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Formation Continue du Supérieur

12 février 2015

English at Higher Education Institutions: Problems and Solutions

logoBy Mohamed Suleiman Al Zain. To continue the previous article, more problems result from the poor competence of English language. A lot of university graduates fail to get the needed score in IELTS or TOFEL, the international passport for post graduate studies. As a result, they are deprived from the free opportunities through grants and fellowships to study abroad particularly in the USA or UK.
Those graduates greatly suffer in their long journey touring English language centres, spending much money and valuable time for the sake of improving their English proficiency to reach the required level to achieve their reasonable legitimate dreams. However, continuous failure and frustrations haunt them darkening their bright hopes in their first steps towards noble life. More...

12 février 2015

Depuis six mois, l’université d'Orléans fait sa promo en vendant des produits dérivés

https://lh6.googleusercontent.com/-LThMZNiHL1Y/AAAAAAAAAAI/AAAAAAAAAB0/3BWk-dzX3F8/photo.jpg?sz=104Par Lilian Maurin. Après les marques de composantes et le logo universitaire, le « Be Unique Be Original Be UO », arrivé en septembre, habille thermos, sacoches, vestes, etc. , entre autres.
Fin janvier, la page de l'université annonce ses nouveaux « goodies », les thermos « Be Unique Be Original Be UO ». Deux capitales pour « Université d'Orléans » bien sûr… Et 8 € demandés pour acquérir les derniers « objets dérivés » d'une vaste collection.
Mais où se trouve la boutique ? Éphémère le lendemain de l'annonce (au RU Le Lac), elle est permanente au 1er étage du château de la présidence.
« Since 1306 »
Bienvenue dans la caverne aux « goodies », où des placards regorgent de cravates, parapluies, clés USB, stylos, mugs, porte-clés, power bank (batterie de secours), sets de crayons, etc. Tous marqués du fameux sigle « Be UO ».
Contacts : boutique@univ-orleans.fr Page catalogue depuis le site de l'université ( www.univ-orleans.fr\universite\boutique-uo). Voir l'article...

12 février 2015

2015-012 - Emploi et chômage des 55-64 en 2013. Tassement du taux d’activité, forte hausse du taux de chômage

Abonnez-vous aux avis de parution de la DaresEn 2013, près de la moitié des personnes âgées de 55 à 64 ans résidant en France métropolitaine sont actives : 45,6 % sont en emploi et 3,4 % au chômage, soit un taux de chômage de 7,0 %. En outre, 2,2 % des seniors inactifs souhaitent travailler (halo autour du chômage). Parmi les seniors en emploi, 5,7 % sont en situation de sous-emploi. Le taux et la part de chômage, la part du halo autour du chômage et le taux de sous-emploi sont ainsi sensiblement plus faibles pour les seniors que pour l’ensemble de la population en âge de travailler. La part des chômeurs de longue durée est, en revanche, plus élevée pour les seniors.
Le taux d’activité des 55-64 ans n’a que très légèrement augmenté en 2013 une fois l’effet de l’évolution démographique neutralisé (+0,2 point), interrompant une tendance à la hausse depuis 2008 (+3,6 points au cours de l’année 2012). Cette stabilisation du taux d’activité s’explique notamment par l’élargissement des conditions de départ à la retraite à 60 ans pour carrière longue et par le cadencement de l’allongement de l’âge légal de départ à la retraite. Pour les 62-64 ans, la hausse du taux d’activité s’est cependant poursuivie au même rythme qu’en 2012.
Le taux de chômage des seniors a augmenté de 0,5 point au cours de l’année 2013 alors qu’il a baissé de 0,1 point dans l’ensemble de la population active. Depuis le début de la crise, la hausse du taux de chômage a été plus rapide pour les seniors que pour l’ensemble des actifs.

2015-012 - Emploi et chômage des 55-64 en 2013. Tassement du taux d’activité, forte hausse du taux de chômage (fév. 2015).

12 février 2015

CNEFOP - Rapport dépenses formation professionnelle continue

Les dépenses 2012 des politiques publiques et paritaires liées à la formation professionnelle
En 2012, dans le périmètre retenu se limitant aux dépenses liées aux politiques de formation professionnelle menées par l’Etat, les Conseils régionaux et les organismes paritaires, les dépenses se montent à 26,8 milliards d’euros, dont plus de la moitié destinée à la formation professionnelle initiale scolaire, 18% à l’apprentissage et 24% à la formation professionnelle continue.
Les financeurs interviennent sur des champs différents et complémentaires ; 70% des dépenses concernent directement l’offre de formation ; les dépenses induites de rémunération des personnes ou d’aides aux personnes et aux entreprises sont majoritaires dans le secteur de l’apprentissage et pour les demandeurs d’emploi.
La dépense moyenne par habitant par territoire régional est homogène ; en revanche il existe des disparités dans la répartition régionale des dépenses de formation pour les demandeurs d’emploi.
Plus de la moitié des dépenses est destinée à la formation professionnelle initiale scolaire, 18% à l’apprentissage et 24% à la formation professionnelle continue
Sur 26,8 milliards d’euros, 18 milliards d’euros soit 71%, sont consacrés à la formation initiale professionnelle : 8,2 milliards d’euros pour les lycées professionnels, 5,2 milliards d’euros pour les formations de BTS, DUT et licences professionnelles et 4,7 milliards d’euros pour l’apprentissage. Les formations artistiques, sanitaires et sociales (982 millions d’euros) sont également très majoritairement des formations initiales.
6,4 milliards d’euros soit 24%, sont consacrés à la formation professionnelle continue : 4 milliards d’euros pour les formations des personnes en recherche d’emploi, 2,2 milliards d’euros pour les formations des actifs occupés et enfin 202 millions d’euros pour des formations indépendantes du statut. On estime enfin à un milliard d’euros, les services d’orientation sans que le suivi de ces comptes soit aujourd’hui totalement satisfaisant.
Les financeurs interviennent sur des champs différents et complémentaires
L’Etat est le premier financeur de la formation professionnelle avec 14 milliards d’euros (52% des dépenses).
Il intervient particulièrement :

  •  sur le champ de la formation initiale pour un montant de 9,9 milliards d’euros à travers les financements des dépenses de personnel et de fonctionnement des établissements publics et privés ainsi que les dépenses d’investissement des établissements publics.
  •  par des dépenses sociales et fiscales (exonérations de charges sociales, crédits d’impôt, exonérations d’impôt sur le revenu) de 1,9 milliard d’euros dans le secteur de l’apprentissage.
  •  par la rémunération des personnes en recherche d’emploi en formation qualifiante pour 0,4 milliard d’euros.
  •  par la délivrance de bourses aux jeunes pour 0,6 milliard d’euros.

Les financements des Conseils régionaux se montent à 7 milliards d’euros et se concentrent sur :

  •  dans le champ de la formation initiale, les dépenses de fonctionnement, d’équipement, de construction des EPLE et sur les dépenses de fonctionnement des CFA pour 2,8 milliards d’euros.
  •  les formations sanitaires et sociales pour un milliard d’euros.
  •  l’achat de formation et la rémunération des personnes en recherche d’emploi : 1,6 milliard d’euros.
  •  des aides au transport, hébergement, restauration pour les jeunes pour 0,6 milliard
  • d’euros.
  •  des aides aux employeurs d’apprentis également pour 0,6 milliard d’euros.

Les dépenses des OCTA et des OPCA se répartissent ainsi :

  •  1,5 milliard d’euros de taxe d’apprentissage pour les lycées professionnels, les établissements d’enseignement supérieur et les CFA.
  •  1,9 milliard d’euros de coûts pédagogiques1 pour les formations des personnes en recherche d’emploi, pour les personnes en contrats de professionnalisation, en périodes de professionnalisation, les CIF et les DIF.
  •  0,6 milliard d’euros en rémunérations des personnes en CIF.

Enfin, l’UNEDIC consacre un milliard d’euros à l'aide au retour à l'emploi formation (AREF).
70% des dépenses concernent directement l’offre de formation
Sur les 26,8 milliards d’euros recensés, 70% soit 18,7 milliards d’euros sont destinés aux dépenses directes pour l’offre de formation que ce soit pour des dépenses courantes ou des dépenses en capital.
En formation professionnelle initiale
14 milliards d’euros sont destinés à l’offre de formation initiale (hors niveau I, en l’absence de données sur ce niveau) :

  •  Les lycées professionnels reçoivent 7,6 milliards d’euros (41% des financements) en provenance des pouvoirs publics (ministères de l’Education nationale et de l’agriculture, et les Régions), et des entreprises à travers la taxe d’apprentissage.
  •  Les formations supérieures (de niveau III et II) reçoivent des mêmes financeurs 4,5 milliards d’euros (24%).
  •  Enfin, les centres de formation d’apprentis perçoivent 2,1 milliards d’euros (11% des financements) provenant des Régions et des entreprises.

En formation professionnelle continue
3,6 milliards d’euros sont destinés à la formation professionnelle continue (étant rappelé que les dépenses des entreprises et de l’Etat pour leurs salariés et agents ne sont pas dans le champ de l’étude) :

  •  Les achats de formation au bénéfice des personnes en recherche d’emploi représentent 1,7 milliard d’euros apportés par les Régions, l’Etat et Pôle Emploi.
  • Le financement par les OPCA des contrats et périodes de professionnalisation et des congés individuels de formation par les OPACIF s’élève à 1,6 milliard d’euros.

Le solde des dépenses pédagogiques est consacré aux formations sanitaires et sociales (0,8 milliard d’euros).
Hors formation sous statut scolaire, les dépenses induites de rémunération des personnes ou d’aides aux entreprises sont majoritaires
En formation professionnelle initiale, l’apprentissage se caractérise par un montant et un poids atteints par les dépenses induites (dépenses sociales et fiscales de l’Etat, prime aux employeurs pour les employeurs d’apprentis) particulièrement importants, plus élevé que les dépenses de pédagogie : 2,5 milliards d’euros contre 2,1 milliards de dépenses de frais pédagogiques à destination de l’offre de formation (CFA).
De même, parmi les dépenses de formation pour les demandeurs d’emploi, la dépense consacrée à la rémunération des personnes en formation est majoritaire ; elle se monte à 2,2 milliards d’euros soit 56% des dépenses consacrées à ce public, les financeurs étant, sur ce champ, relativement complémentaires :

  •  L’Unedic intervient exclusivement pour le volet indemnisation (dépenses induites) 
  •  Les deux tiers des dépenses des Conseils régionaux financent des frais pédagogiques (dépenses directes)
  •  Plus de la moitié des dépenses provenant de Pôle emploi financent des frais pédagogiques.

La dépense moyenne par habitant par territoire régional est homogène
Les dépenses dans chaque territoire régional sont fortement corrélées au nombre d’habitants. La dépense moyenne par habitant de 15 à 64 ans est de 659 euros par an. La plupart des régions sont très proches de la moyenne mais cinq ou six régions se démarquent.
La Corse, avec 593 euros par habitant, a le ratio le plus faible. A l’opposé, cinq régions dont une caractéristique commune est d’être de petites régions plus rurales, ont des ratios entre 716 et 792 euros par habitant, donc significativement supérieurs à la moyenne : le Limousin, Champagne- Ardenne, la Franche-Comté, Basse-Normandie et l’Auvergne.
Ces différences peuvent avoir plusieurs causes que seules des analyses réalisées par les acteurs régionaux permettraient de préciser : des coûts supplémentaires d’accès géographique aux lieux de formation, un coût fixe d’organisation des formations qui pèserait mécaniquement davantage pour de petites régions, des infrastructures de formations plus importantes installées dans une logique d’aménagement du territoire.
Concernant la formation professionnelle initiale, le ratio moyen de dépenses par jeune de 15 à 24 ans s’établit à 2.475 euros. Les mêmes cinq régions auxquelles s’ajoute Poitou-Charentes ont un ratio sensiblement supérieur à la moyenne se situant entre 2.850 euros et 3.200 euros par jeune.
Des disparités dans la répartition régionale des dépenses de formation pour les demandeurs d’emploi
Globalement, quatre milliards d’euros sont consacrés aux personnes en recherche d’emploi.
En moyenne, l’effort de formation par demandeur d’emploi s’élève à 1.498 euros, tous types de dépenses et de financements confondus. La rémunération des demandeurs d’emploi et les frais associés à la formation représentent 59 % de cet effort (879 euros) et le coût pédagogique 41 % (619 euros).
Cependant les différences entre les territoires régionaux sont importantes. La dépense moyenne de formation par demandeur d’emploi varie entre 1.155 euros et 2.487 euros, soit un rapport du simple au double.
A l’intérieur de cette dépense, la part consacrée au coût pédagogique par demandeur d’emploi varie entre 465 et 1 177 euros, soit un rapport de 1 à 2,5. Cette disparité de situation témoigne de stratégies régionales diverses, ajustées aux caractéristiques de la structure du chômage ou de la nature du tissu économique et de l’appareil de formation de la région.
Les disparités entre territoires régionaux sont particulièrement importantes lorsqu’on examine la dépense par financeur. Elle est plus limitée au global, ce qui semble indiquer l’existence de stratégies de compensation entre financeurs.
Télécharger le Rapport dépenses formation professionnelle continue du CNEFOP. Voir l'article...

12 février 2015

CNEFOP - Rapport apprentissage 2015 - Le financement de l’apprentissage de 2004 à 2012, pour mieux comprendre la réforme de 2014

Le financement de l’apprentissage de 2004 à 2012, pour mieux comprendre la réforme de 2014
La progression de l’accès à l’apprentissage dans le supérieur permet au nombre d’apprentis de se maintenir

Dans un contexte de baisse démographique, les effectifs d’apprentis continuent de progresser modestement, pour atteindre le nombre de 438.000 en 2012 :

  •  la part des apprentis parmi les jeunes de 16 à 25 ans passe de 4,5% en 2004 à 5,2% en 2007 et 5,5% en 2012 ;
  •  la part des apprentis au sein des jeunes en formation professionnelle continue de progresser, passant en 8 ans de 17,6% en 2004 à 19,9% en 2007 et 20,1% en 2012.

Le socle de l’apprentissage reste constitué par les formations de niveaux V et IV qui regroupent près de 70% des apprentis. Cependant cette part, qui était encore de 80% en 2007, s’étiole du fait de deux phénomènes :

  •  l’augmentation des niveaux supérieurs (+50% entre 2007 et 2012) alors que les effectifs des niveaux V et IV baissent (-10% sur la même période).
  •  le recul du niveau V (-1,9% en 2012), et, pour la première fois en 2012, du niveau IV (-5,6%), en partie du à l’impact sur l’apprentissage de la rénovation de la voie professionnelle (Bac pro en 3 ans).

La part du supérieur atteint 31% des effectifs d’apprentis en 2012. Le BTS occupe toujours une place prépondérante avec 46% des apprentis du supérieur ; le développement continu des jeunes préparant un diplôme d’ingénieur par l’apprentissage et le développement plus récent mais rapide des licences et masters professionnels en apprentissage contribuent aussi largement à cette forte évolution des niveaux supérieurs.
La répartition de l’apprentissage reste très inégale selon les territoires régionaux, les spécialités, le genre :

  • En volume, 43% des apprentis sont formés dans quatre régions (Ile-de-France, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Pays-de-la-Loire) et un apprenti sur cinq l’est en Ile-de-France. En proportion de la population de jeunes de 18 à 25 ans de leur territoire, quatre Régions (Poitou- Charentes, Franche-Comté, Centre et Pays-de-la- Loire) présentent un taux d’apprentis dépassant 6,5% (moyenne nationale : 5%).
  • En outre, alors que l’on constate une quasistagnation des effectifs au niveau global en 2012, l’évolution des effectifs d’apprentis en métropole est hétérogène selon le territoire considéré, allant de - 3,9% à +3,4% selon les régions.
  • Enfin l’apprentissage reste une voie de formation majoritairement masculine (68% des apprentis sont des garçons) et concentrée dans le domaine de la production (59% des effectifs). La féminisation est très lente (+ 2 points depuis 2004) ; cependant les filles dominent dans les spécialités de service où elles représentent 80% des effectifs. Dans les niveaux supérieurs la situation est sensiblement plus équilibrée avec 45% de filles en niveau II et près de 40% en niveau III.

Télécharger le Rapport apprentissage 2015 du CNEFOP. Voir l'article...

12 février 2015

Le HCERES, reconnu au niveau européen, dément toute dérive dans ses processus d’évaluation

AERESL’Association européenne des agences d’assurance qualité (ENQA) pour l’enseignement supérieur et le Registre européen de ces agences (EQAR) viennent de décider que la reconnaissance de l’AERES, qui lui avait été accordée en 2011, était transférée au Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) jusqu’à l’évaluation de ce dernier, en vue du renouvellement de cette reconnaissance. Cette évaluation aura lieu en 2016.
Cette reconnaissance signifie que l’examen des textes de la Loi sur l’enseignement supérieur et la recherche du 22 juillet 2013 et du Décret du 14 novembre 2014, relatif à l’organisation et au fonctionnement du HCERES, a conduit les instances européennes à juger que les European Standards and Guidelines (ESG) pour l’assurance qualité dans l’espace européen de l’enseignement supérieur étaient pris en compte de manière satisfaisante aux niveaux législatif et réglementaire.

12 février 2015

Une campagne de communication pour mettre en avant l’Université

« L’Université, un choix qui me réussit » : le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche vient de relancer, en partenariat avec les universités françaises et la CPU, sa campagne de communication à destination des lycéens et de leur famille. L’objectif de cette campagne : donner, par l’exemple, l’envie aux lycéens de faire le choix des études universitaires.
La campagne, qui sera majoritairement déployée sur le web et les mobiles, vise à mettre l’image de l’Université en phase avec la réalité de terrain : une Université moderne, connectée, ouverte sur le monde et sur son environnement socio-économique, professionnalisante, soucieuse d’accompagner ses étudiants tout au long de leur parcours de réussite et bénéficiant d’un taux d’insertion élevé (plus de 90 %) . Choisir l’Université, c’est choisir :
- La modernité avec les campus numériques, le développement des MOOCs, des fabs-labs (ateliers de fabrication numérique ouverts à tous) et des innovations pédagogiques, l’ouverture à l’international, des filières scientifiques et technologiques d’excellence alliant formation et recherche ;
- Des liens étroits avec le monde professionnel, avec des formations professionnalisantes tremplin pour l’emploi, le développement de l’alternance, des stages encadrés dès la licence, des partenariats avec le monde socio-économique ;
- L’autonomie et l’accompagnement des étudiants, avec des services d’accueil, le développement des tutorats, des programmes d’aides et dispositifs de réorientation, la spécialisation progressive. Voir l'article...

12 février 2015

Rejoignez le Fafsea sur Twitter !

logo fafseaEntreprises adhérentes, prestataires et organismes de formation, partenaires institutionnels et partenaires sociaux, journalistes…. , rejoignez-nous sur FAFSEA@fafseacom

En vous abonnant, vous serez informés par exemple :
. d’actualités réglementaires sur la formation professionnelle continue
. des appels d’offres nationaux et régionaux du Fafsea
. de résultats d’études et statistiques
. de la présence du Fafsea sur les salons professionnels
. de la mise en ligne de publications diverses et outils RH.

12 février 2015

FAFIEC - Le Compte Personnel de Formation (CPF)

http://www.fafiec.fr/images/template/logo.fafiec.gifUn compte d’heures de formation attaché à la personne tout au long de la vie active jusqu'à la retraite.

Les objectifs
Le compte personnel de formation est une nouvelle modalité d’accès à la formation créée par la loi du 5 mars 2014. Il a pour ambition d’accroître le niveau de qualification de chacun et de sécuriser le parcours professionnel.
Il prend le relais du Droit individuel à la formation (DIF) depuis le 1er janvier 2015.

Les publics concernés
Tous les salariés et demandeurs d’emploi, dès l’âge de 16 ans jusqu’à la retraite.

Les avantages

  • Le CPF est attaché à la personne et non plus au contrat de travail.
  • Les heures accumulées ne seront ainsi plus perdues en passant d'un emploi à l'autre.
  • Le CPF se réalimente au fur et à mesure de son utilisation.

Le fonctionnement
Tout salarié, à temps complet, acquiert 24 heures par an pendant 5 ans, puis 12 heures par an pendant 2 ans et demi. L’acquisition est proportionnelle au temps de travail.
Une année de travail à temps complet correspond à la durée conventionnelle de travail (accord de Branche ou d’entreprise). A défaut, elle correspond à 1607 heures par an.
Pour les salariés soumis au forfait jour, le nombre d’heure de travail de référence est fixé à 1607 heures.

A noter :

  • Le compte est plafonné à 150 heures.
  • Les heures de DIF acquises jusqu’au 31/12/2014 sont utilisables au titre du CPF jusqu’au 31/12/2020.
  • Les acquisitions débutent le 1er janvier 2015. Voir l'article...
12 février 2015

FAFIEC - Les critères de financement

http://www.fafiec.fr/images/template/logo.fafiec.gifLes critères de financement
Avant toute demande de financement, consultez les modalités de prise en charge du FAFIEC :

FAFIEC homepage slides 1061x332 11

Dès la fin de la formation, adressez-nous:

  • la facture en double exemplaire avec les références du courrier d'accord (code adhérent et numéro de dossier),
  • l'attestation de présence du stagiaire,
  • si le choix du paiement direct à l'organisme de formation a été retenu, la convention de délégation de paiement jointe au courrier d'accord signé

* et du formulaire CERFA s'il s'agit d'une demande de prise en charge d'un contrat de professionnalisation.

Bon à savoir :
Pour être financées, les formations doivent respecter les critères d'imputabilité fixés par le Code du travail, ainsi que les critères d'éligibilité, issus de l'accord de Branche en vigueur et les conditions générales du FAFIEC. Voir l'article...

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