Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
1 mai 2010

22 milliards d'euros pour l'enseignement supérieur et la recherche

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/97/9/gdemprunt_143979.46.jpgCe nouvel espace, entièrement dédié au Grand emprunt et au programme investissements d'avenir, est un véritable guide pratique.Ce nouvel espace, entièrement dédié au Grand emprunt et au programme investissements d'avenir, est un véritable guide pratique. Son contenu sera régulièrement mis à jour : vous pourrez suivre l'actualité du programme, trouver les informations pour vous aider à construire votre projet, et bientôt poser des questions aux équipes du ministère. En ligne également : un glossaire, des fiches de présentation des actions...
Le Programme investissements d'avenir ce sont 35 milliards d'euros, dont 22 milliards d'euros destinés à l'enseignement supérieur et à la recherche.
Le Gouvernement a fait un choix ambitieux, à la mesure des grands défis qui attendent notre pays: investir dès aujourd'hui dans ce qui fera la force de la France demain.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/67/6/mini-diagramme_143676.jpgInvestir dans l'enseignement supérieur et la formation professionnelle, dans la recherche, dans l'industrie et les PME, investir dans le développement durable enfin et dans tous les secteurs d'avenir comme le numérique, les biotechnologies ou le nucléaire.
Pour l'enseignement supérieur et la recherche, les premiers appels à projets, concernant en particulier les équipements d'excellence, vont être lancés rapidement. "Je tiens à ce que ces équipements soient mis à la disposition du plus grand nombre pour être utilisés de manière optimale", a insisté Valérie Pécresse. "Ensuite nous lancerons la dynamique des laboratoires d'excellence, des instituts de recherche technologique, des instituts hospitalo-universitaires et des sociétés d'accélération du transfert de technologies". Consulter toutes les fiches de présentation. Voir le glossaire.

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/97/9/gdemprunt_143979.46.jpgŠi nauja erdvė, visas skirtas Didžiosios skolinimosi ir investicijų programą, kad ateityje realus vadovas pratique.Ce naują erdvę visas skirtas Didžiosios skolinimosi ir investicijų programą ateityje, yra praktinis vadovas. Jo turinys bus nuolat atnaujinamas, jūs galite sekti naujienas programa, rasti informaciją, kuri padės jums sukurti savo projektą, užduoti klausimus ir greitai komandų departamentas. Dabar taip pat, žodynėlis, faktų pateikimo veiksmų ...
Investicijų programą ateityje yra 35 milijardų eurų, 22000000000 € aukštojo mokslo ir mokslinių tyrimų. Daugiau...

24 avril 2010

L’enseignement supérieur et la crise économique globale

http://www.carif-oref-gpe.com/templates/carif/images/charte_04.pngFace à la crise économique, le secteur de l'enseignement supérieur est parvenu à se « protéger », d'après le dossier thématique « L'enseignement supérieur et la crise économique globale » publié par l'AIU dans son numéro d'avril 2010. « Contrairement aux attentes, les coupes budgétaires ont été moins généralisées et les inscriptions dans l'enseignement supérieur ont continué d'augmenter pendant la période de crise », explique Nadu Vilapa Varghese, chef de l'unité gouvernance et gestion de l'éducation à l'institut international de l'Unesco pour la planification de l'éducation.
« Les réponses des gouvernements à la crise ont été différentes : certains gouvernements ont réduit le financement public destiné à l'enseignement supérieur (Estonie, Hongrie, Pologne, Lituanie, Italie, États-Unis), d'autres l'ont augmenté (Mexique, Russie, Espagne, Allemagne, Norvège, Royaume-Uni) et d'autres ont maintenu le même niveau de financement (Suisse et Pays-Bas) », poursuit-il. Si les établissements ont fait face à des difficultés budgétaires, dues au « déclin des aides financières publiques, des donations, des contributions volontaires, à l'incapacité des étudiants à prendre en charge leurs frais d'inscription », le nombre d'inscriptions dans l'enseignement supérieur a augmenté entre 2008 et 2009 tout comme le « flux d'étudiants transfrontaliers ». Une hausse que le chef de l'unité gouvernance et gestion de l'éducation à l'institut international de l'Unesco explique par l'épargne des ménages « de nouveau allouée en priorité aux investissements dans l'éducation des enfants ». Un facteur qui « semble avoir aidé à protéger le secteur ». Pourtant, Nadu Vilapa Varghese met en garde : « Les effets de la crise sur l'éducation pourraient être plus longs à se dessiner et se faire sentir même après la relance de l'économie ». http://www.iau-aiu.net/.
http://www.carif-oref-gpe.com/templates/carif/images/charte_04.pngFrente a la crisis económica, el sector de la educación superior ha logrado "proteger" en el tema disco "Educación Superior y la crisis económica mundial", publicado por la UAI en su edición de abril de 2010 ."Contrariamente a lo esperado, los recortes presupuestarios han sido menos generalizada y la matrícula en la educación superior han seguido aumentando durante el período de crisis". http://www.iau-aiu. net/. Más información...
8 avril 2010

Le "grand emprunt" pour l'Enseignement Supérieur

Par Philippe Jacqué. http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gifLe calendrier exact et les critères de sélection des futurs campus d'excellence ne sont toujours pas arrêtés. Mais, le ministère de l'enseignement supérieur soulève un coin du voile sur la manière dont il va gérer le "grand emprunt". Devant les présidents d'université réunis pour leur colloque à Nancy, Valérie Pécresse, détaillait, jeudi 1er avril, la façon dont seront alloués les 19 milliards d'euros dégagés par l'emprunt national pour l'enseignement supérieur et la recherche.
Désormais, une chose semble sûre. "Ne pourront répondre à ces différents appels d'offre que les établissements, qu'ils soient des universités, des grandes écoles, des organismes de recherche, ou des regroupements d'établissements", explique Mme Pécresse au Monde. Ainsi, les laboratoires ou instituts ne pourront pas, par exemple, directement prétendre au milliard d'euros prévus pour financer des équipements de recherche. En revanche, une chose semble sûre, pour être sélectionné campus d'excellence, il faudra avoir une visibilité mondiale.
De même, concernant la gouvernance de ces futurs campus, Mme Pécresse reste pragmatique. "Leur gouvernance n'est pas une fin en soi, mais un moyen au service d'une ambition collective, qui doit se construire dans la durée (…). On ne peut donner aucune réponse univoque à ces questions. Chaque projet de campus portera sa propre logique et son organisation, qui s'affirmera et s'affinera tout au long de sa construction".Bref, "il n'y aura pas de kit organisationnel à prendre ou à laisser", conclut la ministre.
Por Jacque Philippe. http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gifLas fechas exactas y los criterios de selección de futuros campus de excelencia aún no detenidos. Pero el ministerio de la educación superior aumenta el velo sobre cómo va a gestionar el gran "deuda". Antes de los presidentes universitarios se reunieron para su conferencia en Nancy, Valérie Pécresse, dio detalles el jueves 1 de abril, la forma se asignarán 19 billion euros generados por el endeudamiento interno para la educación superior y la investigación. Más información...
7 avril 2010

L'impact économique local de l'enseignement supérieur

http://www.localtis.info/images/Localtis/logoLoc.gifPar Muriel Weiss. Avec 2,3 millions d'étudiants et 83 universités répartis sur l'ensemble du territoire, la France dispose d'un atout économique incontestable. Les nombreux universitaires présents le 31 mars autour d'une table ronde à Paris ont souhaité évaluer l'impact économique local de l'enseignement supérieur. La tâche s'avérait ardue car les critères d'évaluation sont nombreux. Le secrétaire général de l'Association des villes universitaires de France (Avuf), Pierre Albertini, en a cependant énoncé quelques-uns. En premier lieu, les dépenses des étudiants et du personnel universitaire permettent d'anticiper une source de revenus pour le territoire sur lequel est implantée l'université. Ainsi, une étude réalisée par Ipsos pour le Crédit agricole en septembre 2009 établissait que la dépense moyenne des étudiants était de 521 euros par mois. Un chiffre auquel il faudrait ajouter les créations d'emplois ainsi que les dépenses de fonctionnement et d'investissement de l'enseignement supérieur. Mais, comme le souligne Michel Vernières, dans son rapport publié en 2007, l'évaluation des dépenses universitaires est particulièrement délicate à réaliser : "La première difficulté provient de la diversité des entités institutionnelles (universités, écoles, laboratoires…) et la seconde est d'imputer les dépenses aux diverses branches de l'activité économique en localisant les fournisseurs afin de calculer la part des dépenses réalisées localement." Le rapport souligne également que l'enseignement supérieur a un impact démographique mais aussi culturel, un effet sur le marché du travail et qu'il peut être un atout pour les politiques urbaines. Autant d'éléments qui devraient motiver les territoires à accueillir des universités. Mais les obstacles sont encore nombreux. Si le plan Campus a permis de soutenir 12 pôles universitaires d'excellence et 9 campus "prometteurs et innovants" avec près de 5,5 milliards d'euros débloqués par l'Etat (voir notre article ci-contre), il n'a distingué, selon certains élus, que les grandes universités, laissant souvent de côté les petites entités décentralisées. Or, comme le souligne Priscilla De Roo, chargée de mission à la Datar (délégation interministérielle à l'aménagement du territoire et à l'attractivité régionale), "les villes moyennes, de 30.000 à 200.000 habitants, sont souvent laissées dans l'ombre. Or, elles sont un territoire d'intermédiation essentiel. Il faut arrêter de polariser l'enseignement supérieur". Pierre Albertini s'inquiète d'ailleurs de l'avenir de certaines villes qui dépend, selon lui, des universités qu'elles accueillent, préoccupation d'ailleurs maintes fois exprimée par la Fédération des maires des villes moyennes (FMVM) (lire nos articles ci-contre). Le secrétaire général de l'Avuf reconnaît de plus qu'"il ne suffit pas d'avoir une université, il faut qu'elle soit spécialisée". Pour aider les collectivités locales à s'engager dans cette voie, l'Avuf est en passe de signer une convention-cadre avec la Conférence des présidents d'université (CPU) afin d'évaluer ensemble les expériences locales ainsi que l'intégration citoyenne des étudiants mais aussi de construire des schémas locaux d'enseignement supérieur, qui viendront compléter les schémas territoriaux déjà existants.
http://www.localtis.info/images/Localtis/logoLoc.gifBy Muriel Weiss. With 2.3 million students and 83 universities located throughout the territory, France has an undeniable economic advantage. The many academics present on March 31 around a round table in Paris wanted assess the local economic impact of higher education. The task proved difficult because the criteria are numerous. The Secretary General of the Association of university towns in France (Avuf), Pierre Albertini, however, has stated a few. First, spending by students and academic staff can anticipate a source of income for the area in which the university is located. Thus, a study conducted by Ipsos for the Farm Credit in September 2009 established that the average expenditure of students was 521 euros per month. A figure which should be added job creation as well as operating costs and investment in higher education. But, as pointed Vernieres Michel, in his 2007 report , the evaluation of university expenditure is particularly difficult to achieve: "The first difficulty is the diversity of institutional entities (universities, schools, laboratories ...) and the second is to allocate expenses to various branches of economic activity in locating providers in order to calculate the share of expenditures made locally . More...

30 mars 2010

L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°3 - décembre 2009)

Brochure EESR n° 3L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets... sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de cet ouvrage dont la partie recherche a été enrichie pour cette troisième édition.
Extraits:
En 2007, la formation continue dans l’enseignement supérieur accroît son activité de 1,5 % pour le chiffre d’affaires (CA) et de 4 % pour le nombre des stagiaires, par rapport à 2006 (tableau 01) ; malgré cela elle garde une place modeste au sein de la formation professionnelle (6 % du CA total). Les fonds privés (entreprises ou particuliers) représentent 60 % des ressources des établissements, tous types confondus et leur part atteint même 66 % dans les universités, alors que les fonds publics se maintiennent à 32 % (tableau 02).
Le nombre des diplômes délivrés dans le cadre de la formation continue universitaire a fortement augmenté en 2007, particulièrement les diplômes d’université. Sur les 57 000 diplômes délivrés, plus de la moitié sont des diplômes nationaux (31 000) ; 40 % de ces diplômes nationaux sont de niveau II (Licences et maîtrises), près d’un tiers de niveau I (Master), 20 % de niveau IV, principalement le diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU) et 11 % de niveau III, essentiellement des diplômes universitaires de technologie (DUT) préparés dans les IUT (tableau 04). En 2007, la part des diplômes délivrés par les universités en formation continue sur l’ensemble des diplômes s’établit à 8,3 % contre 6,9 % en 2006.
La validation des acquis de l’expérience constitue un autre moyen d’acquérir un diplôme en faisant valoir son expérience professionnelle. Depuis 2002, ce dispositif se développe dans l’enseignement supérieur (universités et CNAM) en plus de la validation des acquis professionnels (décret de 1985) qui permet d’accéder à une formation par une dispense du titre normalement requis pour s’y inscrire. En 2008, environ 4081 validations ont été délivrées pour obtenir tout ou partie d’un diplôme dont 2016 diplômes complets.
Brochure EESR No. 3The State of Higher Education and Research can make the annual numerical system of higher education and French research, to be at international level and to follow its developments, including the long term. Finance, human resources, access to higher education, success skills, integration of graduate student life, research in biotechnology and nanotechnology, participation in PCRD, publications, patents ... are the themes of the 35 cards that work with the research part was enriched for this third edition.
Excerpts:

In 2007, training in higher education is increasing its activity by 1.5% on turnover (sales) and 4% for the number of trainees compared to 2006 (Table 01), nevertheless it keeps a modest place in vocational training (6% of total).
Private funds (companies or individuals) representing 60% of the resources of institutions of all types and their share is as high as 66% in universities, while public funds remain at 32%. More...
27 mars 2010

Filles et garçons dans l’enseignement supérieur: des parcours différenciés

http://www.inegalites.fr/media/images/logo_observatoire_menu_accu.jpgSeulement un quart des diplômés des écoles d’ingénieurs sont des femmes. En revanche, elles représentent 70 % des étudiants en lettres et sciences humaines.
Entre filles et garçons, les parcours universitaires demeurent nettement différenciés. Alors que les filles constituent 70 % des étudiants en lettres et sciences humaines, elles sont moins de 30 % dans le domaine des sciences fondamentales. Dans les classes préparatoires, elles ont investi les prépas littéraires (75 %) mais ne représentent que 30 % des prépas scientifiques.
Aux filles les lettres, aux garçons les sciences ? Ce principe reste vrai. Et la sélection ne se fait pas seulement au moment de l’entrée dans l’enseignement supérieur : les filles sont déjà minoritaires en filière scientifique au lycée. Les choses changent tout de même. Ainsi, les filles ont dépassé les garçons dans les prépas scientifiques. Et elles progressent dans les écoles d’ingénieurs: de 15,7 % des élèves en 1985 à 25,9 % en 2007. Reste qu’au rythme de 10 points en 20 ans, il leur faut encore un demi-siècle pour atteindre la parité.
http://www.inegalites.fr/media/images/logo_observatoire_menu_accu.jpgSamo ena četrtina diplomantov iz inženirstva šol, so ženske. Vendar pa predstavljajo 70% študentov v umetnosti in humanistike. Med dekleti in fanti, še vedno akademski izraz očitno razlikujejo. Medtem ko dekleta predstavljajo 70% študentov na področju humanistike in družboslovja, so manjši od 30% osnovne znanosti. V pripravljalnem razrede, ki so jih vložili literarnega prépas (75%), vendar le 30% prépas znanstvenikov. Več...
26 février 2010

La Russie à la reconquête du marché de l’enseignement supérieur

http://blog.educpros.fr/bfournier/wp-content/themes/terrafirma_fournier/terrafirma/images/a10.jpgSur le blog Educpros de Brigitte Fournier. La Russie, comme beaucoup d’autres pays, souhaite rendre compétitif son enseignement supérieur. Pour cela, le ministère russe de l’Enseignement et de la Science a élaboré une nouvelle stratégie d’exportation des services d’enseignement de la Fédération de Russie pour la période 2011-2020. Le but est d’atteindre 7% du marché mondial et d’avoir au moins 10 écoles russes présentes dans les top-100 des classements mondiaux. En effet, avant sa chute, l’URSS était le deuxième exportateur d’enseignement supérieur dans le monde après les Etats-Unis. L’effondrement du bloc communiste a changé la donne. Depuis lors, la place de la Russie n’a cessé de s’amoindrir. La part de marché de la Russie n’était plus que de 4-5% en 2004, de 3% en 2008 et en 2009, sa part ne représentait plus que 1%-2%....
Certains experts russes soulignent que l’enseignement en langue russe est également un obstacle pour recruter des étrangers. Ils proposent de suivre l’exemple des universités européennes (Allemagne, Finlande, Suède, Pays-Bas, Danemark) qui offrent des programmes en anglais.

http://blog.educpros.fr/bfournier/wp-content/themes/terrafirma_fournier/terrafirma/images/a10.jpgО блоге Educpros Брижит Фурнье. Россия, как и многие другие страны, надеется сделать его конкурентоспособным высшим образованием. Для этого, русский Министерства образования и науки разработало новую стратегию для экспорта образовательных услуг на русский Федерации на период 2011-2020. Подробнее...

22 janvier 2010

L’éthique et les valeurs dans l’enseignement supérieur

"L’éthique et les valeurs dans l’enseignement supérieur à l’ère de la mondialisation : Rôle des différentes disciplines".
L’Association internationale des Universités (AIU) et l’Université Mykolas Romeris organisent conjointement la Conférence internationale 2010 de l’AIU qui portera sur le thème suivant: «L’éthique et les valeurs dans l’enseignement supérieur à l’ère de la mondialisation : Rôle des différentes disciplines». Cette conférence se tiendra à l’ Université Mykolas Romeris à Vilnius (Lituanie) du 24 au 26 juin 2010. Dans quelle mesure des approches et des expériences pluridisciplinaires s’enrichissent-elles mutuellement et contribuent-elles à la mise en place et à la promotion d’un enseignement supérieur basé sur les valeurs et l’éthique ? De quelle manière la perception de ces problématiques diffère-t-elle d’une culture à l’autre ? La communauté de l’enseignement supérieur peut-elle envisager la mise en place d’un code sur l’éthique en matière d’enseignement supérieur au niveau mondial ? Ces questions ainsi que les sujets annexes énoncés ci-dessous seront abordés par les conférenciers. Introduction. Programme préliminaire.
서로 다른 분야의 "윤리와 가치관의 고등 교육의 세계화의 시대 : 역할.
대학 국제 교류 협회 (IAU)과 대학이 공동 Mykolas Romeris이 테마는 "윤리 및 고등 교육 기관의 값을 시대의 초점을 맞출 것이다 2010 국제 컨퍼런스 IAU,의 조직 세계화 : 서로 다른 분야의 역할. "이번 회의는 대학 Mykolas Romeris 빌뉴스 (리투아니아)에서 개최됩니다 24으로 2010년 6월 26일. 더많은...
13 janvier 2010

Pour un enseignement supérieur ouvert

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgPour un enseignement supérieur ouvert à tous les itinéraires et toutes les catégories sociales.
La polémique récemment ouverte sur les « quotas » de boursiers que devraient accueillir les grandes écoles peut n’être, comme la plupart des polémiques, qu’un feu de paille, appelé à s’éteindre rapidement. Dés qu’une autre polémique occupera les esprits…
Et elle serait particulièrement futile si elle s’épuisait dans une querelle de chiffres pour constater in fine que derrière la notion de « boursiers » se cachent des réalités sociales très diverses, selon le niveau de la bourse. Il serait beaucoup plus pertinent de relier cette polémique avec la réflexion lancée dans le Monde du 1er décembre 2009, par le sociologue François Dubet, sur le piège de « l’égalité des chances » et de la « méritocratie républicaine ».
Car, comme il l’a très bien démontré dans cet article et comme la CPU l’a déjà écrit à deux reprises, dans un article de Libération daté du 2 avril 2009 en réaction à une position de Yazid Sabeg, puis dans une lettre récemment adressée à Eric Besson , l’excellence et le mérite ne peuvent pas être mesurés à la seule capacité à franchir les sauts d’obstacle d’une scolarité assimilée à une compétition la plus précoce possible.
On ne dira jamais assez combien est « méritant » le jeune homme ou la jeune femme qui, de milieu modeste et scolarisé dans un quartier défavorisé, a intégré l’université avec une mention passable; a réussi au fil des années, parfois en redoublant, à obtenir une licence, un master et un métier en rapport avec ce diplôme. Un jeune qui a dû travailler tout au long de sa scolarité et n’a pas été programmé dès la maternelle pour viser ce que l’on appelle « les meilleures » classes.
Son parcours est aussi « excellent » que celui de beaucoup de jeunes dotés de palmarès jugés plus prestigieux. Et de ce fait, son sens de l’initiative, sa volonté, son adaptabilité seront peut être plus grandes. La question qui nous est posée par cette polémique n’est donc pas celle d’une guerre vaine entre écoles et universités, mais celle de notre modèle éducatif et de notre vision des parcours professionnel et sociaux.
On ne peut que se réjouir du rapprochement entre les Grandes Ecoles (et même les moins grandes) et les universités, tel qu’il s’esquisse à travers les PRES.
Mais il ne résoudra pas à lui tout seul les graves problèmes que sont les poids de la formation initiale et du diplôme initial sur toute la vie sociale et professionnelle, le peu d’ouverture des élites dirigeantes aux femmes, aux jeunes et aux « minorités visibles » et enfin le pessimisme des jeunes Français, comme l’ont montré les travaux sur la jeunesse dans le cadre de la Commission Hirsch.
C’est pourquoi il est essentiel que les universités continuent à assumer fièrement leur fonction d’ouverture et de promotion sociale et une conception large de leur mission culturelle et scientifique. C’est également pour cette raison qu’il est nécessaire de considérer la formation tout au long de la vie et les parcours de réussite atypiques comme des vrais parcours d’excellence contribuant au renouveau  et au dynamisme de notre société.
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgFor higher education open to all routes and all social categories. The controversy recently opened on the "quota" of stock that would accommodate larger schools may be, as most controversial, a wildfire, due to expire soon. As soon as another controversy occupy the minds. And it would be futile especially if she was exhausted in a row of numbers to see that ultimately behind the concept of "equity" hidden social realities very different, depending on the level of award. It would be much more appropriate to link this argument with the discussion launched in the World 1 December 2009, the sociologist Dubet on the trap of "equal opportunities" and "republican meritocracy.". More...
12 janvier 2010

Voeux de Nicolas Sarkozy pour le supérieur et les réactions

http://www.elysee.fr/pictures/home_control/header/headersv7.jpgQuelques extraits:
Le retour aux priorités du savoir, voici l’objectif qui a présidé à la mise en oeuvre de la loi relative aux Libertés et aux Responsabilité des Universités (LRU), entrée en vigueur grâce au travail très remarquable de Valérie PECRESSE. Eh bien les universités françaises sont aujourd’hui autonomes, enfin ! Y a-t-il un seul pays où les universités réussissent sans l’autonomie, sans la liberté de se gouverner, la capacité de se gérer elles-mêmes, pour servir au mieux leurs projets d’enseignement et de recherche ?
Certains redoutaient que les présidents d’université ne disposent d’un pouvoir excessif ; d’autres agitaient la menace d’universités livrées aux intérêts privés ; d’autres enfin prophétisaient que les humanités et les sciences sociales seraient marginalisées...
Les Présidents d’universités et leurs conseils d’administration ont compris tous les avantages que leurs universités pouvaient retirer de cette autonomie : souplesse dans la gestion, liberté de faire des choix mieux adaptés à l’environnement, meilleure réponse aux attentes des étudiants, liberté de créer des emplois, - oui, de créer des emplois, comme ont pu le faire un certain nombre d'universités avisées - , possibilité de mieux rémunérer les personnels scientifiques et administratifs...
Comme l’ont récemment suggéré un certain nombre de responsables universitaires, je trouve par exemple qu’il n’est pas normal que tous les membres des conseils d'administration d’universités autonomes, y compris les personnalités extérieures, ne puissent participer à cet acte décisif qu'est l’élection du président d’université...
Nos universités souffraient d’une indigence constatée par tous, j’ai employé un mot fort mais je le pense, d’une indigence : des bâtiments mal entretenus, des capacités d’accueil insuffisantes, des équipements absents, des bibliothèques trop peu accessibles, et des conditions de vie misérables pour un trop grand nombre d'étudiants...
Jusqu’à présent, en matière de recherche, la France avait cantonné les universités dans un rôle subsidiaire, alors que partout dans le monde, l’Université joue un rôle central pour la recherche et les transferts de technologie vers l'industrie. Ecouter le discours. Texte entier: Voeux 2010 sarkozy.
http://www.vousnousils.fr/img/v2/logo.jpgRéactions
Voici les réactions des syndicats de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur au discours prononcé lundi par le président Nicolas Sarkozy à Gif-sur-Yvette (Essonne) sur l'enseignement et la recherche.
Snesup, syndicat national de l'enseignement supérieur - "Le président de la République, dans un discours auto-satisfait, a vanté les qualités prétendues de sa politique qui conduit, en réalité, à la destruction du service public, des solidarités, de la démocratie et de la collégialité. "Le Snesup dénonce l'entêtement du président de la République qui refuse d'entendre la communauté universitaire et ses revendications". "Le Snesup condamne une conception élitiste privilégiant les classes préparatoires et les grandes écoles comme le seul lieu à même de jouer un rôle d'ascenseur social. Se priver du large vivier créatif formé par les universités illustre la défiance du chef de l'Etat à l'encontre des capacités effectives de l'université"....

http://www.vousnousils.fr/img/v2/logo.jpgLe PS a estimé lundi que Nicolas Sarkozy avait proposé un "exercice d'illusionnisme" dans ses voeux au monde de l'éducation et de la recherche, et a déploré l'écart "stupéfiant entre les déclarations d'intention et les faits". "Abandonnant pour une fois le ton méprisant et insultant avec lequel il s'adresse d'habitude au monde de l'enseignement et de la recherche, il se proclame aujourd'hui le meilleur défenseur de la science et de la diffusion du savoir", écrivent dans un communiqué les secrétaires nationaux PS Bruno Julliard (Education) et Bertrand Monthubert (Enseignement supérieur et Recherche), qui dénoncent "encore un exercice d'illusionnisme". "L'écart est stupéfiant entre les déclarations d'intention et les faits" et "Nicolas Sarkozy a beau jeu de se lamenter sur la faible attractivité des carrières scientifiques, lui qui est à l'origine de 900 suppressions de postes d'enseignants-chercheurs en 2009", poursuivent-ils.
http://www.elysee.fr/pictures/home_control/header/headersv7.jpgAlgunos extractos:
Volver a las prioridades de los conocimientos es el objetivo que supervisó la aplicación de la Ley de Libertad y Responsabilidad de las Universidades (LRU), que entró en vigor por el notable trabajo de Valérie PECRESSE. Bueno, las universidades francesas son ahora autónomas, ¡por fin! ¿Hay un país donde las universidades están operando sin autonomía, sin libertad para gobernarse a sí mismos, la capacidad de gestionar ellos mismos, para servir mejor a sus proyectos educativos y de investigación? Texto completo: Sarkozy votos en 2010.
http://www.vousnousils.fr/img/v2/logo.jpgReacciones
Aquí están las reacciones de los sindicatos de Educación y Educación Superior en el discurso pronunciado el lunes por el presidente Nicolas Sarkozy en Gif-sur-Yvette (Essonne) en la enseñanza y la investigación. SNESup, la Unión Nacional de Educación Superior - "El presidente, en un discurso de auto-satisfecho, alabó las cualidades de su supuesta política que conduce, de hecho, la destrucción de los servicios públicos, la solidaridad de la democracia y la colegialidad. Más información...
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 786 302
Formation Continue du Supérieur
Archives