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Formation Continue du Supérieur

19 mars 2014

Bilan d'étape et perspectives 2014 du déploiement des emplois d'avenir dans les Pays de la Loire

3 327 emplois d'avenir ont été signés entre 2012 et 2013 dans les Pays de la Loire. C'est moins que l'objectif fixé pour cette période (83,6 %) et que la moyenne nationale (92,7 %). Dans les contrats signés, le poids du secteur marchand est de 13,7 % (contre 18,4 % en moyenne nationale). 19,6 % des jeunes signataires de ces contrats sont résidents de Zones urbaines prioritaires (ZUS) et 36,9 % étaient sans emploi depuis plus de 12 mois. 54,1 % des signataires sont des jeunes femmes. La majorité des contrats signés sont des CDI ou des CDD de trois ans (54 %) et 84 % des contrats ont une durée hebdomadaire égale à 35 heures. Pour 32 % des cas, les employeurs se sont engagés à une formation qualifiante lors de la signature. Les employeurs sont, pour la part la plus importante, des collectivités territoriales ou des associations (39 % dans les deux cas). Dans 41 % des cas, les contrats sont signés au sein du secteur public et dans 31 % des cas, dans le secteur médico-social. D'ici fin juin 2014, 1 707 nouveaux contrats d'avenir devraient être signés. Le plan d'action pour atteindre les objectifs fixés est détaillé.

Les emplois d'avenir : bilan 2013, perspectives 2014. - Direccte Pays de la Loire. - Nantes : DIRECCTE PAYS DE LA LOIRE, 2014. - 10 p.

19 mars 2014

Bilan du "plan 30 000" et perspectives du "plan 100 000" dans les Pays de la Loire

Depuis août 2013, les Pays de la Loire ont enregistré 1 664 attestations d'inscriptions dans le dispositif "plan 30 000" et 1 347 entrées effectives en formation (4e région en nombre d'inscriptions). Les Pays de la Loire enregistrent un taux plus important que la moyenne de dispositifs collectifs (54,8 % contre 39,9 %). Par ailleurs, une formation sur deux est financée exclusivement par Pôle emploi dans la Région (49,6 % contre 66,8 % en moyenne nationale) ; les formations financées par Pôle emploi étant, en grande majorité des dispositifs individuels (45,8 % pour les Pays de la Loire contre 52,4 % en moyenne française). Les trois quart des personnes inscrites ont un niveau V (75 % en région contre 60 % au niveau national). La production mécanique, les services aux personnes et les échanges de gestion sont les domaines les plus fréquents (respectivement 17,5 %, 19,1 % et 21,3 %). Dans le cadre du "plan 100 000" (qui a pour objectif de faire bénéficier 100 000 demandeurs d'emploi de formations prioritaires), 5 000 demandeurs d'emploi devraient être concernés dans les Pays de la Loire. Pour financer le dispositif, 3 655 598 € sont apportés par l'État et Pôle emploi et 3 500 000 € par la Région des Pays de la Loire (dont 1,5 M€ de cofinancement attendus de Pôle emploi) sur le programme "Je me qualifie". La Région assure également un cofinancement des Préparations opérationnelles à l'emploi (POE) s'inscrivant dans des parcours de formation certifiants.

CCREFP du 28 février 2014 : les formations prioritaires pour l'emploi : bilan du dispositif "plan 30 000 en région des Pays de la Loire, projections 2014 : le plan 100 000. - Comité de coordination régional de l'emploi et de la formation professionnelle des Pays de la Loire. - Nantes : CCREFP, 2014. - 11 p..

19 mars 2014

Bilan du déploiement du contrat de génération dans les Pays de la Loire

Au 31 janvier 2014, 241 accords et 355 plans d'action ont été signés concernant le contrat de génération dans les Pays de la Loire (contre 3 647 accords et 3 661 plans d'actions signés au niveau national). Sur les 1 310 demandes d'aides enregistrées, 1 147 ont été accordées et 25 sont en cours d'examen. Les principaux secteurs concernés sont : les services (29 %), l'industrie (23 %), le commerce (23 %) et la construction (21 %). 82 % des demandes d'aides viennent d'entreprises de moins de 50 salariés. Dans 96 % des cas, les embauches concernent contrats à temps plein. La majorité des jeunes embauchés a entre 22 et 25 ans (57,9 %) et a un niveau IV ou moins (59 %). 57 % des jeunes ayant signé un contrat de génération étaient déjà dans l'entreprise avant la signature du contrat. Quant aux salariés âgés concernés par le contrat de génération, ils sont en majorité des hommes (67 %), de plus de 57 ans (95,8 %) et à temps plein (86,5 %). L'évolution du cadre législatif entourant le contrat de génération, le vivier d'entreprises n'ayant pas encore signé ce type de contrat et la mobilisation des crédits régionaux 2014 sur l'appui-conseil en matière de contrat de génération et de gestion des âges peuvent être considérés comme des leviers potentiels de développement du contrat de génération.

CCREFP du 28 février 2014. Contrat de génération. - Direccte Pays de la Loire. - Nantes : DIRECCTE PAYS DE LA LOIRE, 2014. - 14 p.

19 mars 2014

Écarts de revenus : trois femmes en couple sur quatre gagnent moins que leur conjoint

En 2011, trois femmes actives en couple sur quatre gagnent moins que leur conjoint. Ainsi, en moyenne en 2011, les femmes vivant en couple ont perçu un revenu annuel de 16 700 euros contre 29 000 euros pour leur conjoint, soit 42 % de moins (contre 35 % sur l'ensemble de la population non étudiante de 20 à 59 ans, en couple ou non). La contribution moyenne des femmes au revenu du couple atteint 36 % (contre 33 % en 2002). Dans 23 % des couples elle atteint 40 à 50 % et dans 25 % des couples cette contribution atteint ou dépasse 50 %. Dans 44 % des couples, les deux conjoints travaillent à temps plein (contre 20 % où la femme travaille à temps partiel et l'homme à temps plein et 21 % des cas où seul l'homme occupe un emploi). La présence d'enfant dans le couple va de pair avec des temps partiels plus fréquents pour les femmes. Ainsi, la contribution des femmes au revenu du couple atteint 39 % pour un couple sans enfants contre respectivement 38 % et 36 % quand il y a un ou deux enfants mineurs et enfin 27 % quand il y a 3 enfants ou plus.

Écarts de revenus au sein des couples : trois femmes sur quatre gagnent moins que leur conjoint. - Insee ; MORIN Thomas. - INSEE PREMIERE, 1492, mars 2014. - 4 p...
Consulter le n° 1492 d'Insee première sur le site de l'Insee

19 mars 2014

Des contrats aidés en hausse en 2012 et toujours ciblés sur les publics en difficulté

En 2012, 498 000 conventions de contrats aidés ont été signées dont 446 000 dans le secteur non marchand et 52 000 dans le secteur marchand. 248 000 sont des nouvelles embauches et 220 000 sont des reconductions de contrats. Le nombre de contrats signés a augmenté de 12 % par rapport à 2011 grâce au dynamisme des entrées du secteur non marchand (+ 14 %) tandis que celles du secteur marchand se sont légèrement contractées (- 3 %). Dans la continuité des objectifs fixés en 2011, les contrats aidés conclus en 2012 sont restés ciblés sur les personnes les plus éloignées de l’emploi : les demandeurs d’emploi de longue durée, les allocataires du RSA et, parmi eux, les seniors et les jeunes en difficulté. Les intentions d’accompagnement professionnel et de formation sont toujours plus fréquentes. Les périodes d’immersion chez un autre employeur pour les salariés en CUI-CAE restent quant à elles marginales, malgré les incitations mises en place.

Les contrats d’aide à l’emploi en 2012 : des entrées en hausse et des contrats toujours ciblés sur les publics en difficulté. - BAHU Marlène. - DARES ANALYSES, 021, mars 2014. - 15 p.
Consulter le n° 021 de Dares analyses sur le site du ministère du Travail

19 mars 2014

Dossier de presse du ministère du Travail relatif à la loi sur la formation

Dossier de presse réalisé par le Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social à l'occasion de la promulgation de la loi sur la formation professionnelle, l'emploi et la démocratie sociale le 6 mars 2014. Pour le ministère, la loi introduit 8 principaux changement : la création du Compte personnel de formation (CPF), la simplification du contrat de génération, une dotation plus importante "pour la formation de ceux qui en ont le plus besoin", un renforcement des contrôles par l'État des dépenses d'apprentissage et de formation professionnelle, la réforme de l'apprentissage, la simplification de la collecte des contributions formations, une meilleure représentativité et un financement transparent des organisations syndicales et patronales. Le dossier détaille les apports du texte : ce que va changer la loi en matière de formation professionnelle, les points clés de la réforme, le lien entre formation professionnelle et l'emploi, les modifications apportées à l'apprentissage, à la gouvernance de la formation professionnelle, à la démocratie sociale et enfin, au contrat de génération.

Loi formation professionnelle, emploi et démocratie sociale : dossier de presse. - Ministère Travail Emploi Formation professionnelle Dialogue social. - Paris : MINISTERE TRAVAIL EMPLOI FORMATION PROFESSIONNELLE DIALOGUE SOCIAL, 2014. - 30 p.
Accéder au dossier de presse sur le site du ministère du Travail

19 mars 2014

Lancement de "lejournal.cnrs.fr"

CNRS Le JournalPar Brigitte Perucca, directrice de la communication du CNRS. Avec le lancement de lejournal.cnrs.fr, et conformément à sa mission de diffusion des connaissances, le CNRS sort de sa réserve pour investir l’univers des médias numériques. L’objectif est clairement affiché : partager largement avec les amateurs de science, les professeurs et leurs élèves, les étudiants et tous les citoyens curieux, des contenus que nous destinions jusque-là à la communauté des agents du CNRS, chercheurs, ingénieurs et techniciens, ceux des labos comme ceux des bureaux. Avec ce nouveau site, le CNRS opère une petite révolution pour toucher le plus grand nombre : tous nos contenus, articles, dossiers, billets, vidéos, diaporamas et infographies pourront être lus, vus et commentés sur les réseaux sociaux.

Parce que nous sommes conscients que les recherches sont de plus en plus pointues, que les résultats ont besoin d’être replacés dans un « récit » qui les dépasse et les englobe, CNRS Le journal, dans sa version numérique comme dans le magazine, veut aider à les décrypter. En alerte sur les sciences émergentes, nos journaux entretiendront cette faculté d’émerveillement et cette curiosité qui guident les chercheurs eux-mêmes, en accordant notamment une place prépondérante à l’image.

Les citoyens d’aujourd’hui rejettent un scientisme arrogant, mais ont toujours soif de sciences ouvertes sur le monde, sur les questionnements et sur les controverses. C’est pourquoi CNRS Le journal ne se dérobera pas face aux débats qui divisent : qu’il s’agisse du genre ou des gaz de schiste, la société a besoin d’informations scientifiques fiables. Le CNRS, crédible et non partisan, ambitionne de donner du sens à la science.

19 mars 2014

Le Plan Campus relancé : où en sont les projets ?

Par Laurence Francqueville, Emmanuelle N'haux, Nathalie Moutarde, Jean-Philippe Defawe, Christiane Wanaverbeck, Laurent Miguet, Pascale Braun, Rémy Mario. Lancé début 2008, le modèle du Plan Campus a été heurté par la crise. La signature, le 6 février à Lille, d’un accord avec la Banque européenne d’investissement (BEI), a été l’occasion pour le gouvernement d’annoncer la relance du plan Campus. En quoi consiste-t-elle réellement ? Eléments de réponse et détail, région par région, de l’avancement du programme.
Le plan Campus, lancé début 2008, est financé par les intérêts d’une enveloppe bloquée de 3,7 milliards d’euros. Les 200 millions de revenus générés annuellement devaient permettre, selon un schéma imaginé avant la crise, de lever suffisamment de fonds pour moderniser 10 campus via des partenariats public-privé (PPP), auxquels sont associés ensuite 11 autres, financés par le budget général. Suite...

19 mars 2014

Le déclin de l'université américaine

Par . Ah, les universités américaines… leur prestige, leur rayonnement ! Ah, ces temples à médailles Fields et à Nobel pour lesquels la jeunesse était traditionnellement prête à s'endetter à vie… Vous seriez surpris si on vous disait que les Américains nés en l'an 2000 et après vont tenter d'éviter le passage par cette case qu'on croyait obligatoire ? C'est pourtant ce qui est en train de se tramer de l'autre côté de l'Atlantique. Suite...

19 mars 2014

Orientation : opération séduction des universités !

Par Christel Brigaudeau. Le Salon de l’Etudiant s’ouvre aujourd’hui à Paris. Face à la concurrence des écoles privées, les facs contre-attaquent et séduisent aussi les bons élèves.
Tic-tac, tic-tac. Dans deux semaines se clôturent les inscriptions sur le site Admission post-bac (APB), plate-forme qui regroupe presque toute l’offre de formation des étudiants en France. Les indécis sont nombreux : ils seront environ 200 000 à arpenter ce week-end le Salon de l’Etudiant, qui s’ouvre ce matin à Paris. « Plutôt une classe prépa  ? Plutôt une école privée ? Un BTS ? » se demandent beaucoup de familles. « Et pourquoi pas la fac ? » leur répond le ministère de l’Enseignement supérieur, qui vient de lancer, à grand renfort de vidéos et de sites participatifs, une vaste opération séduction pour l’université. Info ou intox ? Suite...

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