Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Formation Continue du Supérieur

7 février 2014

Rising numbers of children 'no longer read Bible stories'

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSoQTWRsBvjCbs_LMFsFghL7rCYnNTmB1LkWqkyra9lZrNRU1SQGVddb74By Graeme Paton. A study from the Bible Society finds a that large number of children are failing to read or hear famous Christian stories such as the Nativity, Adam and Eve and Noah’s Ark.
 Christian stories such as the Nativity, Adam and Eve, Noah’s Ark and the Good Samaritan risk being “lost to future generations” because of a decline in exposure to the Bible, according to research. 
Figures suggest that the number of children regularly reading or hearing Bible stories has halved over the last 20 or 30 years. More...

7 février 2014

La dépense par étudiant - La France rattrape la moyenne pour l’enseignement supérieur

La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l’enseignement scolaire ou supérieur en France et dans l’OCDEEn 2010, le coût théorique du parcours d'un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l'OCDE. Il est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire : il dépend d'une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d'autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. Télécharger la version imprimable.
La France dépense moins que la moyenne pour un parcours d’études primaires...
Les dépenses cumulées sur la durée des études d’un élève de primaire s’échelonnent en 2010 de 85 780 $PPA pour la Norvège à 33 110 $PPA pour la France, et s’établissent à 47 950 $PPA pour l’ensemble des pays de l’OCDE. L’écart entre les pays représentés est beau- coup plus important que pour un élève du secondaire (rapport de 2,6 contre 1,7). La Norvège se distingue en tête de la distribution (+ 79 % au-dessus de la moyenne de l’OCDE), suivie des États- Unis et du Danemark (situés à environ + 40 % au-dessus de la moyenne). En fi n de distribution, la France se détache nettement des autres pays considérés (- 31 % en dessous de la moyenne de l’OCDE).
... mais plus pour un parcours d’études secondaires
En moyenne pour les pays de l’OCDE, la scolarité d’un élève dans le secondaire est 26 % plus coûteuse que pour un élève du primaire. Cette différence est bien plus importante en France et en Italie que dans les autres pays considérés : la France dépense 2,3 fois plus pour une scolarité secondaire que pour une scolarité primaire, et ce rapport est de 1,7 pour l’Italie. Cela s’explique en grande partie par le fait que dans ces pays, les études secondaires durent au moins deux ans de plus que les études primaires.
Les dépenses cumulées par élève sur la durée des études secondaires s’échelonnent en 2010 entre 82 340 $PPA pour la Norvège et 48 390 $PPA pour la Corée du Sud, soit un rapport de 1,7 entre ces extrémités. En moyenne, pour l’OCDE, ces dépenses s’établissent à 60 340 $PPA. La France dépense 76 220 $PPA pour le parcours d’un élève dans le secondaire, soit 26 % de plus que la moyenne. Sa dépense est infé- rieure à celle du Danemark (81 990 $PPA), mais supérieure à celle du Royaume-Uni (67 940 $PPA), des Pay s-Bas (59 100 $PPA) ou de l’Espagne (57 650 $PPA).
La France rattrape la moyenne pour l’enseignement supérieur
La durée moyenne des études supé- rieures s’échelonne de 2,7 ans (Royaume-Uni) à 5,3 ans ( Pay s-Bas) et s’établit à 3,9 ans pour la moyenne des pays de l’OCDE. En France, elle est de 4 ans. Les dépenses pour le parcours d’un étudiant s’échelonnent entre 98 680 $PPA pour le Danemark et 34 200 $PPA pour la Corée du Sud, soit un rapport de 2,9. En tête de classement, fi gurent le Danemark, la Suède et les Pays-Bas , qui dépensent plus de 88 000 $PPA pour le parcours d’un étudiant. Avec une dépense par étudiant de 60 570 $PPA, la France se situe légè- rement au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE (57 770 $PPA) devant la Belgique (45 380 $PPA), le Royaume-Uni (43 460 $PPA) et la Corée du Sud (34 200 $PPA).

7 février 2014

La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l'enseignement scolaire ou supérieur en France et dans l'OCDE

La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l’enseignement scolaire ou supérieur en France et dans l’OCDEEn 2010, le coût théorique du parcours d'un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l'OCDE. Il est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire : il dépend d'une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d'autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. Télécharger la version imprimable.
L’essentiel
En France, le coût d’un parcours dans l’enseignement scolaire (109 330 $PPA) est proche de la moyenne de l’OCDE. Les pays dépensant le plus sont la Norvège (168 130 $PPA), le Danemark (147 600 $PPA) et les Etats-Unis (142 050 $PPA). La position de la France varie toutefois selon le niveau d’enseignement.
La durée théorique de scolarité dans le primaire est plus courte en France que dans la plupart des pays (5 ans au lieu de 6) et la dépense annuelle par élève y est moins importante. La France dépense donc moins que la moyenne de l’OCDE pour le parcours d’un élève dans le primaire.
En revanche, dans le secondaire, la scolarité théorique est en France plus longue que la moyenne (7 ans au lieu de 6) et la dépense annuelle par élève y est plus importante. Ainsi, la France dépense plus que la moyenne de l’OCDE pour un élève pendant la durée des études secondaires.
Pour une durée moyenne de 4 ans par étudiant dans l’enseignement supérieur, la France dépense 60 570 $PPA, soit légèrement plus que la moyenne de l’OCDE. Elle est distancée par le Danemark (98 680 $PPA sur 5,2 ans) et les États-Unis (81 080 $PPA sur 3,2 ans) mais devance la Belgique (45 380 $PPA sur 3 ans) et le Royaume-Uni (43 460 $PPA sur 2,7 ans).
En France, comme pour la moyenne des pays de l’OCDE, l’essentiel de la dépense d’éducation est d’origine publique. L’État y reste le principal financeur public pour les niveaux primaire et secondaire alors que l'on constate un financement public très décentralisé dans la plupart des pays de l’OCDE.
En France comme dans l’OCDE, l’État est la principale source de financement de l’enseignement supérieur. La participation du secteur privé (18 %) y est cependant plus importante que pour les autres niveaux d’études (8 %). Dans les pays anglo-saxons et asiatiques, entre 64 et 75 % de la dépense pour l’enseignement supérieur est d’origine privée.

7 février 2014

Entrepreneuriat : retour sur les engagements du Gouvernement

La France est, parmi les pays de l'OCDE, celui où il est le plus facile de créer son entreprise. Afin de donner une impulsion supplémentaire dans cette direction et d’encourager la création et le développement des entreprises, le Gouvernement a réuni du 14 janvier au 29 avril 2013 les Assises de l'entrepreneuriat : 9 groupes de travail (entrepreneurs, investisseurs, organisations syndicales et patronales, représentants de l'administration...) qui ont rassemblé plus de 300 entrepreneurs afin de réfléchir à de nouvelles mesures permettant de favoriser la création et le développement des entreprises.
Quels engagements ? 
44 propositions ont émergé des Assises de l'entrepreneuriat organisées en 2013. Des propositions qui ont permis au Gouvernement de prendre 10 engagements forts.

Quelles mesures concrètes ?

En clôture de ces Assises, le président de la République a présenté le 29 avril 2013 les mesures concrètes qui seront prises par le Gouvernement afin de poursuivre trois grandes priorités :

Stimuler l’esprit d’entreprise et mobiliser tous les talents par :

• la formalisation d’un programme éducatif sur l’esprit d’initiative et l’innovation dans le secondaire (de la sixième à la terminale) et dans l’enseignement supérieur ;
• la mise en place dès l’été 2013 d’un fonds pour la création d’entreprises dans les quartiers les moins favorisés ;
• la création d’un dispositif "Entrepreneur Etudiant", qui permettra à ceux qui créent une entreprise à l’issue de leurs études de continuer à bénéficier du statut d’étudiant ;
• la suppression de l’indicateur "040" du fichier Fiben de la Banque de France afin de favoriser le rebond des entrepreneurs ;
• la création d’un "visa entrepreneur" ou équivalent, pour attirer les jeunes talents étrangers en France.

Aider les entreprises à se développer par :

• le développement à titre expérimental de "Maisons de l’international" aux Etats-Unis et en Asie pour faciliter l’implantation de nos PME à l’étranger ;
• l’incitation des grandes entreprises à investir dans les jeunes PME innovantes, par l’ouverture d’un droit à un amortissement fiscal de l’investissement ;
• l’extension du champ des dépenses éligibles aux exonérations de charges sociales du statut Jeunes entreprises innovantes (JEI) aux charges de personnel affectées à l’innovation ;
• la création d’un fonds pour l’innovation sociale de Bpifrance pour faciliter le développement des entreprises à caractère social et solidaire en France ;
• la création d’un "pass'entrepreneur numérique", qui améliorera l’accompagnement personnalisé de l’entrepreneur et comportera un mécanisme de signalement des complexités administratives vécues par les entreprises.

Reconnaître la prise de risque de l’investissement au service de l’emploi par :

• la réforme du régime des plus-values mobilières dans le sens de la simplification et de l’attractivité ;
• la volonté de voir dynamisé le segment boursier dédié aux PME et aux ETI ;
• la réforme du Plan Epargne en Actions avec la revalorisation de son plafond à 150 000 euros et la possibilité d’y investir en plus 75 000 euros dans les PME et ETI ;
• la mise en place d’un cadre juridique de développement de la finance participative ("crowdfunding") en France.

7 février 2014

Décompte des effectifs pour l'obligation Formation continue des entreprises

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Tous les employeurs, quel que soit le nombre de leurs salariés, sont soumis à la participation à la formation professionnelle continue. Leurs obligations varient suivant selon l'effectif.
Concernant le décompte des effectifs, la DGFIP indique, suite à un arrêt du Conseil d'Etat, que les gérants minoritaires de SARL, es qualités c'est-à-dire en tant que simples mandataires sociaux et sauf s'ils cumulent un contrat de travail avec leur mandat social, ne sont pas à retenir pour la définition de l'effectif salarié de l'entreprise.
Par ailleurs, les représentants de commerce à cartes multiples ne peuvent pas être considérés comme des salariés à temps partiel dès lors qu'ils exercent leur activité sans être astreints à un horaire précis. Ils doivent donc être pris intégralement en compte dans l'effectif de l'entreprise.

7 février 2014

Sciences Po Grand Paris/Ouest change de nom et devient Sciences Po Saint-Germain-en-Laye

Le 10e institut d’études politiques (IEP), porté par les universités de Cergy-Pontoise et de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, annonçait le 20 septembre 2013 qu’il se nommerait Sciences Po Grand Paris/Ouest. Saisie mi-janvier par Sciences Po Paris, qui a estimé ce nom trop proche du sien et de nature à entraîner une confusion entre les deux institutions, l’équipe du jeune institut accepte de changer d’appellation. À l’instar des autres IEP, le dernier né, qui fera sa première rentrée en septembre 2014, porte désormais le nom de la ville où il est implanté : Sciences Po Saint-Germain-en-Laye.
« Ce changement de dénomination n’emporte aucune modification relative à l’inscription résolument métropolitaine et régionale de notre IEP. L’ambition qui anime l’équipe depuis sa naissance, en matière de démocratisation notamment, demeure inchangée », affirme Céline Braconnier, administratrice provisoire de l’IEP et professeure de science politique. En septembre 2013, elle expliquait : « L’implantation en périphérie de la capitale permettra d’asseoir la filière Sciences Po au sein de territoires souvent délaissés d’Île-de-France. Les jeunes seront mobilisés par d’ambitieux dispositifs de préparation au concours dans tout le grand Ouest parisien, […] notre ambition est aussi de susciter de nouvelles candidatures pour démocratiser l’accès à ce type de formation d’excellence. »
Ville historique des Yvelines de 42 000 habitants située aux portes du Val d’Oise, Saint-Germain-en-Laye est tournée vers l’international. Elle compte plus de 5 000 résidents étrangers et 3 000 élèves dans son lycée international. « Un réel atout pour notre ouverture sur le monde », précise Céline Braconnier.
Pour en savoir plus : L'UCP et l'UVSQ s’unissent pour créer un institut d’études politiques.

7 février 2014

Le 10e IEP va finalement s'appeler Sciences Po Saint-Germain-en-Laye

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireInitialement baptisé "Sciences Po Grand Paris/Ouest", l'établissement a dû changer de nom, estimé trop proche de celui de Sciences Po Paris.
A peine lancé, et déjà un changement d'identité. Le 10e institut d'études politiques (IEP), porté par les universités de Cergy-Pontoise et de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, annonçait le 20 septembre 2013 qu'il se nommerait Sciences Po Grand Paris/Ouest. Suite...

7 février 2014

Emploi : 83 % des contrats signés sont des CDD

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireSelon une enquête de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), au troisième trimestre 2013, huit embauches sur dix étaient des CDD. Un chiffre relativement stable par rapport au début de l'année, mais qui reste très élevé.
Mauvais temps pour la sécurité de l'emploi ! Selon une étude du ministère du Travail, plus de huit recrutements sur 10 ont été réalisés par l'intermédiaire de CDD. Suite...

7 février 2014

Le niveau de diplôme des Français

13 % de la population dispose d’un diplôme d’études supérieures à bac+2 et 26 % détient au mieux le certificat d’études primaires. On est loin de la vision d’une société où le diplôme serait la norme.
Le niveau réel de diplôme des Français est au moins aussi éloigné des discours les plus courus que le niveau de richesse. Suite...

7 février 2014

Seulement un quart de la population française est diplômée !

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireSeul un quart de la population française détient - au mieux - un certificat d'études primaires (CEP). Un constat qui fait dire à l'Observatoire des inégalités qu'on est encore loin d'une société où le diplôme serait la norme…
C'est un fait bien peu connu, occulté par les taux massifs de jeunes décrochant le baccalauréat et intégrant universités, grandes écoles, classes préparatoires… Pourtant, en France, seulement 13 % de la population dispose d'un diplôme d'études supérieures au bac+2. Et ce n'est qu'un peu plus d'un quart (26 %) de la population qui est titulaire du fameux certificat d'études primaires. "On est loin de la vision d'une société où le diplôme serait la norme", souligne à ce titre l'Observatoire des inégalités. Suite...

Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 786 381
Formation Continue du Supérieur
Archives