Inscription en ligne à partir du 1er septembre 2015. Voir l'article...
Le programme de professionnalisation septembre 2015 - janvier 2016 du CARIF Corse Compétences est en ligne
Inscription en ligne à partir du 1er septembre 2015. Voir l'article...
Professionnalisation dans l’enseignement supérieur : appel à communication pour une journée d’études (co)organisée par le GTES et le RESUP
Le 22 juin 2016, le GTES* du Céreq (Réseau d’échange et de production sur les parcours de formation et d’insertion des inscrits de l’enseignement supérieur ) et le RESUP* (Réseau d’études de l’enseignement supérieur) organisent une journée d’études sur “Professionnalisation dans l’enseignement supérieur : Perspective comparée”
La journée d’étude aura lieu à Toulouse. La conférence d’ouverture sera faite par Vincent Carpentier (University College London, Institute of Education)
Les propositions de communication sont à transmettre avant le 31 décembre 2015 sous forme d’un résumé et de 2 pages maximum.
Contact
En savoir plus sur la journée d’étude Resup/GTES
Cette journée d’étude vise à faire le point sur les voies empruntées par les dispositifs mis en place au nom de la professionnalisation et les effets produits.
AXE 1. La professionnalisation instituée des contenus et des parcours
AXE 2. La professionnalisation des publics
A travers les deux axes présentés ci-dessus, il s’agit de mieux identifier les publics de la professionnalisation, de comparer les pratiques, les dispositifs et leur portée entre filières, pays ou régions. Les travaux adoptant une perspective historique ou comparative seront particulièrement appréciés. Ils permettront de préciser le sens, les logiques, les effets de discours et de pratiques s’inscrivant dans le sillage de la professionnalisation.
(*) Créé en 2001, le RESUP a pour vocation de fédérer et de susciter la recherche en sociologie, science politique, histoire, sciences de l’éducation et économie, dans le domaine de l’enseignement supérieur. Son conseil scientifique est présidé par Christine Musselin (Sciences Po / CSO, CNRS)
(*) Créé en 1993 par le Céreq, le GTES est un réseau d’échange et de production sur les parcours de formation et d’insertion des inscrits de l’enseignement supérieur. Il réunit des membres du réseau Céreq, des chercheurs, des enseignants-checheurs et des représentants d’ observatoires et de services ministériels (DGESIP, INJEP) qui contribuent à des productions communes tous les deux ans. Voir l'article...
L’émergence de la filière industrielle des énergies marines renouvelables (EMR) ne crée pas à proprement parler de nouveaux métiers. Elle est cependant susceptible de venir transformer ceux pour lesquels les entreprises peinent à recruter, en redistribuant leur socle de compétences et en recomposant l’offre de formation. Voir l'article...
Dans ce numéro, on explore la distinction entre compétences académiques et non académiques.
Cette notion de compétences non académiques est elle aussi en débat ; selon les approches et les disciplines, elle peut se décliner en compétences non cognitives, comportementales, sociales, émotionnelles, relationnelles, positionnelles, voire esthétiques. Voir l'article...
Découvrez le guide « Le syndrome d’épuisement professionnel ou burnout. Mieux comprendre pour mieux agir » réalisé par la Direction générale du travail (DGT), l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) et l’Anact, ainsi que des enseignants-chercheurs et experts de terrain. Voir l'article...
Les taux d’accès au bac augmentent. Mais alors que neuf enfants d’enseignants sur dix sont bacheliers, ce n’est le cas que de quatre enfants d’ouvriers non qualifiés.
90 % des enfants d’enseignants entrés en sixième en 1995 ont obtenu le bac environ sept années plus tard, contre 40,7 % des enfants d’ouvriers non qualifiés, selon le ministère de l’Education nationale [1]. Une partie des enfants issus des milieux populaires accèdent au bac, mais les écarts sont considérables selon les milieux sociaux, notamment du fait de l’influence du niveau de diplôme des parents, dans un système scolaire très académique. Voir l'article...
24 % des personnes pauvres vivent au sein d’une famille monoparentale, soit près de 1,2 million de personnes, si on utilise le seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian. Très souvent, il s’agit de femmes avec des enfants. Le taux de pauvreté des personnes vivant dans une famille monoparentale est de 20,5 %, deux fois et demi la moyenne nationale (8,1 %). A l’opposé, les couples sans enfant représentent une personne pauvre sur dix et leur taux de pauvreté atteint 3,1 %. Une grande partie de la population pauvre (42,4 %) vit au sein d’une famille avec des enfants. Voir l'article...