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Formation Continue du Supérieur

24 février 2014

Saisine en cours > L'alternance dans l'éducation

http://www.lecese.fr/sites/default/files/header_titre.gifPrésentationRapporteur Jean-Marc MONTEIL. Cette étude se situe dans la perspective d’une contribution plus pédagogique que structurelle de l’alternance dans l’éducation. Elle se propose de donner du crédit à l’alternance comme une démarche pédagogique en mesure d’enrichir pour tous les élèves les contextes d’acquisition de connaissances, et non pas seulement comme une solution réparatrice. L’alternance dans l’éducation doit offrir à la diversité des compétences et des talents et aux trajectoires éducatives les plus fragiles des perspectives de réussite plus nombreuses.
Calendrier03/09/2013
Débat sur les principaux thèmes de l'étude
01/10/2013
Audition de M. Alain CLEMENCE, Professeur à l'Université de Lausanne
15/10/2013
Examen du projet de plan du projet d'étude
13/11/2013
Début de l'examen, en première lecture, du projet d'étude
17/12/2013
Suite de l'examen, en première lecture, du projet d'étude
21/01/2014
Examen, en seconde lecture, du projet d'étude
29/01/2014
Suite de l'examen, en seconde lecture, du projet d'étude

ActualitésQuelle place pour l’alternance dans l’éducation ?

24 février 2014

Apprentissage : comment expliquer les disparités régionales ?

Les services déconcentrés de l’Etat peuvent être activés utilement comme interface entre les conseils régionaux et les branches ou les organisations professionnelles

En 2013, les effectifs d’apprentis ont diminué de 2 %, en dépit d’une volonté politique toujours réaffirmée de dynamiser le dispositif. L’Etat n’est pas seul maître à bord en la matière, les conseils régionaux jouant le rôle de grand coordonnateur. Quels sont les facteurs qui permettent de mieux comprendre les freins au développement de l’apprentissage en région, et donc d’identifier les marges de progrès ? Réalisée en 2013 pour la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP), une enquête auprès de l’ensemble des parties prenantes en région identifie quatre facteurs clé.
Sur fond de crise économique et de baisse des effectifs, l’apprentissage ne cesse d’être au cœur des réformes. Acte III de la décentralisation, loi sur la formation professionnelle, les pouvoirs publics ont en ligne de mire son développement pour accroitre les chances d’insertion des jeunes. Cependant, la déclinaison de cette orientation nationale aboutit à des concrétisations locales disparates et le poids de l’apprentissage varie d’une région à l’autre.
Les écarts de développement de l’apprentissage trouvent leur source dans la façon dont s’élaborent et se mettent en œuvre les politiques régionales. Les analyser au plus près de la réalité de terrain permet d’ identifier les freins  à la croissance des effectifs, ainsi que les marges de progrès.

24 février 2014

'Il faut mettre fin aux stages photocopies-café'

campagne universite 2014Tribune de Geneviève Fioraso parue dans le J.D.D. le 23 février 2014
Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, soutient une proposition de loi visant à mieux encadrer la pratique du stage en entreprise.
"Depuis mercredi, l'Assemblée nationale examine une proposition de loi présentée par la députée socialiste Chaynesse Khirouni (Meurthe-et-Moselle), visant à mieux encadrer la pratique du stage en entreprise. L'enjeu n'est sûrement pas de réduire le nombre des stages. L'an dernier, on comptait 1,2 million de stagiaires en France, soit deux fois plus qu'en 2006. En sept ans, trois lois et six décrets ont été passés, des décrets qui contredisent la loi. Il est donc urgent d'y mettre de l'ordre.
Le premier objectif est de protéger les stagiaires des abus – certes minoritaires – existants, comme ces entreprises qui utilisent jusqu'à 80% de stagiaires. Il faut une seule loi avec des décrets qui se rattachent à un seul code, celui de l'éducation. Aujourd'hui, on se réfère aux codes du travail et de l'éducation, ce qui entretient la confusion entre contrat de travail et stages. Or ces derniers sont un élément de la formation, ils ne doivent pas se substituer à un C.D.D.. Il faut mettre fin aux stages "photocopies-café" dans les entreprises et les organismes publics. Par ailleurs, le stage doit intervenir plus tôt dans le cursus universitaire, au niveau de la licence. Plus le stage arrive tôt dans le parcours, meilleure est l'intégration dans la vie active.
Le texte instaurera un quota maximal de stagiaires en fonction de l'effectif des entreprises et de leur degré d'innovation.
Suite...

24 février 2014

Signature d'un protocole social

Signature protocole socialLe protocole social signé  le 17 février 2014 par Geneviève Fioraso, l’UNSA Education, le SGEN-CFDT et la Conférence des Présidents d’Université, fixe les axes prioritaires du dialogue social entre les parties prenantes et évoque les perspectives de carrières pour certaines catégories de fonctionnaires.
Geneviève Fioraso a signé, le 17 février 2014, avec l’UNSA Education, le SGEN-C.F.D.T. et la Conférence des Présidents d’Université, un protocole social qui fixe les axes prioritaires du dialogue social entre les parties prenantes.
Son premier axe concerne l’accompagnement des agents contractuels des établissements d’enseignement supérieur. L’attention à la qualité de leur trajectoire professionnelle et la mise en œuvre du plan de résorption de la précarité représentent une priorité majeure.
Le deuxième axe porte sur la qualité des bilans sociaux. L’importance de l’accès à l’information sur l’évolution de l’emploi et des conditions de travail est en effet accrue par l’autonomie des établissements.
Le troisième axe touche aux politiques pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et pour l’accès au travail et à un déroulement normal de carrière des personnes en situation de handicap. Suite...

24 février 2014

Que va changer le CPF pour les entreprises ?

http://www.leformateur.info/chris/files/2010/11/logo_formaguide.jpgPar Christina Gierse. Adopté par l’Assemblée nationale le 7 février dernier, le projet de loi sur la formation professionnelle prévoit la création du CPF (Compte personnel de formation), qui devrait remplacer le DIF (Droit individuel à la formation) dès janvier 2015. Qu’est ce qui va changer pour les entreprises ?
Petit rappel : à la différence du DIF (Droit individuel à la formation), qui ne concernait que les salariés, le CPF suivra tous les actifs tout au long de leur carrière. Dès son entrée dans la vie active, chaque salarié se verra ainsi attribuer un « compte » qu’il gardera, même durant les périodes de chômage. Le CPF sera crédité d’un certain nombre d’heures de formation par an, dans la limite de 150 heures (contre 120 heures pour le DIF) cumulable sur 9 ans (au lieu de 6 ans pour le DIF). Suite...
24 février 2014

Le burn-out des labos

Par Camille Thomine. Le 7 février, le Syndicat national des travailleurs de la recherche scientifique (SNTRS-CGT) s’inquiétait dans un communiqué « de la survenue, pour le seul mois de janvier, de trois suicides de personnes travaillant dans des laboratoires et l’administration du CNRS ». Et se demandait s’ils n’étaient pas un prélude à « une vague de suicides ».
Si la direction de l’organisme tient à rappeler qu’aucun de ces drames ne s’est produit sur les lieux de travail et que rien ne permet pour l’instant de les relier à leur activité professionnelle, ils surviennent dans un climat de détresse psychologique répandu dans la recherche publique. En 2013, l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) avait été endeuillé par un suicide survenu sur le lieu de travail, qui avait nécessité une prise en charge psychologique des équipes. Et plusieurs autres établissements publics à caractère scientifique et technologique (EPST) ont été confrontés à de tels passages à l’acte récemment. Suite...

Le 7 février, le Syndicat national des travailleurs de la recherche scientifique (SNTRS-CGT) s’inquiétait dans un communiqué « de la survenue, pour le seul mois de janvier, de trois suicides de personnes travaillant dans des laboratoires et l’administration du CNRS ». Et se demandait s’ils n’étaient pas un prélude à « une vague de suicides ».

Si la direction de l’organisme tient à rappeler qu’aucun de ces drames ne s’est produit sur les lieux de travail et que rien ne permet pour l’instant de les relier à leur activité professionnelle, ils surviennent dans un climat de détresse psychologique répandu dans la recherche publique. En 2013, l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) avait été endeuillé par un suicide survenu sur le lieu de travail, qui avait nécessité une prise en charge psychologique des équipes. Et plusieurs autres établissements publics à caractère scientifique et technologique (EPST) ont été confrontés à de tels passages à l’acte récemment.

24 février 2014

Le Cnam Auvergne

Retour sommaireUn parcours individualisé adapté à vos objectifs, à votre profil et à vos disponibilités
Qui peut s'inscrire au CNAM ?
Salariés, travailleurs indépendants (profession libérale, artisan...), demandeurs d'emploi (jeunes ou adultes), toute personne souhaitant engager ou reprendre des études d'enseignement supérieur dans une démarche de promotion sociale en vue d'adapter ses compétences aux besoins de l'économie.
Quand s'inscrire ?
La plupart des formations du Cnam sont semestrielles ou annuelles.

  • 1er semestre : début des cours en octobre
  • 2ème semestre : début des cours en février

N'hésitez pas à prendre contact avec notre secrétariat au 04 73 40 74 97, un rendez-vous vous sera proposé pour vous accompagner dans votre inscription pour la prochaine rentrée. Voir l'article...

Logo du Canm Auvergne

24 février 2014

Le Master 2 pro infocom CEID (Contrôle, Exploitation et Intelligence des Données)

Retour sommaireS’adapter aux évolutions de la société de l’information
Le Master 2 CEID (Contrôle, exploitation et intelligence des données) de l'Université Paris Ouest Nanterre, propose trois options qui permettent d’organiser les compétences des décideurs de demain autour des besoins qui s’expriment aujourd’hui :

  • la protection des données, avec l’option Correspondant Informatique et Libertés (CIL)
  • la conception de dispositifs d’animation des données, avec l’option Manager de la Connaissance et de la Formation En Ligne,
  • la démocratisation de l’accès aux données, avec l’option Chef de projet de développement numérique territorial.

Son objectif est de préparer à la conception, l’organisation, la gestion et l’évaluation de dispositifs de protection ou d’information/formation en ligne, via un équipement collectif d'accès public à Internet, avec la diffusion d’informations ou de savoirs via des outils de communication nomades, ceci en utilisant les possibilités offertes par les technologies de l'information et de la communication, principalement dans l'usage des réseaux d'un point de vue technique, économique, social, culturel et pédagogique.

La formation est ouverte aux titulaires d’une maîtrise (ou niveau équivalent) et aux étudiants en formation continue avec une expérience professionnelle suffisante (cinq ans) associée à un diplôme de l’enseignement supérieur.

Inscriptions à partir du 4 mars 2014.

Description de la formation. Voir l'article...

24 février 2014

Le choix de l'enseignement à distance en entreprise

Retour sommaireQuels avantages ?
Ce moyen de formation comporte des apprentissages individualisés ou collectifs en utilisant des ressources et compétences locales et à distance, sans pour cela qu'il y ait un contrôle permanent d'un formateur.
Pour l'entreprise :
        Facilité de mise en œuvre
        Flexibilité quant à l'organisation
        Résultats équivalents
        Coûts identiques voir inférieur puisqu'il n'y a pas ou peu de frais annexes (repas, hôtel etc..)
Pour le salarié :
        Rythme d'apprentissage adapté au cas par cas
        Moyens ludiques et modernes
        Suivi plus personnalisé
        Large éventail de choix de formation. Suite...

24 février 2014

Rapport d’activité 2013 de l'AERES

AERESLe rapport d’activité 2013 de l’AERES présente : les faits saillants ayant marqué l’évolution de la politique d’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche en 2013 ; une synthèse des évaluations organisées lors de la campagne 2012-2013 (vague D) et un bilan des actions conduites au plan européen et international. Le rapport d'activité 2013. Le rapport d'activité 2013 en bref.

Adaptation des processus d’évaluation et promotion de la qualité du lien formation-recherche

Attentive à la meilleure prise en compte des réformes portées par la loi du 22 juillet 2013 sur l’enseignement supérieur et la recherche, l’AERES s’est attachée à préparer la campagne d’évaluation 2014-2015 (vague A), en vue de :

  • l’accréditation des établissements s’agissant des formations pour lesquelles l’évaluation s’appuiera sur quatre grands principes : une évaluation des formations existantes ; une évaluation organisée par "champ de formations" ; des dossiers "champ de formations" et "formation" complémentaires et simplifiés ; un processus d’évaluation favorisant un dialogue accru avec les évalués.
  • l’évaluation des établissements d’un même site qui sera complétée, avec l’accord des entités évaluées, par une étape supplémentaire consacrée à leur politique de coordination territoriale.

En novembre 2013, l’AERES a souhaité, en organisant son colloque annuel sur le thème "Regards croisés sur la qualité des liens Formation-Recherche", mettre en perspective ces liens qui influent sur l’innovation, l’ingénierie des formations et la professionnalisation des étudiants.

Renforcement du lien avec les parties prenantes institutionnelles, régionales et du monde professionnel

En 2013, l’AERES a développé la communication et l’échange autour de son expertise et de ses pratiques au travers de :

  • la concertation menée au sein du groupe "Mikado", installé en 2012 par l’AERES, sur des sujets comme l’articulation entre l’évaluation des structures de recherche et de formation organisée par l’AERES et l’évaluation individuelle menée par les instances nationales ; la publicité des rapports ;
  • la poursuite des travaux conduits avec les Régions : après la production en 2012 de premières synthèses régionales des évaluations pour les Régions pilotes Bretagne et Centre, l’AERES a déployé ces synthèses pour les Régions Alsace, Lorraine et Corse ;
  • la création du comité "monde professionnel" : installation d’un espace de concertation composé de représentants du monde socio-économique.

Actions menées sur la scène européenne et internationale

En 2013, l’AERES a consolidé son positionnement international autour de trois orientations majeures :

  • la contribution aux débats européens et internationaux : implication de l’Agence dans la mise en œuvre d’une enquête en France sur la caractérisation de la dimension internationale des formations de licence, master et doctorat ; la contribution à la révision des ESG ;
  • la conduite de projets internationaux d’évaluation et de coopération : évaluations d’une université arménienne, d’un master Erasmus Mundus et du plan national de l’Arabie Saoudite pour la recherche, la technologie et l’innovation ;
  • les coopérations bilatérales et multilatérales avec des agences d’assurance qualité et la participation à des projets européens (Erasmus Mundus QACHE et CeQuint).

Remplacement de l’AERES par le HCERES

La Loi du 22 juillet 2013 relative à l’enseignement supérieur et à la recherche a remplacé l’AERES par le HCERES. Elle comporte toutefois, comme le préconisait l’AERES : le maintien du statut d’autorité administrative indépendante ; l’inscription dans la loi des principes déontologiques de l’évaluation retenus par l’AERES ; l’intégration d’élus étudiants au sein du Conseil. Suite à la promulgation de la loi, Denise Pumain et Frédéric Dardel ont entamé une consultation dans le cadre de leur mission de réflexion, confiée par la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, sur l’évaluation scientifique et l’organisation du futur HCERES. Deux rencontres ont eu lieu avec l’AERES, qui a également rédigé une contribution en vue de la rédaction du décret, soulevant des points d’attention clefs : distinction entre évaluation et validation des procédures d’évaluation ; réaffirmation du principe d’évaluation par les pairs ; besoin de précisions sur l’évaluation des procédures d’évaluation des personnels ; publicité des rapports d’évaluation ; notation et mesures transitoires.

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