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Formation Continue du Supérieur

24 avril 2015

A Stronger Nation Through Higher Education - 2015 Edition

Lumina's annual progress report toward the goal, A Stronger Nation offers detailed data arrays that describe degree attainment at the national, state and county levels. The report also provides degree-attainment data for each of the nation’s 100 most populous metropolitan regions.
Our nation confronts an urgent and growing need for talent, and higher education is the key to meeting that need. That’s why Lumina Foundation focuses all of its energy and resources on one goal, what we call Goal 2025. We want to ensure that, by the year 2025, 60 percent of Americans hold a college degree, certificate or other high-quality postsecondary credential.
Each year in this report, we track the nation’s progress toward that goal, focusing mainly on the working-age population (ages 25-64). According to the most recent available data (2013), 40 percent of these working-age Americans have at least a two-year degree – an 0.6 percentage-point increase over the previous year’s rate of 39.4 percent. This increase is encouraging, as is a similar increase in higher education attainment among young adults (ages 25-34). More...

24 avril 2015

National hiring experiments reveal 2:1 faculty preference for women on STEM tenure track

Résultat de recherche d'images pour "scienceofsciencepolicy"It is a complex and incredibly well designed study with some very interesting manipulations, and a sample size allowing for the appropriate tests. BUT, I can't help but question the external validity. Granted, compared to many studies in this area, it is much more ecologically valid. Nonetheless, I can see at least three issues here, so I'm a little concerned to see the authors conclude, "We interpreted our findings to mean that anti-female bias in academic hiring has ended. Changing cultural values, gender-awareness training, and trends such as the retirement of older faculty members have brought us to a time when women in academic science are seen as more desirable hires than equally competent men" (from first link below). With that said, here are what I see as the primary concerns.
INGRoup 2015 July 23-25 in Pittsburgh!
www.ingroup.net
The myth about women in science
http://www.cnn.com/2015/04/13/opinions/williams-ceci-women-in-science/in...Women best men in STEM faculty hiring study http://news.sciencemag.org/education/2015/04/women-best-men-stem-faculty...National hiring experiments reveal 2:1 faculty preference for women on STEM tenure track http://www.pnas.org/content/early/2015/04/08/1418878112.full.pdf. More...

24 avril 2015

L’enseignement supérieur et la recherche en Suisse

CDBund LogoLa nouvelle publication de la brochure «Universités et Recherche en Suisse»
L’enseignement supérieur et la recherche suisses en comparaison internationale

La qualité du système éducatif et la créativité des chercheurs ont une importance centrale pour la capacité d’innovation et la compétitivité économique de la Suisse. Les pouvoirs publics et les entreprises privées consentent chaque année des investissements importants pour maintenir et consolider la place de la Suisse en tant qu’acteur international de premier plan dans nombre de domaines scientifiques et technologiques.
Dépenses de formation
Selon l’OCDE, l’ensemble des dépenses de formation en Suisse équivaut à 5,6 % de son produit intérieur brut. Cette valeur situe la Suisse légèrement en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE (6,1%). Les dépenses en faveur de la formation sont plus importantes au Danemark (7,9%), en Corée (7,6%) et aux Etats-Unis (6,9%) et en France (6,1%), notamment. En revanche, la Suisse investit plus dans la formation que, par exemple, l’Allemagne et le Japon, avec chacun 5,1%.
Le résultat diffère si l’on met les dépenses nationales d’éducation en relation avec le nombre total de personnes en formation dans le pays considéré : la Suisse occupe le premier rang mondial pour les dépenses annuelles de formation avec environ 16 000 dollars américains par personne en formation, suivie par les Etats-Unis (environ 15 300 USD), alors que la moyenne de l’OCDE se situe à 9500 USD.
Dépenses de recherche et développement
Selon l’OCDE, les dépenses globales de la Suisse pour la recherche et le développement représentent 3% du PIB. Cette valeur est nettement supérieure à la moyenne de l’OCDE de 2,4%, notamment grâce à l’effort important des entreprises suisses. Des pays industriels de premier plan tels que l’Allemagne (2,9%), les Etats-Unis (2,8%) et la France (2,2%) investissent proportionnellement moins. Dans le contexte européen, la Finlande (3,3%) et la Suède (3,3%) investissent cependant plus que la Suisse.
Publications scientifiques
Les chercheurs suisses sont à l’origine d’environ 1,2% de toutes les publications scientifiques du monde. Cependant, si l’on ramène le nombre de publications à la taille de la population, la Suisse occupe la tête du classement, suivie de la Finlande.
La Suisse est aussi en bonne position internationale en ce qui concerne l’impact de la production scientifique, mesuré au moyen d’un indice relatif de citations des publications scientifiques. Au sein de la communauté scientifique, les publications scientifiques en provenance de Suisse retiennent une attention plus élevée que la moyenne.
Si l’on considère l’impact de la production scientifique nationale par domaine de recherche, la Suisse se hisse trois fois à la première place mondiale : en « Sciences techniques et de l’ingénieur, informatique », en « Physique, chimie et sciences de la terre », et en « Agriculture, biologie et sciences de l'environnement ». La Suisse obtient la troisième place dans le domaine « Sciences de la vie » et la septième place en « Médecine clinique ».
Un autre indicateur important de la performance scientifique d’un pays est la capacité de ses institutions et de ses chercheurs à nouer des partenariats sur le plan international. Les données pour la Suisse montrent une forte tendance à la hausse dans ce domaine. En moyenne des années 2007-2011, la Suisse a tissé près de 70% des partenariats au niveau international. Dans ce cas de figure, les chercheurs actifs en Suisse publient le plus souvent en partenariat avec des chercheurs établis aux Etats-Unis. Les chercheurs des pays voisins que sont l’Allemagne, la France et l’Italie sont également des partenaires de coopération importants pour la communauté scientifique suisse, dont le maillage international s’avère très développé.
Brevets
Les résultats de la Suisse en matière de recherche et de développement sont confirmés au niveau des dépôts de brevets. Si le nombre de brevets déposés en Suisse reste modeste par rapport au volume total des brevets déposés dans le monde, leur volume relatif par rapport à la population place là encore la Suisse parmi les meilleurs en comparaison internationale. En effet, la Suisse se place en seconde position derrière le Japon en nombre de brevets «triadiques» par million d’habitants (brevets annoncés simultanément auprès des bureaux de brevets européens, américains et japonais).
Classement international des universités suisses
La qualité de l’enseignement supérieur suisse ressort également des classements internationaux des universités (rankings). Les hautes écoles universitaires suisses (c’est-à-dire les universités cantonales et les deux écoles polytechniques fédérales, l’ETH Zurich et l’EPFL) obtiennent de bonnes, voire de très bonnes places dans les différents rankings internationaux.
Prix Nobel
Albert Einstein, qui est devenu citoyen suisse en 1901 et a travaillé plusieurs années en Suisse, est l’un des plus illustres scientifiques et penseurs de l’histoire moderne. L’auteur de la théorie de la relativité et de plusieurs autres contributions décisives à la science reçut le Prix Nobel de physique en 1921, rejoignant ainsi une liste de lauréats suisses commençant par Emil Theodor Kocher, Prix Nobel de médecine en 1909. Jusqu’à présent 20 scientifiques ayant la citoyenneté suisse ont été récompensés du Prix Nobel en sciences naturelles. Par ailleurs, plusieurs prix Nobel de littérature et de la paix sont allés à des personnalités suisses. Télécharger L'enseignement supérieur et la recherche en Suisse.

24 avril 2015

We must dispel the idea that universities are wasteful

UK higher education faces something of a dilemma. Yes, we are incredibly successful at all levels, with one of the strongest university sectors in the world. Yet, at the very core of higher education, uncertainty prevails.
For example, universities have proved adept at making surpluses at a time when many in the wider public sector were facing cuts. You might think this would be seen as a good thing. But it has drawn criticism from powerful quarters. More...

24 avril 2015

Attentes à l’égard de l’enseignement supérieur : perspective de la 12e année

CESPMLa poursuite d’études postsecondaires (EPS) présente des avantages sociaux, éducatifs et économiques, notamment l’élargissement des connaissances, l’acquisition de compétences, une expérience de vie, des revenus plus élevés (annuels et en bilan de carrière) et un risque de chômage inférieur. Les élèves du secondaire des Maritimes et leurs parents doivent soupeser le temps personnel à engager et le coût des EPS pour décider si l’élève entamera des EPS et, le cas échéant, quel cheminement il suivra. Le sondage de la CESPM auprès des élèves de 12e année visait à répondre à des questions importantes sur leurs projets et leurs attentes.
Plus le niveau de scolarité des parents est élevé, plus les élèves sont susceptibles de vouloir faire des études universitaires
Les antécédents scolaires familiaux d’un élève ont une grande influence sur sa décision d’aller à l’université ou non. Devant plusieurs choix d’influences – enseignants, parents, conseillers en orientation, amis et médias –les élèves étaient deux fois plus susceptibles (56 %) de mentionner leurs parents comme influence importante sur leur décision d’aller à l’université. En outre, les élèves des familles les plus scolarisées étaient plus susceptibles (59 %) de mentionner l’influence des parents que ceux dont les parents avaient un diplôme d’études secondaires ou moins (47 %).
La principale motivation dans le choix d’aller à l’université est la préparation d’une future carrière et l’acquisition de compétences
Comme les élèves qui se dirigent vers l’université (69 %), ceux qui veulent aller à un collège public ou communautaire à l’automne sont plus susceptibles de dire que leur décision est motivée principalement par des raisons professionnelles (carrière/emploi) (57 %); cependant, dans cette catégorie générale, en comparaison avec ceux qui iront à l’université (31%), un nombre inférieur d’élèves qui se dirigent vers un collège public donnent la préparation d’une carrière future (19 %) parmi les raisons les plus importantes; on ne constate pas de différence significative dans le pourcentage de ceux que qui disent vouloir acquérir des connaissances spécifiques en vue d’un futur emploi (24 % vs 23 %) ni dans celui des élèves motivés par de meilleures chances de gagner un bon salaire (14 % vs 15 %). Voir Attentes à l’égard de l’enseignement supérieur : perspective de la 12e année.

24 avril 2015

ERAC ERA Roadmap 2015-2020: Nothing new under the sun

Today, the European Research Area and Innovation Committee (ERAC) adopted its opinion on the European Research Area (ERA) Roadmap 2015-2020. This document is drafted by the EU Member States at the request, in February 2014, of the EU Competitiveness Council. The document intends to guide the Member States in structuring their implementation of ERA at national level.
On 18 January 2000, the European Commission adopted an ambitious communication “Towards a European research area”. Fifteen years later, the Member States, through ERAC, finally take ownership of the ERA process with this ERA Roadmap 2015-2020. It identifies a limited number of key implementation priorities which are likely to have the biggest impact on Europe’s science, research and innovation systems if all the members of the ERA Partnership get them right. More...

24 avril 2015

Employer perspectives on competency-based education

https://www.aei.org/wp-content/themes/aei/library/images/footer-logo.pngExcitement is growing about the potential for competency-based education (CBE) to become a transformative force in higher education. Yet while much of the attention paid to ever-expanding CBE efforts focuses on student and institutional priorities, little effort has been made to understand the perspectives and needs of the employers who must hire CBE credential-bearing graduates. For CBE to achieve its full potential as a disruptive force in higher education, employers must recognize the validity of specific competencies, assigning labor-market value to the discrete skill bundles required for a targeted job opportunity. Only then can the value proposition of competency-based education be complete.
Read the full report. More...

24 avril 2015

Formations environnementales : qualité de l’insertion et ressenti sur les débouchés professionnels

Retour à l'accueil - Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l'ÉnergieLa dégradation du marché du travail observée depuis plusieurs années affecte l’ensemble des jeunes, quelle que soit la formation initiale suivie. Mais en étudiant leur insertion professionnelle, les jeunes formés en environnement semblent résister un peu mieux. Ceux issus des formations dans les domaines de la prévention des pollutions et de l’énergie connaissent une insertion professionnelle facilitée, tout comme les jeunes arrivés sur le marché du travail avec un niveau Bac + 2. Ces mêmes catégories portent un regard plutôt positif quant aux débouchés professionnels offerts par leur formation. Pour d’autres, les difficultés d’insertion coexistent avec une vision critique de la formation ;c’est notamment le cas des femmes. Les résultats de l'enquête n'expliquent toutefois pas certains décalages observés entre la qualité de l'insertion et l’opinion sur les débouchés de la formation.
Télécharger les Formations environnementales : qualité de l’insertion et ressenti sur les débouchés professionnels. Voir l'article...

24 avril 2015

Hausse des effectifs dans les trois versants de la fonction publique

Institut national de la statistique et des études économiquesAu 31 décembre 2013, 5,6 millions de salariés travaillent en France dans la fonction publique. Sur un an, les effectifs globaux progressent de 1,5 %. En 2013, le nombre de bénéficiaires de contrats aidés a fortement augmenté (+ 36 %) ; cette progression concerne les trois versants de la fonction publique et explique la moitié de la croissance des effectifs globaux. La hausse des effectifs est de 2,0 % dans la fonction publique territoriale et de 1,7 % dans le versant hospitalier. Dans la fonction publique de l’État, la progression de 1,0 % est portée par la croissance des effectifs des établissements publics (+ 6,0 %), alors que les effectifs des ministères diminuent (- 0,3 %). La hausse du volume annuel de travail (+ 0,7 %) est moins dynamique que celle des effectifs en fin d’année.

24 avril 2015

A Lire :: Big Data et ordre symbolique

Logo AmueA lire sur le blog d’Henri Verdier. Et si les données restructuraient aussi nos inconscients ? Les algorithmes envahissent désormais nos structures sociales et nos vies quotidiennes. Peuvent-ils à leur tour être perçus comme une forme nouvelle de langage ? Dessinent-ils de nouvelles formes de pouvoirs, d’autorités, de rappel à la loi ? Aurons-nous besoin de nouveaux concepts pour décrire cette emprise qui n’est plus tout-à-fait langagière, saturée de mathématiques, non linéaire, auto-apprenante, immédiate et inaccessible à l’intuition commune ?
En savoir + :: Big data : du nouveau dans l'ordre symbolique ?

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