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Formation Continue du Supérieur
27 octobre 2012

Rapport d'activité 2011 - Egide Maee

Tendances
Les opérations confiées par le ministère des Affaires étrangères et européennes en 2011 représentent 71% de l’ensemble de l’activité d’Égide contre 70% en 2010.
Dans un contexte de rigueur budgétaire renouvelée, cette activité enregistre une baisse de 4% pour un volume d’affaires global de 72,4 millions d’euros.
En 2011, seul le nombre des étudiants étrangers enregistre une hausse de 14,6%. A l’inverse, le nombre de stagiaires et chercheurs étrangers diminue de 9,3%, celui des personnalités étrangères invitées enregistre une baisse de 8,6% ainsi que les experts français en mission à l’étranger qui sont en diminution de 11,3%.
A noter que les bénéficiaires restent, dans une forte proportion, originaires des pays du Maghreb et d’Afrique subsaharienne.
LES PROGRAMMES DE MOBILITÉ GÉRÉS PAR ÉGIDE EN 2011

Pour le compte du Département et des SCAC:
• 8 543 boursiers du gouvernement français, dont:
1 046 boursiers Eiffel
464 boursiers africains en formation en Afrique
• L’équivalent de 36 583 mois-bourses
• 56 boursiers français à l’étranger (Lavoisier)
• 4 020 personnalités étrangères invitées en France
• 5 126 experts français en mission à l’étranger
• 4 762 jeunes chercheurs français et étrangers sur les programmes PHC, Cofecub et Era-Net
72,4 millions d’euros sur l’ensemble des actions de mobilité gérées par Égide: un volume de crédits en recul de 4%, comparativement à 2010.
LES ÉTUDIANTS ÉTRANGERS

• 4 587 étudiants étrangers gérés par Égide en 2011 (+14,6%), pour un volume de 34,7 millions d’euros de fonds gérés (+4,2%)
• 27 489 mois-bourses (+4,9%)
Événementiel

Plus de 200 000 euros consacrés à l’organisation:
- du séminaire G8 Afghanistan (IPRF) pour la coopération transfrontalière et régionale dans le domaine des chemins de fer
- de la conférence G20 Développement «des solutions pour un nouveau monde»
- du séminaire Energie de Bichkek pour la Coopération régionale en matière énergétique.
ÉGIDE - Centre français pour l’accueil et les échanges internationaux, 28,rue de la Grange-aux-Belles 75010 PARIS, Tél : 01 40 40 58 58 - mél: contact@egide.asso.fr - site: www.egide.asso.fr. Voir aussi Rapport d'activité 2010 - Association Egide.
Τάσεις
Λειτουργίες ανατεθεί από το Υπουργείο Εξωτερικών και Ευρωπαϊκών Υποθέσεων για το 2011 αντιπροσωπεύουν το 71% του συνόλου των δραστηριοτήτων της Aegis 70% το 2010.

Στο πλαίσιο της ανανεωμένης δημοσιονομικής πειθαρχίας, η δραστηριότητα μειώθηκε κατά 4% για το συνολικό όγκο των δραστηριοτήτων των 72,4 εκατομμυρίων €.

Το 2011, μόνο ο αριθμός των ξένων φοιτητών αυξήθηκε κατά 14,6%.
Αντίθετα, ο αριθμός των φοιτητών και των ακαδημαϊκών μείωση 9,3%, οι ξένοι αξιωματούχοι καλούνται μειώθηκε κατά 8,6% και Γάλλων εμπειρογνωμόνων σε αποστολές στο εξωτερικό είναι κάτω 11,3%.
Σημειώνεται ότι οι δικαιούχοι παραμένουν σε υψηλό ποσοστό από τις χώρες του Μαγκρέμπ και την υποσαχάρια Αφρική
. Περισσότερα...
7 octobre 2012

La Formation Continue dans l'Audit du pilotage et de l'organisation de la fonction formation dans les universités

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/IGAENR/45/0/rapports_209450.79.jpgAudit du pilotage et de l'organisation de la fonction formation dans les universités - Rapport IGAENR n° 2012-085, juillet 2012.
Pour accompagner les universités qui s’interrogent sur la pertinence et sur le coût de leur offre de formation et qui cherchent à la rationaliser, la mission a étudié les processus de définition de la politique de formation, de construction et de mise en œuvre de l’offre de formation dans un échantillon représentatif de la diversité des universités françaises. Dans ce rapport, la mission  met en évidence les progrès accomplis par les universités pour piloter et réguler leur offre de formation et les freins qu’elles rencontrent. Elle analyse les pratiques de quelques universités étrangères afin d’en tirer des enseignements. Pour conclure, la mission formule un ensemble de recommandations; elle souligne particulièrement l’intérêt pour les universités de s’engager dans une démarche "qualité" et la nécessité pour l’État de conduire la logique de l’autonomie à son terme, tout en définissant une stratégie nationale de formation. Rapport de Claudine Peretti, Bernard Bétant, Marc Foucault, Annie Galicher, Jean-Pierre Lacoste, Françoise Monti, Marie-France Ponsot, Thierry Simon. Inspecteurs généraux de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche. Juillet 2012. Télécharger l'Audit: pilotage et organisation de la fonction formation dans les universités.
Passages concernant la Formation Continue

L’autonomie des enseignants-chercheurs et des composantes se marque non seulement au niveau de la construction de l’offre de formation initiale, mais aussi:
– dans l’offre de formation continue,
qui relève le plus souvent de démarches individuelles ou sectorielles, et non d’un service commun qui assume essentiellement des tâches d’ingénierie ou de gestion; p.11
Dans le même temps, les universités commencent à prélever une contribution financière sur les droits d’inscription aux diplômes d’université et les recettes de la formation continue, ou augmentent le prélèvement lorsqu’elles le faisaient déjà, ce qui ne va évidemment pas sans tensions avec certaines composantes pour lesquelles cela peut représenter une source de financement importante. C’est notamment le cas des IAE ou des UFR médicales. p.20
Leurs interrogations ont d’abord porté sur l’équilibre financier des diplômes d’université, ainsi que des formations délocalisées en France et à l’étranger dont elles sont en mesure d’approcher le coût marginal, en raison des spécificités de leurs modes d’organisation. Ce type d’analyse a permis de constater que le coût de la formation continue était en général sous-évalué (rapport de 1 à 3 ou 4) ou que le coût d’une formation délocalisée pouvait être disproportionné par rapport au bénéfice qui en était retiré. À Rennes II, cela a abouti à la programmation d’une hausse des tarifs des formations continues sur cinq ans, à Bordeaux IV à l’élaboration d’une charte des formations délocalisées. p.22-23
- Un usage encore limité des potentialités offertes par les nouvelles technologies

À l’exception du secteur médical dans lequel elle a relevé, à plusieurs reprises, l’utilisation de nouvelles technologies pour faire face à l’afflux des étudiants en première année par suite de la hausse du numerus clausus et de l’ouverture à de nouveaux publics, la mission n’a pas constaté de réflexions abouties sur le moyen d’optimiser l’usage de la ressource enseignante ou d’améliorer la réussite des étudiants par le recours à l’enseignement à distance. Si ce dernier est couramment utilisé en formation continue ou pour des formations ouvertes à l’étranger, il ne semble pas l’être pour l’aide aux étudiants en difficulté en L ou pour résoudre le problème de la baisse des effectifs dans certaines antennes. Même si l’investissement dans la production de supports pédagogiques en ligne est valorisé dans le référentiel des activités des enseignants-chercheurs, la crainte de perdre des étudiants par le recours à ce type de support et l’attachement à l’enseignement en face à face restent encore très forts. p.25
- Des modes de financement qui favorisent la responsabilisation

Genève est une université publique qui reçoit l’essentiel de son financement du canton dans le cadre d’une convention d’objectifs quadriennale. Elle reçoit également des crédits de la confédération et du fonds national pour la recherche, et dispose de ressources propres. Ces ressources sont issues essentiellement de la formation continue, qui est très développée (l’université prélève 7,5% des recettes), et des contrats de recherche, auxquels s’ajoutent les revenus des placements. p.45
Liste des interlocuteurs rencontrés
CPU, Commission Pédagogie et formation continue (en 2010)

M. Loïk Vaillant, président de l’université de Tours
M. Daniel Filâtre, président de l’université Toulouse Le Mirail
M. Francis Godard, président de l’université Marne-la-Vallée. p.60
Annexe 3 - Guide d’audit
2.3.2.5. Quelle est la politique de formation continue?

– qui est à l’initiative des créations de formations?
– quelle est l’organisation financière ? La FC a-t-elle comme mission d’abonder les ressources de l’université?
Obtenir, s’il existe, un bilan quantitatif et qualitatif (en principe, il est réalisé annuellement) p.65
http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/IGAENR/45/0/rapports_209450.79.jpgAudit management and organization of the training function in universities - Report No. 2012-085 IGAENR, July 2012.
To support universities who question the relevance and the cost of their training and are looking to streamline the mission has studied the process of defining policy formation, construction and implementation of the offer training in a representative sample of the diversity of French universities.
In this report, the mission highlights the progress made by universities to control and regulate their training and brakes they encounter. It analyzes the practices of some foreign universities in order to learn. In conclusion, the mission makes a series of recommendations, it emphasizes particular interest for universities to engage in a process "quality" and the need for the state to drive the logic of autonomy to an end, all defining a national training strategy. More...
7 octobre 2012

La Formation Continue dans l'Audit du pilotage et de l'organisation de la fonction formation dans les universités

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/IGAENR/45/0/rapports_209450.79.jpgAudit du pilotage et de l'organisation de la fonction formation dans les universités - Rapport IGAENR n° 2012-085, juillet 2012.
Pour accompagner les universités qui s’interrogent sur la pertinence et sur le coût de leur offre de formation et qui cherchent à la rationaliser, la mission a étudié les processus de définition de la politique de formation, de construction et de mise en œuvre de l’offre de formation dans un échantillon représentatif de la diversité des universités françaises. Dans ce rapport, la mission  met en évidence les progrès accomplis par les universités pour piloter et réguler leur offre de formation et les freins qu’elles rencontrent. Elle analyse les pratiques de quelques universités étrangères afin d’en tirer des enseignements. Pour conclure, la mission formule un ensemble de recommandations; elle souligne particulièrement l’intérêt pour les universités de s’engager dans une démarche "qualité" et la nécessité pour l’État de conduire la logique de l’autonomie à son terme, tout en définissant une stratégie nationale de formation. Rapport de Claudine Peretti, Bernard Bétant, Marc Foucault, Annie Galicher, Jean-Pierre Lacoste, Françoise Monti, Marie-France Ponsot, Thierry Simon. Inspecteurs généraux de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche. Juillet 2012. Télécharger l'Audit: pilotage et organisation de la fonction formation dans les universités.
Passages concernant la Formation Continue

L’autonomie des enseignants-chercheurs et des composantes se marque non seulement au niveau de la construction de l’offre de formation initiale, mais aussi:
– dans l’offre de formation continue,
qui relève le plus souvent de démarches individuelles ou sectorielles, et non d’un service commun qui assume essentiellement des tâches d’ingénierie ou de gestion; p.11
Dans le même temps, les universités commencent à prélever une contribution financière sur les droits d’inscription aux diplômes d’université et les recettes de la formation continue, ou augmentent le prélèvement lorsqu’elles le faisaient déjà, ce qui ne va évidemment pas sans tensions avec certaines composantes pour lesquelles cela peut représenter une source de financement importante. C’est notamment le cas des IAE ou des UFR médicales. p.20
Leurs interrogations ont d’abord porté sur l’équilibre financier des diplômes d’université, ainsi que des formations délocalisées en France et à l’étranger dont elles sont en mesure d’approcher le coût marginal, en raison des spécificités de leurs modes d’organisation. Ce type d’analyse a permis de constater que le coût de la formation continue était en général sous-évalué (rapport de 1 à 3 ou 4) ou que le coût d’une formation délocalisée pouvait être disproportionné par rapport au bénéfice qui en était retiré. À Rennes II, cela a abouti à la programmation d’une hausse des tarifs des formations continues sur cinq ans, à Bordeaux IV à l’élaboration d’une charte des formations délocalisées. p.22-23
- Un usage encore limité des potentialités offertes par les nouvelles technologies

À l’exception du secteur médical dans lequel elle a relevé, à plusieurs reprises, l’utilisation de nouvelles technologies pour faire face à l’afflux des étudiants en première année par suite de la hausse du numerus clausus et de l’ouverture à de nouveaux publics, la mission n’a pas constaté de réflexions abouties sur le moyen d’optimiser l’usage de la ressource enseignante ou d’améliorer la réussite des étudiants par le recours à l’enseignement à distance. Si ce dernier est couramment utilisé en formation continue ou pour des formations ouvertes à l’étranger, il ne semble pas l’être pour l’aide aux étudiants en difficulté en L ou pour résoudre le problème de la baisse des effectifs dans certaines antennes. Même si l’investissement dans la production de supports pédagogiques en ligne est valorisé dans le référentiel des activités des enseignants-chercheurs, la crainte de perdre des étudiants par le recours à ce type de support et l’attachement à l’enseignement en face à face restent encore très forts. p.25
- Des modes de financement qui favorisent la responsabilisation

Genève est une université publique qui reçoit l’essentiel de son financement du canton dans le cadre d’une convention d’objectifs quadriennale. Elle reçoit également des crédits de la confédération et du fonds national pour la recherche, et dispose de ressources propres. Ces ressources sont issues essentiellement de la formation continue, qui est très développée (l’université prélève 7,5% des recettes), et des contrats de recherche, auxquels s’ajoutent les revenus des placements. p.45
Liste des interlocuteurs rencontrés
CPU, Commission Pédagogie et formation continue (en 2010)

M. Loïk Vaillant, président de l’université de Tours
M. Daniel Filâtre, président de l’université Toulouse Le Mirail
M. Francis Godard, président de l’université Marne-la-Vallée. p.60
Annexe 3 - Guide d’audit
2.3.2.5. Quelle est la politique de formation continue?

– qui est à l’initiative des créations de formations?
– quelle est l’organisation financière ? La FC a-t-elle comme mission d’abonder les ressources de l’université?
Obtenir, s’il existe, un bilan quantitatif et qualitatif (en principe, il est réalisé annuellement) p.65
http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/IGAENR/45/0/rapports_209450.79.jpgAudit management and organization of the training function in universities - Report No. 2012-085 IGAENR, July 2012.
To support universities who question the relevance and the cost of their training and are looking to streamline the mission has studied the process of defining policy formation, construction and implementation of the offer training in a representative sample of the diversity of French universities.
In this report, the mission highlights the progress made by universities to control and regulate their training and brakes they encounter. It analyzes the practices of some foreign universities in order to learn. In conclusion, the mission makes a series of recommendations, it emphasizes particular interest for universities to engage in a process "quality" and the need for the state to drive the logic of autonomy to an end, all defining a national training strategy. More...
26 septembre 2012

Rapport d'évaluation de l’Agence nationale de la recherche (ANR)

AERESLe fonctionnement de l’ANR: les processus de programmation, sélection, suivi et bilan
I – Un ensemble de processus conçus avec rigueur, mais trop normalisés

Dès l’origine, et sans rupture entre ses deux statuts successifs, l’ANR a mis en place son mode de fonctionnement autour de trois processus métiers: la programmation, la sélection de projets et le suivi/bilan de programmes. La rigueur avec laquelle ont été conçus ces processus a été reconnue par la certification ISO 9001 (2009 et 2010) et a contribué à les consolider. Toutefois, il en a résulté une certaine rigidité pouvant limiter l’évolution des pratiques, une normalisation excessive, ainsi qu’un surcroît de tâches administratives pour les utilisateurs.
II – Une programmation dynamique, issue d’une large consultation, mais insuffisamment articulée avec certains partenaires

Le processus de programmation est pensé sur une base trisannuelle au rythme de la programmation de l’exercice
budgétaire de l’État.
La première étape consiste en une large consultation qui repose sur trois types d’instances:
- les instances externes: les pôles de compétitivité, la Conférence des présidents d’universités (CPU), les
Alliances3, etc., ainsi que la communauté scientifique via des consultations épistolaires;
- les instances internes qui font appel à des membres extérieurs: les huit comités scientifiques sectoriels (CSS)
prévus dans le décret fondateur, les comités de pilotage ainsi que le conseil de prospective;
- les autres instances internes: les départements.
La seconde étape est celle de la concertation au niveau de l’agence. Elle mobilise d’abord, et principalement,
les CSS dans lesquels les Alliances sont une nouvelle fois représentées, puis les autres instances de l’agence via des
séminaires de programmation. Cette étape a pour objet la rédaction d’une série de fiches décrivant les propositions
de programmes aboutissant à un document de programmation.
Enfin, l’arbitrage, c’est-à-dire le choix des programmes, est soumis pour accord à la tutelle, puis est approuvé par le CA. Les poids des Alliances dans le processus de programmation ne sont pas aussi équilibrés qu’ils y paraissent. Ceci est en partie dû à la différence de fonctionnement des Alliances et notamment au fait qu’elles n’ont pas toutes été mises en place en même temps...
III – Une programmation dont le mécanisme d’allocation budgétaire est plus subi que résultant d’une stratégie propre

Le processus de programmation décrit précédemment ne concerne cependant que la moitié des subventions
distribuées par l’agence. En effet, à la demande du MESR, 50% des crédits d’aide à la recherche sont destinés depuis 2010 à des programmes non thématiques: Chaires d’excellence, Retours post-doctorants, Jeunes chercheuses et jeunes chercheurs, et Blanc qui représente à lui seul environ 80% des financements de ces programmes non thématiques.
Le programme Blanc a pour objet de favoriser une recherche d’excellence et innovante au sein des diverses disciplines scientifiques. De ce fait, la moitié des projets financés par l’agence ne répond pas à une logique de programmation thématique...
IV – Une standardisation du format des projets peut-être excessive

Avec le temps, une certaine forme de standardisation des projets est apparue en termes de durée, d’enveloppes
budgétaires, de nombre de partenaires par projet ou de spectre disciplinaire, provenant autant de l’ANR que des proposants qui se sont adaptés.
L’ANR pourrait manifester un intérêt pour les projets retenus d’une durée autre que celle de trois ans en moyenne:
- projets courts portés par des équipes réduites et visant à explorer une idée novatrice;
- projets longs, la durée de trois ans étant trop courte pour certaines recherches, le temps entre la conception
de certaines expériences et la réalisation des premières mesures pouvant excéder largement cette durée.
Pour les projets de grande envergure, par exemple par leur durée ou leur nombre de partenaires, l’ANR pourrait
expérimenter une étape préalable de soumission simplifiée...
VII – Un système de suivi ineffectif car trop lourd

Le processus de suivi1, qui a pourtant été bien pensé, est en réalité peu appliqué, faute d’une disponibilité suffisante des chargés de mission scientifiques (CMS)2. Cette critique vaut dans une moindre mesure pour l’activité bilan.
Ceci pourrait nuire à terme à la qualité de la programmation qui doit en partie se nourrir des informations collectées. La difficulté est due au fait que la procédure de sélection représente une charge de travail très conséquente pour les CMS, mais aussi probablement à la lourdeur du processus conçu par l’ANR. Il eût été préférable de concevoir des procédures plus simples mais applicables. Les rapports intermédiaires devraient se limiter au renseignement, en ligne, de formulaires permettant de collecter automatiquement les indicateurs les plus utiles pour l’agence (nombre d’étudiants en thèse et post-doctorants impliqués dans le projet, personnels en contrat à durée déterminée (CDD), présentations de résultats dans des colloques, publications, brevets, etc.). Le rapport final pourrait aussi se réduire à un résumé mettant en exergue les publications issues du projet. Afin d’encourager les porteurs de projets à fournir les informations nécessaires au suivi/bilan, l’ANR pourrait demander à ce que toute nouvelle soumission fasse référence à l’exécution des projets antérieurs ayant impliqué le porteur. Elle pourrait aussi revoir la composition du comité d’utilisateurs qui, comme son nom le suggère, devrait regrouper au moins autant d’utilisateurs effectifs que de représentants d’institutions dont les membres bénéficient de subventions de l’ANR, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Pilotage et gestion de l’ANR
IV – Les ressources humaines: une politique à construire

L’internalisation des tâches administratives assurées par les unités supports et les extensions de compétences (PIA) ont nécessité un accroissement rapide des effectifs de l’ANR : près de 100 entrées par an en 2010 et en 2011 mais aussi des départs nombreux, de l’ordre de 32 sorties en 2010 et 53 en 2011. La direction des ressources humaines (DRH) bénéficie, comme les autres services de l’ANR, de personnels de qualité. Elle a mis en place une démarche active de formation du personnel rendue, il est vrai nécessaire, par la spécificité de l’agence, la multiplication de ses activités et le fort taux de renouvellement de ses employés...
V – Une capacité d’autoévaluation à améliorer

Le travail d’autoévaluation demandé par l’AERES est l’occasion pour l’établissement de réaliser un rapport mis à disposition du comité d’experts et a pour but, en y associant le personnel, de faire le point sur sa stratégie, son fonctionnement et les améliorations possibles...
La recherche finalisée et les dispositifs de soutien à la valorisation et aux transferts technologiques
III – Un département partenariats et compétitivité insuffisamment intégré pour jouer pleinement son rôle

Les dispositifs précédemment cités d’aide à la valorisation et aux transferts technologiques sont mis en oeuvre par le département partenariats et compétitivité qui fonctionne de manière transversale avec tous les autres départements.
Toutefois, malgré cette transversalité affichée, le département n’est pas associé explicitement aux processus de programmation, sélection et suivi/bilan des programmes thématiques et non thématiques. L’échange d’informations avec les départements scientifiques reste donc limité, réduisant ainsi sa capacité de détection de projets à fort potentiel de valorisation. Le département fonctionne comme un portail d’entrée pour les entreprises et comme un interlocuteur pour les pôles de compétitivité et les instituts Carnot. Bien que le taux de recherche partenariale dans les programmes thématiques tende à progresser, le nombre total de projets en partenariat a diminué, passant de 399 en 2006 à 269 en 2010, période de la montée en puissance du programme Blanc.
L’ANR acteur récent de l’enseignement supérieur et de la recherche en France
II – Une agence de financement de la recherche qui s’impose malgré des difficultés

Afin d’installer d’emblée sa crédibilité, l’ANR a bénéficié dès 2006 de 695 M€ de fonds spécifiques incluant les fonds déjà existants (FRT, FNS, FCE). La mise en place rapide d’une structure légère a permis de réaliser les premières évaluations, et des financements initiaux significatifs, attribués dans des délais brefs, ont su attirer les chercheurs vers l’ANR...
III – La gestion du PIA : une opération lourde dont l’ANR doit mesurer les conséquences

En 2010, la mise en place d’un emprunt national est confiée à un commissariat général à l’investissement (CGI) placé auprès du premier ministre. Le programme investissements d’avenir qui en découle comprend un volet recherche très important. Sur les 35 Md€ du programme, 21,9 Md€ sont consacrés à la recherche et à l’enseignement supérieur dont 18,9 Md€ pour l’ANR, choisie comme principal opérateur. Par cette décision, le MESR reconnait la qualité de l’organisation et de l’expertise de dossiers scientifiques démontrée par l’ANR. Ce volet recherche comprend trois types d’appels à projets: centres d’excellence, santé biotechnologies, valorisation...
IV – Une agence appréciée de ses homologues au niveau international mais dont l’activité au sein des instances européennes reste à affirmer

Afin d’encourager les collaborations internationales entre chercheurs, l’ANR a, dès sa création, tissé des liens avec des agences de financement étrangères en se focalisant durant les deux premières années sur l’Europe. Ceci se traduit par la prééminence actuelle des coopérations avec les agences européennes – la Chine et le Canada étant néanmoins très présents parmi un nombre important de partenaires. Bien que nouvellement créée, l’ANR a su instaurer un climat de confiance avec les agences ou financeurs étrangers dont les structures et les missions peuvent être différentes (cf. supra I)...
V – Une agence majoritairement reconnue par les communautés scientifiques qui souhaitent néanmoins une simplification des procédures

Bien qu’ayant fait débat à sa création, le financement de la recherche sur projets par l’ANR s’est imposé progressivement en France et est apprécié notamment pour son montant, sa durée supérieure à un an, même si cette durée est discutée dans certains secteurs, et la mise en place d’actions non prises en compte jusqu’alors comme les programmes jeunes chercheuses et chercheurs, chaires d’excellence, retour post-doctorants, etc.
Cependant, à côté de ces points jugés très positifs, il est souvent reproché la lourdeur de la partie administrative des dossiers et le manque d’information des porteurs lorsque leurs projets sont refusés. Sur ce dernier point, l’ANR justifie la non diffusion des rapports externes par le fait que l’évaluation des projets n’a lieu qu’après discussion au sein du comité d’évaluation. Elle devrait néanmoins donner satisfaction aux chercheurs.
Le volet administratif des dossiers, quant à lui, pourrait être allégé en reportant son traitement à l’étape, qui suit la sélection, pendant laquelle l’ANR négocie le contrat avec les établissements de recherche ou les entreprises. Ceci permettrait de réduire la charge de travail des demandeurs et des experts lorsque les renseignements administratifs ne sont pas indispensables.
Impacts globaux
I – Une conscience forte du rôle de l’ANR en attente d’objectivation des données, et des mesures d’impact à relier aux choix stratégiques

L’ANR, à travers sa direction et l’ensemble de son personnel, exprime une conscience forte du rôle qu’elle est appelée à jouer dans l’émergence d’un nouveau paysage de la recherche en France. Cette conscience, qui soude et motive ses membres, apparaît comme un point fort de l’agence. Elle contraste cependant avec la faiblesse de l’objectivation des données soutenant les indicateurs et les mesures d’impact. L’ANR le reconnaît explicitement...
IV – Une communication à intégrer dans les processus

L’impact de l’ANR passe aussi par sa politique de communication. L’équipe de communication de l’agence est composée, depuis septembre 2011, de quatre personnes (une directrice, entourée d’un webmaster et de deux chargés de communication). Plusieurs indicateurs témoignent de la montée en puissance de l’ANR dans différents milieux: augmentation des demandes de la presse et de participation aux colloques ; accroissement des consultations du site web de l’agence: 3,8 millions de pages vues du 14 janvier 2011 au 15 janvier 2012, ce qui représente une augmentation de 25% par rapport à l’exercice précédent (en 2009: 2,9 millions de pages vues). Le document de programmation 2011 a fait l’objet de 80 000 téléchargements et le document 2012 a déjà été téléchargé à 23 000 reprises depuis le 14 novembre 20111. L’ANR est présente, et bien présente.
Conclusion
II – Les points faibles

- Difficulté d’engagement budgétaire pluriannuel de l’ANR du fait de l’absence d’un contrat d’objectifs et de moyens avec l’État.
- Procédure de suivi/bilan insuffisamment développée et articulée entre programmes.
- Politique de communication interne et externe insuffisamment intégrée dans les processus, induisant un manque de transparence dans la mise en oeuvre des procédures
- Politique de ressources humaines peu adaptée aux charges de l’agence.
- Outils informatiques de gestion non encore opérationnels.
- Visibilité de l’ANR insuffisante au niveau européen.

AERES The operation of the NRA: the programming process, selection, monitoring and assessment
I - A set of processes designed with rigor, but too standardized

From the outset, without breaking between the two successive statutes, NAV has established its operation in three processes: programming, project selection and monitoring/assessment programs.
The rigor with which these processes have been designed has been recognized by the ISO 9001 (2009 and 2010) and helped to consolidate. However, this has resulted in some rigidity may limit the evolution of practices, excessive standardization, as well as additional administrative burden for users. More...

21 septembre 2012

La formation dans le Rapport Jeannerot

 

Sénat - Un site au service des citoyensRapport n° 768 (2011-2012) de M. Claude JEANNEROT, fait au nom de la commission des affaires sociales, déposé le 18 septembre 2012. Disponible au format PDF. Tableau comparatif.
Passages sur la formation
Les formations en alternance

Les formations en alternance, apprentissage et contrats de professionnalisation, présentent un réel intérêt pour préparer les jeunes à entrer dans la vie active.
Les jeunes formés en alternance ont de meilleures chances d'accéder à l'emploi durable. L'enquête « Génération » réalisée par le centre d'études et de recherches sur les qualifications (Céreq) en 2010 a montré que les jeunes ayant suivi, par exemple, un BEP en apprentissage dans une spécialité industrielle ont 66% de chances d'accéder rapidement et durablement à l'emploi, contre seulement 31% pour ceux qui l'ont suivi par voie scolaire.
On observe cependant une tendance à l'élévation du niveau de qualification des jeunes qui entrent en apprentissage: en 2010, 34% seulement des entrées en apprentissage ont concerné des jeunes sans qualification, pourcentage en baisse de huit points par rapport à 2005. De même, 11% seulement des entrants en contrats de professionnalisation ont un niveau inférieur au CAP-BEP. Cette évolution peut s'expliquer par le développement des formations en alternance dans l'enseignement supérieur mais aussi par le niveau d'exigence plus élevé des employeurs, qui recrutent par priorité les jeunes les plus qualifiés.
Par ailleurs, l'entrée en formation, même en alternance, n'est pas toujours une solution appropriée pour des jeunes qui ont « décroché » du système scolaire et qui ne souhaitent pas, au moins à court terme, revenir dans un établissement d'enseignement.
La formation

La formation du jeune est une clé de son insertion professionnelle durable: il est indispensable que le jeune acquière des compétences nouvelles pendant la durée de son contrat, sanctionnées éventuellement par la reconnaissance d'un niveau de qualification.
Dès le stade du recrutement, l'employeur devra indiquer quelles actions de formation seront menées au cours de l'exécution du contrat. Le jeune sera, de plus, accompagné par un tuteur qui pourra lui transmettre son savoir-faire. Le versement de l'aide à l'employeur pourra être prolongé pour permettre au jeune d'achever une formation. A l'issue de son contrat, il se verra délivrer une attestation de compétences ou de formation ou pourra s'engager dans une démarche de validation des acquis de l'expérience, s'il en remplit les conditions.
Les acteurs de la formation
Les régions auront une responsabilité particulière du fait de leur compétence en matière de formation professionnelle. L'Etat a déjà engagé des discussions avec l'association des régions de France (ARF) pour déterminer comment l'offre de formation pourra être adaptée aux besoins des jeunes en emploi d'avenir. Les comités de coordination régionaux de l'emploi et de la formation professionnelle (CCREFP) seront le lieu dans lequel la concertation entre les différents acteurs concernés se déroulera.
Lors de son audition, le ministre délégué à la formation professionnelle et à l'apprentissage, Thierry Repentin, a souligné que plusieurs organismes paritaires collecteurs agréés (Opca) seraient associés à la mise en oeuvre des emplois d'avenir. Il a cité l'Agefos-PME, ainsi qu'Uniformation, l'Opca de l'économie sociale, et Unifaf, l'Opca de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif. Le Gouvernement a aussi engagé le dialogue avec les partenaires sociaux pour déterminer comment le fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) pourrait, sur une base volontaire, contribuer au financement d'actions de formation. Le centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) devrait également intervenir au profit des jeunes employés par les collectivités territoriales.
Senate - A site to serve the citizens Report No. 768 (2011-2012) Mr. Claude Jeannerot, on behalf of the Committee on Social Affairs, filed September 18, 2012. Available in PDF format. Comparison Chart.
Passages on training

Alternance training

Alternance training, apprenticeship and training contracts, are of real interest to prepare young people to enter the workforce.

Young formed alternately have a better chance to access sustainable employment.
The survey "Generation" produced by the Center for Studies and Research on Qualifications (Céreq) in 2010 showed that children with follow-up, for example, BEP learning in industrial specialty have a 66% chance of rapid and sustained access to employment, against only 31% for those who followed him through school.
However, there is a tendency to increase the level of qualification of young people entering apprenticeship in 2010, only 34% of entries in learning have involved young people without qualifications, percentage down eight points from 2005.
Similarly, only 11% of incoming training contracts have a lower level in the CAP-BEP. This trend can be explained by the development of sandwich courses in higher education but also by the higher level of demand of employers who recruit young people as a priority the most qualified. More...

 

16 septembre 2012

Un rapport instructif pour les contrats d'avenir

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)À l’heure où le gouvernement s'apprête à mettre en place les "emplois d’avenir", l'étude du CEE auprès d'une cohorte d’anciens bénéficiaires du dispositif emplois jeunes est instructive. L'exploitation de l'enquête Génération 1998 à 10 ans du Céreq montre que ce type de mesure joue son rôle d'accueil des jeunes dans une première expérience professionnelle, comme ce fut le cas au début des années 2000 où le passage par un emploi jeune contribua à la baisse de leur taux de chômage.
A la fin 2008, trois quarts des jeunes ayant bénéficié de ce programme occupaient un CDI. Alors que les premiers effets de la crise apparaissent en France, seuls 12 % des emplois jeunes étaient sans emploi, un taux inférieur à celui des jeunes de la même cohorte qui n’ont pas bénéficié de ce dispositif. Cependant, en bénéficier ne préserve du chômage ou d’un emploi précaire que pendant un certain temps. La trajectoire des anciens "emplois-jeunes" montre également l’importance de la préparation de la sortie du programme lorsqu’il n'y a pas d’intégration chez l’employeur.
Consulter Les effets des emplois jeunes sur les trajectoires professionnelles, Centre d'Etudes de l'Emploi, juillet 2012, 4 p. 
18 août 2012

ACSE - rapport d'activité

http://initiativesjeunes.files.wordpress.com/2012/02/logo-acse1.jpg?w=396Le rapport d'activité 2011
2011 aura été une année d’approfondissement pour le siège de l’Acsé et son réseau territorial. Dans un contexte budgétaire contraint, avec une réduction de près de 20% des crédits d’intervention et la poursuite de la diminution des effectifs du siège, l’Agence a accentué son effort de sélectivité des actions soutenues, tout en préservant ses quatre priorités thématiques: emploi, éducation, prévention de la délinquance et santé. À la recherche d’une efficacité opérationnelle toujours plus grande, elle a encore amélioré le rythme de versement des subventions aux porteurs de projets par rapport à 2010. Enfin, tout en maintenant une exigence de contrôle des actions financées, la répartition territoriale des financements a aussi été rééquilibrée en vue d’un traitement plus équitable des besoins locaux. L’Acsé se préoccupe également du suivi de ses interventions et, de plus en plus, de la mesure de leur impact. Elle a engagé en 2011 un nombre accru d’enquêtes annuelles de suivi très précis des actions financées qui fournit une base de connaissance partagée pour le réseau. L’Agence poursuit aussi une politique active de communication des résultats de ces études sur les dispositifs que l’État lui a confiés.

> télécharger ici le document (pdf).
Message de Salima Saa, Présidente du conseil d’administration de l’Acsé

À mon arrivée à l’Acsé, en février 2011, j’avais souhaité placer mon mandat sous le signe de l’action, du résultat et de la vision à long terme.
Parce que l’action commence sur le terrain, je me suis beaucoup déplacée, tout au long de l’année, pour rencontrer les délégués territoriaux, les élus locaux, mais aussi les associations et leurs bénéficiaires.
Partout, je me suis attachée à mieux faire connaître l’Agence, à valoriser le travail du réseau et à promouvoir les programmes nationaux de l’Acsé – au premier rang desquels le programme de réussite éducative (PRE), qui a démontré sa capacité à venir concrètement en aide à des enfants en difficulté scolaire ou sociale, en proposant des parcours adaptés à leurs besoins. Avec un pilotage national et l’engagement de plus de 10 000 professionnels sur le terrain, le PRE reste un programme emblématique de l’Agence et doit être conforté sur le long terme.
Education : promouvoir la réussite pour tous

L’éducation est une priorité pour l’Acsé depuis sa création. Pour promouvoir l’égalité des chances entre les établissements implantés dans les quartiers de la politique de la ville et le reste des territoires, l’Agence s’appuie principalement sur trois programmes nationaux: le programme de réussite éducative (PRE) pour accompagner les enfants vulnérables et deux mesures phares (internats d’excellence et « Cordées de la réussite ») pour favoriser l’accès aux filières d’excellence. Ces programmes se rejoignent dans une approche de plus en plus ciblée et individualisée et font largement appel à des compétences spécifiques hors du domaine strictement scolaire (social, psychologique ou sanitaire). Le succès de ces mesures repose aussi sur l’implication des familles; dans cet esprit, l’Acsé développe depuis 2011 un programme national de soutien à la parentalité. Télécharger le document.

http://initiativesjeunes.files.wordpress.com/2012/02/logo-acse1.jpg?w=396Activity Report 2011

2011 was a year of deepening the seat of the ACSE and its territorial network. In a budgetary context, with a reduction of almost 20% of appropriations for operations and the continued downsizing of the headquarters, the agency has stepped up its effort selectivity of supported actions, while preserving its four thematic priorities employment, education, crime prevention and health. Looking for an ever greater operational efficiency, it has further enhanced the rate of subsidy payments to project compared to 2010. More...
6 août 2012

Les 1001 Rapports concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités, numéro 4

http://blog.univ-provence.fr/templates/blog_32/coor-reg/img/header.jpgDu 16 août 2011 à aujourd'hui, près de 80 rapports et avis ont été publiés concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités.
Nous sommes toujours bien dans le pays des mille et une feuilles, référence à notre premier article Bienvenue au pays des Mille et Une Feuilles du 22 février 2009.
L'an dernier nous avons fait le point le 16 août 2011 dans l'article Les 1001 Rapports concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités, numéro 3.
L'année précédente, nous avions fait le point le 9 août 2010 dans l'article Les 40 rapports concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités.
C'est sûrement ce dont nous manquons le moins en France.
Nous vous en présentons une petite liste à la Prévert. Certains ont même acquis un nom propre: Assouline, Birraux
, Brindeau, Cherpion-Gille 2, Davy, Jolion 2, Joyandet, Larcher, Perruchot, Pitte, Saa, Schillinger.
L'an dernier, voici les rapports qui avaient acquis un nom propre: Attali 2, Cherpion-Gille, Daoust, Demuynck, Gaillard, Grosperrin, Guégot 2, Jamme, Marini, Rouilleault, Sassier, Villerbu-Vallar,Young. L'année précédente, voici les rapports qui avaient acquis un nom propre: Aghion, Cherpion, Larrouturou, Marx, Morange, Pilliard, Poisson, Van Lerberghe,. En 2008-2009, voici les rapports qui avaient acquis un nom propre: Apparu, Besson, Guégot, Jolion, Schwartz.
Les autres sont moins dégrossis et plaisants. Désolé pour les rapports qui nous auraient fortuitement échappé sans préméditation aucune. Voici ci-dessous la liste des articles consacrés aux différents rapports qui n'ont pas acquis de nom propre, à notre connaissance.
Effets des Pôles de compétitivité?

Blog Educpros de Pierre Dubois. La politique des pôles de compétitivité...

Egal accès des femmes et des hommes aux responsabilités professionnelles et familiales dans le monde du travail

Par Brigitte GRESY, France, Inspection générale des affaires sociales. L’inégal partage des responsabilités familiales...

Enquêtes, études et rapports sur le site de la CPU

Année en cours De la culture à l'Université 128 propositions. Par la commission Culture et Université présidée par Emmanuel Ethis...

ACA Annual Report 2011 available online

ACA is pleased to announce that its 2011 Annual Report has just become available for download on the ACA website...

Le rapport d'activité 2011 de l'AMUE

L’Agence publie son rapport d’activité pour l’année 2011...

Rapport annuel 2011 du Défenseur des droits

Remise du rapport annuel 2011 Notre institution vient de célébrer son premier anniversaire...

Les collectivités territoriales et l'emploi - bilan d'un engagement

Rapport d'information de Mme Patricia SCHILLINGER, fait au nom de la délégation aux collectivités territoriales...

Entrée en master - un système « opaque » selon la médiatrice de l’Education

Par Olivier Rollot . En intitulant une partie entière de son rapport 2011 « Vers un véritable cycle du Master » , la médiatrice de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur, Monique Sassier...

Rapport sur le métier d'enseignant - Une formation en deshérence

Rapport d'information fait au nom de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication par la mission d'information sur le métier d'enseignantAlors...

L'assurance maladie et les étudiants

Étude de législation comparée n° 224 - mai 2012. Cette note a été réalisée à la demande de Mme Annie DAVID...

RRGB de la MIRES - Sous-exécution d’environ 200 M€ des crédits de masse salariale

Les rapports "Résultats et gestion budgétaire" (RRGB). La Cour des comptes...

Le seul rapport qui plébiscite la mastérisation

Par Aurélie Collas. Qui eût cru qu’il y aurait, un jour, un rapport élogieux sur la réforme de la formation des enseignants...

Les universités très impliquées dans le dispositif de VAE - Une pratique du jury très satisfaisante et à diffuser - Rapport de l'IGAENR

Rapport n° 2011-125 - Le fonctionnement des jurys de validation des acquis de l’expérience VAE - IGAENR...

Evaluation de la mise en oeuvre des Direccte

Créées par le décret n°2009-1377 du 10 novembre 2009 dans le cadre de la réorganisation de l'administration territoriale de l'Etat, les Direccte...

La formation continue dans l'enseignement supérieur

La formation continue dans l'enseignement supérieur - Note d'information - N° 12.07 - mai 2012...

Propositions de l’Institut Montaigne pour encourager la mobilité professionnelle

Dans une étude publiée le 2 mai, l’Institut Montaigne formule des propositions pour encourager les mobilités professionnelles et améliorer le fonctionnement...

La Formation Continue dans L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°5 - décembre 2011)

L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français...

Le poids des normes dites masculines sur la vie professionnelle et personnelle d'hommes du monde de l'entreprise

Rapport: le poids des normes dites masculines sur la vie professionnelle et personnelle d'hommes du monde de l'entreprise...

La gestion des âges dans la fonction publique

Pascal Brindeau, député du Loir-et-Cher, a remis au ministre de la fonction publique, le rapport relatif à la gestion des âges de la vie dans la fonction publique...

Etude des mécanismes internes d'allocation des moyens en crédits et en emplois dans les universités

L' IGAENR (Inspection Générale de l'Administration de l'Education Nationale et de la Recherche) remet chaque année aux ministres cent à cent vingt rapports ...

Rapport « Informer et orienter « vert » et Certifier les compétences « vertes »

« Informer et orienter « vert » et Certifier les compétences « vertes »...

La formation à l’entrepreneuriat en Europe

La plupart des pays européens encouragent de plus en plus la formation à l’entrepreneuriat...

Certifier les compétences vertes - un rapport du CNCP et du service public de l’orientation La Commission nationale de la certification professionnelle (CNCP) et la Délégation à l’information et à l’orientation (DIO) ont remis, début avril 2012, au ministre de l’écologie, un rapport intitulé...
Rapport Davy - big-bang de la formation professionnelle ou big-bang dans le tête du rapporteur

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques . Après un délai de 10 jours pour le moins surprenant entre la publication d’un résumé...

Remise du rapport Davy "Sécuriser les parcours professionnels par la création d’un compte social universel"

Référence: Le marché du travail a fortement évolué ces quarante dernières années dans notre pays...

Le Rapport Larcher sur la formation professionnelle - Des propositions utiles à mi-chemin

L’Association des Régions de France (ARF) se félicite que le rapport Larcher...

AFPA - le rapport Larcher désavoue la pratique gouvernementale de transformation en organisme concurentiel

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques . Nous avons rendu compte des grandes lignes du Rapport Larcher...

Le rapport de Gérard Larcher sur la formation professionnelle a été remis

Prenant en compte les objectifs de sa lettre de mission, Gérard Larcher, dans son rapport...

Rapport Larcher - « Le droit à la promotion sociale est en panne»

Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. Le rapport sur la formation professionnelle....

Les propositions de Gérard Larcher pour la formation professionnelle

Par Raphaëlle Pienne. L'ancien président du Sénat Gérard Larcher a remis, jeudi 6 avril, à Nicolas Sarkozy son rapport sur la formation professionnelle. Le document, disponible sur le site de l'Elysée, développe 26 propositions visant...

Emploi: le rapport Davy préconise un big bang

Missionné en décembre dernier par le ministre du Travail, Xavier Bertrand, l’ex-patron d’Adecco, François Davy...

Où peut-on trouver le Rapport Davy

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques . Il devait être rendu fin février à Xavier Bertrand...

La formation dans le rapport "Dynamiques, interdépendance et cohésion des territoires"

Le rapport de l’Observatoire des territoires, établi par la DATAR, intitulé « Dynamiques, interdépendance et cohésion des territoires »...

Le rapport Larcher

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques . Le rapport Larcher: une critique de l’action du quinquennat...

Rapport LARCHER sur la formation

Le président de la République avait demandé un rapport sur la situation professionnelle en France au sénateur et ancien ministre du travail LarcherCette situation semble...

Les 26 Propositions du rapport Larcher

LES 26 PROPOSITIONS DU « RAPPORT LARCHER »...

Rapport d'activité 2011 de l'ESEN

L'École supérieure de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche est chargée de la conception, du pilotage et de la mise en œuvre de la formation des personnels d'encadrement pédagogiques et administratifs, des...

Alors, il vient ce rapport Larcher sur la nième réforme de la formation professionnelle

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques . Le 18 janvier le Président de la République...

La Formation continue dans le rapport « Développement durable, la révolution des nouveaux indicateurs »

« Développement durable, la révolution des nouveaux indicateurs » est le titre du dernier rapport...

Remise du rapport de Salima Saa sur la relance de l'ascenseur social par l'enseignement supérieur

Salima Saa, présidente de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE)...

Remise du rapport sur l'ouverture sociale dans l'enseignement supérieur par Salima Saa, présidente de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE)

Agenda de Laurent Wauquiez. Mardi 20 mars 2012, 16h30. Déplacement au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)...

Enseignement supérieur – Un secteur stratégique en voie de mutation

Enseignement supérieur – Un secteur stratégique en voie de mutation...

Rapport Cherpion-Gille sur la mise en oeuvre de l'alternance et la sécurisation des parcours professionnels

Six articles de la loi du 28 juillet 2011 sur le développement de l'alternance et de la sécurisation des parcours pleinement appliqués...

Trop de fonctionnaires seniors au placard

Propos recueillis par Sylvain Henry . Le député Nouveau Centre Pascal Brindeau...

Argent des syndicats - le rapport Perruchot est en ligne

L’hebdomadaire Le Point a publié ce matin le rapport interdit du député  Nicolas Perruchot sur le financement des syndicats...

Réussite en licence et formation initiale et le recrutement des enseignants dans le rapport de la Cour des Comptes

M. Didier Migaud, Premier président de la Cour des comptes, M. Jean-Marie Bertrand, rapporteur général et les présidents de chambre, ont présenté le Rapport public annuel 2012...

L'enseignement supérieur dans le Rapport annuel sur l'application des lois

Le rapport de M. David ASSOULINE, fait au nom de la Commission pour le contrôle de l'application des lois n° 323 (2011-2012)...

Forte augmentation de la part des diplômés de l’enseignement supérieur parmi les bénéficiaires de contrats de professionnalisation

Une forte augmentation de la part des diplômés de l’enseignement supérieur parmi les bénéficiaires de contrats de professionnalisation...

Les revenus de remplacement versés aux seniors sans emploi

La Cour des comptes publie un rapport sur les revenus de remplacement des seniors sans emploi ...

Rapport annuel sur l'état de la fonction publique

La version définitive du rapport annuel sur l'état de la fonction publique 2010-2011 est en ligne...

Remise du rapport 2011 du Comité de suivi de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités

Le Comité de suivi de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) a publié son rapport 2011...

Un nouveau rapport sur l’emploi des jeunes

Patrick-Alain JOYANDET, ancien ministre, député de Haute-Saône, vient de remettre au Président de la République un rapport intitulé “ L’emploi des jeunes, grande cause nationale“...

Évaluation de l'impact du crédit d'impôt recherche

Rapport rendu par Benoît Mulkay et Jacques Mairesse au MESR...

Rapport d'enquête sur l'étudiant Vice-président d'établissement d'enseignement supérieur

La CEVPU publie son rapport d'enquête sur l'étudiant Vice-président d'établissement d'enseignement supérieur Depuis la généralisation du statut de Vice-président étudiants à travers la loi LRU du 10 août 2007, ce...

L'enseignement et la formation à l'horizon 2025

Futuribles International a réalisé en 2011 une étude prospective sur les systèmes d’enseignement et de formation en France à l’horizon de 15 ans ...

Une multiplication de rapports: à quoi bon si les décideurs n’en tiennent aucun compte?

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. Alors que la fin de l’année approche les rapports tombent en cascade, au point que nous qui nous efforçons dans ce blog de rendre compte de ceux-ci, dans notre domiane de...

40 ans de formation professionnelle: bilan et perspectives

Le comité social et environnemental vient de publier un avis sur le thème de la formation professionnelle...

Les députés UMP renoncent à la suppression du concours d’enseignant

Par Sylvain Henry . Retoquées en juillet dernier, les propositions de la mission parlementaire chargée de réfléchir à la formation des enseignants sont enfin rendues publiques. La fin du concours ne figure plus...

L'Enseignement supérieur sur le site des CESER de France

Le site des CESER archive les documents validés ou examinés par les différents CESER de France. Nous proposons la sélection des rapports concernant l'Enseignement supérieur...

L'état de l'École: 30 indicateurs sur le système éducatif français

Déclinée en 30 indicateurs statistiques, cette vingt-et-unième édition de L’état de l’École...

La France bonne dernière pour l'Academic autonomy et le Staffing autonomy dans "l'Autonomy Scorecard" de l'EUA

EUA launches “ Autonomy Scorecard ”...

Le Supérieur dans le rapport 2010-2011 du DIO

Rapport DIO - Rapport remis au Premier Ministre sur l'activité et les propositions de la Délégation à l'Information et à l'Orientation en 2010-2011, PITTE Jean-Robert...

L'Argentine: si lointaine et pourtant si proche

Rapport d'information fait au nom de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication à la suite d’une mission effectuée en Argentine du 2 au 10 avril 2011...

Rapport de Jean-Michel Jolion sur la Mastérisation de la formation des enseignants

Rapport de Jean-Michel Jolion sur la Mastérisation de la formation des enseignants à la demande de...

La formation dans le rapport "Crise et croissance: une stratégie pour la France"

Dans ce rapport, Philippe Aghion, Gilbert Cette, Élie Cohen et Mathilde Lemoine posent la question du choix des mesures économiques favorables à la croissance française...

L'alliance ATHENA (SHS) dans le rapport Birraux sur les alliances, une nouvelle dynamique pour la rechercheFaire émerger le désir de formation

Le Rapport d’activité national 2010 d'Unifaf . 396000 actions de formation financées en 2010 par Unifaf...

Avis des CESER concernant l'enseignement supérieur

Nombre de CESER (Conseils Économiques, Sociaux et Environnementaux Régionaux ) ont établi des avis ou des rapports concernant l'enseignement supérieur. Parmi les thèmes abordés, les PRES (Pôle de Recherche et d’Enseignement...

Avis du Ceser sur La problématique de l’orientation à l’articulation entre l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur en Nord‐Pas de Calais

La problématique de l'orientation à l'articulation entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur...

Avis du Ceser Languedoc Roussillon sur le Programme régional de soutien aux opérations structurantes en matière d'enseignement supérieur - Polytech ENR et EPF Ecole d'Ingénieurs

Avis du Conseil Economique, Social et Environnemental Régional...

Avis du Ceser sur l'Apprentissage dans l'enseignement supérieure en Ile-de-France

Apprentissage dans l’enseignement supérieur. Une voie d’insertion dans l’emploi à soutenir. Télécharger le Rapport « L’apprentissage dans l’enseignement supérieur » présenté par Benoît ...

Avis du Ceser sur Recherche et enseignement supérieur: une ambition affichée pour la Franche-Comté

Le lundi 27 juin, le CESE a adopté à l’unanimité le rapport sur la recherche et l’enseignement supérieur...

Avis du Ceser Champagne-Ardenne sur le(s) Pôle(s) de Recherche et d’Enseignement Supérieur

Face à un changement important du contexte dans lequel évoluent l’enseignement supérieur et la recherche...

Avis du Ceser Bretagne concernant l'enseignement supérieur

Un avis se trouve dans le compte-rendu de la session du 14 juin 2011 , p.107-108. ADOPTION DES STATUTS DE L’ÉTABLISSEMENT PUBLIC DE COOPÉRATION CULTURELLE « POLE D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR SPECTACLE VIVANT BRETAGNE / PAYS DE LA...

Avis du Ceser sur Les pôles de compétitivité bourguignons - Les enjeux en termes de recherche et de formation

Le Ceser de Bourgogne a rendu un avis et rédigé un rapport sur Les pôles de compétitivité bourguignons - Les...

Avis du Ceser sur La mer et le littoral en Basse-Normandie - Recherche, enseignement supérieur et innovation

Le renforcement de la recherche sur la mer et le littoral représente un objectif majeur affiché récemment tant au niveau européen qu'à l'échelon national...

Avis du Ceser pour les initiatives d'excellence des PRES de Lyon et de Grenoble

Rapport "Initiatives d'excellence des PRES de Lyon et de Grenoble"....

Avis du Ceser pour le développement de l'enseignement supérieur et de la recherche en Midi-Pyrénées

Le Conseil Economique, Social et Environnemental de Midi-Pyrénées a présenté et adopté un projet d' avis « Pour le Développement de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche en Midi-Pyrénées...

Avis du Ceser sur le schéma régional de l’enseignement supérieur en Poitou-Charente Le CESER Poitou-Charente après avoir rendu son avis sur le CPRDFP   et son rapport "L'attractivité industrielle de Poitou-Charentes"...
Pour finir nous avons composé un abécédaire des rapports à noms propres:

Aghion, Apparu, Assouline, Attali 2, Besson, Birraux, Brindeau,Cherpion, Cherpion-Gille, Cherpion-Gille 2, Daoust, Davy, Demuynck, Gaillard, Grosperrin, Guégot, Guégot 2, Jamme, Jolion, Jolion 2, Joyandet, Larcher, Larrouturou, Marini, Marx, Morange, Perruchot,Pilliard, Pitte, Poisson, Sassier, Rouilleault, Saa, Schillinger, Schwartz, Van Lerberghe, Villerbu-Vallar,Young.

From August 16, 2011, untiloday, nearly 80 reports and opinions have been published concerning Vocational Training or Continuing and Universities.
We are still in the land of a thousand leaves, referring to our first article Welcome to the land of the Arabian sheets of 22 February 2009. More...

1 août 2012

ACA Annual Report 2011 available online

http://www.aca-secretariat.be/typo3conf/ext/smf_aca_newsletter/res/banner-newsletter-aca.gifACA is pleased to announce that its 2011 Annual Report has just become available for download on the ACA website. The website also gives access to all previous annual reports starting from the year 2000. The 2011 report provides a thorough overview of all key activities of ACA over the past calendar year. ACA’s membership developments, project activities, publications, seminars and conferences, governance issues, staffing and financial information are all covered in detail in this seventeen-page retrospective.
To receive print copies of the report, please write to the ACA Secretariat directly. Download Annual Report 2011.
Annual Report 2011
In 2011, ACA was delighted to admit three fine organisations as new members: Agence Europe-Education-Formation France (2e2f): Created in 2000, 2e2f serves as France’s National Agency for the Lifelong Learning Programme, as well as the National Contact Point for Erasmus Mundus, Tempus, the Bologna Experts French Team, Europass and Euroguidance. The Bordeaux-based agency manages all aspects of the European programmes for which it is responsible; it also liaises with national organisations in the fields of education and vocational training and organises many conferences, seminars and workshops.
Foundation for the Development of the Education System (FRSE): FRSE serves as Poland’s National Agency for the Lifelong Learning Programme, the National Structure of the Erasmus Mundus Programme, and the National Contact Point for Tempus. Since its founding in 1993, FRSE has administered the main European education programmes and been involved in national efforts to modernise the education system, particularly with regard to quality and competitiveness. It has also promoted the Polish higher education system abroad.
Foundation for Federal Co-operation: Headquartered in Solothurn, the CH Foundation (as it is more commonly known) is an inter-cantonal organisation with members from all 26 Swiss cantons. It was created in 1967 and has for many years been engaged in efforts to support national and international educational, cultural and linguistic exchange and mobility activities. Since 2011, the CH Foundation also acts as the Swiss National Agency for the Lifelong Learning Programme.
Mapping Mobility in European Higher Education

2011 saw the much-awaited conclusion of Mapping mobility in European higher education, one of ACA’s largest and most complex projects of the last few years. Work on this European Commission-funded study was initiated in October 2009 and focused on two primary lines of inquiry. First, through an analysis of existing data from EUROSTAT, OECD and UNESCO’s Institute of Statistics, the project sought to provide a clear picture of the volume and patterns of student (and to a lesser extent staff) mobility into, out of and between the so-called Europe 32 countries over a recent ten-year period. “Europe 32” in the context of this study, consists of those countries covered by the EU’s Lifelong Learning Programme: the 27 EU Member States, the four European Free Trade Association states (Iceland, Lichtenstein, Norway and Switzerland), and Turkey. Second, the project aimed to assess the adequacy of the international data stock – and the approaches to its collection – with regard to the mobility phenomenon in the Europe 32 countries.
ACA served as the coordinator of the project, in close collaboration with Ulrich Teichler of INCHER at the University of Kassel. The work also benefitted from significant contributions by Campus France and DAAD (both ACA member organisations), as well as HIS (a German social science research institute). A number of researchers connected to Professor Teichler also participated in this mammoth exercise, which involved extensive analysis of both quantitative information and contextual considerations across the 32 very diverse countries covered by the study.
The final two-volume report provides amongst other things:
• a state of the art picture of student mobility into, out of and between the Europe 32 countries, on the criteria of both nationality and country of prior education/residence (‘real mobility’); it also features an historical account of this information (time series), displaying the major mobility trends
• in-depth studies of student mobility in 11 EU countries
• a critical assessment of the present state of international data collection and analysis, with recommendations for improved practice in the future
• a state of the art picture, including a historical dimension, of student mobility in European programmes (mainly Erasmus)
• a presentation of the (few) available data on staff mobility in Europe, as well as a suggested methodology for future data collection in this area
• an analysis of national policies for international mobility in all 32 countries covered by the study
• recommendations to boost student and staff mobility in Europe.
The full text of this epic report was made available on the European Commission’s website in autumn 2011. DAAD also graciously provided support for the publication of a hard copy version of the study, which came out in its Dok&Mat series in December 2011.
Study on European and National Mobility Policies (ENPMOB)

Over the course of 2011, ACA devoted significant resources to the completion of the Study on European and National Mobility Policies (ENPMOB). This project, initiated in November 2010, was dedicated to the exploration and analysis of mobility policies and strategies at both the European level and in the same 32 countries covered in Mapping Mobility in European Higher Education project (see previous section).
Building on the quantitative foundation laid by Mapping Mobility, ENPMOB has aimed to make sense of the concrete set of objectives, instruments, responsible actors, monitoring actions, and timeline specifications for mobility articulated in the study countries and within the broader EU framework. This work was made possible by funding from the ERASMUS Programme’s ‘Accompanying Measures’. ACA served as project coordinator and worked closely with colleagues from Nuffic and DAAD to realise the project’s goals.
ENPMOB’s final report is due in early 2012 and will provide a substantial contribution to ACA’s body of work focused on international mobility. This will include a macro-level comparison of the mobility policies of the 32 Lifelong Learning Programme countries and the European Union itself. There will be a historical account and analysis of the evolution of EU mobility policies over the past 25 years as well as in-depth presentation of the national mobility policies in eight European countries – Austria, Cyprus, Germany, the Netherlands, Norway, Romania, Spain and the United Kingdom.
A central consideration within the study is the question of convergence or divergence. That is to say, the final report will endeavour to shed light on the fundamental issue of if, how and to what degree national and European-level policies are exerting an effect on one another. There will also be attention paid to the alignment (or lack thereof) between stated policy objectives and the ‘real world’, in the form of discernible mobility trends and the practical application of steering instruments. The final report will be published in ACA’s own monograph series, the ACA Papers on International Cooperation in Education.
Indicators for Mapping and Profiling Internationalisation (IMPI)

Building on its core expertise in the area of internationalisation, ACA in 2011 continued to play an active role in the on-going IMPI project, which was launched in 2009. Coordinated by CHE Consult GmbH (Centre for Higher Education Development) in Germany, Indicators for Mapping and Profiling Internationalisation is a three-year project funded by the European Commission. ACA members CampusFrance, NUFFIC, Perspektywy and SIU are also core partners in this work, which is focused on the development and testing of a set of internationalisation indicators that can be used by European higher education institutions through the medium of an online interactive “toolkit”. The indicators allow both for self-assessment of different dimensions of internationalisation by individual institutions, or they can be used for a coordinated benchmarking exercise among groups of institutions.
In 2011, ACA took the lead on a variety of IMPI-related activities, principally focused on guiding the team of core partners (and 20 participating higher education institutions from across Europe) through an in-depth testing phase of the indicators. Key activities included oversight of two day-long workshops—one in Vienna in May, the second in Copenhagen in September—as well as the convening of an external experts’ meeting in Brussels in April, which provided important feedback on the project’s achievements to that point, and its on-going development.
The IMPI project is due to be completed in 2012. ACA will be a central actor until the end, hosting the project’s final symposium in Brussels in May 2012.
Mapping “mobility windows ” in European higher education. Examples from selected countries (MOwin)

October 2011 saw the launch of MOWIN, a project led by ACA and developed in partnership with ACA’s Finnish member, CIMO, as well as HIS, a German social science research institute. MOWIN is funded by the Lifelong Learning Programme and its objective is to ‘unpack’ the concept of “mobility windows”, an increasingly popular instrument for integrating study abroad periods into higher education programming. The project will have a lifespan of two years and, among other things, aims to provide a robust working definition of the (often vague) term “mobility window”, create an inventory and a typology of the different types of “windows”, and investigate how different mobility window models are implemented in a small group of countries and institutions.
The European University in the 21st Century. Reconciling the social dimension, excellence, internationalisation and sustainable funding (EUSEIF)

The EUSEIF project was launched in late 2011, with financial support from the Lifelong Learning Programme. This oneyear initiative is focused on analysing the interrelations between five issues of central importance to European higher education today, but which are rarely examined jointly. A core consideration will be the extent to which (if at all) the agendas of these different imperatives—social inclusiveness, excellent institutional performance, internationalisation, mobility, and funding—can be attained in parallel, or if and to what extent they are mutually exclusive. Five high-level concept papers will be produced by a team of experts, and an international conference will be convened in 2012, designed around the project’s main thematic tracks. The conference proceedings will subsequently be published in ACA’s monograph series, the ACA Papers on International Cooperation in Education.
European Parliament Framework Contract

In January 2011, ACA and DAAD jointly submitted a “Detailed Briefing Note” to the European Parliament (EP), under the title The Bologna Process: Stocktaking and Prospects. This work was specifically commissioned by the EP and came as a result of DAAD and ACA having successfully responded in late 2010 to an EP call for tenders for a ‘framework service contract’.
This very short yet dense report, published electronically by the EP, presented a concise overview of the Bologna Process since 1998, as well as an assessment of strengths and weakness in terms of the overall performance of the Bologna countries. Also included in the publication were nine ‘thematic status reports’ on the main achievements and challenges seen across the main Bologna action lines, from mobility to employability, and from the quality assurance to the external dimension.
Annual Reports
You can download our Annual Reports in PDF format below. Annual Report 2011Annual Report 2010. Annual Report 2009.Annual Report 2008. Annual Report 2007. Annual Report 2006. Annual Report 2005. Annual Report 2004. Annual Report 2003. Annual Report 2002. Annual Report 2001. Annual Report 2000.

22 juillet 2012

Le rapport d'activité 2011 de l'AMUE

 

Consultez le rapport d'activité 2011 de l'AgenceL’Agence publie son rapport d’activité pour l’année 2011. Il a été présenté au conseil d’administration du 28 mars 2012. Télécharger "Le rapport d'activité 2011 de l'Agence de Mutualisation des Universités et des Etablissements".
Louis Vogel, Président de l’Amue, Président de la CPU et de l’université Panthéon-Assas

L’effort de mutualisation entre les établissements que nous avons engagé et voulons poursuivre et amplifier, est indispensable pour améliorer la qualité des services que nous apportons aux étudiants et aux personnels de nos universités. Il est aussi nécessaire pour maîtriser nos coûts, grâce à l’acquisition en commun de solutions et le partage de bonnes pratiques. L’Agence de mutualisation des universités et établissements (Amue) est l’instrument qui permettra de fédérer ces synergies car ses compétences sont en adéquation avec les besoins de nos adhérents. Je salue le soutien financier du gouvernement au plan stratégique de l’Agence, car seule la mutualisation permettra aux établissements de faire face aux nouveaux défis, responsabilités et compétences élargies auxquels nos établissements sont confrontés, et de mieux remplir, collectivement, nos missions de service public.
Avec l’autonomie de gestion accrue des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, la question du partage de l’expérience et de l’expertise devient centrale. L’accès aux meilleures pratiques détermine l’efficacité et la capacité à dégager des marges de manoeuvre. Le corolaire naturel et indispensable de l’autonomie de gestion est ainsi la coopération et le partage des éléments qui permettent d’améliorer la performance et d’accéder à l’innovation.
En 2011, grâce à un partenariat avec la CPU et la CDC, les adhérents de l’Agence ont pu exprimer leurs attentes, et nous avons pu les comparer aux dispositifs de mutualisation en place dans diff érents pays, et en France dans d’autres secteurs d’activités. Le nouveau plan stratégique de l’Amue se veut ainsi plus complet, autour de trois axes de développement complémentaires. Le développement des systèmes d’information continue à faire l’objet d’une forte attente mais les établissements ont désormais pris conscience qu’il fallait associer à cet objectif une réelle capacité d’analyse de l’organisation et des processus, et surtout un accompagnement décidé du changement, notamment par un eff ort inédit de formation des personnels administratifs et techniques.
Dans les nombreux changements en cours, le rôle accru d’opérateur de recherche joué par les universités et établissements n’est pas le moindre. L’adhésion de l’INSERM et de l’IRD, et le partenariat avec le CNRS, entre autres, étendent désormais à la gestion des activités de recherche une coopération universités/organismes visant à « rendre du temps de recherche aux chercheurs ». Mais l’Amue doit également rénover ses méthodes: mieux respecter les diff érences entre établissements, être plus à l’écoute, être plus réactive, et être davantage transparente: expliquer ce qu’elle va faire dire ce qu’elle a fait.
Claude Ronceray, Directeur de l'Amue

Ce premier rapport d’activité de l’Amue vous rend témoin que l’ensemble des équipes internes ont à coeur d’y répondre au mieux des moyens que vous avez bien voulu leur confier. Ce rapport montre aussi que l’Amue est le support de solidarités d’établissements à établissements.
Evoluer & accélérer

Dans des systèmes où les acteurs sont très autonomes, la question de la mutualisation est centrale. De ce point de vue, l’Amue est l’acteur clé s’agissant de l’enseignement supérieur. Elle a établi un plan stratégique ambitieux et je suis prêt à soutenir fi nancièrement son développement. Je vais travailler avec la Caisse des Dépôts pour voir comment fi nancer et recapitaliser l’Amue. Ce sera également l’un de mes grands chantiers pour 2012. Laurent Wauquiez, Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche
Dans un environnement institutionnel en pleine mutation, l’année 2011 a été celle de la transition pour l’Amue. La nouvelle équipe dirigeante de l’Agence s’est concentrée sur un pilotage interne accru et un resserrement du lien avec la Conférence des présidents d’université (CPU). Ainsi, l’Amue et la CPU, en partenariat avec la Caisse des Dépôts, ont engagé une réflexion sur l’évolution nécessaire de l’Agence. Un travail détaillé d’analyse de ses potentiels et de ses faiblesses a été conduit, ainsi qu’un large audit sur les attentes des adhérents et les pratiques en matière de mutualisation en France et à l’étranger, dans le secteur de l’enseignement supérieur et au-delà. Enrichie de ces enseignements et forte des demandes de ses membres, l’Amue a défini une offre de mutualisation élargie et renouvelée, au travers d’un plan stratégique ambitieux, au service de la performance et de l’innovation.
3 questions à Jean-Richard Cytermann, Coordonnateur du groupe enseignement supérieur à l’IGAENR.

En quoi l’accord-cadre « conduire un audit organisationnel (A2OF) » mis en place par l’Amue s’inscrit dans la suite des travaux du guide de l’IGAENR sur l’optimisation des fonctions support?

L’accord-cadre est un excellent moyen de diffusion de l’action entreprise par l’IGAENR avec quelques universités pilotes. Le guide d’audit des fonctions support réalisé à cette occasion est la référence que vont utiliser les différents consultants retenus dans le cadre de l’accord-cadre. Il aurait été difficile pour l’IGAENR d’accompagner tous les établissements qui souhaitaient s’engager dans cette démarche. L’accord-cadre permet aux établissements de bénéficier d’un tel accompagnement. Il permet de professionnaliser l’accompagnement des établissements à travers des relations mieux organisées entre le pôle de contractualisation, l’Amue et l’IGAENR, dont les travaux dans ce domaine n’ont de sens que s’ils sont utilisés, avant tout, par les établissements eux-mêmes.
Quelle est l’importance de l’optimisation des formations support pour les établissements? Quel travail commun avec l’Amue sur ce sujet?

Dans un contexte où les responsabilités exercées par les universités ne cessent de grandir et où le contexte budgétaire est sous tension, il est primordial que les établissements utilisent leurs moyens, et notamment leurs ressources humaines, avec le plus d’effi cacité possible. Il est important que les établissements ne consacrent pas au fonctionnement de leurs fonctions support plus de moyens qu’il n’est nécessaire, car cela se ferait au détriment des activités coeur de métier que sont la formation et la recherche. L’optimisation des fonctions support doit permettre d’améliorer la qualité des services rendus aux étudiants et aux enseignants-chercheurs. L’Amue est ici pleinement dans son rôle de diffusion des bonnes pratiques, tandis que l’IGAENR, de par sa bonne connaissance des établissements et des métiers de la gestion, peut apporter son appui méthodologique et un accompagnement qualitatif.
Quelle sera, selon vous, l’évolution des fonctions support dans les 5-10 prochaines années?

A court ou moyen terme, on va vers une mutualisation des fonctions support entre établissements d’enseignement supérieur mais également entre ces derniers et les organismes de recherche afin de constituer des services d’administration de la recherche mutualisés compétents et efficaces. Au-delà des aspects économiques, ce qui est en jeu c’est l’amélioration de la qualité du service rendu et la simplification de la gestion des établissements et de leurs unités de recherche pour les enseignants-chercheurs et les chercheurs. De ce point de vue, la réussite des expériences en cours, comme la création d’une plateforme de services partagés à Strasbourg, sera déterminante.
3 questions à Carine Guillebaud, Consultante conduite du changement à l'Amue du SI dans les établissements, en quoi cette étape est nécessaire?
Les projets informatiques sont par nature au coeur des structures et provoquent, lors de leur mise en oeuvre, une modifi cation des processus métier et des pratiques des utilisateurs. Ainsi, la réussite d’un projet passe impérativement par la bonne prise en compte du facteur humain. La conduite du changement vise donc à faciliter l’acceptation des changements induits et à réduire les facteurs de rejet.
Quelles sont les principales difficultés?
Les diffi cultés d’un projet de changement peuvent concerner les personnes ou l’établissement: angoisse vis-à-vis des nouveaux systèmes, évolution des périmètres de responsabilité, surcharge de travail des équipes, manque de vision et de compréhension des enjeux. Avec des outils d'analyse, des méthodes et une démarche pour anticiper et préparer le changement, les pilotes d'une opération de changement se dotent des moyens pour réussir.
Comment l’Amue travaille-t-elle avec les établissements?

A l’Amue, nous intervenons en lien avec les équipes projet des établissements, via trois grands leviers: l’accompagnement, la formation, et la communication. Concernant l’accompagnement, nous agissons sur le suivi du projet, mettons à disposition un kit de déploiement, et assurons une assistance au démarrage. Sur la formation, nous accompagnons la montée en compétences des équipes sur la gestion de projet, la pédagogie, le logiciel, ainsi que sur les aspects métier. Enfin, nous sommes au plus proche des équipes en établissements grâce à des outils de communication et des échanges réguliers. Par exemple, avec le produit Sifac, c’est un ensemble d’outils et de prestations que l’Amue a proposé aux établissements. Pour chaque établissement pilote, l’Agence a mis en place un contact personnalisé grâce à une cellule dédiée à la conduite du changement qui s’est déplacée dans chacun des sites. Des téléconférences ont été régulièrement tenues. Une documentat ion a été livrée, en particulier des manuels et supports d’utilisation et une base de formation contenant des exercices pré-chargés. Enfin, en parallèle de ce dispositif, l’Amue a constitué un centre de compétences afin de pouvoir offrir un support le plus réactif possible aux établissements, notamment pour les phases de démarrage. Cependant, la demande est forte et bien que la méthodologie soit complète, la présence de l'Amue est à renforcer. Le plan stratégique a intégré ce besoin, ainsi que les investissements humain et financier qui en découlent. Demain, nous serons encore plus présents aux côtés des établissements.
Prisme: objectifs, perspectives et bénéfices

Le projet Prisme (Progiciel de Référentiel Intégré des SI Mutualisés des Etablissements) vise à construire un référentiel de données partagées qui permette aux établissements d’optimiser leur système d’information en lui apportant cohérence, unicité, partage, fiabilité et qualité des données.
Prisme a pour vocation de devenir notamment le dispositif de gestion des données de référence du SI des établissements pour ses principaux référentiels: référentiel des personnes (incluant les personnes ressources, les étudiants, les usagers…), référentiel des structures organisationnelles, référentiel des locaux, référentiel des tiers, référentiel des nomenclatures. Ce nouvel outil est conçu pour répondre à l’hétérogénéité des SI des établissements disposant de logiciels divers qu’ils soient ou non proposés par l’Amue. Cette aptitude à interopérer avec l’ensemble des composants des SI se combine avec une capacité à construire un référentiel interétablissements permettant un partage accru des données de référence. Une première version de Prisme a été construite en 2009 et 2010 sur la base de produits Open Source et en développement collaboratif avec quelques établissements. A cette occasion des tests ont confi rmé que Prisme était en capacité d’interopérer avec Cocktail.
L’Amue travaille, depuis fin 2010, avec un groupe d’experts d’établissements, l’ADSI et le CSIESR, pour rechercher les meilleurs partenaires permettant d’industrialiser le projet:
● d’une part, un nouveau progiciel de gestion des données de référence (dit Master Data Management) permettant de remplacer l’outil Open Source dont la pérennité n’est plus garantie;
● d’autre part, un intégrateur ayant pour mission la construction des versions successives de Prisme et son déploiement industriel.
Ce projet est le premier d’ampleur nationale porté par un éditeur (Amue) vers une centaine de SI hétérogènes et autonomes. Il devra, à terme, traiter de l’ensemble de la problématique du partage des données dans le SI des établissements.
3 questions à Nicolas Sekkaki Directeur général de SAP France En 2011, une centaine d’établissements d’enseignement supérieur a mis en oeuvre le logiciel Sifac pour le domaine de la gestion financière et comptable: quel bilan en faites-vous?

Les deux enjeux à l’origine du projet Sifac étaient d’équiper les établissements d’une solution moderne en matière de gestion et d’accompagner l’autonomie financière des universités.
Aujourd’hui, on peut affirmer que ces enjeux ont été adressés et que les établissements ont un système d’information de gestion efficace et pérenne.
D’un côté, l’Amue a su gérer un déploiement technique: près de 100 installations; 15 000 utilisateurs partagent une même communauté de pratiques. Au-delà de la diversité de tailles et de spécialisations des établissements, Sifac constitue un système d’information capable de s’adapter au contexte et permet d’étendre son périmètre fonctionnel. De l’autre côté, chaque établissement a su accompagner la formation de ses agents dans une nouvelle façon de travailler. Sifac constitue donc un exemple réussi sur deux axes: accompagner la transformation et réussir un projet de mutualisation.
Il nous semble maintenant important de capitaliser sur cette plateforme et sur cette expertise, et d’envisager les extensions possibles: gestion du patrimoine, gestion de la recherche, pilotage et pourquoi pas, le déploiement d’un système intégré sur plusieurs domaines fonctionnels…
Ces établissements ont choisi d’appuyer la gestion des laboratoires de recherche sur le produit SAP, touchant ainsi une large population d’utilisateurs. Le sujet de l’ergonomie (capacité à simplifier au maximum les écrans, via le standard SAP) devient donc prépondérant: quelle réponse pouvez-vous apporter à cette communauté en la matière?

Depuis plus de 5 ans, SAP investit de façon significative dans l’amélioration de l’usage de ses applications. Il faut considérer l’usage des applications avec trois axes clefs: l’accessibilité, l’ergonomie, l’esthétique. En termes d’accessibilité, SAP propose depuis de nombreuses années les interfaces utilisateurs via un simple navigateur web.
L’Amue a organisé en novembre dernier un club utilisateurs vous donnant accès à des retours d’expérience concrets de cette communauté, qu’en avez-vous retiré?

Plusieurs collaborateurs SAP ont participé et animé des ateliers lors de cette journée. Nous avons ainsi rencontré les utilisateurs de l’application et pu recueillir leurs remarques et souhaits par rapport à la solution. Nous avons pu mesurer la richesse mais aussi la disparité dans l’adressage de processus particuliers, comprendre la diversité des protocoles de mise en oeuvre, et aussi partager sur d’autres retours d’expérience.
Les actions que nous avons décidé d’entreprendre en commun sont nombreuses: la présentation de la gestion de portefeuilles-projets dans un contexte immobilier, un atelier dédié à la gestion du patrimoine dans le contexte universitaire, une collaboration pour la diffusion des nouveautés applicatives SAP et une réflexion sur leur mise en oeuvre dans le contexte Amue, la construction d’un démonstrateur « Pilotage interactif dans un contexte de mobilité (iPhone, iPad…) », dans une dynamique de co-innovation. Enfin, notre participation est déjà actée pour la prochaine édition du club.
ROF Références de l’Offre de Formation

ROF - sites pilotes : Aix-Marseille Université, université Reims Champagne-Ardenne, université Montpellier 2, université de Poitiers
21 avril 2011 : livraison de l’outil en établissement
2 décembre 2011: Aix-Marseille Université (70 000 étudiants) publie son offre de formation à partir du ROF.
En avril 2011, le projet Références de l’Offre de Formation a démarré en phase pilote complétant la gamme de l’Amue par l’ajout d’une brique « gestion de l’offre de formation ». La finalité de ce produit est d’optimiser l’insertion professionnelle de l’étudiant grâce à une offre de formation adaptée au marché de l’emploi aux niveaux national et international.
Au-delà des aspects techniques liés à l’implantation d’un nouvel outil, l’Amue a renforcé sa présence auprès des sites pilotes, en proposant un accompagnement de la conduite du changement (production d’un guide méthodologique) et des préconisations d’actions de communication afin de soutenir la dimension organisationnelle qu’implique la mise en place d’un référentiel. Ainsi, les établissements pilotes appréhendent le produit comme un vecteur de mise en qualité de leur offre de formation.
Parallèlement, dans le cadre de la phase de candidature des sites pour devenir pilotes, l’Amue a réalisé une enquête afin de mieux connaître les établissements, comprendre leurs attentes vis-à-vis du ROF, évaluer leur motivation à devenir pilotes, savoir s’ils ont mené une première réfl exion sur l’implantation du ROF et l’organisation interne qu’ils envisagent.
3 questions à Alain Fuchs, Président du CNRS
Quels sont les enjeux du protocole de travail commun signé avec l’Amue et la CPU?

Les enjeux sont stratégiques. Ils consistent à donner à l’accord-cadre CNRS-CPU du 4 novembre 2010, une déclinaison concrète en termes de développement d’outils de gestion partagés entre le CNRS et les universités. Nous devons proposer à l’ensemble des unités de recherche un service fondé sur les meilleures pratiques de chacun des établissements, quel que soit le gestionnaire, et de conforter ainsi le co-pilotage scientifi que des UMR. Nous devons apprendre à travailler régulièrement ensemble pour apporter les meilleures réponses aux attentes des unités de recherche et développer des partenariats fondés sur une confiance réciproque et un savoir-faire reconnu. Enfin, le dernier enjeu que je vois, est de faciliter la mise en place de vraies politiques scientifiques de site portées par le CNRS et les établissements d’enseignement supérieur, dans le cadre de l’actuelle émergence de futures grandes universités de formation et de recherche en France, capables d’assurer leur visibilité et leur attractivité à l’échelle internationale.
Quelle est l’importance du travail commun avec l’Amue?

Il est considérable: 8 groupes de travail ont été mis en place, une quinzaine d’universités et d’EPST sont présents dans ces groupes ainsi que des représentants d’unités de recherche. Il y a eu environ 35 réunions de travail au cours de l’année 2011 et de l’ordre de 120 participants à ces réflexions. Mais je retiendrai principalement la volonté de tous les acteurs cités de « dépasser leurs frontières » pour développer de nouvelles relations de travail fondées sur la confi ance réciproque et le partage des savoir-faire.
Quel bilan peut-on déjà tirer de cette mutualisation? Et quelles sont les perspectives?

Il est trop tôt pour parler de bilan, si ce n’est au niveau des comportements: 2011 a été en effet une année-clé qui a permis de développer de vrais « reflexes de partenariat » et de définir une méthodologie de travail partagé au profit des unités de recherche. S’agissant des perspectives de la mutualisation, je dirais que nous atteindrons les objectifs fixés si nous réussissons systématiquement à apporter aux unités de recherche les meilleures pratiques développées par chacun d’entre nous, et des réponses uniques et simplifi ées aux nouveaux modes d’organisation et de financement de la recherche, dans le cadre de partenariats « gagnant-gagnant ».
3 questions à Amina Abdelmoumène, Consultante formations SI à l’Amue
Que retenir des séminaires et des formations logiciels en 2011?

L’année 2011 a été une année soutenue et marquée par la mise en place de plusieurs nouveaux modules de formation pour répondre aux besoins exprimés des adhérents, notamment en termes de montée en compétences. Cette année, l’Amue a répondu à deux objectifs majeurs: renforcer la professionnalisation des agents et diffuser des bonnes pratiques.
Comment s’est déroulé le travail commun avec les établissements?

L’Amue a, cette année encore, positionné les établissements au coeur de sa politique, en ayant le souci constant de répondre à leurs besoins spécifi ques, et en s’appuyant sur la richesse des compétences internes pour la constitution du réseau de formateurs. Notre démarche s’appuie sur une relation de confiance et passe par une écoute attentive de nos adhérents.
Quelle évolution de la demande prévoyez-vous pour 2012?

La demande sera sensiblement en augmentation. Le développement progressif de nos plateformes régionales de formation dès l’exercice 2012 aura des effets importants à la fois pour les agents et pour les établissements. En effet, les agents auront ainsi une solution efficace à leur besoin de formation et au plus près de leur résidence. Les établissements trouveront grâce à ce dispositif la possibilité de répondre à des besoins divers de formation, la capacité à former plus d’agents et pourront optimiser les frais pédagogiques et les frais de déplacement.
Télécharger "Le rapport d'activité 2011 de l'Agence de Mutualisation des Universités et des Etablissements".

Κατεβάστε "Δείτε το 2011 έκθεση δραστηριοτήτων του ΟργανισμούΤο 2011 έκθεση δραστηριοτήτων του Οργανισμού Συγκέντρωση των Πανεπιστημίων και Ιδρυμάτων".
Louis Vogel, Πρόεδρος της Amue, ο Πρόεδρος της CPU και το Πανεπιστήμιο Panthéon-Assas

Η επιμερισμό των προσπαθειών μεταξύ των θεσμικών οργάνων που έχουμε δεσμευτεί και θέλουν να συνεχίσουν και να επεκτείνουν, είναι κρίσιμης σημασίας για τη βελτίωση της ποιότητας των υπηρεσιών που παρέχουμε στους φοιτητές και το προσωπικό των πανεπιστημίων μας.
Είναι επίσης αναγκαίο να ελέγξει το κόστος μας μέσα από τις κοινές λύσεις απόκτηση και την ανταλλαγή βέλτιστων πρακτικών. Ο Οργανισμός συγκέντρωση πανεπιστήμια και ιδρύματα (Amue) είναι το μέσο που θα συλλάβει αυτές τις συνεργίες για την εμπειρία του να ανταποκρίνονται στις ανάγκες των μελών μας. Περισσότερα...

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