Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Formation Continue du Supérieur

7 avril 2013

Jobaviz.fr portail de job étudiant proposé par les CROUS

Jobaviz.fr portail de job étudiant proposé par les CROUS. Site internet proposant des offres d'emploi étudiant partout en France.
Jobaviz propose une recherche d'offres d'emploi par lieu (région, ville) et par domaine:
- aide à domicile
- animation, loisirs, sport
- bureau, administration
- hôtellerie, restauration, collectivités,
- vente, distribution
- aide aux devoirs
- emplois saisonniers
- garde d’enfants
- street marketing, phoning...
Il est possible de recevoir gratuitement les offres d'emploi par mail.
De leur côté, les particuliers, professionnels, une administration ou une association ont la possibilité de déposer gratuitement des annonces en ligne.
Découvrir le site jobaviz. Recherchez dès maintenant votre chambre, votre studio ou votre appartement, en résidence CROUS ou chez un particulier sur le site www.lokaviz.fr.

Jobaviz.fr student job portal proposed by CROUS. Website offering jobs student throughout France.
Jobaviz offers a search for jobs by location (region, city) and field.
Discover jobaviz website.
Search now your room, studio or apartment in CROUS residence or at a particular site www.lokaviz.fr
. More...
7 avril 2013

Le Français Langue d’Intégration (FLI) au regard des politiques linguistiques destinées aux migrants

28 - Le Français Langue d’Intégration, au regard des politiques linguistiques  destinées aux migrantsEclairage n° 28 - Le Français Langue d’Intégration, au regard des politiques linguistiques destinées aux migrants.
Un acronyme nouveau
est apparu depuis plus d'un an dans le paysage de la formation pourtant bien saturé en la matière.
En effet, et pour ne rester que dans le champ linguistique, nous connaissions de longues dates les FLE, FLS, FLP, on s'habituait du FOS et nous voilà devoir composer maintenant avec le FLI.
Si la signification F.L.I. pour Français Langue d'Intégration nous apporte un premier éclairage, un second éclairage apparaît nécessaire, pour mieux le situer dans la longue histoire des formations linguistiques pour migrants.
C'est l'objet de ce nouvel Eclairage.
Fichiers à télécharger: ECLAIRAGE n°28 FLI-Crefor-2013, A1-Loi n°71-575 du 16 juillet 1971, A2-Loi n°2004-391 du 4 mai 2004, A3-Code du travail-Article L6313-1, A4-FLI-Référentiel, A5 Décret n°2011-1266 du 11 octobre 2011, A6-Arrêté du 25 novembre 2011, A7-Arrêté du 4 novembre 2011, A8-FLI Guide OF, A9-Label qualité FLI_OF_Information préalable, A10-Label qualité FLI_OF_Formulaire candidature, A11-Label qualité FLI_OF_DVA, A12-Label qualité FLI_OF_Renouvellement, A13-FLI Guide AUD, A14-Label qualité FLI_GA, A15-Label qualité FLI_Auditeur_Déclaration intention, A16-Label qualité FLI Auditeur Formulaire Recommandation, A17-Label qualité FLI Auditeur DVA.
2.1 Le Cadre européen de référence pour les langues et ses niveaux

2.1.1 Le CECR: un instrument de référence pour la transparence et la cohérence

Le Cadre européen commun de référence pour les langues: apprendre, enseigner, évaluer (CECR), résultat de deux décennies de recherches, est comme son nom l’indique clairement, un cadre de référence. Il a été conçu dans l’objectif de fournir une base transparente, cohérente et aussi exhaustive que possible pour l’élaboration de programmes de langues, de lignes directrices pour les curriculums, de matériels d’enseignement et d’apprentissage, ainsi que pour l’évaluation des compétences en langues étrangères. Il est utilisé en Europe mais aussi en d’autres continents et est disponible en 38 langues.
Six niveaux de compétences en langues étrangères

Le CECR décrit les compétences en langues étrangères à six niveaux: A1 et A2, B1 et B2, C1 et C2. Il définit également trois niveaux intermédiaires (A2+, B1+, B2+). Basé sur une recherche empirique et une large consultation, cette échelle permet de comparer des tests et des examens en différentes langues (voir la section Le CECR et les examens de langues : une série d’outils). Il fournit aussi une base pour la reconnaissance mutuelle de certifications en langues, favorisant ainsi la mobilité éducative et professionnelle.
A1 > Utilisateur élémentaire - niveau initial ou de découverte
A2 > Utilisateur élémentaire - niveau intermédiaire ou usuel
B1 > Utilisateur indépendant - niveau seuil
B2 > Utilisateur indépendant - niveau avancé
C1 > Utilisateur expérimenté - niveau autonome
C2 > Utilisateur expérimenté - niveau maîtrise
La richesse du CECR ne se réduit pas à ses échelles de niveaux de compétences

Les échelles de compétences en langue étrangères du CECR sont complétées par une analyse détaillée des contextes communicatifs, thèmes, tâches et objectifs, ainsi que par des descriptions étalonnées de compétences nécessaires à la communication. Ceci explique en partie pourquoi le CECR est de plus en plus utilisé pour la formation des enseignants, la révision des curriculums de langues étrangères et l’élaboration de matériel pédagogique (concernant ces utilisations du CECR, voir la Synthèse des résultats d’une enquête menée en 2006 au sein des états membres du Conseil de l’Europe).
Le CECR dans des contextes spécifiques

Le CECR ne propose pas des solutions toutes prêtes, il doit toujours être adapté aux besoins de contextes spécifiques comme cela a été fait, par exemple, pour l’enseignement et l’apprentissage du romani et pour la langue des signes française. Il est particulièrement nécessaire d’interpréter et d’adapter soigneusement son système descriptif et ses niveaux de compétences quand il s’agit d'analyser les besoins de communication des migrants adultes et pour orienter l’évaluation de leurs compétences dans la langue du pays d’accueil (voir les études relatives à ce sujet).
2.2 Les diplômes nationaux

Les ministères français de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur proposent une large gamme de certifications en français langue étrangère (diplômes et tests) pour valider les compétences en français, depuis les premiers apprentissages jusqu’aux niveaux les plus avancés.
L’offre est adaptée à tous les âges et tous les publics. Elle est harmonisée sur l’échelle à 6 niveaux du Cadre européen commun de référence pour les langues.
Les diplômes (DILF, DELF, DALF) sont indépendants et sanctionnent la maîtrise des quatre compétences langagières. Ils sont valables sans limitation de durée.
Validées par une équipe de psychométriciens experts en évaluation, ces certifications sont internationalement reconnues et fréquemment utilisées par les ministères étrangers en charge de de l’éducation. Elles sont présentes dans plus de 1 000 centres d’examen répartis dans 164 pays.
DILF - Diplôme initial de langue française Public: grands débutants et nouveaux arrivants en France
DELF - Diplôme d'études en langue française
- DELF tous publics - Diplôme d'études en langue française Public: tous publics
- DELF Prim - Diplôme d'études en langue française Public: enfants (âgés de 8 à 12 ans) scolarisés au niveau de l'enseignement élémentaire
- DELF junior - Diplôme d'études en langue française Public: adolescents dans l'enseignement scolaire
- DELF scolaire - Diplôme d'études en langue française Public: adolescents dans l'enseignement scolaire
- DELF Pro - Diplôme d'études en langue française "option professionnelle" Public: personnes ayant pour objectif une insertion ou une promotion professionnelle en France ou en milieu francophone
DALF - Diplôme approfondi de langue française
Public: adultes en situation universitaire ou professionnelle...
4. L’arrivée du Français langue d’intégration (FLI)
Le concept de « français langue d’intégration » a été initié par la DGLFLF (Délégation Générale à la Langue française et aux Langues de France) et par la DAIC (Direction de l'Accueil, de l'Intégration et de la Citoyenneté) en 2011.
4.1 Présentation du Label
Le concept « Français langue d’intégration » vise à proposer un apprentissage en langue française des adultes immigrés dont le français n’est pas la langue maternelle, non couverte par les dispositifs de formation académique.
Il vise un usage quotidien de la langue française et l’apprentissage des outils d’une bonne insertion dans la société française (y compris la connaissance des usages, des principes et des valeurs de notre société). Le français langue d’intégration correspond à un usage acquis par immersion. Il privilégie la forme orale et la lecture, mais peut concerner l’écriture.
La création du label qualité « Français langue d’intégration » a pour objet, sur cette base, à mieux encadrer l’enseignement du français aux migrants.
Ce label est délivré par l’Etat aux organismes de formation. Il sera attribué pour une période de trois ans sur avis d’une commission comprenant les ministères concernés, la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, le Haut conseil à l’intégration et des experts linguistes, didacticiens et qualiticiens.
La délivrance du label intervient à l’issue d’un audit portant sur:
- l’organisation et la gestion de l’organisme de formation,
- les modalités d’accueil des publics,
- les objectifs et les contenus des formations,
- les compétences des formateurs,
- la capacité à évaluer les niveaux acquis à l’issue des formations.
Peuvent concourir au label les associations, les sociétés de formation et les collectivités.
Un dispositif d’agrément particulier qualifie les associations ne comprenant que des bénévoles.
La labellisation comprend deux niveaux distincts:
- la reconnaissance de la qualité de la formation,
- le droit à certifier des niveaux de langue acceptés par l’administration.
Le label FLI pourra être pris en compte dans les marchés des administrations et des collectivités.
Le label FLI se décline dans le domaine professionnel. Il peut comprendre une démarche d’alphabétisation.
Le label FLI est fondé sur un référentiel publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration.
Il est compatible avec:
- les labels ou certifications de qualité (ISO 29910, NF service, OPQF);
- le label FLE du CIEP;
- ou encore le label européen des langues.
Plusieurs universités (Nanterre, Nancy, Cergy Pontoise, Strasbourg) ont introduit un cursus de recherche et d’enseignement autour de ce nouveau concept, afin de qualifier des formateurs dans la discipline du FLI. Télécharger l'ECLAIRAGE n°28 FLI.
28 - Le Français Langue d’Intégration, au regard des politiques linguistiques  destinées aux migrants Soilsiú # 28 - An Comhtháthú Teanga Fraince, i dtéarmaí polasaithe teanga d'imircigh.
Tá acrainm nua le feiceáil i níos mó ná bliain sa tírdhreach oiliúint fós limistéar an-sáithithe.
Go deimhin, agus chun fanacht i réimse teanga, tá a fhios againn go leor dátaí an FFL, FLS, FLP, FOS accustomed dúinn agus táimid anois ag déileáil leis an FLI.
Má thugann an tábhacht FLI um Chomhtháthú Teanga Fraincis dúinn an chéad solas, is é an dara solas riachtanach chun suidhte níos fearr i stair fhada na hoiliúna teanga d'imircigh. Níos mó...
7 avril 2013

La prise de distance, gage de réussite de la VAE

Carif Oref Midi-Pyrénées "La prise de distance, gage de réussite de la VAE"
Depuis 2006, l'Opca des salariés des professions libérales a mis au point une VAE dont le jury se tient à distance, ce qui lui semble être un des secrets de la réussite de la validation des acquis dans ces branches. Près de 2 200 salariés des professions libérales se sont inscrits dans une démarche de VAE depuis 2006. 80% ont obtenu une certification complète. La démarche a été construite sur trois concepts: suivi individuel, jury à distance et responsabilité de tous les acteurs via l'accès à la plateforme de suivi. L'entretien avec le jury se fait dans un organisme où le candidat est attendu, par téléphone. Selon une enquête, 90% des répondants sont restés dans l'entreprise, 44% ont obtenu une augmentation et/ou des responsabilités nouvelles à la suite de leur démarche de VAE. Principale motivation des candidats: la reconnaissance de leurs compétences professionnelles. La plate-forme d'accès e-VAE compte plus de 400 inscrits. Entreprise et carrières, n° 1134, du 5 au 11.3.13, p. 21.
Portail VAE des professions libérales

La reconnaissance des compétences des salariés: une priorité pour les professions libérales

Cette volonté de reconnaitre les compétences et la qualification des salariés se traduit notamment par le développement et la création de certifications professionnelles (CQP ou Titres).
Depuis 2001, les différentes branches professionnelles des professions libérales déploient, avec le soutien technique de l’OPCA PL, des démarches d’accès à ces certifications par la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Aujourd’hui, elles ont décidé de généraliser à toutes les professions un dispositif innovant d’accompagnement en ligne des candidats à la VAE. Découvrez les certifications accessibles par la VAE. Liste des branches professionnelles.
CARIF Oref Midi-Pyrenees "Taking away a guarantee of success VAE". Since 2006, employees Opca professions developed VAE jury which is at a distance, what appears to be a secret of the success of the validation of these branches. Nearly 2200 employees professions are enrolled in a process of VAE since 2006. 80% achieved full certification. The approach has been built on three concepts: individual monitoring, and remote panel responsibility of all stakeholders through access to the tracking platform. More...
7 avril 2013

Apprentissage partagé entre deux entreprises

Aquitaine Cap MétiersApprentissage partagé entre deux entreprises
Une apprentie en formation d’ingénieur à l’Estia (Ecole supérieure des technologies industrielles avancées) de Bayonne a signé un des premiers contrats d’apprentissage partagé avec deux entreprises. Embauchée par l’entreprise d’aéronautique EADS Sogerma à Rochefort (17), elle effectuera la moitié de son apprentissage chez Echeverria, un sous-traitant d’EADS, implanté à Hendaye (64) et spécialisé dans la mécanique de précision.
Cette possibilité de contrat d’apprentissage partagé a été ouverte par le décret (n°2012-627) du 2 mai 2012 relatif à l'accueil des apprentis dans plusieurs entreprises.
En savoir plus.

Aquitaine Ceirdeanna Cap Foghlaim roinnte idir dhá chuideachta. Oiliúint innealtóir printíseach ag Estia (Coláiste Tionscail Teicneolaíochta chun cinn) Tá Bayonne síníodh conradh chéad dhá chomhlacht foghlaim roinnte. Foghlaim níos mó. Níos mó...
7 avril 2013

L'Enseignement supérieur dans le rapport de l'IGAS, de l'IGEN et de l'IGAENR sur le SPO

http://blog.univ-provence.fr/templates/blog_32/coor-reg/img/header.jpgL’Inspection générale des affaires sociales (IGAS), l’Inspection générale de l’éducation nationale (IGEN) et l'Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR) viennent de rendre un rapport intitulé: Le service public de l’orientation: état des lieux et perspectives dans le cadre de la prochaine réforme de décentralisation. Consulter le Rapport IGAS-IGEN-IGAENR sur le SPO (avril 2013, 428 p).
Quelques passages sur l'Enseignement supérieur
2.1.3. L’enseignement supérieur

La question de l’orientation au moment de l’accès à l’enseignement supérieur a fait l’objet d’un très gros travail au cours des dernières années à la suite des recommandations du rapport Hetzel « De l’université à l’emploi » remis le 24 octobre 2006 (cf. annexe 27). À l’initiative des délégués à l’information et à l’orientation successifs, un dispositif « orientation active » est mis en place et généralisé à compter de la rentrée 2008. Organisé autour du fonctionnement d’Admission Post-bac, il a été précisé par plusieurs circulaires conjointes au MEN et au MESR de manière à mobiliser conjointement les lycées et des différentes structures d’enseignement supérieur pour diffuser une information et assurer un accompagnement pour tous les élèves de classe terminale qui en ont besoin. Une circulaire du 24 juin 2011 a généralisé le conseil d’orientation anticipé dés la classe de première afin d’assurer le continuum le plus souple entre le parcours en lycée et l’enseignement supérieur.
Les établissements d’enseignement supérieur sont dotés de services chargés d’organiser l’accueil, l’orientation et l’insertion professionnelle des étudiants. L’article L. 611-5 du code de l’éducation, introduit par la loi du 10 août 2007, prévoit qu’un bureau d’aide à l’insertion professionnelle des étudiants (BAIP) est créé dans chaque université. Il est notamment chargé d’aider les étudiants dans leur recherche de stages et d’emplois et de les conseiller sur « leurs problématiques liées à l’emploi et à l’insertion professionnelle ».
Par ailleurs, l’article L. 714-1 du code de l’éducation prévoyait déjà que des services communs internes aux universités peuvent être créés dans quatre domaines dont l’accueil, l’information et l’orientation des étudiants. Son application avait donné lieu à un décret du 6 février 1986 relatif aux services communs universitaires et interuniversitaires d’accueil, d’orientation et d’insertion professionnelle des étudiants (SCUIO-IP).
Les modalités de mise en oeuvre de ces textes sont très variables selon les établissements. L’administration centrale du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche (MESR) ne dispose pas d’une information synthétique concernant la situation de ces services. On trouve diverses formes d’organisation, service unique SCUIO-IP, services séparés SCUIO d’une part et BAIP d’autre part mais avec une direction unique, souvent coordonnée par un vice-président, deux services complètement séparés. Ils travaillent selon les cas, avec les Observatoires de la vie étudiante et avec d’autres services de l’université (services de formation continue par exemple). Ainsi, la « Maison de la réussite » de l’université de La Rochelle regroupe-t-elle ces différents services.
Les services communs interuniversitaires dont la création est autorisée par le décret de 1986 sont à ce stade très peu nombreux, sans qu’un chiffre précis puisse être donné en l’instant. Il semble qu’aucun pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) n’ait mis cette compétence dans son champ d’intervention direct.
Quant aux moyens consacrés par les établissements à cette activité, ils ne font pas non plus l’objet d’un recensement précis. Ils sont très variables d’un établissement à l’autre. On estime entre 3 et 15 le nombre des agents affectés à ces services sans lien de proportionnalité avec la taille de l’établissement. Le total, au niveau national serait de l’ordre de 300 agents, pour 80 universités. Selon les cas il peut y avoir un ou plusieurs vice-présidents (VP) concernés: ceux en charge de la vie universitaire (CEVU), de l’orientation, de l’insertion, des relations avec les entreprises…
Les personnels des SCUIO et des BAIP sont pour l’essentiel issus des corps d’ingénieur et technicien de recherche et de formation (ITRF, branche d’activité professionnelle J); le nombre de COP mis à disposition de ces services diminue d’année en année, ainsi que les membres de corps d’enseignants. En raison des contraintes financières, on trouve de plus en plus de personnels contractuels. Le turn over de ce type de personnels nuit à la qualité du service rendu.
La direction du service est le plus souvent assurée par un ingénieur, de plus en plus rarement par un maître de conférences.
La DGESIP envisage de lancer une enquête permettant d’avoir une vision plus précise de la situation de ces services dans les établissements.
L’association « La Courroie » qui rassemble les différentes structures intervenant en ce domaine dans les universités, est également en train de réaliser une enquête car les organisations ont beaucoup bougé et continuent à le faire, à la suite des évolutions institutionnelles récentes.
Les SCUIO et BAIP accomplissent un travail important mais variable selon les académies et selon les établissements, pour l’accès des jeunes à l’enseignement supérieur. Ils participent le plus souvent au comité de coordination académique des formations post-bac, organisent fréquemment des journées d’information pour les Cop et pour les professeurs principaux. Certains ont participé au processus de labellisation SPO.
Ils ont aussi un rôle très important pour l’accompagnement des étudiants pendant leur parcours dans l’enseignement supérieur et notamment les étudiants en situation d’échec nécessitant une aide à la réorientation. Les modules « projet personnel et professionnel » réalisé au cours du premier semestre sont des outils intéressants sur ce plan.
En matière d’insertion, ces services ont permis d’accomplir de réels progrès pour assurer le suivi des étudiants et de leur insertion professionnelle. L’enquête « insertion professionnelle » menée par la DGESIP selon une « charte de la collecte des données sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’université » établie avec la conférence des présidents d’université (CPU) en 2009, permet désormais de renseigner un tableau par domaine et par établissement publié sur le site du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
2.1.7. Enseignement supérieur
Article L. 123-3 du code de l’éducation

Les missions du service public de l'enseignement supérieur sont:
1° La formation initiale et continue;
2° La recherche scientifique et technologique, la diffusion et la valorisation de ses résultats;
3° L'orientation et l'insertion professionnelle;
4° La diffusion de la culture et l'information scientifique et technique;
5° La participation à la construction de l'Espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche;
6° La coopération internationale.
Article L. 123-4 du code de l’éducation

Le service public de l'enseignement supérieur offre des formations à la fois scientifiques, culturelles et professionnelles.
A cet effet, le service public:
1° Accueille les étudiants et concourt à leur orientation;
2° Dispense la formation initiale;
3° Participe à la formation continue;
4° Assure la formation des formateurs.
L'orientation des étudiants comporte une information sur le déroulement des études, sur les débouchés, sur les passages possibles d'une formation à une autre.
La formation continue s'adresse à toutes les personnes engagées ou non dans la vie active. Organisée pour répondre à des besoins individuels ou collectifs, elle inclut l'ouverture aux adultes des cycles d'études de formation initiale, ainsi que l'organisation de formations professionnelles ou à caractère culturel particulières.
Article L. 611-3 du code de l’éducation

Les étudiants élaborent leur projet d'orientation universitaire et professionnelle en fonction de leurs aspirations et de leurs capacités avec l'aide des parents, des enseignants, des personnels d'orientation et des professionnels compétents. Les administrations concernées, les collectivités territoriales, les entreprises et les associations y contribuent.
Article L. 611-5 du code de l’éducation

Un bureau d'aide à l'insertion professionnelle des étudiants est créé dans chaque université par délibération du conseil d'administration après avis du conseil des études et de la vie universitaire. Ce bureau est notamment chargé de diffuser aux étudiants une offre de stages et d'emplois variée et en lien avec les formations proposées par l'université et d'assister les étudiants dans leur recherche de stages et d'un premier emploi. Il conseille les étudiants sur leurs problématiques liées à l'emploi et à l'insertion professionnelle. Le bureau d'aide à l'insertion professionnelle des étudiants présente un rapport annuel au conseil des études et de la vie universitaire sur le nombre et la qualité des stages effectués par les étudiants, ainsi que sur l'insertion professionnelle de ceux-ci dans leur premier emploi.
Article L. 714-1 du code de l’éducation
Des services communs internes aux universités peuvent être créés, dans des conditions fixées par décret, notamment pour assurer:
1° L'organisation des bibliothèques et des centres de documentation;
2° Le développement de la formation permanente;
3° L'accueil, l'information et l'orientation des étudiants;
4° L'exploitation d'activités industrielles et commerciales.
Article L. 714-2 du code de l’éducation

La création, par délibération statutaire, de services communs à plusieurs établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel est décidée par les conseils d'administration.
Des décrets peuvent préciser les modalités de création et de gestion des services communs.
Article L. 344-1 du code de la recherche

Plusieurs établissements ou organismes de recherche ou d'enseignement supérieur et de recherche, publics ou privés, y compris les centres hospitaliers universitaires ainsi que les centres de lutte contre le cancer, et dont au moins un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, peuvent décider de regrouper tout ou partie de leurs activités et de leurs moyens, notamment en matière de recherche, dans un pôle de recherche et d'enseignement supérieur afin de conduire ensemble des projets d'intérêt commun. Ces établissements ou organismes peuvent être français ou européens.
Les pôles de recherche et d'enseignement supérieur sont créés par convention entre les établissements et organismes fondateurs. D'autres partenaires, en particulier des entreprises et des collectivités territoriales ou des associations, peuvent y être associés.
Ces pôles peuvent être dotés de la personnalité morale, notamment sous la forme d'un groupement d'intérêt public, d'un établissement public de coopération scientifique régi par la section 2 ou d'une fondation de coopération scientifique régie par la section 3 du présent chapitre. Consulter le Rapport IGAS-IGEN-IGAENR sur le SPO (avril 2013, 428 p).
http://blog.univ-provence.fr/templates/blog_32/coor-reg/img/header.jpg The General Inspectorate of Social Affairs (IGAS), the General Inspectorate of Education (IGEN) and the Inspectorate General Administration of Education and Research (IGAENR) just to make a report : The public service orientation: current status and perspectives in the context of the forthcoming reform of decentralization. Consult Report IGAS-IGEN-IGAENR the SPO (April 2013, p 428).
Some passages on Higher Education
2.1.3. Higher Education
The question of orientation at the time of access to higher education has been a lot of work in recent years as a result of the recommendations of Hetzel "From university to employment "given October 24, 2006 (see note 27). At the request of delegates to the information and guidance successive an "active guidance" is introduced and generalized from September 2008. More...

7 avril 2013

Rapport de l'IGAS, de l'IGEN et de l'IGAENR sur le SPO

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)L’Inspection générale des affaires sociales (IGAS), l’Inspection générale de l’éducation nationale (IGEN) et l'Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR) viennent de rendre un rapport intitulé: Le service public de l’orientation: état des lieux et perspectives dans le cadre de la prochaine réforme de décentralisation. Consulter le Rapport IGAS-IGEN-IGAENR sur le SPO (avril 2013, 428 p).
La lettre de mission comportait deux objectifs: évaluer la mise en œuvre du service public de l’orientation (SPO), institué par la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle et identifier des pistes de réforme du SPO visant à doter les Régions d’un rôle de chef de file en la matière.
Les rapporteurs précisent que leurs investigations ont porté sur le bilan du service public de l’orientation, sur l’état des lieux des réseaux d’opérateurs qui assurent une fonction d’accueil, d’information, de conseil ou d’accompagnement en orientation, sur les perspectives d’un SPO coordonné sur leur territoire par les Régions et sur les modalités du pilotage d’ensemble sur le plan national.
Selon les auteurs du rapport, le prochain acte de décentralisation devra s’accompagner d’une réforme du service public de l’orientation car jusqu’à présent le contenu du SPO et ses règles d’organisation ont contribué à la confusion. Par ailleurs, les auteurs pointent l’insuccès du service dématérialisé « orientation pour tous »; la plate-forme téléphonique, créée ex nihilo, "est demeurée d’usage confidentiel, dans un paysage marqué par une offre de qualité de l’ONISEP et l’existence de platesformes en région". Au reste Le dispositif de labellisation des organismes censés participer au SPO a rencontré d’importantes difficultés si bien que la labellisation ne concernait, en décembre 2012 que 124 territoires sur une cible de 300 à 400.
Le rapport recommande notamment « de prévoir l’élaboration concertée, au sein du comité de coordination régional de l’emploi, de l’orientation et de la formation professionnelle (CCREFP), puis l’adoption, par la Région, d’un schéma régional de l’orientation tout au long de la vie, articulé avec le contrat de plan régional de développement de l’orientation et des formations professionnelles (CPRDOFP) ».
Au niveau de la gouvernance nationale, le rapport préconise la consultation obligatoire du futur Conseil national de l’emploi, de l’orientation et de la formation professionnelle (CNEOFP) sur la convention cadre entre l’État et le FPSPP, « pour associer indirectement les Régions à la préparation de cet accord », et de confier le secrétariat général du CNEOFP à un groupement d’intérêt public national appelé « Objectif métier ».
Le rapport indique ce GIP, créé pour assurer l'appui technique du CNEOFP sur les questions d'orientation, devrait inclure notamment l'Onisep, le Centre Inffo, le CIDJ, le réseau Inter-Carif-Oref, Pôle emploi et le FPSPP.
Outre l'identification des régions en tant que « chef de file » de la compétence orientation, l'Igas, l'IGAENR et l'Igen considèrent que « les principaux réseaux devront être mobilisés par les régions, non pas dans une logique de concurrence mais de complémentarité et de partenariat. L'offre de service et les compétences disponibles sont multiples, de qualité variée, et devront d'abord être connues, évaluées et reconnues, pour que puisse se construire la coordination et les partenariats indispensables à l'amélioration du service offert aux différents publics. »
Enfin, le rapport fait une large part à l’information sur l’offre disponible de formation, initiale et continue: les bases de données élaborées par les régions ou les CARIF et le projet de base de données nationale (DOKELIO). Consulter le Rapport IGAS-IGEN-IGAENR sur le SPO (avril 2013, 428 p).
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Tá an Chigireacht Ginearálta Gnóthaí Sóisialta (IGAS), an Chigireacht Ginearálta Oideachais (IGEN) agus an tArd-Chigireacht Riarachán Oideachais agus Taighde (IGAENR) ach tuairisc a dhéanamh: An claonadh seirbhíse poiblí: stádas reatha agus peirspictíochtaí i gcomhthéacs an leasaithe atá le teacht le dílárú. An litir rannpháirtíocht Bhí dhá chuspóir: measúnú a dhéanamh ar chur i bhfeidhm treoshuíomh seirbhíse poiblí (spo), a bunaíodh le hAcht an 24 Samhain 2009 maidir le treoshuíomh agus oiliúint agus d'fhéadfadh athchóiriú spo a aithint a chur ar fáil na Réigiún a ról ceannaireachta sa réimse seo. Níos mó...
7 avril 2013

Foro Internacional sobre Modelos de Gestión de Investigación Científica para la Educación Supérior

LogoForo Internacional sobre Modelos de Gestión de Investigación Científica para la Educación Supérior - Primer Encuentro Internacional en America Latina de las redes AUIP, RECLA y RUEPEP - Manta, Ecuador, 24 al 26 de abril de 2013.
Download:
PROGRAMA Foro Internacional sobre Modelos de Gestión de Investigación Científica para la Educación Supérior, Catalina Rodríguez.
Presentación
La educación superior latinoamericana y, en particular, la ecuatoriana, enfrenta serios retos en sus esfuerzos por fomentar, estimular y asegurar la creación, avance, desarrollo, transmisión y crítica de la ci encia, de la técnica y de la cultura, entre otros:
- la formación avanzada para la investigación científica, para la aplicación del conocimiento, para la innovación y para la creación artística,
- la difusión, la valorización, la transferencia de conocimiento y la innovación al servicio del desarrollo económico, social y cultural y
- la difusión del conocimiento y la cultura a través de la educación conti nua y permanente.
Este Foro Internacional se propone abrir un espacio de reflexión sobre modelos exitosos de gestión del conocimiento y de la investigación científica utilizados en otros entornos de educación superio r que, eventualmente, puedan servir como modelos de referencia para fortalecer y consolidar las funciones esenciales de todas las universidades e instituciones de educación superior de nuestro en torno.
Temas centrales del Foro
24 de abril - GESTIÓN UNIVERSITARIA DE LA CIENCIA, LA TECNOLOGÍA Y LA INNOVACIÓN

Conferencia Inaugural: Políticas de Investigación Científica y Tecnológicas del Ecuador, René Ramírez, Secretario Nacional de Educación Superior, Ciencia, Tecnología e Innovación del Ecuador.
Formación de talento humano para la invest igación, Víctor Cruz Cardona, AUIP, España.
Planificación estratégica para la gestión, Javier Medina Vásquez, Universidad del Valle, Colombia.
25 de abril - MODELOS DE GESTIÓN DEL CONOCIMIENTO Y DE LA INVESTIGACIÓN CIENTÍFICA. EXPERIENCIAS NACIONALES
Argentina: Gabriela Fabbro, Universidad Austral
Brasil: María de Fátima Sonati, Universidade Estadual de Campinas
Colombia: Carlos Corredor, Universidad Simón Bolívar
Chile: Juan Zolezzi, Universidad Santiago de Chile (Por confirmar)
Ecuador: Sergio Flores Matías, Escuela Superior Politécnica del Litoral (Por confirmar)
España: Manuel Bethencourt Núñez, Universidad de Cádiz
México: Concepción Barrón, Universidad Nacional Autónoma de México
Perú: Patricia Martínez Uribe, Pontificia Universidad Católica del Perú
26 de abril - PANEL: MODELOS DE GESTIÓN PARA LA DIFUSIÓN DEL CONOCIMIENTO Y DE LA CULTURA

Formación continua y permanente:
- Mónica López Sieben, Secretaria de RUEPEP: "Los estudios de postgrado y la educación continua, herramientas estratégicas para la modernización de las universidades"
- Ana Velazco, Presidenta de RECLA
- Alexandra Bolaños, Secretaria Ejecutiva de RECLA
- Maurizio Betti, Universidad de Bologna, Italia
- Ivo pazzagli, Universidad de Bologna, Italia Comunidades de aprendizaje: redes de conocimiento y de investigación RECLA, REUPEP y AUIP
Inscripción: 50 US$ El pago podrá realizarse directamente en Manta al realizar el registro
Información: Universidad Laica “Eloy Alfaro” de Manabí - posgradouleam@gmail.com Teléfono: +593 05 2622741.
7 avril 2013

The e-journal RUSC: Formal, non-formal and informal education

EucenThe e-journal RUSC marks its 10th anniversary with a dossier on the informalization of education
Information and communication technology (ICT) has led to the creation of new scenarios that go beyond the limits of “formal” and “institutional” education and open new paths towards a more collaborative transmission of knowledge. In this issue, dedicated to the “Informalization of education”, the UOC journal RUSC marks its tenth anniversary and enters a new stage in which it will be jointly published with the University of New England (Australia).
Formal, non-formal and informal education is the main topic of the latest issue of RUSC, Revista de Universidad y Sociedad del Conocimiento, a leading publication in the field of e-learning and the knowledge society. Coordinated by Albert Sangrà, director of the UOC’s eLearn Center, and Steve Wheeler, of the University of Plymouth (United Kingdom), the dossier includes articles by researchers from around the world that examine issues such as collaborative knowledge, open educational resources and teacher training.
Shared knowledge: One example of informal education is knowledge exchange amongst members of a virtual network or physical community. In her article, Josianne Basque, lecturer at a distance-learning university in Quebec, discusses a pioneering experience in academia in which group mentoring sessions were organized amongst academic staff.
Open educational resources: Open educational resources are quality educational resources that are distributed freely on the Internet. The second article in the dossier, by Tony Coughlan and Leigh-Anne Perryman, researchers at the Open University in the United Kingdom, advocates the need to promote the distribution of such resources in professional communities outside academia. Similarly, in his article, Professor Don Olcott of the Higher Colleges of Technology in the United Arab Emirates examines the importance of open resources for the transmission of knowledge and skills in marginal and disadvantaged communities.
Teacher training: In a changing and complex educational context with increasingly porous boundaries, teachers must also engage in continuous training to attain the professional skills they need to navigate new contexts. In his article, José Tejada Fernández (Autonomous University of Barcelona, UAB) proposes a continuous, comprehensive, collaborative, praxis-based model of training.
Other content: The latest issue of RUSC also contains research articles on topics such as e-dossiers for group work, innovation at Latin American universities and the use of hypertext tools in teacher training.
Ten years of RUSC: This issue marks the tenth anniversary of the e-journal RUSC, Revista de Universidad y Sociedad del Conocimiento. The journal was launched to promote and disseminate scientific studies in the field of e-learning in an open, online format. Today RUSC is an established journal, listed in the most important citation indices and scientific databases, including SCOPUS (Elsevier), Educational Research Complete (EBSCO), InRecs, MIAR (ICDS 9,454), Carhus Plus, DOAJ, the Latindex catalogue, Redalyc and e-Revistas (CINDOC-CSIC), among others. This issue is also the first one published under the joint publication agreement signed with the University of New England (UNE) of Australia and DeHub, the UNE’s centre for quality studies in e-learning. Likewise, the UOC’s eLearn Centre is now a member of the journal’s editorial board.
Highlights: The journal currently has nearly 2,000 registered subscribers. In 2012, it received 65,930 hits from 43,530 users. In the same period, 20,008 full-text copies of articles were downloaded (in PDF format).
http://rusc.uoc.edu/ojs/index.php/rusc/.
7 avril 2013

Win a trip to Brussels with OBSERVAL-Net! - "Validation of non-normal and informal learning"

The OBSERVAL-Net project is collecting Case Studies in "Validation of non-normal and informal learning". The best works will have the chance to win the 2013 Validation Prize given to 3 different categories. All the finalists will be invited to Brussels (flights and accommodation covered) to attend the Final OBSERVAL-Net Dissemination Event.

The 2013 Validation awards aims to:
  • Showcase the best VNIL practices
  • Highlight the excellence of existing projects
  • Spread the awareness about VNIL initiatives among professionals in this area
  • Help citizens eager to have their learning outcomes and skills recognised and validated

By highlighting and publishing best practices in the area of VNIL, the Validation Prize contributes to changing society's mentality in the education and employment sectors towards the recognition that learning can also take place outside the formal structures and produce valid learning outcomes.
The 2013 Validation awards focuses on three distinct categories:

  1. The Bottom-Up Approach - the role of grassroots initiatives in supporting VNIL, and strategies towards their mainstreaming
  2. The New Profession - the competence profile required for VNIL professionals
  3. Work-Based Competence Development and Recognition - the implementation of VNIL in the workplace

 

Target group
Trade unions, companies, sectoral/branch organisations, training funds, professional groups or individual workers, NGOs, VET schools, universities, public authorities, institutions of LLL, civil society organisations, social partners, VNIL professionals and researchers are invited to submit their best cases in one or more of the three categories using the Case Study template.
Evaluation Criteria:

  1. Innovation: Points to consider under this criteria concern changes wholly or partly initiated by VNIL in relation to processes or learning/working culture, innovative ways of engaging main actors who become ‘change agents’ or new solutions regarding the embedding of VNIL into legal frameworks or existing structures
  2. Impact: The case studies should provide qualitative and/or quantitative evidence of their impact in terms of results, changes in processes, impact on the organisation, impact on the involved individuals, etc
  3. Sustainability: It will be assessed how the processes and impact of the case studies are sustained and/or how they are integrated into existing structures or processes
  4. Transferability of the case: The elements of the case study that can be an appealing example to possibly other cases and/or the main learning points should be outlined in response to this criterion
  5. European added value: This criterion looks at the overarching value to learning and working within the European area of the case study
  6. Diversity of actors and stakeholders in VNIL: The case study should explain who are the different actors and/or stakeholders involved in the case and their roles and tasks.

Deadline for submission  26 April 2013
Download the Case study template here and send it to observal-net@eucen.eu
You can read more about the Validation Prize dowloading the full leaflet here
What do I win if my case study is selected?

  • Up to three nominees for each of the three categories will have free travel and accommodation in Brussels 15 October 2013, for the Final Event and Award Ceremony
  • Representative award

Why should I participate in the Validation Prize?

  • By presenting your best practices, you are showing appraisal and valuation to your employees and all actors involved in the VNIL best practice
  • The best practices will be showcased in a special section of the Observatory
  • The three nominees for each of the three categories will be officially invited to the Final Award Ceremony at the end of October 2013, and their travel and subsistence costs will be covered
  • Contributing with your case study to the Observatory will be an opportunity to exchange experience and share practices with other VNIL professionals across Europe
  • The winners in each of the three categories will receive a representative award
  • Participation is free, easy and straight-forward.
7 avril 2013

Proposal for a Directive of the European Parliament and of the Council

ERA Portal Austria logoThis proposal for a directive establishes the conditions of entry and residence of third-country nationals for the purpose of research, studies, student exchange, training with or without remuneration, voluntary service and au pairing to the territory of the Member State for a period exceeding three months.
The directive should create more favourable conditions for third-country nationals to access the labour market. It also provides applicants who meet the admission requirements as set out in this proposal, with a long-stay visa or residence permit. The directive should facilitate intra-EU mobility for students and researchers and increases the rights of students to work part-time. It also allows students and researchers, to stay in the territory for a period of 12 months after finalising their research work. Member States are obliged to decide on a visa application or application for a work permit within 60 days. The researcher’s family members can move between Member States together with the researcher to a certain extent.
Download: Proposal for a Directive, Accompanying Working Document I, Accompanying Working Document II.
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 786 302
Formation Continue du Supérieur
Archives