Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
8 juillet 2012

L'apprendimento permanente per la crescita del patrimonio culturale, professionale ed economico del Paese - Università

L'apprendimento permanente per la crescita del patrimonio culturale, professionale ed economico del Paese - Il contributo delle Università
Convegno RUIAP - MIUR. L'apprendimento permanente per la crescita del patrimonio culturale, professionale ed economico del Paese - Il contributo delle Università. Roma, 3 Luglio 2012 - CNR, Aula Convegni, Via dei Marrucini 1.
Con il patrocinio della CRUI ed in collaborazione con il CUN. Orario: dalle 9.15 alle 13.45.
Il Convegno ha l’obiettivo di delineare e dibattere sul ruolo delle Università per la definizione e lo sviluppo del sistema nazionale per l’apprendimento permanente.
Partendo dai recenti provvedimenti legislativi, Università, istituzioni e parti sociali si confronteranno nella definizione degli obiettivi specifici, sociali e economici, delle attività di apprendimento permanente e degli strumenti e servizi per la realizzazione di reti territoriali finalizzate a offrire alle persone servizi integrati e partecipati.
Nuovi servizi di istruzione, formazione e lavoro, organicamente collegati per la valorizzazione dei saperi e delle competenze delle persone, concorreranno all’esercizio dei diritti di cittadinanza, alla coesione sociale, alla crescita economica, all’innovazione del modello di welfare e delle politiche del lavoro, all’invecchiamento attivo della popolazione, in modo da sostenere la crescita del patrimonio culturale, professionale ed economico del Paese.
Alla realizzazione delle reti, le Università potranno contribuire attraverso l’inclusione dell’apprendimento permanente nelle loro strategie istituzionali, con un’offerta formativa flessibile e di qualità, che comprenda anche la formazione a distanza e l’innovazione digitale, allargando così gli accessi alla formazione superiore per migliorare la qualità delle risorse umane del Paese, anche come vantaggio competitivo.
Per questo, le Università sono chiamate a rispondere alle esigenze di una nuova popolazione studentesca, diversificata per età e condizioni occupazionali, anche attraverso l’offerta di servizi di orientamento e consulenza di qualità, che permettano il riconoscimento e la valorizzazione degli apprendimenti pregressi, comunque acquisiti dalle persone in contesti formali, non formali e informali, e la certificazione delle competenze.
9:20 -10:15 Saluto ai partecipanti – Luigi Nicolais, Presidente CNR, Introduzione ai lavori, Aureliana Alberici, Presidente RUIAP, Marco Mancini, CRUI, Andrea Lenzi, CUN, Stefano Fantoni, ANVUR, Andrea Waxenegger, EUCEN
10:15-10:45 La politica dell'UE per l'Apprendimento Permanente
10:45-11:15 Le politiche per l'Apprendimento Permanente in Italia, Francesco Profumo, Ministro dell'Istruzione, dell'Università e della Ricerca.
11:15-12:00 L'Università nel sistema per l'Apprendimento Permanente, Giorgio Federici, Università di Firenze, RUIAP (slide), Andrea Stella, Università di Padova, CUN (intervento).
12:00-13:30 L'Apprendimento Permanente per lo Sviluppo – Discussione con: Ministero del lavoro e delle Politiche Sociali – Laura Piatti, CRUI – Corrado Petrocelli, UNIONCAMERE – Claudio Gagliardi, Organizzazioni Sindacali – Marco Paolo Nigi (intervento), Giorgio Santini, Organizzazioni datoriali – Riccardo Giovani, Ivanhoe Lo Bello, Associazione Nazionale Comuni d'Italia, Conferenza delle Regioni – Valentina Aprea, Coordina i lavori: Giuseppe De Rita, Presidente Censis.
13:30-13:45 Conclusione
Elena Ugolini, Sottosegretario di Stato al MIUR. Scarica la brochure (link). Segui il convegno in video streaming (link). Torna a www.ruiap.it. Per informazioni: rete.ruiap@gmail.com.
25 décembre 2013

Devenir ingénieur autrement

http://www.rhonealpes-orientation.org/images/logo_public.pngAlternance, formation continue et VAE : 3 voies pour accéder au diplôme d'ingénieur. 
Cet article d'Usine nouvelle rappelle les différentes voies envisageables aujourd'hui pour décrocher un titre d’ingénieur en dehors de la voie classique de la formation initiale. 
Trois solutions sont présentées  : l’alternance, la formation continue, la validation des acquis de l’expérience (VAE) pour un diplôme qui a la même valeur que celui obtenu en école sous statut étudiant. "Il y a égalité et parité d’estime entre toutes ces voies", expose Christine Julien, responsable compétences à la direction des formations du Conservatoire national des Arts et Métiers (Cnam). La profession y veille : sur le diplôme, rien n’indique comment il a été obtenu. 
Devenir ingénieur autrement",  L'Usine Campus du 21.11.13
Pour en savoir plus sur la VAE, consulter la rubrique "valider son expérience".

7 août 2012

Former pour sécuriser l'emploi

http://www.regionpaca.fr/uploads/pics/logo_paca.pngEn Provence-Alpes-Côte d’Azur, les demandeurs d’emplois, les salariés et les entreprises sont accompagnés. La formation est le levier prioritaire pour favoriser l’emploi et l’activité.
« J’ai suivi cinq semaines de formation en maintenance marine à l’Institut de promotion et de formation aux métiers de la mer, dans le cadre du plan de formation de mon entreprise… C’est une bonne démarche! » Salarié d’une petite PME spécialiste de l’électronique de navigation pour la pêche, la plaisance et la grande plaisance, Stéphane a été directement touché par la crise. Face à la diminution de l’activité et en accord avec son employeur, il a pu suivre une formation cofinancée par la Région. Au bout du compte, il a évité le chômage technique et conservé son salaire. Autre avantage: l’entreprise a été allégée en charges sociales pendant la durée de la formation. Pour le maintien dans l’emploi, la transition ou la reconversion professionnelle des salariés des TPE et des PME en difficulté en Provence-Alpes-Côte d’Azur, la formation des salariés est indispensable. Mieux vaut en effet pour l’entreprise disposer de ressources humaines qualifiées lui permettant de s’adapter aux besoins du marché. De son côté également, mieux vaut pour le salarié développer sa qualification afin de pouvoir évoluer, voire se reclasser, en cas de besoin.
Mutualiser les moyens
Responsable du développement économique sur son territoire et responsable de la formation, la Région a mis en place des dispositifs ciblés, en accord avec les partenaires, visant à apporter des réponses communes face à la crise. Un fonds régional de formation, doté de 5 M€, a ainsi été créé: « IRIS », pour Intervention Régionale pour l’Investissement Social. Il finance des dispositifs nouveaux ou résultant d’une adaptation de mesures existantes. Ce fonds mutualise les moyens et interventions de la Région et de ceux mobilisés par les partenaires sociaux, notamment AGEFOS-PME, OPCALIA, FONGECIF. « Dans le cadre du nouveau fonds IRIS, nous avons deux objectifs: sécuriser l'emploi, en accompagnant le plan de formation des entreprises, et agir directement pour l'emploi en raccourcissant les transitions professionnelles; à cette fin, nous allons expérimenter avec le Pôle Emploi et la Région une « Préparation Opérationnelle à l'Emploi » et accompagner le Contrat de transition professionnelle, explique Vincent Vanadia, président de l’AGEFOS-PME PACA. Nous formerons avant tout les publics les plus fragilisés par la crise, exposés à la perte d'emploi car n’ayant pas ou peu bénéficié de formations ou ayant un niveau de formation insuffisant au regard de l'évolution des technologies ou de l'organisation du travail. Nous devrions accompagner plus de 1 000 personnes ».
Susciter des actions de formation

Ce sont les organismes paritaires interprofessionnels, administrés par les représentants du patronat et des salariés (FONGECIF, etc., ci-dessus cités) qui sont chargés de la collecte et de la gestion des fonds de formation pour les entreprises et/ou les salariés. Le « Pôle emploi » et le Fonds social européen peuvent aussi être associés à certains dispositifs. Les salariés les moins qualifiés ou en situation la plus précaire en bénéficient prioritairement, les entreprises aidées étant bien entendu les plus fragilisées par un carnet de commandes défaillant. Pour les demandeurs d’emploi, mais aussi pour les salariés en insertion, le fonds IRIS peut susciter et financer des actions de formation s’adressant à des demandeurs d’emploi qualifiés qui sont candidats à un projet de recrutement identifié et ont besoin d’une adaptation au poste de travail. Le projet doit être présenté par des acteurs locaux – associations, collectivités ou autres – en réponse à la problématique propre à un territoire donné, à une filière d’activité ou une catégorie de la population particulièrement fragilisée. Enfin, autre volet de ce dispositif: les aides au développement économique, une veille économique avec les partenaires de la Région et un partenariat renforcé avec les entreprises. - Thierry Auffray.
En savoir plus
Jeunes demandeurs d’emploi, apprentis, lycéens, étudiants, adultes… le site regionpaca.fr vous propose un réseau d’information pour les contacts des organismes et centres de ressources pour la formation en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Retrouvez plus d'informations sur Réseau d’accueil et d’information.
Vous pouvez aussi consulter le portail de l'emploi et de la formation en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ce site s'adresse à toute personne, privée ou professionnelle, recherchant des informations dans les domaines de l'emploi et de la formation en région: www.emploiformationpaca.org.
Site dédié aux Métiers en région

Le site Métiers en région a vocation à présenter les caractéristiques des principaux métiers exercés dans notre région, les formations permettant de s’y préparer et les emplois offerts par les entreprises de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
http://www.regionpaca.fr/uploads/pics/logo_paca.png~~VProvence-Alpes-Cote d'Azur, in cerca di lavoro, i dipendenti e le imprese sono accompagnati. La formazione è la leva principale per promuovere l'occupazione e l'attività. Questi organismi paritetici interprofessionali, amministrato da rappresentanti dei datori di lavoro e dei lavoratori (FONGECIF, ecc., Già citata) che sono responsabili per la raccolta e la gestione dei fondi per la formazione per le imprese e/o dipendenti. Il "centro per l'impiego" e il Fondo sociale europeo può anche essere associata a determinati dispositivi. Più...
25 février 2011

Symposium for European Rectors/Presidents: Fundraising for Excellence

http://www.dcprovidersonline.com/client_logos/NewSmall.jpgMay 18 - 19, 2011, ParisTech, France
ParisTech is to host the fourth Symposium for European Rectors/Presidents: Fundraising for Excellence.
This fourth Symposium for European Rectors/Presidents will contribute to:
* Reinforcing the understanding of the role of the rector and other senior managers in development
* Clarifying mutual expectations of the rector, development staff and campaign leaders
* Ensuring development activities are embedded in the strategic plan.
The event is being built for rectors to attend on their own, with members of their senior academic team and/or with their development director. Contact: Laure-Anne Garnier, European Projects Manager CASE Europe, garnier@case.org.
Program
Fundraising in a non-Anglo-Saxon context:
a) case study, speaker TBC
b) different institutional strategies, different fundraising models, Corinne Degoutte, Executive Director, Fondation ParisTech; Xavier Michel, President, École Polytechnique; Bernard Ramanantosa, President, HEC; interviewed by John Lippincott, President, CASE
Expert discussions

* Breakout group A: The key partnership between Development Director and the Rector: selection, mutual roles and expectations in the context of organisation-wide changes, Philip Eijlander, Rector Magnificus, Tilburg University
* Breakout group B: Setting up a Development office: timeline and expected return on investment, Donald Tillman, CEO, ETH Zurich Foundation
Funding and philanthropy for autonomous universities: the role of university leadership, Thomas Estermann, Head of Unit Governance, Autonomy and Funding, European University Association
Aligning a donor's motivations and university priorities, Panel of donors including Daniel Bernard, Chairman Kingfisher plc and President, Fondation HEC and Sandra Craig, Trustee, The American University of Paris; moderated by Joanna Motion, Vice President for International Operations, CASE
Capital Campaigns: do you need one? And when do you know you're ready? Eric Thomas, Vice-Chancellor, University of Bristol; Chair of the Board of Trustees, CASE Europe and President and Chair elect, Universities UK
*Breakout Session A: Chairing a campaign and enhancing a culture of philanthropy amongst stakeholders, Regis Bello, President, Fondation Université de Strasbourg
*Breakout Session B: Fundraising from different constituencies: Alumni v Corporate - what works and how do you decide? Caroline Mattingly-Scott, Director of Fundraising, Goethe University, Frankfurt
23 juin 2014

Quelle prospective régionale des métiers et des qualifications ?

Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. Le Commissariat Général à la Stratégie et à la Prospective (CGSP) et le CEREQ viennent de publier un document de près de 200 pages sur l’instrumentation de la prospective territoriale dans le champ des métiers et des qualifications. http://www.strategie.gouv.fr/blog/2014/05/prospective-metiers-qualifications/. Suite de l'article...

17 juin 2014

Un master de l’IAE d’Aix-en-Provence labellisé Académie d’Excellence

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireLa fondation universitaire AMIDEX vient de décider de labelliser "Académie d’excellence" un master de l’IAE d’Aix-en-Provence, préparant les étudiants au management de projets innovants.
A l’issue d’un appel à projet lancé fin 2013, la Fondation Universitaire AMIDEX vient de décerner le label "Académie d’Excellence" au Master Global Innovation Management (MGIM) de l’IAE d’Aix-en-Provence. Produit d’un partenariat avec Poole College of Management - North Carolina State University (Etats-Unis), ce master délivre un double diplôme, et prépare les étudiants, dont 70 % sont internationaux, au management de projets innovants grâce à une pédagogie par projets et un accompagnement personnalité. Suite...

7 juin 2014

Le label «Master européen en traduction» est attribué à 60 universités

Go to EUROPA homepage. EUROPA logoLa Commission européenne a communiqué la liste des universités sélectionnées pour son label « Master européen en traduction » (EMT).
Plus de 60 établissements présents dans 21 États membres recevront ce label attribué aux meilleurs cours de niveau master destinés aux traducteurs. Le Master européen en traduction vise principalement à améliorer la formation des traducteurs et à permettre aux institutions européennes de recruter des traducteurs de très haut niveau. Les universités ayant reçu l'approbation de la Commission sont autorisées à rejoindre le réseau EMT pour une durée de cinq ans et reçoivent un financement devant permettre aux enseignants d'assister à sa conférence annuelle et à ses séminaires.
Mme Androulla Vassiliou, commissaire européenne à l'éducation, à la culture, au multilinguisme et à la jeunesse, a déclaré à cet égard: «Le Master européen en traduction est la référence en matière de qualité dans le domaine de la formation des traducteurs. Il fonctionne comme une plateforme de bonnes pratiques et de coopération avec les universités et l'industrie des langues. Une formation de qualité dans l'enseignement supérieur est fondamentale pour les services de traduction fournis par les institutions européennes.»
Le Master européen en traduction promeut l'échange des meilleures pratiques entre universités, l'amélioration des normes d'enseignement, des programmes d'études qui tiennent compte des besoins du marché pour améliorer l'employabilité des diplômés, ainsi que la création d'un marché du travail vraiment européen pour les traducteurs compétents.

France
Brest:
Master in Translation & Technical Writing
Université de Bretagne Occidentale (UBO), UFR Lettres et Sciences Humaines Victor-Segalen

Grenoble:
Master’s Programme in Applied languages : Multilingual Specialised Translation
Université Stendhal Grenoble 3, UFR de Langues étrangères

Lille:
Masters in Multilingual Specialised Translation
Université Charles-de-Gaulle Lille 3, UFR des Langues Etrangères Appliquées (LEA)

Metz:
TETRA Master's Degrees : Translation Technologies
Université de Lorraine (UDL), UFR Lettres et Langues

Mulhouse:
Master's programme in Scientific and Technical Translations
Université de Haute-Alsace (UHA), FLSH, Département de Langues Etrangères Appliquées (LEA)

Paris:
Language Engineering and Specialized Translation
Université Paris VII: Denis Diderot, UFR EILA (Etudes interculturelles de langues appliquées)
Master’s degree in Editorial, Economic and Technical Translation
Université Paris III: Sorbonne Nouvelle, Ecole Supérieure d’Interprètes et de Traducteurs (ESIT)
Master in Management, Communication et Translation
ISIT, Institut de management et de communication interculturel

Rennes:
Master's degree in Translation and localisation and multilingual multimedia communication
Université Rennes 2, UFR Langues, Centre de formation des traducteurs-localisateurs, terminologues et rédacteurs

Strasbourg:
Master’s Degree in Professional Translation
Master’s Degree in Audiovisual Translation and Accessibility
Master’s Degree in Literary Translation
Université de Strasbourg, UFR Langues et Sciences Humaines Appliquées, Institut de Traducteurs, d'Interprètes et de Relations Internationales

Toulouse:
Master’s in Translation, Interpreting and Mediation.
Université Toulouse 2 – Le Mirail, UFR de Langues, Littératures et Civilisations étrangères et régionales,
CeTIM Centre de Traduction, Interprétation et Médiation linguistique.

Pour en savoir plus sur le projet EMT:
http://ec.europa.eu/dgs/translation/programmes/emt/index_fr.htm
http://ec.europa.eu/dgs/translation/programmes/emt/network/index_fr.htm.
Pour en savoir plus sur les stages
DG Traduction. Voir l'article...

23 mai 2014

AERES: la FC à l'Université Panthéon-Assas − Paris II

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2013. Il n'y pas de partie spécifique "formation continue". Voici les passages mentionnant la "formation continue".
P.13 - Ces opérations visent à fluidifier la circulation des étudiants ou à contribuer à la formation continue des professionnels.
P.15 - Un effort important a été déployé pour offrir un nombre conséquent de formations à l’apprentissage (vingt et une en 2008-2009 à vingt-sept en 2011-2012 dont vingt spécialités de master). L’enjeu de la professionnalisation a été intégré dans la stratégie de l’établissement comme le montre également le développement des initiatives du Centre de formation permanente en matière de formation continue mais dont le potentiel de développement ne paraît pas totalement mesuré, encouragé et exploité.
P.16 - Le centre de formation permanente joue aussi un rôle actif dans l’insertion des diplômés non encore insérés dans la vie active, et ce par le biais des relations qu’il entretient avec le monde professionnel. Les associations d’anciens étudiants du master 2 jouent aussi sur un sentiment très fort d’appartenance et facilitent la recherche de stages ou d’emplois. Télécharger le Rapport d'évaluation de l'Université Panthéon-Assas − Paris II.

21 avril 2014

Com' : Le nouveau site de l'Université de Toulon est en ligne

Com' :
Le nouveau site de l'Université de Toulon est en ligne :
Cliquer pour voir. Suite...
Formation tout au long de la vie - Université de Toulon
Le service Formation Tout au Long de la Vie (FTLV) est un guichet unique pour l’usager comme pour l’entreprise.
Il développe les divers axes de formation à destination de multiples publics, tout en répondant aux besoins socio-économiques de notre région.

28 avril 2014

Education and training for growth and jobs

European Commission logoWhat is it about?
Education and training are crucial for both economic and social progress, and aligning skills with labour market needs plays a key role in this. By the same token, under its Europe 2020 strategy to respond to the economic crisis, the EU set targets to bring the number of early school-leavers down to below 10% and increase the share of graduates from tertiary education to at least 40% by 2020.
Why is it needed?
In an increasingly globalised and knowledge-based economy, Europe is in need of a well-skilled workforce to compete in terms of productivity, quality, and innovation. Recent evidence, however, suggests that 20% of the EU working age population has low literacy and numeracy skills. This adds to the growing mismatch between the skills people acquire and what is demanded on the labour market. These factors contribute to unemployment and limit growth. Education and training also bolster the personal development and active citizenship and promote equity, social inclusion and cohesion.
How does it work?
While the responsibility for education and training systems lies with the Member States, the EU has a key role in supporting and supplementing efforts to improve and modernise their education systems. The objectives, instruments and arrangements for joint work at EU-level are outlined in the strategic framework, referred to as ET 2020. This framework is valid until 2020. Within this framework, priority areas are identified to plan activities over "work cycles " of three years each. Progress is monitored with the help of indicators and against a set of benchmarks, designed to contribute to evidence-based policy making and identifying challenges. Under the Europe 2020 Strategy , Member States are given specific guidance on priority reforms each year ("Country-specific recommendations").
What does it involve?
In order to ensure the successful implementation of ET2020, the EU relies on Working Groups composed of experts nominated by Member States and other key stakeholders. This work is part of a broader cooperation, known as the Open Method of Coordination, which aims to promote mutual learning, exchange of good practices, fostering national reforms and developing EU-level tools. The EU also carries out country analyses to support Member States in the development of their education and training policy. These respond to challenges that are identified at EU, national, and regional level, and aim to support mutual learning, exchange of best practices, identifying investment needs and assessing progress. The EU also promotes numerous consultation and cooperation activities involving stakeholders such as learning providers, civil society, businesses, and social partner organisations. The Education, Training, and Youth Forum is the annual platform for exchanges of views between the various stakeholders in education, training and youth .
What are the next steps?
In 2014-2020, EU Member States can use the opportunities available through the Erasmus+ programme and the European Structural and Investment Funds to improve the performance of their education and training systems. See more...

27 avril 2014

Université Schuman d'Aix-en-Provence

Depuis un an, le plus important campus de lettres et sciences humaines du Sud Est de la France, le site Aix Schuman a pris possession de trois nouveaux bâtiments conçus par l'agence Dietmar Feichtinger Architectes. Ces bâtiments constituent un sous-ensemble traversé par deux axes de cheminement qui créent en leur centre un forum, lieu de rencontre et d’échanges. Avec cette réalisation esthétique et contemporaine, le campus valorise son image dans la ville.
Les nouveaux bâtiments, Lettres et Sciences Humaines, Pôle Multimédia, pôle administratif et de la présidence, s’organisent dans une forme rectangulaire elle même reliée d’un côté au centre Schuman et de l’autre vers le restaurant universitaire, la cité universitaire et la future médiathèque. Le forum est un espace minéral agrémenté d’arbres.  Cet espace semi-public extérieur établit une centralité dans la fusion des axes piétons, un lieu de rencontre des personnels administratifs, chercheurs, enseignants et étudiants.  A l’extérieur du forum des espaces verts autour du bâtiment créent un filtre. Suite...

26 avril 2014

La formation continue dans l'enseignement supérieur français

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
18 la formation continue dans l'enseignement supérieur
En 2011, la formation continue dans l'enseignement supérieur a réalisé un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros en progression de 6 % par rapport à 2010. Elle représente donc 2 % du chiffre d'affaires de la formation professionnelle en France. Elle a accueilli 450 000 stagiaires, délivré 71 300 diplômes dont 48 000 diplômes nationaux.
En 2011, si la formation continue dans l'enseignement supérieur accroît son chiffre d'affaires de 6 % elle connaît une stabilité du nombre de stagiaires (448 000), par rapport à 2010 (tableau 18.01). En termes de chiffre d'affaires, elle occupe une place très modeste au sein de la formation professionnelle en France (2 % du chiffre d'affaires total de 2010). Les fonds privés, entreprises ou particuliers, représentent 65 % des ressources des établissements en matière de formation professionnelle - leur part atteint même 71 % dans les universités - alors que les fonds publics régressent à 27 % et même à 22 % dans les universités (tableau 18.02).
Les formations proposées par les universités progressent en chiffre d'affaires de 6 % et de 1 % pour le nombre de stagiaires et le volume d'heures-stagiaires. Le CNAM connaît une hausse de 5 % du nombre d'heures stagiaires pour un nombre inchangé d'auditeurs et pour un chiffre d'affaires qui augmente de 4 %. Après redressement, la durée moyenne des stages reste à 152 heures comme en 2010.
Les IUT ne forment que 5 % du nombre de stagiaires de formation continue des universités (24 000) mais représentent 15 % des inscrits à la préparation d'un diplôme national et 52 % des contrats de professionnalisation signés avec l'université.
En 2011, 340 000 stagiaires étaient inscrits en formation continue à l'université dont 69 000 au titre des conférences inter-âges. Sans les inter-âges, sur les 271 000 inscrits restant, la part des salariés stagiaires inscrits à divers titres (plan de formation, contrat de professionnalisation ou congé individuel de formation) reste stable avec 45 %, et celle des demandeurs d'emploi 14 % (graphique 18.03) alors que la part des stagiaires payants inscrits à leur initiative (particuliers hors inter-âges) gagne deux points (31 %). Les stagiaires demandeurs d'emploi sans aucune aide représentent près du tiers des demandeurs d'emploi.
En 2011, plus de la moitié des stagiaires préparent soit un diplôme ou un titre national (30 %) soit un diplôme d'université (22 %), ce qui représente une consolidation des formations diplômantes longues. Les stages courts qualifiants, d'une durée moyenne de 27 heures, attirent 23 % des inscrits et la fréquentation des conférences à caractère culturel représente 21 % des inscrits.
Le nombre des diplômes délivrés dans le cadre de la formation continue universitaire a augmenté de 5 % en 2011. Sur les 71 400 diplômes délivrés, 67 % sont des diplômes nationaux (47 800). Parmi ceux-ci, 44 % sont de niveau II (licences générales, licences professionnelles et maîtrises), 35 % de niveau I (master et diplômes d'ingénieur), 12 % de niveau IV et 9 % de niveau III, essentiellement des diplômes universitaires de technologie (DUT) (tableau 18.04). En 2011, la part des diplômes de formation continue dans l'ensemble des diplômes délivrés par les universités s'établit à 10 % comme en 2010. Cette part dépasse 25 % en licence professionnelle.
La validation des acquis de l'expérience constitue un autre moyen d'acquérir un diplôme en faisant valoir son expérience professionnelle. Depuis 2002, ce dispositif se développe dans l'enseignement supérieur (universités et CNAM) en plus de la validation des acquis professionnels (décret de 1985) qui permet d'accéder à une formation par une dispense du titre normalement requis. En 2011, environ 4 000 validations ont été délivrées pour obtenir tout ou partie d'un diplôme dont 2 400 diplômes complets. Joëlle Grille.

Source : MENESR-DEPP.

Champ : France entière (métropole, DOM, Polynésie Française et Nouvelle Calédonie). Tous les établissements supérieurs sous tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et dont la mission est de proposer des formations d'enseignement supérieur sont concernés. Les universités et leurs composantes, les INP, les universités de technologie, constituent la catégorie « Universités ». L'INALCO et les IEP de Paris et de province et l'IAE de Paris ainsi que les écoles d'ingénieurs rattachées, les Écoles normales supérieures et quelques grands établissements, les écoles et instituts extérieurs aux universités, entrent également dans le champ de l'enquête sous la catégorie « Autres EPSCP et EPA ». La troisième catégorie se compose du CNAM et de ces centres régionaux affiliés au sein de l'ARCNAM..

Stagiaire : la notion de stagiaire correspond à une inscription et non pas à une personne physique. Une personne physique peut être inscrite à plusieurs formations et compter comme autant de stagiaires.

Heures-stagiaires : unité de mesure, nombre de stagiaires multiplié par la durée moyenne des stages.

26 avril 2014

L'insertion professionnelle des diplômés d'université (Master, DUT, LP)

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
21 l'insertion professionnelle des diplômés d'université (Master, DUT, LP)
Près de 9 diplômés 2010 sur 10 de Master, Licence professionnelle et DUT sont en emploi en décembre 2012, 30 mois après leur entrée dans la vie active. Ce taux d'insertion est en recul d'un point par rapport à la précédente promotion pour ces diplômés confrontés à un contexte économique moins favorable. Les diplômés de Master ont bénéficié tout de même d'une forte augmentation des embauches dans l'enseignement public.
Au moment de l'enquête (1er décembre 2012), les jeunes sortis en 2010 de l'université après l'obtention d'un Master, d'une Licence professionnelle (LP) ou d'un DUT sont confrontés à un contexte économique moins favorable que celui qu'ont connu un ou deux ans avant leurs prédécesseurs sortis en 2009 ou 2008. Le taux de chômage en France métropolitaine a augmenté de 0,8 point entre le quatrième trimestre 2011 et le quatrième trimestre 2012 passant de 9,4 % à 10,2 %. La situation de ces jeunes vis-à-vis de l'emploi reflète cette évolution : aussi bien en Master qu'en LP et en DUT, leur taux d'insertion est inférieur d'un point à celui mesuré un an auparavant sur la promotion précédente : 90 % contre 91 % en Master, 91 % contre 92 % en LP et 88 % contre 89 % en DUT. Ainsi, malgré leur âge, leur taux de chômage n'a pas réagi plus fortement à la conjoncture économique que celui des plus âgés. La dégradation de la conjoncture n'a pas non plus conduit un nombre plus grand d'entre eux à poursuivre ou à reprendre des études après l'obtention de leur diplôme, sans doute parce que cette dégradation n'est intervenue que 18 mois après la fin de leurs études (graphique 21.01). En Master, comme les années précédentes, les diplômés de Droit-Économie-Gestion (DEG) et Sciences-Technologies-Santé (STS) bénéficient de conditions d'embauche nettement plus favorables que ceux de Sciences humaines et sociales (SHS) et de Lettres-Langues-Arts (LLA), aussi bien en termes d'insertion qu'en termes de qualité des emplois occupés et de niveau de salaire (graphique 21.02). Ces différences subsistent malgré le fait que la dégradation du contexte économique semble avoir affecté les diplômés de STS plus que les autres : leur taux d'insertion diminue d'un point, de 92 % à 91 %, alors qu'il se maintient globalement dans les autres domaines.
Six diplômés de master sur dix travaillent dans une entreprise privée, deux dans la fonction publique et un dans une association. L'évolution déjà perceptible l'année précédente se poursuit : les recrutements dans les entreprises privées diminuent (62 % pour les diplômés 2010 contre 63 % l'année précédente et 66 % deux ans auparavant) et ceux de la fonction publique augmentent (20 % pour les diplômés 2010 contre 18 % l'année précédente et 15 % deux ans auparavant), plus précisément dans l'enseignement public, qui a recruté 6 % des diplômés de Master 2010 contre 4 % de la promotion précédente. Ces recrutements supplémentaires concernent tous les domaines de formation sauf le DEG.
Les diplômés de DEG se dirigent principalement vers les activités financières ou d'assurance (19 %). L'enseignement (24 %) a recruté un diplômé de LLA sur quatre, contre un sur cinq de la promotion précédente. Près de la moitié des diplômés de STS rejoignent le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques (24 %), ou l'industrie (19 %) (graphique 21.03).
Dans 45 % des cas, l'emploi occupé par un diplômé de Master se situe en dehors de la région de son université. La proportion est moindre pour les diplômés de LP (40 %) et de DUT (30 %). 6 % des diplômés de Master en emploi travaillent à l'étranger. Ils sont 3 % en LP et 2 % en DUT. Isabelle Maetz.

19 mars 2014

Comment fonctionne la VAE à l'Université ?

Osez la VAE dans l’enseignement supérieur !
Trouvez, dans la Région PACA (Provence-Alpes-Côte d'Azur) et dans toute la France,
l'Université qui vous permettra de valider vos acquis dans l’enseignement supérieur.
En Provence-Alpes-Côte d'Azur, cinq établissements peuvent valider vos acquis dans l’enseignement supérieur :

Voir les détails et les coordonnées de ces établissements dans l'article Trouvez l'Université où vous pourrez valider vos acquis.

En France, plus de 80 autres universités peuvent valider vos acquis dans l’enseignement supérieur : Université Angers, Université d'Artois, Université d'Auvergne, Université de technologie de Belfort-Montbéliard, Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand, Université de Bordeaux, Université Bordeaux 1 - Sciences Technologies, Université Bordeaux Segalen, Université Montesquieu - Bordeaux IV, Université Bordeaux Montaigne, Université de BourgogneRéUniva4, Université Européenne de Bretagne (UEB), Université de Bretagne Occidentale (UBO), Université de Bretagne-Sud (UBS), Université Caen Basse-Normandie, Université de Cergy-Pontoise, Centre Universitaire Jean-François Champollion (CUFR), Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), Université de technologie de Compiègne, Università di Corsica Pasquale Paoli, Université d'Évry-Val d'Essonne, Université de Franche-Comté, Université de Grenoble, Université Joseph-Fourier - Grenoble 1, Université Pierre-Mendès-France, Université Stendhal-Grenoble 3, Université de Haute-Alsace - Mulhouse-Colmar, Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), Université de La Réunion, Université de La Rochelle, Université du Havre, Université Lille 1 - Sciences et Technologies, Universite Lille 2 - Droit et Santé, Université Charles de Gaulle - Lille 3, Universite de Limoges, Université du Littoral Côte d'Opale, Université de Lorraine, Université Claude-Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, Université Jean Moulin Lyon 3, Université du Maine, Université Montpellier 1, Université Montpellier 2 Sciences et Techniques, Université Paul-Valéry Montpellier 3, Université de Nantes, Université de Nîmes, Université de la Nouvelle-Calédonie, Université d'Orléans, Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne, Université Panthéon-Assas (Paris 2), Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Université Paris-Sorbonne, Université Paris Descartes, Université Pierre et Marie Curie, Université Paris Diderot Paris 7, Université Paris 8, Université Paris-Dauphine, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Université Paris-Sud, Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, Université Paris 13 Nord, Université Paris-Est Marne-la-Vallée, Université de Pau et des Pays de l'Adour, Université de Perpignan Via Domitia, Université de Picardie Jules Verne, Université de Poitiers, Université de la Polynésie française, Université de Reims Champagne-Ardenne, Université Rennes 1, Université Rennes 2, Université Jean Monnet Saint-Étienne, Université de Savoie, Université de Strasbourg, Université Toulouse 1 Capitole, Université de Toulouse II - Le Mirail, Université Toulouse III – Paul Sabatier, Université François-Rabelais de Tours, Université de Technologie de Troyes, Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.

Voir les détails et les coordonnées de ces universités dans l'article Trouvez l'Université où vous pourrez valider vos acquis.

18 septembre 2012

38.200 diplômés en FP continue

Blog Educpros de Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpgSuite des chroniques sur la formation professionnelle continue dans les universités. Chronique: "Évaluation de la formation continue": "dépense nationale pour la formation continue en 2009: 31,3 milliards d’euros. Chiffre d’affaires des universités (dont INP et IUT) en 2010: 243,4 millions d’euros"… Faible présence des universités sur le marché de la formation continue. Il leur faut progresser!
En 2010, les universités ont délivré 38.200 diplômes nationaux en formation continue (RERS 2012, indicateur 8.28). 68.200 diplômes nationaux et d’université ont été délivrés par les établissements dépendant du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. 64% de ces 68.200 diplômes (soit 43.800) sont des diplômes nationaux; ils représentent 10% de l’ensemble des diplômes nationaux délivrés, en formation continue ou initiale. Les autres diplômes délivrés sont des diplômes d’universités (DU dont les droits d’inscription sont libres).
Les universités, les universités technologiques et les INP ont délivré 38.200 diplômes nationaux (+18% par rapport à 2009). Il faut se féliciter de cette forte progression et signaler que les autres établissements rattachés au MESR délivrent beaucoup moins de diplômes nationaux: 4.650 délivrés par le CNAM et 945 par les Grands établissements et les Écoles d’ingénieurs publiques.
Sur les 43.800 diplômes nationaux délivrés en formation continue dans les 3 types d’établissements du MESR, 36% ont été délivrés au niveau I, 42% au niveau II, 9 % au niveau III, 13% au niveau IV (diplôme d’accès aux études universitaires, DAEU).
Deux diplômes professionnels sont particulièrement prisés: la licence professionnelle (10.700 licences délivrées, dont 56% dans les IUT; 9.500 en 2009), le master professionnel (6.800 diplômes délivrés). Au niveau IV, plus de 5.000 DAEU délivrés, soit une augmentation de 6% par rapport à 2009.
Malheureusement, les RERS 2012 ne donnent pas de répartition des diplômes nationaux délivrés par académie. L’évolution fort favorable observée de 2009 à 2010 varie-t-elle d’une région à l’autre ?
La CPU défend le développement de la formation tout au long de la vie (FTLV). Colloque 2012, proposition 10: "Renforcer le rôle des universités dans la FTLV des salariés des secteurs public et privé. Les universités doivent prendre toute leur place dans la formation tout au long de la vie des salariés pour accroître leurs qualifications supérieures tout au long de leur vie professionnelle et renforcer leur capacité d’innovation par l’adossement de la formation à la recherche. Dans ce cadre la CPU propose, entre autres, d’associer plus étroitement les universités à la formation initiale et continue des fonctionnaires des trois fonctions publiques: d’Etat, territoriale et hospitalière".
Blog Educpros Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpg Following chronic vocational training in universities. Chronicle: "Evaluation of training", "national expenditure for training in 2009: 31.3 billion euros. Turnover of universities (INP and IUT) in 2010: € 243.4 million "... Low presence of universities on the market for training. They need to grow!
In 2010, universities have issued 38,200 national diplomas in training (RERS 2012, indicator 8.28).
68,200 national and university diplomas issued by institutions under the Ministry of Higher Education and Research. 64% of 68 200 degrees (or 43,800) are national diplomas, they represent 10% of all national diplomas issued in initial or continuing education. Other diplomas are university diplomas (DU whose fees are free). More...
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université du Havre

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, dans le paragraphe Le pilotage de l’offre de formation, il y a une partie spécifique Formation Continue:
2- Une politique de formation tout au long de la vie en devenir

La précédente évaluation AERES indiquait que cette dimension avait du mal à trouver sa place au niveau de l’établissement. La volonté de l’UdH de favoriser la reprise d’études au niveau supérieur se limitait à une offre de diplômes d’accès à des enseignements universitaires : DAEU A et B, Capacité en Droit.
Des objectifs explicites n’ont été définis que récemment pour le service commun de la formation continue (SFC), qui a désormais compétence sur l’ensemble de l’activité des composantes en la matière, le CA de l’université jouant le rôle du conseil de gestion prévu par le décret 85-1118. La gestion du CFA universitaire lui est également confiée avec une comptabilité séparée.
L’équilibre financier du SFC a été rétabli malgré une réduction des moyens attribués par le Conseil Régional. Les objectifs visent le développement de la VAE (21 dossiers en 2009, sensiblement au même niveau que les universités de Rouen et de Caen), la définition d’une offre de formations qualifiantes appuyée sur les compétences des laboratoires et des unités de formation, la mise en oeuvre de partenariats extérieurs et l’instauration d’un guichet unique pour les publics concernés. L’UdH souhaite ainsi augmenter de 50 % son activité de formation continue. Pour atteindre les objectifs envisagés, l’établissement doit s’inscrire dans la durée et créer les conditions d’une plus grande mobilisation des EC dans ce domaine.
Conclusion et recommandations

L’offre de formation continue de l’UdH ne répond pas aux attentes qu’auraient pu faire naître la dimension professionnalisante de ses enseignements ainsi que son ancrage dans le tissu socio-économique local. Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation du Havre par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Ten raport jest lipca 2011 roku. W strategii na szkolenia w ust pilotów zapewnienie szkolenia, nie ma określonej części kształcenia ustawicznego:
2 - polityki kształcenia przez całe życie staje się

Aeres poprzedniej oceny wskazują, że wymiar ten starał się znaleźć swoje miejsce w obiekcie.
Woli UDH promowanie wznowienia studiów na wyższym poziomie była ograniczona do zakresu stopni dostępu do szkolnictwa wyższego: USDA A i B, odpowiednia pojemność.
Wnioski i zalecenia
Prowadzenie szkolenia z UDH nie spełnia oczekiwań, które mogą urodzić się do profesjonalizacji wielkości jego nauki i swoje korzenie w rozwoju społeczno-gospodarczego. Pobierz raport. Więcej...
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université de Rennes 1

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une partie III, spécifique Formation Continue:
III – Formation continue

Le service de formation continue (FC), dirigé par un EC, travaille dans des conditions difficiles du fait d’un renouvellement important du personnel. Le service manque de personnel qualifié et nécessiterait donc de faire l’objet d’un repyramidage des emplois.
Pour autant, le nombre de stagiaires a considérablement augmenté (6626 en 2009 contre 3859 en 2006) ainsi que celui des diplômés hors validation des acquis de l’expérience (VAE): 976 en 2009 contre 706 en 2006.
La VAE est bien structurée et se révèle performante: le nombre de dossiers est en augmentation, passant de 27 en 2006 à 78 en 2008. Il est regrettable que toutes les composantes ne s’investissent dans la FC, ainsi la chimie et l’électronique, qui sont pourtant des pôles forts de l’établissement.
Autres passages concernant la FC
Présentation

L’UR 1 accueille un peu moins de 25000 étudiants en 2009-2010, dont approximativement 40% en droit, économie, gestion et sciences humaines et sociales, 40% en sciences et 20% en santé. Le nombre d’étudiants en formation continue est de l’ordre de 3000. La répartition des effectifs entre les différents cycles est: 52% en licence, 43% en master et 5% en doctorat. Le nombre de diplômes de doctorat délivrés en 2010 est de 260. Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation de Rennes 1 par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png This report is June 2011. In the strategy for training, there is a Part III, specific Continuing Education:
III - Continuing Education

Service of continuing education (CE), led by an EC, working in difficult conditions due to a high staff turnover.
  The lack of qualified service and therefore requires to be a repyramidage jobs.
However, the number of trainees has increased significantly (6,626 in 2009 against 3859 in 2006) as well as of graduates outside validation of acquired experience (VAE): 976 in 2009 against 706 in 2006.

APEL is well structured and proves successful: the number of cases is increasing, from 27 in 2006 to 78 in 2008.
It is unfortunate that not all components are involved in the CF and the chemistry and electronics, which are however strong the poles of the institution. Download the report. See the CF in the previous assessment of Rennes 1 by AERES. More...
12 août 2011

AERES: la FC du site de Toulouse

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011.La Formation continue est évoquée dans le chapitre III – Un PRES “Université de Toulouse” enfin reconstruit autour du Plan Campus et des appels à projets “Initiatives d’excellence” de la partie Le potentiel d’enseignement supérieur et de recherche en Midi-Pyrénées:
En termes de formation, les objectifs initiaux du PRES de Toulouse étaient peu nombreux, mais progressivement l’implication du PRES dans ce domaine a évolué. L’installation du Département “Formation et Vie Etudiante”, comportant un bureau composé des vice-présidents du CEVU des six membres fondateurs, traduit concrètement l’évolution de cette stratégie. Le Département FVE a notamment pour objectifs d’organiser la réflexion pour améliorer la cohérence de l’offre de formation et de la promouvoir, d’encourager les projets inter-établissements et les formations transversales, de favoriser l’innovation pédagogique (grâce à un fond Bonus Qualité Formation) et de développer les actions de coopération autour des formations. Des actions significatives ont été développées concernant notamment la formation continue, la VAE, l’apprentissage des langues. La promotion des licences professionnelles est une action exemplaire, conduisant à une meilleure lisibilité et impactant l’ensemble du territoire de la région Midi-Pyrénées. Télécharger le rapport PRES Toulouse.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Ten raport jest od czerwca 2011. La Kształcenie jest omówione w rozdziale III - PRES "Université de Toulouse" wreszcie przebudowany około planu Campus i wzywa do projektów "Inicjatywy doskonałości" potencjalnych stron szkolnictwa wyższego i badań w Midi-Pyrenees:
Znaczących działań zostały opracowane na takie szkolenie, VAE nauki języka. promocji licencje zawodowe jest przykładowym, co prowadzi do czytelność i mają wpływ na cały Midi-Pyrenees. Pobierz okolicach Tuluzy. Więcej...
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université d'Orléans

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, dans le paragraphe III – Une offre de formation abondante mais mal contrôlée, il y a une partie spécifique Formation Continue:
5 - Formation continue et apprentissage

La formation continue est organisée dans le cadre d’un service commun, le service de la formation continue et d’apprentissage, dont le chiffre d’affaires est voisin de 850000 €. Elle concerne environ 10 % des effectifs de LP. La validation des acquis de l’expérience n’est pas encore prise en compte dans le référentiel, ce qui nuit incontestablement à son développement qui doit se faire en relation avec les différents centres régionaux de formation par l’apprentissage.
L’apprentissage en revanche apparaît beaucoup plus développé et concerne tous les niveaux d’enseignement, y compris les M2 comme en droit.
Autres passages concernant la FC
1 - L’équipe de direction et le dialogue avec les composantes

Le nombre de vice-présidents (VP) concernés par l’offre de formation est conséquent. On relève deux VP-CEVU, l’un chargé plus spécifiquement de la masterisation des métiers de l’enseignement et du pilotage de ce conseil et l’autre de “l’attractivité et de l’évaluation des formations” et du Plan réussite en licence; un VP chargé de la formation en alternance et de la formation continue, et le VP “moyens et budget”.
2 - Activités sportives et de médecine préventive

L’action de la passerelle handicap porte essentiellement sur l’aménagement des examens et des études. Elle entreprend une démarche prospective, en travaillant sur l’accessibilité au bâti des étudiants en situation de handicap, au numérique et aux activités de vie étudiante, sur la continuité de leurs parcours et en intervenant au niveau des formations (réflexion sur le développement de LP en formation continue, formation à la langue des signes, etc.). Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation d'Orléans par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Käesolev aruanne on juulist 2011. Strateegias koolituse lõikes III - pakkumisi rikkalik, kuid halvasti kontrollitud, on teatud osa Täiendharidus:
5 - Täiendharidus ja õppimine

Koolitus on korraldatud ühiseid teenuseid, täienduskoolituse ja õppimine, mille käive on umbes € 850,000.
See mõjutab umbes 10% LP. Akrediteerimise eelnev kogemus ei ole veel kantud hoidla, mis kahjustab tema arengut, mis kahtlemata peab olema seotud erinevate piirkondlike koolituskeskuste läbi õpingute.
Õppimine, aga tundub palju rohkem arenenud ja hõlmab kõigil haridustasemetel, kaasa arvatud M2 seaduses. Download aruanne. Veel...
14 octobre 2013

Portiques de grammaire hébraïque en téléchargement libre

http://www.kabbale.eu/wp-content/uploads/2010/01/Leningrad_Codex.jpg

Philippe CASSUTO

Avertissement
Lecteur, ces pages ne constituent en aucun cas une grammaire complète de l'hébreu. Il s'agit surtout d'une aide aux débutants. L'intention est double. Tout d'abord, ce petit manuel pose quelques points de repères nécessaires dans l'acquisition du système de la langue. Le nom de "portique" est la traduction de l'hébreu Sha'ar que l'on emploie au Moyen-Age pour désignr les chapitres d'un ouvrage. Dans chaque portique, cette partie est écrite en gros caractères. D'autre part, il sert de guide pour pénétrer les grandes grammaires qui sont souvent ardues et qui s'adressent, avant tout, à des personnes possédant bien l'hébreu (dans chaque portique, cette partie est écrite en petits caractères). Ainsi, nous ne distinguons pas les différents niveaux de la langue, littéraires (populaire, prose, poésie, etc.), ou chronologiques (bibliques, Mishna, Moyen-Age, moderne, etc.). Les portiques qui suivent sont basés sur l'hébreu moderne et se veulent normatifs. Pour les utiliser pour les autres couches de la langue, en particulier celle de la Bible, il suffit d'avoir présent à l'esprit qu'il s'agit des mêmes règles auxquelles on doit ajouter les conséquences de la cantilation. La cantilation est le système d'accents qui permet de déclamer le texte. Par exemple, les accents disjonctifs forts induisent souvent un allongement des voyelles, ce sont les formes de pause. Les accents conjonctifs, reliant deux mots, effacent la limite entre eux. Ceux qui sont intéressés par l'hébreu biblique devront se référer aux différentes grammaires, de même pour les autres couches de la langue. Nous pensons qu'il est plus simple d'aborder ces compléments après avoir acquis les notions de base que nous exposons ici. En effet, aller directement aux particularités propres à l'hébreu biblique implique de déjà connaître et maîtriser la langue, cela rebute généralement le débutant. La grammaire de l'hébreu biblique est surtout une grammaire des exceptions, mais celui qui se penche dessus doit aussi, et peut-être surtout, connaître les règles générales et aller ensuite petit à petit vers les exceptions.
Pour ce faire, nous renvoyons le lecteur aux parties traitant de sujets particuliers dans quatre grammaires, devenues aujourd'hui classique: Historische Grammatik der Hebraïschen Sprache des Alten Testament de H.Bauer et P.Leander (rééditée en 1962 par Olms à Hildesheim, cette grammaire sera notée BL dans la suite, Gesenius' Hebrew Grammar (éditée par E.Kautzsch, traduite par A.E. Cowley, Oxford, 1910, notée GKC dans la suite), Traité de Grammaire Hébraïque de M.Lambert (Paris, 1931-38, réédition de 1972, Hildesheim, notée L dans la suite) et Grammaire de l'hébreu biblique de P.Joüon (Rome, 1923, réédition de 1982, notée J dans la suite). Les références à ces auteurs sont notées entre parenthèses et renvoient aux paragraphes et non aux pages de ces quatre grammaires. Cela ne dispense pas de consulter d'autres grammaires, comme Hebräische Grammatik de G.Bergsträsser. Cette dernière a été traduite en hébreu par M. Ben Asher (Jérusalem, 1982). Pour notre rédaction nous nous sommes également inspiré de Our Grammar de Z.Batsar et M.Rozen (3e édition, Tel Aviv, 1981) et très largement de Les bases de la grammaire hébraïques de Y.Blau (Jérusalem, 1987).
Ces différentes couches, malgré leurs fortes spécificités, ne doivent pas faire oublier que nous sommes en présence d'une seule et même langue. Ainsi, la clef de la réussite de l'hébreu moderne réside, entre autre, dans l'acceptation du mélange entre l'hébreu de la Bible et celui de la Mishna, alors que cela aurait été impensable au Moyen-Age.
Les éléménts grammaticaux qui suivent sont valables pour les mots d'origine purement hébraïque, ou rentrées et complètement assimilés dans la langue. Les mots modernes d'origine étrangère ne rentrent donc pas dans notre cadre. Ainsi, dans la description phonétique de l'alphabet ne sont pas compris les phonèmes qui servent à transcrire ces derniers. D'une manière générale, ces mots étrangers sont fidèlement transcrits, mais ne peuvent pas obéir, par exemple, aux règles des accents et des voyelles des vocables hébreux.
Les premiers portiques qui sont consacrés à la phonétique sont très loin d'être complets. En particulier, ils n'abordent pas le sujet des transformations phonétiques car celles-ci présupposent une bonne connaissance de la langue. Ceux qui voudront approfondir leurs connaissances sur les phénomènes de dissimilation, assimilation, métathèse, etc. peuvent se reporter à BL (10 à 26), à GKC (18 à 29), à L (65 à 73) et à J (17 à 18). Nous ne signalerons ces transformations que lorsque ce sera nécessaire pour expliquer certaines règles, c'est par ailleurs ce que fait J.
Nous donnons également quelques comparaisons avec l'arabe en nous inspirant très largement de 99 chapitres de grammaire arabe accompagnées de nombreuses comparaisons avec l'hébreu de D.Beqer (Tel Aviv, 1989). Dans chaque portique, ces annotations seront en petits caractères.
Mes remerciements vont au Professeur L. de Prémare qui a bien voulu m'éclairer sur les comparaisons avec l'arabe.
Nous espérons ainsi apporter à ceux qui s'intéressent à l'hébreu les bases nécessaires pour appréhender cette langue. Si nous arrivons à susciter l'envie d'en approfondir l'étude, notre but sera largement atteint.


Télécharger les Portiques
Première Partie
 
 
Télécharger les Portiques

Première Partie        

Deuxième Partie

21 juin 2013

Ambassadeurs métier, formation, VAE

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/publications/net.doc/ambassadeurs-metier-formation-vae/70356-1-fre-FR/Ambassadeurs-metier-formation-VAE_large.pngPar Véronique Simon. Ambassadeurs métier, formation, VAE. Net.Doc, n°112, 2013, 77 p. L'expérimentation, portée par le conseil régional de Basse-Normandie, avait pour objectif d’améliorer l’information sur les métiers, faiblesse récurrente de l’orientation scolaire et professionnelle. Pour cela, elle a mis en place un réseau d'"ambassadeurs", accessibles et disponibles sur leur lieu de travail ou de formation afin de décrire leur métier, parcours de formation professionnelle ou expérience en matière de VAE. Les publics ciblés par l’expérimentation étaient les jeunes scolaires en classe de 3e de découverte professionnelle; les jeunes lycéens de terminale souhaitant s’orienter vers une filière professionnalisante; les jeunes sortant précocement du système éducatif sans qualification et les jeunes suivis par les missions locales.
L'évaluation, réalisée par le centre associé régional au Céreq de Bordeaux, portait sur la mise en oeuvre du processus de coordination, ses effets sur les pratiques des partenaires impliqués en région et les bénéficiaires finaux du dispositif. La méthode qualitative a été privilégiée. Que ce soit côté ambassadeurs ou bénéficiaires interrogés, le projet suscite l’adhésion et son utilité est largement reconnue. Cependant, une des difficultés rencontrées par cette expérimentation tient aux responsabilités entrecroisées sur les publics scolaires, entre le rectorat et la région.Tout l’enjeu repose sur la coordination de leurs actions. Télécharger la publication.
Note de synthèse

Le projet de la Région Basse-Normandie est né de multiples constats: celui d’un taux de sorties sans diplôme et sans qualification préoccupant; celui de secteurs professionnels ne rencontrant pas ou peu de main d’oeuvre; et celui de nombre de places vacantes dans des filières de formation pouvant conduire à ces secteurs. Il s’inscrit dans l’objectif de contribuer à décloisonner un champ des politiques scolaires - celui de l’orientation scolaire et professionnelle - et la nécessité de penser l’ensemble des enjeux qui le produisent et le façonnent à l’interface entre deux mondes, l’éducatif et l’économique. Par ailleurs, le contrat de plan régional de développement des formations professionnelles (CPRDFP) instauré par la loi de 2009 comprend la définition des priorités relatives à l'information, l'orientation et la VAE. Sa signature est conjointe entre le Président de région et l'État, Préfet de région et Recteur au titre des autorités académiques. L’action du Conseil régional innove ainsi de par la coordination qu’elle engage.
I. L’expérimentation
1. Objectifs du projet et nature de l’action expérimentée

L’expérimentation a pour objectif de mettre en place à moyen terme sur l’ensemble des territoires bas-normands un réseau d’« ambassadeurs métiers », « ambassadeurs formation professionnelle » et « ambassadeurs validation des acquis de l’expérience (VAE) » accessibles et disponibles sur leur lieu de travail ou de formation afin de décrire leur métier, parcours de formation professionnelle ou expérience en matière de VAE, auprès de jeunes scolaires ou suivis en mission locale, mais aussi d’étudiants, de familles, demandeurs d’emploi et salariés en démarche de reconversion.
La gestion du projet a généré différentes séquences qui peuvent se recouvrir dans le temps. 1) Stabiliser la définition du projet: en comité technique toutes les parties prenantes (rectorat, branches professionnelles et acteurs de l’AIO) débattaient avec le porteur des différentes décisions afférentes à la mise en oeuvre des réseaux d’ambassadeurs. 2) Constituer le réseau: informer et mobiliser les secteurs professionnels. 3) Informer le public de son existence: informer et mobiliser les réseaux de l’AIO et les établissements scolaires, le présenter au cours de forums dédiés aux métiers et à l’orientation. 4) Mettre en relation l’offre et la demande d’information sur les métiers: concevoir et réaliser un site dédié à l’expérimentation. 5) Animer: organiser une réunion de lancement, adresser une lettre bimensuelle aux ambassadeurs, visites auprès des ambassadeurs. 6) Garantir la qualité de l’action des ambassadeurs: définir les chartes.
Notre équipe est investie dans le projet depuis sa conception dans un accompagnement au fil de l’eau de l’expérimentation. La logique était donc celle d’une « évaluation embarquée ». Sans aller jusqu’à rétroagir sur l’action, notre participation aux rencontres entre le porteur et ses partenaires, l’observation du processus en cours de construction, nos rencontres régulières avec le porteur, notre initiative de rapport intermédiaire restitué en comité technique, l’ensemble de ces interactions tendaient à rendre notre
approche participative. Toutes ces occasions mettaient à jour des points de vigilance permettant des ajustements réguliers de l’expérimentation. La nécessité d’améliorer la communication en direction des scolaires s’est ainsi confirmée, et une action de présentation du dispositif dans les établissements s’est engagée au printemps dernier.
2. Objectifs et modalités de l’évaluation

Les techniques utilisées pour conduire cette étude évaluative ne sont pas spécifiques à cette évaluation mais adaptées à son objet. Au regard de notre objectif - éclairer, renseigner la mise en oeuvre du processus de coordination, en apprécier les effets sur les pratiques des acteurs en région (partenaires impliqués) et les bénéficiaires finaux du dispositif - la méthode qualitative a été privilégiée. Pour comprendre les pratiques constitutives de l’expérimentation et les représentations qui les sous-tendent, nous avons principalement mobilisé la technique de l’entretien semi directif auprès des différentes parties prenantes: partenaires, ambassadeurs, bénéficiaires, acteurs de l’AIO. Ces entretiens ont été complétés d’analyses documentaires, d’observations de rencontres, réunions en comité technique, comité de pilotage ou autres types de rencontres (groupe de travail structures relais, réunion avec les organismes de formation). Complémentairement, par voie de questionnaire, nous nous sommes attachés à recueillir des données relatives à la perception du dispositif par les bénéficiaires (motivation à y entrer, effets identifiés, etc.) et aussi à mesurer leur satisfaction.
Ainsi, si l’ensemble de l’évaluation est nourrie par la partie qualitative, l’évaluation des effets perçus par les bénéficiaires croise les réponses au questionnaire et celle d’un entretien collectif réunissant cinq bénéficiaires en fin d’expérimentation sur la base du volontariat. L’analyse de la coordination se base sur l’exploitation des entretiens, sur certaines dimensions les réponses au questionnaire sont adjointes.
II. Enseignements de politique publique
1. Résultats de l’évaluation
Effets sur les publics

Tous volets confondus, les publics ciblés par l’expérimentation étaient les jeunes scolaires en classe de 3e de découverte professionnelle; les jeunes lycéens de terminale souhaitant s’orienter vers une filière professionnalisante; les jeunes sortant précocement du système éducatif sans qualification et les jeunes suivis par les missions locales bénéficiant d’un contrat d’accompagnement. Le volet actuellement le plus développé en nombre d’ambassadeurs est le volet Ambassadeurs métier. Aussi, les constats évaluatifs présentés dans cette partie seront centrés sur ce volet. S’ils sont à prendre avec précaution (taux de réponse 19%), les résultats du questionnaire montrent que les publics ayant eu recours au dispositif sont majoritairement des demandeurs d’emploi. Cette population constitue 63,6% des répondants. Par ailleurs, plus de moitié des répondants a plus de 25 ans (56,7%) et 12% déclare être sans diplôme.
Au regard des résultats d’évaluation, questionnaire et entretiens, l’attractivité du dispositif n’est pas en cause. Que ce soit côté ambassadeurs ou bénéficiaires interrogés, le projet suscite l’adhésion. Cependant, une des difficultés rencontrées par cette expérimentation tient aux responsabilités entrecroisées sur les publics scolaires, entre le Rectorat et le porteur de projet (la région) qui n’a pas de ce fait de capacité institutionnelle d’action pleine et entière. Tout l’enjeu repose sur la coordination de leurs actions.
Quant à l’utilité du dispositif, celle-ci est largement reconnue. Pour 94% des bénéficiaires, la rencontre ou l’échange a été utile pour l’obtention d’une « information concrète sur le métier » (1ère raison évoquée soit 57% des réponses) : débouchés, conditions de travail, avantages, contraintes, etc., autant d’informations que les bénéficiaires « n’auraient pas obtenues par ailleurs » (2nde raison évoquée, 50% des réponses); leur permettant de « confirmer le choix pour le métier » (30% des réponses), ou de « l’infirmer » (10% des réponses). Les effets perçus correspondent bien à la nature et au positionnement de l’outil tel que prévu par le porteur et ses partenaires.
Les résultats de l’évaluation font apparaître 1/ que le projet d’orientation avant la rencontre avec un ambassadeur diffère selon le niveau de formation. 2/ que plus ce niveau de formation est élevé, plus le projet d’orientation est avancé. Et 3/ que plus le projet est avancé, plus la rencontre ou l’échange avec l’ambassadeur sont sollicités. Dès lors, l’une des conditions pour garantir l’adhésion des moins diplômés au dispositif pourrait être d’accompagner la population de niveau de formation inférieur au baccalauréat dans la définition d’un projet d’orientation avant d’envisager une rencontre avec un ambassadeur. Se confirme ici le maillon essentiel que constituent les professionnels de l’AIO. Leur incontournable implication gagnerait sans doute à être appuyée par l’intervention du Service académique d'information et d'orientation (SAIO) aux cotés de la Délégation académique à l'enseignement technique (DAET) déjà impliquée dans l’expérimentation.
Gouvernance du projet et coordination d’acteurs

Le projet a bénéficié dès sa conception d’un portage politique régional et académique soutenu. Sur le volet communication, il faut noter le lancement officiel en janvier 2011 du réseau Ambassadeurs Métier, Formation, VAE, par Yanick SOUBIEN, 2ème Vice-président en charge de la Formation et de la Politique de l'emploi, avec la participation des organisations professionnelles et des autorités académiques. Sur le versant opérationnel, un poste de chargée de mission à temps plein a été attribué au projet.
Au service de la mise en cohérence des réseaux, différents leviers émergent des entretiens. En premier lieu, la non concurrence des dispositifs. Conçu pour être un outil complémentaire, et non en remplacement des outils existants, le dispositif étudié ne discrédite pas l’action des opérateurs de l’AIO. Le second gage de la qualité de la construction de l’action ressort de la clarté des objectifs et de leur perception relativement homogène. Cependant, la multiplicité des intérêts à coopérer et les registres d’implication différents constituent une difficulté récurrente à travailler dans un partenariat tripartite entre le Conseil régional, le Rectorat et les organisations professionnelles.
L’expérimentation inscrite au coeur de cette triangulation d’acteurs visait donc à réussir à transcender les logiques institutionnelles. Pour atteindre cet objectif, le porteur a pu s’appuyer d’une part sur des outils existants (telle la charte de l’orientation tout au long de la vie, signée avec l’Etat et les partenaires économiques), et une certaine habitude de travail en commun (telle la manifestation « Place aux métiers » qui mobilise chaque année ces mêmes partenaires autour de la découverte des métiers, etc.); et, d’autre part, sur les rencontres régulières qu’il générait et qui permettaient les ajustements nécessaires à la poursuite d’une collaboration qui ne soit pas que d’intention. La réussite du projet se signe par son institutionnalisation au sein du CPRDFP et des contrats d’objectifs.
Les résultats de l’évaluation montrent que l’expérimentation s’inscrit dans la lignée des voies d’amélioration de l’orientation scolaire et professionnelle pointées par de nombreux rapports publics. L’enjeu était d’améliorer l’information sur les métiers, faiblesse de l’orientation scolaire et professionnelle largement débattue. Le processus de coordination mis en oeuvre vise également à permettre d’aller vers une politique globale d’orientation tout au long de la vie, logique à l’oeuvre dans les autres pays de l’Union européenne. De par les contenus cognitifs et normatifs qu’il tisse et les réseaux d’acteurs qu’il implique, l’instrument peut être considéré comme un vecteur potentiel de changements.
2. Validité externe des résultats et perspectives de généralisation/essaimage

Le caractère expérimental de la démarche peut largement être affirmé. Le projet a été conçu et mis en oeuvre dans la temporalité d’une expérimentation. Aucun effet d’aubaine ni de substitution ne peut être relevé. De plus, sa dimension expérimentale tient à la nature de l’information délivrée d’une part, et tient d’autre part à la configuration des partenariats envisagés. Ici la découverte de l’entreprise se fait in situ. La rencontre avec un professionnel sur son lieu de travail accroît la dimension concrète de l’information délivrée. D’autre part, le projet, en définissant un cadre d’interactions entre acteurs publics et économiques privés, renforce le changement engagé dans la conduite de la politique considérée, celle de l’orientation. La création d’un instrument, le réseau « ambassadeurs » et son usage, montre qu’une certaine redéfinition des règles du jeu institutionnel est possible.
Comme toute expérimentation celle-ci s’appuie sur une dynamique de changement faite d’ajustements et d’apprentissages. In itinere, lors d’échanges informels avec le porteur nous rendions des résultats de nos observations. Ces échanges pouvaient être l’occasion de réajuster à la marge l’action en cours dans certaines de ses dimensions, reconnaissance des ambassadeurs, animation du réseau, etc. Plus formellement, à notre initiative, nous avons présenté un rapport d’évaluation intermédiaire au comité technique en novembre 2011 reprenant l’économie générale du projet depuis le lancement.
Pour faire vivre un projet similaire, des leviers et points de vigilance sont à relever. Parmi les premiers, pour l’implication des professionnels citons les contrats d’objectifs, les relations des professionnels avec les CFA, les formations de tuteurs et maîtres d’apprentissage. Parmi les seconds, relevons l’algorithme de recherche d’ambassadeurs sur le site dédié. Placer le secteur d’activité en clé d’entrée laisse échapper la transversalité de certains métiers et en laisse d’autres ignorés. Autre point de vigilance, la cohérence entre l’offre d’ambassadeurs métier et l’offre de formation, l’articulation entre l’offre d’ambassadeurs métier et l’offre d’ambassadeurs formation. Notons également que l’expérimentation entre en résonance avec ce que nous avons nommé « l’injonction de coordination » ou l’extrême valorisation des notions de réseau et de partenariat dans les politiques éducatives.
Conclusion

Les leviers dont il est fait état ici ne sont pas propres au territoire expérimental. Sur ceux-là, la transférabilité du dispositif peut s’appuyer. Au champ des difficultés à le mettre en oeuvre, le projet interroge les liens entre le Conseil régional, en charge de la formation professionnelle continue, de l’apprentissage et du développement économique et social du territoire; l’Etat, garant du droit à l’éducation; et les partenaires sociaux en charge du droit à l’emploi et à la qualification. Cette configuration prévaut dans l’ensemble des régions. L’expérimentation évaluée a engagé un peu plus d’horizontalité dans une politique jusqu’alors verticale et très sectorisée en France. Sur d’autres territoires, certains liens entre les acteurs de l’orientation existent, d’autres restent à construire ou à conforter. De leur configuration dépend l’inscription de ce type d’instrument dans les pratiques des acteurs.
De réir Véronique Simon. Ambasadóirí post, oiliúint, VAE. Net.Doc, Uimh 112, 2013, lch 77. An turgnamh, le tacaíocht na Comhairle Réigiúnach Íochtarach Normainn, atá dírithe chun feabhas a chur ar an eolas maidir le gairmeacha, laige athfhillteach na treoir oideachais agus gairme. Mar sin, tá sé ar bun le líonra de "ambasadóirí" inrochtana agus ar fáil ag a n-áit oibre nó oiliúint chun cur síos a gcuid gnó, taithí ghairmiúil gailf nó oiliúint i VAE. Ba iad an pobal a bhfuil an turgnamh mhic léinn óga sa rang 3 fionnachtain gairmoideachais, an deireadh an mac léinn scoile ard ar mian leo bogadh i dtreo professionalizing earnáil; óige go luath fágáil na scoile gan cháilíochtaí agus ina dhiaidh misin áitiúla óga. Níos mó...
9 juillet 2010

La VAE et la FC dans le rapport 2009 de la médiatrice de l'enseignement

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau04.jpgEn 2009, 6897 réclamations ont été adressées au réseau des médiateurs de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur. 64 % proviennent des usagers et 36 % des personnels. Le rapport de cette année s'intitule "Humaniser les approches". La médiation a pour objet de contribuer à améliorer le rapport des usagers avec leur administration, d'offrir un espace de dialogue pour l'adaptation toujours nécessaire des politiques publiques. Monique Sassier, inspectrice générale de l'administration de l'Éducation nationale  et de la Recherche, a été nommée médiatrice pour une durée de trois ans, en juillet 2009. Rapport du médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur - 2009.

guide mediateur-2010La VAE (page 117):
La validation des acquis de l’expérience (ReMEDIA 08-11)
Améliorer et mieux connaître le fonctionnement des jurys de VAE
Afin d’améliorer le fonctionnement des jurys de VAE, en assurant une fréquence suffisante des sessions et en organisant des actions de formation des jurys, le médiateur reprend à son compte la suggestion qui lui a été faite par certains des acteurs et qui conduirait à autoriser les DAVA et les services académiques responsables des examens à facturer aux organismes de financement de la VAE les coûts d’organisation, de réunion et de formation des jurys, lesquels coûts sont actuellement à la charge des services académiques.
Afin d’examiner les causes des disparités constatées entre les académies pour ce qui est des résultats d’ensemble de la VAE, le médiateur souhaite que les ministères de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur fassent réaliser dans les meilleurs délais par l’inspection générale une étude du fonctionnement des services concernés dans les académies où les résultats de la VAE apparaissent inférieurs à la moyenne nationale.
Compte tenu de la modestie des résultats obtenus pour les diplômes autorisant une activité commerciale, le médiateur souhaiterait également que les ministères fassent examiner le fonctionnement des jurys de VAE concernés.
Réponse de la direction générale pour l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle

La nouvelle loi sur l’orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie répond en partie au souhait du médiateur puisqu’elle prévoit, pour les professionnels qui participent aux jurys, par l’article L. 6313-11 du Code du travail de nouvelles modalités d’indemnisation.
Le directeur général pour l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle et le médiateur sont favorables à ce que l’IGAENR puisse être saisie d’une mission d’expertise sur le fonctionnement des services concernés dans les académies, en examinant plus particulièrement ceux dont les résultats sont inférieurs à la moyenne nationale. Il est en effet important que l’on puisse disposer d’un éclairage sur les aspects qualitatifs que n’aborde pas la Note d’information publiée chaque année par la DEPP sur les bénéficiaires de la VAE.
Décision
Les cabinets du ministre de l’Éducation nationale et de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche décident que ce thème sera inclus dans le programme de travail des inspections pour 2010-2011.
La FC (page 102):
Clarifier la frontière entre formation initiale et continue
(ReMEDIA 09-12)
Alerté par plusieurs réclamants, le médiateur a pu constater que certaines universités tendaient à créer leurs propres règles quant à la définition des champs respectifs de la formation initiale et de la formation continue. Ainsi certains établissements considèrent que toute inscription d’une personne âgée de plus de 26 ans ou non affiliée au régime de sécurité sociale étudiante se rattache automatiquement à la formation continue, avec toutes les conséquences financières qui en découlent. Le médiateur recommande la recherche d’une solution assurant un versement régulier.
Le médiateur recommande au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche de :
– clarifier les régimes juridiques respectifs des deux domaines auprès des universités et grandes écoles ;
– rappeler que l’inscription en formation initiale est libre sous condition de diplôme antérieur et que le rattachement au régime de la formation continue suppose la création d’un cursus particulier, identifié, avec des aménagements spéciaux.

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau04.jpg2009 yılında 6.897 iddia Eğitim Yükseköğretim ve Milli Eğitim mediatörlerin ağ gelmiş yapılan. Ve personel kullanıcılarının% 36% 64 dan.Insanileştirilmesinden yaklaşımlar "başlıklı raporda, bu yıl.  Arabuluculuk. Idaresi ilişki ile yardım iyileştirilmesini amaçlamaktadır kullanıcıların politikalarının kamu uyum için gerekli diyalog her zaman yer sağlayarak, Sassier Monique Milli Eğitim ve, İdaresi Genel Müfettişi için Araştırma,. 2009 Temmuz döneminde bir arabulucu için tayin olmuş, üç yıl içinde Raporu Eğitim Yüksek Ombudsman Milli Eğitim ve - 2009. Devamı...
15 octobre 2011

La grande région, mobilité en europe et formation continue

http://www.inffolor.org/portail/professionnel/sites/default/files/upload/image/documentation_pro/PDF_OF/visuel55.pngTémoin d’un passé mouvementé, la Grande Région est un espace de coopération exemplaire en Europe. Avec plus de 200000 frontaliers en 2010, elle enregistre la plus importante mobilité transfrontalière derrière la Suisse. Amorcée dans les années 1980, cette mobilité n’a cessé de s’amplifier jusqu’à aujourd’hui, même si la crise économique et financière de 2008 et 2009 a mis un frein au développement. Cette zone européenne réunit six composantes: la Sarre, la Rhénanie-Palatinat, le Luxembourg, la Lorraine ainsi que la Région wallonne et la Communauté germanophone de Belgique. Le partage d’une structure industrielle commune a constitué le point de départ de la coopération entre ces régions.
D’intenses flux migratoires en tous sens caractérisent cet espace, avec deux bassins d’emploi transfrontaliers importants, Luxembourg et Sarrebruck, et d’autres villes de taille plus modeste de part et d’autre de la frontière (Thionville, Longwy, Trèves, Arlon, Metz, Sarreguemines …). Le Luxembourg constitue depuis 30 ans le pôle d’attraction de la Grande Région. Près des trois quarts des frontaliers traversent la frontière chaque jour pour se rendre au Luxembourg, soit environ 149500 en 2010. La moitié d’entre eux est originaire de France (73900) et respectivement un quart environ vient de Belgique et d’Allemagne.
http://www.granderegion.net/pictures/layout/header/shared/logo.gifLa Grande Région est aujourd’hui le siège de nombreuses institutions et organes interrégionaux (notamment le Sommet de la Grande Région, la Commission Régionale, le Conseil Économique et Social, le Conseil Parlementaire Interrégional et le Conseil Syndical Interrégional, Conseil interrégional des Chambres de Métiers: www.artisanat-gr.eu). La contribution de l’initiative européenne Interreg a permis à la coopération transfrontalière de se développer et de s’intensifier depuis le début des années 1990. La Grande Région bénéficie ainsi d’un réseau de coopération dense et bien développé.
les frontaliers lorrains au luxembourg: un profil en mutation

La Lorraine reste la région qui envoie le plus de frontaliers dans la Grande Région avec un total de 94 664 frontaliers originaires pour la plupart de Moselle mais aussi de Meurthe-et-Moselle. S’ils étaient nombreux à se rendre en Sarre et en Rhénanie-Palatinat jusqu’à la fin des années 80, les Lorrains se sont tournés vers le Luxembourg au début des années 90, attirés par la perspective d’une meilleure rémunération et la quantité d’emplois disponibles. L’emploi frontalier lorrain en Sarre et au Luxembourg est traditionnellement de nature industrielle.
En Sarre, 44,9% des frontaliers originaires de France sont employés dans l’industrie manufacturière et 13,8% d'entre eux sont dans le secteur du commerce. Au Luxembourg, les frontaliers français sont actifs en majorité dans les services aux entreprises - qui recouvrent aussi l’emploi industriel - , le commerce, l’industrie manufacturière ainsi que dans les activités financières.
Le profil du frontalier lorrain s’est transformé peu à peu pendant la dernière décennie: moins présent dans le secteur de l’industrie et de la construction, il travaille davantage dans le tertiaire. Il occupe plus souvent une fonction d’employé, de cadre ou une profession intellectuelle supérieure. D’une manière générale, les frontaliers français au Luxembourg sont davantage diplômés que les actifs occupés en Lorraine.
Le statut du frontalier

Aux termes du droit communautaire, sont frontaliers tous les salariés et tous les travailleurs indépendants qui exercent leur profession dans un État membre, en habitant dans un autre État membre dans lequel ils retournent, sinon chaque jour, au moins une fois par semaine.
Cette définition s’applique en matière de protection sociale des travailleurs concernés (prestations sociales, assurance chômage, maladie-maternité, retraite). En matière fiscale, est considérée comme frontalière la personne salariée qui exerce son activité dans la zone frontalière d’un État membre et réside dans la zone frontalière d’un autre État membre où elle rentre en principe chaque jour. La notion de zone frontalière diffère toutefois selon les régions. Elle dépend des conventions fiscales signées entre les pays...
La formation continue dans la grande région

Dans la Grande Région, l’Allemagne, la France et le Luxembourg ont mis en place des dispositifs permettant de suivre une formation afin de s’adapter au marché du travail ou compléter son bagage initial. La formation se déroule en général dans le pays d’emploi. Mais dans certains cas, elle peut avoir lieu également à l’étranger.
Au Luxembourg

Différentes adresses sont à retenir. Afin de permettre à un salarié de bénéficier d’un Congé Individuel de Formation, d’un congé linguistique (apprentissage de la langue luxembourgeoise), ou encore d’une validation des acquis professionnels: portail luxembourgeois de la formation continue: www.lifelong-learning.lu, Ministère de l’Éducation Nationale et de la Formation Professionnelle www.men.public.lu, guichet administratif de l’État luxembourgeois www.guichet.public.lu.
En Sarre

Le congé de formation (Bildungsurlaub) permet au salarié de bénéficier de 6 jours par an pour la formation continue. Par ailleurs, la formation de promotion (Meisterbafög) permet d’accéder à des fonctions d’encadrement dans de nombreux domaines (artisanat, industrie, technique, commerce, santé…). Adresses utiles pour le Congé de formation en Sarre: Saarland Ministerium für Bildung, www.saarland.de, Liste d’organismes de formation: www.weiterbildungsdatenbank. Adresses utiles pour la formation de promotion en Sarre: Administration communale de Sarrebruck: Landeshauptstadt Saarbrücken, Tél. 0681/9050, Liste des organismes de formation en Sarre : www.BFWSaarland.de.
En Lorraine

Pour tenir compte des spécificités de son marché du travail, la Région Lorraine met en oeuvre des formations en langues et des formations transfrontalières afin d’encourager l’insertion professionnelle des Lorrains dans les pays de la Grande Région. Un exemple: la mise en place d’une formation transfrontalière de Techniciens en Transport et Logistique, en partenariat avec l’AFPA Lorraine et l’office wallon de la formation professionnelle et de l’emploi (FOREM), qui a permis depuis 2010 la formation de 28 demandeurs d’emploi belges et français à ce métier. Un partenariat entre les régions Lorraine et Wallonie a permis aussi la création, sur le Pôle européen de développement (PED) de Longwy, de la première école de la 2e chance transfrontalière qui accueille 22 jeunes français et belges. Adresse utile en Lorraine:  Portail d’information sur la formation et l’orientation tout au long de la vie, www.inffolor.org.
Un nouveau pôle de formation transfrontalier à Forbach

Le partenariat entre le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et la Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes (HTW), sous l’égide de la Communauté d’agglomération de Forbach Porte de France s’est traduit le 19 mai dernier par l’inauguration officielle d’un nouveau pôle de formation transfrontalier. Installé à Eurodev Center à Forbach, il propose une offre de formation notamment dédiée à l’économie de la santé et tournée vers l’approche franco-allemande.
Première réalisation concrète

La rentrée des premiers élèves du certificat franco-allemand «Management des institutions sanitaires et sociales et Grande Région» aura lieu dès janvier 2012.
Cette formation de haut niveau s’adresse:
- aux professionnels du secteur de la santé (médecins, pharmaciens, cadres et directeurs d’hôpitaux et de cliniques, juristes, ...),
- aux personnels des administrations, caisses d’assurances maladie, organismes d’assurance complémentaire, mutuelles, établissements de santé, entreprises publiques et privées du secteur de la santé…
L’offre de formation en matière d’économie de la santé va s’étoffer avec l’ouverture, également prévue tout début 2012, du Titre professionnel «Gestionnaire d’établissements médicaux et médico-sociaux». Contact: 03 87 88 01 10 | Joëlle BALTA.

Zeugen einer bewegten Vergangenheit ist die Großregion auf einer Fläche von beispielhaften Zusammenarbeit in Europa. Mit über 200.000 Grenze im Jahr 2010, sie die größte grenzüberschreitende Mobilität hinter der Schweiz aufgenommen. Begann in den 1980er Jahren hat diese Mobilität weiterhin bis heute wachsen, auch wenn die Wirtschafts-und Finanzkrise von 2008 und 2009 legte die Entwicklung bremsen. Die Europäische Region umfasst sechs Komponenten: dem Saarland, Rheinland-Pfalz, Luxemburg, Lothringen und der Wallonischen Region und der Deutschsprachigen Gemeinschaft Belgiens. Eine gemeinsame industrielle Struktur war der Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit zwischen diesen Regionen. Mehr...

28 octobre 2012

1er Salon Régional des Masters et des Licences Professionnelles

JPG - 73 koLe 17 novembre 2012, le Carrefour des Etudiants et les différentes composantes de l’Université de Limoges organisent le 1er Salon Régional des Masters et des Licences Professionnelles.
Au programme:
Des échanges sur stands avec des responsables de formation.
Des rencontres avec des anciens étudiants.
Des conférences:
- 10h00 Les métiers du numérique
- 11h00 Les métiers de l’environnement
- 14h00 La domotique (dans le cadre du zoom métiers de la Cité des Métiers, partenaire de la manifestation)
- 15h00 L’alternance et la formation tout au long de la vie
- 16h00 Les métiers de l’enseignement
Mais aussi des plateaux TV, réalisés par l’équipe de Canalsup et retransmis sur la radio RTF.
Pour plus de renseignements, veuillez contacter le Carrefour des Etudiants au 05.55.14.90.70.
Cité des métiersLe 17 novembre 2012 à Ester Technopole, le Carrefour des Etudiants et les différentes composantes de l’Université de Limoges organisent le 1er Salon Régional des Masters et des Licences Professionnelles.
Au programme : Des échanges sur stands avec des responsables de formation, des rencontres avec des anciens étudiants.
Pour plus de renseignements, veuillez contacter le Carrefour des Etudiants au 05.55.14.90.70 ou cliquez sur "salon masters et licences professionnelles".

JPG - 73 kb On 17 November 2012, the Carrefour Students and the various components of the University of Limoges organizing the first Regional Masters Salon and Professional Licensing.
The program:

Exchanges on stands with training managers.

Meetings with alumni.

Conferences:

- 10:00 Professions digital

- 11:00 The environmental activities

- 14:00 The home automation (through the zoom trades Cité des Métiers, a partner of the event)

- 15:00 The alternation and training throughout life

- 16.00 teaching careers

But also TV trays, made by the team Canalsup and broadcast on radio RTF.

For more information, please contact the Student Carrefour at 05.55.14.90.70
. More...
17 novembre 2010

Grade de licence pour le DCG et de master pour le DSCG

Retourner à la page d'accueil de Légifrance Décret n° 2010-1423 du 17 novembre 2010 attribuant le grade de licence aux titulaires du diplôme de comptabilité et de gestion et le grade de master aux titulaires du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion. JORF n°02 68 du 19 novembre 2010 page 20770 texte n° 26. NOR: ESRS1023504D.
Le Premier ministre, sur le rapport de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche,
Vu le code de l'éducation, notamment ses articles L. 612-1 et L. 613-1 ;
Vu le décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 relatif aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux ;
Vu le décret n° 2006-1706 du 22 décembre 2006 relatif au diplôme de comptabilité et de gestion et au diplôme supérieur de comptabilité et de gestion ;
Vu l'avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche en date du 20 juillet 2010,
Décrète :
Article 1
Le grade de licence est conféré de plein droit aux titulaires du diplôme de comptabilité et de gestion.
Article 2
Le grade de master est conféré de plein droit aux titulaires du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion.
Article 3
Le grade de licence et de master sont délivrés par le recteur d'académie, au nom de l'Etat, en même temps que le diplôme qui y ouvre droit. La mention du grade est précisée sur le diplôme.
Article 4
La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche est chargée de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et au Bulletin officiel de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Fait à Paris, le 17 novembre 2010.
François Fillon
Par le Premier ministre: La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse.
Return to the home page Légifrance Decree No. 2010-1423 of 17 November 2010 to award the Bachelor's degree holders of diploma in accounting and management master's degree holders of Higher Diploma in Accounting and Management. Official Gazette No. 02 68 November 19, 2010 page 20770 text No. 26. NOR: ESRS1023504D. NOR: ESRS1023504D. More...
Newsletter
51 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 798 243
Formation Continue du Supérieur
Archives