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Formation Continue du Supérieur
27 janvier 2012

Mission confiée à Salima Saa sur la relance de l'ascenseur social par l'enseignement supérieur

http://histoireuniversites.blog.lemonde.fr/files/2009/04/mesr.1239023715.JPGLaurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a confié à Salima Saa, présidente de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances, une mission sur la relance de l'ascenseur social par l'enseignement supérieur.
Le Ministre a rappelé que pour la grande majorité des étudiants et de leurs familles, l'enseignement supérieur est le moteur de l'ascension sociale. Un diplôme du supérieur reste le sésame pour l'emploi. Un diplômé a trois fois plus de chances de trouver un emploi qu'un non-diplômé. A l'inverse, l'absence de diplôme n'a jamais été aussi pénalisante.
Mais de nombreux signes montrent que le moteur se grippe et que l'ascenseur social ne s'arrête plus à tous les étages.
La massification de l'enseignement supérieur n'a pas nécessairement conduit à sa démocratisation: en France, l'impact de l'origine sociale est le double de celui du Japon ou du Canada. Les diplômés restent en majorité issus des classes supérieures. 41% d'entre eux ont un père qui appartient aux professions intellectuelles, 18% aux professions intermédiaires et 15% aux employés.
La proportion d'enfants d'employés et de catégories intermédiaires a baissé en 10 ans dans l'enseignement supérieur: elle est passée de 28,3% en 2001 à 25,1% en 2010, alors même que cette catégorie s'est renforcée dans l'ensemble de la population
Le Gouvernement s'est engagé dans une politique volontariste pour relancer la dynamique de l'ascenseur social: jamais autant n'aura été investi pour les étudiants, dans toutes les dimensions de leur vie étudiante: bourses, logement, conditions d'études, réussite et insertion professionnelle:
* L'engagement présidentiel du dixième mois de bourse a été tenu: pour la première fois les étudiants ont reçu 10 mois pleins de septembre à juin.
* On compte 25% de boursier de plus par rapport à 2007. C'est la conséquence du relèvement du seuil jusqu'auquel un étudiant est boursier. Pour une famille avec 2 enfants, on est boursier pour des revenus mensuels 3,3 SMIC, alors qu'en 2007, on était boursier pour des revenus mensuels jusqu'à 2 SMIC.
* Un investissement sans précédent dans le logement étudiant: 2011 est la meilleure année depuis le lancement, en 2004, du plan Anciaux. On compte près de 6000 nouveaux logements sociaux pour étudiants, un triplement du nombre de chambres livrées entre 2006 et 2011. Depuis le lancement du plan Anciaux, 25000 nouveaux logements sociaux ont été créés et 42 0000 logements réhabilités
* Développement des formations en alternance dans le supérieur (désormais une formation sur 4 peut être préparée en alternance, contre à peine 1 sur 10 il y a 15 ans)
* Renforcement de l'information sur l'orientation au lycée, avec le dispositif Admission Post Bac
* Fort rattrapage du budget consacré aux étudiants de l'université par rapport à ceux des classes préparatoires: 15000 euros par an à un étudiant en grande école (resté stable) et passage de 6000 euros par an pour un étudiant à l'université à 10000 euros par an
* Développement de dispositifs innovants, comme les Cordées de la Réussite: trois ans après le lancement, les objectifs sont dépassés. Près de 50000 jeunes sont accompagnés chaque année dans plus de 2000 établissements. En septembre, 62 nouvelles Cordées de la réussite ont été labélisé pour l'année 2011-2012 soit 312 cordées au total.
Laurent Wauquiez a déclaré qu'il fallait aller plus loin et renforcer la dynamique d'ascension sociale par l'enseignement supérieur pour les classes moyennes et défavorisées. Le défi est double: promouvoir les meilleurs, sans laisser personne sur le bord du chemin. C'est pourquoi il a confié à Salima Saa, présidente de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE), une mission visant à identifier les freins à l'ascension sociale et proposer des solutions pour la relancer.
En tant que présidente de l'ACSE, Salima Saa a une vraie expertise de terrain et connaît très bien les problématiques de l'égalité des chances. Elle a un parcours exemplaire et un engagement qui lui vient de son implication dans la vie associative autour des questions d'insertion et d'éducation, puis au sein du Conseil à l'intégration.
Elle sera accompagnée de Claude Boichot, inspecteur général de l'Education nationale, correspondant de la médiatrice de Paris et auteur du rapport de 2009 sur les CPGE, et excellent connaisseur de ces questions.
Salima Saa explorera toutes les pistes d'amélioration possibles et procèdera à de nombreuses auditions et déplacements de terrain. Elle remettra ses propositions au Ministre début mars.
http://histoireuniversites.blog.lemonde.fr/files/2009/04/mesr.1239023715.JPG Laurent Wauquiez, minister for højere uddannelse og forskning, fortalte Salima Saa, formand for det nationale agentur for social samhørighed og lige muligheder, en mission for at genoplive den sociale rangstige ved videregående uddannelser.
Ministeren mindede om, at det store flertal af elever og deres familier, de videregående uddannelser er drivkraften for social mobilitet. En videregående uddannelse er nøglen til beskæftigelse. En kandidat har tre gange større sandsynlighed for at finde beskæftigelse end ikke-akademikere.Omvendt har den manglende grad aldrig været så skadelig. Mere...
27 janvier 2012

Hochschulbildung, kostenlos und für alle

http://www.epapercatalog.com/images/zeit-online-epaper.jpgKostenlose Vorlesungen auf Stanfordniveau für ein globales Publikum: Der Professor Sebastian Thrun sagt im Interview, wie er die akademische Bildung demokratisieren will.
ZEIT ONLINE:
Im vergangenen Jahr haben Sie mit Ihrem Kollegen Peter Norvig einen Kurs zu Künstlicher Intelligenz, der eigentlich für Studenten der Stanford Universität gedacht war, auch kostenlos im Internet angeboten. Sie wurden von Interessenten geradezu überrollt. Was genau ist passiert?
Sebastian Thrun:
Wir dachten, es melden sich vielleicht 500 oder 1.000 Menschen zu dem Kurs an. Innerhalb von ein paar Tagen hatten wir 160.000 Anmeldungen aus der ganzen Welt. Das hat uns völlig überwältigt. Dann haben wir angefangen, wie die Irren Videos zu produzieren und einen siebenwöchigen Kurs auf die Beine zu stellen. Jetzt haben wir das Portal Udacity gelauncht und bereiten neue Kurse vor.
ZEIT ONLINE:
Wie läuft solch ein Kurs ab?
Thrun:
Statt eine Vorlesung einfach abzufilmen, stellen wir den Studenten Aufgaben. Sie haben Zeit, nachzudenken und können direkt am Bildschirm die Lösungen eingeben. Wie das Video dann weitergeht, hängt davon ab, ob sie richtig oder falsch geantwortet haben. Wenn sie falsch lagen, erkläre ich ihnen, wie ich zu der Lösung gekommen bin. Die Prüfungen am Ende des Kurses fanden teils sogar im realen Hörsaal statt. In Deutschland konnten Teilnehmer die Prüfungen an drei Unis ablegen – in Freiburg, Berlin und München – und erhielten so einen ganz regulären Schein.
ZEIT ONLINE:
Wie viele von den 160.000 blieben bis zum Ende dabei?
Thrun:
23.000 haben die Abschlussprüfungen erfolgreich absolviert, 240 von ihnen haben dabei keinen einzigen Fehler gemacht. Das Niveau hat mich wirklich erstaunt.
ZEIT ONLINE:
Kostenlose Vorlesungen im Netz sind an sich ja nicht neu. Sie aber wollen die Hochschulbildung revolutionieren. Was haben Sie vor?
Thrun:
Wir wollen mit dem neuen Online-Portal Udacity die Hochschulbildung demokratisieren. Kurse, in deren Genuss sonst nur Studenten an renommierten Hochschulen kommen, sollen für alle Menschen verfügbar werden, völlig unabhängig von Herkunft, Vermögen, Alter, Geschlecht. Den nächsten Kurs wird David Evans von der Universität Virginia halten. Die Teilnehmer können in sieben Wochen lernen, wie man eine Suchmaschine programmiert.
ZEIT ONLINE:
Geht das nicht an den realen Problemen junger Menschen in sehr armen Ländern vorbei? Viele können ja nicht einmal die Schule besuchen.
Thrun:
Es ist klar, dass ein solcher Kurs nicht für jeden einzelnen Menschen auf der Welt der Weg aus der Armut ist. Grundsätzlich aber glaube ich, dass Bildung dazu essenziell wichtig ist. Das kann man gut beobachten an Indien, wo sich die Menschen wirklich nach Bildung sehnen, weil sie wissen, dass sie nur so weiterkommen. Die Fähigkeit zu Programmieren ist eine reale Möglichkeit, sich eine Existenz aufzubauen.
ZEIT ONLINE:
Können Sie sich nach dieser Resonanz noch vorstellen, eine ganz traditionelle Vorlesung in einem gewöhnlichen Hörsaal zu halten?
Thrun:
Ich will jetzt erst einmal viel experimentieren und rausfinden, mit welchen digitalen Methoden man am besten unterrichten und möglichst viele Menschen erreichen kann. Das Konzept der Vorlesung ist schon 1.000 Jahre alt und hat sich nicht sehr verändert. Professoren sammeln ihre Material und stellen es vor. Es gibt unheimlich viele Professoren auf der Welt, und viele sind auch nicht besonders toll in dem, was sie machen.
ZEIT ONLINE:
Wie finanziert sich Udacity?
Thrun:
In den ersten Kurs habe ich aus meinem Privatvermögen 100.000 Dollar investiert. Das klingt erstmal viel, pro Student ist es letztlich nur ein halber Dollar. Im Vergleich zu den Kosten traditioneller Bildung ist das nichts. Wir haben jetzt mehrere Sponsoren. "Viele Professoren sind nicht besonders toll in dem, was sie machen."
ZEIT ONLINE:
Ist das Hauptproblem aus Ihrer Sicht, dass traditionelle Bildung in der Regel eben doch Geld kostet?
Thrun:
Das ist ein riesiges Problem. In den USA haben sehr viele Menschen Schulden durch Bildung, die sie auch nicht mehr loswerden. Das sind dann schnell mal 50.000 Dollar oder mehr. Und in armen Ländern ist das sowieso ein Problem. Würden wir den Kurs für 100 Dollar anbieten, könnten viele nicht teilnehmen, weil sie eben keine 100 Dollar haben. Aber auch Zeit ist ein Problem. Wer Kinder hat oder arbeitet, kann nicht so einfach studieren. Wer Online-Kurse nutzt, muss jedenfalls keinen Parkplatz mehr an der Uni suchen.
ZEIT ONLINE:
Sie arbeiten derzeit bei Google am fahrerlosen Auto, einem Prestigeprojekt. Haben Sie überhaupt noch Zeit, nebenbei eine Bildungsrevolution zu starten?
Thrun:
Ich muss nicht derjenige sein, der die Revolution anführt. Wir arbeiten bei Udacity jetzt mit zehn Leuten aus der Wissenschaft und unzähligen ehrenamtlichen Helfern. Die haben den ersten Kurs schon in 44 Sprachen übersetzt.
Sebastian Thrun
, 44, stammt aus Solingen und studierte Informatik in Hildesheim und Bonn. Nach der Promotion an der Uni Bonn war er von 1995 bis 2003 Professor an der Carnegie Mellon Universität in Pittsburgh/Pennsylvania und von 2003 bis 2011 Professor für Künstliche Intelligenz an der Stanford Universität. Thrun hat Google Street View mitentwickelt und arbeitet derzeit bei Google am fahrerlosen Auto.
23 janvier 2012

L’enseignement supérieur démocratique: y parvenir et le soutenir - Attaining and Sustaining Mass Higher Education

http://www.oecd.org/dataoecd/41/47/48802668.gifConférence générale de l'IMHE 2012: L’enseignement supérieur démocratique: y parvenir et le soutenir. 17-19 septembre 2012, www.oecd.org. La Conférence générale 2012 de l'IMHE aura lieu à Paris les 17-19 septembre 2012. Elle se tiendra au Centre de conférences de l'OCDE, 2 rue André-Pascal, 75016 Paris, France (plan de quartier). Voir également le site Internet au www.oecd.org/centredeconferences.
Partout dans le monde, les politiques de développement locales, nationales et régionales mettent l'accent sur l'importance de l'enseignement supérieur. Pourtant, les taux de participation et d'accès à l’enseignement supérieur, les ressources humaines ainsi que les financements qui y sont affectés varient largement.
Différents choix sont faits sur un large éventail de questions, telles que la sélection, la réglementation et l'assurance qualité, la diversité du système, l'investissement public/privé, et l’articulation entre éducation et recherche. Dans la plupart des pays développés, maintenir le financement public du système d'enseignement supérieur massifié a atteint un point critique, tout comme la question de remplacer un corps académique vieillissant. En même temps, dans de nombreuses économies connaissant une rapide croissance, notamment en Asie, les investissements dans la recherche et l'éducation augmentent à un rythme accéléré. Pour autant ces mêmes pays sont confrontés - tout comme la plupart pays en développement du monde entier - aux grandes questions portant  sur l’accès et la qualité de l’enseignement supérieur, ainsi que le recrutement et la reconnaissance du personnel académique.
La Conférence cherchera à identifier les tendances à long terme et comportera des analyses de politiques nationales et institutionnelles ainsi que des études de cas et présentera les dernières recherches de l'OCDE et ailleurs.
La Conférence générale biennale de l’IMHE est un événement unique qui attire environ 500 participants, composée notamment de décideurs politiques en matière d’enseignement supérieur, d’administrateurs d’établissements et d’experts universitaires. Des intervenants notables et des séances stimulantes permettent aux membres de l’IMHE et aux non membres de partager leurs opinions et leurs idées, de débattre sur des thèmes importants, de discuter des tendances à venir et d’interagir entre eux. Contact: imhe@oecd.org.
http://www.oecd.org/dataoecd/41/47/48802668.gifIMHE General Conference 2012: Attaining and Sustaining Mass Higher Education, Paris, 17-19 September 2012, www.oecd.org/edu/imhe/generalconference.
Around the world, local, national and regional development policies are emphasising the importance of higher education. Yet the level of participation and access, as well as human and financial resourcing, varies widely.
Different choices are being made about a wide range of issues, such as selectivity, regulation and quality assurance, system diversity, public/private investment, and combinations of education and research. In much of the developed world, sustaining public funding for the mass higher education system and replacing an ageing academic population are reaching a critical point. While at the very same time, investments in research and education are booming in many rapidly growing economies, notably in Asia. However, even for these countries, as for much of the rest of the developing world, major questions loom about quality, accessibility and retaining academic capital.
The conference will seek to identify longer-term trends and will include analyses of national and institutional policies, case studies and the latest research from the OECD and elsewhere.
The IMHE biennial General Conference is IMHE's standout event, attracting around 500 participants comprised of higher education policy makers, institutional leaders and academic experts. Notable speakers and stimulating sessions provide an opportunity for members and non-members to share their views and ideas, discuss relevant topics and forthcoming trends, as well as network.
22 janvier 2012

Les écoles d'ingénieurs en appellent aux entreprises

Les EchosPar Isabelle Ficek. A l'approche de la présidentielle, la Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs (CDEFI) lève le voile sur ses propositions pour diversifier le financement de l'enseignement supérieur, et en particulier des écoles, qui forment chaque année 31.000 ingénieurs quand les besoins pour les entreprises en France sont évalués à 40.000. « C'est un défi que nous sommes prêts à relever, mais la question du financement est évidemment cruciale », souligne Christian Lerminiaux, président de la CDEFI. Et ce d'autant que l'Etat, « s'il a favorisé ces dernières années l'enseignement supérieur, trouve ses limites », poursuit-il. Les moyens de fonctionnement 2012 des écoles d'ingénieurs dépendant du ministère de l'Enseignement supérieur n'augmentent en effet que de 0,9% (contre 3,5% l'an dernier) et, a confirmé hier le ministre Laurent Wauquiez, de 1,4%, en comptant la masse salariale. La CDEFI propose d'associer au financement des écoles « ceux qui ont besoin de la ressource ». En clair, les entreprises.

Une des pistes consisterait à faire financer la formation par une entreprise, l'étudiant formé devant ensuite travailler un temps défini pour celle-ci. Un système qui, estime la CDEFI, permet aux entreprises d'avoir des étudiants formés « selon leurs desiderata ». Autre piste, celle d'une augmentation de la taxe d'apprentissage. La hausse des frais d'inscription est aussi une option « si des mécanismes sont mis en place pour les étudiants », les écoles d'ingénieurs ayant augmenté à 24% la part de leurs étudiants boursiers. La CDEFI a imaginé un « chèque mission étudiant », possibilité pour les établissements d'embaucher pour quelques heures les étudiants, avec une exonération des charges sociales. Enfin, la CDEFI plaide pour la diversification des formations et en particulier un développement de la formation tout au long de la vie, source de revenus importante.
Les EchosBy Isabelle Ficek. As we approach the presidential election, the Conference of Directors of French Engineering Schools (CDEFI) unveils its proposals to diversify the financing of higher education, particularly schools, which form each 31,000 years when the need for engineering companies in France are estimated at 40,000. "It's a challenge we are ready to face, but the issue of funding is obviously crucial," said Christian Lerminiaux, president of the CDEFI More...
22 janvier 2012

Enseignement supérieur: ça bouge!

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgPar Olivier Rollot. Longtemps universités et grandes écoles se sont regardées en chiens de faïence. Aujourd'hui, les rapprochements sont nombreux dans le cadre de pôles de recherche et d’enseignement supérieur, notamment au niveau des masters. Mais ce ne sont pas les seuls bouleversements d’un enseignement supérieur en pleine mutation.
Au début il y eut le fameux classement des universités mené par des chercheurs de l’université de Shangaï et le choc de voir les françaises trop souvent reléguées loin des meilleures. Ensuite, il y eut une phase de réflexion avant l’entrée en vigueur de différentes lois portant sur l’autonomie des universités ou maintenant sur le grand emprunt. Aujourd'hui, quel que soit le gouvernement qui sera au pouvoir après mai 2012, l’autonomie des universités semble un fait acquis. Mais certainement à moyens égaux: pour la plupart des candidats l'effort semble aujourd'hui devoir se concentrer vers l'enseignement primaire et secondaire.
Universités et grandes écoles dans le même bain

Qu’il s’agisse de fusions entre les universités, comme à Strasbourg, ou de rapprochements dans le cadre de PRES (pôle de recherche et d’enseignement supérieur), le paysage de l’enseignement supérieur français restera pour longtemps en plein mouvement. Sans qu’on sache encore à quoi ressemblera son organisation dans dix ou vingt ans. Il n’y a pas de modèle unique. La réunion des trois universités strasbourgeoises crée un ensemble de 42 000 étudiants alors que l’université Paris 1 en compte 40 000 à elle toute seule.
L’autre grande question qui agite les esprits est celle du rapprochement entre les universités et les grandes écoles. Quel type d’établissement créer pour faire travailler ensemble des grandes écoles, qui peuvent s’enorgueillir de leur reconnaissance par les professionnels, avec des universités dont le point fort est recherche ? Si le modèle n’existe pas encore, les rapprochements sont de plus en plus nombreux, notamment dans le cadre de masters co-habilités. Le très renommé master mathématiques appliquées et sciences de l’information de l’Ecole Centrale Paris est ainsi co-habilité par… 14 autres établissements dont les universités Paris 5, Dauphine, Evry Val D'Essonne mais aussi l’École Polytechnique. Il est aujourd'hui possible à l’Ecole de management de Grenoble d’obtenir le diplôme de l’ESC en même temps que celui de différentes universités de la région, que ce soit en mathématiques, en histoire, en droit ou, bien sûr, en économie.
Des approches multidisciplinaires

On assiste également à de multiples rapprochements entre écoles de commerce, d’ingénieurs et même de design dans le cadre de masters communs. HEC et l’Ecole des Mines, Centrale et l’Essec, EM Grenoble et Strate College (une école parisienne de design), ESCP Europe et ENSCI (Ecole nationale supérieure de création industrielle), on ne compte plus les accords. Au-delà de la mutualisation des moyens des deux établissements, notamment en matière d’entrepreunariat, un tout nouveau type d’école, baptisé Idea, devrait voir le jour à l’horizon 2014 avec le soutien de l’université Lyon 1. Toute son approche est fondée sur ce qu’on appelle le "design thinking" à Stanford, l’une des toutes grandes universités américaines. Il s’agit de rapprocher tous les profils dans une philosophie d’innovation permanente afin que les entreprises aient demain des cadres dont ce sera l’objectif.
Quand évaluation rime avec recherche

Les accréditations obligent les écoles de commerce à s'aligner sur le modèle académique anglo-saxon dominant qui donne beaucoup de poids àla recherche. Mais il y a école et école, celles qui veulent se battre dans la « cour des grands » comme HEC ou l’EM Lyon, et d’autres qui doivent rester plus modestes. Car qui dit recherche dit publications dans des revues de premier ordre, généralement anglo-saxonnes, qui n’acceptent que les signatures de professeurs reconnus. Résultat, on se bat pour embaucher des « stars » - qui ne sont pas forcément de bons professeurs ! -, et dont le niveau de salaire parfois exorbitant risque de déstabiliser toute une école. Une réflexion qu’a bien en tête la Commission d’évaluation des diplômes et des formations de gestion, notamment en s’interrogeant sur la pertinence des  standards actuels pour mesurer l’adéquation de l’enseignement aux pratiques et aux besoins actuels des entreprises.
Les grandes écoles s’exportent

Le modèle des grandes écoles à la française, parfois si décrié chez nous, s’exporte bien et certaines ont même décidé s’ouvrir des campus à l’étranger, avec des professeurs français et des pays hôtes. C’est le cas de l’Ecole Centrale de Pékin, créée en 2005 et qui a sorti ses premiers diplômés en2011. ALyon, les 450 élèves du cursus grande école de l’Ecole de Management de Lyon passent six mois sur le campus de l’école à Shangaï. Sans aller jusqu’à envoyer tous ses étudiants en Chine, le Skema (Lille, Nice, Paris) y a également ouvert un campus.
Et des exemples comme celui là sont de plus en plus nombreux. Pour la première fois HEC va ouvrir une implantation propre à HEC à l’étranger, au Qatar. Logique quand on sait qu’HEC est considéré comme la meilleure business school européenne par le très respecté Financial Times et son master en management comme l’un des trois meilleurs dans le monde. Logique mais réjouissant quand c’est au nez et à la barbe des grandes business schools américaines…
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpg Od Olivier Rollot. Dlhý univerzít a vysokých škôl sa pozrel Číne psov. V súčasnej dobe existuje mnoho paralel v rámci výskumných centier a vysokých škôl, najmä na magisterské úrovni. Ale to nie sú jediné zmeny, rýchlo sa meniaceho vysokoškolského vzdelávania.
Na začiatku bola slávna univerzita pokusy vykonávané prieskumnými z University v Šanghaji a šoku z pohľadu na francúzsky príliš často obmedzený zďaleka najlepšie.
Potom tam bolo obdobie reflexie pred nadobudnutím platnosti rôznych zákonov o autonómii vysokých škôl sa na veľké pôžičky. V súčasnej dobe, čo vláda je pri moci od mája 2012 autonómiu vysokých škôl sa zdá samozrejmosťou. Ale určite rovnaké spôsobmi: pre väčšinu kandidátov úsilie teraz sa zdá, že zameranie na primárnu a sekundárnu vzdelávanie.
Univerzít a vysokých škôl v rovnakej kúpeli

Či už fúzie medzi vysokými školami, ako v Štrasburgu, či zmierenie v rámci PRES (výskumného centra a vysoké školy), bude krajina francúzskeho vysokého školstva zostáva po dlhú dobu v plnom rozsahu pohybu
. Viac...
21 janvier 2012

Des clés pour gérer vos relations avec l'enseignement supérieur

http://www.amge-jobs.com/wp-content/uploads/2010/06/logoFocusRH.jpgPar Brice Ancelin. Crise ou non, la guerre des talents aura bien lieu. A côté du recrutement ferme, il existe nombre d’actions pour séduire vos futurs talents. Retour sur ces dispositifs avec une semaine dédiée aux relations avec l’enseignement supérieur sur FocusRH.com.
Les entreprises recruteront moins d’apprentis en 2012, selon la dernière étude d’Apprentis d’Auteuil. Les raisons ne sont pas nouvelles. L’étude pointe notamment du doigt une taxe d’apprentissage considérée comme opaque et mal connue des chefs d’entreprise, dont plus d’un tiers ne savent même pas à qui ils la versent. Pourtant, elle se révèle essentielle pour nombre d’établissements. Retrouvez notre article dédié au sujet pour découvrir tout ce qui se cache derrière ce dispositif.
L’apprentissage, mais aussi les contrats de professionnalisation, les stages, l’alternance sont autant de façons d’ouvrir une porte aux jeunes diplômés sur le monde de l’entreprise et de leur offrir une (première) expérience qui servira, le plus souvent, de socle à leur parcours professionnel. Des jeunes diplômés qui développent aussi leurs compétences au sein de leur établissement d’enseignement supérieur. En cours, bien sûr, mais également dans les associations, ou encore grâce à un dispositif qui gagne à être connu: les juniors entreprises.
Enfin, une autre approche des relations avec l’enseignement supérieur et les jeunes diplômés consiste à participer à un certain nombre d’événements, vecteurs de valeurs fortes et qui sont autant d’occasion de séduire vos futurs talents.
http://www.amge-jobs.com/wp-content/uploads/2010/06/logoFocusRH.jpg Af Brice Ancelin. Krise eller ej, vil krigen for talent finde sted. Udover rekrutteringsfirmaet, er der antallet af aktier, til at forføre din fremtidige talenter. Afkast af disse enheder med en uge dedikeret til forbindelser med højere uddannelse på FocusRH.com.
Virksomheder ansætter færre lærlinge i 2012, ifølge den seneste undersøgelse af lærlinge i Auteuil
. Mere...
24 décembre 2011

Eight thoughts on higher education in 2012

http://www.enjeux.org/images/washington_post_logo.jpgBy . Here is an open letter to university administrators by Clayton M. Christensen, Kim B. Clark professor of business administration at Harvard Business School and Henry J. Eyring, advancement vice president at Brigham Young University-Idaho. They are co-authors of “The Innovative University: Changing the DNA of Higher Education from the Inside Out.”
These days it’s perplexing and painful to think about the future of traditional universities. How do we know what’s coming and how quickly it will come? How can we properly prepare for change without sacrificing the university’s best traditions?
In grappling with the uncertainty of the future, it helps to bear in mind four things that, in our heart of hearts, we really know:
1. Many of our current challenges are long-term and will, if anything, become more serious. These include the decline in federal and state support of higher education, the practical ceiling on tuition created by household income levels, and the advent of technology that fundamentally reshapes the teaching and learning processes.
2. The easy-to-make arguments don’t advance our cause. Two of the most tempting of these are the arguments that education is invaluable and that the for-profit sector needs tighter regulation. Policy makers accept these points, and they’re responding accordingly. But their efforts to regulate the for-profits and to preserve higher education funding in the face of health care and pension demands only remind them of the real elephant in the room, the growing per-student cost of higher education.
3. Whether we intend it or not, the university serves scholarship and scholars before students. Students at traditional universities get significant consideration, but it isn’t responding to their needs that makes these institutions expensive relative to for-profit universities and community colleges. The traditional summer break is a leading example of per-student costs being driven up by faculty preference. Another is the time and money spent in research, much of which adds little to the quality of student learning while raising its effective cost. The scholarly view of knowledge, though valuable in its realm, also creates an implicit cost to the majority of students: Because many courses and majors are designed primarily to prepare students for graduate study in the same field, students headed to professional school or directly in the workplace may finish college under-prepared.
4. Defending the status quo is futile, and it’s no fun. Given fiscal realities beyond the control of university administrators, defending the operational status quo means choosing between big, focused cuts or death by a thousand small ones. Trading up to a larger school offers no escape from the grisly task of doing less with less.
The situation in higher education is not without hope. In fact, our hope for 2012 and beyond can be bolstered by four other things we know:
1. The faculty members have good hearts and heads. Few people chose academic life with purely selfish thoughts, and the typical professor is at least as smart as the average corporate denizen. Resisting innovation and time spent with undergraduate students isn’t endemic to the faculty, it’s a natural response to the institutional systems to which they are subject, particularly publication-driven up-or-out tenure. Trapped within those systems and threatened with budget cuts, of course they’ll resist change. But it’s not for lack of inherent goodwill or ingenuity.
2. Young people will always want to go to college. Notwithstanding the power of online learning and social networking, campuses will continue to attract students as unique academic and social gathering places. (To be reminded of this truth, remember how excited we were to get out of the house at age 18 and how deeply interpersonal our most profound college learning experiences were.) Traditional universities might make the mistake of effectively closing their doors through tuition hikes, but there will always be young people who want to get in.
3. Technology and innovation make it possible to grow our way out of financial trouble and organizational resistance to change. In the purely brick-and-mortar, scholarship-driven university model, growing the student body means growing the operating deficit (absent unconscionably large class sizes). However, online learning allows for profitable growth. The financial surplus generated is just one benefit. The other is the growth of the student body, which decreases the need to cut under-enrolled programs and allows others to expand. Growth, with its prospect of new opportunities, fosters openness to innovation and change.
4. The future holds unimagined opportunities. Innovation, especially in the form of new technology, tends to worry even the best-educated and most-skilled workers. In fact, innovation often creates short-term disruption, and that is likely to be true of the innovations coming to higher education. However, the long march of innovation has produced more knowledge workers, not fewer, and it has made their jobs intellectually richer and more financially productive. That will be true of tomorrow’s university professors. Clinging to tradition will worsen individual and institutional disruption, while embracing innovation will hasten a new era of higher education productivity—not only of well-educated degree holders, but of new knowledge.

19 décembre 2011

Ecoles d’ingénieur: priorité à la formation continue

http://le-stand.fr/blog/wp-content/uploads/2011/10/realisation-de-stand-salon-vocatis.jpgPar Yves Rivoal. La formation continue, prochain grand chantier des écoles d’ingénieurs? C’est ce qu’affirme Alexandre Rigal, directeur du cabinet du président de la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI) qui reconnaît que sur ce sujet, tout reste à construire.
Quelle place occupe aujourd’hui la formation continue dans les écoles d’ingénieurs?

- Nous n’en sommes qu’aux prémices car si quelques écoles comme le CNAM ont investi ce champ, on sent bien que la majeure partie des établissements a encore besoin d’un échange de bonnes pratiques pour aborder cette question de la formation continue. Ces dernières années, les écoles d’ingénieurs ont surtout mis l’accent sur l’apprentissage. Le prochain grand chantier sera clairement celui de la formation continue.
Comment expliquez-vous le fait que les écoles d’ingénieurs n’aient pas investi l’univers de la formation continue, alors que les écoles de commerce l’ont fait?
- C’est vrai que les écoles de commerce ont franchi depuis longtemps le pas, mais sur un mode business. Il ne faut pas oublier que les écoles de commerce sont privées alors que 75% des écoles d’ingénieurs sont des établissements publics. Il me semble que ce modèle d’offre de formation continue payante à destination du monde de l’entreprise n’a pas encore été intégré parles acteurs publics. Mais je le répète, les choses évoluent et il y a aujourd’hui une vraie prise de conscience car tout le monde s’accorde à dire qu’il faut y aller. On se rend bien compte que le diplôme obtenu à 23 ou 24 ans dans une école d’ingénieurs ne permet plus de faire carrière dans la même entreprise toute sa vie professionnelle. Aujourd’hui, l’évolution du marché oblige à réactualiser en permanence ses connaissances, voire parfois à apprendre un nouveau métier. Dans ce contexte, il est clair que les écoles d’ingénieurs ont à remplir une mission de service après-vente en direction de leurs anciens diplômés et des entreprises pour les aider à professionnaliser leurs cadres et à répondre aux enjeux économiques. En ce sens, la formation continue doit constituer un moyen de réindustrialiser la France, un enjeu qui figure dans les programmes de tous les candidats à la prochaine élection présidentielle.
Sur quoi pourrait déboucher le train de réflexion engagée par la CDEFI?

- Sans présager des résultats des travaux du groupe de travail, je pense que l’on s’oriente vers une approche de la formation continue à travers les compétences, puisque c’est ce que l’on fait déjà en formation initiale. Ceci étant dit, nous devrons engager une réflexion en termes de méthodes de travail et de pédagogie qui passera probablement par la formation de nos formateurs qui devront enseigner à un public non étudiant, avec des personnes qui n’ont pas les mêmes diplômes, les mêmes parcours...
Un MBA pour ingénieurs? Peut-on imaginer voir apparaître l’équivalent du MBA pour les écoles d’ingénieurs?

- Tous les champs des possibles sont ouverts. Mais plutôt que de créer un diplôme unique, pourquoi ne pas envisager plusieurs parcours car la formation continue doit s’adapter au public auquel elle s’adresse. Une chose est sûre, l’initiative viendra du terrain et ce sont les écoles qui décideront quels types de formation et quels types de diplômes il faudra mettre en place. Et puis, il ne faut pas oublier que la formation continue non diplômante est presque plus importante que la formation continue diplômante pour la mise à niveau des compétences des cadres des entreprises. Dans le même ordre d’idées, nous sommes aussi en train d’explorer la piste de la VAE avec la volonté ferme d’accélérer le mouvement dans les années qui viennent.
http://le-stand.fr/blog/wp-content/uploads/2011/10/realisation-de-stand-salon-vocatis.jpg Yves Rivo. Täiendõppe kõrval suur ala insener koolides? Nii ütleb Alexandre Rigal direktor Vabariigi Presidendi Kantselei konverentsi Direktorite prantsuse ehitus koolid (CDEFI), mis tunnistab antud teemal, kuid veel ehitusjärgus. Velle...
11 décembre 2011

Prioritise higher education for refugees - UN

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifA study commissioned by the United Nations High Commission for Refugees (UNHCR) has stressed the need to prioritise access to higher education for refugees, as a tool to rebuild lives and for post-conflict reconstruction. The report Refugee Education: A global review by the policy development and evaluation service of the UNHCR, published last month, said access to education among refugees was limited and uneven across regions and settings of displacement.
Covering primary, secondary and higher education on a global scale, the study aimed to find ways to improve the UN agency's policy and programming in order to better achieve its mandate to promote refugee education. According to the report, lack of financial resources and their inconsistency as well as a shortage of educational expertise both within UNHCR and among implementing partners, has limited progress on refugee education. One of its recommendations is for more higher education opportunities for refugees, since higher education plays a critical role in advancing both individual refugees and leadership in societies in protracted crises and in post-conflict reconstruction.
"In order for education to be a durable solution for refugees, it said, UNHCR should:
  • Prioritise integrating refugees into national education systems, particularly in urban areas, working closely with education ministries and UNICEF to strengthen national systems for the benefit not only of refugees but also host communities.
  • Seek additional opportunities for higher education for refugees, both scholarships and site-based programmes that use open and distance learning.
  • Invest in sequential training for teachers that cultivates high quality skills.
    Three conceptual approaches that guide the field of refugee education and education in emergencies were presented. The humanitarian approach, which the UNHCR was said to be following, views education as one component of a rapid response, providing protection to children.
    The human rights approach emphasises education as a right to be realised and cultivated through education in any situation, including crises. It further defines education as an 'enabling right', providing "skills that people need to reach their full potential and to exercise their other rights, such as the right to life and health".
    The third is the developmental approach, which takes a long-term view of future relevance, recognises education as a long-term investment for society and says lack of quality education in a crisis holds back development potential, even allowing "backward development". The study said universally, refugees who have completed secondary school voice a desire to attend university.
    "Higher education for refugees is not a luxury. It is important both for individuals and for society in terms of rebuilding lives and fostering leadership in both protracted settings and post-conflict reconstruction," said the report.
    A study of DAFI, the German acronym for the Albert Einstein German Academic Refugee Initiative, a programme for Afghan refugees, demonstrated "a direct link between a refugee programme focused on tertiary education and national reconstruction".
    "The study shows that refugees who had access to higher education moved back earlier in the repatriation process, with 70% taking up work as civil servants or as NGO managers, filling much-needed roles in a society in the process of rebuilding," said the report.
    "Importantly, in 2008 approximately 6% of DAFI students were engaged in teacher training activities, assisting in the creation of a cadre of teachers to assist in rebuilding the education system.
    "Opportunities for higher education for refugees, however, are severely limited."
    UNHCR supports higher education for refugees predominantly through the DAFI programme, which provides scholarships for study at colleges and universities in host countries. Demand for the scholarships far outstrips their availability: UNHCR generally receives between 10 and 30 applications for each available scholarship. It said several higher education programmes for refugees have developed outside of UNHCR, including through the World University Service of Canada and the Windle Trust. More recently there has been growth in higher education opportunities that combine scholarships and distance education.
    "Despite the new initiatives, higher education remains low on the agenda for most donors, perceived as a 'luxury' for an elite few, especially in contexts where access to primary and secondary education is not universal," the report added.
    It said there was little evidence of tangible organisational commitment by UNHCR to guaranteeing the right to quality education for refugee children and young people. For example, the education unit at UNHCR headquarters was said to be shockingly small, with one senior education officer for overall coordination, policy advice and technical support to field offices, and one DAFI education officer to manage the UN agency's main higher education scholarship scheme.
9 décembre 2011

Le Supérieur dans le document de synthèse de la journée de travail dédiée à la RGPP

http://www.budget.gouv.fr/sites/all/themes/budget/img/ministere-budget.pngModernisation de l'Etat : quatre ans après - 29/11/11
Une journée de travail dédiée à la Révision générale des politiques publiques (RGPP) a eu lieu mardi 29 novembre 2011, au ministère du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'Etat. Télécharger le Dossier de synthèse relatif au séminaire RGPP - 29 nov. 2011.
Passages sur le Supérieur

Au total, la quinzaine d’audits opérateurs menés depuis 2009 documentent des gains de près de 450 millions d’euros en dépenses de fonctionnement et d’intervention, et une réduction de 1300 ETP sur l'ensemble de la période 2009-2013.
- Aux universités: en instaurant l’autonomie des universités, la loi du 10 août 2007 leur a offert les libertés et les responsabilités dont elles avaient besoin pour gagner en réactivité et en visibilité, tant à l’international que dans l’environnement socioéconomique actuel. 83 universités françaises seront autonomes d’ici à 2013. Ce passage à l’autonomie s’accompagne d’un engagement financier inédit: les moyens de l'Etat ont augmenté de 9 milliards d'euros de 2007 à 2012 sur les missions Enseignement supérieur et Recherche. p.6
La règle du « 1 sur 2 » est appliquée de manière intelligente et différenciée dans chaque ministère : par exemple, le ministère de la Justice a bénéficié d’emplois supplémentaires alors que le ministère du Budget a plutôt réalisé le « 2 sur 3 », et que presque tous les départs à la retraite ont été remplacés au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche.
http://www.budget.gouv.fr/sites/all/themes/budget/img/ministere-budget.pngRiigi moderniseerimine: neli aastat hiljem - 29/11/11
Tööpäevast pühendatud Üldpoliitika Review (RGPP) toimus teisipäev 29 november, 2011, Department of Eelarve, riigi rahanduse ja riigireformi. Lae fail sünteesi seminar RGPP - 29. november 2011.
Lõigud Superior
- Ülikoolides kehtestades ülikooli autonoomia seaduse 10. august 2007 andis neile vabaduse ja vastutuse, mida nad vajavad, et parandada reageerimiskiirust ja nähtavus, nii rahvusvaheliselt kui ka praeguses sotsiaalmajanduslikule keskkonnale. 83 Prantsuse ülikoolid on autonoomsed 2013. See üleminek iseseisvuse kaasnes enneolematu rahalise kohustuse: tähendab riigi kasvasid 9 miljardi euro 2007-2012 kõrghariduse ja teadustöö missioone. p.6. Velle...
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