Formation Continue du Supérieur

Entrée depuis 2007 dans le classement de Shanghai qui répertorie les 500 meilleurs établissements d'enseignement supérieur dans le monde, l'Université Rennes 1 se positionne cette année entre le 151e et la 200e place en chimie et entre la 101e et la 150e place en maths. Guy Cathelineau, président de l'Université, se félicite de cette reconnaissance internationale.
En savoir plus, sur le site de l'Université Rennes 1. Voir l'article...

Alors que l'Unef classe Brest parmi 20 autres villes étudiantes hexagonales comme lauréate de son enquête sur les coûts de la rentrée universitaire, la Fédé B, fédération des associations étudiantes de Bretagne occidentale, classe quant à elle Vannes comme ville étudiante bretonne la moins chère.
Selon les chiffres de la Fédé B, le coût mensuel moyen y serait de 906,65 €, contre 909,10 € à St Brieuc, 947,05 € à Quimper, 956,65 € à Lorient, 963,10 € à Brest et 1 003,77 € à Rennes. Les dépenses mensuelles moyennes sont toutefois cette année en recul de 3,08 % à Rennes par rapport à 2014 alors qu'elles augmentent de 2,70 % à Brest en raison de la fort hausse du coût des transports publics. Voir l'article...

7 octobre 2015 => 11 octobre 2015
Où : Toutes les villes
Lien : http://www.fetedelascience.fr 
Créée en 1991 et pilotée par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, la Fête de la science favorise les échanges entre la communauté scientifique et le grand public  Manipulez, testez, participez à des visites de laboratoires, dialoguez avec des chercheurs, découvrez les métiers de la recherche, stimulez votre goût pour les sciences ! La Fête de la science, ce sont des milliers d'animations gratuites, partout en France. À cette occasion, la science investit les lieux publics et et les chercheurs viennent à votre rencontre.
Le programme en Bretagne. Voir l'article...

En 2015, les femmes représentent 35 % des membres des conseils d'administration du CAC 40 et 32 % de ceux du SBF 120. C'est plus que par le passé et la féminisation progresse : 50 % des nouveaux mandats ont été attribués à des femmes en 2015. Mais l'objectif de 40 % fixé par la loi Copé-Zimmermann de 2011 risque de ne pas être respecté. Voir l'article...

Alors que l'Institut Montaigne et le think thank Terra Nova viennent de publier des rapports suggérant de placer au sein des entreprises et des branches professionnelles les questions de droit du travail, un sondage CSA révèle que 71 % des français seraient prêts à laisser les entreprises fixer le temps de temps (annualisation et durée légale du travail). Parmi ces répondants, 67 % sont des salariés du secteur privé. Voir l'article...

Selon une étude de la Dares, 413 000 contrats aidés ont été signés en 2014, dont plus de 80 % dans le secteur non marchand. Si ce chiffre est en recul de 9,7 % par rapport à 2013, il reste toutefois très élevé et le nombre de bénéficiaires n'a cessé d'augmenter (+20 % en 2014, +47 % en 2013) sous l'effet d'un allongement de la durée des contrats et du déploiement des emplois d'avenir. Fin 2014, 380 000 personnes étaient employées en contrat aidé. Voir l'article...

Les textes concernant les nouvelles modalités de reconnaissance des groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification (Geiq) sont parus en août 2015. La procédure renforce le rôle de l'État dans l'attribution de labellisation. Voir l'article...

Deux rapports des think tank, Terra Nova et l'Institut Montaigne, préconisent que les accords collectifs puissent déroger au Code du travail. Temps de travail, forme du contrat, motif de licenciement et salaire minimum seraient définis par les négociations collectives. Le rôle de la loi serait limité au respect du droit international et des droits fondamentaux. Voir l'article...

Les 390 entreprises françaises sondées par le cabinet de conseil Aon Hewitt annoncent 2,4 % d'augmentation pour les enveloppes salariales de 2016. Dans les filiales d'entreprises étrangères la hausse serait de 2,5 % alors que pour les entreprises françaises, les augmentations se limiteraient à 1,8 %. Voir l'article...

Alors que le ministère du Travail annonce au total, fin juin, 5,397 millions de chômeurs hexagonaux, toute catégorie confondue (dont 3,553 millions en catégorie A) il s'avère que Pôle emploi ayant modifié ses méthodes de classement des chômeurs, 10 000 demandeurs d'emploi doivent être comptabilisés en plus en catégorie A et près de 25 000 dans les catégories A, B et C pour connaître le nombre exact et total de demandeurs d'emploi. Voir l'article...