
Idée reçue n° 1 – Peu importe l’orthographe, tant qu’on se comprend
Une étude anglo-saxonne (2011) montre qu’une faute d’orthographe sur une page de vente en ligne fait chuter de 50% le chiffre d’affaires de ladite page. Dire qu’une orthographe aléatoire peut nuire à la confiance des clients devient alors un doux euphémisme.
Idée reçue n° 2 – Pour les communications internes, l’orthographe n’est pas un enjeu
Tout dépend de la fonction. Pour des travaux très techniques et très manuels, l’orthographe importe peu. Pour des fonctions de management, la communication, écrite et orale, est l’enjeu n° 1. Ne pas soigner cette communication sur le fond comme sur la forme sera diversement apprécié par les collaborateurs à qui elle est destinée.
Idée reçue n° 3 – Qu’importe le français, c’est l’anglais qui prévaut!
L’anglais est en effet essentiel. De là à dire que le français ne l’est pas… Il suffit de se poser la question suivante: parmi les forces vives qui sortent des grandes écoles, quel est le pourcentage de personnes qui n’auront jamais affaire à des clients ou à des collaborateurs francophones? Suite de l'article...
