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Formation Continue du Supérieur

24 mars 2014

Les parcours des élèves de la voie professionnelle

Les rapports de l'I.G.A.E.N.R.Le présent rapport s’inscrit dans le cadre de la mission de suivi de la voie professionnelle prévue par le programme de travail 2012-2013 des inspections générales. Le recul est désormais suffisant pour dresser une première analyse des effets de la rénovation de la voie professionnelle. Les parcours des élèves de la voie professionnelle.

Présentation :

Le présent rapport de l’I.G.A.E.N.R. s’inscrit dans le cadre de la mission de suivi de la voie professionnelle prévue par le programme de travail 2012-2013 des inspections générales. La mission a inscrit ses investigations dans un double contexte.
En 2013, pour la première fois, la session du baccalauréat professionnel a accueilli une très grande majorité de candidats issus du cursus en trois ans, généralisé en 2009. On dispose désormais d’un recul suffisant pour dresser une première analyse des effets de la rénovation de la voie professionnelle au regard des deux objectifs qui lui ont été donnés et qui ont été réaffirmés par la loi du 8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la république :

  • faire accéder un nombre plus important de jeunes au baccalauréat professionnel
  • réduire les sorties sans diplôme, en développant notamment les passerelles entre les différentes voies de formation

De plus, au cours de cette période, un enjeu nouveau est apparu avec la poursuite d’études dans l’enseignement supérieur d’un nombre croissant de bacheliers professionnels, phénomène dont la loi du 22 juillet 2013 sur l’enseignement supérieur et la recherche prend acte en proposant avec les S.T.S. une voie d’accès privilégiée d’accès et de réussite. Il est donc nécessaire de porter un premier regard sur l’importance et les effets de ce phénomène.
La mission a choisi de centrer ses observations et ses réflexions sur les évolutions des parcours des élèves depuis la mise en place de la rénovation de la voie professionnelle. En se focalisant sur les parcours, elle a donc adopté un démarche en partie différente des travaux menés par les deux inspections générales de 2009 à 2011, plus centrés sur le suivi de la mise en place des différentes dispositions de la réforme. La ligne directrice des investigations a été : d’analyser les changements intervenus dans les parcours des élèves au cours des trois dernières années.

Sommaire du rapport :

Les réussites et les fragilités des parcours des élèves au sein de la voie professionnelle

  • les effets de la reconfiguration de la voie professionnelle sur les parcours des élèves à la fin du collège
  • le développement des parcours vers le baccalauréat professionnel en trois ans et vers le C.A.P.
  • l’émergence encore modeste de nouveaux parcours
Les parcours des bacheliers professionnels dans l’enseignement supérieur : une montée en puissance et un défi pédagogique
  • des bacheliers professionnels de plus en plus nombreux à choisir et à être accueillis dans l’enseignement supérieur particulièrement en S.T.S.
  • une réussite fragile mais en progression en S.T.S., très faible dans les filières générales de l’université
  • un défi pour l’enseignement supérieur et en particulier pour les S.T.S.
Conclusions et préconisations

Rapport établi par :

Jean-François CUISINIER
Martine CARAGLIO
Bénédicte DURAND
Annie GALICHER
Martine SAGUET
Inspecteurs généraux de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche

Avec la participation de :
Marc BUISSART
Jean René GENTY
Jean Marc GOURSOLAS
Inspecteurs généraux de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche.

24 mars 2014

Visite du ministre argentin de la Science Lino Barañao sur le Campus MINATEC

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Campagne_universite/87/6/Campagne-universite-2014_292876.142.jpgDans le cadre de la visite d’Etat de la présidente de la Nation argentine en France, Geneviève Fioraso a accueilli M.Lino Barañao, ministre de la Science, la Technologie et l’Innovation productive sur le Campus d’innovation en micro-nanotechnologies, MINATEC, vendredi 21 mars à Grenoble.
A l’issue des visites de laboratoires et après une réunion bilatérale entre les deux ministres, les deux ministres ont signé une lettre d’intention avec M.Jean-Charles Guibert, directeur de Minatec, visant à développer la coopération entre la France et l’Argentine dans le domaine des micro-nanotechnologies.
Comme l’a rappelé le Président de la République, "l’Argentine est un grand pays scientifique, qui a fait des technologies une des priorités de son développement". La signature de cette lettre d’intention vient renforcer les liens de coopération entre la France et l’Argentine, dans des secteurs stratégiques.

24 mars 2014

Professors: Here’s how to flip your classroom

eCampus NewsBy . Although the flipped classroom may not fit everyone’s teaching and learning style, the benefits are numerous. Educators have been experimenting with and adopting new learning models now more than ever, as these innovative teaching strategies have the potential to enrich and advance student outcomes. More...

24 mars 2014

There’s a Big Data skills gap in higher education

eCampus NewsBy . Higher education is overflowing with data points to be parsed, analyzed, and evaluated, but a data-related skills gap could stand in the way of analytics’ potential. Data experts have for years said college students should become adept at analyzing what’s known as Big Data as jobs in the data field explode in some parts of the economy. More...

24 mars 2014

Café ACTIFS: entreprises-commerces - parler positif pour trouver un job

http://api.ning.com/files/Hu6bOG3IkcQuwGCr7g23F3y*f6qGLnRrkgUHhzUeFTXbjX-PyNvSQCRPUs6k8apuaqpdNksBagwYIe3OREUfkHFaqkCggQJO/bannieresiteasspro.jpg

Nous aurons deux interventions à notre prochain café actifs.
c'est bien entendu gratuit
pour en savoir plus www.initiatives-emploi.fr
bien à vous
jylanton@association-asspro.org

1-Les étapes clefs pour reprendre une entreprise, un commerce

Des entreprises, des commerces il y en a à reprendre. Parfois d'ailleurs, faute de repreneurs certaines structures viables ferment. 40, 50 ans et plus...Beaucoup d'entre-nous, cadre ou non, technicien, vendeur ou gestionnaire, ont dans leur "imaginaire", songé à créer leur activité ou à reprendre un commerce ou une entreprise. Pas forcément la grosse boîte mais une structure à taille humaine permettant de vivre voire plus... Devenez patron, c'est possible. Nicolas BROUARD spécialiste du domaine, saura vous informer et, peut-être ...vous convaincre.

2-Moins de maux grâce aux mots: comment soigner son langage pour vivre mieux

A bien y regarder, notre langage est truffé de phrases curieuses, et fort peu propices à nous faire voir la vie en rose.

« On ne peut pas tout avoir, c’est même pas la peine d’y penser !, faut pas en parler, ça ne marchera jamais, on n’a pas le choix, inutile de vous dire que, ce n’est pas inintéressant, j’ai peur de me planter, impossible de ne pas répondre, je ne suis pas contre, ce n’est pas évident, de toute façon on peut rien y faire, pas de souci, tant pis, tu viens ou pas ?… ». Sans doute reconnaîtrez-vous certaines de ces expressions souvent très usitées, et qui nous paraissent banales voire inoffensives. Elles contribuent pourtant quotidiennement à saboter notre moral, à pomper notre énergie et parfois à faire de notre vie un enfer, à notre insu et en toute impunité. Cette intervention de René MERSCH, journaliste radiophonique, va tout simplement vous changer la vie...

plusieurs entreprises présentes

Venez avec votre cv si vous recherchez un emploi.

Apportez vos flyers de présentation de services si vous êtes auto-entrepreneur, consultant, si vous avez créé ou si vous créez votre "affaire": ces documents seront mis en libre service.

Adresse : restaurant la fantasia de Marrakech
332 bld Marcel Paul
44800 SAINT HERBLAIN (Pays de la Loire)

24 mars 2014

Salariés : appels à projets du FPSPP relatifs à l’illettrisme et au socle de connaissances et de compétences de base

Lorraine Parcours MétiersIl s’agit de l’avenant 2014 à l’appel à projets « Favoriser l’accès des salariés à des actions de formation contribuant à la lutte contre l’illettrisme » pour 10 millions d’euros et de l’avenant 2014 à l’appel à projets « Favoriser l’accès des salariés à des actions de formation contribuant à l’acquisition d’un socle de connaissances et de compétences de base » pour 10 millions d’euros également. Destinés aux seuls salariés de niveau 5 et infra, ils prévoient tous les deux qu’un objectif d’au moins 30 % de la maquette financière soit consacré aux salariés d’entreprises de moins de 20 salariés.

Date limite de dépôt des candidatures ou des demandes d’avenant pour la réouverture des engagements 2014 : 14 avril 2014.

Consulter les avenants aux appels à projets sur le site du FPSPP

Source : FPSPP

24 mars 2014

Le CEP : du bilan au conseil (Conseil en Evolution Professionnelle)

AccueilRessources Emploi Formation N° 24 du CREFOR Haute-Normandie
Par Emmanuel Christain Crefor - Chargé d’études documentaires - Le CEP : du bilan au conseil

Les rendez-vous hiérarchiques, diagnostics et autres bilans ne manquent pas pour rendre le salarié « acteur » de son parcours professionnel. Le nouveau Conseil en évolution professionnelle aidera-t-il à repenser tous ces outils et à renforcer la sécurisation du parcours professionnel de chacun ? Rappel des étapes qui l’ont précédé.
L a loi n° 2014-288 du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale a été publiée au Journal officiel du 6 mars 2014. Cette loi comporte des mesures de réforme de la formation professionnelle (notamment pour ce qui est du financement et de la mise en œuvre du compte personnel de formation -CPF- et du conseil en orientation professionnelle -CEP-), issu de l’accord national interprofessionnel du 14 décembre 2013, de l’apprentissage (avec en particulier la nouvelle répartition de la taxe d’apprentissage) et de la démocratie sociale (notamment sur les questions de la représentativité patronale et du financement de la démocratie sociale).
En créant un Conseil en évolution professionnelle , les partenaires sociaux relèvent les limites du bilan de compétences créé par la loi du 31 décembre 1991 relative à la formation professionnelle et à l’emploi. Tout au long des années 2000, les différents accords nationaux interprofessionnels relatifs à la formation ont tenté de pallier ces carences en proposant de nouveaux dispositifs d’information et de bilan mieux adapté à l’objectif de sécurisation des parcours.
L’accord national interprofessionnel du 20 septembre 2003 visait à « permettre à chaque salarié d’être acteur de son évolution professionnelle grâce aux entretiens professionnels dont il bénéficie ou aux actions de bilan de compétences ou de validation des acquis de l’expérience auxquelles il participe ». Cet accord souhaite qu’un « passeport formation et les travaux de l’observatoire prospectif des métiers et des qualifications de sa branche professionnelle (permettent) à chaque salarié d’être en mesure d’élaborer et de mettre en œuvre un projet professionnel(...)
La création d’un bilan d’étape professionnel a été demandée par les accords du 11 août 2008 relatif à la modernisation du marché du travail et du 14 novembre 2008 relatif à la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences.
Les partenaires sociaux envisageaient un bilan nettement distinct de l’entretien annuel d’évaluation qui ne serait pas nécessairement réalisé dans l’entreprise. L’article 12 de la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie a défini ce bilan d’étape professionnel comme « un diagnostic réalisé en commun par le salarié et son employeur (devant) permettre au salarié d’évaluer ses capacités professionnelles et ses compétences et à son employeur de déterminer les objectifs de formation du salarié ». L’entretien est réservé aux salariés disposant de deux ans d’ancienneté et sa périodicité est fixée à cinq ans. La loi en a renvoyé les conditions d’application à la négociation collective qui n’a pas abouti.
En complément du bilan d’étape professionnel, la loi du 24 novembre 2009 prévoit la création d’un « passeport orientation-formation », « mis à disposition de toute personne » et qui serait notamment alimenté par les conclusions du bilan d’étape professionnel. Ce dispositif n’a pas pu entrer en vigueur ; la loi renvoyant à un décret dont le projet a reçu en avril 2010 un avis négatif du Conseil d’État. Il ne subsiste plus aujourd’hui du projet initial qu’un site internet, financé par les partenaires sociaux, présentant un modèle de document que chacun est libre d’imprimer pour y indiquer sa propre perception de son expérience et de ses compétences.
[site internet : http://www.passeportformation.eu ]. Télécharger Ressources Emploi Formation N° 24 du CREFOR Haute-Normandie.

24 mars 2014

Analyser les situations de travail pour développer les compétences

AccueilRessources Emploi Formation N° 24 du CREFOR Haute-Normandie
Par Jean-Philippe Mercier Crefor - Responsable du Pôle Lutte contre l’Illettrisme - Analyser les situations de travail pour développer les compétences

Après avoir construit avec le CNFPT une opération avec la Ville de Rouen pour ses agents, le Crefor a été sollicité pour participer à la mise en œuvre du projet de la Ville du Havre. Notre proposition est, et a toujours été, de partir des situations de travail et en particulier de l’activité réelle des salariés. Il s’agit de développer des compétences à partir de l’analyse des situations de travail. C’est un préalable à la construction d’une formation.
Cela permet aussi, dans un second temps, de donner plus de sens à la formation et d’apporter un contexte réflexif favorisant l’apprentissage. Ce dernier opère alors d’un double point de vue : pour le développement du salarié et de ses compétences personnelles et en direction d’une meilleure adaptation et optimisation de l’activité à un poste donné. Cette approche est celle dite de la didactique professionnelle. Son fondateur, Pierre Pastré, disait : « Pour comprendre comment on apprend, il faut comprendre l’activité de ceux qui apprennent, et notamment quand ils font métier, par la « conceptualisation dans l’action ».
Jean Pierre Astolfi poursuit cette idée (en 2003), articulant les notions de savoir et de compétence : « Posséder un savoir, ce n’est pas seulement le mémoriser, c’est s’en servir d’outil avec compétence. Quant à la compétence qui ne disposerait pas d’un savoir pour l’éclairer, elle ne serait qu’une recette grâce à laquelle on réussit sans comprendre ».
Au pôle « lutte contre l’illettrisme » les travaux de ces chercheurs guident depuis longtemps nos actions. Et le référentiel des compétences clés en situation professionnelle (RCCSP) de l’ANLCI, apparu en 2009 mais dont la nécessité avait déjà été évoquée en 2006 lors du colloque « illettrisme et entreprise » que nous avions organisé à Rouen, est un outil que nous utilisons et préconisons pour favoriser cette démarche. Les actions de formation aux compétences de base ou compétences clés se développent de plus en plus dans le monde du travail. Elles doivent se construire à partir d’une réelle réflexion de qualité et des procédures élaborées de façon cohérentes. Le pôle « LCI » du Crefor peut alors se rendre utile. Il doit en tout cas répondre aux besoins manifestés dans ce domaine. Télécharger Ressources Emploi Formation N° 24 du CREFOR Haute-Normandie.

24 mars 2014

Ressources Emploi Formation N° 24

AccueilRessources Emploi Formation N° 24 du CREFOR Haute-Normandie
Pages 1-2 Le secteur de la construction aéronautique et spatiale en Haute-Normandie : des perspectives favorables et des défis à relever
Pages 3-4 Le CEP : du bilan au conseil
Pages 4-5 L'émergence d'une nouvelle filière industrielle : les enjeux en termes de formation et d'emploi de l'arrivée de la filière éolienne offshore au Havre
Page 6 Analyser les situations de travail pour développer les compétences
Pages 7-8 Lutter contre le décrochage scolaire en Haute-Normandie

Edito

Suite à l'adoption de la nouvelle loi concernant la formation professionnelle, il n'est pas inutile d'en rappeler les enjeux :
- Sécuriser les parcours professionnels au niveau individuel et collectif (de l'entreprise) principalement en améliorant l'orientation professionnelle et en permettant un meilleur accès à la formation professionnelle notamment pour les personnes qui en ont le plus besoin, en permettant de se former au moment opportun, indépendamment de son statut, et de s'élever d'au moins un niveau de qualification pour réussir son évolution professionnelle.
- Concevoir la formation professionnelle comme levier de la promotion sociale et professionnelle et comme un investissement et non une charge pour les entreprises car les compétences et les qualifications des salariés sont des facteurs de compétitivité.
- Améliorer la lisibilité et l'efficacité du système afin de faciliter l'accès à la formation professionnelle de l'ensemble des actifs, salariés comme demandeurs d'emploi.
Cela se traduit notamment par une responsabilité sociale de l'employeur renforcée, levier plus efficace et qui devrait conduire à l'obligation de faire. La mise en oeuvre du Compte Personnel de Formation, à compter du 1er janvier 2015, pourra servir à financer des formations permettant d'acquérir des compétences attestées en termes de qualification, de certification ou de diplôme, en lien avec les besoins de l'économie et la sécurisation des parcours des salariés. Dans le cadre d'un cycle de Vendredis du Crefor nous reviendrons prochainement sur ces points forts de la loi, et d'autres tels que le Conseil en Evolution Professionnelle.
Luc Chevalier - Directeur du Crefor
Bulletin: application/pdf iconJOURNAL -MARS 2014.pdf.

24 mars 2014

IRIG DEFIS intègre l'OPRF

Dès le 1er mars 2014, IRIG DEFIS intègre l'Opérateur Public Régional de Formation, et rejoint ainsi l'AFPA et le CNAM.
L'ensemble de ses missions et son personnel seront intégrés à ce nouvel Etablissement Public Industriel et Commercial.
Avec la création de ce nouvel opérateur de formation, il s'agit, pour la Région, de contribuer au renouveau de la formation professionnelle en Guyane avec un outil structuré et une mutualisation de moyens adaptée à la réalité de nos territoires.
La synergie des acteurs historiques que sont l'AFPA (Association pour la Formation Professionnelle des Adultes), le CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers), et IRIG DEFIS (Initiatives Régionales Interentreprises de Guyane pour le Développement de l'Emploi, de la Formation et des Innovations Sociales) devra permettre :
 
• Une meilleure adéquation de l'appareil de formation avec les besoins actuels ou futurs en compétences des entreprises ;
• Un pilotage transversal et plus efficient du champ de la formation professionnelle et de l'insertion sociale ;
• Un renforcement de la complémentarité et de la coordination des différents acteurs ;
• Une facilitation de l'accès au plus grand nombre à la qualification professionnelle.

IRIG DEFIS intègre l'OPRF

 

Dès le 1er mars 2014, IRIG DEFIS intègre l'Opérateur Public Régional de Formation, et rejoint ainsi l'AFPA et le CNAM.
 
L'ensemble de ses missions et son personnel seront intégrés à ce nouvel Etablissement Public Industriel et Commercial.
 
Avec la création de ce nouvel opérateur de formation, il s'agit, pour la Région, de contribuer au renouveau de la formation professionnelle en Guyane avec un outil structuré et une mutualisation de moyens adaptée à la réalité de nos territoires.
 
La synergie des acteurs historiques que sont l'AFPA (Association pour la Formation Professionnelle des Adultes), le CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers), et IRIG DEFIS (Initiatives Régionales Interentreprises de Guyane pour le Développement de l'Emploi, de la Formation et des Innovations Sociales) devra permettre :
 
• Une meilleure adéquation de l'appareil de formation avec les besoins actuels ou futurs en compétences des entreprises ;
 
• Un pilotage transversal et plus efficient du champ de la formation professionnelle et de l'insertion sociale ;
 
• Un renforcement de la complémentarité et de la coordination des différents acteurs ;
 
• Une facilitation de l'accès au plus grand nombre à la qualification professionnelle.
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