus utilisé par les entreprises comme un outil de gestion des ressources humaines.
Les acteurs de l’entreprise y voient surtout un moyen de reconnaissance symbolique de l’expérience et du travail à un double titre : symbolique parce que déconnecté de la classification comme l’est, en règle générale, la certification en France ; mais symbolique aussi parce que venant de l’extérieur de l’entreprise, un extérieur disposant d’une grande légitimité sociale en matière de certification.
La certification à laquelle la VAE permet d’aboutir est visée d’abord en tant que reconnaissance par la société tout entière du travail accompli. Par contre, la reconnaissance salariale de la certification semble avoir peu bougé.
. Les branches professionnelles s’investissent dans la construction de l’offre de certification

Les partenaires sociaux jouent un rôle déterminant dans la constitution de l’offre de certification et la diffusion de la norme certificative. La création d’une identité professionnelle, la structuration d’un marché, l’organisation de filières professionnelles… peuvent avoir efficacement recours à des certifications. Les représentants des employeurs et ceux des salariés y trouvent des intérêts communs, au moins au moment de la mise en place de la nouvelle offre de certification.
. Les financeurs, les organismes de formation…

Pour les acteurs de la formation continue que sont les financeurs, l’utilisation du RNCP est considérée avant tout comme un gage de qualité. Dans le cas précis des Régions, il s’avère que l’aide financière qu’elles octroient aux organismes de formation est souvent liée à l’enregistrement des certifications au RNCP. En conséquence, les organismes de formation certificateurs ont tout intérêt à ce que leurs certifications soient référencées afin d’élargir leur marché. Par ailleurs, le financement d’actions de VAE est une utilisation indirecte du RNCP puisque toute certification accessible par la VAE y est enregistrée.
- Le cadre européen des certifications
La politique européenne, dans ses objectifs de constituer un marché unique du travail et d’instaurer une société de la connaissance, souhaite harmoniser les systèmes de certification. Ceci doit permettre la mise en place de signaux homogènes et lisibles permettant de caractériser les compétences possédées par les individus dans l’ensemble de l’Union.
C’est dans ce cadre qu’a été établi le Cadre européen des certifications (CEC), le 23 avril 2008.
Tout comme la Loi de modernisation sociale de 2002, il suscite des réflexions et engendre des évolutions pour le système éducatif, la formation tout au long de la vie et le monde du travail.
http://www.intercariforef.org/images/photos/0004/img_1139669630656.jpg Dokumente, millele viidatakse selles kaustas on kättesaadavad taotluse ressurss kesklinnas CARIF-OREF Pays de la Loire. Teavet selle kohta, kuidas laenata ja/või konsulteerimise Nende dokumentide kontakt keelekeskus: doc@cariforef-pdl.org - tel. +33 2 40 20 40 16, www.cariforef-pdl.org. Lae fail kasutab sertifitseerimine mängijate koolituse ja kuni RNCP. Vt ka artikkel kasutab sertifitseerimine mängijate koolituse ja kuni RNCP.
Kokkuvõte

- Bibliograafia sidusrühmade
. Pascal Caillaud

.
George Asseraf. Veel.
31 août 2011

The Future of Higher-Education Internationalization

http://chronicle.com/img/photos/biz/icons/worldwise-nameplate.gifBy Francisco Marmolejo. Across the world, higher education has experienced dramatic changes in recent years. There is no doubt that it should be viewed in the global context and not solely from a domestic point of view. Internationalization of higher education is no longer just about the mobility of students and signing of international memoranda of understanding. Issues now include the internationalization of curriculum, “brain drain” versus “brain circulation,” the internationalization of research, offering of dual degrees with foreign partners, establishing of branch campuses abroad, involvement of international alumni, creation of international quality assurance frameworks, proliferation of international rankings, increased competition for international students, and the role of recruiting agents. There are just a few of the many changes that higher education is experiencing in a globally interconnected world.
While most practitioners see internationalization as something good for individuals and institutions, specific initiatives can have wide-ranging effects on the parties involved, some positive and some negative. Even the traditional scope of action–mobility of students–and the way internationalization of higher education used to be defined, no longer seem sufficient to address a much more complex and changing reality. What is true is that while internationalization of higher education is here to stay, there is considerable variation in the way it unfolds over time on the regional, institutional, and individual level. Because it is an evolving phenomenon, its meaning can be difficult to pin down. This explains why well respected scholars like Hans de Wit and Uwe Brandenburg, Jocelyne Gacel-Avila, John Hudzik, and many more, have raised legitimate questions about the need to revisit the traditional concept and definition of internationalization of higher education.
As a way to address such concerns, the Paris-based International Association of Universities (IAU) just announced the creation of an ad-hoc international experts group that, according to Eva Egron-Polak, secretary general of IAU, intends “to bring together perspectives from all parts of the world inter alia to: assess the extent to which internationalization activities fit the current conceptual umbrella, to critically examine the causes that are leading to some questioning and even criticism of the concept, and to investigate the ways to address these concerns.”
The IAU group will engage in a broader discussion and analysis of trends and different approaches, and it is expected to suggest a revised understanding of internationalization of higher education. As expressed by de Wit and Brandenburg in the provocative paper entitled “The End of Internationalization,” it is imperative to “move away from dogmatic and idealistic concepts of internationalization and globalization,” and to understand them “in their pure meaning–not as goals in themselves but rather as means to an end.”
At this point some might wonder if internationalization of higher education is really dead.  The answer is evident: it is most definitely not. It is more vibrant than ever. Nevertheless, it has changed and will continue to do so. Paraphrasing Paul Valéry, I may say that what makes us worried about internationalization of higher education is that it is no longer what it used to be. Are we prepared for such a change?
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