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Formation Continue du Supérieur

3 janvier 2015

Apprentissage : près de 7 jeunes sur 10 en emploi à l’issue de leur formation

Vie publique - au coeur du débat publicLe ministère de l’éducation nationale a publié en août 2013 les chiffres 2012 de l’insertion professionnelle des jeunes sortant d’apprentissage. L’apprentissage repose sur le principe de l’alternance entre enseignement théorique en centre de formation d’apprentis (CFA) et enseignement du métier chez l’employeur.
Le niveau d’études reste déterminant pour l’accès à l’emploi : 40% des sortants sans diplôme ont un emploi, 45% des titulaires du seul diplôme national du brevet, 60% des titulaires d’un CAP ou d’un BEP, 77% des détenteurs d’un baccalauréat professionnel ou technologique et 82% des titulaires d’un BTS ou d’un diplôme de niveau I ou II (licence ou master). La spécialité préparée importe également beaucoup : le taux d’emploi après une formation dans le secteur des services (70%) est globalement supérieur à celui après une formation dans le secteur de la production (68%). Enfin, le taux d’emploi varie d’une académie à l’autre, en lien avec le contexte économique local et les différences de niveau de formation des sortants. Voir l'article...

3 janvier 2015

Personnes éloignées durablement de l’emploi : quel accompagnement ?

Vie publique - au coeur du débat publicLe Conseil d’orientation pour l’emploi (COE) a publié en octobre 2014 un rapport consacré à "l’éloignement durable du marché du travail". Selon le COE, cette situation concerne actuellement plus de deux millions de personnes, soit près de 5% de la population en âge de travailler et l’équivalent de 6,5% de la population active. Le COE présente plusieurs mesures destinées à prévenir et enrayer ce phénomène...
Pour le COE, l’éloignement du marché du travail est un phénomène qui s’autorenforce : l’éloignement réduit les chances de retrouver un emploi et il pèse ensuite durablement sur les trajectoires professionnelles. Pour faciliter le retour à l’emploi, le COE recommande de mieux articuler accompagnement social et professionnel. Il encourage notamment le développement de l’accompagnement global, actuellement expérimenté dans plusieurs départements. Ce dispositif repose sur l’intervention de conseillers de Pôle emploi et de travailleurs sociaux. Le COE suggère également de développer l’alternance pour les adultes, ainsi que la validation des acquis de l’expérience et les écoles de la deuxième chance.

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3 janvier 2015

L’économie sociale et solidaire en 2012

Vie publique - au coeur du débat publicL’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publie en novembre 2014 une étude sur l’économie sociale et solidaire (ESS) en 2012. L’ESS rassemble les acteurs économiques qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale, donnant la primauté aux personnes sur la recherche de profits.
En 2012, les associations, fondations, coopératives et mutuelles emploient 2,3 millions de salariés (soit 10% de l’emploi salarié), versent 60 millions d’euros de rémunération (soit 8% de la masse salariale) et génèrent 90 millions d’euros de valeur ajoutée (soit 5% de l’ensemble de l’économie).
La loi du 31 juillet 2014 a prévu la création d’une cinquième composante de l’économie sociale : "les entreprises sociales et solidaires", sociétés commerciales à but social et respectant plusieurs exigences découlant des principes fondateurs de l’ESS (gouvernance non exclusivement liée aux apports en capital, poursuite d’une activité d’une utilité sociale, orientation stable des excédents dégagés en faveur de cette activité, limitation de la spéculation sur le capital et les parts sociales).

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3 janvier 2015

Marché du travail : les propositions du rapport Pisany-Ferry-Enderlein

Vie publique - au coeur du débat publicLe rapport des deux économistes Jean Pisani-Ferry et Heinrik Enderlein a été remis aux ministres de l’économie de la France, Emmanuel Macron, et de l’Allemagne, Sigmar Gabriel. Considérant que la France et l’Allemagne ne peuvent se résigner à ce que l’Europe s’enferme dans "le piège de la stagnation", le rapport préconise des réformes structurelles adaptées à la situation de chaque économie.
Pour la France, il s’agit de flexibiliser le marché du travail, d’améliorer la compétitivité et de réduire les dépenses publiques. En matière de relations de travail, il recommande notamment :

  • de changer la formule d’indexation du Smic. Celle-ci devrait faire intervenir la progression de la productivité globale, et non plus l’inflation et la hausse du salaire réel moyen.
  • de passer d’une obligation annuelle de négociation des salaires au niveau de l’entreprise (sans obligation d’aboutir à un accord) à une obligation triennale.
  • d’assouplir les conditions de mise en place d’accords de maintien dans l’emploi (maintien de l’emploi en contrepartie d’un aménagement du temps de travail et de la rémunération) lorsque l’entreprise fait face à un retournement de l’activité, et d’autoriser la mise en place de ces accords dès que l’entreprise connaît une "concurrence accrue sur le marché".
  • de rendre "plus prévisibles" les coûts et les délais de licenciement des salariés embauchés en contrats à durée indéterminée (CDI).
  • d’élargir le champ des dérogations possibles aux conventions collectives de branches, y compris lorsque les accords d’entreprise comportent des dispositions qui ne sont pas bénéfiques aux salariés.
  • de rationaliser les instances de représentation des salariés dans les entreprises de plus de 50 employés (délégué du personnel, comité d’entreprise "CE", comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail "CHSCT") et de faciliter la représentation dans les entreprises de moins de 50 salariés.

Le rapport recommande également que France et Allemagne s’engagent en faveur d’un salaire minimum commun, et fassent converger leurs politiques de retraite, d’éducation et d’emploi (formation professionnelle, secteurs à bas salaires, etc.). Par ailleurs, il se prononce en faveur d’un soutien aux investissements privés et publics au niveau européen.

Sur la toile publique
3 janvier 2015

Chronologies de la vie publique - 2014

Vie publique - au coeur du débat publicLes dates et événements clés qui jalonnent la vie publique en France sont déclinés ici sous deux modes :

  • les faits marquants : ces chronologies indiquent, mois après mois, les principaux événements de la vie publique ;
  • des chronologies thématiques : ces repères permettent de retracer l’évolution d’un problème, d’une politique ou d’une réforme faisant débat dans l’actualité. Voir l'article...
3 janvier 2015

De loi d’orientation en réforme

Vie publique - au coeur du débat publicIl est impossible d’évoquer l’école primaire sans en revenir à la genèse de son organisation actuelle, les années 1880-1890, qui correspondent à la consolidation de la IIIe République. On sait que dans l’esprit de Jules Ferry, de ses collaborateurs et des hommes politiques républicains, la constitution d’une école gratuite (loi de 1881), obligatoire (1882) et laïque (1882 et 1886) constitue un enjeu politique : dans un contexte marqué par le positivisme et la foi dans le progrès, le but est de créer un individu, "citoyen républicain", affranchi des appartenances anciennes, et principalement de l’Eglise. Partant, les lois créant l’enseignement primaire sont fondées sur une morale civique et républicaine, à partir de l’inculcation de ces valeurs aux enseignants dans les écoles normales et de la confection de manuels d’instruction civique. Cependant, il s’agit de ne pas remettre en cause radicalement l’ordre social. Aussi le primaire est-il constitué d’une manière autonome par rapport au secondaire : il est déconnecté des autres formes d’enseignement existantes. Il n’est pas question de faire de l’école primaire un mode d’entrée dans le secondaire et c’est toute une filière d’enseignement qui s’élabore, l’Ecole primaire supérieure en constituant la structure "d’élite". La démocratisation de l’accès au collège puis au lycée a mis fin à l’autonomie de l’enseignement primaire : désormais, le primaire n’est plus le seul degré du système scolaire que tous les enfants suivent. Voir l'article...

3 janvier 2015

Projets de décrets relatifs aux droits des citoyens dans leurs relations avec l’administration relevant du MESR

Vie publique - au coeur du débat publicProjets de décrets pris pour l’application de l’article 21 de la loi n°2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec l’administration relevant du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche
Les annexes de ces décrets prennent la forme d’une énumération des demandes que peuvent adresser les usagers au ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche et à ses établissements publics administratifs.

  • Le premier projet de décret, pris sur le fondement de l’article 21-II de la loi du 12 avril 2000 ouvre la faculté, lorsque l’urgence ou la complexité de la procédure le justifie, de modifier le délai de deux mois de naissance d’une décision implicite d’acceptation ;
  • Le deuxième projet de décret, pris sur le fondement de l’article 21-I-4° de la loi du 12 avril 2000 prévoit que l’application du principe peut être écartée pour des motifs liés au respect des engagements internationaux et européens de la France, la protection de la sécurité nationale, la protection des libertés et des principes à valeur constitutionnelle et la sauvegarde de l’ordre public ;
  • Le troisième projet de décret, pris sur le fondement de l’article 21-II de la loi du 12 avril 2000 prévoit que des procédures peuvent être écartées de l’application du principe pour des motifs liés aux enjeux de la décision en cause ou à la bonne administration des procédures.

Afin de permettre une vision d’ensemble des demandes concernées, ces projets de textes sont accompagnés d’un document prenant la forme d’un tableau. Il indique, pour chaque demande recensée, le régime actuel et le régime futur proposé au regard des dispositions de la loi. Voir l'article...

3 janvier 2015

Observatoire national de la vie étudiante (OVE)

Vie publique - au coeur du débat publicCrée par l’arrêté du 14 février 1989, l’Observatoire national de la vie étudiante (OVE) est un organisme public d’études et de recherche qui a pour mission de fournir une information statistique sur les conditions de vie des étudiants et sur leur rapport aux études, de manière à éclairer la réflexion politique et sociale. L’élément central du dispositif d’observation est l’enquête triennale “Conditions de vie” auprès d’un échantillon représentatif de l’ensemble des étudiants inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur français. L’OVE établit par ailleurs un rapport annuel d’activités qui est présenté au ministre de l’Éducation.
L’OVE est animé par un conseil composé de membres des organisations syndicales représentatives des étudiants, de leurs mutuelles, de personnalités de l’enseignement supérieur et de représentants des collectivités territoriales. Son collège scientifique, composé de chercheurs choisis au sein de l’Université et de grands organismes de recherche, dirige les études réalisées par l’Observatoire ou à son initiative et contrôle leur qualité. L’Observatoire dispose d’un budget propre, intégré au budget du Centre national des œuvres universitaires et scolaires (CNOUS) où il figure sur les ressources affectées.

Site : Observatoire national de la vie étudiante (OVE) . Voir l'article...

3 janvier 2015

CEREQ - Le réseau des centres associés

Contacts des centres associés au Céreq

Centre associé régional d'Aix-en-Provence

Centre associé régional d'Aix-en-Provence -> Centre associé au Céreq pour les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse.

Centre associé régional de Besançon

Centre associé régional de Besançon -> Le centre associé au Céreq pour la région Franche-Comté développe des travaux ...

Centre associé régional de Bordeaux

Centre associé régional de Bordeaux -> Le centre associé au Céreq en région Aquitaine est intégré au Centre Emile Durkheim.

Centre associé régional de Caen

Centre associé régional de Caen -> Le centre associé au Céreq en région Basse-Normandie est intégré au laboratoire ESO-Caen.

Centre associé régional de Clermont-Ferrand

Centre associé régional de Clermont-Ferrand -> Centre associé au Céreq pour la région Auvergne est une composante du CER-ESC.

Centre associé régional de Dijon

Centre associé régional de Dijon -> Depuis 1977, il accueille le centre associé au Céreq pour la région Bourgogne.

Centre associé régional de Grenoble

Centre associé régional de Grenoble -> Le centre associé au Céreq de Rhône-Alpes fut l’un des tous premiers...

Centre associé régional de Lille

Centre associé régional de Lille -> Centre associé au Céreq pour les régions Nord – Pas de Calais & Picardie.

Centre associé régional de Montpellier

Centre associé régional de Montpellier -> Centre associé au Céreq du Languedoc-Roussillon, il développe des travaux sur ...

Centre associé régional de Nancy

Centre associé régional de Nancy -> Le centre associé au Céreq pour la Région Lorraine est, depuis 1983, intégré au Grée.

Centre associé régional de Nantes

Centre associé régional de Nantes -> Centre régional associé au Céreq des Pays de la Loire.

Centre associé régional de Paris

Centre associé régional de Paris -> Le Centre Céreq Île-de-France est associé au Centre d’Économie de la Sorbonne.

Centre associé régional de Rennes

Centre associé régional de Rennes -> Créé en 1976, le centre associé de Bretagne est l’un des plus anciens du réseau des CAR Céreq.

Centre associé régional de Strasbourg

Centre associé régional de Strasbourg -> Le centre associé pour la région Alsace est accueilli depuis 1979 par le BETA.

Centre associé régional de Toulouse

Centre associé régional de Toulouse -> La ville de Toulouse accueille le centre associé pour les régions Midi-Pyrénées et Limousin.

3 janvier 2015

Helping the ECB Cross the Rubicon

France Stratégie - Commissariat à la stratégie et à la prospectiveEurozone monetary officials are expected to make history when they gather for the European Central Bank’s next policy-setting meeting on January 22. Observers anticipate that ECB President Mario Draghi and his colleagues will finally cross the Rubicon and announce the launch of a large-scale program of quantitative easing (QE) – in other words, high-volume purchases of government bonds. Though the ECB has resisted QE for more than five years, even as other major central banks embraced it, Executive Board member Benoît Coeuré has already called it the “baseline option.” More...

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