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Formation Continue du Supérieur

10 février 2013

Appel à Manifestation d’Intérêt pour le SIEG Formation Professionnelle Continue

http://pro.formationauvergne.com/sites/all/themes/auvergne_pro/logo.pngLe Conseil régional d'Auvergne vient de lancer son Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour la mise en oeuvre du Service d'Intérêt Economique Général (SIEG) 2014 Formation Professionnelle Continue (FPC).
Le périmètre du SIEG concerne l'ensemble des actions collectives de formation préparatoires à l'emploi et/ou à la qualification. Les organismes de formation (ou groupements d'organismes) souhaitant se positionner peuvent le faire sur la plateforme des marchés publics de la Région Auvergne.
La date limite de dépôt de candidature est fixée au 5 avril 2013 à 12 heures.
Pour tout renseignement sur cet AMI, les candidats devront s’inscrire sur le réseau IODA, le réseau social des acteurs de la formation, de l’orientation et de l’emploi en Auvergne. Pour ouvrir un compte sur cet espace collaboratif et intégrer la « Communauté SIEG » spécifiquement animée par les services de la Région Auvergne, chaque candidat doit adresser sa demande exclusivement par mail à mp.formation@cr-auvergne.fr.
Une réunon d'information concernant la mise en place d’une comptabilité analytique respectant les obligations du SIEG et l’utilisation des grilles financières est organisée le mardi 12 mars 2013 de 14 heures à 17 heures au Lycée Amédée Gasquet, 12 rue Jean-Baptiste Torrilhon à Clermont-Ferrand. Inscription par mail à mp.formation@cr-auvergne.fr. Plus d'infos: consultez l'AMI pour le SIEG 2014 sur la plateforme.
http://pro.formationauvergne.com/sites/all/themes/auvergne_pro/logo.png The Auvergne Regional Council has launched its Call for Expression of Interest (AMI) for the implementation of the Service of General Economic Interest (SGEI) 2014 Continuing Professional Development (CPD). More...
10 février 2013

La formation professionnelle, un investissement majeur pour la compétitivité durable des entreprises et des territoires

La formation professionnelle, un investissement majeur pour la compétitivité durable des entreprises et des territoires
Jeudi, 28 Février 2013 - Paris
Ce colloque est organisé par la Fédération de la formation professionnelle. Il se déroulera en présence d’Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif et de Thierry Repentin, ministre délégué chargé de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage.
Il abordera les thèmes suivants:

- Les enjeux économiques et sociétaux de la formation professionnelle,
- Formation: où en est la France par rapport aux autres pays de l’Ocde?
- Panorama des pratiques de reporting des entreprises du Sbf120 de leur politique de formation,
- Présentation de la grille d’indicateurs de reporting sur la formation professionnelle.
La formation professionnelle, un investissement majeur pour la compétitivité durable des entreprises et des territoires, en présence d’Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif et de Thierry REPENTIN, Ministre délégué chargé de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage.
Ministère du Redressement Productif, Centre de Conférences Pierre Mendès-France, 139 rue de Bercy - 75012 Paris.
Inscription: formulaire en ligne. Contact Yasmine Boulos yboulos@ffp.org 01 44 30 49 16. L’entrée du Ministère est nominative, vous devrez présenter une pièce d’identité.
Évaluation et valorisation des impacts économiques et sociétaux des investissements en formation professionnelle des entreprises
Rappel du contexte

Le Ministère de l’économie et des finances a confié à la Fédération de la Formation Professionnelle (FFP) un mandat visant à l’élaboration d’une grille d’indicateurs qui permette aux entreprises de mieux rendre compte des impacts économiques et sociétaux de leurs investissements en formation professionnelle, et qui pourrait être fort utile dans le cadre des nouvelles obligations de l’article 225 de la loi n°2010-788 du 12 juillet 2010 dite « Grenelle II ».
La FFP avait initié en 2011 une étude préliminaire sur la reconnaissance des politiques et des investissements en formation professionnelle. Cette étude visait également à donner davantage de crédibilité à la publication des données concernant les actifs immatériels des entreprises, et ainsi gagner en compétitivité. Elle concernait en premier lieu la valorisation du capital humain par la formation professionnelle, dans une perspective de développement durable des compétences.
La FFP a réuni, au Ministère du Redressement Productif, un groupe de travail multipartite* «Evaluation et valorisation des impacts économiques et sociétaux des investissements en formation professionnelle des entreprises» pour mettre en débat les impacts de la formation professionnelle, partager les bonnes pratiques et identifier les indicateurs clés d’évaluation des politiques de formation des entreprises. Le groupe de travail a été animé par Jean-Claude DUPUIS les 28 mars, 24 mai, 28 juin, 28 septembre et 27 novembre 2012.
A noter, au démarrage des travaux, a pu être partagé l’état de l’existant: La formation professionnelle est un enjeu de développement durable mais insuffisamment pris en compte Les entreprises sont de plus en plus tenues à une obligation de reporting Les indicateurs de reporting les plus usuels reflètent partiellement les investissements en formation professionnelle.
Pour rendre compte des travaux, faire connaître la grille d’indicateurs et prolonger les débats, la FFP organise, avec le soutien de la DGCIS (Direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services), un colloque le 18 février 2013 à Bercy, durant lequel seront diffusés: Le « guide de reporting à destination des entreprises » sur les indicateurs clés pour rendre compte des impacts économiques et sociétaux des investissements en formation professionnelle L’étude de Groupama AM sur les pratiques de reporting des entreprises du SBF 120 sur leur politique de formation et les impacts économiques et financiers.
* Participent au Groupe de Travail multipartite:
Fédération de la Formation Professionnelle (FFP) - École Française de l’Immatériel - AFPA - AGEFOS PME - C3D (Collège des Directeurs de Développement durable) - Conseil National de la Formation Professionnelle Tout au Long de la Vie (CNFPTLV) - COURTEPAILLE/SERARE S.A.S.- GARF (Groupement des Acteurs et Responsables de Formation) - GROUPAMA AM - GPS (Groupement des Professions de Services) - ISQ/OPQF - LAPOSTE - Ministère de l'Écologie, du Développement Durable et de l’Energie - Ministère du Redressement Productif/DGCIS - Ministère du Travail de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue Social/ DGEFP- OBSERVATOIRE SOCIAL INTERNATIONAL- ORANGE/ FT- QUILOTOA FORMATION.
La formation professionnelle, un investissement majeur pour la compétitivité durable des entreprises et des territoires
Des outils pour mesurer, évaluer, rendre compte

* Allocution d’ouverture: Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif Thierry REPENTIN, Ministre délégué chargé de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage
* Introduction par Jean WEMAËRE, Président de la FFP
* Table ronde: Les enjeux économiques et sociétaux de la formation professionnelle

Emmanuelle WARGON, Directrice générale de l’Emploi et de la Formation professionnelle Françoise AMAT, Secrétaire générale du Conseil National de la Formation Professionnelle Tout au Long de la Vie (CNFPTLV) Jean WEMAËRE, Président de la Fédération de la Formation Professionnelle (FFP) Antoine FOUCHER, MEDEF, Directeur des relations sociales, de l’éducation et de la formation Paul DESAIGUES, conseiller confédéral CGT à la formation initiale et continue Stéphane DIEBOLD, Président du Groupement des Acteurs et Responsables de Formation (GARF)
Animateur/modérateur: Julien VEYRIER, Directeur général de Centre Inffo
* Formation: où en est la France par rapport aux autres pays de l’OCDE?

Éric CHARBONNIER, Analyste à la Direction de l'Education de l’OCDE
* Panorama des pratiques de reporting des entreprises du SBF120 de leur politique de formation

Présentation des résultats de l’étude Groupama AM/ FFP Marie-Pierre PEILLON, Directrice de la recherche de Groupama AM, Présidente de la Société Française des Analystes Financiers (SFAF) Sébastien THEVOUX-CHABUEL, Chef de la recherche extra-financière de Groupama AM
* Présentation de la grille d’indicateurs de reporting sur la formation professionnelle

Emmanuelle PÉRÈS, Déléguée générale de la FFP (processus de conception) Jean-Claude DUPUIS, conseiller scientifique du projet (liste d’indicateurs) Marie-Josée RUAUDEL, Groupe ORANGE (retour d’expérience/mise en oeuvre des indicateurs) Témoignage d’une PME, (retour d’expérience/mise en oeuvre des indicateurs)
* Conclusion par Pascal FAURE, Directeur général de la Direction Générale de la Compétitivité de l’Industrie et des Services (DGCIS)
Le colloque sera suivi d’un cocktail de clôture.

Oiliúint, an infheistíocht mhór d'iomaíochas inbhuanaithe na bhfiontar agus na gcríoch
DÉARDAOIN, 28 feabhra, 2013 - Paris
Tá an chomhdháil eagraithe ag an Cónaidhm na gairmoiliúna. Beidh sé ar siúl i láthair Arnaud Montebourg, Aire Faoiseamh agus táirgiúil Thierry Repentin, an tAire Stáit um Oiliúint Gairme agus Foghlama. Níos mó...

10 février 2013

Un guide E-learning pour la formation des formateurs

Un Guide E-learning pour la formation des formateurs. De la conception à l’implémentation. Guide pour les praticiens, réalisé en 2009 dans le cadre du projet européen MEDA-ETE, propose une méthodologie de projet e-learning, appliquée à la création d'un cours en ligne sur la formation à distance.
Il s'appuie sur les questionnements pédagogiques et didactiques des initiateurs afin de présenter pas à pas les étapes de développement du projet sur les bases de la méthode A.D.D.I.E (Analyse, Design, Développement, Implementation, Evaluation).
L'analyse qui a été réalisée pour la mise en place du projet de formation fait de ce document un guide incontournable pour débuter sa réflexion sur tout projet de formation à distance.
Télécharger E-learning pour la formation des formateurs, De la conception à la mise en oeuvre, Guide pour les praticiens.
10. RÉSUMÉ

L’expérience acquise par le projet MEDA – ETE est un exemple, spécialement du point de vue méthodologique, pour toutes les institutions de formation de formateurs intéressées à introduire et à adopter le e-learning dans leur processus d’enseignement. L’expérience a montré que l’approche adoptée dans le cours MEDA- ETE, fondée sur une méthode mixte, associant l’apprentissage asynchrone et les activités d’apprentissage collaboratif aux réunions en face-à-face, tant au niveau national que régional, orientée vers une production de résultats plutôt qu’une simple évaluation des connaissances factuelles, a été couronnée de succès en répondant aux besoins des utilisateurs.
Quelques-uns des éléments qui ressortent de l’expérience MEDA-ETE et qui peuvent être considérés comme des conditions nécessaires pour la réussite du e-learning sont les suivants:
■■ Les institutions de formation des formateurs doivent être impliquées durant tout le processus.
Leur implication, dès le début du projet, permet d’obtenir des données importantes sur le contexte national et institutionnel des partenaires des différents pays, à travers leur contribution à la validation et à l’amélioration des outils d’enquête pour l’analyse des besoins et le recueil des données à analyser, et à travers leur appui constant pour le suivi de la progression des apprenants dans tout le processus. Cette implication assure, en même temps, la mise en oeuvre concrète du e-learning dans l’organisation ou l’institution et l’allocation de ressources humaines au projet.
■■ Dans un projet avec une telle dimension régionale, la langue est un aspect important ayant un impact à des niveaux différents:
• Sur la disponibilité des ressources d’apprentissage, parce que le e-learning a ses racines dans le monde anglo-saxon et qu’il peut être difficile de trouver des ressources adaptées et une terminologie en d’autres langues. Dans ce cas, les experts locuteurs natifs impliqués dans le projet doivent être invités à offrir leur aide et les apprenants doivent être incités à contribuer en présentant de bonnes pratiques et des exemples dans leurs institutions et leurs pays.
• Sur le processus d’apprentissage et la collaboration parmi les étudiants. Une faible connaissance de la langue ralentit le processus d’apprentissage, divise la communauté d’apprentissage dans des groupes différents avec une vitesse différente et met aussi en danger le cours, car la performance et la collaboration parmi les étudiants sont rendues difficiles par une faible compréhension du contenu et une capacité limitée d’exprimer les idées et les suggestions. Encourager le travail de groupe peut aider à trouver une solution, car les participants moins compétents peuvent profiter des collègues plus habiles. Une autre solution peut être la traduction du cours dans la langue nationale afin d’assurer une meilleure accessibilité et une meilleure compréhensibilité.
■■ Dans un environnement d’ETFP, les activités pratiques (approche par les résultats) fondées sur une construction progressive des résultats et une active implication des participants (approche d’apprentissage par l’action) sont vivement préconisées. Une approche par les résultats offre aux étudiants un «bac à sable» où ils peuvent expérimenter l’utilisation des nouvelles connaissances acquises dans le contexte de leur domaine professionnel.
■■ Les enseignants peuvent encore avoir des difficultés à accepter et comprendre les nouveaux processus et contextes d’apprentissage et d’enseignement, en particulier l’approche socioconstructiviste. Les apprenants doivent être incités à exploiter autant que possible la plateforme comme un outil de travail collaboratif. Les groupes de participants établis dans les différents pays peuvent avoir pour tâche d’atteindre certains résultats ou d’être engagés dans une tâche liée au processus lui-même, dont l’objectif est de travailler efficacement dans un groupe ou dans une équipe au sein des communautés nationales et/ou de la communauté régionale.
■■ La structure du cours doit être claire dès le début et les participants doivent en être informés au bon moment. Ceci permet aux participants d’avoir une vue d’ensemble précise du cours (modules, contenu des unités d’apprentissage, activités planifiées et activité finale de synthèse). Les participants doivent aussi être informés dès le début sur:
• Comment utiliser les outils et comment les contenus sont structurés. De cette manière, les participants ne perdent pas de temps à s’orienter dans l’offre de formation et cela atténue le risque que leur attention et leur énergie diminuent;
• Le rôle de chaque expert spécifique impliqué dans le tutorat, ses tâches et sa disponibilité en termes de jours et heures de travail. Cela permet aux participants de savoir quand ils peuvent contacter les e-tuteurs et, en même temps, de poser leurs questions à l’expert le plus approprié.
■■ La plateforme à choisir doit prendre en compte plusieurs aspects, en particulier:
• Offrir un support multilingue afin de permettre aux concepteurs du cours de créer divers espaces de travail (en cas d’environnement international avec plus d’une langue d’échange) selon les différentes langues parlées;
• Ne pas avoir de coûts ou avoir des coûts réduits pour chaque enseignant et chaque institution;
• Assurer la durabilité de chaque projet dans chaque pays;
• Être cohérent avec le système de chaque pays au niveau des programmes;
• Prévoir des outils pour soutenir les activités d’apprentissage collaboratif.
■■ Une reconnaissance institutionnelle de la certification doit être prévue. Une reconnaissance officielle (nationale, institutionnelle ou même internationale) peut aussi jouer un rôle important non seulement pour motiver les apprenants pendant le cours mais aussi pour encourager la continuité de l’effort des participants et pour augmenter les possibilités d’emploi. Il faut considérer l’opportunité de délivrer un certificat qui peut être utilisé dans l’environnement académique ou institutionnel auquel appartient l’étudiant.
■■ On préconise d’utiliser un modèle de production récursif, même dans le cas d’un cours fait sur mesure pour les besoins d’un groupe spécifique. Il peut y avoir des problèmes quand, conséquemment à des rotations et/ou des remplacements parmi les participants du cours, les apprenants réels sont différents de la population cible prévue. Délivrer les modules d’apprentissage un par un, en utilisant le feedback des étudiants sur les modules précédents pour adapter le module suivant, peut être un processus coûteux en termes de temps et d’effort, mais il assure que le cours et la cible sont toujours en accord, en minimisant les problèmes et les abandons.
■■ Des réunions virtuelles complémentaires, spécifiques au pays, la session de formation et les réunions régionales (quand le projet a une dimension régionale) peuvent être nécessaires tout au long du parcours de formation pour acquérir une meilleure compréhension des principales difficultés des apprenants, leur donner un soutien ad hoc et les motiver pour les étapes à venir. Une réunion régionale au début de la formation peut aussi être l’occasion d’encourager et de favoriser un dialogue constructif dans le domaine du e-learning et assurer une bonne coordination des efforts entre le niveau national d’opérationnalisation et le niveau de coordination du projet, pour lancer la formation.
■■ Certaines compétences à utiliser les technologies de l’information et de l’apprentissage, telles que l’utilisation des technologies de communication ou les outils Internet, mais aussi la capacité à s’organiser dans un processus d’auto-apprentissage sont des compétences préalables nécessaires afin que le e-learning soit adopté avec succès. Les participants doivent être expérimentés dans l’utilisation d’Internet et des technologies de communication et avoir aussi une expérience préalable dans le e-learning. Il faut prendre des mesures pour le cas où les participants ont des niveaux de connaissances différents, par exemple recruter des formateurs en TIC pour aider les apprenants à surmonter leurs difficultés avec les technologies ou augmenter le soutien des tuteurs.
■■ Dans certains pays le contexte technologique et les infrastructures existantes peuvent représenter une barrière. Les apprenants peuvent ne pas posséder un ordinateur chez eux et dépendre des ressources disponibles dans leurs institutions ou dans les cafés Internet. Le partenariat public-privé entre les autorités des systèmes éducatifs et les entreprises privées peut être une solution. Les certifications internationales, telle que celle offerte par le passeport de compétences informatique européen (PCIE), délivré dans plusieurs pays pour attester des compétences informatiques à plusieurs niveaux, peuvent représenter un avantage.
■■ Le suivi de la progression pédagogique des participants est très important pour comprendre s’ils avancent sur la bonne voie ou si des mesures correctives sont nécessaires. Il faut créer des outils spécifiques, comme par exemple un rapport d’activité mensuel (avec les activités principales des apprenants). Les institutions de formation des formateurs doivent s’impliquer activement, en soutenant un suivi continu de la progression des apprenants et en organisant, si besoin est, des sessions de formation spécifiques pour régler des questions particulières. Dans les projets à long terme, un coordinateur national est conseillé pour donner une contribution significative à l’organisation des réunions en face-à-face (c’est-à-dire l’aménagement des environnements d’apprentissage et des équipements nécessaires pour les salles de réunion). Il peut aussi contribuer au suivi du projet, par exemple informer sur des situations particulières pour certains participants ou certaines institutions où travaillent les participants (c’est-à-dire pression de l’institution, possibilité d’engagement, changements au sein de la direction qui peuvent conduire à une distribution différente du temps et des responsabilités).
■■ Le système d’évaluation à adopter ne doit pas viser à punir les étudiants, mais à les soutenir dans la compréhension de la méthodologie du e-learning pour acquérir des connaissances. Les étudiants doivent avoir la possibilité d’accéder à tout moment, quand ils veulent, aux tests d’auto-évaluation et de consulter les contenus pendant le test afin de faire porter leur attention sur l’étude réelle des contenus, tout en étant conscients que le but n’est pas d’obtenir une bonne note mais d’acquérir les concepts fondamentaux. En outre, quand le cours est construit sur une approche socioconstructiviste, il faut prendre en compte, dans le système d’évaluation, la participation active des apprenants sur la plateforme et les connaissances acquises en discutant avec les pairs et les tuteurs (forums, discussions, chats, etc.). Télécharger
E-learning pour la formation des formateurs, De la conception à la mise en oeuvre, Guide pour les praticiens.

A Guide for E-learning training of trainers. From conception to implementation. Guide for practitioners, made ​​in 2009 as part of the European project MEDA-ETE project proposes a methodology for e-learning, applied to the creation of an online course on distance education. More...

10 février 2013

Explor'Emploi: 1er forum bas-normand de l'emploi et de la formation continue

http://la-formation-en-continu.errefom.fr/sites/default/files/EXPLOR-EMPLOI-2013.jpgExplor'EmploiExplor’Formation, le 1er forum bas-normand de l'emploi et de la formation continue se tiendra le 14 février au Parc des expositions à Caen. Manifestation gratuite et accessible à tous, il a pour objectif de créer une passerelle entre les personnes en recherche d'emploi ou d'évolution professionnelle, les entreprises qui recrutent et les organismes de formation continue en les rassemblant sur un même lieu.
Forte de son expérience dans différentes villes de l’ouest (Nantes, Rennes, Saint Brieuc…), la 1ère édition bas-normande de cette manifestation regroupera près de 80 exposants représentant les collectivités partenaires, les entreprises de toutes tailles et tous secteurs confondus, les organismes de formation continue, les représentants des branches professionnelles ainsi que les partenaires et acteurs locaux de l’emploi, de l’insertion et de l’orientation professionnelle.
Les visiteurs, demandeurs d’emploi, salariés, pourront proposer leurs candidatures et rencontrer des entreprises, s’informer sur les secteurs qui recrutent, rechercher un parcours de formation et échanger sur leur évolution professionnelle.
Un pôle « conseil » permettra également de les aiguiller et de les renseigner autour de 4 approches distinctes:
    S’informer sur les métiers, s’orienter
    S’informer sur la formation et ses financements
    S’informer pour trouver un emploi
    S’informer sur la création, reprise d’entreprise
Plusieurs ateliers-débats seront proposés, avec la participation des professionnels du recrutement et de la formation continue:
    Se former tout au long de la vie, pourquoi comment
    Les pistes d’emploi en Basse-Normandie
    L’intérêt de se former: les points de vue Entreprises et Salariés
Explor’Emploi est co-organisé par la Région Basse-Normandie, le Conseil Général du Calvados, Pôle Emploi, Caen la Mer et en partenariat avec la MEFAC (Maison de l’Emploi et de la Formation de l’Agglomération Caennaise), l’Agefiph, Viacités, l’Errefom et le Medef Basse Normandie.
Infos pratiques:

Le jeudi 14 février 2013, de 9 h à 18 h
Lieu: Caen, Parc des expositions
Entrée gratuite sur inscription
Transports: des modalités de prise en charge dans certaines situations ont été prévues par les organisateurs. Se renseigner sur le site d’Explor’Emploi ou auprès des agences Pôle Emploi.
Retrouver le programme et toute l’information pratique sur le site du Forum Explor’Emploi – Explor’Formation.

http://la-formation-en-continu.errefom.fr/sites/default/files/EXPLOR-EMPLOI-2013.jpg Explor'Emploi - Explor'Formation an fóram chéad Íochtarach Normainn fostaíochta agus oiliúna ar siúl 14 Feabhra ag an taispeántas i Caen. Imeacht saor in aisce agus oscailte do chách, tá sé mar aidhm a chruthú droichead idir daoine ag lorg le haghaidh forbairt fostaíochta nó gairme, cuideachtaí a earcú agus eagraíochtaí sa bhailiú oiliúna san áit chéanna. Níos mó...
10 février 2013

L’avant projet de loi relatif à la décentralisation transfère de nouvelles compétences aux Régions

L’avant projet de loi relatif à la décentralisation transfère de nouvelles compétences aux Régions
Les Régions vont avoir leurs compétences en matière d’apprentissage élargies et assureront la mise en œuvre de l’orientation hors des établissements scolaires, en récupérant les CIO en leur sein. Telles sont les orientations relatives à la formation professionnelle de l’avant projet de loi portant sur la décentralisation, diffusé sur le site de La Tribune mercredi 6 février 2013.
Selon le document de travail "la région a la responsabilité de garantir l’accès de toute personne à la formation professionnelle". Elle est donc compétente vis à vis des publics jusque là sous la responsabilité de l’État: les détenus, les personnes handicapées et les Français résident hors du pays. Elle a aussi en charge la lutte contre l’illettrisme, l’acquisition des compétences clés et l’accompagnement des candidats à la validation des acquis de l’expérience (VAE). Le projet de loi précise que la procédure consultative d’adoption du contrat de plan régional de développement de l’orientation et des formations professionnelle sera "simplifiée".
Le texte prévoie les évolutions suivantes:
  • La fusion du Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie (CNFPTLV) et du Conseil national de l’emploi (CNE) pour former le Conseil national de l’emploi, de l’orientation et de la formation professionnelle (CNEOFP). Cette fusion sera accompagnée par la création de comités régionaux de l’emploi et de la formation professionnelle.
  • Les compétences des régions en matières d’apprentissage seront élargies; C’est à elles qu’il incombera d’élaborer les contrats d’objectifs et de moyens (Com) avec les rectorats, les chambres consulaires et les partenaires sociaux. Les centres de formation d’apprentis (CFA) leur sont transférés aux Régions et elles sont "investies d’une compétence exclusive en la matière".
  • Orientation : "La région en assure la mise en oeuvre hors des établissements scolaires, dans le cadre des centres d’information et d’orientation. Les CIO sont transférés aux régions pour devenir des services non personnalisés des régions".
L’avant projet de loi relatif à la décentralisation transfère de nouvelles compétences aux Régions
Regions will have skills in extended learning and provide implementation guidance outside schools, recovering the IOC within them. These are the guidelines for the training of the draft law on decentralization, which aired on the La Tribune Wednesday, February 6, 2013. According to the paper "The region has the responsibility to ensure access of all persons to vocational training." More...
10 février 2013

FPSPP: hausse du nombre d'actions financées

Bandeau retour page d'accueilProfessionnalisation: hausse du nombre d'actions financées et baisse des coûts moyens pris en charge (FPSPP - bilan 2011)
Selon l'enquête quantitative du FPSPP (Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels) l'activité des contrats de professionnalisation augmente de 12,5% avec 168 887 contrats financés en 2011 contre 150 176 en 2010. La totalité des dispositifs concernés par les plus de 1,22 milliard d'euros collectés au titre de la professionnalisation en 2011 (+0,84%), ont vu leur activité progresser. C'est notamment le cas du DIF portable (six fois plus ont été financés en 2011 qu'en 2010) ou de la période professionnalisation (373 148 périodes financées, +2% en un an).
Ce bilan 2011 prend en compte le CSP (contrat de sécurisation professionnelle) et les POE (préparations opérationnelles à l'emploi) individuelles et collectives, trois dispositifs mis en oeuvre pour la première fois en 2011.
La conséquence de cette progression générale du nombre d'actions financées alors que la masse financière disponible reste quasi stable, est une diminution de la durée moyenne des formations et de leur coût moyen pris en charge pour la quasi-totalité des dispositifs. Seule la période de professionnalisation voit son coût moyen de prise en charge augmenter en 2011: +3,6% à 1 266 euros.
Bandeau retour page d'accueil Professionalization: cur le líon na scaireanna arna maoiniú agus costais níos ísle an meán tacaíocht (FPSPP - 2011 clár comhardaithe). Níos mó...
10 février 2013

Le meilleur moyen de garder son emploi c'est de ne pas le perdre

http://www.agefiph.fr/var/storage/gardersonemploi/a_lire-document.jpgConserver son emploi
Apparition ou aggravation d’un handicap: comment concilier cette situation avec la poursuite d’une activité professionnelle? L’Agefiph propose une offre d’interventions destinée à préserver l’emploi avec au centre de ce dispositif, le Sameth. Sameth, ça m'aide.
L’offre d’interventions de l’Agefiph.
pour vous et votre employeur
.
Les aides et dispositif de droit commun.
Le Sameth vous accompagne.
Quand et comment bénéficier des interventions de l’Agefiph?
Qui peut vous aider?
Trois conseils pour réussir son maintien dans l'emploi.
http://www.agefiph.fr/extension/agefiph_design/design/agefiph_design/images/numero-sourds-malentendants01.gif« Conserver son emploi »
Poursuivre son activité professionnelle lorsque le handicap survient ou s'aggrave, c'est possible. A condition de bien analyser la situation et d'en parler à temps pour envisager la meilleure solution.
> Télécharger le dépliant: Conserver son emploi.
Télécharger la video « Conserver son emploi ».
http://www.agefiph.fr/extension/agefiph_design/design/agefiph_design/images/numero-sourds-malentendants01.gif« Maintenir dans l’emploi un salarié handicapé »
Préserver l’emploi d’un salarié dont le handicap s’aggrave ou survient vous permet de conserver ses compétences ainsi que sa connaissance du poste et de l’entreprise.
> Télécharger le dépliant: Maintenir dans l'emploi un salarié handicapé.
Le Cahier de l’Agefiph « Aménager la situation de travail d’un collaborateur handicapé »
En entreprise, le recrutement ou le maintien dans l’emploi d’un collaborateur handicapé rend parfois nécessaire l’aménagement de la situation de travail. Solution permettant de compenser le handicap, cet aménagement est aussi une opportunité de réfléchir à  l’organisation et aux conditions de travail, et sensibiliser les collaborateurs à problématique du handicap.
> Télécharger le document: Le cahier Aménager la situation de travail d'un collaborateur handicapé.
http://www.agefiph.fr/extension/agefiph_design/design/agefiph_design/images/numero-sourds-malentendants01.gifLe Cahier de l’Agefiph « Maintenir dans l’emploi un collaborateur handicapé »
Parce que tout salarié peut se retrouver en situation de handicap au cours de sa vie professionnelle, la question du maintien dans l’emploi mérite d’être envisagée dans chaque entreprise. Et peut-être même de devenir l’un des leviers de sa gestion des ressources humaines.
> Télécharger le document: Le cahier Maintenir dans l’emploi un collaborateur handicapé.
Télécharger la vidéo « Maintenir dans l’emploi un salarié handicapé ».

Vous êtes employeur et souhaitez devenir partenaire de la campagne de communication Agefiph, contactez la Direction de la communication Agefiph au 0 811 37 38 39.
http://www.agefiph.fr/extension/agefiph_design/design/agefiph_design/images/numero-sourds-malentendants01.gifPour tout savoir sur l'offre d'interventions Agefiph  en faveur du maintien dans l'emploi et le rôle central du Sameth
> Télécharger le document: Publication maintien.
Télécharger la vidéo "Le maintien dans l'emploi des personnes handicapées".
http://www.agefiph.fr/var/storage/gardersonemploi/a_lire-document.jpg Keep his job
New or worsening disability: how to reconcile this with the pursuit of an occupation? Agefiph offers a range of interventions designed to maintain employment with the center of the device, Sameth. Sameth, it helps me.
The range of interventions Agefiph.
for you and your employer.
Aid and device law.
The Sameth with you.
When and how to benefit from interventions Agefiph?
Who can help?
Three tips for a successful job retention. More...
10 février 2013

Le CIF, vecteur de changement professionnel et d'ascenseur social

Au regard de l'importance des mobilités professionnelles des salariés (près de 20% selon l'Insee Pays de la Loire) et particulièrement celles qui se font à l'extérieur de l'entreprise (une sur quatre), le Congé individuel de formation (CIF) apparaît comme un outil efficace des mobilités professionnelles à l'initiative des salariés. L'évaluation nationale montre des résultats ligériens proches et légèrement supérieurs aux résultats nationaux: le CIF est un vecteur important de changement professionnel (80% des salariés changent de métier à l'issue du CIF) et d'ascenseur social (70% des bénéficiaires changent de catégorie professionnelle à l'issue du CIF). Quant au bilan de compétences, outil d'accompagnement au développement professionnel, il contribue à la sécurisation des parcours. Dans un contexte de crise, il sert à s'adapter à une insécurité professionnelle et à se rassurer face à un environnement économique anxiogène. Le nombre de demandes de bilans de compétences a augmenté de 24% entre 2009 et 2010 et de 7% entre 2010 et 2011. Enfin, l'enquête qualitative menée par le Fongecif et Pôle emploi concernant la VAE montre que la recherche de reconnaissance personnelle constitue la principale motivation invoquée pour s'engager dans la démarche. En 2011, le diplôme d'État représentait 72% des certifications et les titres homologués 22%.
Rapport d'activité 2011: 20 ans de pratique de conseil auprès des alariés au Fongecif Pays de la Loire. Fongecif Pays de la Loire. Nantes: FONGECIF PAYS DE LA LOIRE, 2012. 20 p.
I bhfianaise an tábhacht a bhaineann le soghluaisteacht ghairmiúil na n-oibrithe (beagnach 20% de réir INSEE Íoctar de la Loire) agus go háirithe iad siúd atá lasmuigh den chuideachta (duine as gach ceathrar), an oiliúint aonair a fhágáil (CIF) Is cosúil mar uirlis éifeachtach chun soghluaisteacht ghairmiúil ar thionscnamh na bhfostaithe. Níos mó...
10 février 2013

Certificateurs régionaux Midi-Pyrénées, les résultats des jurys de VAE en 2011 - 24% des adultes diplômés l'ont été par la VAE

Carif Oref Midi-PyrénéesEn 2011, les certificateurs régionaux publics ont déclaré recevables 2375 demandes de VAE. 65% des candidats ont un emploi, 26% cherchent un emploi. 9 candidats sur 10 ont plus de 30 ans. 1240 personnes ont bénéficié d'un accompagnement, réalisé en majorité par les certificateurs eux-mêmes. 51% des candidats visent le niveau V et 48% des diplômes obtenus sont de niveau V. 29% des certifications délivrées par la VAE sont de niveau III. 58% des dossiers examinés en jurys ont obtenu une validation complète, 30% une validation partielle et 12% aucune validation. Les diplômes des secteurs de l'action sociale et sanitaire restent les plus demandés par les candidats. Certaines certifications de ces secteurs sont d'ailleurs obtenues davantage par la VAE que par la formation, les diplômes d'état d'auxiliaire de vie sociale ou d'assistant familial par exemple. En Midi-Pyrénées, 24% des adultes diplômés l'ont été par la VAE, en 2011. Télécharger le bilan (bloc Documents).
Bilans et indicateurs

Les données recueillies auprès des acteurs permettent d’évaluer le dispositif de VAE en région Midi-Pyrénées:
- les publics accueillis par les Points relais conseil (PRC) : caractéristiques des candidats, leurs projets, les hypothèses de VAE à l’issue du conseil…
- les résultats de validation par les certificateurs régionaux: le niveau et la répartition des certifications, l’accompagnement, les décisions des jurys…
- les bénéficiaires du congé VAE suivis par le Fongecif Midi-Pyrénées.
Certificateurs régionaux, les résultats de jurys VAE en 2011
Les candidats de 2011

Depuis 2003, date du démarrage du dispositif en Midi-Pyrénées, les certificateurs régionaux ont déclaré recevables 21 413 dossiers et ont examiné en jury 17 617 candidats. Dans ce document, les indicateurs fournis par les principaux certificateurs portent sur l’année 2011. L’analyse porte sur les profils de candidats, leur situation professionnelle, les certifications qu’ils recherchent.
En 2011, 2 375 dossiers ont été déclarés recevables par les différents certificateurs régionaux, soit une baisse de 19% par rapport à 2010. C’est la première année où les observations nationales de baisse de demandes de VAE trouvent un écho en Midi-Pyrénées (baisse nationale de 7% en 2010). L’envolée des dossiers en 2009 et 2010 est la conséquence de l’ouverture à la VAE de certains diplômes des secteurs sanitaires et médico-sociaux. A contrario, les demandes reçues par le Dava (Dispositif de validation des acquis de l’éducation nationale) sont en hausse de 3% en 2011. Les données du ministère de l’emploi portent sur les dossiers déposés dans les Unités territoriales de la Direccte, pour les validations en centres Afpa uniquement. Les demandes de VAE peuvent être traitées par les centres agréés par la Direccte. Depuis 2010, cet agrément porte uniquement sur la capacité des organismes à organiser les évaluations en conformité avec le contenu des référentiels de certification. A partir du 1er janvier 2011, cette procédure d’agrément a été étendue aux centres Afpa. Le nombre de candidats aux diplômes sanitaires et sociaux se stabilise
Depuis 2009, 72% de l’ensemble des dossiers recevables ont été déposés par des femmes, 28% par des hommes.
Les candidats aux diplômes sanitaires et sociaux représentent 35% des dossiers déposés au lieu de 42% en 2010. En revanche, les diplômes de l’éducation nationale sont recherchés par 36% des candidats (28% en 2010). Les femmes présentent 98% des dossiers aux diplômes sanitaires et sociaux; elles sont également majoritaires pour les ministères de l’éducation nationale (67%), chargé de l’emploi (63%) et de la jeunesse et des sports (51%). Ce dernier chiffre confirme les données de 2010: la part des femmes candidates aux diplômes de la jeunesse et des sports en Midi-Pyrénées augmente de manière significative (46% en 2006).
65% des candidats ont un emploi, 26% recherchent un emploi

Les données sur l’emploi de 24% des candidats des ministères chargés de la santé et du social ne sont pas disponibles. 56% des candidats sont salariés (40% en 2010). Les demandeurs d’emploi représentent 17% des candidats à la VAE (16% en 2010). La catégorie « Demandeur d’emploi » intègre l’ensemble des typologies de recherche d’emploi utilisées par le ministère et le service public de l’emploi.
Les non salariés (artisans, commerçants, professions libérales) et la catégorie « Autres » (bénévoles, personnes en congé parental ou alternant périodes d’emploi et de non emploi) sont stables.
La représentation de salariés varie selon les certificateurs. Ils représentent 91% du public pour les ministères chargés de la santé et du social, 78% pour l’éducation nationale et 70% pour l’enseignement supérieur. Les pourcentages très importants constatés pour les chambres consulaires et le Cnam doivent être relativisés en raison du faible nombre de dossiers recevables en 2011. C’est au sein des candidats aux titres professionnels du ministère chargé de l’emploi que l’on trouve la majorité des personnes en recherche d’emploi. Ce ministère a instauré la gratuité de la démarche pour ce public lorsqu’il s’oriente vers les titres professionnels. Les certifications de la jeunesse et des sports, de l’agriculture et de l’enseignement supérieur accueillent les candidatures les plus diversifiées du point de vue de l’emploi.
9 candidats sur dix ont plus de 30 ans

Les indicateurs sur les classes d’âge sont des tendances, en raison de la non disponibilité d’une partie des données du secteur sanitaire et social. Depuis 2009, la répartition femme/homme est presque équilibrée dans toutes les classes d’âges. Les moins de 25 ans sont les moins représentés; en effet, 3 ans d’expérience professionnelle sont nécessaires pour valider des acquis. La part des 25-29 ans augmente de 1%. Plus de la moitié des candidats ont entre 30 et 44 ans. Les plus de 45 ans représentent plus d’un tiers des candidats. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes dans cette dernière catégorie.
La répartition par classe d’âge selon les certificateurs fait apparaître quelques différences. Plus de la moitié des candidats aux certifications des ministères chargés de l’emploi, de la santé et du social ont plus de 45 ans. On constate une représentation largement majoritaire des 30-44 ans dans les candidats des ministères de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur, des sports et de l’agriculture.
L'accompagnement - 1 240 candidats ont bénéficié d’un accompagnement

En 2011, le nombre de bénéficiaires d’accompagnements a baissé de 16% par rapport à 2010. 54% des candidats vus en jurys ont bénéficié d’un accompagnement (62% en 2010).
Les certifications recherchées - 51 % des candidats visent le niveau V

En 2011, 2 294 demandes ont été examinées en jurys, soit une baisse de 4% par rapport à 2010. Au niveau national, la baisse constatée en 2010 est de 7% (53 000 candidats environ).
La part des genres est hétérogène selon les niveaux des certifications visées. Plus de la moitié des candidats recherche le niveau V. Les femmes visant ce niveau restent majoritaires tout en baissant pour la première fois de 8%, pour retrouver le niveau de 2009. Ce niveau est recherché par 27% des hommes comme en 2010. Ces derniers ciblent plutôt le niveau III (33% en 2010). Les femmes se positionnent également davantage qu’en 2010 sur le niveau III: plus 5%.
Les dix diplômes les plus recherchés en 2011 relèvent des secteurs chargés de la santé et de l’action sociale. Sept d’entre eux sont de niveau V et sont portés par trois ministères: santé et action sociale, éducation nationale et emploi. Le niveau III reste le fer de lance de l’éducation nationale: 52% des diplômes présentés dans les jurys régionaux du ministère. Les certifications relatives au sport et à l’éducation populaire sont à 80% de niveau IV.
Les décisions des jurys de VAE

Ces données portent sur les dossiers présentés pour la 1ère fois à un jury, afin de les distinguer des candidats présentés pour la seconde fois, voire plus, à l’issue d’une validation partielle. De plus, elles concernent des personnes ayant entamé leur parcours et qui ont obtenu leur certification par la VAE. Les décisions de validation peuvent aboutir à l’obtention de la totalité ou d’une partie du diplôme, ou encore d’aucune validation. Les chiffres des diplômes obtenus portent sur les seules validations totales.
En 2011, 2 294 jurys ont été tenus soit une baisse de 4% par rapport à 2010. Ils ont délivré 58% de validations totales, 30% de validations partielles et 12% des décisions n’ont abouti sur aucune validation. Ces proportions varient peu depuis 2009 (59% de validations totales, 33% de validations partielles et 8% aucune validation).
La plupart des certificateurs ont un taux de validation totale supérieur à cette moyenne, à l’exception des ministères chargés de la santé et du social et de la jeunesse et des sports. L’importance des validations partielles pour les diplômes de la santé et du social est à rapprocher de l’arrêt en 2010, de l’obligation de suivre 70 h de formation pour les diplômes d’aide soignant et d’auxiliaire de puériculture. Ce module de formation permettait aux candidats de valider une compétence-clé pour ces 2 diplômes. Le nombre de candidats pour les titres du ministère chargé de l’emploi a plus que doublé par rapport à 2010 (119 candidats). 48% des diplômes obtenus sont de niveau V Le ministère de l’éducation nationale reste le premier certificateur régional et national. Les validations totales de niveau V baissent de 7% en 2011. Elles sont réparties entre les ministères chargés de la santé et du social (55% de l’ensemble des niveaux V), de l’éducation nationale (26%), de l’emploi (19%). Plus d’un quart des validations totales sont de niveau III. Les BTS représentent 35% des certifications de niveau III délivrées par la VAE. Les validations
totales de niveau IV augmentent de 2%. Les validations des niveaux I et II sont identiques depuis 2009. Le niveau II est essentiellement porté par des licences ou licences professionnelles. Le niveau I est surtout représenté par les masters 2.
Le top 20 des certifications en Midi-Pyrénées

68% des dossiers vus en jurys concernent 20 certifications. 290 diplômes ont été ciblés par les candidats à la VAE. Cependant, les 20 diplômes les plus demandés représentent 68% des demandes. Les diplômes des secteurs de la santé et de l’action sociale restent prédominants: ils occupent les 11 premières places du tableau ci-après. Les certifications de ce Top 20 ont généralement un taux de validations totales très positif, par rapport aux dossiers vus en jurys. Citons par exemple:
- 88 % de validations totales pour le DEAF,
- 75 % pour le CAP Petite enfance,
- 72 % pour le BTS Management des unités commerciales,
- 62 % pour le DEAVS…
Le taux de validations totales est plus faible pour le DEAS (24%), le DEAP (27%) ou le Caferuis (19%).
24 % des adultes ont obtenu leur diplôme par la voie de la VAE

La présence des personnes adultes dans le système de qualification s’inscrit essentiellement par la formation continue et la VAE soit 12% de la totalité des certifications obtenues en 2011. Parmi ces 5 540 adultes, 1 336 personnes soit 24% ont été diplômées grâce à la VAE (36% en 2010).
Certaines certifications sont obtenues essentiellement par la voie de la VAE telles le DEAVS (16% de plus qu’en formation initiale en Midi-Pyrénées) ou le DEAF (6% de plus). Ainsi, la Darès note que « la VAE représente une proportion non négligeable des diplômes acquis après la formation initiale:
- 11 % des diplômes de l’enseignement professionnel et technologique du ministère de l’éducation nationale…
- 49 % du titre professionnel d’assistant de direction,
- 27 % du titre professionnel de formateur professionnel d’adultes,
- 25 % de celui d’assistant de vie aux familles. »
A savoir

Le schéma ci-dessus est indicatif car:
- seuls les niveaux V à III sont présentés pour la formation initiale, l’apprentissage et la formation continue,
- les informations issues du système d’information de l’Observatoire régional emploi formation intègrent l’ensemble des présentations aux examens, que ce soient la première présentation ou les suivantes ou qu’il s’agisse de présenter un diplôme complet ou une partie des unités de formation,
- en revanche, seules les validations totales faisant l’objet d’un premier passage en jury de VAE sont représentées dans le graphique. Rappelons qu’une validation partielle n’est pas un échec, puisque le candidat peut finaliser sa validation par une expérience ou une formation complémentaire, afin d’acquérir les compétences qui lui manquent.
Conclusion

Après 10 ans d’existence de la VAE, les lauréats ont témoigné, lors de la cérémonie des Victoires de la VAE en juin 2011, de l’importance du dispositif pour l’enrichissement de leur itinéraire professionnel et personnel. La part de la VAE dans le système de qualification régional représente près d’un quart des adultes. Bien que le dispositif constitue une clé pour la dynamisation des parcours professionnels, force est de constater que son ancrage dans le système de qualification évolue encore trop lentement. La baisse des demandes de VAE aux niveaux national et régional pourra être enrayée par des mesures et des actions incitatives permettant son développement, aussi bien au niveau des entreprises que de l’organisation du dispositif.
Documents à télécharger: Certificateurs régionaux, les résultats de jurys VAE en 2011, Bilan 2011 des Points relais conseil en VAE de Midi-Pyrénées, Certificateurs régionaux, les résultats en 2010, Bilan 2010 des Points relais conseil en VAE de Midi-Pyrénées, Certificateurs régionaux, les résultats en 2009.

CARIF Oref Midi-Pyrenees In 2011, the regional public certifiers have declared admissible applications VAE 2375. 65% of applicants are employed, 26% are seeking employment. 9 out of 10 candidates over 30 years. 1,240 people have received support, made mostly by the certifiers themselves. 51% of candidates are level V and 48% of diplomas are level V. 29% of certifications issued by the VAE are level III. 58% of the files reviewed by juries received full validation, 30% partial validation and 12% no validation. Diplomas areas of social and health are the most requested by candidates. Some certifications in these areas are also obtained by the VAE more than training, diplomas state auxiliary social or family assistant for example. Midi-Pyrénées, 24% of adults have been qualified by the VAE in 2011. More...

10 février 2013

Participation des employeurs à la formation professionnelle continue 2011 en Midi-Pyrénées

Données financières et générales sur la région en 2011
Nombre d’entreprises et de salarié-e-s
Dépenses effectivement consenties (en milliers d’€)
Effectif total des stagiaires, nombre total d’heures de stage et nombre d’heures moyen par stagiaire. Lire la suite.
Catégorie socioprofessionnelle des stagiaires
données Ouvriers, Employés, Agents de maîtrise et Ingénieur et cadres (avec répartition hommes/femmes). Lire la suite.
Taux de participation au financement de la formation professionnelle (% masse salariale)
dépenses totales de formation par rapport à la masse salariale
données France, Midi Pyrénées et Haute Garonne, selon la taille des entreprises. Lire la suite.
Nature des dépenses consenties par les entreprises en 2011
données brutes (Midi-Pyrénées)
part des dépenses dans le budget total (Midi-Pyrénées / France entière). Lire la suite.
Répartition des stagiaires selon la taille des entreprises en 2011
effectif de stagiaires et nombre d’heures de formation (selon la taille de l’entreprise). Lire la suite.
Sonraí airgeadais agus eolas ginearálta ar an réigiún i 2011
Líon na gcuideachtaí agus an fhostaí-es
Caiteachas a tabhaíodh iarbhír (i mílte €)
Líon iomlán na mac léinn, líon iomlán na n-uaireanta oiliúna agus uair an chloig in aghaidh an mhic léinn. Léigh níos mó. Níos mó...
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