Formation Continue du Supérieur

Pour un entretien d’embauche ou au quotidien dans l’entreprise, l’apparence vestimentaire est essentielle. C’est notamment le cas dans certains secteurs d’activités. Explications.
Sommaire du dossier
* Avez-vous le look qu'il faut? Un bon CV, de l'expérience, de la personnalité... Vous avez des atouts en poche pour évoluer professionnellement. Mais avez-vous le look de l'emploi?
Quand l'habit fait le moine.
Embauche, promotion, développement de carrière, licenciement: le physique constitue l'un des critères les plus obscurs de discrimination. De fait, prendre soin de look, améliorer son image sont devenus des impératifs professionnels pour les femmes comme pour les hommes, pour les cadres et non-cadres. 80% de la communication est non verbale: les choix vestimentaires, la coiffure, le maquillage, la position du corps, la gestuelle sont des éléments qui influencent la perception que les autres ont de vous de manière consciente ou inconsciente.
* Soigner son apparence Quand on est en poste, difficile de ne pas tenir compte des codes vestimentaire Votre crédibilité en dépend. Une bonne apparence peut en effet être...
* On m'a prise pour une avocate! Le témoignage de Sandra, relookée par Pôle Emploi.
*  En savoir plus.

Le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) organise un colloque sur L’évolution des transferts entre les générations - Contribution à une politique des âges, le jeudi 11 juillet 2013 de 14h à 18h30, au Commissariat général à la stratégie et à la prospective, 18rue de Martignac - 75 007 Paris.
Ce séminaire, qui prend place au moment où la réflexion sur les grands équilibres de la protection sociale, et notamment des risques attachés aux différents âges de la vie, est particulièrement mobilisée (réforme des retraites, projets multiples sur l’éducation, signature de la COG de la branche famille, chantier dépendance …), a pour objectifs de présenter une étude eréalisée pour le CGSP, nouvelle en France, utilisant la méthodologie du National Transfert Account pour mesurer la consommation et les revenus par âge, au niveau individuel et agrégé.
Cette analyse permet une nouvelle façon de considérer les relations intergénérationnelles en termes financier et en temps produites par le système social et les transferts privés.
Le colloque prévoit, après la présentation de l’étude, deux temps:
    * une discussion scientifique sur les innovations portées par la méthode, ses limites …
    * et une discussion politique sur les nouvelles opportunités d’analyse des risques sociaux que cette méthode permet.
Inscription gratuite et obligatoire.
avec la participation, notamment, de:
    * Didier Blanchet, Rédacteur en chef de la revue Economie et Statistique de l’INSEE
    * Bertrand Fragonard, Président du haut conseil à la famille
    * Raphael Hadas-Lebel, Président du Conseil d'orientation des retraites
    * Jean-Hervé Lorenzi, Président du Cercle des Economistes, Professeur à l'Université Paris-Dauphine, titulaire de la Chaire Transitions démographiques, transitions économiques
    * André Masson, Chercheur UMR Paris Jourdan Sciences économiques, directeur de recherche CNRS, Ecole d'économie de Paris
    * Bruno Palier, Directeur de recherche du CNRS
    * Jean Pisani-Ferry, Commissaire général à la stratégie et à la prospective
    * Gustavo de Santis, DiSIA Dip. di Statistica, Informatica, Applicazioni  "G. Parenti", University of Florence
Le programme complet sera disponible dans quelques jours sur cette page.
Inscription gratuite et obligatoire.

Universitas 21, international organisation of research universities, annually publishes rankings of the best national education systems worldwide. They assess countries in four main categories: resources, environment, connectivity, and output.
Universitas 21, a worldwide consortium of leading research universities, has issued the rankings of countries, which offer higher education for international students. Second year in a row these rankings evaluated various criteria of national education systems as well as their progress and global impact.
Compared to last year result, in 2013 the Netherlands improved its overall position by 2 places and was ranked 7th with 78.2 points, ahead of United Kingdom, Austria, Belgium, Germany, and France. United States and Sweden retained their first and second positions while Canada moved down by 1 place and let Switzerland to the 3rd place.
See the overall ranking list of the first 25 countries. Read more...

Although the amount of Dutch students enrolled in technical studies is stable, around 30,000 technical positions go unfilled each year due to a lack of qualified workers. A new ‘technology pact’, signed recently by Dutch businesses, educational institutions, unions, and governmental bodies, hopes to solve this issue by attempting to attract more international tech students.
The pact proposes an increase of internships and scholarships for talented foreign tech students, as well as a strong recruiting link with universities. See programmes of universities offering technical studies. Read more...

By Georgia McCafferty. Gracen Duffield, 45, sold her house in Austin, Texas and threw in a successful career in IT with Dell Inc. to take MBA studies in China -- "somewhere with real opportunities," she said.
Leea Tiusanen, a 27-year-old from Finland, took a sabbatical from her managerial role at a large retail company to complete one year of her business degree in China. "There's so much more happening over here (China) than there is in Europe," she said.
And Jonathan Oi, a 25-year-old American with Chinese parents said he "returned to the motherland" to get his MBA at Guanghua School of Management to help differentiate himself from his American graduate-school peers.
These three are just a few of the thousands of western students now flocking to China for higher education, cultural adventure and -- more often than not -- an edge in an extremely competitive job market. Read more...

By Matthew Kupfer. When Munkhtsetseg Enkhbat, a Mongolian language instructor at the National University of Mongolia, wanted to expand her knowledge in the related field of Manchurian linguistics, she decided to go abroad. But instead of heading to China, she enrolled in a doctoral program in Russia. That decision might seem strange on the surface, but it made perfect sense to Enkhbat. “This is a center of Mongolian studies, and a Manchuria expert works here,” she said, referring to St. Petersburg State University, where she is doing her doctoral work. “Many famous scholars in this field spent their whole lives doing research in this university.”
Russia has traditionally been a magnet for Mongolian students seeking a higher education. Since 1922, over 60,000 Mongolians have obtained degrees in Russia, according to the Kremlin-sponsored Russian Center of Science and Culture in Ulaanbaatar. But since the collapse of communism, these ties have frayed, as a growing number of Mongolian students headed to Asia and the West for their higher education. Russia is no longer Mongolia’s only ally and link to the outside world. Read more...

Repenser la formation professionnelle: c'était l'objet d'un point presse, donné au siège de l'IGS, qui dispense de la formation continue. Philippe Joffre, responsable formation, est notamment revenu sur les enjeux de cette formation, et sur ses problématiques.
Michel Haristoy, directeur Formation Continue Inter Groupe IGS, est formel: depuis sa création, "la formation professionnelle a connu des révolutions". Un constat partagé par Philippe Joffre, directeur du programme Responsable Formation Développement chez IGS.
Des accélérations très rapides
"Le premier paradoxe, c'est qu'il faut faire plus et mieux avec moins de moyen", annonce, amer, Philippe Joffre. Cet expert de la formation connaît bien la branche et ses évolutions. Il a conscience des réductions de budgets alloués à la formation, réductions de plus en plus visibles en termes de qualité. Suite de l'article...

Blog Educpros d'Isabelle Barth. Les raisons de vouloir le changement de l’université française sont nombreuses! L’irruption du marché dans l’enseignement supérieur avec les études payantes; des systèmes d’accréditation qui exigent le résultat et la preuve, pas seulement l’affirmation et le moyen; des changements légaux et réglementaires; une transparence obligée sous le regard des réseaux sociaux…  Pourtant, en regardant l’enseignement supérieur et la recherche en France, une question s’impose: pourquoi les réformes échouent-elles les unes après les autres à vraiment changer l’université? Parce que derrière ce qu’on analyse comme un système bureaucratique se cache la réalité d’un système clanique. Et on ne réforme pas une bureaucratie comme une structure de clans. C’est l’analyse que j’ai présentée lors du colloque de l’Institut Psychanalyse et Management au mois de novembre 2012 à Clermont-Ferrand et dont je souhaite partager les grandes lignes avec vous grâce à ce billet.
L’université vue comme une bureaucratie professionnelle…
L’université est rangée par le grand théoricien Henry Mintzberg dans la catégorie des « bureaucraties professionnelles », aux côtés par exemple de l’hôpital ou encore des cabinets d’experts-comptables. Elle est animée par des opérateurs très qualifiés (dans notre analyse, les enseignants-chercheurs) qui poursuivent leurs buts professionnels spécifiques, ce qui se traduit au niveau de l’organisation par des buts peu opérationnels. Ces mêmes opérateurs exercent une influence importante sur le fonctionnement au quotidien, tandis qu'un certain flou entoure la prise de décision stratégique. Enfin, le but prédominant d’une telle organisation est l’ « excellence professionnelle ». Selon cette première analyse, l’université est une bureaucratie professionnelle avec comme objectif l’excellence académique. Mais grattons derrière la « croûte » bureaucratique pour s’intéresser à ses modes de fonctionnement au jour le jour.
…fonctionne en réalité selon un mode clanique