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Formation Continue du Supérieur

16 février 2013

Qui pilote les opérations Campus?

http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. L’opération Campus, lancée en 2007, dotée d’un capital de près de 5 milliards d’euros et qui a sélectionné, en 2008, dix campus lauréats et quelques campus prometteurs, me semble n’avoir plus de commandant de bord, en particulier à Strasbourg. La mission nationale d’évaluation de cette opération, présidée par Roland Peylet, conseiller d’État, a rendu son rapport à la Ministre, fin octobre 2012. Les conclusions de l’évaluation sont fort critiques pour ce qui est du financement (recours aux partenariats public/privé: chroniques du blog sur les PPP) et du pilotage de l’opération (rôles respectifs de l’État, des collectivités territoriales, de l’université). Le rapport ne mentionne pas la question du versement aux universités des intérêts du capital affecté. Ont-ils été versés en 2012? Le seront-ils en 2013 ou sont-ils d’ores et déjà « gelés »?
Deux recommandations du président Peylet parmi une dizaine: « Réaffirmer la responsabilité de l’État au niveau déconcentré (recteur et préfet) en matière de stratégie immobilière universitaire. Hiérarchiser les projets selon les besoins; il appartient à l’État en concertation avec les universités et les collectivités territoriales de déterminer, site par site, les besoins prioritaires » (page 24). A Strasbourg, le pilotage par l’État (recteur et préfet) semble des « plus légers »; les affaires se traitent entre l’université et les différentes collectivités territoriales, comme le démontrent les cinq exemples traités dans la chronique à suivre. Suite de l'article...
http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpg Blag Educpros Pierre Dubois. Campas Oibríocht, a seoladh i 2007, le caipitil de beagnach € 5000000000 agus tá roghnaithe, sa bhliain 2008, is cosúil deich gcampas gcampas buaiteoirí agus roinnt tuar dóchais inti go bhfuil aon ar ordú, go háirithe i Strasbourg. Is é misean an bpróiseas Measúnaithe Náisiúnta, faoi chathaoirleacht Roland Peylet, luaigh comhairleoir, a rinneadh a thuarascáil faoi bhráid an Aire i mí Dheireadh Fómhair go déanach 2012. Níos mó...
16 février 2013

Quel accompagnement des chômeurs?

Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. La DARES organisait deux journées d’échanges internationaux (14 et 15 février 2013) sur les différents volets des politiques actives de l’emploi. Parmi les différents thèmes abordés celui de l’accompagnement des demandeurs d’emploi a été l’occasion de mesurer les profondes différences de pratiques entre pays. Cette question est certainement le critère majeur d’évaluation de l’efficience des politiques d’emploi, d’insertion et de formation des chômeurs. Ce qui se joue dans les rapports entre les services de reclassement ou de placement et les chômeurs est essentiel tant sous l’angle des méthodes favorisant les dynamiques de recherche d’emploi que sous celui des représentations de l’employabilité.

Sans vouloir tomber dans l’illusoire ambition d’uniformiser les méthodes d’accompagnement en prenant ce qu’il y a de plus efficace dans chacun des modèles, il n’est pas déraisonnable d’approfondir certaines pistes d’amélioration de nos pratiques. Deux chercheurs, Michael Lechner de l’Université de St Gallen en Suisse et Michael Rosholm de l’Université d’Aarthus au Danemark, présentaient deux études sur les pratiques des services d’accompagnement des chômeurs dans leurs pays respectifs. Ces deux éclairages, complétés par les remarques de Gesine Stephan de l’Institut de recherche sur l’emploi allemand, permettent de pointer quelques éléments d’efficacité des pratiques des services de l’emploi. Suite de l'article...
By Paul Santelmann, Head of Foresight at the AFPA. DARES organized a two-day international trade (14 and 15 February 2013) on various aspects of active employment. Among the various topics that support the job seekers an opportunity to measure the profound differences in practices between countries. This issue is certainly the major criterion for evaluating the effectiveness of employment policies, integration and training for the unemployed. More...
16 février 2013

Une proposition de loi pour accueillir vraiment les étudiants étrangers

LeMonde.frPar Isabelle Rey-Lefebvre. La sénatrice PS Dominique Gillot s’impatiente. Elle a, aux cotés d’une trentaine de sénateurs socialistes, déposé mardi 12 février une proposition de loi pour restaurer « l’attractivité universitaire de la France », mise à mal  par la circulaire Guéant du 31 mai 2011; Certes, elle a été remplacée par un texte plus souple publié un an plus tard, le 31 mai 2012 mais sur le terrain les problèmes persistent  «Notre messagerie électronique déborde, avec plus d’une centaine récoltés depuis janvier, des appels au secours d’étudiants malmenés par les préfectures qui leur refusent le renouvellement de leur titre de séjour ou leur changement de statut d’étudiant à salarié alors qu’ils ont des promesses d’embauche » raconte Hajer Gorgi porte-parole du collectif du 31 mai date symbole de la circulaire Guéant  « Nous avons besoin d’une loi et non d’une circulaire qui peut changer à tout moment et dont la portée est moins forte. Il faut sécuriser les étudiants »plaide Hajer Gorgi.
« C’est urgent pour le rayonnement de la France. Il faut envoyer un signal positif pour réparer les dégâts de la circulaire Guéant, » reconnaît Madame Gillot, « la France a été reléguée au quatrième rang mondial derrière l’Australie des pays d’accueil pour les étudiants étrangers ». Suite de l'article...
LeMonde.fr De réir Isabelle Rey-Lefebvre. Dominique Gillot impatient Seanadóir PS. Sí, taobh le tríocha Seanadóirí Sóisialach, a chomhdú Dé Máirt 12 Feabhra bille a chur ar ais "an tarraingteacht na Fraince ollscoil" bonn ciorclach Gueant an 31 Bealtaine 2011. Níos mó...
16 février 2013

Le dispositif « emplois d’avenir professeur » cherche encore des étudiants

http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20130129/QUO_208_coupee.jpgPar Aurélie Collas. Embaucher 1 500 étudiants… en quatre semaines. C’est le prochain défi de l’éducation nationale. Celle-ci va devoir mettre les bouchées doubles pour atteindre l’objectif qu’elle s’est fixée: recruter 4 000 « emplois d’avenir professeur » avant la fin des vacances d’hiver, c'est-à-dire mi-mars. A ce jour, seuls 2 500 contrats ont été signés.
Certaines de ces nouvelles recrues ont déjà pris leurs fonctions dans une école, un collège ou un lycée. D’autres attendent de signer leur contrat. Étudiants boursiers, ils se sont engagés à travailler douze heures par semaine en moyenne pour l’éducation nationale (observation, aide aux devoirs, participation à des activités, voire prise en charge d’une classe avec un tuteur en master 1), pour un revenu mensuel net de 900 euros. En contrepartie, ils devront passer un concours de l’enseignement. Les « emplois d’avenir professeur » (EAP), c’est LE dispositif phare du gouvernement pour attirer les candidats aux concours enseignants et démocratiser l’accès à la profession.
Reste que les étudiants  ne se sont pas bousculés au portillon... Pour accélérer la cadence, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, et le ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, ont voulu médiatiser le dispositif. Ils étaient à Reims, jeudi 14 février, pour faire un « point d’étape » sur les emplois d’avenir professeur et lancer de nouvelles affiches publicitaires. Suite de l'article...

http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20130129/QUO_208_coupee.jpg By Aurélie Collas. Hiring 1500... students in four weeks. This is the next challenge for national education. It will have to work twice as hard to achieve the goal it has set: to recruit 4,000 "jobs of the future teacher" before the end of the winter holidays, that is to say, mid- March. To date, only 2500 contracts were signed. More...
16 février 2013

Les grandes écoles s’interrogent sur les communautés d’université et le rapprochement des prépas et de l’université

http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpgPar Olivier Rollot.Au cœur de la loi à venir sur l’enseignement supérieur et la recherche se trouvent les « communautés d’universités » (devenues « scientifiques » dans la dernière mouture en date de l’avant-projet de loi et pouvant prendre le nom de communauté d’universités « si elle comprend parmi ses membres au moins une université »). Geneviève Fioraso entend en effet faire « éclore une trentaine de sites signataires pour leur territoire d’un contrat de site avec le Ministère ». Trente communautés dont les pouvoirs et la gouvernance sont aujourd’hui au centre de toutes les attentions.
« Rien ne PRES » semble dire la CGE

La remise en cause des pôles de recherche et d’enseignement supérieur, ces fameux PRES qui réunissent aujourd’hui l’ensemble des universités et la plupart des grandes écoles dans des structures communes, provoque bien des inquiétudes. « Cela a été un travail gigantesque de nous réunir. Pourquoi faudrait-il déjà casser tout ce qui a été fait pour repartir dans de nouvelles négociations? », demande Pierre Tapie, le président de la Conférence des Grandes écoles, peu enclin à voir supprimer les EPCS (établissement public de coopération scientifique) et les FCS (fondations de coopération scientifique), créés en 2006, pour intégrer de nouvelles structures dans l’année à venir, le délai fixé par la loi: « Il faut nous laisser encore trois ou quatre ans pour voir comment ils évoluent ». Une position que rejoint la Cdefi (Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs) qui « demande que la transition ne soit pas automatique et qu’il soit proposé des modalités pour les PRES n’ayant pas modifié leurs statuts dans le délai d’un an comme prévu par la loi ». Suite de l'article...
http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpg De réir Olivier Rollot. Ag croílár an reachtaíocht atá le teacht ar ardoideachas agus taighde "pobail na n-ollscoileanna" (anois "eolaíocht" sa leagan is déanaí amhail ar an dréacht-dlí agus is féidir an t-ainm phobail ollscoileanna "má tá ann i measc a chomhaltaí ar a laghad ollscoil"). Níos mó...
16 février 2013

Exemple de rapport de stage

http://www.leparisien.fr/img/logoParisien-136x40.gifPlan type d'un rapport de stage: un exemple rapport de stage pour vous aider à écrire le votre
Vous devez rédiger un rapport de stage... (soupir), ca vous excite autant que d'apprendre à tricoter... je vous comprend... mais il faut bien passer par là! Voici nos conseils et un exemple pour vous faciliter la vie!

Après avoir vu les conseils de rédaction sur le contenu, le style et la forme du rapport, voici un exemple de rapport de stage avec l'ensemble des parties importantes à respecter: introduction, remerciements, présentation de l'entreprise, de vos missions, conclusion....
Voir l'exemple de rapport de stage.
Votre rapport de stage doit contenir:
Page de garde du rapport de stage (1 page)
Cette page de garde (la couverture) doit contenir:
• votre nom, prénom
• intitulé (titre ou poste) et type (stage, contrat de qualif., alternance... ) de votre stage
• dates / période du stage.
• Nom + logo de l'entreprise - Nom + logo de votre université ou école ou formation + adresses postales.
• Le nom de votre maître de stage + intitulé du poste.
• L'éventuelle mention de confidentialité (exigée ou non par l'entreprise selon les informations contenues dans le rapport).
Le sommaire du rapport de stage (ou table des matières) (1 page)
Il s'agit du plan de votre rapport. Attention les lecteurs les plus pressés ne liront que cette page et la conclusion. Choisissez avec précision les termes de vos titres pour que très rapidement la structure et le contenu de votre rapport soient identifiables.
En lisant votre plan, il est déjà possible aux enseignants de juger votre travail; il traduit la problématique que vous allez développer, c'est-à-dire votre analyse du sujet (si votre rapport de stage doit contenir un sujet/problématique transversale à votre stage).
Numérotez les parties, sections, paragraphes afin d'obtenir une bonne lisibilité. Indiquez la pagination dans le plan.
Les remerciements du rapport de stage (1 page)
Les remerciements du rapport de stage sont généralement destinés à votre maître de stage et à une ou deux autres personnes ayant joué un rôle important dans votre stage. Citez le nom, le poste de chaque personne et la justification de votre remerciement. "Merci à ma boss pour sa confiance et son respect de ma sieste hebdomadaire... elle a toujours su respecter et encourager ma créativité lors de la réalisation de café et de photocopies";)
Attention, généralement, votre maître de stage ne lira que cette partie: alors faites lui plaisir!
L'introduction : (1 à 2 pages)
Précisez-ici pourquoi vous avez choisi ce stage, pour quelles raisons avez-vous choisi ce poste et pourquoi dans cette entreprise ou secteur d'activité. Présentez ainsi de matières très globale l'entreprise et les missions de votre stage.
Développement - Plan type
Voici un exemple de plan utilisable pour votre rapport de stage, faites attention, la partie présentant vos missions et le bilan de votre stage doit être supérieure en volume à celle présentant l'entreprise et le secteur. Lorsque vous décrivez vos missions, ne racontez pas votre quotidien dans l'entreprise mais uniquement les faits majeurs, les objectifs, les méthodes et moyens employés, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées, les solutions apportées, les personnes avec qui vous étiez en contact, les enjeux de la mission.
1. l'entreprise et son secteur d'activité 10 pages
11. le secteur d'activité (les concurrents, les besoins des consommateurs)
12. l'entreprise (son historique, ses forces / faiblesses, son organisation)
2. mon stage
21. les missions (responsabilité, tâches à effectuer, dossiers confiés, objectifs)
22. le bilan
résultats obtenus ( appréciation du maître de stage - productivité ... gestion du temps)
difficultés rencontrées et solutions apportées
enseignements/apports du stage (connaissances - compétences)
Conclusion du rapport de stage
La conclusion résume bien sur, dans une première partie, les principales conclusions de votre rapport de stage. Mais la conclusion permet aussi dans une deuxième partie de vous interroger sur la suite, sur l'avenir de l'entreprise, sur le service, et de mettre en perspective votre stage dans votre formation et dans projet professionnel.
Les annexes / Bibliographie
Placez-ici les documents, les rapports sur lesquels vous avez travaillé qui permettent de mieux illustrer les missions ou apports du stage, les ouvrages qui vous ont apportés des théories applicables durant votre stage. Attention tous les documents placés en annexe/bibliographie doivent avoir été introduit lors du développement en faisant référence à l'annexe.
Consultez aussi:

- Rapport de stage
Obligatoire mais essentiel! Le rapport de stage est le résumé de votre expérience acquise lors de votre stage - Voici notre guide de rédaction de votre rapport de stage avec le style à adopter, les attentes des profs...
- Trouver un bon sujet de rapport de stage:
L'objectif de l'étudiant est de démontrer qu'il est capable d'appréhender et d'approfondir dans une situation donnée un sujet d'actualité.
- Les conseils de rédaction du rapport de stage:
sur le contenu, le style et la forme.
- 10 bons réflexes pour réussir son stage (et en tirer parti ? !):
Voici tous les bons tuyaux pour que votre stage soit plus qu'une ligne sur un CV ou comment passer quelques mois en entreprise.
- Exemple de cv:
8 exemples pour apprendre à écrire son cv et choisir son style..
-
La soutenance du rapport de stage
La rédaction du rapport de stage est terminée. Il s'agit maintenant de préparer la restitution de votre travail.
http://www.leparisien.fr/img/logoParisien-136x40.gif Terms of a ratio of internship: internship report an example to help you write your. You must write an internship report... (Sigh), ca excites you as much as learn to knit... I understand you... but we must go through it! Here are our tips and an example to make your life easier!  After seeing the writing tips on the content, style and format of the report, here is a sample internship report with all important parts to follow: introduction, acknowledgments, presentation of the company, your mission, conclusion... More...

16 février 2013

Accréditations internationales des écoles de management

http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpgPar Olivier Rollot.Accréditations internationales des écoles de management: le mode d’emploi de la CGE
« Au sein de la Conférence des Grandes écoles nous avons trois catégories d’écoles: celles déjà accréditées depuis longtemps, celles qui viennent de l’être ou sont en passe et celles qui n’y pensent pas forcément. Avec ce Livre blanc, nous avons voulu expliquer à toutes les processus», explique Jean-François Fiorina (photo), le directeur adjoint de Grenoble EM qui a animé le groupe auquel on doit la publication du Livre blanc « Accréditations internationales des business schools ».
Si les noms AACSB, Equis, Epas ou Amba sont entrés dans le vocabulaire commun des écoles de management, toutes ne savent en effet pas à quoi s’attendre si elles se lancent dans des processus qui peuvent prendre de 3 à 7 ans. « C’est un travail gigantesque, un véritable projet d’entreprise qui impacte tous les personnels et auquel les écoles doivent leur niveau actuel », reprend Jean-François Fiorina. Suite de l'article...
http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpg By Olivier Rollot. International accreditation of business schools: the manual of the CGE. "Within the Conference of Colleges we have three categories of schools: those already accredited for a long time, those who come to be or are in and those who do not necessarily think. With this White Paper, we wanted to explain all the process, "explains Jean-François Fiorina (photo), deputy director of Grenoble EM who led the group to which we owe the publication of the White Paper "international business school accreditations". More...
16 février 2013

Panel Apec Entreprises - Edition 2013

http://presse.apec.fr/extension/apec/design/presse/images/topbar/presse/header.pngLes recrutements de cadres devraient résister en 2013 selon les 11 000 entreprises interrogées par l’Apec fin 2012. Au total, elles prévoient de réaliser entre 162 000 et 178 000 embauches sur ce marché, sur l’ensemble de l’année 2013. Télécharger le Communiqué - Panel 2013.
LE MARCHE DE L’EMPLOI CADRE RESISTERA EN 2013 - EN SYNTHESE…

Les recrutements de cadres devraient résister en 2013 selon les 11 000 entreprises interrogées par l’Apec fin 2012. Au total, elles prévoient de réaliser entre 162 000 et 178 000 embauches sur ce marché, sur l’ensemble de l’année 2013. Dans un contexte économique difficile, les cadres ne devraient donc pas avoir à faire face à une forte dégradation de leur marché. En effet, cette fourchette de recrutements correspondrait à une baisse relativement peu importante par rapport à 2012: environ -5%.
Cependant, tous les cadres ne seront pas logés à la même enseigne en 2013. Ainsi, les débutants (moins d'1 an d'expérience) qui ont réussi à tirer leur épingle du jeu en 2012 malgré des prévisions pessimistes, vont connaître une année particulièrement difficile. Le nombre de leurs embauches pourrait reculer de -10% à -25%.
Pour Jean-Marie Marx, Directeur Général de l’Apec « le marché de l’emploi cadre résiste malgré un environnement économique morose. Ainsi le nombre de recrutements sur 2013 devrait rester élevé et le nombre de créations d’emplois cadres demeurer significatif. Déjà plus de 35 000 emplois cadres ont été créés sur la seule année 2012 alors que le marché de l’emploi a enregistré près de 82 000 destructions de postes (destructions d’emploi affilié à l’assurance chômage selon les prévisions de l’UNEDIC) sur la même période. »
Jean-Marie Marx ajoute « Pour les 5 ans à venir, le modèle économétrique construit par l’Apec prévoit une reprise progressive des recrutements de cadres à partir de 2014 sous l’effet d’une reprise économique modérée. Le volume annuel des embauches oscillerait ainsi entre 168 300 et 195 000 sur la période 2013-2017. »
Sur l’année 2013, les entreprises des Services, concentrant à elles seules 70% des embauches de cadres, prévoient d’en recruter jusqu’à 124 700. Dans le secteur de l’Industrie, touché de plein fouet par la crise, le volume de recrutements de cadres diminuerait de - 3% à - 18%. La Construction serait le secteur le plus affecté avec une chute des embauches de cadres qui pourrait aller de - 13% à - 24%. Le Commerce quant à lui accuserait une diminution plus modérée de l’ordre de - 7%.
Deux fonctions devraient rester relativement dynamiques: Etudes-Recherche & Développement et Informatique. Ainsi les entreprises embaucheraient respectivement de 29 500 à 33 000 cadres d’études-R&D et de 33 500 à 38 000 informaticiens. Les recrutements dans la fonction Commercial fléchiraient de - 6% à - 12% tout en restant dans le trio de tête. Dans le même temps, ce sont dans les fonctions Finance comptabilité et Administration, droit, RH, communication que les embauches de cadres subiraient les plus forts ralentissements.
Selon le bilan dressé par les entreprises, 2012 s’est révélée être une année de stabilité avec 179 900 recrutements de cadres réalisés, y compris pour les jeunes diplômés dont 37 500 ont été recrutés sur des postes cadres, chiffre comparable à celui réalisé en 2011.
Le marché de l’emploi cadre résiste en 2013

En 2013, les entreprises interrogées par l’Apec prévoient de recruter entre 162 000 et 178 000 cadres, soit une évolution comprise entre -1% et -10%. Il n’y aurait donc pas de décrochage brutal en 2013 et les embauches de cadres devraient rester à un niveau important.
Cependant, ces prévisions ne doivent pas masquer les difficultés auxquelles devront faire face les débutants (moins d’un an d’expérience) sur le marché de l’emploi des cadres. Ainsi, ils devraient assister à une forte dégradation du nombre de leurs embauches qui oscillerait entre -10% et -25%. Sans changement, les cadres confirmés (plus de 5 ans d’expérience) seraient les plus recherchés (près de 50% des recrutements). Enfin, les jeunes cadres (1 à 5 ans d’expérience) pourraient voir leurs embauches progresser jusqu’à 11% sur l’ensemble de l’année. A noter: les entreprises pourraient se tourner davantage vers les débutants si elles ne trouvent pas de cadres confirmés (de 1 à 10 ans d’expérience) qu’elles recherchent en priorité.
En outre, 8% des entreprises interrogées sur l’évolution de leurs effectifs de cadres en 2013 prévoient de les augmenter, contre 9% en 2012. 6% pensent que ces effectifs pourraient diminuer, soit un point de plus que l’an dernier. Ces chiffres, qui constituent un bon indicateur du moral des entreprises, ne se dégradent que légèrement. Cependant, on note une confiance moindre des grandes entreprises (plus de 1000 salariés): elles sont 18% à anticiper une baisse de ces effectifs de cadres.
Si l’on met en perspective ces chiffres avec ceux qui concernent l’ensemble des salariés, on constate un écart sensible puisque ces mêmes entreprises, toutes tailles confondues sont 13% à penser qu’elles pourraient réduire leurs effectifs (33% pour les grandes entreprises), proportion en forte hausse durant les 3 dernières années. Sur le marché de l’emploi, les cadres semblent ainsi relativement épargnés par la crise par rapport à l’ensemble des salariés.
Au niveau sectoriel, les Services devraient recruter entre 110 800 et 124 700 cadres, tirés notamment par les Activités informatiques et Télécommunication, l’Assurance et le secteur Ingénierie et R&D. Ce secteur clé du marché de l’emploi cadre devrait concentrer à lui seul les deux tiers des embauches comme chaque année. L’Industrie accuserait une baisse des embauches de cadres comprise entre 3% et 18%, subissant toujours les effets d’une crise qui touche particulièrement certains sous-secteurs comme ceux de l’Automobile, le Bois-papier-imprimerie, le Meubles-textile et autres industries manufacturières. Par ailleurs, le secteur du Commerce pourrait afficher une baisse limitée, pour totaliser de 17 600 à 19 800 embauches de cadres. Enfin, le secteur de la Construction enregistrerait une forte chute de ses embauches pouvant aller jusqu’à 24%.
En ce qui concerne les fonctions, les informaticiens seraient toujours les plus courtisés par les entreprises avec une hausse possible des embauches qui pourrait aller jusqu’à 14%. Au total, de 33 500 à 38 000 recrutements pourraient être enregistrés. 29 500 à 33 000 cadres pourraient être embauchés dans la fonction « Etude, Recherche & Développement », se maintenant à un bon niveau. La fonction Commercial quant à elle verrait ses recrutements légèrement ralentir en lien notamment avec la dégradation du secteur de la distribution généraliste. Cependant, plus de 2 recrutements de cadres sur 10 seraient réalisés dans cette fonction qui restera l’une des locomotives du marché en 2013. Enfin, les deux fonctions qui accuseraient les baisses les plus importantes devraient être d’une part la fonction Finance, comptabilité (-9% à -21%) en lien notamment avec les évolutions profondes des métiers du secteur bancaire mais aussi les baisses annoncées de recrutements dans les activités juridiques et comptables et le secteur du conseil et gestion auprès des entreprises. D’autre part, la fonction Administration, droit, RH qui verrait ses recrutements diminuer de -9% à -28%.
Sur le plan géographique, le « moral des entreprises » mesuré par leurs perspectives d’évolution de leurs effectifs de cadres, montre que les régions les plus optimistes sont l’Ile-de-France, région qui concentre la plus grande part des recrutements de cadres, Midi-Pyrénées porté par le secteur aéronautique, et le Limousin dont le volume de recrutements de cadres reste faible, mais dont l’économie est dynamisée notamment par l’industrie, des composants électroniques et du secteur Santé et action sociale. Les régions les plus pessimistes, c'est-à-dire les moins bien orientées en termes d’évolution de leurs effectifs de cadres sont la Picardie, la Basse-Normandie et la Champagne-Ardenne.
Le modèle économétrique de l’Apec: prévisions à 5 ans

Le modèle construit en 2009 par l’Apec, est le fruit des travaux de son Département Etudes & Recherche. Il a permis de montrer que l’investissement, mesuré par la formation brute de capital fixe (FBCF), est au coeur de la dynamique de l’emploi en général et de l’emploi cadre en particulier. Au niveau macro-économique, on parle de Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) qui se définit comme « la valeur des biens durables acquis par les unités de production pour être utilisés pendant au moins un an dans le processus de production ». Cette définition plus restrictive exclut les investissements financiers qui sont en fait des placements. Sont également exclus les achats de terrains et la plupart des investissements immatériels. Le modèle intègre également le niveau du PIB ainsi qu’une dimension démographique en tenant compte des départs à la retraite de cadres en emploi. Afin d’élaborer le plus précisément possible des scénarios, l’Apec s’est intéressée aux prévisions établies par différents instituts de conjoncture nationaux ou internationaux (INSEE, OCDE, OFCE, FMI, COE REXECODE). Ces prévisions concernent le PIB et ses principales composantes (FBCF, dépenses de consommation, variations des stocks, exportations et importations).
Cette année, le scénario retenu par l’Apec est celui d’une dite « reprise économique modérée » de l’économie pour la période 2013-2017.
Dans ce scénario « Reprise économique modérée »,
les tensions engendrées par la crise des dettes souveraines s’apaiseraient. Pour autant, les hypothèses de croissance retenues ne permettent pas d’envisager un fort rebond de l’économie française. On pourrait assister lors des cinq prochaines années à un phénomène de reprise modérée qui verrait l’économie hexagonale s’engager sur un chemin de croissance alternant des progressions du PIB de +1,3% (2014 et 2017) ou de +1,1% (2015 et 2016). Cette reprise, en manque de tonicité, serait bridée par le long processus de résorption des déficits publics dans lequel l’économie française est engagée et qui implique une réduction des dépenses publiques et une pression fiscale accrue. Cette rigueur au long court limiterait toute capacité de rebond supérieur. Sur la période 2011-2017, la croissance annuelle moyenne serait inférieure à celle observée durant ces deux dernières décennies: +0,8% contre +1,1% pour la période 2000-2010 et +1,8% pour la période 1990-1999).
Les relais de croissance dans ce scénario ne sont pas très nombreux. La consommation des ménages devrait être toujours impactée par différents éléments: une situation délicate sur le marché du travail (le taux de chômage pourrait approcher les 11% à fin 2013), une pression fiscale importante avec pour corolaire la réduction des revenus.
Du côté des entreprises, cette reprise modérée ne serait pas de nature à rehausser de manière spectaculaire leurs dépenses d’investissement. En effet, les taux d’utilisation des capacités de production ne remonteraient que très lentement et les entreprises continueraient à faire face à des conditions de financement tant externes (difficulté de recourir au crédit) qu’internes (faible capacité d’autofinancement) guère incitatives. Pour autant leurs perspectives d’activités se rehausseraient lentement mais sûrement, ce qui pourrait les inciter à investir. Ainsi la Formation Brute de Capital Fixe pourrait connaitre une reprise modérée avec des progressions oscillant entre +2% (2015 et 2016) et +2,9% (2014 et 2017). Si ce moteur de croissance semble se réactiver, il ne semble pas en mesure d’impulser un rebond économique plus conséquent. Ces effets multiplicateurs, en dépit de la mise en place de dispositifs incitatifs (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi, banque d’investissement), semblent encore trop limités pour entrainer l’ensemble de l’économie vers une croissance plus solide et plus régulière.
Toutefois des relais de croissance pourraient être de nature à redonner du souffle à la croissance économique hexagonale: une forte reprise dans les pays émergents et une reprise progressive dans les pays européens boosteraient la demande adressée à la France (une hypothèse fragile compte tenu de l’appréciation actuelle de l’euro).
La croissance modérée de ce second scénario ne permettrait pas de résorber un chômage de masse. D’autant que les entreprises chercheraient à tout prix à restaurer leur gain de productivité et seraient plus enclines à réduire leurs coûts salariaux. Dans ce contexte et en dépit des mesures prises (contrat de génération), l’embauche des séniors resterait limitée dans les entreprises. Au final, la part des cadres en emploi dans les départs à la retraite ne devrait pas progresser significativement et pourrait osciller entre 54 % et 56 % sur les cinq prochaines années.
En 2013, les recrutements de cadres reculeraient de 6%, à un peu plus de 168 000. Cette estimation est proche de la médiane des prévisions recueillies auprès des entreprises fin 2012 (médiane à 170 000, pour une fourchette allant de 162 000 à 178 000).
La croissance modérée de l’économie et de l’investissement permettraient une reprise de la progression des recrutements de cadres à partir de 2014 (+6%), progression qui se poursuivrait mais de manière moins intense à l’horizon de la prévision (+3% en 2015, 2016 et 2017).
Près de 180 000 cadres recrutés en 2012

Le bilan de 2012 est celui d’une année de stabilité des recrutements par rapport à 2011 Au total, 179 900 cadres ont été embauchés contre 181 300 en 2011.
Le nombre de postes cadres créés a été de 35 200 en 2012, après s’être établi à 38 500 en 2011, et 16 400 en 2010. Les effectifs cadres continuent donc à croître malgré la dégradation du marché de l’emploi des salariés qui subissent de plein fouet la crise qui a perduré en 2012.
En dépit des prévisions particulièrement pessimistes émises par les entreprises fin 2011, 37 500 débutants issus de l’enseignement supérieur ont été embauchés sur des postes cadres, soit un volume comparable à celui de 2011. Les jeunes cadres quant à eux ont vu leurs recrutements progresser de 2%, et les embauches de cadres confirmés ont atteint les 89 300, concentrant la moitié des recrutements réalisés en 2012.
Au niveau sectoriel, le Commerce a affiché une croissance de ses embauches de 8%. En revanche, la Construction, avec plus de 9 000 embauches de cadres a chuté de 13%. Le secteur de l’Industrie est resté quasiment stable avec un volume d’embauches de cadre de l’ordre de 28 800. Stabilité aussi dans les Services, avec plus de 121 500 recrutements de cadres.
Ce sont les cadres de la fonction Informatique qui ont bénéficié de la plus forte progression (+12%) totalisant 33 400 recrutements. Les deux autres fonctions « poids lourds » du marché de l’emploi des cadres sont restées stables à haut niveau. Ainsi, 39 000 cadres de la fonction Commercial, et 32 100 cadres de la fonction Etudes-Recherche et développement ont été recrutés. En revanche, le volume de recrutements a marqué le pas de manière très sensible dans la fonction Production industrielle, chantier (-22%).
Au niveau régional, les recrutements de cadres en Ile-de-France ont progressé de 2%, portés par les recrutements dans les Services. La région Midi-Pyrénées, dynamisée par le secteur de l’Aéronautique, a enregistré la plus forte progression des embauches de cadres (+11%), derrière l’Alsace et l’Aquitaine (+16%). Contacts Presse: Carine Nagot - Paulina Ciucka 01 40 52 20 29.

http://presse.apec.fr/extension/apec/design/presse/images/topbar/presse/header.png Ba chóir a earcú bainisteoirí resist in 2013 mar 11,000 cuideachtaí a ndearnadh suirbhé orthu faoi dheireadh na Apec 2012. Níos mó...

16 février 2013

Le compte personnel de formation, mode d'emploi

http://www.kelformation.com/images/structure/logo-kf.gif© Kelformation - Marion Senant. L’accord sur la réforme du marché du travail passé entre les partenaires sociaux au début de l’année va conduire à la création d’un compte personnel de formation. Plus abouti que le DIF et le DIF portable, universel et « transportable » tout au long de la vie professionnelle, il va modifier le paysage de la formation continue.
Qu’est-ce que le compte personnel de formation?

Le compte personnel de formation va s’appliquer à tous: salariés, demandeurs d’emploi et jeunes tout juste sortis du système scolaire. Sa durée de vie ira de l’entrée sur le marché du travail d’une personne à son départ à la retraite. Il devrait se mettre en place vers le milieu de l’année 2013.
Ce compte ne pourra pas être débité sans l’accord du salarié. Une entreprise ne pourra donc pas imposer à son salarié de piocher des heures dans son CPF pour suivre une formation qu’elle lui impose.
Combien d’heures de formation le salarié pourra-t-il accumuler?

Le compte permettra d’engranger 20 heures de formation par an et par personne, sauf dans le cas où le salarié appartient à une branche professionnelle qui a décidé d’octroyer plus d’heures de formation à ses employés. Pour les salariés en CDD ou à temps partiel, le nombre d’heures accumulée se fera au prorata de leur temps de travail. Le compte personnel de formation sera plafonné à 120 heures, comme le DIF. Suite de l'article...
http://www.kelformation.com/images/structure/logo-kf.gif © Kelformation - Marion Senant. Agreement on the reform of the labor market increased between the social partners at the beginning of the year will lead to the creation of a personal account of training. More successful than the DIF and DIF portable, universal and "transportable" throughout life, it will change the landscape of training.
What is the personal account of training?
The personal account of training will apply to all: employees, job seekers and youth just out of school. More...
16 février 2013

Vous êtes un organisme de formation ou vous souhaitez le devenir

Vous êtes un organisme de formation ou vous souhaitez le devenir? Ces informations vous concernent
Vous voulez devenir un organisme de formation et être enregistré? Vous êtes un organisme de formation et vous souhaitez exercer dans le domaine spécifique de la formation professionnelle continue ?  Nous mettons à votre disposition de quoi constituer votre dossier, ainsi qu’une documentation susceptible de vous soutenir dans vos démarches et de répondre à vos questions.
Constitution du dossier
Pour obtenir un numéro de déclaration d’activité, vous devez: Nous retourner le cerfa dûment complété, daté et signé
 
Bulletin de déclaration d’activité d’un prestataire de formation.
Notice explicative du bulletin de déclaration d’activité d’un prestataire de formation.
Joindre également à votre dossier les pièces suivantes

1-le justificatif d’attribution du numéro Siren (Kbis, avis de situation au répertoire Sirène, etc.);
2-le bulletin n°3 du casier judiciaire de moins de 3 mois;
3-la Liste des formateurs;
 
4-une 1ère convention ou un 1er contrat daté de moins de 3 mois: Convention simplifiée de formation professionnelle (modèle), Contrat de formation professionnelle (modèle);
5-le programme détaillé de l’action de formation A noter : si vous êtes sous-traitant, vous fournirez en lieu et place de la convention votre contrat de sous-traitance. N’omettez pas de joindre le programme et la liste des formateurs qui sont à fournir également.
 
Guide de la formation professionnelle
Feuilletez ou téléchargez ce guide: il contient les organismes de formation professionnelle, mais aussi leurs droits et obligations....
Document à télécharger: organismes de formation, fonctionnement, droit du travail, obligations.
Document à feuilleter: guide des organismes à feuilleter.
Vos outils, au quotidien
Voici quelques documents téléchargeables, qui peuvent vous êtres utiles:
Plan comptable Modèle de règlement intérieur, Modèle de feuille de présence.
Tá tú ar eagraíocht oiliúna nó mian leat a bheith? An t-eolas a thabhairt duit
Want a bheith ina eagraíocht oiliúna agus a bheith cláraithe? Tá tú ar eagraíocht oiliúna agus is mian leat a chleachtadh i réimse sonrach ghairmoiliúint leanúnach? Ar fáil againn tú leis an méid a d'fhoirm iarratais agus doiciméadú a d'fhéadfadh a tacaíocht a thabhairt duit i do chuid iarrachtaí agus do cheisteanna a fhreagairt. Níos mó...
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