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Formation Continue du Supérieur

18 novembre 2013

Recrutement des personnes handicapées en alternance : parution d'un guide

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L'Agefiph, en partenariat avec Liaisons sociales, publie un guide afin de faire le point sur le recrutement des personnes handicapées en alternance.

En cohérence avec les objectifs définis par l'Etat en matière de formation professionnelle, l'Agefiph a fait de l'alternance des personnes handicapées l'une de ses priorités. En juin dernier, elle a lancé un plan de développement visant notamment à renforcer les aides et appuis apportés aux employeurs.

Ce guide donne aux entreprises des repères utiles et des exemples concrets pour développer leurs propres projets d'alternance, identifier les bonnes pratiques et faire le point sur les modalités pratiques.

18 novembre 2013

Un groupe Elan's lance une réflexion sur la mixité professionnelle

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Un groupe de stagiaires en formation Elan's s'interroge sur la mixité professionnelle dans différents secteurs d'activités comme le numérique, le scientifique et l'industrie. Cet Elan's, qui a démarré au mois de septembre, est porté par les Cemea Basse-Normandie en partenariat avec le Cafoc.

Pour alimenter la réflexion sur la thématique de la mixité professionnelle, les stagiaires ont créé un blog. Chaque fin de semaine, un article sera mis en ligne. Tout le monde est invité à consulter ce blog, lire les articles, poster ses commentaires, participer au sondage... pour faire avancer les représentations des métiers exercés en majorité par les hommes.

En parallèle du blog, les stagiaires travaillent actuellement sur la création d'un jeu de société toujours sur le thème de la mixité professionnelle.

Blog "Travaillons ensemble : l'égalité professionnelle F / H"

Renseignements :
Ségolène TOUT-FRANCOIS
chargée de mission au Cafoc de Caen
tél. 02 31 30 15 80
segolene.tout-francois@ac-caen.fr

18 novembre 2013

Le nombre d'apprentis en progression de 2,4% entre 2010 et 2011

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Après une période de croissance soutenue entre 2003 et 2007, puis une phase de stagnation entre 2007 et 2010, le nombre d'apprentis repart à la hausse avec une progression de 2,4% entre 2010 et 2011. C'est ce que confirme une récente étude de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP).

Au 31 décembre 2011,  436 334 apprentis suivent une formation dans un centre de formation d'apprentis ou une section d'apprentissage sous tutelle pédagogique du ministère de l'Education nationale ou du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt. Ce chiffre représente une hausse de 2,4% par rapport à 2010.

Cette progression est la résultante de deux mouvements contraires : la baisse des effectifs d'apprentis dans le secondaire et l'essor de ceux dans le supérieur. Ceci a pour conséquence de modifier le public concerné avec une augmentation de l'âge moyen des apprentis et une hausse de la part des filles, les formations du supérieur étant plus tournées vers les spécialités des services, plus féminisées.

"Le supérieur : moteur de la croissance de l'apprentissage en 2010 et 2011", Note d'information n°13.22 (octobre 2013)

18 novembre 2013

Réforme de l'apprentissage : la taxe d'apprentissage rénovée

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Le Gouvernement a annoncé la fusion de la taxe d'apprentissage et de la contribution au développement de l'apprentissage et l'affectation de 55% de la taxe aux Régions. Ces mesures sont prévues par le projet de loi de finances rectificative pour 2013.

Le ministre du Travail, Michel SAPIN, a lancé au mois de septembre, conformément aux engagements de la grande conférence sociale de juin, une large concertation sur l'apprentissage. Elle a associé étroitement une trentaine d'acteurs majeurs de l'apprentissage, au premier rang desquels les partenaires sociaux, les Régions et les chambres consulaires.

Une première étape de concertation a débouché sur un document de propositions du Gouvernement à la fin du mois d'octobre, visant à la fois :

  • à augmenter les ressources dédiées au financement de l'apprentissage
  • à simplifier et rendre plus efficace le système de collecte de la taxe d'apprentissage
  • à favoriser l'accès à la qualification et à l'emploi durable des apprentis conformément à la priorité pour la jeunesse du Président de la République.

Après concertation sur ces propositions, Michel SAPIN, a annoncé, à l'issue du Conseil des ministres du 13 novembre, de nouvelles mesures visant à réformer le financement de l'apprentissage. Ces dispositions, qui figurent dans le projet de loi de finances rectificative pour 2013, sont les suivantes :

  • la taxe d'apprentissage et la contribution au développement de l'apprentissage sont fusionnés
  • une fraction régionale est créée au sein de la taxe d'apprentissage
  • le produit de la contribution supplémentaire à l'apprentissage est affecté au financement des centres de formation d'apprentis, en complément du "quota" de la taxe d'apprentissage
  • le "barème", permettant de financer des formations hors apprentissage, est préservé mais sera encadré afin que les financements bénéficient à des formations à la qualité éprouvée.

Les autres volets de la réforme, qui n'ont pas de caractère fiscal, trouveront leur place dans le projet de loi relatif à la formation professionnelle et à la démocratie sociale qui sera présenté en Conseil des ministres début 2014.

Communiqué de presse "Réforme de l'apprentissage : première étape en Conseil des ministres" du 13 novembre 2013
Projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2013
"Propositions pour une réforme de l'apprentissage", document du Gouvernement en date du 23 octobre 2013.

18 novembre 2013

Communiqué – Étudiants étrangers et marché du travail. Une comparaison Allemagne, France et Royaume-Uni

Le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP), publie en exclusivité un rapport : Étudiants étrangers et marché du travail. Une comparaison Allemagne, France et Royaume-Uni. 

Accueillir des étudiants étrangers est un enjeu de rayonnement international et d’excellence scientifique, mais également d’élévation du niveau de qualification de la main-d’œuvre. Cependant, un premier constat peut être dressé, la France accueille deux fois moins d’immigrés qualifiés que l’Allemagne, et même trois fois moins que le Royaume-Uni. Les anciens étudiants étrangers représentent 40% des immigrés qualifiés et s’insèrent mieux sur le marché du travail que leurs homologues arrivés après leurs études dans leur pays d’origine.

Cette politique d’attractivité des talents étrangers interroge également le regard des sociétés sur une forme de migration qui, même temporaire, conduit certains migrants à s’installer durablement et qui est perçue comme un flux migratoire à contrôler. Tous les pays s’efforcent de concilier volonté d’attractivité et politique migratoire, tension qui se résout de façon différente en Allemagne, en France ou au Royaume-Uni.

Comment dès lors attirer une main-d’œuvre qualifiée et se positionner dans l’économie de la connaissance, sans modifier les ressorts de notre modèle social ? Mieux intégrer les étudiants étrangers sur le marché de l’emploi pourrait bien constituer une réponse pour la France.
En se fondant sur une analyse comparée des étudiants étrangers dans l’emploi en Allemagne, en France et au Royaume-Uni, ce rapport formule six propositions concernant le cas de la France :

  • Simplifier les conditions d’obtention d’une autorisation provisoire de séjour et porter l’autorisation de travail à temps plein. Compte tenu de conditions restrictives et difficilement applicables, l’autorisation provisoire de séjour est encore peu délivrée par l’administration préfectorale. L’assouplissement des conditions d’obtention permettrait d’en faire un dispositif favorable à l’ouverture du marché du travail aux diplômés étrangers.
  • Supprimer l’opposabilité de la situation de l’emploi pour les étrangers détenteurs d’un diplôme français supérieur ou égal à Bac+3, c’est-à-dire la possibilité pour l’administration de refuser une autorisation de travail en invoquant les difficultés sur le marché de l’emploi. La France pourrait ainsi privilégier durablement l’accueil d’une main-d’œuvre qualifiée étrangère en facilitant l’accès au marché du travail des titulaires d’un diplôme français.
  • Retenir des critères objectivables (diplôme, salaire) pour la délivrance du titre de séjour mention « salarié » après les études et éventuellement soumettre le nombre de ces titres à un quota annuel. Compte tenu des difficultés à faire appliquer la loi de façon uniforme, une réforme systémique visant la simplification et l’objectivation des procédures serait bénéfique.
  • Donner un rôle plus central aux entreprises et aux établissements d’enseignement supérieur, en tant que sponsors des étudiants et diplômés étrangers. L’étudiant / diplômé étranger s’inscrivant dans un projet migratoire en accord avec un établissement d’enseignement supérieur, l’amélioration des conditions de changement de statut passerait par une redéfinition de la relation entre l’étudiant et l’administration préfectorale.
  • Soutenir les établissements d’enseignement supérieur dans leur effort pour accroître la mobilité internationale des formations supérieures françaises. Accroître la mobilité internationale des formations supérieures pourrait être mobilisé pour lutter contre la fuite des cerveaux.
  • Informer d’avantage les étudiants étrangers sur les opportunités d’emploi dans leurs pays d’origine Permettre plus largement aux diplômés étrangers de rester pour une première expérience professionnelle en France ne doit se faire qu’à condition de les aider plus concrètement à revenir ensuite dans le pays d’origine pour participer à son développement économique.
18 novembre 2013

Rapport : Étudiants étrangers et marché du travail

Accueillir des étudiants étrangers est un enjeu de rayonnement international et d’excellence scientifique, mais également d’élévation du niveau de qualification de la main-d’œuvre. Tous les grands pays d’accueil, dont l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni, permettent aux diplômés étrangers de s’installer temporairement dans le pays de leurs études pour y travailler. 
Cette politique d’attractivité des talents étrangers peut susciter des interrogations dans les sociétés d’accueil : même temporaire, cette forme de migration conduit certains migrants à s’installer durablement et est donc perçue comme un flux migratoire à contrôler. Tous les pays s’efforcent ainsi de concilier volonté d’attractivité et politique migratoire, tension qui se résout de façon différente en Allemagne, en France ou au Royaume-Uni.

Le vivier des travailleurs qualifiés issus des étudiants étrangers n’est pas identique dans les trois pays. Les niveaux, les filières et les domaines d’études qui attirent principalement les étudiants étrangers dépendent des formations accessibles dans le pays, souvent en lien avec ses spécialités productives. Les étudiants étrangers sont par ailleurs proportionnellement plus nombreux aux niveaux master et doctorat que les natifs, en France comme au Royaume-Uni mais non en Allemagne. En ce qui concerne leur choix de filière, ils apparaissent surreprésentés en droit et en gestion en France et au Royaume-Uni et, dans les trois pays, en sciences et ingénierie, par rapport à la distribution moyenne des spécialités de formation. L’origine géographique des étudiants étrangers accueillis reste liée dans les trois pays aux aires d’influence traditionnelles, mais les flux en provenance des pays émergents d’Asie et d’Amérique latine s’accroissent continûment. Les étudiants étrangers maîtrisent pour partie la langue du pays d’accueil et proviennent principalement de pays avec lesquels les partenariats économiques sont en développement. De ce fait, les étudiants étrangers représentent dans les trois pays, et particulièrement en France, de potentiels travailleurs immigrés qualifiés dont l’insertion professionnelle devrait a priori être relativement aisée.

Attirer les talents étrangers ne revêt pas la même acuité pour les marchés du travail dans les trois grands pays européens. Alors que le Royaume-Uni et la France bénéficient d’une main-d’œuvre qualifiée et ne se trouvent pas dans une situation démographique défavorable à court terme, l’Allemagne est confrontée à un défi démographique et éducatif plus profond et présente un besoin de main-d’œuvre étrangère qualifiée plus conséquent. Privilégier le changement de statut des étudiants étrangers vers un titre à motif professionnel par rapport à l’accueil de migrants qualifiés à l’issue de leur formation dans leur propre pays semble pertinent, en particulier en Allemagne et en France, où l’obtention d’un diplôme national et la réalisation d’un stage pratique pèsent fortement sur les chances d’insertion professionnelle.

L’installation des étudiants étrangers dans le pays de leurs études ne dépend pas simplement de l’adéquation entre leur formation et les besoins du marché du travail. S’ajoutent à cette vision macroéconomique les projets des étudiants eux-mêmes et leur confrontation aux politiques administratives appliquées en matière de changement de statut. Si une majorité des étudiants étrangers aspire à rester temporairement pour une première expérience professionnelle dans les trois pays, seule une fraction minoritaire y parvient. Ceux qui veulent rester le font essen­tiellement pour des raisons professionnelles. Pour autant, en France comme en Allemagne, les changements de statut administratif pour motifs familiaux restent plus nombreux qu’au Royaume-Uni. En définitive, les nationalités les plus représentées sur le marché du travail sont souvent celles dont les effectifs d’étudiants étrangers sont les plus importants, mais le rôle des diasporas est également déterminant pour la France et le Royaume-Uni. Accueillir des étudiants étrangers de tel ou tel pays revient donc bien à développer des liens économiques, par l’immigration professionnelle, avec ces pays.

De plus, les étudiants étrangers constituent une voie d’immigration qualifiée mieux insérée sur le marché de travail que celle des migrants arrivés après leurs études, qui souffrent de taux de chômage élevés, d’une forte précarité et d’une concentration sur des activités peu innovantes. Cette segmentation s’atténue fortement pour les étudiants étrangers restés travailler dans le pays d’accueil dont ils contribuent à développer l’attractivité et la compétitivité, en étant majoritairement employés dans des secteurs porteurs. Cela traduit leur plus grande facilité d’insertion, ce qui n’est pas toujours le cas de ceux qui ont obtenu un diplôme dans leur pays d’origine, notamment en Allemagne et en France. En revanche, au Royaume-Uni, l’obtention d’un diplôme supérieur est une garantie plus faible qu’en Allemagne et en France de s’insérer sur le marché du travail, les immigrés qualifiés arrivés après leurs études supérieures s’insérant plutôt mieux.

En définitive, l’équilibre à définir pour accueillir en France les talents étrangers après leur formation devrait prendre en considération l’atout que constitue la population des étudiants étrangers dans le développement d’une main-d’œuvre qualifiée. Ces étudiants, plus formés que les natifs et dans des domaines plus professionnalisés, aspirent à s’insérer temporairement en France. Ceux qui souhaitent s’y installer durablement y parviennent bien souvent par le biais du travail ou pour des raisons familiales ; ceux qui souhaitent rester temporairement sont parfois confrontés à de fortes difficultés administratives. Sans constituer une nécessité impérieuse pour une France dont l’évolution démographique est favorable et dont le niveau de qualification de la population est déjà élevé, l’accueil plus large de diplômés étrangers pour une première expérience professionnelle pourrait nourrir des secteurs d’activité importants et contribuer à développer les liens économiques avec les pays émergents.

Du côté des étudiants étrangers et des pays d’origine, un équilibre est également à trouver. Les jeunes partis pour étudier à l’étranger aspirent fréquemment à acquérir une première expérience professionnelle pour mettre en application la formation suivie. Ce faisant, ils créent des liens avec le pays d’accueil et cherchent, pour une partie d’entre eux, à s’y installer de façon plus durable. Or, les pays d’origine ont tout à gagner à voir leur jeunesse se former dans les pays les plus développés, mais surtout à revenir ensuite pour contribuer au développement économique et social. Si les pays émergents mènent des politiques proactives pour atteindre cet équilibre, les grands pays d’accueil ont une responsabilité cruciale dans la résolution de cette tension migratoire envers les pays les moins avancés, potentiellement les plus pénalisés par l’exode des cerveaux. Par leur politique d’attractivité, ils contribuent en effet à favoriser une forme d’installation plus ou moins temporaire des diplômés étrangers dans leur pays.

Sur la base d’une comparaison systématique des trois grands pays d’accueil en Europe, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni, ce rapport explore ainsi les politiques publiques au service de l’attraction des talents étrangers sous une double contrainte : du côté de la France, concilier logique d’attractivité et logique migratoire pour améliorer in fine la transition du statut d’étudiant étranger vers celui de travailleur, au service de l’économie française ; du côté des pays d’origine, promouvoir une première expérience professionnelle nécessairement positive pour tous les diplômés étrangers, tout en favorisant le développement économique des pays les moins avancés, pour parvenir à un échange gagnant-gagnant entre la France et les pays d’origine.

  •  Auteurs : Nicolas Charles, Cécile Jolly avec la contribution de  Frédéric Lainé
  • Avec la collaboration de la division Enquêtes et études statistiques, ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de Campus France

Étudiants étrangers et marché du travail. Une comparaison Allemagne, France, Royaume-Uni (PDF).

18 novembre 2013

Commission d’évaluation des politiques d’innovation

Dans le cadre du plan innovation rendu public lundi 4 novembre, Jean-Marc Ayrault a annoncé qu’une commission d’évaluation des politiques d’innovation sera mise en place au sein du Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP). 
« L’Etat est un acteur essentiel de l’innovation. Mais nous devons faire évoluer nos modes d’action. Nous devons mieux évaluer ce qui marche et ce qui doit être amélioré, et c’est la raison pour laquelle j’ai décidé de mettre en place une commission d’évaluation des politiques d’innovation au sein du Commissariat général à la stratégie et à la prospective.», a déclaré le Premier ministre. Suite...

18 novembre 2013

Note – Analyse des big data. Quels usages, quels défis ?

Cette note détaille ce qu’est l’analyse des big data. Elle présente ses principales applications. Elle s’intéresse aux conditions nécessaires à leur mise en œuvre. 
La multiplication croissante des données produites et le développement d’outils informatiques permettant de les analyser offre d’innombrables possibilités tant pour l’État que pour les entreprises. 
Il ne fait aucun doute que le traitement de ces masses de données, ou big data, jouera un rôle primordial dans la société de demain, car il trouve des applications dans des domaines aussi variés que les sciences, le marketing, les services client, le développement durable, les transports, la santé, ou encore l’éducation. 
Par ailleurs, le potentiel économique de ce secteur est indéniable et les retombées en termes d’emploi et de création de richesse seront non négligeables. Son développement nécessite toutefois de bien comprendre les enjeux qui y sont liés. 
C’est l’objectif de cette note, qui s’attache à détailler ce qu’est l’analyse des big data et présente les usages possibles de ces technologies, qu’il s’agisse de rendre la gestion plus efficace, d’améliorer les services rendus ou de prévenir des phénomènes nuisibles (épidémies, criminalité, etc.). Elle expose les principales difficultés associées à ces usages : garantir la confidentialité et le respect de la vie privée. Enfin, elle montre comment différents pays et entreprises ont d’ores et déjà investi dans ce secteur.

Sommaire de la Note d’analyse 08– Analyse des big data. Quels usages, quels défis ?

  • Définir l’analyse des big data
  • Comprendre le potentiel des analyses des big data
  • Prendre en compte les risques
  • Promouvoir les big data
  •  Auteurs : Marie-Pierre Hamel et David Marguerit, département Questions sociales

Note d’analyse 08 – Analyse des big data. Quels usages, quels défis ? [PDF]

18 novembre 2013

Who's Your Favorite Teacher--and Why?

http://www.hastac.org/files/imagecache/Small/hastac-icon.jpgBy Cathy Davidson. Can a MOOC replace your favorite teacher?  That's what we are trying to find out.  We are wondering what makes a great teacher--and is this something that can be accomplished online?   The whole reason to do this MOOC is to find out answers, not to confirm our own preconceptions so, instead of just say, "Nah! No Way!" we began by interviewing twenty or thirty people and asking the question, "Who's Your Favorite Teacher--and Why?" 
In the MOOC I'm starting in January, on  "The History and Future of (Mostly) Higher Education," are interwoven these interviews posing the favorite teacher responses and then we'll turn that around and ask the 50,000 or so students anticipated for this MOOC. More...

18 novembre 2013

Cycle de formation « Interculturalité, comprendre et agir sur nos représentations » - Marseille / Métier de la formation

Numero_VertDans le cadre du FEI, Fonds Européen à l’Intégration, le CIDFF Phocéen organise une formation sur l’interculturalité. Cette formation s’adresse aux professionnel(le)s accueillant une population étrangère et/ou migrante. 

La formation caractérisée par une approche pluridisciplinaire (sociologique, anthropologique, psychologique, économique, juridique) se compose de 5 sessions de deux jours et d’un séminaire final d’une journée. Les sessions sont indépendantes les unes des autres : les participant(e)s peuvent participer à une ou plusieurs sessions de formation.

Les interventions portent sur les thématiques suivantes :
- Médiation culturelle,
- Cité interculturelle
- Parentalité et petite enfance,
- Santé
- Vieillissement
- Logement
- Genre
- Emploi

Inscription obligatoire :
- Auprès du secrétariat ou de Ferten Djendoubi
- Téléphone : 04.96.11.07.99
- Fax : 04.91.55.57.25

Participation financière : 30 euros par personne et par session à remettre au plus tard le 1er jour de formation
Paiement par chèque à l'ordre du CIDFF Phocéen, en espèces ou par virement.

Pour se rendre au CIDFF Phocéen :
Métro ligne 2, arrêt Désirée Clary
Bus n°31,32, 49,70, 89, arrêt Place de Strasbourg.
Station de tramway : Joliette

Pour toutes informations complémentaires, merci de vous rendre sur le site du Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles

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