Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Formation Continue du Supérieur

10 février 2013

Foreign graduates push locals out of jobs

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Geoff Maslen. Young Australians are facing fierce and increasing competition from foreign-born graduates for a declining number of jobs, according to a new report. The report says it is the Australians who are losing out, given that the 100,000 new jobs created since 2011 have been almost all taken up by migrants, many of whom are foreign students who graduated from Australian universities and have stayed on. The study highlights the problems faced by Western countries – that have attracted high migrant numbers from Asia – when unemployment rates begin to rise. The report says the slowdown in employment growth in Australia is starting to bite on the job situation for the local-born. Read more...
10 février 2013

EU budget negotiations may slash Horizon 2020 funding

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Jan Petter Myklebust. Negotiations in Brussels last week on the European Union’s (EU) long-term budget for 2014-20 could mean a total budget for the Horizon 2020 research programme of €69 billion (US$92 billion) – far short of the €80 billion proposed by the European Commission late last year. During European Council negotiations in Brussels on 8-9 February, the budget for the EU for 2014-20 was proposed by President Heman van Rompuy, with a ceiling of 1% of the gross national index of all 27 EU member states. This would mean a cap at €960 billion – as against €972 billion proposed by Van Rompuy in November – and, adjusted for inflation, a cut in spending to €908 billion. Read more...
10 février 2013

State kicks off plans for world-class universities

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Eugene Vorotnikov. The Russian government has started implementing its ambitious plans to boost the country’s leading universities' performance in the international arena. According to Igor Fedyukin, the deputy minister of education, this year 15 universities will receive special state grants and at the initial stage the subsidies will be worth RUB9 billion (US$270 million). The action is being taken under an existing state programme to develop education from 2013-20 and a special plan to improve leading universities, which was approved by Prime Minister Dmitry Medvedev. The initiative is a response by the government to world rankings of universities. None of Russia’s leading universities appear in the top 100 of the rankings. Read more...
10 février 2013

Chômage partiel: le nouveau dispositif est bouclé

Les EchosPar Leïla de Comarmond. La fusion des deux dispositifs actuels de chômage partiel a été actée jeudi entre l'Etat, le patronat et les syndicats.
Tout n'est pas à jeter dans le futur projet de loi sur l'emploi pour le Medef. Alors même qu'avenue Bosquet, on fulminait contre les projets gouvernementaux sur la transcription de la mutuelle santé pour tous ou la réforme des plans sociaux, des représentants de l'organisation de Laurence Parisot participaient rue de Grenelle à une réunion avec ses homologues patronales et les syndicats sur un sujet aussi consensuel qu'il a fait peu de bruit: celui du chômage partiel.
Dans son article 19, l 'accord du 11 janvier dernier prévoyait une refonte du dispositif actuel en association avec l'Etat. Il actait la fusion des deux dispositifs qui se succèdent actuellement: le régime de base financé par l'Etat et le régime nécessitant la signature d'une convention dite APLD engageant aussi financièrement le régime d'assurance-chômage et assorti d'un engagement de maintien de l'emploi à son issue. Suite de l'article...
Les Echos De réir Leila de Comarmond comhleá. an dá feistí taifeadadh dífhostaíochta páirteach reatha Déardaoin idir an stáit, fostóirí agus ceardchumainn. Níos mó...
9 février 2013

3 questions à propos de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013

Propos recueillis par Géraldine Rieucau et Carole Tuchszirer. 3 questions à Jean-Louis Dayan, à propos de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, Directeur du Centre d'études de l'emploi.
Etes-vous d’accord pour dire qu’il s’agit là d’un accord « historique »?

L’ANI du 11 janvier est une étape, ni anodine, ni véritablement historique, dans le processus de montée en puissance de la flexisécurité, qui a démarré vers 1997 et s’est officialisé en 2007 avec son adoption par la commission et le conseil européens. Ce modèle, dont la logique est de déplacer la sécurité des parcours vers l’organisation du marché du travail, est basé sur quatre composantes: rendre le contrat de travail plus flexible, activer la recherche d’emploi, permettre la formation professionnelle tout au long de la vie et moderniser la protection sociale. Ces composantes doivent en principe évoluer par le dialogue social, ce qui n’était guère le cas avant le précédent ANI de 2008. Lors du précédent accord, les partenaires sociaux, échaudés par les tentatives du CNE et du CPE, avaient écarté l’idée d’un « contrat unique » et ce faisant une refonte du licenciement économique, mais introduit une dose significative de souplesse avec la rupture conventionnelle. Les termes de l’échange avec les syndicats visaient à aménager les conditions individuelles de rupture du contrat de travail sans toucher au droit collectif du licenciement économique.
L’accord modifie t-il cet équilibre?

L’ANI du 11 janvier 2013 vient modifier la donne puisqu’il remet sur le devant de la scène les conditions du licenciement économique, une revendication portée de longue date par le Médef. Les délais sont raccourcis, les procédures simplifiées. Le recours au droit commun du licenciement économique sera moins systématique (réunion avec le comité d’entreprises et constitution du plan de sauvegarde de l’emploi). Sur un plan juridique, toujours en cas de licenciement économique, la volonté patronale de restreindre le pouvoir du juge en favorisant la négociation interne à l’entreprise ou le recours à l’administration a abouti. Outre ces éléments de souplesse, on assiste plus généralement à un rétrécissement du périmètre du licenciement économique avec par exemple l’effacement du contrat de travail devant l’accord collectif sur le sujet de la mobilité interne ou du maintien de l’emploi. Si un accord collectif le prévoit, le salarié qui refuse un autre poste de travail au sein de l’entreprise se verra licencié pour motif personnel, et non économique. Certes l’accord offre de réelles contreparties aux salariés: les droits rechargeables à l’assurance-chômage, le compte personnel de formation, la complémentaire santé. Mais il présente une limite: l’essentiel des avantages concédés aux salariés sont externalisés alors qu’à l’inverse les dispositions introduites en matière de flexibilité sont internalisées. Je regrette ce déséquilibre où les avancées du patronat sont exclusivement dans le contrat de travail, et les avancées majeures des salariés à l’extérieur du contrat de travail.
Pensez-vous que cet accord permettra d’améliorer la situation du marché du travail?

Il manque à cet accord un « bouclage macro-économique ». Je m’explique: le modèle de la flexisécurité est né à la fin des années 90, période où l’on croyait revenir au plein emploi. Au Danemark en 1994, le programme de flexisécurité a été adossé à une politique de relance keynésienne. Nous sommes loin d’une telle dynamique aujourd’hui en France et en Europe; avec la crise, ce modèle perd de sa cohérence car la croissance est insuffisante pour le soutenir et l’on voit mal en quoi il peut lui-même contribuer au développement durable. On peut regretter que cet accord n’ait pas été pensé en termes de croissance durable, et le récent Pacte de compétitivité ne paraît pas être un contrepoids suffisant…
Consulter les derniers numéros:
Trois questions à Annie Jolivet, à propos du contrat de génération
, 22 janvier 2013.
Voir aussi les ANI sur le blog: Les zones d'ombre juridique de l'ANI du 11 janvier 2013, Accord National Interprofessionnel (ANI) du 11 janvier 2013 pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l'emploi et des parcours professionnels des salariés, Historique des ANI (accords nationaux interprofessionnels) relatifs à la formation professionnelle continue: les années 2000, Les 40 ans de la Loi sur la Formation Professionnelle, Accord sur le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP), Avis relatif à l'extension de l'ANI, L'ANI du 8 juillet 2009 sur la gestion sociale de la crise sur l'emploi, Le projet d'ANI (accord national interprofessionne) et la VAE (validation des acquis de l'expérience), Synthèse de l'accord national interprofessionnel - Ani, Négociation formation: un projet d'ANI prend forme.

Interview by Carole and Geraldine Rieucau Tuchszirer. 3 questions for Jean-Louis Dayan, about the national interprofessional agreement of 11 January 2013, Director of the Centre for Employment Studies.
Do you agree that this is a "historic" agreement?
ANI January 11 is a step or trivial or truly historic in the process of rise of flexicurity, which began around 1997 and was formalized in 2007 with the adoption by the European Commission and the Council. More...
9 février 2013

Pour une meilleure articulation entre vie professionnelle et vie familiale

http://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/publications/coll_outils_de_la_GRH/images/Vie-prof-et-vie-privee-2013.pngPar Sandra LAQUELLE, Responsable de projets Bureau RH4 - Expertise internationale, prospective et connaissance des politiques de ressources humaines. Identification des bonnes pratiques des secteurs public et privé en France et à l'étranger.
L’objectif de cette étude est de présenter plusieurs bonnes pratiques visant à équilibrer la participation des salariés - femmes ou hommes - dans leur vie familiale et dans leur activité professionnelle. Les bonnes pratiques ont été identifiées en Europe et à l’international dans les secteurs public et privé, dans plusieurs domaines d’activité (banque, industrie, commerce, télécommunications, conseil aux entreprises). Trois principaux critères de sélection de ces pratiques ont prévalu : leur aspect innovant, leur caractère concret et la diversité des acteurs sur lesquels elles agissent (employeurs, partenaires sociaux, décideurs politiques, salariés du secteur privé, agents du secteur public). Télécharger Pour une meilleure articulation entre vie professionnelle et vie familiale.
Introduction générale

Le principe de l’égalité professionnelle est un objectif inscrit de longue date dans le droit international. La prise de conscience relative aux inégalités entre femmes et hommes a conduit de nombreux pays à se doter au cours des dix dernières années d’un cadre juridique visant à favoriser l’égalité réelle. En Europe, il s’agit d’un principe défendu de manière continue par les instances communautaires, auxquelles on doit en particulier le développement du concept de lutte contre les discriminations sexistes, directes ou indirectes. Au plan national, de nombreuses dispositions législatives et conventionnelles ont affirmé les droits de femmes sur le marché du travail. Récemment, les propositions formulées dans les rapports publics dits Zimmerman (2009) et Guégot (2011) ont notamment conduit à légiférer en faveur d’une représentation équilibrée des femmes et des hommes dans les postes stratégiques dans le secteur privé (loi dite Copé-Zimmermann du 27 janvier 2011) et dans la fonction publique (loi du 12 mars 2012).
L’équilibre vie familiale et vie professionnelle, un enjeu essentiel pour les salariés et les organisations

L’articulation entre la vie personnelle et vie personnelle constitue un facteur déterminant pour faire progresser l’égalité réelle au travail entre les femmes et les hommes. En effet, les ajustements entre travail et vie familiale incombent majoritairement aux femmes et influent sur leur parcours professionnel, ce que confirment notamment les études européennes. Il convient de souligner la spécificité de la France dans ce domaine qui conjugue un fort taux d’activité des femmes (83%) et le taux de fécondité le plus élevé de l’Union européenne avec l’Irlande. Toutefois, ce constat positif doit être tempéré par le fait que les pères continuent de consacrer trois fois moins de temps aux tâches familiales (même si leur participation tend à se rapprocher de celles des femmes) et que 40% des femmes connaissent un changement de situation professionnelle après une naissance, ce qui demeure exceptionnel pour un homme.
Au-delà de la sphère parentale, le déséquilibre de la participation aux tâches familiales trouve sa continuité dans les soins accordés aux ascendants. En effet, les femmes continuent de porter en majorité la responsabilité des soins accordés aux personnes âgées dépendantes puisqu’elles représentent 75% des aidants familiaux (conjointes, filles, belles-filles etc.). Or, une enquête de la DRESS auprès des aidants de l’entourage des personnes âgées dépendantes montre qu’un aidant sur quatre occupant une activité professionnelle s’est vu contraint de prendre des congés pour
assurer ce rôle. De plus, 11% d’entre eux ont dû recourir à des aménagements de la vie professionnelle, tels que le changement d’horaires ou le télétravail.
L’enjeu de la l’articulation entre travail et famille est plus large que le rééquilibrage des responsabilités familiales pour trois principales raisons. Dans un premier temps, il apparaît nécessaire de répondre aux nouveaux besoins issus de la diversification des formes de parentalité (implication des pères, essor des couples biactifs, augmentation du nombre de familles monoparentales). De plus, le vieillissement de la population laisse présager un accroissement important des besoins de prise en charge de la dépendance. Conjugué à l’entrée massive des femmes sur le marché du travail, ce phénomène requiert de repenser le rôle « traditionnel » des femmes dans la sphère familiale sous l’angle de l’égalité professionnelle. Enfin, l’articulation des temps de vie doit intégrer les mutations sociétales telles le développement des nouvelles technologies et l’émergence de nouvelles organisations du travail.
Des progrès en Europe et dans le monde, des efforts qui restent à accomplir Conscientes de l’enjeu, les autorités européennes ont institué par la directive du 8 mars 2010 le droit individuel au congé parental et s’inscrivent ainsi dans un cadre législatif plus égalitaire pour les travailleurs - femmes ou hommes - des Etats-membres de l’Union. En France, en application de cette directive, le décret du 18 septembre 2012 introduit pour les agents de la fonction publique un droit individuel à un congé parental pour les deux parents. De plus, le Pacte européen pour l’égalité hommes-femmes (2011-2020), adopté en 2011 par le Conseil européen, vise à encourager les Etats-membres à promouvoir un meilleur équilibre vie professionnelle et vie familial en améliorant les services de garde d’enfants et l’offre de soins aux autres personnes dépendantes et en développant les arrangements des temps de travail.
Sur le plan international, on observe que 173 pays dans le monde ont mis en place un congé familial. Un rapport de l’Organisation des Nations Unies montre que sur 126 pays analysés, 42 ont mis en place un dispositif légal visant à assurer un congé paternité rémunéré. Au-delà du congé parental, une étude réalisée en 2012 par l’OCDE souligne qu’environ 80% des pays de l’OCDE interrogés ont pris des mesures pour répondre aux besoins spécifiques des femmes enceintes ou allaitantes et 70% d’entre eux ont fournit des solutions de télétravail et des possibilités de travail sur des semaines plus courtes. Environ la moitié des gouvernements interrogés ont mis en place des solutions de garde d’enfants pour les agents du secteur public. Concernant l’aide aux personnes âgées dépendantes, les deux tiers des pays de l’OCDE (pour lesquels l’OCDE détient les données) disposent d’une loi accordant un droit à congé aux aidants familiaux, et la moitié d’entre eux prévoit la rémunération d’un congé destiné aux aidants. Toutefois, des progrès importants restent à accomplir, dans une démarche volontariste. L’objectif de cette étude est de présenter plusieurs bonnes pratiques visant à équilibrer la participation des salariés - femmes ou hommes - dans leur vie familiale et dans leur activité professionnelle. Les bonnes pratiques ont été identifiées en Europe et à l’international dans les secteurs public et privé, dans plusieurs domaines d’activité (banque, industrie, commerce, télécommunications, conseil aux entreprises). Trois principaux critères de sélection de ces pratiques ont prévalu: leur aspect innovant, leur caractère concret et la diversité des acteurs sur lesquels elles agissent (employeurs, partenaires sociaux, décideurs politiques, salariés du secteur privé, agents du secteur public).
Les bonnes pratiques s’articulent autour de trois types de stratégies visant à favoriser une meilleure articulation entre sphère privée et sphère professionnelle: la gestion du congé familial et de son impact sur la carrière des salariés (partie 1), la promotion du rôle des pères en vue d’une répartition plus équitable des responsabilités familiales (partie 2), et l’aménagement et l’optimisation des modalités de travail des salariés pour une meilleure répartition des temps de vie (partie 3).
Points d’attention
Périmètre :

Les bonnes pratiques « Secteur public » identifiées dans l’étude se réfèrent à des mesures ou initiatives émanant des autorités publiques, centrales et/ ou locales. Elles peuvent porter soit sur l’ensemble des salariés, soit uniquement sur les agents publics (mention précisée). Les bonnes pratiques « Secteur privé » se réfèrent à des décisions prises par les dirigeants d’une entreprise privée et leur application porte uniquement sur une partie ou la totalité du personnel de cette entreprise.
Lexique :

Il existe diverses formes de congés familiaux, et leur appellation varie en fonction des pays. Le type de congé concerné (congé de maternité ou de paternité, congé parental, congé de soutien aux personnes dépendantes, etc.) est indiqué dans chaque pratique identifiée. Le terme « Congé familial » est utilisé dans l’étude pour désigner de manière générale plusieurs formes de congé lié à la famille.Télécharger Pour une meilleure articulation entre vie professionnelle et vie familiale.
Faoi Sandra A, Oifig Tionscadail RH4 -. Idirnáisiúnta saineolas, fadbhreathnaitheacht agus eolas ar bheartais acmhainní daonna a aithint dea-chleachtais d'earnálacha poiblí agus príobháideacha sa Fhrainc agus thar lear.
Is é cuspóir an staidéir seo a chur i láthair ar roinnt dea-chleachtais a chothromú le rannpháirtíocht na bhfostaithe - fir nó mná - ina saol teaghlaigh agus a gcuid oibre. Dea-chleachtais a aithnítear san Eoraip agus go hidirnáisiúnta sna hearnálacha poiblí agus príobháideacha i roinnt réimsí (baincéireacht, déantúsaíochta, i dtráchtáil, teileachumarsáid, i gcomhairle le gnó). Trí critéir is mó a roghnú na cleachtais seo a bheith i réim: a n-gné nuálach, a n-concreteness agus éagsúlacht na haisteoirí ar a bhfuil siad gníomh (fostóirí, comhpháirtithe sóisialta, lucht déanta beartas, fostaithe san earnáil phríobháideach, fostaithe san earnáil phoiblí). Níos mó...
9 février 2013

Mutual Recognition – Building the Bridge

logoECA Winter Seminar “Mutual recognition and the Bucharest Communiqué” took place in the NVAO premises in The Hague on January 17, 2013.
Recognition and "automatic recognition" are important topics in the Bucharest Communiqué. As ECA has been working on mutual recognition since 2003, this event was organized with a clear idea in mind: to stimulate the debate and exchange of ideas on recognition issues. The statements regarding recognition of the latest EHEA Ministerial Conference were explored in the light of the latest developments in this field.
About 50 participants from 13 countries could benefit from the contributions of carefully selected speakers. Indeed, an interesting discussion would not be possible without major stakeholders clearly expressing their points of view.  Thus, speakers from the following organisations ignited a successful debate: the European Commission (DG Education & Culture); Bologna Follow Up Group (BFUG), European Students Union (ESU), Association of the Universities in the Netherlands (VSNU), the Association of Flemish University Colleges (VLHORA), Nuffic, and ECA.
Different models of recognition ranging from “case by case” to “trust based” and “automatic” were discussed. The participants were invited to vote and comment on the most stirring statements. The participants unanimously voted YES on the inclusion of QA information in all recognition decisions. The majority of voters (≈80%) was neither in favour of a “case by case” (≈5%) nor of “automatic” (≈15%) recognition, but favoured intermediate solutions with various levels of using Bologna tools and instruments such as the EAR manual.
The commitment of three new agencies (ZEvA & FIBAA – Germany and CNA – Colombia) to sign the Multilateral Agreement on the Mutual Recognition of Accreditation Results regarding Joint Programmes (MULTRA) is an illustration of the fact that evidence and trust based mutual recognition might presently be the most suitable solution.
As recognition is undeniably important for the promotion of international education and cross-border mobility of students and staff, the EAR manual of ENIC-NARICs and the MR Agreements of ECA need support from HEIs and governments to achieve close collaboration between them but also with recognition bodies and QA/accreditation agencies to overcome recognition problems with confidence.
We are happy to share with you all presentations and documents used during the seminar.
9 février 2013

Women dominate university graduates, so why not university leadership positions?

By Terri Macdonald. An online article in Women's Agenda by Conrad Liveris asks why there aren't more women in leadership roles in our universities, when there are more women graduating?
Liveris notes that tertiary education is a haven of activity for women, as both staff and students, but it obvious that equity issues still remain:
Of the nearly 1.1 million students at university 57% are women, making up 53% of all tertiary students in Australia. Women have already made the government's target for 40% of people holding a bachelor's degree, with men still in the mid-30% range.While the above stats reference a 2008 study on such gender breakdowns, there's been little evidence to indicate how wide the gap currently is. The tertiary education sector has a distinct focus on the gender balance with students, but more research needs to be done to give female academics a practical pathway to leadership.

Click here read the full article, Women dominate university graduates, so why not university leadership positions?

9 février 2013

U-Multirank launched

Hedda - Higher Education Development AssociationBy Marielk. U-Multirank is by their own definition a new “multidimensional, user-driven approach” to rankings. As the majority of rankings out there are widely criticized for not getting the whole picture and being heavily research biased, the Commission funded project of developing U-Multirank is set to challenge these criticisms and develop a more flexible approach. U-Multirank was officially launched last week in Dublin, and project co-leader Frank Ziegele and team member Don Westerheijden introduced the relevance of the instrument to various stakeholder groups. The goal is to publish the first ranking of 500 institutions early 2014, covering both full institutions and three disciplinary fields (engineering, business and physics).
The project is funded by the Commission and has been a highly profiled instrument in the context of European higher education area. Commissioner for Education, Culture, Multilingualism and Youth, Androulla Vassiliou, argued that U-Multirank is “a modern and sophisticated ranking, capturing the full diversity of higher education“. Of course, the Commission is known for their big words and the full diversity has nevertheless to be taken in the context of measurable indicators. The general feedback has been somewhat more cautious, while optimistic. For instance, while the European Students Union (ESU) has been involved in the development of U-Multirank, their recent press release on the occasion of the kick-off was still somewhat modest and indicated not assurance but hope that U-Multirank can avoid the pitfalls of previous rankings. Nevertheless, the potential of such instrument to provide information to students was highlighted.
Furthermore, earlier last year the Times Higher Education was reporting that in the UK the House of Lord’s committee raised a number of concerns about the instrument and whether it can deliver its promise. The committee was “not convinced that it would add value if it simply resulted in an additional European rankings system alongside the existing international ranking systems”, and it was highlighted that the success was dependent on institutional engagement. While the THE article extensively reporting on criticisms about their (potential) competitors and specifically highlighting that the committee also brought out the success of THEs own ranking is to be expected, the point about the success being dependent on institutions seeing the value added is something to be taken seriously.
Frank Ziegele from CHE, who is the co-leader of U-Multirank, has earlier written on the Hedda blog about the unique features of U-Multirank
that include five groups of measurement (teaching and learning, research, knowledge transfer, regional engagement and international orientation), and focus on users and stakeholders. The ranking would not end up in a definite Top100 list,  but rather provide the opportunity for the user to develop groupings of institutions based on selected indicators. The indicators were developed in cooperation with the  stakeholders, including the institutions themselves. Frans van Vught, the project leader of U-Multirank argued that this assured the “criterion of ‘relevance’ in the process of indicator selection“.
However, there are a number of league tables and rankings already, and while the methodology and approach is indeed different, the question is whether the users see this difference and added value in the already saturated market of rankings. In addition, the successful institutions have a vested interest in terms of being able to show that they are “the best” or in the “top 10″. This most definitely has a broader appeal than being in the top group in terms of comparable institutions in the area of research. At the same time, there number of institutions in Europe is quite large and as the top 10 and 100 only can fit so many institutions, the rest of them should by all means be interested in knowing who their competitors are and how they are relatively doing in terms of comparable institutions. However, making this message clear to all of these institutions and getting them on board is where the U-Multirank team has their work cut out for the future.
The project is funded by the Commission, but is carried out by a consortia, including The Centre for Higher Education (CHE) in Germany and the Center for Higher Education Policy Studies (CHEPS) in the Netherlands. In addition, the partners include the Centre for Science and Technology Studies at Leiden University (CWTS), academic publishers Elsevier, the Bertelsmann Foundation and software firm Folge 3, in addition to various stakeholder organisations.
9 février 2013

Higher Education and Society: Implications and effects

ESF_Logo_web_(236x122px)Call for participants: ESF funded colloquium on HE
A colloquium with the title “Higher Education and Society: Implications and effects” will be held in Dublin from the 13th -14th of April 2013.
The colloquium includes invited speakers (Prof. Gaële Goastellec and Prof. Maria Slowey) as well as interactive discussions and common session. The focus area of the colloquium is examined through various thematic areas, such as: diversity and change of university systems: cultural, policy and economic challenges; HE as a field of research; academic ability and new forms of knowledge creation; and comparative and collaborative studies on Higher education.
Furthermore, the colloquium will focus on the following questions:
  • What is and/or should be HE’s role in nowadays’ society?
  • How is HE influencing the understandings of social issues by students, policy-makers and even HE researchers?
  • How to improve the distribution of research?
  • How can young researchers cope with the emergent standards in HE research and with the changes in the nature of knowledge itself?
The colloquium has space for 30 participants and while priority will be given to early career researchers for the EuroHESC programmes. Applications from early career researchers affiliated in other projects/organisations/networks targeting higher education are welcomed, amongst them priority will be given to the ones affiliated to ECHER (Early Career Higher Education Researchers’ Network). The organisers cover accomodation for two nights, whereas the participants need to cover their travel costs.
Application deadline 20.02.13.

More information can be found here: Call for Participation ESF Dublin colloquium.
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 785 805
Formation Continue du Supérieur
Archives