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Formation Continue du Supérieur

29 mai 2013

Charte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises

http://www.fpspp.org/portail/images/ssi/exe_anim_format.gifCharte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises
Préambule

Conformément à la loi (art. L.6332-1-2 du code du travail), le FPSPP établit et publie la « Charte des bonnes pratiques pour les organismes collecteurs paritaires agréés et les entreprises ».
Par la présente Charte, les partenaires sociaux manifestent leur volonté de développer, en lien avec les OPCA et OPACIF et au service des entreprises et de leurs salariés:
    * Des actions de formation qui répondent aux besoins des entreprises (en particulier les très petites, petites et moyennes entreprises) et des publics les plus en difficulté;
    * La lisibilité, la transparence et l’optimisation du fonctionnement des OPCA et OPACIF;
    * La qualité de l’offre de formation et son évaluation.
Cette Charte a une dimension évolutive, par l’enrichissement continu des bonnes pratiques identifiées au sein des réseaux. Les OPCA et les OPACIF s’engagent à faire vivre la présente Charte en participant à l’harmonisation des démarches, la promotion et la diffusion des bonnes pratiques identifiées dans leurs réseaux. Le FPSPP organise des travaux collectifs nécessaires à la mutualisation, la diffusion, la valorisation des bonnes pratiques et crée les conditions de la coopération entre les réseaux OPCA et OPACIF.
L’application de la « Charte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises » est une des conditions de l’agrément des OPCA et des OPACIF (art.L.6332-1 du code du travail).
Elle est publiée sur le site internet du FPSPP et sur chaque site d'OPCA et d'OPACIF, au sein d'un espace dédié et facilement accessible.
Visualiser la charte.
Les OPCA et OPACIF s’engagent, selon leurs prérogatives respectives, à:
Publier sur internet
Publier, au sein d'une rubrique dédiée et identifiable de leur site internet:
    * La liste des priorités de financement des formations et des publics;
    * Les comptes ainsi que la liste annuelle, a minima, des cinquante premiers organismes de formation financés;
    * Les critères et conditions de prise en charge des formations;
    * Les synthèses de travaux des observatoires intéressant la formation.
Améliorer la lisibilité des informations

Améliorer la lisibilité des informations à destination des chefs d'entreprises et des salariés:
    * Sur les critères, les priorités, les modalités et conditions de prise en charge des publics visés pour chaque dispositif de formation;
    * Par la publication des actions de formation collectives;
    * Sur l’offre de formation disponible sur le territoire.
Simplifier les modalités de mise en œuvre

Simplifier les modalités de mise en œuvre des dispositifs pour faciliter l'accès des publics aux actions de formation.
Assurer les services de proximité

Assurer les services de proximité au bénéfice des chefs d’entreprises et des salariés par:
    * Le développement d'une offre de service spécifique en direction des entreprises, notamment des très petites, petites et moyennes entreprises;
    * Une couverture homogène du territoire, notamment grâce au développement des outils et services en ligne;
    * Le travail en réseau avec les acteurs de la formation, au niveau national et territorial.
Améliorer l’offre de formation

Contribuer à l’amélioration de l’offre de formation par:
    * La prise en compte des politiques de branche et de l’inter profession, des travaux prospectifs des Observatoires permettant d’anticiper les évolutions es métiers, des emplois et des qualifications. Les outils de diagnostic et d’accompagnement doivent être développés pour favoriser la réflexion sur les métiers et les qualifications;
    * L’individualisation des parcours de formation, l’optimisation de la durée de formation, le renforcement de l’accompagnement et de la fonction tutorale;
    * La mise en place d’une démarche d’évaluation de l’offre de formation, notamment du contrat de professionnalisation;
    * •La prise en compte des politiques de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences nationales et territoriales, interprofessionnelles ou sectorielles lorsqu’elles existent;
    * L’élaboration de procédures communes et partagées en matière d’achat de formation;
    * Une vigilance renforcée sur toutes dérives sectaires et pratiques frauduleuses.
Optimiser les services rendus

    * aux chefs d’entreprise;
    * aux salariés.
Mesurer la qualité

Mesurer de manière continue la qualité des services proposés.
http://www.fpspp.org/portail/images/ssi/exe_anim_format.gif Cairt dea-chleachtas chun OPCA agus gnóthaí
Brollach

De réir an dlí (airt. L.6332-1-2 den Chód Saothair), bunaíonn an FPSPP agus foilsíonn an "Charter of dea-chleachtais do chomhlachtaí bailithe chomhpháirtigh arna fhormheas agus gnóthaí."
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29 mai 2013

Forum Recherche, Innovation et Compétitivité

http://www.anrt.asso.fr/fr/association/img/image002.jpgL'ANRT s'associe aux Echos pour l'organisation du prochain Forum de la Recherche, de l'Innovation et de la Compétitivité 2013 qui se déroulera le vendredi 28 juin à Paris aux Salons Hoche. Programme et inscription (nombre de places limité).
Présentation
Le Forum de la Recherche, de l’Innovation et de la Compétitivité est prévu quelques mois après le débat sur la compétitivité en France: le rapport Gallois et les propositions gouvernementales ont rappelé que l’innovation est un levier majeur de compétitivité. Si la nécessité d’innover n’est plus à démontrer, le comment innover concerne les entreprises françaises qui doivent trouver les moyens de financer leurs investissements en R & D.
Au programme

- Politiques nationale et européenne de la R&D: quelle cohérence? Quelle gouvernance?
- Financement de l'innovation - Leviers publics, ressorts privés: ce qui marche et ce qui manque
- Articulation entre filières industrielles et technologiques, clusters et pôles de compétitivité: premier bilan concret, constat et perspectives
- De la recherche à l'innovation: le modèle français et ses alternatives 
- Innovation collaborative entre grands groupes, PME et ETI: la clé de la réussite pour un écosystème performant
Avec notamment l'intervention de Geneviève FIORASO, MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR  ET DE LA RECHERCHE

- Jean-Luc BEYLAT, Président du groupe de travail sur la réforme de la politique de transfert; Président Alcatel-Lucent Bell Labs France, Président du pôle de compétitivité, Systematic Paris-Région
- Marie-Pierre CHEVALIER, Directeur des alliances stratégiques, Pfizer
- Franck DEBAUGE, Directeur associé, ACIES Consulting Group
- Marko ERMAN, Senior Vice President & Chief Technical Officer, Thales
- Paul-François FOURNIER, Directeur de la Division Innovation, Banque Publique d'Investissement
- Charles LETOURNEUR, Managing Partner, ALVEN Capital
- Gérard MATHERON, Group Vice President R&D and Public Affairs, STMicroelectronics
- Agnès PAILLARD, Présidente, Aerospace Valley
- Jean-Christophe SIMON, Senior Vice-President Chief Innovation Office, SEB
- Ronan STEPHAN, Chief Innovation Officier, Alstom.
http://www.anrt.asso.fr/fr/association/img/image002.jpg ANRT joins the Echos to host the next Forum of Research, Innovation and Competitiveness in 2013 which will be held Friday, June 28 at the Paris Salons Hoche. Programme and Registration (limited number of spaces). More...
29 mai 2013

Jocelyn Meire - Directeur de la Cité des Métiers de Marseille et de PACA

http://www.rsepaca.com/upload/interviews/jocelyn-meire-222.jpgJocelyn MEIRE, vous êtes Directeur de la Cité des Métiers de Marseille et de Provence-Alpes-Côte d'Azur, labélisée Egalité en décembre 2012.Vous nous expliquez en quoi ce label vous concerne, ce qu'il vous apporte, votre positionnement sur ce « marché » et votre vision sur le marché de l'emploi...
La Cité est une structure juridique de type associatif, en quoi le Label Egalité vous concerne-t-il?

Notre association n'en est pas moins « employeur »; nous comptons 15 salarié-e-s (9 femmes et 6 hommes), auxquels s'ajoutent près de 10 Equivalents Temps Plein détachés par nos partenaires. Il nous a semblé intéressant de faire reconnaitre notre stratégie managériale interne, notamment en matière d'équité de traitement et d'accompagnement des collaborateurs -(trices) dans leur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. En outre, la démarche de labellisation est pour nous naturelle: nous fonctionnons en permanence, et sur tous les sujets, dans une démarche qualité.
Que vous apporte ce management par la qualité?

Nous sommes une structure régionale, et nous accueillons chaque année près de 100 000 personnes dans nos 9 implantations (dont 56 000 dans notre siège marseillais), auxquelles s'ajoutent les 400 000 utilisateurs de nos outils dématérialisés (sites internet et webmobile notamment); notre offre de service est centrée sur les besoins des personnes en recherche d'information et de ressources pour bâtir et sécuriser leur parcours professionnel. Fonctionner dans une démarche reposant sur la capitalisation des pratiques, la mesure de l'efficience, la remise en cause permanente, est pour nous un gage de pertinence de nos actions. Cela nous permet d'adapter en permanence notre offre de service, en répondant au plus près aux attentes des personnes en recherche d'information et de ressources pour bâtir et sécuriser leur parcours professionnel. Notre management par la qualité permet de partager expertise et bonnes pratiques pour faire face au quotidien à la diversité des demandes auxquelles nous devons répondre. Suite de l'article...
http://www.rsepaca.com/upload/interviews/jocelyn-meire-222.jpg Jocelyn Meire, tá tú ag Stiúrthóir na Cathrach na Ceirdeanna Marseille agus Provence-Alpes-Côte d'Azur, Comhionannas Lipéadaithe Nollaig 2012.Vous a mhíniú dúinn cad mbaineann an lipéad a thabhairt duit, tugann sé tú, do suímh seo "margadh" agus do fhís ar an margadh saothair. Níos mó...
29 mai 2013

L’orthographe – un enjeu professionnel

http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngPar Pascal Hostachy, cofondateur du Projet Voltaire. Nous sommes à la conjonction de deux phénomènes. D’une part le niveau de maîtrise de l’orthographe française baisse, d’autre part le monde professionnel ne nous a jamais autant exposés via nos écrits. Révolu le temps où l’on écrivait quelques lettres par jour aux clients, attentivement relues par la secrétaire de direction. L’e-mail est l’outil de communication professionnelle roi. Grâce à lui, nous écrivons tout le temps et à tout le monde, sans intermédiaire, pour le meilleur et pour le pire.
Idée reçue n° 1 – Peu importe l’orthographe, tant qu’on se comprend

Une étude anglo-saxonne (2011) montre qu’une faute d’orthographe sur une page de vente en ligne fait chuter de 50% le chiffre d’affaires de ladite page. Dire qu’une orthographe aléatoire peut nuire à la confiance des clients devient alors un doux euphémisme.
Idée reçue n° 2 – Pour les communications internes, l’orthographe n’est pas un enjeu

Tout dépend de la fonction. Pour des travaux très techniques et très manuels, l’orthographe importe peu. Pour des fonctions de management, la communication, écrite et orale, est l’enjeu n° 1. Ne pas soigner cette communication sur le fond comme sur la forme sera diversement apprécié par les collaborateurs à qui elle est destinée.
Idée reçue n° 3 – Qu’importe le français, c’est l’anglais qui prévaut!

L’anglais est en effet essentiel. De là à dire que le français ne l’est pas… Il suffit de se poser la question suivante: parmi les forces vives qui sortent des grandes écoles, quel est le pourcentage de personnes qui n’auront jamais affaire à des clients ou à des collaborateurs francophones? Suite de l'article...
http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngBy Pascal Hostachy, co-founder of Voltaire Project. We are a combination of two phenomena. On the one hand the level of proficiency in French spelling down, on the other hand the professional world we have never been as exposed through our writings. More...
29 mai 2013

De l’écrit, de l’imprimé, du numérique et des bibliothèques

http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngPar Marie-Pierre Redon et Sylvie Mersadier, groupe Documentation-Information de la CGE. L’écrit est lié à la valorisation du savoir avec ses problématiques inhérentes: la conservation et l’accès, traditionnellement assurés par les bibliothèques. Les supports de l’écrit se sont multipliés: de l’imprimé, on passe à l’imprimé numérisé puis à l’écrit nativement numérique; sous l’abord d’un maniement du document numérique rendu plus simple pour le lecteur, la conservation, la diffusion et l’accès s’en trouvent complexifiés.
Pour prendre l’exemple des revues scientifiques, les bibliothèques et leurs lecteurs ont désormais accès à des milliers de titres et à des millions d’articles, sous forme de bouquets, mais avec des coûts d’abonnement récurrents, en constante augmentation, et des difficultés nouvelles pour guider les lecteurs dans cette profusion d’information. Suite de l'article...
http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.png De réir Marie-Sylvie agus Pierre Redon Mersadier,Doiciméadú-Information Scríbhneoireacht CGE Grúpa nasctha le forbairt an eolais lena fadhbanna is gné dhílis: a chaomhnú agus rochtain, ar choinníoll go traidisiúnta ag leabharlanna. Níos mó...
29 mai 2013

L’écrit tel qu’en lui-même l’invention le change

http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngPar Yves Jeanneret, professeur au CELSA. Le dieu Toth inventeur de l'écriture
Dans le Phèdre de Platon, Socrate imagine le dialogue fabuleux entre le dieu Toth, inventeur de l’écriture et le dieu pharaon Thamous. Le premier expose les « choses de la technique », et celle dont il est le plus fier, ce sont les signes écrits, qui selon lui décuplent la pensée et la mémoire. Le roi-philosophe, réservé, oppose aux miracles de l’ingénierie la morale de l’usage, qui entend bien distinguer le prodigieux du fécond. L’écrit est selon lui un outil de mémorisation qui ne se substitue ni à la communication interpersonnelle ni au travail de la pensée. Socrate commente ce débat en soulignant la difficulté que nous avons à maîtriser les écrits: "une fois qu’il a été écrit, le texte va traîner partout, rencontrant indifféremment ceux qui s’y connaissent et ceux qui n’en ont rien à faire, sans discerner à qui il doit ou ne doit pas parler. Il n’est capable ni de se défendre ni de se protéger par lui-même." Suite de l'article...
http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngBy Yves Jeanneret, a professor at Celsa. The god Thoth invented writing
In Plato's Phaedrus, Socrates imagines the great inventor of writing and the god Pharaoh Thamus dialogue between the god Toth. More...
29 mai 2013

Le dispositif emplois d'avenir en Paca

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngDispositif d'accompagnement des emplois d'avenir.
Retrouvez toutes les informations sur les emplois d'avenir en Paca. Plaquette emplois d'avenir
. Liste des référents emplois d'avenir en Paca.
La loi du 26 octobre 2012 a confié au CNFPT la mission d’accompagner par la formation les bénéficiaires d’emplois d’avenir des collectivités territoriales. La cotisation est fixée à hauteur de 0,5% sur la rémunération des emplois d’avenir. Le nombre d’emplois d'avenirs recrutés est à ce jour de 12 000 environ dont 36% dans la fonction publique territoriale, soit un peu plus de 4 000. Ainsi par la formation, le CNFPT s’engage à accompagner des jeunes peu ou pas qualifiés, pour leur permettre d'acquérir des compétences et de s'insérer professionnellement.
Depuis le 1er janvier 2013, le CNFPT ouvre son offre de formation à ce nouveau public.

L’établissement propose ainsi une formation d’adaptation des emplois d'avenir (FAEA) à la fonction publique territoriale. D’une durée de 2 jours, elle est dispensée à tous les bénéficiaires des emplois d’avenir. Elle a pour objectif de leur permettre de se repérer dans l’environnement territorial, d’inscrire leur parcours dans un projet territorial et de leur fournir les outils pour situer leur rôle en tant qu’acteur du service public local; identifier les droits et les obligations d’un agent de service public; connaître le fonctionnement d’une collectivité territoriale; s’approprier les règles communes de santé et de sécurité au travail. Le CNFPT propose son offre dite « inter », en particulier les itinéraires métiers, permettant d’acquérir, sous forme de stages choisis « à la carte », les compétences nécessaires à l’exercice des métiers territoriaux. Il peut également accompagner les bénéficiaires des emplois d’avenir par la préparation aux concours.
Dispositif de formation de tuteurs

Une action visant des publics peu qualifiés nécessite un encadrement humain de proximité qui soit de qualité pour faciliter leur insertion. Le CNFPT propose des actions de professionnalisation des tuteurs des emplois d’avenir et met à leur disposition des outils leur permettant de mieux accompagner les jeunes pendant toute la durée du contrat d’emploi d’avenir.
Information et actions partenariales

Le CNFPT concourt activement à l’information des collectivités territoriales sur le dispositif des emplois d’avenir et en particulier son volet formation en lien avec les missions locales, Pôle Emploi, les centres de gestion de la fonction publique territoriale et sous la coordination des directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE).
Le CNFPT anime des réseaux de professionnels des RH et met à profit cette animation pour mobiliser la fonction RH des collectivités territoriales (et en particulier le service formation des collectivités) sur l’accompagnement et la formation des emplois d’avenir.
Emplois d'avenir

Le dispositif « Emplois d’avenir » génère chez les employeurs territoriaux une volonté manifeste d’offrir aux jeunes de 16 à 25 ans la possibilité de s’intégrer dans le monde de l’emploi et/ou d’acquérir des compétences professionnelles.
Une enquête diligentée par la délégation régionale « Provence-Alpes-Côte d’Azur » du CNFPT, au mois de février dernier, fournit quelques éléments  sur les recrutements prévus, les profils recherchés ainsi que sur le questionnement des collectivités territoriales en matière d’accompagnement des bénéficiaires des emplois d’avenir.
Vous trouverez, dans cette rubrique, de nombreuses informations actualisées dont l’objectif est de vous informer et de vous proposer des solutions concernant le dispositif « Emplois d’avenir ».
http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.png Tacaíocht Gléas do phoist sa todhchaí.
Faigh an t-eolas ar fad faoi na postanna a chinntiú don todhchaí i PACA. phoist bróisiúr na todhchaí. referents liosta de na todhchaí post PACA.

An dlí de 26 Deireadh Fómhair, 2012 Dúirt an misean CNFPT chun gabháil leis na faighteoirí oiliúna poist na n-údarás áitiúil sa todhchaí
. Níos mó...
29 mai 2013

Les jeunes et l’apprentissage dans la FPT en 2010

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngL’Observatoire de la fonction publique territoriale propose avec cette synthèse, un état des lieux sur la place des jeunes dans la fonction publique territoriale (agents de moins de 25 ans) et sur la situation de l’apprentissage en 2010.
Elle s’appuie sur deux sources statistiques venant de l’INSEE et de la DARES (Direction de l’animation, de la recherche et des études statistiques).
Pour décrire l’apprentissage, cette synthèse repose sur deux notions: le volume des apprentis présents au 31 décembre 2010, et les nouveaux contrats d’apprentissage signés au cours de l’année 2010.
Cette étude nous apprend notamment que 5% des agents territoriaux ont moins de 25 ans, 4 sur 5 sont des agents de catégorie C et un agent sur deux travaille dans la filière animation ou technique.
Concernant l’apprentissage, la fonction publique territoriale comptait en 2010 quelque 8 000 apprentis, âgés en moyenne de 20 ans, dont 3 sur 4 d’entre eux travaillaient essentiellement dans les régions Ile-de-France, Rhône-Alpes et Nord – Pas-de-Calais.
Etude jeunes et apprentissage 2010.
Augmentation du niveau de diplôme préparé

52% des apprentis ayant signé un contrat en 2010 préparent un CAP ou un BEP, 24% préparent un diplôme de niveau Bac ou Bac professionnel, et 22% un diplôme de niveau bac + 2 ou plus.
La proportion des apprentis préparant un CAP ou un BEP a diminué depuis 2003, puisqu’ils représentaient alors 62% des contrats signés.
A contrario, celle des apprentis préparant un diplôme de niveau bac + 2 ou plus est passée de 13% en 2003 à 22% en 2010.

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.png Monitoring the territorial public offers with this synthesis, an overview on the role of young people in the local government service (agents under 25 years) and the state of learning in 2010.
It relies on two data sources from INSEE and DARES (Direction of animation, research and statistical studies)
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29 mai 2013

Plénière du CNML - Jean-Marc Ayrault et Michel Sapin mobilisent les missions locales

http://www.emploi.gouv.fr/files/files/Acteurs/CNML/publications/une_Lettre19.gifLa Lettre du CNML n°19, mai 2013
Au sommaire du numéro 19 – mai 2013
    * Edito : Les nouveaux défis du CNML
    * A la Une : Plénière du CNML le 26 avril : Jean-Marc Ayrault et Michel Sapin mobilisent les missions locales
    * La Lettre de mission du ministre du travail, au président du CNML
    * Emploi dans les quartiers : Les dernières décisions gouvernementales
    * Fiche pratique : La convention de partenariat entre ERDF et le CNML
    * Emplois d’avenir du secteur sanitaire et social : une opportunité en Limousin
Plénière du CNML le 26 avril: Jean-Marc Ayrault et Michel Sapin mobilisent les missions locales

Le CNML et son nouveau président Jean-Paul Dupré, président de l’ARML de Languedoc-Roussillon et de la mission locale d’insertion départementale rurale de l’Aude, député-maire de Limoux, ont été officiellement installés par Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, le 26 avril dernier. Michel Sapin, ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social dont vous découvrirez (page 8) la Lettre de mission adressée au président Dupré était également venu ouvrir cette plénière. Alors que la jeunesse est une priorité affichée du quinquennat et que de nouvelles politiques publiques sont mises en oeuvre, la présence du Premier ministre et du ministre du travail à cette séance plénière du CNML renouvelé, témoignait de la confiance et du soutien apporté par le gouvernement à l’action des missions locales et de leurs instances.

En ouverture de cette plénière à laquelle assistaient également, Emmanuelle Wargon, déléguée générale à la formation professionnelle, Jean Bassères, directeur général de Pôle emploi, François Chérèque, inspecteur général des affaires sociales et Jean-Patrick Gilles, président de l’UNML, Jean-Paul Dupré a rappelé la nécessité, « tout en maintenant l’exigence de qualité et de choix des jeunes les moins qualifiés » d’atteindre l’objectif de 100 000 jeunes en emplois d’avenir en 2013: « C’est plus qu’une obligation, cela doit être pour nous un devoir. Il nous faut mobiliser l’ensemble des employeurs potentiels et, en premier lieu, les collectivités locales. »
Le président du CNML est revenu sur la rénovation du Conseil national: « Ce projet a pour objet de clarifier la gouvernance du réseau en concertation avec l’UNML. Cela me paraît être une nécessité absolue. Nous devrons répondre aux nouveaux enjeux qui nous sont proposés. Nous devons retrouver notre rôle interministériel. Nous avons un devoir de réussite, la situation l’impose, il en va de notre crédibilité. »
« L’implication des missions locales est importante et décisive »
Michel Sapin a évoqué, avec conviction et aussi beaucoup de pragmatisme, les dispositifs dans lesquels sont engagées les missions locales: « Le gouvernement n’a cessé de faire de l’emploi des jeunes une priorité absolue. L’implication des missions locales ne suffira pas seule à faire reculer le chômage, même si elle est importante et décisive. Les entreprises, les employeurs au sens large, ont une responsabilité et un rôle clé. Nous devons les aider à avoir confiance en la jeunesse. » Les collectivités ont également été ciblées: « Je souhaite rappeler à tous les élus présents qu’ils ont un rôle fondamental en matière d’emploi, un rôle d’exemplarité en tant qu’employeurs. Les collectivités que vous dirigez doivent montrer qu’il est possible de miser sur les jeunes peu ou pas qualifiés, de les former, de leur donner une chance, pour qu’ils puissent construire leur propre parcours. Je compte vraiment sur vous, présidents des associations régionales des missions locales, pour faire un travail de conviction auprès de l’ensemble de vos collègues élus. Vous êtes l’un des maillons clé entre les jeunes et les collectivités. » a souligné Michel Sapin qui a annoncé qu’il associera prochainement les présidents des ARML à un plan de mobilisation des collectivités.
Sur l’évolution des critères de sélection des jeunes pour les emplois d’avenir, le ministre a été très clair: « Soyez convaincus d’une chose : les emplois d’avenir sont et resteront ciblés sur les jeunes peu ou pas diplômés. À la fin de l’année, les cent mille emplois d’avenir devront avoir répondu à cent mille situations difficiles. C’est très difficile, mais nous pouvons être fiers d’une chose: sans les emplois d’avenir, ces jeunes-là n’auraient aucune chance d’être recrutés. » Le ministre a incité le réseau des missions locales à « ne pas être prisonnier de rigueurs administratives ou comptables. » L’adaptation du plan de la formation ou la durée des contrats, voire le temps partiel, sont des exemples de cette souplesse prévue par le dispositif des emplois d’avenir. Michel Sapin a rappelé que les entreprises du secteur marchand pouvaient maintenant s’ouvrir aux emplois d’avenir et qu’il fallait s’y employer.
« Un devoir d’information et de persuasion »
Le propos du ministre a été constamment concret, ferme également, comme lorsqu’il a rappelé sa volonté de voir allonger la durée moyenne des contrats aidés: « Il s’agit de donner plus de visibilité à l’employeur et aux bénéficiaires afin d’investir d’avantage dans l’emploi, la construction et la formation. » Michel Sapin a délivré un argumentaire en faveur du contrat de génération, rappelant les messages à faire passer aux employeurs: « Vous avez un devoir d’information et de persuasion auprès de l’ensemble du tissu économique ». Le potentiel des jeunes recrutés, l’aide aux entreprises compensant l’acquisition progressive de la compétitivité, la baisse de la cotisation chômage sur quelques mois sont des atouts à valoriser, tout comme la portée du contrat de génération qui « n’est pas seulement une aide à l’embauche des jeunes et au maintien de l’emploi des seniors », ni « un contrat aidé supplémentaire » mais « un vrai levier de création d’activité » et « un outil de soutien à l’entreprenariat » dans la perspective de transmission de petites entreprises.
C’est dans ce cadre que le ministre a rappelé le dispositif mis en oeuvre avec le ministre de la Ville, François Lamy, pour la mobilisation des moyens de la politique de l’emploi dans les territoires de la politique de la ville avec le dispositif NACRE, et pour renforcer la mobilisation autour du CIVIS. En conclusion, Michel Sapin a insisté sur la montée en puissance de la politique de l’emploi et sur les effets attendus de la loi sur la sécurisation de l’emploi: « Nous ne nous limitons pas à trouver des emplois aidés pour ceux qui sont frappés par le chômage, mais nous misons sur quelque chose de plus entraînant et de plus mobilisateur: le potentiel des jeunes et la création d’activité, la possibilité de se lancer véritablement et de réussir. »
Les échanges qui ont suivi entre le ministre et les membres du CNML ont notamment porté sur les disparités constatées sur le terrain dans la mise en oeuvre des emplois d’avenir. Après le tour d’horizon des travaux des commissions, Jean-Paul Dupré, le président du CNML, a accueilli le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, l’assurant de la mobilisation des missions locales: « Vous nous avez accordé, vous et votre gouvernement, une confiance importante. Nous devons en être dignes, c’est ce que nous nous engageons à faire. »
« On n’a jamais tout essayé »
« Votre rôle est important, c’est la raison pour laquelle je souhaitais personnellement installer ce conseil national des missions locales », a souligné le Premier ministre. « Je voudrais vous réaffirmer la détermination du gouvernement à soutenir les missions locales et à réaffirmer leur rôle en faveur de l’emploi et de l’accès à l’emploi des jeunes, à l’autonomie des jeunes. » Le chef du gouvernement, en évoquant les perspectives de décentralisation, a assuré : « L’État continuera à aider financièrement les missions locales, et à les soutenir du point de vue politique et institutionnel, comme un des éléments de la politique nationale et publique de l’emploi. » Il a également évoqué sa volonté de voir simplifier la perception que l’on peut avoir, depuis le terrain, du rôle et de l’organisation des instances nationales des missions locales. Il a suggéré que ces instances, en se réformant, puissent intégrer des jeunes suivis par les missions locales.
Jean-Marc Ayrault s’est voulu très mobilisateur, soulignant la cohérence entre les politiques publiques concernant les jeunes: « La France ne peut pas se résigner à ce qu’il y ait 20 % de sa jeunesse qui ne trouve pas de solution pour s’en sortir et s’insérer dans la vie. On n’a jamais tout essayé, mais il faut d’abord utiliser tout ce qu’on a déjà décidé. » À commencer par les emplois d’avenir: « Certains disent que c’est trop compliqué et qu’il faut tout changer. Il faut redoubler d’efforts et revenir aux fondamentaux des choix faits par le gouvernement et votés par le Parlement. Il s’agit de s’adresser à des jeunes plus éloignés de l’emploi : il ne faut pas abandonner cette exigence. » Comme son ministre avant lui, Jean- Marc Ayrault, regrettant « les circulaires un peu épaisses » qui accompagnent le vote des lois, a rappelé que les marges de mise en oeuvre existaient: « Je demande aux missions locales de bien prendre connaissance des dispositifs et de s’inspirer de toutes ces souplesses, y compris sur la nature du contrat de travail. Le plus important est de démarrer. »
« Plus nous serons déterminés, plus ceux qui doutent retrouveront la confiance »
La banque publique d’investissement, levier de la création d’activité, le contrat de génération, la refondation de l’école pour lutter contre l’échec scolaire, la négociation à ouvrir sur la formation professionnelle, la promotion de l’apprentissage, les actions entreprises pour détecter les jeunes décrocheurs (« en l’espace de trois mois, nous avons pu ramener 10 000 jeunes dans le système scolaire »), les recrutements à Pôle emploi pour une approche différente des personnes en situation difficile, tous ces chantiers ouverts par le gouvernement ont été rappelés par le Premier ministre qui a précisé le cadre de la garantie jeunes: « Le plan de lutte contre la pauvreté comprend un volet concernant les jeunes en grande difficulté à accéder à un emploi. Nous y avons inclus un dispositif spécifique de remise à niveau des jeunes. L’objectif est d’expérimenter cette garantie jeune, dès cette année, dans dix territoires. Les jeunes qui s’engageront dans un parcours de réhabilitation, de reprise de confiance et d’estime de soi, pourront bénéficier du RSA à la reprise de la formation. Pour l’instant, ils n’ont rien. Il ne s’agit pas du RSA jeune, mais d’un contrat. Ce sera donnantdonnant, cela nécessitera un suivi fort et concernera les jeunes plus démunis que les autres. À partir de cette expérimentation, l’objectif sera de toucher cent mille jeunes par an. »
Jean-Marc Ayrault a conclu en saluant l’engagement des membres du CNML et de ceux qu’ils représentent: « Vous êtes animés par les valeurs que les Français partagent et auxquelles nous avons envie de croire, les valeurs d’égalité et de solidarité. Plus nous serons déterminés, convaincus et mobilisés, plus ceux qui doutent retrouveront la confiance, et en particulier la jeunesse à laquelle vous vous adressez. »
http://www.emploi.gouv.fr/files/files/Acteurs/CNML/publications/une_Lettre19.gif An Litir CNML Uimh 19, Bealtaine 2013
Sa líon 19 - Bealtaine 2013

* Eagarthóireachta: Dúshláin CNML

* Cad atá nua: CNML Iomlánach 26 Aibreán: Jean-Marc Ayrault agus Michel Sapin shlógadh misin áitiúil

* An Ráiteas misin an Aire Saothair, Uachtarán na CNML

* Fostaíocht i gcomharsanachtaí: Na cinntí rialtais is déanaí

* Bileog Cleachtais: comhaontú comhpháirtíochta idir an CFRE agus an CNML

* Jobs do thodhchaí na seirbhísí sláinte agus sóisialta: deis i Limousin
. Níos mó...
29 mai 2013

Master’s degree programs surge at nation’s colleges and universities

http://s.troveread.com/perpos/0.2.11/5/widgets/rrwv1/img/logo.pngBy . The nation’s colleges and universities are churning out master’s degrees in sharply rising numbers, responding to a surge in demand for advanced credentials from young professionals who want to stand out in the workforce and earn more money. From 2000 to 2012, the annual production of master’s degrees jumped 63 percent, federal data show, growing 18 percentage points more than the output of bachelor’s degrees. It is a sign of a quiet but profound transformation underway at many prominent universities, which are pouring more energy into job training than ever before. The master’s degree, often priced starting at $20,000 to $30,000, is seen by some universities as a moneymaker in a time of fiscal strain. It is seen by students as a ticket to promotions or new careers. For them, the lure of potentially increasing their salary by many thousands of dollars a year outweighs the risk of taking on large tuition bills and possibly debt. Read more...
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