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Formation Continue du Supérieur

23 septembre 2016

Revue de presse - Vendredi 23 septembre 2016

Revue de presse - Vendredi 23 septembre 2016
Presse nationale, presse quotidienne régionale, télévision, radio, magazine, on parle de l'Université dans les médias.

Dans nos universités :
Nice : Étudier à Nice : au coeur de l’innovation : Lire l’article du Figaro
Nice : Mission OsirisRex: des chercheurs niçois à la recherche des origines de la vie sur Terre : Lire l’article de Nice MatinSuite...
23 septembre 2016

Les structures de l’insertion par l’activité économique - Quels liens avec les différents acteurs économiques ?

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Plus de 80 % des structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) appartiennent à un réseau de l’IAE. Les relations qu’elles entretiennent au sein du secteur sont très développées ; deux tiers d’entre elles ont des relations régulières avec d’autres SIAE et un quart fait partie d’un ensemblier (regroupement de SIAE). Ces liens étroits leur permettent le plus souvent d’échanger sur l’accompagnement des salariés en parcours d’insertion, l’élaboration de ces parcours, les bonnes pratiques, etc. Ces avantages sont d’autant plus nombreux que ces relations sont régulières et s’inscrivent dans le cadre d’un réseau de SIAE locales.

- Dares Analyses 2016-052 - Les structures de l’insertion par l’activité économique

23 septembre 2016

L’insertion par l’activité économique en 2014

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Fin 2014, près de 130 000 salariés en insertion travaillent dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), correspondant à 64 600 équivalents-temps plein. Répartis dans 3 700 structures conventionnées par l’État, 46 % de ces salariés sont mis à disposition par une association intermédiaire (AI), 34 % travaillent dans un atelier et chantier d’insertion (ACI) et les autres, dans une entreprise d’insertion (EI, 10 %) ou pour une entreprise de travail temporaire d’insertion (ETTI, 10 %).

- Dares Résultats 2016-051 - L’insertion par l’activité économique en 2014

22 septembre 2016

Note d'information - N° 26 - septembre 2016 - La VAE dans les établissements d'enseignement supérieur

Près de 4 000 personnes ont validé tout ou partie d’un diplôme de l’enseignement supérieur au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE) en 2015 dans les universités et le Cnam. Cela représente une nouvelle baisse de 7,6 % par rapport à 2014. Cette baisse est due à celles des validations partielles, en premier ou en post-premier jury, tandis que le nombre de validations totales en premier jury reste stable. De ce fait, la part de ces dernières augmente, à nouveau, de 5 points et atteint 66 % de l’ensemble des VAE examinées.
NI-26 VAE dans les établissements du supérieur: le baisse se poursuit en 2015

Par Sandrine Prost-Dambélé, DEPP-A1. Près de 4 000 personnes ont validé, en 2015, tout ou partie de diplôme au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE) dans les établissements d’enseignement supérieur.
Cela représente une nouvelle baisse de 7,6 % par rapport à 2014. Cette baisse est due à celles des validations partielles, en premier ou en post-premier jury, tandis que le nombre de validations totales en premier jury reste stable. De ce fait, la part de ces dernières augmente, à nouveau, de 5 points et atteint 66 % de l’ensemble des VAE examinées.
En revanche, et contrairement à 2014, le nombre de demandes déposées augmente (+ 9 %). Plus de la moitié des VAE sont financées par l’employeur, 27 % sont autofi nancées et 15 % ont un financement public.
La validation des acquis de l’expérience (VAE) constitue une voie d’accès aux diplômes. C’est un moyen de reconnaissance officielle des compétences acquises par l’expérience, créé en 2002. Jusqu’en 2007, le dispositif était en plein essor avant de se stabiliser entre 2007 et 2011. Depuis 2012, le nombre de bénéficiaires baisse. Ainsi, pour les seules validations en premier jury, le nombre de VAE a été multiplié par 3,7 entre 2002 et 2007 et a baissé de 13 % depuis (FIGURE 1). En premier jury, une demande de validation peut être accordée totalement, partiellement ou être refusée. La validation est totale si le jury estime que les acquis du candidat sont en adéquation avec les attendus de la certification visée. Lorsque le jury estime que les acquis répondent partiellement aux objectifs de la certification, il octroie une validation partielle accompagnée de préconisations. Le candidat pourra présenter à nouveau son dossier à un deuxième jury ou post-premier jury, au cours des cinq années suivantes, en vue de l’obtention de la totalité du diplôme visé. Enfin, la VAE est refusée si le jury estime que les acquis ne répondent pas aux objectifs de la certification visée.
La VAE : une démarche relativement longue
Une démarche de VAE commence au moment du dépôt du dossier de recevabilité et s’achève avec la décision du jury. Cette durée varie avec le résultat de la VAE. En effet, les diplômés par validation totale en premier jury ont mis moins de temps en moyenne pour obtenir leur diplôme (1,3 an – FIGURE 2) que les bénéficiaires de validation partielle en premier jury (1,4 an) ou totale en post-premier jury (2,1 ans). Pour la moitié d’entre eux, la démarche dure entre 11 mois et 1,6 an (elle se situe entre 11 mois et 1,8 an pour une validation partielle et entre 1,5 et 2,5 ans pour une validation totale en post-premier jury). Pour certains, la démarche peut aller au-delà de 4 ans.
En 2015, 87 % des candidats passés devant un jury ont bénéficié d’un accompagnement. Sans être obligatoire, l’ensemble des organismes certificateurs recommande l’accompagnement car il offre des chances supplémentaires au candidat d’aller jusqu’au bout de la démarche et d’obtenir de meilleurs résultats. Il ne garantit toutefois pas la réussite de la VAE.
Plus de candidats mais moins de diplômés
Contrairement à 2014, le nombre de candidats a augmenté en 2015 alors que celui des diplômés par VAE continue de baisser. En effet, le nombre de demandes déposées augmente de 9 % (environ 9 000 demandes) et de 1 % pour les demandes déclarées recevables (environ 7 000 demandes). De son côté, le nombre de demandes examinées par un jury reste stable (environ 4 000 demandes). Il est à souligner qu’il ne s’agit pas là d’un suivi de cohorte : les candidats qui ont déposé un dossier de VAE n’ont pas forcément reçu un avis de recevabilité favorable, ni été examinés par un jury la même année.
En 2015, près des trois quarts des candidats ayant reçu un avis favorable de recevabilité ont entre 30 et 49 ans et 17 % ont 50 ans et plus (FIGURE 3, voir « en savoir plus »). Un peu plus de la moitié sont des hommes et 83 % ont un emploi. Trois candidats sur quatre visent une licence professionnelle ou un master.
Stabilité des validations totales en premier jury
En 2015, 3 943 personnes ont obtenu tout ou partie de diplôme au titre de la validation des acquis de l’expérience. Ce nombre baisse de 7,6 % par rapport à 2014. Alors que le nombre de validations totales en premier jury, qui représente les deux tiers des bénéficiaires (2 589, sa part sur l’ensemble des validations augmente de 5 points) reste stable, celui des validations partielles en premier jury et encore plus celui des validations totales en post-premier jury baissent de nouveau en 2015 (respectivement - 11 % et - 40 % – FIGURE 4). Plus précisément, ce sont les masters et les licences professionnelles qui enregistrent la baisse la plus importante (FIGURE 5, voir « en savoir plus »). Le nombre de validations refusées baisse pour la deuxième année consécutive (- 11 %). Les diplômés par validation totale en premier jury sont un peu plus souvent des personnes âgées de 40 à 49 ans (40 % – FIGURE 6, voir « en savoir plus »). En revanche, les bénéficiaires de validation partielle en premier jury sont un peu plus souvent âgés de 30 à 39 ans (41 %). Les diplômés par validation totale en post-premier jury ont, quant à eux, plutôt entre 40 et 49 ans (41 %). Les validations refusées concernent davantage des masters (39 %).
L’employeur, principal financeur
Plus de la moitié des candidats bénéficient d’un financement de leur employeur via leur obligation de financer des actions de formation, soit en organisant directement les formations, soit en versant leur contribution aux organismes paritaires agréés par l’État. Parmi ces candidats, 25 % ont obtenu un congé individuel de formation (CIF) ou un congé VAE et 23 % bénéficient d’un plan de formation. 27 % s’autofinancent et 15 % obtiennent un financement public (aide régionale ou aide de Pôle emploi). La recherche d’un financement est une étape longue et laborieuse qui peut ralentir la démarche d’obtention d’un diplôme par la VAE.
Licence professionnelle et master : toujours les diplômes les plus convoités
Avec 37 % de diplômés par VAE chacun (tous jurys confondus), la licence professionnelle et le master restent les deux diplômes les plus convoités en 2015. La licence professionnelle est très largement obtenue en premier jury par validation totale (76 % – FIGURE 7) plutôt que par validation partielle (18 %) ou totale en postpremier jury (6 %). Près de la moitié des masters s’obtient en plusieurs étapes : 56 % des candidats l’obtiennent en totalité en premier jury, contre 33 % partiellement et 11 % totalement en post-premier jury. Près de la moitié des candidats de moins de 30 ans (46 %) valident une licence professionnelle et 10 % un diplôme d’ingénieur. Les 30-49 ans recherchent autant une licence professionnelle (39 %) qu’un master (37 %). Enfin, les personnes de 50 ans ou plus optent plutôt pour des masters (36 %) ou des diplômes « autres » (23 %). En 2015, le nombre de personnes ayant obtenu un diplôme d’ingénieur par VAE augmente : il passe de 137 à 186 diplômés. Le Cnam reste le principal certificateur de diplôme d’ingénieur (58 %, + 10 points par rapport à 2014). Ce diplôme est généralement délivré en premier jury : 49 % par validation partielle, 47 % par validation totale contre 4 % en post-premier jury. Le doctorat demeure un diplôme très peu délivré par la VAE : 18 en 2015. Parmi les domaines ou grands champs disciplinaires, les validations en premier jury portent en premier lieu sur le droit, économie et gestion (39 %, en baisse de 3,5 points par rapport à 2014), puis les sciences, technologie et santé (36 % en hausse de 8,3 points) et les sciences humaines et sociales (20 %). Pour les validations en post-premier jury, le champ des sciences, technologie et santé (42 %) passe devant celui du droit, économie et gestion (34 %). Les licences professionnelles sont principalement délivrées en droit, économie, gestion (53 %) et en sciences, technologie, santé (32 %). Les masters le sont plus en droit, économie, gestion (32 %) et en sciences humaines et sociales (31 %).
Certains diplômes plus plébiscités mais proposés par peu d’établissements
Près d’un master sur quatre a été délivré dans trois mentions : « MEEF » (Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation, 13 %), « Management » (5 %) et « Information et communication » (4 %) sur 316 au total. Les établissements d’enseignement supérieur ne proposent pas tous les mêmes mentions dans leur offre de formation. Certaines mentions sont délivrées par un nombre limité d’établissements, devenant même parfois la spécialité de l’un d’entre eux. C’est le cas du master MEEF qui est délivré dans 24 établissements et pour lequel 71 % des bénéficiaires sont diplômés de l’université d’Aix-Marseille. Concernant les licences professionnelles, près d’un quart se répartit entre deux mentions (sur 71) : « Commerce » (12 %) et « Management des organisations » (11 %). 35 établissements ont délivré la première et les universités d’Artois et de Limoges se partagent chacune près de 15 % des bénéficiaires. La licence professionnelle « Management des organisations » est, quant à elle, délivrée dans 39 établissements dont presque 15 % par le Cnam. Un quart des licences est délivré en « Staps » (9 %), « Gestion » (8 %) et « Sciences de l’éducation » (7 %). L’université de Lille II a délivré 69 % des mentions « Gestion » sur les 9 établissements concernés. Enfin, le diplôme d’ingénieur présente la particularité d’être délivré principalement dans une seule mention : « Informatique » (71 %). Sept établissements l’ont délivré en 2015 et 76 % des bénéficiaires l’ont obtenu par le Cnam.
L’expérience particulièrement valorisée pour obtenir une licence professionnelle et un master
En 2015, seuls 25 % des bénéficiaires de VAE avaient auparavant au plus le bac. Comme on peut s’y attendre, la licence professionnelle est délivrée en premier jury pour une large part à des bénéficiaires titulaires d’un diplôme de niveau bac + 2 (19 % de l’ensemble des VAE – FIGURE 8) et le master à des titulaires d’un diplôme de niveau bac + 3 ou bac + 4 (16 %). La réelle plus-value est visible pour les 11 % des VAE délivrant une licence professionnelle à des bacheliers et pour les 12 % des VAE attribuant un master à des diplômés de niveau bac + 2. Voir l'article...
22 septembre 2016

La validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les établissements d'enseignement supérieur : la baisse se poursuit en 2015

Près de 4 000 personnes ont validé tout ou partie d’un diplôme de l’enseignement supérieur au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE) en 2015 dans les universités et le Cnam. Cela représente une nouvelle baisse de 7,6 % par rapport à 2014. Cette baisse est due à celles des validations partielles, en premier ou en post-premier jury, tandis que le nombre de validations totales en premier jury reste stable. De ce fait, la part de ces dernières augmente, à nouveau, de 5 points et atteint 66 % de l’ensemble des VAE examinées.
NI-26 VAE dans les établissements du supérieur: le baisse se poursuit en 2015

L'essentiel
Contrairement à 2014, le nombre de demandes déposées augmente (+ 9 %).
Plus de la moitié des VAE sont financées par l’employeur, 27 % sont autofinancées et 15 % ont un financement public.
Avec 37 % de diplômés par VAE chacun (tous jurys confondus), la licence professionnelle et le master restent les deux diplômes les plus convoités en 2015. La licence professionnelle est très largement obtenue en premier jury par validation totale (76 %). Près de la moitié des masters s’obtient en plusieurs étapes : 56 % des candidats l’obtiennent en totalité en premier jury, contre 33 % partiellement et 11 % totalement en post-premier jury.

Près de la moitié des candidats de moins de 30 ans (46 %) valident une licence professionnelle et 10 % un diplôme d’ingénieur. Les 30-49 ans recherchent autant une licence professionnelle (39 %) qu’un master (37 %). Enfin, les personnes de 50 ans ou plus optent plutôt pour des masters (36 %).

En 2015, le nombre de personnes ayant obtenu un diplôme d’ingénieur par VAE augmente : il passe de 137 à 186 diplômés. Le Cnam reste le principal certificateur de diplômes d’ingénieur (58 %, + 10 points par rapport à 2014). Le doctorat demeure un diplôme très peu délivré par la VAE : 18 en 2015.

En 2015, 87 % des bénéficiaires d’un diplôme en tout ou partie sont des actifs en emploi. Ils sont 13 % à la recherche d’un emploi et moins de 1 % en dehors du marché du travail. Les cadres restent les principaux bénéficiaires de la VAE dans un établissement d’enseignement supérieur (44 %, + 1,5 point en 2015) quel que soit le type de validation. Voir l'article...
22 septembre 2016

Les CIFRE

Renforcer les échanges entre les laboratoires de recherche publique et les milieux socio-économiques, favoriser l'emploi des docteurs dans les entreprises et contribuer au processus d'innovation des entreprises françaises, telle est la vocation du dispositif des conventions industrielles de formation par la recherche (Cifre), financé par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche depuis 1981.

22 septembre 2016

Prix d'Amsterdam 2015

Le Prix d'Amsterdam a pour objectif de récompenser tous les deux ans un(e) jeune diplômé(e) d'un établissement d'enseignement supérieur français afin de l'inciter à poursuivre des recherches en sciences humaines et sociales aux Pays-Bas. La date limite de réception des dossiers de candidature au Prix d'Amsterdam est fixée au 31 mars 2016.
Télécharger toutes les infos sur le Prix d'Amsterdam 2015. Voir l'article...

22 septembre 2016

Le Premier Ministre saisit le CESE sur l’évolution de la fonction publique en France

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Depuis trente ans, le service public s’est profondément transformé sous l’effet combiné du mouvement de décentralisation, de l’ouverture à la concurrence de nombreux secteurs et de l’impact de la construction européenne.
Aujourd’hui, la réforme territoriale menée par le Gouvernement va conduire à de nouvelles évolutions. De même, la loi de modernisation du système de santé va induire une profonde transformation de l’organisation de l’offre de soins hospitalière. Dans ce contexte, le Premier ministre Manuel Valls a saisi le CESE sur l’évolution de la fonction publique (d'Etat, territoriale et hospitalière) en France lui demande de dresser les pistes d’évolutions qu’elle devrait suivre à moyen terme. L’avis du CESE sera remis au Premier Ministre avant la fin du mois de décembre 2016. Voir l'article...

22 septembre 2016

Colloque "Le socle européen des droits sociaux - Quelle Europe sociale ?" le 14 octobre

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Le Comité économique et social européen et le CESE ont été tous deux saisis sur le sujet, le premier par le Président de la Commission, Jean-Claude Juncker, le second par le gouvernement français. 
Les deux institutions souhaitent lancer aujourd'hui un large débat avec la société civile en France et dans les pays membres afin de faire connaître les normes minimales sociales en Europe et de réflechir à la manière de les adapter aux changements du monde du travail. 
Vous êtes cordialement invité.e au Palais d'Iéna, siège du Conseil économique, social et environnemental le 14 octobre de 9h à 13h30 à venir débattre et formuler des propositions pour développer le socle minimum des droits sociaux en Europe. Voir l'article...
22 septembre 2016

Le CESE a rendu ses préconisations sur les certificats de qualification professionnelle - CQP

Résultat de recherche d'images pour "lecese logo"Dans un monde caractérisé par de multiples mutations d’ordre économique, technologique, écologique et organisationnel, les compétences et les qualifications professionnelles connaissent de profondes évolutions. Elles constituent des enjeux majeurs, pour les personnes, les entreprises et la collectivité dans son ensemble.
Pour attester de la qualification d’une personne, pour objectiver la finalité d’une formation qualifiante, les certifications professionnelles sont des repères indispensables aux employeurs, aux collectifs de travail et aux individus. Voir l'article...
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