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Formation Continue du Supérieur

2 février 2012

Formation pendant les périodes d'activité partielle de longue durée

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Un décret élargit comme annoncé, les possibilités d'actions de formation, de bilans de compétences ou de VAE dans le cadre du dispositif d'activité partielle de longue durée (APLD), le cas échéant pendant les heures chômées, dans les mêmes conditions que celles relatives à la mise en œuvre du plan de formation.
Par ailleurs, il porte à 100% du salaire net du salarié l'allocation horaire d'activité partielle de longue durée qui lui est versée pendant ces périodes de formation.
Décret n° 2012-183 du 7 février 2012.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Et dekret udvider som annonceret, mulighederne for uddannelse, færdigheder vurderinger eller VAE gennem enhedens langsigtede delvis aktivitet (APLD), hvis i den tid ud i de samme betingelser som dem, der vedrører gennemførelsen af uddannelsen planen.
Den har også 100% af medarbejderens nettoløn tildeling tidsplan på lang sigt delvis aktivitet, der er betalt i sådanne perioder med uddannelse
. Mere...
1 février 2012

Rapport annuel sur l'état de la fonction publique

http://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/statistiques/images/jpg/DGAFP_RA_2010-2011.jpgLa version définitive du rapport annuel sur l'état de la fonction publique 2010-2011 est en ligne. Le rapport annuel se présente désormais en un seul volume, regroupant ses deux parties: "Politiques et pratiques de ressources humaines" et  "Faits et chiffres". Télécharger le Rapport annuel 2010-2011, Compléments méthodologiques suite à l’introduction du nouveau système d’information SIASP (Insee), Faits et chiffres: Vues d'ensemble sur les trois fonctions publiques, Faits et chiffres: Dossiers, Faits et chiffres: Fiches thématiques.

Voici deux extraits, un sur les agents appartenant aux corps A+ et l'autre sur "Mieux former".

2. L’encadrement supérieur dans les ministères: première caractérisation exhaustive des agents appartenant aux corps A+ en 2007, par Eva Baradji, Aurélie Peyrin, DGAFP.

L’encadrement supérieur dans les ministères peut être appréhendé à travers les corps et emplois relevant de la catégorie A+. La notion de A+ a récemment fait l’objet de travaux d’harmonisation et de définition au sein de la DGAFP. Dans ce contexte, la population des agents relevant de la catégorie A+ est pour la première fois décrite à partir des fichiers de paie des agents de l’État. Cette étude porte sur l’ensemble des titulaires civils.
84600 agents appartiennent à la catégorie A+, ce qui représente 5% des effectifs des titulaires civils des ministères au 31 décembre 2007. Les titulaires A+ exercent plus souvent que les agents de catégorie A leurs fonctions en administration centrale (7%, contre 1 % des agents de catégorie A des ministères) et dans les établissements publics hors établissements publics locaux d’enseignement (69%, contre 6%). La population des A+ présente, en outre, une physionomie nettement distincte de l’ensemble des agents de niveau A des ministères: elle est plus masculine (64% d’hommes parmi les A+, contre 37% parmi les A), plus âgée (44% ont 50 ans ou plus, contre 30%) et plus souvent née à Paris (15%, contre 9%).
La catégorie A+ regroupant des emplois fonctionnels et des corps aux vocations variées et aux caractéristiques démographiques nettement distinctes, trois populations ont été constituées: les corps d’encadrement et de direction (12% de l’ensemble des A+ dont 1% qui relèvent des emplois à la décision du gouvernement et assimilés); les corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise (16,5%); les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche (71,5%). Les corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise sont les plus féminisés; les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche sont les plus jeunes. À l’inverse, les corps et emplois d’encadrement et de direction accueillent une écrasante majorité d’hommes et d’agents âgés de 50 et plus, notamment parmi les emplois à la décision du gouvernement et assimilés.
Au regard de la mobilité, mesurée entre 2003 et 2007, les titulaires des corps et emplois d’encadrement et de direction apparaissent comme les plus mobiles: plus d’un tiers d’entre eux n’appartenaient pas en 2003 au même corps qu’en 2007 et environ autant ont changé de région de fonction entre 2003 et 2007. Par nature, changements de corps et de ministère concernent en revanche plus rarement les agents relevant des corps de l’enseignement supérieur et de la recherche.
84 600 titulaires civils relèvent de la catégorie A+ au 31 décembre 2007

Au 31 décembre 2007, 84 642 agents titulaires civils appartenaient aux corps de la catégorie A+, soit 5,1%
des agents titulaires des ministères, quand les agents de catégorie A, au nombre de 916504, pèsent pour
55,2% au sein des titulaires civils. Les effectifs les plus nombreux parmi les A+ sont ceux des corps de maîtres
de conférence (35500), professeurs des universités (19800),
magistrats des tribunaux (7200), chercheurs
(2700), commissaires de Police (1700), médecins de l‘Éducation nationale (1400), administrateurs civils
(1400), ingénieurs du génie rural des eaux et des forêts (1300), inspecteurs pédagogiques régionaux, inspecteurs
d'académie (1100), magistrats des cours administratives d’appel et des tribunaux administratifs
(1000). À travers la catégorie A+, on approche ainsi globalement les corps et emplois permettant d’atteindre
le sommet de l’échelle indiciaire de la fonction publique de l’État, et non les seuls corps ouvrant l’accès aux
fonctions dirigeantes dans les ministères.
12 % des titulaires A+ relèvent d’un corps ou d’un emploi d’encadrement et de direction au 31 décembre 2007

Les caractéristiques des agents de la catégorie A+ apparaissent nettement distinctes par rapport à celles des agents des autres catégories au regard du sexe, de l’âge et de la région de naissance. Néanmoins, la diversité des corps composant cette catégorie invite à distinguer trois populations dans le cadre de cette étude: les corps et emplois d’encadrement et de direction (10195 agents), dont 687 relèvent d’un emploi à la décision du gouvernement et assimilé, les corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise (13964 agents) et enfin les corps de l’enseignement supérieur, de la recherche et assimilés (60483 agents).
Les corps de l’enseignement supérieur, de la recherche et assimilés représentent environ 71 % des titulaires civils appartenant à la catégorie A+. Elles se déclinent en cinq regroupements de corps dont les principaux sont:
- les maîtres de conférences, qui représentent 60,3% des corps de l’enseignement supérieur et de la
recherche;
- les professeurs de l’enseignement supérieur, 32,7%;
- les chercheurs, 4,6%;
- les inspecteurs de l’enseignement, 2,1%;
- le reste de cette population rassemblant essentiellement les conservateurs généraux.
Les professeurs agrégés, certifiés et assimilés n’entrent pas dans la définition de la catégorie A+, et ne relèvent donc pas de la population des corps de l’enseignement supérieur, de la recherche et assimilés décrits ici.
Alors que la majorité des titulaires des corps de l’enseignement supérieur et de la recherche et des corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise travaille en région – hors Île-de-France – plus d’un titulaire des corps et emplois d’encadrement et de direction sur deux est en fonction en Île-de-France.
Les corps et emplois d’encadrement et de direction davantage occupés par des hommes, les corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise plus féminisés

Les femmes sont nettement sous-représentées dans la catégorie A+, dont elles représentent 36%, contre 63% des agents titulaires de catégorie A. Parmi les A+, la population des corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise est la plus féminisée, avec 54% de femmes. À l’inverse, les corps et emplois d’encadrement et de direction ne comprennent que 22% de femmes, et seulement 8% parmi les trésoriers-payeurs généraux et 11% parmi les emplois à la décision du gouvernement. La part des femmes est enfin de 34% au sein des corps de l’enseignement supérieur et de la recherche; représentant 72% de l’ensemble de la catégorie A+, c’est cette population qui pèse fortement sur la moyenne globale.
La moitié des titulaires des corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise et des corps d’encadrement et de direction a plus de 50 ans; cette part s’élève à 87% parmi les emplois à la décision du gouvernement et assimilés. Avec un peu plus d’un quart des titulaires âgés de moins de 40 ans, c’est parmi les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche et les corps d’encadrement et de direction que la part des « jeunes » est la plus élevée – cela du fait des maîtres de conférence et des ingénieurs (respectivement 46,1 ans et 42,3 ans en moyenne). À l’inverse, seulement 22% des titulaires des corps de juridiction, d’inspection, de contrôle et d’expertise et, surtout, 1% des titulaires d’emplois à la décision du gouvernement et assimilés ont moins de 40 ans, contre 44% des agents de catégorie A dans les ministères.
Modes d’accès aux corps dans la catégorie A+

Dans la catégorie A+, la distribution par tranche d’âge reflète non seulement la démographie des corps, mais aussi et surtout des modes d’accès aux corps, dont la variété peut être résumée par quelques cas exemplaires.
plus avancé, en raison des conditions d’accès. Pour être admis à concourir pour l'accès au grade de directeur de recherche de 2ème classe, les candidats doivent ainsi (sauf exceptions) appartenir à l'un des corps de chargé de recherche de 1ère classe et justifier d'une ancienneté supérieure à deux années de service ou remplir les conditions de diplôme requises pour l’accès au grade de chargé de recherche de 2ème classe et justifier de huit années d'exercice des métiers de la recherche. Les candidats à l’accès au corps de professeur d’université doivent, pour leur part, obtenir une habilitation à diriger des recherches et l'inscription sur une liste de qualification avant de se présenter à un concours de recrutement par poste sur titres et travaux ou un concours dit « d'agrégation » (en sciences juridiques, économiques, politiques et de gestion).
La part des agents nés à l’étranger (15,5% parmi les A+) atteint son maximum parmi les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche (18,3%): les concours d’enseignants chercheurs sont en effet ouverts à toutes les nationalités, au-delà des Français ou ressortissants européens auxquels sont réservés les autres concours de la fonction publique. Dans chaque population, la part des agents nés à l’étranger augmente avec l’âge jusqu’à 60 ans; la tranche d’âge modale est celle des 50-59 ans. Pour ce qui concerne la césure observée sur ces courbes, il importe de signaler ici que la variable utilisée (département de naissance) dans le fichier général de l’État (FGE, Insee) ne permet pas de distinguer les anciennes colonies françaises des autres pays étrangers. Ceux qui sont nés dans les anciennes colonies françaises en 1954 (accords de Genève) avaient 53 ans en 2007 et ceux qui sont nés en 1962 (accords d’Évian) 45 ans.
1.2 Mieux recruter et mieux former

Le Conseil de modernisation des politiques publiques du 30 juin 2010 a engagé la poursuite de la mutualisation des concours de recrutement et de la formation. Cette question de la mutualisation des concours et des formations au sein de la fonction publique de l’État n’est pas nouvelle. Mais les actions entreprises sont souvent restées au stade de l’expérimentation sans faire l’objet d’une méthodologie pérenne ni d’une réflexion interministérielle. La mutualisation des concours et de la formation comporte des contraintes particulières et nécessitent la formalisation claire des conditions de collaboration entre les différentes parties au dispositif.
1.2.2 La formation post recrutement – les suites du Rapport Le Bris

Sur la base du rapport remis par M. Raymond-François Le Bris, concernant
les évolutions à apporter à la formation des agents de l’État, le ministre en
charge de la fonction publique a retenu cinq grands axes :
l individualiser les formations ;
l renforcer la professionnalisation du contenu des formations ;
l réduire la durée des formations ;
l accompagner les jeunes fonctionnaires dans le premier poste ;
l encourager le regroupement des écoles.
L’évaluation de la première phase de cette démarche a été réalisée dans le
cadre de deux campagnes de bilans d'étape (janvier – septembre 2010)
ainsi que par l'élaboration des feuilles de route ministérielles du volet 2 de la
RGPP (fin 2010).
Ce bilan montre qu'une majorité de ministères est très largement engagée
dans les chantiers de la professionnalisation et de l'individualisation des
formations et de la réduction des durées. Le rapprochement des écoles
connaît aussi de nombreuses traductions, en particulier dans le cadre du
réseau des écoles de service public (RESP).
On peut à ce titre souligner en particulier :
l la création de l'École nationale des finances publiques ;
l la réduction du format et du nombre des écoles et centres de formation
de la police nationale ;
l la mise en oeuvre d’un partenariat construit entre les Instituts régionaux
d’administration (IRA) et l’Institut de gestion publique et de développement
économique (IGPDE) sur des thématiques communes de formation.
Pour 2011, la mise en oeuvre d'une mission d'inspection chargée d'expertiser
les aspects essentiels de la poursuite de la démarche (bilan des mesures
prises, examen des potentiels de rapprochement voire de fusion d’écoles,
proposition d'outils de suivi de la performance) constituera une étape
essentielle. Cette mission a vocation à déboucher sur de nouvelles orientations la mission devraient être transmises pour l’automne 2011 au ministre de la
Fonction publique.
1.2.3 L’optimisation de la formation
1.2.3.1 Le développement de la mutualisation des formations
« transverses » communes à plusieurs ministères
La création des plates-formes d’appui interministériel à la GRH et la nomination
en leur sein d’un conseiller formation a permis de créer un réseau de formation
continue interministériel dédié à cette seule mission en s’appuyant sur les
correspondants formation ministériels et les pratiques de travail qui préexistaient.
Réuni pour la première fois le 23 janvier 2010, le réseau des conseillers
formation a été chargé par la DGAFP de poursuivre le déploiement et la
mutualisation de la formation en région, engagés depuis de nombreuses
années.
Durant l’année 2010, les plates-formes ont renforcé et mieux structuré le
réseau des correspondants locaux de formation, lui aussi fortement impacté
notamment par la création des DDI, et de nouvelles méthodes de travail ont été
mises en oeuvre. Les thèmes des formations pilotées par les plates-formes
relèvent soit des priorités interministérielles définies par la DGAFP, soit de
contenus récurrents qui forment le socle de l’offre régionale (ex : contentieux,
marchés publics, etc.).
En 2010, 1 200 stages ont ainsi été organisés au bénéfice de 14 500 agents.
Le nombre de journées stagiaires est en hausse : 36 000 jours/stagiaires en
2010 contre 32 000 en 2008 (+12,5 %), signe de cursus de formations sans
doute plus longs dans le cadre de parcours de professionnalisation.
Dans le cadre des mesures décidées par le CMPP du 30 juin 2010, la DGAFP,
assistée de la DGME, a mené une expérimentation pilote de la mutualisation
dans deux régions : Haute-Normandie et Ile-de-France. Cette expérimentation
avait pour objectif d’étendre l’offre de formation interministérielle, de formaliser
des bonnes pratiques et d’accompagner les PFRH dans l’élaboration du plan
annuel de formation présenté en comité de l’administration régionale (CAR).
Ce travail, conduit de septembre à décembre 2010, a donné lieu à la rédaction
de deux guides :
l l’un concerne l’ouverture réciproque anticipée des stages (ORAS) qui
permet la mise à disposition au dernier moment de places restées
vacantes sur des stages ministériels;
l l’autre concerne l’offre commune transverse (OCT) qui consiste à désigner
des ministères comme pilotes dans un domaine dit « transverse » pour
concevoir des stages ou mettre à jour des cahiers des charges existants
et assumer la responsabilité, y compris financière s’ils le peuvent, de la
mise en oeuvre de ces stages dans la région.
Les bénéfices de ce dispositif sont importants tant pour les agents que pour
les services :
l les agents peuvent ainsi avoir une réponse plus rapide à leur besoin de
formation, se situant plus près de leur résidence et/ou correspondant à
un besoin pour lequel leur administration n’a pas de proposition ;
l les administrations ont la possibilité de répondre à des besoins isolés,
peuvent faire des économies sur les frais pédagogiques ainsi que sur les
frais de déplacement. Enfin, elles peuvent également obtenir un taux de
remplissage optimal pour les stages qu’elles organisent.
Le déploiement progressif de cette expérimentation dans l’ensemble des
régions sera engagé en 2011 et 2012, et s’inscrit dans la démarche plus
globale du schéma de mutualisation des moyens entre services déconcentrés
de l’État présenté dans la circulaire du 30 juillet 2010.
1.2.3.2 Le développement de la formation à distance: lancement de l’initiative « classes virtuelles »

La classe virtuelle est une modalité de formation à distance s’appuyant sur une interface web. Il s’agit d’une manière innovante de dispenser un enseignement, nécessitant une adaptation de la pédagogie tant dans le format que dans l’animation des sessions. La finalité du chantier « classes virtuelles » est de promouvoir le dispositif au sein des ministères en substitut d’une partie du « présentiel » sur le fondement de la bonne pratique identifiée au ministère de l’Éducation nationale.
Le déploiement en 2010 s’est réalisé en deux phases successives:
- il s’est agi dans un premier temps de cadrer et d’organiser le projet en lien direct avec les ministères pilotes (Police nationale et Justice): définition du périmètre des travaux, réunions thématiques, plan de mise en oeuvre, etc.;
- puis, d’étendre l’appropriation des classes virtuelles auprès des structures intéressées grâce à l’élaboration d’un kit de transfert méthodologique.
S’agissant des moyens, le projet s’est construit grâce à la participation active des ministères concernés et par la mise en place d’une équipe projet pluridisciplinaire. Le suivi de ce chantier va se poursuivre sur l’année 2011 avec un déploiement opérationnel prévu sur le second semestre.

http://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/statistiques/images/jpg/DGAFP_RA_2010-2011.jpg Den endelige årlige rapport om status Public Service 2010-2011 er online. Årsrapporten præsenteres nu i ét bind, hvilket bragte dens to dele: "Politikker og praksis for menneskelige ressourcer" og "Fakta" Download årsrapporten 2010-2011, metodiske supplerer efter indførelsen af det nye system Information SIASP (INSEE), Fakta og tal: Oversigt over de tre forvaltninger, Fakta og tal: Records, Fakta og tal: Fact Sheets.
Her er to uddrag, en af betjentene i kroppen A + og den anden "bedre uddannelse"
Senior ledere i ministerier: den første omfattende karakterisering af agenter, der tilhører kroppen A + i 2007, Eva Baradji, Aurélie Peyrin, DGAFP.
Ledende medarbejdere i afdelinger kan forstås gennem kroppen og beskæftigelse i kategori A +. Begrebet A + har for nylig været genstand for harmonisering, arbejde og definition inden for DGAFP. I denne sammenhæng, A + befolkningen af ​​agenter i kategori blev første gang beskrevet fra lønningslisten filer af embedsmænd. Denne undersøgelse fokuserer på alle indehavere civile.
84.600 agenter er i kategori A, som udgør 5% af den civile afdelinger for indehavere af 31. december 2007. A + holdere motion oftere end kategori A agenter af deres funktioner i staten (7% mod 1% af kategori A ansatte i ministerier) og i offentlige skoler uden lokal offentlig uddannelse (69% mod 6 %). Befolkningen i denne A +, også står over for et klart adskiller sig fra det sæt af agenter på A-niveau afdelinger: det er flere mandlige (64% mænd blandt de A +, mod 37% af A), ældre (44% er 50 år eller mere, mod 30%) og oftere er født i Paris (15% mod 9%).
Kategori A + gruppering af job og funktionelle organer til forskellige kald og demografiske karakteristika tydeligt adskiller sig, blev de tre populationer etableret: ligene af udøvende og ledelsesmæssige (12% af alle A + 1% med faldende beskæftigelse til regeringens beslutning og lignende), kroppen kompetence, inspektion, kontrol og ekspertise (16,5%), ligene af videregående uddannelse og forskning (71,5%). Mere...

1 février 2012

La dépense nationale pour la formation professionnelle continue

http://www.handipole.org/IMG/gif/vig_Dares_documents-etudes_155.gifLa dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage, Guide méthodologique validité 2009. Dares - Document d’études, numéro 168, Janvier 2012. Télécharger La dépense nationale pour la formation professionnelle continue.
Par Annie DELORT.
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.
Depuis 1987, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) établit un compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage. Ce compte recense les dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage par financeurs et par publics bénéficiaires. Depuis 1993, il donne lieu à une publication intitulée « La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage ».
La première partie du guide décrit rapidement le champ du compte, ses concepts et son organisation. La deuxième partie énumère les dispositifs retenus dans le compte et présente succinctement leurs caractéristiques et objectifs. Cette partie est présentée selon la structure du compte: par financeurs et par publics bénéficiaires. Les dispositifs décrits dans cette édition (validité 2009) couvrent la période 1999-2009. La troisième partie présente la méthode de compilation des données et d’élaboration du compte. Elle décrit les sources et précise la méthodologie employée en cas d’élément manquant ou de ventilation nécessaire entre publics ou dispositifs.
Pour en savoir plus: 2011-082 - La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage, en 2009.
RESUME

Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.
Depuis 1987, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) établit un compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage. Ce compte recense les dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage par financeurs et par publics bénéficiaires. Depuis 1993, il donne lieu à une publication intitulée « La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage, en 2009 ».
La première partie du guide décrit rapidement le champ du compte, ses concepts et son organisation. La deuxième partie énumère les dispositifs retenus dans le compte et présente succinctement leurs caractéristiques et objectifs. Cette partie est présentée selon la structure du compte: par financeurs et par publics bénéficiaires. Les dispositifs décrits dans cette édition (validité 2009) couvrent la période 1999-2009. La troisième partie présente la méthode de compilation des données et d’élaboration du compte. Elle décrit les sources et précise la méthodologie employée en cas d’élément manquant ou de ventilation nécessaire entre publics ou dispositifs.
INTRODUCTION

Depuis 1987, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) établit un compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage. Ce compte recense les dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage par financeurs et par publics bénéficiaires. Depuis 1993, il donne lieu à une publication annuelle sous forme de Dares Analyses intitulée « La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage, en 2009 ».
En 2005, des travaux de rénovation du compte ont été entamés: réorganisation et enrichissement du compte, amélioration de certaines sources (notamment le redressement des déclarations fiscales n°2483 relatives à la participation des employeurs à la formation continue), approfondissement du contenu de la publication. L’enrichissement du compte n’a pu être réalisé sur l’ensemble de l’historique. Les séries publiées depuis 2005 (exercice 2003) remontent à 1999. Depuis, les évolutions apportées au compte sont reportées sur cet historique. Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction. Il se présente en trois parties:
∗ la première partie décrit rapidement le champ du compte, ses concepts et son organisation;
∗ la deuxième partie énumère les dispositifs retenus dans le compte et présente succinctement leurs contenu et objectifs. Les dispositifs décrits couvrent la période 1999-2009. Cette partie est présentée selon la structure du compte: par financeurs et par publics bénéficiaires;
∗ la troisième partie présente la méthode de compilation des données et d’élaboration du compte. Elle décrit les sources et précise la méthodologie employée en cas d’élément manquant ou de ventilation nécessaire entre publics ou dispositifs. Les traitements étant réalisés par sources, cette partie du guide est présentée par sources.
Les annexes apportent des compléments sur:
∗ les récentes réformes de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage (jusqu’en 2009);
∗ la loi organique relative aux lois de finances (LOLF);
∗ le financement de l’Afpa et sa décentralisation;
∗ un dictionnaire des sigles et acronymes de la formation continue et de l’apprentissage.
PREMIERE PARTIE :
CHAMP ET CONCEPTS DU COMPTE
1. LA FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE ET L’APPRENTISSAGE

« La formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale », aux termes de l’article L.6111-1 (anciennement L.900-1) du code du travail, modifié par la loi du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle et au dialogue social et repris dans la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie.
Cet article du code du travail définit la formation professionnelle tout au long de la vie: « Elle comporte une formation initiale, comprenant notamment l'apprentissage, et des formations ultérieures, qui constituent la formation professionnelle continue, destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active ou qui s'y engagent. En outre, toute personne engagée dans la vie active est en droit de faire valider les acquis de son expérience, notamment professionnelle ou liée à l'exercice de responsabilités syndicales.» La loi du 24 novembre 2009 ajoute, à propos de la formation professionnelle, « Elle vise à permettre à chaque personne, indépendamment de son statut, d'acquérir et d'actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d'au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. »
Comme son nom l’indique, le compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage regroupe deux domaines de la formation : la formation professionnelle continue et l’apprentissage.
L’apprentissage relève de la formation initiale, c’est-à-dire la formation des jeunes dont la période de scolarité n’est pas achevée. Cependant, l’apprenti apprend un métier en le pratiquant, il entre dans l’emploi et s’engage dans la vie active. À ce titre, l’apprentissage trouve logiquement une place dans le compte aux côtés de la formation professionnelle continue. L’apprentissage est clairement délimité, puisqu’il regroupe les jeunes en contrat d’apprentissage, bien que les centres de formation des apprentis accueillent parfois des jeunes en contrat de professionnalisation.
La formation professionnelle continue croise deux concepts : formation professionnelle et formation continue. On appelle formation professionnelle une formation permettant à un individu d’acquérir les compétences nécessaires à l’exercice d’un métier ou d’une activité professionnelle. Plus formellement, les certifications professionnelles sont recensées dans le répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), défini par le code de l’Éducation et géré par la Commission nationale de la certification professionnelle. La formation professionnelle est cependant plus large que les seules formations certifiantes.
Comme l’indique le code du travail, la formation professionnelle continue est la formation professionnelle qui s’adresse aux adultes et aux jeunes qui ont achevé leur formation initiale et sont déjà engagés dans la vie active ou s'y engagent. Depuis la loi du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle et au dialogue social, les objectifs de la formation professionnelle continue, tels que fixés par l’article L.6311-1 (anciennement L.900-1) du code du travail sont:
∗ de favoriser l'insertion ou la réinsertion professionnelle des travailleurs,
∗ de permettre leur maintien dans l'emploi,
∗ de favoriser le développement de leurs compétences et l'accès aux différents niveaux de la qualification professionnelle,
∗ de contribuer au développement économique et culturel et à leur promotion sociale,
∗ de permettre le retour à l'emploi des personnes qui ont interrompu leur activité professionnelle pour s'occuper de leurs enfants ou de leur conjoint ou ascendants en situation de dépendance.
Avec la loi du 24 novembre 2009, les objectifs précédents ont été réaffirmés en ajoutant celui de la sécurisation des parcours et de l’emploi.
Le compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage entend le concept de formation professionnelle continue dans un sens assez large. Il intègre des actions et dispositifs d’accompagnement, d’information, d’orientation ou encore d’insertion. Ces actions ne sont pas acceptées dans leur globalité, mais lorsqu’elles visent à adapter la personne à l’emploi et à lui transmettre un savoir (par exemple, on ne prend pas en compte l’orientation réalisée par Pôle emploi).
2. LES FINANCEURS

A ce jour, le compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage recense les dépenses finales réalisées au titre de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage.
Les dépenses finales sont les dépenses immédiatement destinées aux prestations de formation. Elles s’opposent aux dépenses initiales, confiées à un financeur intermédiaire réalisant sa propre politique de formation (par exemple les dotations de régionalisation versées par l’État aux conseils régionaux). En cas de cofinancement, la dépense peut être considérée comme dépense finale pour chacun des partenaires, même si l’achat de formation est réalisé par l’un d’entre eux collectant le financement des autres (par exemple la politique contractuelle de l’État). On considère également comme dépense finale des subventions correspondant à des politiques publiques bien ciblées (par exemple les crédits d’impôt). En revanche, une mesure comme les indemnités de remplacement de salariés partis en formation ne peut être attribuée à l’État comme financeur final, car la rémunération du salarié parti en formation est prise en compte dans la dépense des entreprises.
Le compte est organisé par financeurs. Pour chaque financeur, on distingue les publics bénéficiaires et les dispositifs concernant ces publics. Six financeurs ou catégories de financeurs sont différenciés:
∗ l’État,
∗ les régions,
∗ les autres collectivités territoriales (départements, communes et leurs budgets annexes – BA,
établissements publics de coopération intercommunale – EPCI, établissements publics locaux – EPL),
∗ les autres administrations publiques (Unédic et Pôle emploi, fonction publique hospitalière, Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées – Agefiph, autres),
∗ les entreprises,
∗ les ménages.
3. LES PUBLICS BENEFICIAIRES

La formation professionnelle continue et l’apprentissage s’adressent à quatre grands types de publics bénéficiaires:
∗ les jeunes: jeunes en stage de formation, en contrat d’alternance ou en contrat d'apprentissage. Ces jeunes ont en général moins de 26 ans. Leur expérience professionnelle et leur qualification sont souvent limitées. Tous les jeunes de moins de 26 ans ne sont toutefois pas comptabilisés dans cette catégorie. Ainsi, certains jeunes en emploi sont inclus dans la catégorie « actifs occupés » (ceux qui partent en formation dans le cadre du plan de formation), tandis que les jeunes demandeurs d’emploi dont la formation est financée par Pôle emploi sont dans la catégorie des demandeurs d’emploi (cas des jeunes bénéficiant de l’AREF);
∗ les demandeurs d'emploi: il s'agit en particulier de personnes sans emploi, inscrites ou non à Pôle emploi, qui suivent des stages agréés par l'État, les régions, Pôle emploi ou encore de publics particuliers en difficulté d'insertion (personnes illettrées ou sous main de justice…);
∗ les actifs occupés du secteur privé: salariés et non salariés en emploi dans le privé;
∗ les agents du secteur public: agents des fonctions publiques d'État, hospitalière et territoriale. La fonction publique d'État comprend les agents titulaires et non titulaires des ministères (à l’exception des enseignants-chercheurs, maîtres d’internat et surveillants d’externat compte tenu de la spécificité de leur emploi) et les militaires. Les agents hospitaliers se limitent au personnel non médical, c’est-à-dire hors médecins, ceux-ci bénéficiant de régimes de formation particuliers.
4. LES TYPES DE DEPENSE

On distingue trois types de dépense pour la formation continue et l’apprentissage:
∗ les dépenses de fonctionnement ou frais de formation au sens strict: rémunération des formateurs en face à face pédagogique, achat de matériel, coût des structures, frais d'administration générale (suivi des dossiers, gestion des rémunérations), frais d'information, de conseil ou d'ingénierie en formation, etc.
Les frais de formation peuvent être réalisés sur le marché concurrentiel ou hors marché;
∗ la rémunération des stagiaires au sens large : rémunérations perçues par les salariés durant leur temps de formation, allocations versées aux stagiaires demandeurs d'emploi, exonérations de charges sociales salariales ou patronales compensées par l'État, aides diverses aux stagiaires… Elle exclut les indemnités liées au stage (transport, hébergement, restauration), qui sont comptabilisées dans les dépenses de fonctionnement indirectes;
∗ les frais d'investissement: achats d'équipement et de biens durables directement liés aux actions de formation.
Dans le compte, les frais d’investissement sont regroupés en un bloc pour chaque financeur sans être distingués par public. Suite.

http://www.handipole.org/IMG/gif/vig_Dares_documents-etudes_155.gif Národné výdavky na ďalšie odborné vzdelávanie a vzdelávanie, metodické platnosti Guide 2009. Odváža - Dokument štúdia, číslo 168, január 2012. Stiahnuť štátne výdavky na ďalšie odborné vzdelávanie. Annie DELORT. Tento sprievodca má za cieľ popísať obsah národných účtov výdavkov pre ďalšie odborné vzdelávanie a učenie a vysvetliť metódy a možnosti potrebné pre jeho stavbu. Od roku 1987 Riaditeľstvo pre koordináciu výskumu, štúdií a štatistiky (sa odváži) stanovuje národných účtov ďalšieho profesijného rozvoja a vzdelávania. Tento účet zachytáva výdavky na ďalší profesijný rozvoj a vzdelávanie prostredníctvom verejných výziev na podávanie príjemcu. Od roku 1993, to vyústi v publikácii s názvom "Národný výdavky na ďalšie odborné vzdelávanie a učenie." Pre viac informácií: 2011-082 - Národná výdavky na ďalšie odborné vzdelávanie a učenie, v roku 2009. Viac...

1 février 2012

Experts say loan plan for vocational diplomas will increase students' payments

http://resources2.news.com.au/cs/australian/paid/images/sprite/logos.pngBy Julie Hare and John Ross. JULIA Gillard's plan to introduce income-contingent loans for vocational diplomas is likely to dramatically increase what students pay.
And they say the plan will have little or no impact on skill shortages.
Leesa Wheelahan, an expert in vocational education, said colleges would take advantage of the loans to boost fees for students.
Victorian diploma fees have tripled to $2500 since the state implemented similar reforms in 2008, making them the most expensive government-subsidised diplomas in Australia. Government-subsidised advanced diploma fees cost $990 a year in Tasmania, $1212 in Western Australia, $1350 in the ACT and $1570 in NSW. At the same time there are questions over whether the Victorian reforms have increased student numbers, or simply shifted private, fee-paying students on to the public purse.
Phil Lewis, a professor in labour market economics, said the Prime Minister's plan would be unlikely to affect skill shortages.
"On the margins it may help poor kids who may have been put off by the upfront fee,"Professor Lewis said.
Pat Forward, national TAFE secretary for the Australian Education Union, was also concerned the move would simply shift the burden of cost.
She said many VET students were debt averse and would be wary of a HECS-style scheme. "They tend to be working-class kids and they are not confident that training will lead to better jobs," she said.
But TAFE Directors Australia said the move would elevate the status of vocational training.
"This will really give career counsellors a big change in their approach," said chief executive Martin Riordan.
The government is offering an additional $1.75 billion on condition the states agree to the loans and guarantee students subsidised places up to certificate III level.
1 février 2012

OBHE report on international branch campuses

http://www.tolkenselect.nl/upload/Image/nuffic_Tolkenselect.PNGPosted by Marianne Cox. The Observatory on Borderless Higher Education (OBHE) recently published its fourth report on international branch campus (IBCs), one of the intriguing developments in internationalisation in higher education of recent years.
Report
The International Branch Campuses: data and developments report, is based on a vast amount of data and in the analysis a serious attempt is made to come to grips with these outposts of national institutions and their activities. The report provides a list of branch campuses in operation, courses, degrees, student numbers and fees. It also presents definitions and identifies trends and developments in this expanding development.
The report provides an interesting insight into 'the shift of activity to the Far East and inter-regional South-South IBCs' and highlights the effects of the involvement of governments when educational goals are integrated into economic strategic policies, something especially visible in IBC activity in Asia. Defining IBCs as such, however, is another matter.
A moving target

Even though the authors concede that there 'is no universally agreed definition of an international branch campus', the researchers base the report on the following definition of an international branch campus:
A higher education institution that is located in another country from the institution which either originated it or operates it, with some physical presence in the host country, and which awards at least one degree in the host country that is accredited in the country of the originating institution.
It is quite clear that the authors walked a careful and laborious track before agreeing on the definition. Various models and types of foreign institutions and programmes were investigated and a large part of the report is devoted to its defence. This course of consideration is of course laudable, yet the examples and the listings show how difficult it is to distinguish transnational education (TNE) and branch campus operations. As it appears to be equally difficult to apply the definition consistently in the course of the report. For instance, according to the definition only institutions (...) which award at least one degree in the host country that is accredited in the country of the originating institution are included in the listing of the IBCs. The partnership of Yale University with the National University of Singapore (NUS) is included, even though 'the degree will be awarded by the NUS alone'. According to the definition this would mean that the NUS degree is accredited in the US in line with a Yale degree. Is that true? Later on, more examples of joint Master degrees are mentioned which in some cases have, and in other cases have not been included because their operations are or are not, covered by the definition. It is a bit confusing. 
Of course definitions are indispensable in a well-argumented academic report, and I do not intend to address the issue whether a comprehensive definition for this multi-faced phenomenon is at all possible. It has been addressed most eloquently in a blog in The Chronicle by Jason Lane and Kevin Kisner, who noted that an attempt to define foreign educational outposts in all their varieties might be close to 'an attempt to hit a moving target'.
Another issue

There is another issue, however, I would like to address. It relates to the second element in the definition: an institution (...) which awards at least one degree in the host country that is accredited in the country of the originating institution.
Following their definition, the authors in the annex include a long list of IBCs and their degrees, and add a list of the accreditation bodies that serves to guarantee the quality of the institutions and degrees quoted. Yet the authors do not define the term 'accreditation' nor do they provide any background information on these bodies. The term 'degree' as such is not made explicit, nor the implication of what an 'accredited degree' entails. The issue is touched on slightly in a section devoted to the 'Law and regulation in host countries' where 'a caveat worth considering (...) is whether a degree programme at an IBC will be formally recognised in the host country for employment or further study'. The observation, however, only addresses the situation in the host countries.
Degrees accredited in the country of the originating institution involve the regulations in the home country in view of employment and further study and it is here that the accreditation and – in consequence – the (national) recognition of the degree is at stake.
Degrees

‘Degrees’ taken in this broad worldwide context require a clear definition, as does accreditation.
A bachelor’s degree obtained in one country may represent something quite different in terms of content ,quality and educational level from a  bachelor’s degree obtained in another, even though de nomenclature is the same. Moreover the possibilities in terms of further education or access to the job market may vary as much. A German trained medical doctor can practice in any other European (Union) country, whereas establishing himself in the US would not be quite so automatic.
The same argument applies to accreditation. Accreditation – originally an American phenomenon – has an established structure in the US where 'recognised' accreditation bodies, to a degree, enjoy a more or less 'guaranteed' status when recognised by the CHEA (Council for Higher Education Accreditation). Their International Directory is used by most established credential evaluation offices in the world as a reference for the status of American accreditation agencies.(All American agencies quoted in the report, by the way, are in the Directory).
Accreditation
In Europe however, accreditation as a quality assurance mechanism carried out by an independent body is a more recent phenomenon. In many European countries – outside the UK - quality assurance in education was for a long time embedded in national legislation. The introduction of accreditation bodies as independent agencies has expanded greatly in recent years, but hardly in a homogenous fashion. In the Netherlands for instance the NVAO – established by the Dutch and Flemish governments-  is a bi-national accreditation body whose approval is required for graduates to obtain national recognised degrees. In other European countries accreditation bodies are independent – sometimes commercial enterprises - sometimes restricted to quality assurance of particular fields or sectors of higher education, and not necessarily under national legislation. Some countries only know accreditation of institutions while in others programme accreditation is the main objective.
In this report accreditation organisations appear to have all been put into one box. A closer look at the degrees cited by the Observatory, raises the question what the status of the material presented here is. A case in point is Dutch Stenden university which has a number of outposts in different parts of the world. Where it appears in the report’s listing, either in the column of host or home institution, a great variety of bodies appear responsible for the accreditation of the diplomas they issue, without this being corroborated. The Ministry of education in Indonesia (DKTI) mentioned for instance, is not an accreditation body, nor is the Dutch ministry, for that matter.
Recognition
The report purports to present an overview of IBC activity, with listings of trustworthy institutions awarding recognised degrees. The (hard?) data presented call for closer scrutiny of whether we are dealing with recognised institutions offering recognised degrees. Apart from that, the award of a degree accredited in the originating country would imply that the degree quoted would give its holder the same rights and opportunities as the holder a national degree obtained at the home institution would have. Much national legislation – in any case in Europe – does not allow the award of a national degree at outposts of their institutions. In practice, this means that graduates of these foreign campuses have no direct access to – for instance - PhD programs or regular professions in the 'home' country, i.e. the country of the originating institution.
Globalisation and final products

The report provides an interesting view of the shifts and new developments that globalisation in higher education is facing. However as long as educational systems provide us with end products – i.e. our diploma's and degrees –and the labour market organises itself on that basis (many remuneration systems are still based upon level of qualifications) , the focus should be on the value of what is obtained at the end of the (educational) track. These 'products' are still, most often, in any case in Europe,  embedded in national regulatory frameworks.
Looking at the issue from an output point of view, it should not really matter in what geographical location the educational programme is provided. Maybe IBCs or educational outposts are in themselves not so important: it is what they ‘produce’ that is. 
It is the quality and the opportunities the final product provides where the focus should be.
This may be as much the case in the host as in the home country.
But preferably: in both.
1 février 2012

The do’s and don’ts of higher education abroad

http://www.dawn.com/wp-content/themes/dawnwp/Nimages/Home.gifBy Murtaza Haider. For a nation of 180-million people, a very small fraction of Pakistanis pursue higher education. Compared to Canada, where one in every 33 people is enrolled in a university, only one in 180 persons is enrolled in a University in Pakistan. Despite the expansion of the higher education sector in the past few years, the demand for higher education far exceeds the supply in Pakistan resulting in hundreds of thousands of Pakistani youth searching for higher education opportunities abroad.
With almost $30 billion in revenue collected as tuition fees from an estimated two-million students studying abroad, higher education is a large global enterprise where both public and private sectors universities in the West cater to the demand for higher education generated by foreign students. A very small number of the global population of two million students studying abroad are Pakistanis. Given that the demand for higher education in Pakistan cannot be met locally, the private sector, students, and their parents must work together to find innovative solutions for securing higher education opportunities for Pakistani students.
http://www.dawn.com/wp-content/uploads/2012/02/un_enrolment_543.jpgThe Higher Education Commission under General Musharraf received generous funding from domestic and foreign sources that led to the expansion of the higher education sector in Pakistan. Most of these funds arrived after September 2001 when Americans and Europeans channelled huge sums of money to Pakistani universities to stem the tide of religious extremism.  Speaking to the Chronicle of Higher Education in January 2007, renowned researcher Hasan Askari Rizvi explained that some in the West naively believed that higher education “can change the mind-set of Pakistanis so they will become moderate and pro-America.” Irrespective of the motives, the huge sums received for higher education resulted in a dramatic expansion in the higher education sector in Pakistan where university enrolment jumped from under 100,000 in 1998-99 to an estimated 1.1 million in 2011.
This dramatic increase resulted from increasing the capacity of existing universities, but more importantly from granting charter to a large number of private sector universities. While the expansion of universities in the federal capital, Islamabad, occurred primarily in the public sector, the expansion in Sindh and Punjab was largely driven by the private sector. In the academic year 2009-10 alone, the Higher Education Commission granted license (recognition) to three new universities. The rapid expansion of the university system met with strong criticism. “The slapdash methods of the government’s reform efforts have done more to widen the cracks in an already weak infrastructure than to lay the foundation for an educational renaissance,” argued some skeptics while speaking to the Chronicle of Higher Education in 2007.
While the demand for quality higher education will force many aspiring youth to seek education opportunities abroad, they will face an uphill battle trying to obtain quality advice on how to prepare for higher education in foreign universities. Most students’ parents, family members, and friends have no prior experience of higher education in foreign countries. At the same time their instructors are also largely trained in Pakistan and cannot offer advice. The private sector higher education consultants in Pakistan are mostly quacks who charge exorbitant amounts for inadequate advice.
In the following paragraphs, I will explain some important considerations for those who would like to pursue graduate degrees in Europe or North America. While the list could be longer, however, the following key considerations are likely to have the biggest influence on one’s ability to succeed in obtaining higher education abroad.
Remember, Bachelors is 16 years of Education

In North America, Europe, and Australia, a Bachelors degree is awarded after 16-years of formal education. In Pakistan, a BA is awarded after 14 years of formal education. Therefore those who have completed a Bachelors from Pakistan are not eligible to be enrolled in a graduate degree abroad. Pakistani students are better off completing a post-graduate degree in Pakistan (16 years of formal education) before applying for a graduate degree abroad.
Several private sector universities have implemented semester system based undergraduate curriculum, which is similar to the one implemented abroad. Graduates from such universities may apply directly to graduate programs abroad.
Know the Deadlines

Most graduate programs abroad begin in September. Often admission deadlines for foreign students are in March or April. Applicants should ensure that complete applications with reference letters, transcripts, and other supporting materials reach the university well before the deadline. Applying sooner always increases one’s chances for admissions.
http://www.dawn.com/wp-content/uploads/2012/02/breakdown.jpgSearch for the University that wants You
While you as an aspiring student are nervously applying to universities abroad, administrators at many universities are also nervously waiting for applications to arrive. Remember not every department in every foreign university is fortunate to have thousands of applications. Sometimes some departments in very well-known universities are struggling to attract graduate students and hence are keen to greet all applicants with interest. The challenge for the applicant is to try to determine what departments or universities are eager to have additional students.
A rule of thumb, especially if you are not the top innovator who has already published his or her research in Nature,  is to avoid applying to Ivy League universities, such as Stanford, Harvard, and other similar universities, which attract applications from the top talent in not just the United States, but from all over the world. There is no shortage of decent, not necessarily top-quality, universities in the Western world. In the United States alone there are roughly 5,500 universities or institutes of higher learning where approximately 14 million students are currently enrolled. As a smart aspiring student, you should be able to use the Internet effectively to develop a list of second-tier universities that offer specializations in your interest. From that list of prospects, you should initiate a dialogue with admission officers to determine information about acceptance rates. If the department of your interest accepts only 5% of the applicants, you may want to expand your search to other institutions where your odds have to be much higher than mere 5%.
Know who to contact at the University

Never send the same letter of interest to every professor in the same department. If you send an email to every listed faculty member on the department’s website expressing your keenness to join their research team, you are most likely not to get a response at all. You should do research to determine who is the right person to receive your inquiry instead of sending mass emails.
Take all required tests

Often Pakistani applicants are wrong-footed by default at the start of the application process when they start requesting for exemptions from the university’s stated admission policy. This hurts applicant’s prospects big time. If the university wants foreign applicants to demonstrate proficiency in English language by taking some test, such as TOEFL, comply with the conditions. Instead most Pakistani students start negotiating with the university to exempt them from TOEFL, GRE, GMAT, or LSAT tests.
These tests are an excellent opportunity for students to get a taste of the pedagogy in foreign universities. By demonstrating proficiency in these tests applicants can have their candidacy established more firmly because the university will have more confidence in your abilities after learning about your good scores in these tests. You have to realize that most admission committees have not heard of the university from where you have graduated. Even if one is the top student in one’s graduating class, the admission committees have no way of finding an equivalence of your performance abroad.
Learn Writing in English

A few years ago an eager student from Pakistan sent his inquiry to me in an email exploring the possibility of doing research in my lab. However, what the student really wrote in his email was quite different than what he intended to say. He wrote: “I am interested in transport planning and would like to explore myself with you!” I obviously could not share his stated interest but realized that lack of English proficiency will be a huge deterrent for the student.
The undergraduate curriculum in Pakistan seldom requires students to write essays in any language, let alone English. Thus critical thinking and writing skills fail to develop in Pakistan in most undergraduate and graduate programs. The graduate curriculum abroad is based on extensive academic writing in English. Instead of arguing with others about your proficiency in writing, try instead of proving it by writing an op-ed article for Dawn or any other English language paper. In fact try publishing an article in Urdu in a newspaper in Pakistan. If you fail to do so, know then that you need help with writing. You better learn it before you board the plane.
Learn Statistics

If you are not pursuing a degree in humanities, you will most likely be asked to take a course in statistics. That’s where the trouble begins for most Pakistani students who often have no prior training in statistical analysis. I have seen one of the highest failure rates in statistics for Pakistani students. Even those who have taken graduate level statistics or econometric courses in Pakistan arrive with no proficiency in any statistical software. From psychology to geography, from engineering to epidemiology, statistical analysis is the workhorse of the western research establishment. My advice is to take an online course in applied statistical analysis from foreign institutes, such as http://www.statistics.com/, before you embark on your journey for higher education.
Have $35,000 handy

While you may qualify for scholarships or bursaries in the second year of your graduate program, you are most likely to receive almost no, or very little, funding in the first year of your studies.  For this reason you must have at least $35,000 with you of which approximately $15,000 will be the tuition fee and the rest will be living expenses.
Given that most Pakistani students are not familiar with the western education system, they should avoid working on or off-campus to allow them sufficient opportunity to familiarise with the new pedagogy. This will only happen if one has access to sufficient funds to bear expenses for at least a year.
Don’t get engaged or married the week before your departure

The moment it becomes obvious to parents that their son or daughter may soon be departing for higher education, they try to have the soon-to-be-leaving offspring at least engaged, if not married, just in time before they embark for higher education abroad. This results in unnecessary emotional baggage that many Pakistani students end up travelling with. Leaving a fiancé or a newly-wed spouse behind takes its toll and more often than not, their grades and research suffer.
Parents engineer such moves to pre-empt their child from finding a spouse abroad. My advice is to avoid last-minute nuptials. This results in serious emotional hardship for the student who is often without friends and family for the first semester abroad. Instead of being a source of emotional support, often families become the source of emotional hardship for young scholars in foreign lands.
Murtaza Haider, Ph.D. is the Associate Dean of research and graduate programs at the Ted Rogers School of Management at Ryerson University in Toronto. He can be reached by email at murtaza.haider@ryerson.ca. The views expressed by this blogger and in the following reader comments do not necessarily reflect the views and policies of the Dawn Media Group.
1 février 2012

3ème colloque IFFRES

http://projet-phoebus.pagesperso-orange.fr/photographies/logo-iffres.pngL’IFFRES prépare son troisième colloque.
Après le succès du colloque des 6 & 7 octobre 2011 « Perspectives du mécénat dans la recherche & de l’enseignement supérieur en France », l’IFFRES a le plaisir de vous convier les 15 et 16 novembre 2012 à son prochain colloque qui se déroulera au Centre de Conférences Les Cordeliers de l’Université Pierre et Marie Curie au cœur du Quartier Latin à Paris.
Parce que nous voulons construire de nouvelles passerelles entre l’Enseignement Supérieur, la Recherche et les entreprises, nous mettons en place ce colloque, proposé comme un espace de dialogue, d’échange de cultures, de savoirs et de pratiques, comme un lieu de rencontres entre tous les acteurs du secteur.
Révolution dans la Recherche et l'Enseignement Supérieur.
Foisonnement des fondations de Recherche et d'Enseignement Supérieur.
Répercussion des crises économique, financière, sociétale et morale.
Redistribution des rôles entre les entreprises, le citoyen, les institutions, les pouvoirs publics nationaux et territoriaux.
Quelles actions pour renforcer le mécénat et les ressources privées de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur?
Retrouvons nous à Paris, au 3ème colloque IFFRES les 15 & 16 novembre pour en débattre.
Pour ceux qui le souhaitent, rejoignez nous dès janvier 2012, dans le cadre des Thinktanks préparatoires.
Voir aussi Perspectives du mécénat pour la recherche et l'enseignement supérieur en France 2e colloque de l'IFFRES, Les fondations, nouvel espace pour l'enseignement supérieur, 5ème Conférence de Fundraising pour l'Enseignement supérieur, Réussir son fundraising dans l’enseignement supérieur 1er colloque de l'IFFRES, 4ème Conférence de Fundraising pour l'Enseignement Supérieur et la Recherche.

http://projet-phoebus.pagesperso-orange.fr/photographies/logo-iffres.png Den IFFRES forbereder sin tredje konference.
Efter succesen med konferencen den 6 & 7 OKT 2011 "Perspektiver for protektion i forskning og videregående uddannelser i Frankrig," det IFFRES er glad for at invitere dig den 15. og 16. november 2012 sin næste konference, der afholdes Conference Centre Den Cordeliers Universitet Pierre et Marie Curie i hjertet af Latinerkvarteret i Paris.

Fordi vi ønsker at bygge nye broer mellem videregående uddannelse, forskning og erhvervsliv, har vi oprettet denne konference, foreslået som et rum for dialog, udveksling af kultur, viden og praksis, som et sted for Møder mellem alle interessenter
. Mere...
1 février 2012

1er Colloque Européen de l’association nationale des responsables universitaires du développement professionnel médical continu

http://www.urgence-pratique.com/sites/default/files/medias/images/agenda/cid_6952b9d0d47c4ac099e03cf39f193f1cupf.jpgBienvenue sur le site du 1er Colloque Européen de l’association nationale des responsables universitaires du développement professionnel médical continu (FMC-U). Vendredi 3 février 2012. Faculté de Médecine Paris-Diderot Paris 7 - Site Villemin.
L'association Nationale des Responsables Universitaires du Développement Professionnel Continu (FMC-U) organise, le 3 février 2012 à l'Université Paris-Diderot, son premier colloque européen destiné à développer l'innovation dans la formation permanente en santé.
A une époque où les contraintes réglementaires et budgétaires se multiplient, il importe plus que jamais d'améliorer la qualité et l'efficience des soins. Développer une pédagogie innovante pour optimiser l'impact des recommandations de bonne pratique et de bon usage apparait comme une nécessité pour renforcer les compétences et les connaissances des professionnels de santé au service des usagers.
Autour de 3 mots clé "mieux concevoir", "mieux former" et "mieux prescrire", nous aborderons avec le concours d'experts français et étrangers, professionnels et représentants de patients, les expériences européennes, les méthodes de simulation, les médicaments génériques et la prescription médicamenteuse en Europe.
Les responsables universitaires et non universitaires, impliqués dans la formation continue et l'analyse des pratiques professionnelles, ainsi que les représentants institutionnels sont invités à y participer.
Cette réunion est réalisée en partenariat avec l'Association Européenne de Pharmacologie Clinique et Thérapeutique, l'Association Pédagogique Nationale pour l'Enseignement Thérapeutique (APNET).
Nous remercions de leur soutien la conférence des doyens des facultés de médecine, l'OCDE, la CNAMTs, l'Université Paris-Diderot, l'AP-HP.
Nous espérons votre participation active pour enrichir nos débats et élaborer ensemble des recommandations pédagogiques qui feront l'objet d'une publication ultérieure.
Dans l'attente de vous rencontrer et au nom des membres des comités scientifique et d'organisation, je vous adresse, Madame, Monsieur, Cher Confrère, mes salutations cordiales et dévouées. Pr Jean-Dominique de Korwin, Président de FMC-U.
Préinscription

Veuillez remplir le formulaire d'inscription avec le plus grand soin, afin d'éviter tout problème d'enregistrement. L'adresse électronique servira à l'identification du compte, elle doit donc être unique pour chaque participant. Après la procédure de pré-inscription, il est nécessaire de valider son enregistrement en suivant la procédure envoyée par courrier électronique. Cette procédure créera un compte qui sera accessible via l'adresse électronique et le mot de passe. Si vous n'avez pas reçu dans votre boîte de réception de votre messagerie aucun e-mail avec en objet "FMCU2012: Validation du compte" veuillez nous contacter à l'adresse suivante fmcu2012@univ-lyon1.fr.
Vitajte v prvej Európskej konferencie Národnej asociácie akademických vodcov profesijného rozvoja (CME-U). Piatok 3.02.2012. Lekárska fakulta Paris-Diderot Paris 7 - Site Villemin.
Národná asociácia vedúcich univerzít ďalšieho profesijného rozvoja (CME-U) platí, 3. februára 2012 na univerzite Paris-Diderot, jeho prvé európske konferencie zameranej na rozvoj inovácií v oblasti ďalšieho vzdelávania v oblasti zdravia
. Viac...
1 février 2012

La course aux regroupements des universités de Province: le prix à payer

http://www.finance-watch.org/wp-content/uploads/2011/06/Le_Monde_logo.pngPar Loïc Grard, professeur de droit public, Université de Bordeaux. 2012 marque une étape symbolique dans la recomposition du paysage universitaire provincial. Les nouvelles universités de Lorraine et d'Aix-Marseille vont faire leurs premiers pas. Elles témoignent, chacune à sa manière, de l'aboutissement d'une politique résolue et subtile de réduction du nombre d'établissements universitaires en France 80 universités, quatre pour la seule agglomération bordelaise, c'est excessif. L'enseignement supérieur en province est en miettes. Les partenaires de l'université, collectivités locales ou organismes de recherche s'en plaignent depuis longtemps et revendiquent un surcroît de lisibilité. De même, au regard de son environnement européen et international, l'université française en dehors de Paris ne se visualise pas.
La dispersion universitaire représente aussi un coût pour l'Etat. Ici se situe la raison inavouée de la politique de regroupement. Réduire le nombre d'universités réduit le nombre d'évaluations, le nombre de dotations budgétaires, simplifie la gestion du personnel, etc. L'Etat se désengage au profit de structures ayant la taille critique pour prendre le relai. C'est sans surprise une logique libérale. C'est pourquoi, dans le cadre d'une politique moins contraignante qu'incitative, le ministère de l'enseignement supérieur pousse au regroupement. Rien n'est imposé. Tout a été suggéré fortement. L'opération Campus en 2008, puis initiative d'excellence en 2010 ont porté le processus. La règle du jeu était simple: impossible d'être lauréat, si les initiatives d'un même site n'étaient pas communes. Alors la course au regroupement a commencé. Les rapprochements universitaires sont donc moins voulus que subis.
La carte universitaire française évolue sous nos yeux par la formation de quelques universités géantes. En face, vont survivre des petites universités. Entre les deux : point de modèle intermédiaire. La coupure entre la première division et la deuxième division universitaire est en marche. Dans ce mouvement, l'université de Strasbourg créée en 2008 a fait jurisprudence. Mais une sorte de jurisprudence négative. Il est de bon ton de dire: oui au regroupement, mais surtout pas comme Strasbourg. La critique récurrente dénonce un modèle insuffisamment intégré laissant survivre un nombre de composantes trop élevé. L'union ne serait que de façade et laisse survivre des divisions plus marquées peut être qu'avant.
En réaction au précédent strasbourgeois, deux modèles prospèrent pour regrouper l'université en province:
- le Strasbourg "soft" : Aix-Marseille,

- la remise à plat: Université de Lorraine et probablement l'Université de Bordeaux.
Les statuts de l'Université d'Aix-Marseille mettent en place un établissement universitaire de facture fort classique conforme au code de l'éducation, assurant la coexistence d'UFR et d'écoles et d'instituts. Le changement dans la continuité. C'est une révolution douce, qui passe par l'effacement des universités existantes pour créer une ligne directe entre leurs ex composantes et le nouvel établissement unique. La réforme ne redistribue pas les cartes. La logique "aixo-marseillaise" n'est pas fusionnelle, plutôt unioniste.
Il en va différemment de l'autre modèle de regroupement incarné par l'université de Lorraine et la future université de Bordeaux.
L'université de Lorraine (UdL) a elle été créée sur la base d'un statut juridique diffèrent: le grand établissement. Cette université n'est donc juridiquement pas une université!… La sélection des étudiants à l'entrée et la variation des droits d'inscription deviennent en conséquence possible… le recul dans la participation des étudiants dans la vie de l'établissement aussi…. En revanche plus de personnalités extérieures participeront aux décisions…. Ce choix s'explique d'abord par la volonté de préserver les spécificités de l'Institut polytechnique, membre fondateur et aussi par la volonté d'innover dans le fonctionnement du grand ensemble, par la création de nouvelles créatures universitaires: les "collégiums" et les pôles scientifiques. Les premiers piloteront la formation et les seconds la recherche. Ce sont des structures intermédiaires inédites qui exerceront une tutelle sur les UFR et sur les laboratoires de recherche en séparant nettement le management de la recherche et de la pédagogie.
L'Université de Bordeaux entend aller plus loin encore. Ce qui permet d'imaginer que seul pourra répondre à ses ambitions le statut de grand établissement (aux mêmes causes les mêmes effets). Tout cela doit se mettre en place le 1er janvier 2014. Les premières bases sont là : trois universités s'effacent pour laisser place à des collèges en ce qui concerne la formation et des départements et des pôles pour la recherche. La jurisprudence lorraine de la dissociation est appropriée. Mais la mise en œuvre du schéma est biaisée. D'abord les deux écoles (Science po et l'IPB) ne se fondent pas dans le schéma général. La quatrième université (Bordeaux 3) n'est pas entrée dans le processus.
Tout un ensemble de questions subsistent en termes de gouvernance. Car tel est bien ici le cœur du problème. L'option choisie pousse au redéploiement des forces de formation d'une part et de recherche d'autre part. Mais les grandes options scientifiques peuvent-elles raisonnablement être arrêtées en méconnaissance de celles relatives à la pédagogie? Dans des domaines où les étudiants sont peu nombreux certainement. Mais dans des disciplines, tel le droit, où la population étudiante ne cesse d'augmenter c'est beaucoup plus contestable.
Autre élément de complication: alors que Nancy limite les collèges aux grands secteurs de formation, et ne joue pas à saucissonner la recherche entre des départements et des pôles, Bordeaux est tentée d'aller bien au-delà.
Dernier problème, les décideurs universitaires locaux croient pouvoir gérer ces grands ensembles dans une unité de règles alors qu'ils seront le produit de cultures universitaires fort différentes. Comment ces nouvelles unités peuvent-elles gérer la diversité autrement qu'en créant des règles diverses?
Et puis, finalement ces machines à simplifier la carte universitaire française ne sont-elles pas en train de compliquer le fonctionnement des universités? Bordeaux: à la place des trois universités vont cohabiter un nombre indéterminé de collèges, de pôles et de départements dont il va falloir de surcroît coordonner l'action. Simplifier la tâche de l'Etat en matière d'enseignement supérieur aura pour prix la bureaucratisation du fonctionnement des universités, qui finira par échapper aux universitaires, pour revenir à des administrateurs ou mieux ou pire à des managers!
http://www.finance-watch.org/wp-content/uploads/2011/06/Le_Monde_logo.png By Loïc Grard, Professor of Public Law, University of Bordeaux. 2012 marks a symbolic step in the restructuring of the provincial university landscape. The new universities of Lorraine and Aix-Marseille will take their first steps. They reflect, in their own way, the culmination of a determined policy and subtle to reduce the number of academic institutions in France 80 universities, four for the only city of Bordeaux is excessive. Higher education in the province is in tatters. The partners of the university, local government or research organizations complain long and demanding extra readability. Similarly, with regard to its European and international environment, the French university outside Paris did not visualize. More...
1 février 2012

Chômeurs de plus de 45 ans: citoyens de seconde zone

http://www.initiatives-emploi.fr/logo.pngL’Association ASSPRO a pour vocation d’informer sur les thèmes de l’emploi, de la formation, de l’insertion, de la Responsabilité Sociétale des Entreprises. L’ASSPRO est présente sur le terrain au plus prêt de ceux qui ont besoin de ses services et annonce ses « cafés SENIORS actifs » du mois de février. C’est aussi l’occasion de préciser, une fois de plus, la situation d’exclusion sociale que vivent au quotidien 20% de nos concitoyens…
Les cafés ACTIFS seniors : seniors, ne restez pas seuls !
Nantes - le jeudi 23 février 2012

A la Fantasia de Marrakech 332 bld Marcel Paul 44800 St Herblain de 15h30 à 18h00 (gratuit)
Programme
1 Les contrats aidés

L'Etat propose des "contrats aidés". Nous vous invitons à découvrir les contenus de ces aides et les modalités d'accès. Un intervenant de la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE) nous présentera ces contrats. Qui, c'est certain, pourront en aider plus d'un…
2. La Validation des Acquis de l'Expérience

Nous, les seniors, nous avons, dans la plupart des cas, une grande expérience professionnelle. Mais, c'est vrai, parfois nous n'avons pas le sacro saint diplôme qui nous permettrait de décrocher l'emploi. Il arrive aussi que nous ayons un diplôme mais pas assez élevé. La validation des acquis de l'expérience est un dispositif inscrit dans la loi qui permet d'obtenir le diplôme sans avoir à reprendre des études (du CAP au titre d'ingénieur). Pour nous en parler, nous avons invité une spécialiste reconnue, Mme Patricia GUILLARD, directrice du Conservatoire National des Arts et Métiers de Nantes (CNAM).
ST Nazaire - le mardi 28 février 2012

Au Café restaurant pédagogique du lycée hôtelier Sainte-Anne DE 15h30 à 18h (gratuit)
Programme
1 Les contrats aidés

L'Etat propose des "contrats aidés". Nous vous invitons à découvrir les contenus de ces aides et les modalités d'accès. M. Willy VASSE, directeur adjoint à la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE) nous présentera ces contrats.
2 L'observatoire régional de l'emploi des Pays de la Loire

Comment s'informer sur les métiers qui embauchent? Je voudrais faire une formation mais le secteur que j'ai choisi a-t-il encore un avenir? Comment m'informer sans se perdre dans les dédales du net? Hervé BONNET directeur des études de Pôle emploi Pays de la loire nous présentera l'observatoire régional de l'emploi, un outil très efficace.
Politiques et administrations: réveillez-vous, agissez!

«  Il y a au niveau national 860000 demandeurs d’emploi de plus de 50 ans. Mais, c’est sans compter les 45-50 ans ni tous ceux qui ne sont plus inscrits à Pôle emploi, par dépit, en réalité, nous dépassons le million.» Déclare le délégué de l’association. « En Loire Atlantique, leur nombre a dépassé les 16000 et nous ne voyons pas vraiment l’intérêt de l’Etat ni des politiques pour ce problème majeur. C’est bien entendu inacceptable car à notre avis le fait d’être au chômage n’a jamais fait perdre la citoyenneté ! Et donc le devoir de solidarité. Les seniors ACTIFS doivent être pris en considération et ne pas être méprisés comme c’est le cas actuellement » tient-il à affirmer.
Pour en savoir plus: www.initiatives-emploi.fr. Relation presse: jean-yves@lanton.fr tel 06 33 05 52 63.

http://www.initiatives-emploi.fr/logo.png ASSPRO Foreningen har til formål at informere om emner af beskæftigelse, uddannelse, integration af Corporate Social Responsibility. Den ASSPRO er til stede på jorden tættere på dem, der har brug for sine tjenester og annoncerer "caféer aktive seniorer" i februar. Det er også en mulighed for at præcisere, endnu engang, situationen for social udstødelse, der opleves dagligt 20% af vores borgere. For mere information: www.initiative-emploi.fr. Pressechef: jean-yves@lanton.fr som +33 6 33 05 52 63. Mere...
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