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Formation Continue du Supérieur
10 avril 2011

Création et lancement du « Club de l’apprentissage »

http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpgCréation et lancement du « Club de l’apprentissage » : pour une nouvelle génération d’apprentis
Le club de l’apprentissage est lancé par Nadine Morano, ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle, jeudi 7 avril à 11h au Conservatoire national des Arts et Métiers.
Ce club, sera animé par les « porte-paroles de l’apprentissage », symboles de la réussite par l’apprentissage comme Guy SAVOY, Franck PROVOST, Gérard DOREY (Directeur exécutif Carrefour Proximité), Robert MAHLER (ancien Président France d’Alstom), Michel ROTH (chef au Ritz, Bocuse d’Or et Meilleur ouvrier de France), Patrick SCICARD (PDG de Lenôtre) ou encore Alain BARATON (jardinier en chef des jardins de Versailles). Ces personnalités auront pour mission essentielle de témoigner de leur expérience et de sensibiliser les jeunes sur les avantages de ce type de formation mais aussi de parrainer des apprentis.
L’association, le Club de l’Apprentissage

A l’occasion de l’annonce du plan d’urgence en faveur de l’emploi des jeunes, le Président de la République a rappelé l’importance de l’apprentissage qui constitue non seulement un moyen d’insertion immédiate dans l’emploi, mais aussi une voie de qualification permettant une insertion professionnelle durable.
Le Président de la République a de nouveau insisté, lors de son discours sur le plan en faveur de l’alternance, le 1er mars 2011 à Bobigny, sur la pertinence du recours à l’apprentissage pour les jeunes désireux d’intégrer rapidement le monde professionnel et pour les entreprises souhaitant avoir des salariés parfaitement formés aux besoins qu’elles rencontrent.
Pour accompagner la nouvelle dynamique de valorisation de l’apprentissage, des personnalités, anciens apprentis aujourd’hui reconnus par tous, ont choisi de s’engager aux côtés de la Ministre de l’Apprentissage.
C’est donc sous la forme d’une association, régie par la loi du 1er juillet 1901, qu’est né le Club de l’Apprentissage.
Les membres fondateurs du Club, dont Madame Nadine MORANO avait déjà évoqué les noms, sont: Alain BARATON, Jardinier en chef du château de Versailles, Gérard DOREY, Directeur exécutif de Carrefour proximité, Robert MAHLER, Retraité, ancien Président d’Alstom France, Franck PROVOST, Président Directeur Général du Groupe Provalliance, Michel ROTH, Chef cuisinier, Guy SAVOY, Cuisinier, Patrick SCICARD, Président du groupe Lenôtre.
Il s’agira pour l’association de développer et de promouvoir l’apprentissage auprès des jeunes, de leurs familles, des entreprises et de tous les acteurs de l’alternance.
Les membres de l’association ont pour mission de :
- Nourrir et animer un débat d’idées à partir des expériences professionnelles de ses membres et de ses porte-paroles.
- Impulser et faire prospérer un club et un réseau social des apprentis, destinés à donner une visibilité aux projets des apprentis, développer un réseau professionnel fort, apporter une information pertinente et actualisée en matière d’apprentissage, organiser des évènements…
- Participer aux déplacements en province, à des salons ou évènements majeurs en matière de promotion de l’apprentissage.
L’apprentissage est un moyen rapide d’insertion professionnelle, d’acquisition de compétences et de savoir-faire adaptés aux besoins des entreprises. Ensemble, poursuivons cette révolution culturelle de l’apprentissage! Le film de la matinée de lancement. Le dossier de presse du club de l’apprentissage. La biographie des membres du club de l’apprentissage (1è partie), (2è partie).
http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpg Ħolqien u tnedija ta '"Klabb ta' tagħlim": ġenerazzjoni ġdida ta 'l-apprendisti
Il-klabb huwa mmexxi mill-tagħlim Nadine Morano, Ministru responsabbli għall-Tagħlim u Taħriġ, il-ħamis 7 April fil-11 fil-Konservatorju Nazzjonali des Arts et mestieri. Il-film tal-tnedija filgħodu. Il-klabb kit għall-istampa tat-tagħlim. Il-bijografija ta 'membri tal-klabb tagħlim (1 parti), (It-2 parti). More...
10 avril 2011

3000ème article sur le blog / Contrats d’apprentissage et de professionnalisation

http://www.fafiec.fr/var/ezwebin_site/storage/images/design/fafiec-opca/172-8-fre-FR/FAFIEC-OPCA_logo.gifContrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation, deux contrats pas toujours substituables
Nicolas Sarkozy a déclaré la mise en place d'un système de "bonus-malus" pour favoriser l'embauche de jeunes en contrat de formation en alternance dans les entreprises de 250 salariés et plus. Deux grands types de contrats en alternance existent: le contrat de professionnalisation et le contrat d'apprentisage.
Selon une étude CEREQ (Centre d’Etudes et de Recherches sur les Qualifications), de nombreux acteurs jugent que le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation sont « parfaitement substituables » de par leurs dispositifs très proches et leurs nombreux points communs comme le cadre de la formation et sa durée.
Cependant, les 2 types de contrats comportent des caractéristiques distinctes, surtout quant au niveau de la formation préparée. Les contrats de professionnalisation concernent, pour la plupart des cas, des bacheliers ou des diplômés de l’enseignement supérieur alors que les jeunes sans qualification ou titulaire d’un CAP ou BEP sont plus tournés vers les contrats d’apprentissage. L’étude précise également « qu’il ne semble pas y avoir de vases communicants entre les différents modes d’accès à la qualification », autrement dit, il n’y pas de corrélation entre les deux types de contrats, la baisse des effectifs de l’un n’entraine pas une hausse de l’autre.
Enfin, pour le CEREQ, les contrats d’apprentissage et de professionnalisation sont tout deux des contrats spécifiques pour laisser aux entreprises le choix selon leur taille, leur organisation et leur métier. L'OPCA FAFIEC finance les contrats de professionnalisation des entreprises de la Branche sous certaines conditions. Consultez les critères de prise en charge pour en savoir plus.
Cet article est le 3000ème publié sur ce Blog. Le premier article a été mis en ligne le 4 mars 2008 et s'intitule Un forum de la Commission européenne pour promouvoir la coopération entre l’université et le monde des affaires.
Les autres repères du blog:
2500ème article sur le blog
/Journées Nationales des MDE et des PLIE,
2000ème article sur le blog
/Question Formation n°1,
1500ème article sur le blog/Seniors - le groupe SPB signe son accord,
1000ème article sur le blog
/Fête de la musique dans les jardins du MESR,
500ème article sur le blog/L'archipel de l'ingénierie de formation,
1er article sur le blog/Un forum de la Commission européenne pour promouvoir la coopération entre l’université et le monde des affaires.


http://www.fafiec.fr/var/ezwebin_site/storage/images/design/fafiec-opca/172-8-fre-FR/FAFIEC-OPCA_logo.gif Tanulás szerződés és profi szerződést, két szerződés nem mindig helyettesíthetők
Nicolas Sarkozy szerint a rendszer létrehozását a "bonus-malus" előmozdítására bérleti fiatalok képzési szerződést felváltva cégek 250 vagy több főt foglalkoztató. Két fő típusa tanulmányi szerződések létezik: a profi szerződést és a szerződés a tanulás. Egy tanulmány szerint CEREQ (Központ Tanulmányok és kutatás képesítési), sok játékos érzi, hogy a tanulószerződés és a szerződés a szakember a "tökéletes helyettesítői" ezek eszközök nagyon közel, és azok sok hasonlóságot mutat a a képzés során és annak időtartamát. Még több...
30 mars 2011

Extension aux apprentis des avantages de la carte d'étudiant

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Leïla de COMARMOND. Sur les neuf mesures du plan sur l'apprentissage, quatre nécessitent des dispositions législatives. Objectif: être opérationnel à la rentrée.
Le gouvernement doit accélérer le mouvement. Le temps lui est compté s'il veut que la réforme de l'apprentissage entre en vigueur assez tôt pour avoir un impact à la rentrée de septembre, la dernière avant l'élection présidentielle. Pour des raisons de longueur de procédure, et d'un trop grand nombre de textes législatifs émanant du gouvernement, il n'y aura donc pas de projet de loi Morano, du nom de la ministre en charge de l'Alternance, mais une proposition de loi portant le nom du député Gérard Cherpion. L'élu UMP fut déjà le rapporteur de la loi sur la formation professionnelle de 2009 et corédacteur, avec son collègue PS Jean-Patrick Gille, du rapport d'information parlementaire sur l'application de ce texte un an après, qui vient d'être publié.
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.png Leila de Comarmond. A kilenc intézkedés a terv a tanulásra, négy jogalkotást igényel. Célkitűzés: A működését szeptemberben.
A kormány felgyorsítaná a mozgalom.
Fogytán az idő, ha azt akarja a reformot tanulási hatályba lépett elég gyorsan, hogy hatást a szeptember elején, az utolsó előtti elnökválasztás. Okokból hosszú eljárás, és túl sok jogszabály a kormány, nem lesz számlát Morano, a neve felelős miniszter a mix, de a javaslat számlák nevét viselő tagja Gerard Cherpion. Az UMP már megválasztották előadója a szakképzési törvény 2009 és társszerkesztője, kollégájával PS Jean-Patrick Gille, jelentése a parlamenti információk alkalmazásáról szóló ez a szöveg egy évvel később, hogy jön közzé kell tenni. Még több..
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28 mars 2011

L'apprentissage à l’université, accélérateur de réussite

Le CFA Interuniversitaire Epure Méditerranée dispense 62 formations diplômantes dans la Région PACA et présente régulièrement des ouvertures de formation au Programme Régional d’Apprentissage en vue de répondre aux besoins des entreprises. Ces formations diplômantes de haut niveau débouchent sur des métiers porteurs dans tous les secteurs économiques. L’entreprise trouve une réponse dans notre carte Régionale de l’apprentissage Universitaire en Région PACA.
Deux nouvelles ouvertures de formation en septembre 2011

    * la Licence Professionnelle Management Organisations Contrôle et Pilotage des Performances à l’IUT d’Aix-en-Provence
    * le Master 2 Droit Economie Gestion mention Stratégies Internationales Economiques et Financières à l’Université de Nice
Les formations sont en apprentissage, les apprentis sont donc la moitié du temps en entreprise et la moitié du temps à l’université. Les entreprises sont co-formatrices lorsque l’apprenant est en entreprise, il est formé par un maître d’apprentissage. L’apprenant est salarié de l’entreprise tout au long de sa formation, elle favorise son insertion professionnelle. L’entreprise recrute et accompagne un futur jeune diplômé de l’université.
A l’université, l’apprenant bénéficie d’un accompagnement spécifique par un tuteur universitaire. C’est un trio gagnant-gagnant pour l’université, l’entreprise et l’apprenant.
L’entreprise bénéfice d’avantages financiers et d’aides de l’Etat de la Région PACA. Orienter sa taxe d’apprentissage vers le CFA Interuniversitaire Epure Méditerranée, c’est choisir une qualité de formation pour son apprenant et le conduire à la réussite pour son insertion professionnelle en relation avec ses compétences. Renseignements : www.cfa-epure.com.

CFA Interuniversitario Epure Mediterraneo esenzione 62 corsi di certificato nella nostra regione e fornisce regolari aperture di formazione regionale Learning Program per soddisfare le esigenze delle imprese. Questi corsi di laurea di alto livello per portare le aziende promettenti in tutti i settori economici. L'azienda è risposta nella nostra tabella dei Learning dell'Università Regionale della regione PACA.
Due nuovi corsi aperti nel settembre 2011

* Professional License Management Organizzazioni Controllo di Gestione Performance al IUT d'Aix-en-Provence
* Master 2 Management Economia Giurisprudenza menzione internazionale strategie economiche e finanziarie presso l'Università di Nizza. Maggiori informazioni...
11 mars 2011

Formation professionnelle et apprentissage : un rapport parlementaire confirme les positions de l'ARF

http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpgLes Députés Jean-Patrick Gille (PS) et Gérard Cherpion (UMP) viennent de publier le premier rapport d'évaluation de la la réforme du 29 novembre 2009. Les critiques formulées dans ce document sont très proches de celles de l'ARF.
Le texte dénonce en effet, la lourdeur finale de la loi passée de 18 à 62 articles avec de nombreux rajouts, notamment de l’Etat sur l’orientation, l’Afpa ou encore l’insertion des jeunes.
Les deux parlementaires insistent également sur la clarification et la simplification de la gouvernance qui représentaient un objectif majeur de la loi. "Sur cet aspect-là, l’objectif n’est pas rempli. A partir du moment où tous les partenaires s’occupent de tous les publics, on dilue encore plus les responsabilités. Il n’y a toujours pas de pilote dans un dispositif qui s’est sophistiqué encore un peu plus" déclare notamment Jean-Patrick Gille.
Le rapport relève enfin que la loi marque une volonté de retour dans la formation de la part de l’Etat et en même temps marque un coup d’arrêt du processus de décentralisation, sans compter une forme d’encadrement des partenaires sociaux. Cela confirme ce que disent les Régions depuis des mois et qu'elles avaient déjà vivement dénoncé lors de la discussion du texte au Parlement.
Le Rapport Cherpion/Gille déposé en application de l'article 145-7 alinéa 1 du règlement, par la commission des affaires sociales sur la mise en application de la loi n°2009-1437 du 24 novembre 2009 relatif à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie n° 3208 déposé le 9 mars 2011 par MM. Gérard Cherpion et Jean-Patrick Gille.

http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpg Képviselőház Jean-Patrick Gille (PS) és Gerard Cherpion (UMP) közzétették az első értékelő jelentést reformja november 29-i 2009. A kritikusok ebben a dokumentumban nagyon közel állnak az ARF.
A szöveg elítéli Sőt, a nehéz vége a törvény nőtt 18-62 szakaszok számos kiegészítés, beleértve az állami orientáció, AFPA vagy a beillesztés a fiatalok
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A jelentés Cherpion/Gille iktatott cikk 145-7 bekezdése a rendelet 1., a Szociális végrehajtásáról szóló törvény száma 2009-1437 november 24-i 2009 irányultságát és a szakképzés egész életen át nem nyújtott be 3208 március 9, 2011: MM. Cherpion Gerard és a Jean-Patrick Gille. Még több...
26 février 2011

Apprentissage et emploi des Jeunes

http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpgLes Régions demandent au gouvernement des engagements véritables et cohérents
Les régions s’interrogent sur les choix contradictoires de l’Etat:
- Réforme des bacs pro en 3 ans, qui a cassé la dynamique de l’apprentissage pour les niveaux IV et infra, les employeurs n’étant pas prêts à s’engager dans des contrats de 3 ans sur ces niveaux de qualification.
- Suppression depuis le 1er janvier des aides mises en place au moment de la crise: aide à l’embauche d’apprenti de 1 800€ pour les entreprises de moins de 50 salariés, et exonération de cotisations sur les apprentis, alors que la crise est loin d’être finie
- Suppression de l’allocation de formation des chômeurs en fin de droits
- Suppression de sections dans les lycées professionnels
Toutes les Régions, dans le cadre de leur compétence, se sont fortement engagées dans ce secteur et dépensent beaucoup plus que leurs seuls engagements dans les contrats d’objectifs et de moyens signés avec l’Etat, qui en représentent que 15% des dépenses totales. Demander aux Régions de mettre 1€ dès que l’Etat en met 1 est donc un contresens.
Le développement de l’apprentissage ne se décrète pas. Il dépend de 3 facteurs:
- la demande des entreprises. A ce titre, les nouvelles mesures incitatives annoncées par le Président de la République, avec l’instauration de bonus malus pour les entreprises, ne sont pas de nature à régler le problème qui est avant tout lié à la situation économique
- la demande des jeunes: pour la développer, il faut poursuivre les mesures de revalorisation de l’apprentissage, améliorer le statut de l’apprenti et le rapprocher de celui de l’étudiant, améliorer les conditions matérielles dans lesquelles s’exerce l’apprentissage. Les Régions sont fortement engagées dans cette voie.
- le nombre de places dans les CFA : avant de vouloir multiplier de façon arbitraire le nombre de places en CFA, les Régions souhaitent rechercher toutes les formules d’optimisation de l’utilisation du parc existant, de mutualisation des locaux de formation, de mixité des publics
Les Régions sont plus que jamais mobilisées pour l’emploi des jeunes. Elles demandent:
- Une réflexion partagée entre l’ARF, l’Etat, les ministères de l’Education Nationale et de la formation professionnelle, sur l’équilibre entre les différentes voies de formation.
- Une refonte de l’orientation, notamment scolaire. Les Régions déplorent à ce titre une réforme qui dégrade une situation déjà problématique;
- Une réforme de la taxe d’apprentissage afin d’orienter intégralement son produit vers l’apprentissage et que les régions puissent en être gestionnaires
- Une nouvelle génération de COM organisée autour d’un impératif de qualité: prise en compte du contexte actuel de l’apprentissage (incidences de la réforme du bac Pro, difficultés financières des CFA…); consolidation de l’existant avant d’envisager tout développement quantitatif ; appui aux innovations pédagogiques pour gérer l’hétérogénéité des publics et individualiser l’offre, lutter contre les ruptures, favoriser la relation entre CFA et entreprises… Voir sur le blog Les Régions demandent un partenariat en faveur de la jeunesse.
http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpg A régiók kérte a kormányt, a valódi és következetes elkötelezettség
A régiók megkérdőjelezik a választott ütköző állapot:

- Meg kell reformálni a konténereket 3 éve profi, aki megtörte a dinamikáját tanulás fokozatok IV és alatt, a munkáltatók nem hajlandók szerződést kössön a 3 éves ezen a képzettségi szint.

- Vegye ki január 1-jétől a támogatás életbe léptetett, a válság idején: a támogatás felvenni gyakornok 1800 € a vállalkozások kevesebb mint 50 alkalmazottat foglalkoztatnak, és lemond a díjak megszerzéséért, míg a válság távolról sem ért véget
. Még több...
24 février 2011

Dictionnaire raisonné de l'apprentissage

http://www.cci.fr/image/image_gallery?uuid=b02a5096-0789-4707-ae44-80ba90033be5&groupId=10153&t=1298025952419Au moment où le Président de la République renouvelle ses déclarations en faveur du développement de cette voie de formation et où le gouvernement prépare une réforme de l’apprentissage, l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie vient d’éditer le « Dictionnaire raisonné de l’apprentissage ».
Présenté à la presse le jeudi 17 février, cet ouvrage, tout en rappelant la position des CCI sur le sujet, rassemble une information objective sur tous les aspects de la filière à partir de plus de 60 définitions et près de 100 mots clés.
Apportant des réponses précises aux questions fréquemment posées, ce Dictionnaire est à la disposition de tous les acteurs concernés : services de l’Etat et Régions, CFA et Entreprises…
Un taux de chômage des jeunes élevé et persistant qui, comme un mal chronique, frappe les individus d’exclusion et menace la cohésion nationale, tel est l’un des principaux drames sociaux des trois dernières décennies dans notre pays. L’inadaptation de notre système de formation explique notamment cette situation.
Aux grands maux, les bons remèdes et l’apprentissage en est l’un des plus évidents. C’est pourquoi, au nom du réseau des CCI, j’ai plaidé il y a déjà longtemps pour un développement quantitatif et qualitatif de l’apprentissage dans un ouvrage intitulé "Un million d’apprentis en France, c’est possible". Notre pays en comptait alors seulement 250 000.
Le réseau des Chambres de Commerce et d’Industrie, qui forme aujourd’hui un apprenti sur quatre en France, a toujours été convaincu de l’efficacité de cette voie de formation première pour faciliter la poursuite d’études, particulièrement pour les jeunes mal à l’aise dans le système de formation traditionnel. L’apprentissage réconcilie les savoirs réputés « nobles » et les savoir-faire, tous les savoir-faire. La préparation par l’apprentissage s’étend en effet à presque tous les métiers, notamment ceux des services; des démarches de qualité sont engagées pour rapprocher les centres de formation des entreprises employeurs; l’ouverture de formations aux niveaux supérieurs a sorti la filière de son ghetto et légitime son développement.
L’apprentissage avait failli disparaître avant 1985.

Aujourd’hui un consensus national autour de ses mérites semble enfin réalisé. La bataille des idées est gagnée! Reste que, dans ce dossier complexe, trop de contrevérités circulent encore, au risque de fausser les diagnostics et d’influencer les décisions qui ont été ou seront prises. Pour soutenir cette grande cause nationale et au moment où les pouvoirs publics se penchent à nouveau sur les modalités d’organisation et de financement du dispositif, nous avons voulu ce « Dictionnaire raisonné de l’apprentissage ».
De A comme Apprenti à T comme Taxe d’apprentissage, en passant par R comme Région, il s’efforce d’offrir une information aussi complète et structurée que possible ainsi que les éléments de réflexion que nous autorise la formation des 200 000 apprentis ou étudiants dans nos établissements. Les jeunes, tous les jeunes de notre pays, quels que soient leur origine, leur quartier, leur parcours, ont des talents qui ne demandent qu’à s’exprimer. Encore faut-il leur en donner l’occasion.
J’ai rencontré des milliers d’apprentis dans leurs CFA ou lors de réunions publiques. Tous ont l’extraordinaire fierté d’avoir pris leur vie en main et le sentiment de trouver leur place. Lors d'une réunion à Lille, interrogé par un journaliste qui soulignait les exigences de l’apprentissage, l’un d’entre eux répondait, serein : « Quand on est passionné, rien n’est difficile ». Développer l’apprentissage, c’est aussi développer la confiance des jeunes en eux-mêmes, en leur propre avenir et dans notre avenir collectif.
CCI et Universités

Pour favoriser le développement de l’apprentissage dans l’enseignement supérieur, les CCI, en dehors des formations développées dans leurs propres écoles, se sont associées à des universités pour offrir aux jeunes une filière complète de formations en apprentissage, allant du CAP au master. A titre d’illustration, la formation d’ingénieur E2I - anciennement IFITEP (spécialité électronique et informatique industrielle du CFA de l’UPMC) est le fruit d’un partenariat entre la CCI de Versailles Val d’Oise/Yvelines et l’Université de Paris Pierre et Marie Curie. Il a été pendant longtemps le seul CFA intégré à une université.

http://www.cci.fr/image/image_gallery?uuid=b02a5096-0789-4707-ae44-80ba90033be5&groupId=10153&t=1298025952419Ha a köztársasági elnök ismételten támogató nyilatkozataira fejlődésének ez a folyamat kialakulása és a kormány reformot készít elő a tanulás, a közgyűlés a francia kamara Kereskedelmi és Iparkamara nemrég tette közzé a "Szótár a tanulás".
Mutatja be a sajtónak csütörtök február 17, ebben a kötetben, de emlékeztet a helyzet az ICC a témában, gyűjt objektív minden szempontból az iparág több mint 60 meghatározások és mintegy 100 kulcsszót.
Biztosítva a pontos választ a gyakran ismételt kérdéseket, ez a szótár rendelkezésre áll az összes érdekelt fél: kormányzati szolgáltatások és a régiók, CFA és üzleti ...
A ráta a fiatalok magas munkanélküliség és a tartós, mint a krónikus, érinti az embereket a kirekesztés és a fenyegető nemzeti összetartás, ez egy nagy társadalmi drámák az elmúlt három évtizedben hazánkban. Még több...

10 février 2011

L'apprentissage : un levier pour la diversité sociale ?

http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gifDepuis quelques années, l'apprentissage a le vent en poupe. Autrefois relégué aux formations infra bac et considéré comme une "voie de garage", son image a commencé à changer en même temps qu'il gagnait les sphères de l'enseignement supérieur.
"L'apprentissage dans l'enseignement supérieur connaît une croissance continue depuis une quinzaine d'années", note le rapport des ateliers de l'apprentissage et de l'alternance. En 2008-2009 l’apprentissage dans l’enseignement supérieur représentait un effectif de près de 100000 étudiants, soit 20% des apprentis et 5% de l’ensemble des étudiants.
Des arguments pour l'apprentissage...

Les universités comme les grandes écoles se sont engagées avec enthousiasme sur la voie de l'apprentissage. Cet engouement peut s'expliquer notamment par les apports attendus de ce dispositif en matière de mixité sociale. L'apparition de formations en apprentissage dans le supérieur a en effet donné l'espoir de voir des jeunes titulaires d'un CAP ou d'un bac pro poursuivre vers les filières les plus élevées. Ces parcours ont même été rendus théoriquement possible par la possibilité de signer jusqu'à trois contrats d'apprentissage successifs. De plus, la formule apporte des revenus conséquents aux jeunes les plus défavorisés, leur permettant de financer de longues études...
Une réussite corrélée à une volonté politique

La déconvenue est plutôt amère. Si l'apprentissage semble avoir réussi dans sa mission de professionnalisation des études supérieures, il aurait échoué à les rendre plus démocratiques. Il faut néanmoins se garder d'un trop grand pessimisme. S'il n'est pas le "remède miracle" permettant de gommer les inégalités, certains exemples permettent d'identifier des situations où l'apprentissage, associé à une volonté politique, est un levier de diversité.
A l'intérieur même de l'enseignement supérieur, l'apprentissage fait ses preuves en matière d'ouverture sociale des grandes écoles. En 2009, 35% des apprentis en écoles d'ingénieurs étaient issus des instituts universitaires technologiques (IUT). Ce chiffre doit néanmoins être considéré à l'aune des autres dispositifs mis en place par les grandes écoles pour diversifier leurs effectifs (admissions parallèles, actions de sensibilisation,...).
Pour les filières courtes de l'enseignement supérieur, il est à noter que le plan de rénovation des filières STS (sections de techniciens supérieurs) proposé par Valérie Pécresse accorde une grande place à l'apprentissage. La ministre a souhaité développer fortement l’alternance, "en portant à 30% le taux de diplômés de BTS en alternance, contre 15% aujourd’hui".
La réussite de ce dispositif en matière de démocratisation de l'enseignement supérieur sera cependant soumise à la condition que les bacheliers technologiques et, surtout, professionnels aient accès à ces filières STS et y réussissent. Selon une note du ministère, 19% des nouveaux bacheliers inscrits en STS en 2009 avaient obtenu un bac professionnel (contre 8% en 1999), et 84% d'entre eux passaient avec succès en deuxième année.
Ces bacheliers professionnels sont néanmoins plus nombreux à quitter la filière STS ou à se réorienter. En 2009, si 80,8% des bacheliers généraux avaient obtenus leur BTS et 69,6% des bacheliers technologiques, le résultat tombait à 49,4% pour les bacheliers professionnels. L'avenir dira si davantage d'apprentissage en BTS permettra de changer ces chiffres...
Interview : Sonia Hamoudi – Responsable du programme Emploi et Diversité du réseau IMS-Entreprendre pour la Cité (l'association IMS-Entreprendre pour la Cité fédère un réseau de 200 entreprises, qu'elle accompagne dans la conception et la mise en place d'initiatives en faveur d'une plus grande équité sociale)
Quelles sont les actions menées par IMS-Entreprendre pour la Cité en faveur de l'alternance ?

L'alternance est au cœur des Forums Emploi et Diversité que nous organisons deux fois par an. Le premier a lieu au mois d'avril pour proposer des offres de stage, alternance et jobs d'été, en lien avec les besoins des entreprises à cette période de l'année. Le second a lieu durant le second semestre et propose des offres d'emploi et aussi d'alternance. Ces rendez-vous s'adressent à des jeunes de niveau bac +2 à bac +5, issus de la diversité ou de quartiers sensibles, qui rencontrent souvent de grandes difficultés à décrocher un entretien. On sait qu'un patronyme à consonance étrangère ou la mention de certains lieux d'habitation sur un CV donnent aux candidats 3 à 4 fois moins de chance au candidat d'obtenir un entretien. Cela vaut aussi bien pour un stage, un emploi qu'un contrat en alternance.
Pourquoi promouvoir l'alternance ?

L'alternance est un formidable moyen pour acquérir des compétences qui n'ont pas forcément apportées par la formation initiale, notamment pour connaître son futur métier. Elle va également permettre la construction d'un réseau. Ce dernier point est particulièrement important, car la plupart des jeunes que nous accompagnons sont issus de formations universitaires, qui ne contribuent pas autant à la construction de ces réseaux que les cursus grandes écoles. Enfin, alors que depuis 5 ans la population RH est fortement sensibilisée à la question de la diversité, les managers le sont moins. L'alternance peut ainsi être utilisée comme un moyen pour faire tomber les stéréotypes.
Diriez-vous que les universités ne proposent pas assez de formations en alternance et/ou que les jeunes que vous accompagnez ne connaissent pas suffisamment ce dispositif de formation ?

Non, ce constat était valable il y a 5 ou 7 ans. Mais aujourd'hui les universités proposent des formations en alternance, y compris pour des niveaux Master 1 ou 2 de plus en plus recherchés par les recruteurs. Depuis trois ans nous recevons en outre beaucoup d'appels téléphoniques de jeunes qui nous contactent pour trouver un contrat en alternance. Ils connaissent bien ce dispositif et sont de plus en plus demandeurs.
Nous travaillons avec les services emplois des universités pour présenter leurs candidats aux entreprises du CAC 40 qui font partie du réseau IMS-Entreprendre pour la Cité, et qui ont souvent des habitudes de travail avec les grandes écoles. Nous essayons de faire la connexion entre les deux, de permettre aux entreprises de s'ouvrir davantage aux formations universitaires. Parce que nous sommes convaincus qu'elles y trouveront les talents de demain.

http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gif Az elmúlt években, tanulás a szél a vitorlákat. Korábban kiesett a sub tartály formációk és amely a "kitérő", aki képes változni kezdett egyidejűleg elnyerte a szférák felsőoktatás.
"A tanulás a felsőoktatásban folyamatosan nőtt az elmúlt tizenöt évben," állapítja meg a jelentés a műhelyek a tanulás és váltakozás. 2008-2009 folyamán tanulás a felsőoktatásban képviselt munkaerő közel 100.000 hallgató, 20%-át a szakiskolások és 5%-a az összes versenyző. Még több...

3 février 2011

Croissance extrêmement dynamique de l'apprentissage dans l'Enseignement supérieur

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau01.jpgAu 31 décembre 2009, 424750 jeunes préparent un diplôme en apprentissage, soit une baisse de 0,7% par rapport à la rentrée précédente.
En 2008, la croissance des effectifs avait déjà ralenti (+ 0,6%), après plusieurs années de développement rapide. Cette contraction résulte à la fois d’un contexte économique défavorable qui pénalise l’alternance dans son ensemble et de la réforme du baccalauréat professionnel. Seules les formations de niveau bac + 4 et plus restent très dynamiques, avec des taux de croissance supérieurs à 10 % par an. Télécharger la Note d'Information n° 11.01 janvier 2011.
Sur ces deux années, les spécialités du bâtiment, du bois et de la mécanique perdent le plus d’apprentis, tandis que celles de l’agriculture et de l’alimentation ne sont pas affectées par ces conditions difficiles. Les évolutions régionales sont également contrastées: les effectifs baissent dans la moitié des académies. Enfin, la réussite des apprentis aux principaux examens varie de 90% au baccalauréat professionnel à 70% en BTS à la session 2009.
Perte de vitesse du second cycle professionnel face à l’essor de l’apprentissage dans le supérieur

La conjoncture économique défavorable a des répercussions différentes sur les niveaux de formation. Les niveaux I et II ne semblent pas affectés et poursuivent leur essor (+ 13% en 2008, + 12% en 2009). Toutes les formations (licences, masters, diplômes d’ingénieur et autres certifications) progressent à un rythme soutenu.
Le niveau III, qui affichait depuis 2003 des croissances d’effectifs supérieures à 10%, se stabilise. Les effectifs d’apprentis de ce niveau, préparant en grande majorité un BTS, augmentent de 5% en 2008 et seulement de 1,7% en 2009, soit 4000 apprentis supplémentaires en deux ans. Dans lemême temps, le nombre d’apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au baccalauréat diminue (- 1,5% en 2008 et - 2,6% en 2009).
Avec une hausse de 9000 apprentis en deux ans, les diplômes de niveau bac + 4 ou bac + 5 deviennent donc les nouveaux moteurs de la croissance de l’apprentissage, face à un niveau III qui s’essouffle et à des niveaux V et IV en pleine réorganisation. À la rentrée 2009, un quart des apprentis (soit plus de 100000) suivent une formation de l’enseignement supérieur, contre un cinquième en 2007.
Baisse des effectifs dans la moitié des académies

L’apprentissage est inégalement développé selon les académies, traduisant des disparités dans les tissus économiques locaux mais aussi dans les engagements politiques des conseils régionaux en matière de formation professionnelle. Au 31 décembre 2009, les régions Île-de-France, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Pays de la Loire rassemblent 42% des apprentis tous niveaux de formation confondus et 54% de ceux de l’enseignement supérieur
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau01.jpg December 31, 2009, 424750 fiatalokat készítsen oklevelet a tanulásban, a csökkenés 0,7%-kal az elmúlt vissza.
2008-ban, beiratkozási növekedés már lassult (0,6%), több év elteltével a gyors fejlődés.
  Ez a csökkenés azt mutatja, a kedvezőtlen gazdasági környezet, hogy bünteti a váltakozás egésze, és a reform a szakmai érettségi. Csak alakzatok BA + 4 és élénk maradt, a növekedési ütem meghaladja a 10 %-os évi. Töltse le a tájékoztató számú 11/01 január 2011.
Megrekedt a második fordulóban ellen szakmai fejlődését a tanulás a felsőoktatásban
Gazdasági visszaesés eltérő hatást gyakorolnak a képzési szinten. Szintek I és II tűnik nem érinti, és továbbra is a növekedést (+ 13% 2008-ban, akár 12%-kal 2009-ben)
. Még több...
28 janvier 2011

La « préférence nationale » appliquée à l'apprentissage

http://www.admission-postbac.fr/site/images/logo-admin.jpgPar Marie Barbier. Vous vous appelez Camille Durand, vous passez le bac en juin et devez, par conséquent, vous inscrire, pour la rentrée prochaine, dans une formation d'enseignement supérieur. Comme vos 750000 homologues de terminale, vous saisissez donc votre souris pour vous rendre sur le site Admission post-bac (APB), procédure de pré-inscription mise en place depuis 2008 par le ministère de l'Enseignement supérieur.
Sous le logo de la République française, on vous demande de remplir votre identité, état civil et parcours scolaire. Enfin, les voeux. Après réflexion, ce sera un DUT informatique en apprentissage. Choix de la formation, détails, sélectionner. Écran blanc. Et un message: « Seuls les candidats de nationalité française peuvent s'inscrire dans une formation en apprentissage sur APB ». Car Camille Durand est de nationalité malienne. Mais Camille Durand peut devenir belge ou portugaise (magie de l'informatique), elle verra le même message apparaître. Si seule la fictive Camille Durand était concernée, l'affaire ne serait pas si grave. Mais des étudiants en chair et en os ont déjà fait cette désagréable expérience.
C'est ainsi que la semaine dernière, les professeurs du lycée Albert-Schweitzer au Raincy (Seine-Saint-Denis) ont vu arriver une élève portugaise dans l'impossibilité de s'inscrire. Ils ont d'abord cru à une fausse manipulation avant de lire l'incroyable message. Depuis, ils essayent en vain d'obtenir des éclaircissements du ministère et du rectorat. « C'est antidémocratique, discriminatoire et contraire au droit européen », énumère Emmanuel Mahé, enseignant d'histoire-géo qui n'hésite pas à parler de « préférence nationale ».
« C'est totalement illégal, confirme Stéphane Maugendre avocat et président du Gisti (Groupe d'information et de soutien des immigrés). C'est le refus d'un service à raison de la nationalité. » D'autant que les étudiants étrangers ont le droit de suivre des formations en apprentissage à condition qu'ils aient une carte de séjour adéquate. Quant aux ressortissants communautaires, ils bénéficient de la liberté de circulation et d'installation dans l'espace Schengen.
Alors que le serveur APB est ouvert depuis une semaine, l'affaire crée un vent de panique dans les IUT. Et pour cause : puisque le serveur refuse leur inscription, les élèves appellent directement les instituts dans le but de pouvoir y déposer directement leur dossier. Un directeur d'IUT souhaitant garder l'anonymat dénonce une « mise à mal de l'égalité républicaine » et menace, dans ces conditions, de n'inscrire « aucun étudiant étranger cette année ».
http://www.admission-postbac.fr/site/images/logo-admin.jpg By Marie Barber. You call Camille Durand, you pass the ferry in June and must therefore register for the next school year, training in higher education. Like your counterparts terminal 750,000, so you type your mouse to go to the site post-baccalaureate Admission (PDB), pre-registration procedure in place since 2008 by the Ministry of Higher Education.
Under the logo of the French Republic, you are asked to fill out your identity, marital status and schooling.
Enfin, les voeux. Finally, the vows. Upon reflection, it will be a DUT computer learning. Choice of training, details, select it. White screen. And a message: "Only the French national candidates may enroll in an apprenticeship on PDB. For Camille Durand is a Malian. But Camille Durand can become Belgian or Portuguese (magic of computers), she sees the same message appear. More...
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