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Formation Continue du Supérieur
3 février 2014

Cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes de licence, de licence professionnelle et de master

Legifrance - Retour à l'accueilArrêté du 22 janvier 2014 fixant le cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master. JORF n°0027 du 1 février 2014 page 1922, texte n° 25, NOR: ESRS1331410A.

  • TITRE Ier : DISPOSITIONS COMMUNES AUX DIPLÔMES NATIONAUX DE LICENCE, DE LICENCE PROFESSIONNELLE ET DE MASTER
    Article 1

    Le présent arrêté a pour objet de préciser les règles relatives à l'organisation des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master. Ces règles peuvent être complétées pour certaines mentions de ces diplômes par des dispositions spécifiques dans le cas notamment de formations en lien avec des professions réglementées.

    Article 2

    La licence et la licence professionnelle sont des diplômes nationaux de l'enseignement supérieur conférant à leur titulaire le grade universitaire de licence.
    Le master est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade universitaire de master.

    Article 3

    L'intitulé des diplômes visés par le présent arrêté est défini par un nom de domaine et de mention. Les nomenclatures de mention des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master sont fixées par arrêté.
    L'intitulé d'un diplôme repose sur une dénomination précisant le domaine et la mention concernés. Ces dénominations assurent la lisibilité de l'offre de formation pour les étudiants, les partenaires professionnels et le monde scientifique, en France et à l'étranger.
    Les domaines sont les suivants :
    ― arts, lettres, langues ;
    ― droit, économie, gestion ;
    ― sciences humaines et sociales ;
    ― sciences, technologies, santé.
    Des intitulés de domaines peuvent, en nombre limité, déroger à ces domaines de référence pour traduire, au niveau d'un site, la stratégie collective en matière d'offre de formation. Ces demandes de dérogations sont examinées dans le cadre de l'accréditation des établissements en lien avec la stratégie du site en matière de formation.
    La mention est le niveau de référence pour la définition des contenus de formation et l'organisation pédagogique.
    Les établissements proposent au ministre chargé de l'enseignement supérieur, dans le cadre de l'accréditation de leur offre de formation, les rattachements des mentions aux domaines en lien avec leur politique de formation et en cohérence avec la stratégie du site en matière de formation.
    Les nomenclatures s'appliquent à l'ensemble des formations conduisant à un des diplômes visés par le présent arrêté. Des intitulés hors nomenclatures peuvent être validés par le ministre chargé de l'enseignement supérieur après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche dans le cadre d'expérimentations présentées par les établissements ou dans le cadre de diplômes délivrés avec un ou plusieurs établissements d'enseignement supérieur étrangers dans le cadre d'un partenariat international, et compte tenu des appellations européennes et internationales communes.
    Le comité de suivi de la licence et de la licence professionnelle et le comité de suivi master organisent les consultations conduisant aux révisions périodiques des nomenclatures en associant la communauté universitaire.

    L'offre de formation est structurée en semestres et en unités d'enseignement capitalisables. Les temps de formation sont répartis de façon équilibrée sur toute la semaine et prennent en compte le développement du recours aux technologies numériques.
    L'organisation de la formation se construit autour d'un projet de formation cohérent et global, porté par une équipe pédagogique.
    L'équipe pédagogique est composée notamment d'enseignants-chercheurs, d'autres enseignants, des étudiants tuteurs, des personnels bibliothécaires, ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de service et de santé servant d'appui à la formation et chargés d'enseignement qui participent à la formation dans le semestre ou dans l'année de la formation concernée.
    Conformément aux articles D. 611-1 à D. 611-6 du code de l'éducation, la formation est organisée, au sein de chaque mention, sous la forme de parcours types de formation initiale et continue formant des ensembles cohérents d'unités d'enseignement et organisant des progressions pédagogiques adaptées, au regard des finalités du diplôme. Ces parcours types sont constitués d'unités d'enseignement obligatoires, optionnelles et, le cas échéant, libres. Ils visent notamment à faciliter la mobilité, sur le territoire ou à l'étranger.
    La liste des parcours types de formation ainsi que leurs intitulés sont soumis à la validation du conseil de la composante concernée et de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation.
    Dans le cadre de la formation tout au long de la vie, elle peut comporter des modalités propres à la formation professionnelle continue ou à l'alternance.
    Après accord de l'équipe pédagogique en charge d'une mention, un étudiant peut être autorisé, en fonction de son projet personnel et professionnel, ou dans le cadre d'une réorientation, à suivre un cursus adapté qui n'est pas totalement identique à un parcours type de formation.
    L'organisation de la formation s'inscrit dans une logique d'apprentissage, permettant de prendre en compte les caractéristiques des étudiants en leur proposant des dispositifs pédagogiques qui favorisent la mise en activité, l'interaction avec les autres acteurs de la formation au-delà de l'équipe pédagogique, la mémorisation et la valorisation de leurs productions et réalisations, le développement de l'esprit critique, l'autonomie. Cette logique favorise la cohérence entre les unités d'enseignement, le décloisonnement des apprentissages afin de permettre à l'étudiant d'établir des liens au sein d'une même formation et entre ses expériences de formations. Elle incite les étudiants à mobiliser les savoirs et les compétences développés en formation dans de nouvelles situations. Les moyens pédagogiques mis en œuvre s'inscrivent dans cette logique d'apprentissage.
    Pour favoriser la reconnaissance du parcours suivi par l'étudiant et développer la mobilité internationale, chaque diplôme est accompagné du supplément au diplôme mentionné au d de l'article D. 123-13 du code de l'éducation. Ce document synthétique retrace l'ensemble des connaissances et compétences acquises durant le parcours de formation suivi par l'étudiant.

    Article 5

    Dans le cadre de la politique de l'établissement, des dispositifs d'évaluation sont mis en place pour chaque formation ou pour un groupe de formations, notamment à travers la constitution de conseils de perfectionnement réunissant des représentants des enseignants-chercheurs, des enseignants, des personnels bibliothécaires, ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de service et de santé, des étudiants et du monde socioprofessionnel.
    Une évaluation des formations et des enseignements est notamment organisée au moyen d'enquêtes régulières auprès des étudiants. Cette évaluation est organisée dans le respect des dispositions des statuts des personnels concernés.
    Ces dispositifs favorisent le dialogue entre les équipes pédagogiques, les étudiants et les représentants du monde socioprofessionnel. Ils éclairent les objectifs de chaque formation, contribuent à en faire évoluer les contenus ainsi que les méthodes d'enseignement afin de faciliter l'appropriation des savoirs, des connaissances et des compétences et de permettre d'en améliorer la qualité. Ces dispositifs peuvent également servir de base à l'évolution de la carte de formation de l'établissement en cohérence avec la politique de site.
    Les résultats des évaluations font l'objet de présentations et de débats au sein des équipes pédagogiques, du conseil de perfectionnement, du conseil de la composante concernée et de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation.

    Article 6

    L'usage du numérique doit permettre une pédagogie active, réactive et interactive entre étudiants et entre étudiants et équipes pédagogiques. La formation, ou une partie de celle-ci, peut être proposée selon des dispositifs hybrides par l'alternance d'activités pédagogiques en présentiel et à distance ou totalement à distance, en fonction du public concerné.

    Article 7

    Les liens entre la formation et la recherche sont fondamentaux pour tout établissement ayant vocation à délivrer l'un des diplômes visés par cet arrêté. Ces liens, qui s'appuient sur des compétences transversales à plusieurs unités de recherche, sont nécessaires pour placer les étudiants au plus près du savoir en cours de constitution dans les domaines correspondant aux objectifs de formation.
    Les équipes pédagogiques et les équipes de recherche ont chacune leurs objectifs propres. Les formations dépendent des équipes pédagogiques qui doivent établir des interactions fructueuses avec les équipes de recherche.

    Des représentants du monde socioprofessionnel sont associés à la conception et à l'évaluation des formations et participent aux enseignements dans les conditions prévues à l'article L. 611-2 du code de l'éducation.

    Article 9

    L'expérience en milieu professionnel est une modalité particulière d'acquisition de connaissances et de compétences en vue de l'obtention du diplôme. Au même titre que d'autres modalités à encourager, telles que les associations et réseaux de diplômés, les retours d'expérience d'anciens diplômés ou la mise en pratique des enseignements, elle contribue à favoriser l'insertion professionnelle des futurs diplômés.
    Cette expérience en milieu professionnel peut prendre des formes variées, dont notamment le stage ou des périodes de formation alternées en milieu professionnel sous contrat de travail et en établissement de formation.
    Dans ce cadre, comme tout autre élément de formation, les objectifs et modalités de cette expérience professionnelle doivent être précisés et donnent lieu à une préparation, à un encadrement et à une évaluation au regard des objectifs de la formation. En ce qui concerne les stages, ces éléments sont précisés en annexe du présent arrêté.
    Les compétences acquises par un étudiant dans le cadre de son activité salariée ou bénévole peuvent être valorisées au sein de son parcours de formation.
    L'expérience en milieu professionnel, telle que définie au présent article, est obligatoire en licence professionnelle sous la forme de stage et en master.
    Les parcours types de formation conduisant à la licence peuvent inclure des périodes d'expériences professionnelles selon des modalités de validation prévues par l'équipe pédagogique qui en est responsable.

    Article 10

    La commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation fixe les modalités pédagogiques spéciales prenant en compte les besoins spécifiques d'étudiants dans des situations particulières, notamment des étudiants salariés ou assumant des responsabilités particulières dans la vie universitaire, la vie étudiante ou associative, des femmes enceintes, des étudiants chargés de famille, des étudiants engagés dans plusieurs cursus, des étudiants handicapés, des artistes et des sportifs de haut niveau. Ces modalités pédagogiques peuvent s'appuyer sur les technologies numériques.

    Article 11

    Le système européen des crédits ECTS vise à faciliter l'organisation, la délivrance, l'évaluation, la reconnaissance et la validation des certifications et unités d'enseignement ainsi que la mobilité des étudiants.
    Chaque unité d'enseignement a une valeur définie en crédits européens, au niveau d'études concerné.
    Le nombre de crédits par unité d'enseignement est défini sur la base de la charge totale de travail requise de la part de l'étudiant pour obtenir l'unité. Cette charge de travail, représentant vingt-cinq à trente heures pour un crédit ECTS, est estimée en fonction de la charge totale de travail de l'étudiant qui inclut le nombre d'heures d'enseignement et le travail en autonomie. Cette charge prend en compte le recours aux nouvelles technologies par équivalence avec des enseignements permettant d'acquérir les mêmes compétences et reposant uniquement sur du présentiel.
    Afin d'assurer la comparaison et le transfert des parcours de formation dans l'espace européen de l'enseignement supérieur, une référence commune est fixée correspondant à l'acquisition de 180 crédits pour le niveau licence et de 300 crédits pour le niveau master. Cette référence permet de définir la valeur en crédits de l'ensemble des diplômes. Les crédits sont obtenus lorsque les conditions de validation définies par les modalités de contrôle de connaissances et aptitudes propres à chaque type d'études sont satisfaites.
    Les conseils de perfectionnement veillent à ce que la répartition des crédits ECTS au sein de chaque parcours type de formation soit en accord avec les objectifs de formation.

    Article 12

    Les périodes d'études à l'étranger doivent faire l'objet d'une convention signée par l'établissement d'origine, l'établissement d'accueil et l'étudiant.
    Les parcours types permettent la validation des périodes d'études effectuées à l'étranger. Lorsque le projet d'études a été accepté par les responsables pédagogiques en amont du départ de l'étudiant et que l'étudiant a obtenu la validation de sa période d'études par l'établissement étranger, celui-ci bénéficie des crédits correspondant à cette période d'études sur la base de trente crédits pour l'ensemble des unités d'enseignement d'un semestre.

    Article 13

    La progressivité et la diversité des méthodes d'évaluation des connaissances et des compétences acquises sont en adéquation avec la capacité des étudiants à acquérir compétence et autonomie dans le travail universitaire. Elle tient compte de l'organisation de la formation en semestres.
    La mise en place d'évaluations transversales dans le cadre de mises en situation permettant un diagnostic des compétences acquises est privilégiée en fin de cycle. C'est dans ce cadre que peut être incluse l'évaluation des périodes en milieu professionnel par des jurys intégrant les différents encadrants.
    Les modalités d'évaluation, arrêtées par la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou le conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation, doivent tenir compte de la diversité des publics telle que définie par l'article 10 du présent arrêté.

  • TITRE II : DISPOSITIONS COMMUNES POUR LES DIPLÔMES NATIONAUX DE LICENCE ET DE LICENCE PROFESSIONNELLE
    Article 14

    L'aménagement des parcours dès la première année de licence permet la réussite des étudiants en tenant compte des profils des bacheliers.
    L'organisation de la formation favorise l'intégration en cours de cursus de licence d'étudiants issus de sections de technicien supérieur et de formations aux diplômes universitaires de technologie, que ce soit dans le cadre de réorientations, de poursuite ou de reprise d'études.

    Conformément à l'article L. 612-2 du code de l'éducation, les parcours types mentionnés à l'article 4 du présent arrêté sont conçus de manière à permettre aux étudiants d'élaborer progressivement leur projet personnel et professionnel en favorisant leur intégration, leur orientation et leur spécialisation au fur et à mesure de l'avancée dans le cursus.
    La spécialisation progressive repose sur la mise en œuvre du principe de continuité, méthodologique et pédagogique, entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur. Cette continuité inclut des séquences d'accompagnement en début de formation, puis à chacune des étapes clés de la formation en fin d'année universitaire ou de semestre de formation. Elles permettent l'élaboration du projet personnel et professionnel.
    L'architecture des parcours types en licence est élaborée par les établissements, au sein de leur offre de formation, conformément aux principes suivants :
    ― en début de cycle, tout étudiant doit pouvoir bénéficier d'une organisation donnant accès à plusieurs mentions de licence ou de licence professionnelle ;
    ― cette organisation repose sur des équipes pédagogiques pluridisciplinaires ;
    ― cette organisation permet à tout étudiant, en cours de cycle et au plus tard à la fin du semestre 4 du cycle licence, de retarder ou de modifier le choix de sa mention de licence ou de licence professionnelle en lien avec son projet personnel et professionnel en gardant le bénéfice des crédits ECTS acquis. Cette organisation se traduit donc par un socle commun défini en termes de compétences suffisantes pour permettre ces réorientations ;
    ― tout étudiant bénéficie de paliers d'orientation lui permettant, sur la base des connaissances et des compétences qu'il a acquises, de rejoindre soit l'un ou l'autre des parcours types de la formation en question, soit une autre formation dans l'hypothèse où celle dans laquelle il est engagé se révélerait ne pas ou ne plus correspondre à son projet.
    L'offre de formation conduisant au diplôme national de licence a pour objectif qu'au sein de chaque mention de licence un parcours type préparant à une ou à plusieurs mentions de licence professionnelle soit proposé aux étudiants. Le choix de ce parcours type par l'étudiant ne peut avoir pour effet d'empêcher la poursuite d'études jusqu'au diplôme national de licence.

  • TITRE III : DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES POUR LE DIPLÔME NATIONAL DE MASTER

    La formation est construite à partir d'un référentiel qui formalise les objectifs attendus en termes de connaissances, savoirs et compétences visés. Les modalités d'évaluation des acquis des étudiants sont cohérentes avec ces objectifs. Au sein d'une même mention, un master permet l'acquisition de compétences transversales communes aux différents parcours types de formation.
    La formation conduisant au diplôme national de master comprend des enseignements théoriques, méthodologiques et appliqués et une ou plusieurs expériences en milieu professionnel, notamment sous la forme de stages au sens de l'article L. 612-8 du code de l'éducation. Les modalités d'encadrement, de suivi et d'évaluation de chaque période d'expérience en milieu professionnel sont définies au regard des objectifs de la formation. La formation comprend obligatoirement une initiation à la recherche et, notamment, la rédaction d'un mémoire ou d'autres travaux d'études personnels.
    Elle prévoit une orientation adaptée au projet professionnel de l'étudiant et assure une préparation à son insertion dans le milieu professionnel. Lors de la procédure d'accréditation d'un établissement, le ministre chargé de l'enseignement supérieur veille à l'existence d'un socle commun aux différents parcours types d'une même mention défini en termes de compétences et garant d'une réelle cohérence pédagogique.
    Elle peut prévoir des périodes de mobilité en France ou à l'étranger.
    L'établissement informe les étudiants sur les conditions d'accès, les compétences requises, la nature et les taux d'insertion professionnelle des diplômés.
    Le master intègre un enseignement visant la maîtrise d'au moins une langue étrangère conformément au cadre européen commun de référence pour les langues. L'enseignement de langue est dispensé de préférence sur les deux années du master. Cet enseignement est sanctionné par des crédits ECTS. Le diplôme de master ne peut être délivré qu'après validation de l'aptitude à maîtriser au moins une langue vivante étrangère.
    Afin de renforcer l'attractivité et la reconnaissance internationale du diplôme de master, certains enseignements peuvent être dispensés en langue étrangère, ou organisés en coopération avec des établissements d'enseignement supérieur étrangers en application des dispositions des articles L. 121-3 et D. 613-17 et suivants du code de l'éducation.

    Article 17

    La formation conduisant au diplôme national de master s'appuie sur une activité de recherche pouvant être présente sous plusieurs formes : unités de recherche labellisées, équipes émergentes, y compris de recherche technologique. Cette activité de recherche doit concerner directement l'établissement accrédité, seul ou en partenariat avec d'autres établissements de recherche ou d'enseignement supérieur ou avec les milieux économiques, culturels ou sociaux.
    Cet adossement à la recherche vaut pour toutes les formations même s'il peut prendre des formes différentes. Les parcours types visant une insertion professionnelle immédiate hors des études doctorales doivent joindre savoirs et pratiques, intégrant les compétences apportées par les établissements d'enseignement supérieur et par les milieux économiques et sociaux.
    Les parcours types particulièrement orientés vers les métiers de la recherche, qui s'appuient davantage sur les activités scientifiques des enseignants-chercheurs et des enseignants des équipes participant à la formation, intègrent également les aspects socio-économiques liés à leurs thématiques, facilitant ainsi l'ouverture des études doctorales vers les mondes non académiques.

    Dans un objectif de reconnaissance internationale, le diplôme national de master peut être délivré conjointement par les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel avec d'autres établissements d'enseignement supérieur.
    Cette dérogation s'applique aux établissements habilités par le ministre chargé de l'enseignement supérieur à délivrer des diplômes conférant le grade de master. Ces établissements sont soumis à l'évaluation prévue par les 1°, 2° et 3° de l'article L. 114-3-1 du code de la recherche et sont autorisés à délivrer conjointement le diplôme national de master par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.

  • TITRE IV : DISPOSITIONS DIVERSES

    L'arrêté du 17 novembre 1999 susvisé est modifié ainsi qu'il suit :
    1° L'article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Art. 1er. - Les études universitaires conduisant à la licence professionnelle sont régies par l'arrêté relatif au cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master et les dispositions du présent arrêté.
    La licence professionnelle est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade de licence. Elle est conçue dans un objectif d'insertion professionnelle. La formation valide l'obtention de 60 crédits ECTS. La licence professionnelle sanctionne un niveau correspondant à 180 crédits ECTS.
    Les diplômes de licence professionnelle sont enregistrés au répertoire national des certifications professionnelles dans les conditions prévues à l'article L. 335-6 du code de l'éducation et classés au niveau II de la nomenclature interministérielle de niveaux de formation. » ;
    2° Après le deuxième alinéa de l'article 3, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
    « ― soit, dans les mêmes conditions, de la validation de 120 crédits ECTS dans le cadre d'un cursus de licence ; » ;
    3° Le quatrième alinéa de l'article 3 est remplacé par les dispositions suivantes :
    « ― soit de l'une des validations prévues aux articles L. 613-3, L. 613-4 et L. 613-5 du code de l'éducation » ;
    4° A l'article 4, les mots : « sur une année » sont remplacés par les mots : « en deux semestres » et les deuxième et dernier alinéas sont supprimés ;
    5° A l'article 5, les mots : « le décret du 27 mars 1993 susvisé » sont remplacés par les mots : « les articles R. 613-32 à R. 613-37 du code de l'éducation » ;
    6° A l'article 6, le mot : « parcours » est remplacé par le mot : « dispositifs » et les mots : « , dans le cadre de la demande d'habilitation, » sont supprimés ;
    7° A l'article 7, le cinquième alinéa est supprimé et au septième, alinéa les mots : « , organisé dans les conditions fixées aux articles 5 et 7 de l'arrêté du 9 avril 1997 susvisé, » sont supprimés ;
    8° A l'article 9, le mot : « habilité » est remplacé par le mot : « accrédité » ;
    9° A l'article 11, les mots : « de l'article 17 de la loi du 26 janvier 1984 susvisée » sont remplacés par les mots : « des articles L. 613-1 et L. 613-4 du code de l'éducation » ;
    10° L'article 16 est abrogé ;
    11° Les deuxième et troisième alinéas de l'article 17 sont supprimés.

    L'arrêté du 25 avril 2002 susvisé est modifié ainsi qu'il suit :
    1° L'article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Art. 1er. - Les études universitaires conduisant au master sont régies par l'arrêté relatif au cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master et les dispositions du présent arrêté.
    Le diplôme national de master est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade de master. » ;
    2° L'article 2 est abrogé ;
    3° L'article 4 est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Art. 4. - Le master porte la mention du ou des établissements qui l'ont délivré. » ;
    4° L'article 6 est abrogé ;
    5° Au troisième alinéa de l'article 7, les mots : « de l'article 4 du décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 susvisé relatif aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux susvisés » sont remplacés par les mots : « de l'article D. 613-4 du code de l'éducation » ;
    6° La dernière phrase de l'article 9 est supprimée ;
    7° Les articles 10, 13, 15 et 16 sont abrogés.

    Article 21

    L'arrêté du 1er août 2011 susvisé est modifié ainsi qu'il suit :
    1° Au troisième alinéa de l'article 1er, après les mots : « régies par », sont insérés les mots : « l'arrêté relatif au cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master et » ;
    2° A l'article 6, la dernièrephrase du huitième alinéa et le neuvième alinéa sont supprimés et les mots : « équipe de formation » et « équipes de formation » sont remplacés respectivement par les mots : « équipe pédagogique » et « équipes pédagogiques » ;
    3° A l'article 7, les premier, deuxième et troisième alinéas sont supprimés ;
    4° Les articles 10, 14 et 19 sont abrogés ;
    5° A l'article 12, les mots : « le conseil d'administration sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire » sont remplacés par les mots : « la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation » ;
    6° Aux articles 12, 18, 21 et 24, les mots : « équipes de formation » sont remplacés par les mots : « équipes pédagogiques » ;
    7° A l'article 16, les mots : « Sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire adoptée par le conseil d'administration » sont remplacés par les mots : « Par décision de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation » ;
    8° A l'article 17, les mots : « le conseil d'administration de l'établissement sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire » sont remplacés par les mots : « la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation » ;
    9° A l'article 18, les mots : « Le conseil d'administration arrête, sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire, » sont remplacés par les mots : « La commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation arrête » et le dernier alinéa est supprimé ;
    10° Après l'article 18, il est inséré un article 18-1 ainsi rédigé :
    « Art. 18-1. - Les établissements habilités à délivrer le diplôme national de licence sont habilités à délivrer, au niveau intermédiaire, le diplôme d'études universitaires générales (DEUG), dans le domaine de formation concerné, qui correspond à l'obtention des 120 premiers crédits ECTS acquis dans le cursus de licence. Il est délivré à la demande de l'étudiant. »

    Article 22

    Le comité de suivi de la licence et de la licence professionnelle et le comité de suivi master sont chargés du suivi de la mise en œuvre du présent arrêté.

    Article 23

    Les dispositions du présent arrêté sont applicables à la rentrée universitaire 2014 pour la mise en œuvre, en première année de licence, des mentions de licence.
    Les autres dispositions entrent en vigueur à partir de la rentrée universitaire 2015 et au plus tard lors du renouvellement de l'accréditation de chaque établissement d'enseignement supérieur concerné.

    Article 24

    La directrice générale pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle est chargée de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

  • Annexe

    CAHIER DES CHARGES DES STAGES

    Ce cahier des charges a pour but de préciser la prise en compte des périodes de stages dans un cursus de formation.
    Le stage, tout en étant une modalité pédagogique particulière, est intégré dans le parcours type de formation sous la forme d'une unité d'enseignement (UE) clairement identifiée. A ce titre, l'ensemble des connaissances et compétences visées par cette UE est partie intégrante du supplément au diplôme. Cette UE doit être élaborée à partir des référentiels des diplômes afin de fixer les missions et objectifs pédagogiques du stage ainsi que les objectifs, les modalités et les critères d'évaluation.
    Les stages peuvent être axés sur la découverte d'un milieu professionnel (y compris celui de la recherche), ou centrés sur l'application d'éléments de formation, de spécialisation, plusieurs objectifs pouvant se conjuguer. Néanmoins, il importe de ne pas trop cumuler les attentes sur une seule période de formation et par exemple, il est difficile de fixer au stage deux objectifs lourds : ainsi, la soutenance orale d'un mémoire de stage ne saurait être la seule occasion de la validation des capacités d'expression/communication à l'oral de l'étudiant.
    Préparation du stage
    L'équipe pédagogique a la responsabilité, d'une part, de la définition de l'articulation du stage dans le cursus (place, objectifs...) et, d'autre part, de la validation des sujets (contenu, lieux...), notamment leur lien effectif avec les objectifs de formation et les compétences recherchées.
    L'équipe pédagogique est garante de l'aide méthodologique (méthodes de recherche, CV, entretien, lettres de motivation, rédaction, présentation, préparation à la mission, à la connaissance de la structure d'accueil...) apportée en amont du stage qui est une partie intégrante de l'UE stage.
    L'établissement, en appui sur ses services tels que le bureau d'aide à l'insertion professionnelle ou son équivalent, doit être garant que tout étudiant bénéficie d'un appui dans sa recherche de stage, et veiller à ce qu'il n'y ait pas de discrimination. L'établissement est garant de l'application de la législation en vigueur sur ce point, tout particulièrement concernant l'accès au stage des personnes en situation de handicap.
    Il est nécessaire que les structures de formation conservent la mémoire des stages des années précédentes et du portefeuille des structures d'accueil. Ces informations peuvent être consolidées au niveau de l'établissement.
    L'étudiant doit aussi être acteur de la démarche de recherche et de préparation de son stage, car celle-ci constitue un des éléments de la formation.
    Encadrement et suivi (académique et par la structure d'accueil)
    Le stage étant un élément de la formation, son encadrement et son suivi sont obligatoires. Il est de la responsabilité de l'équipe pédagogique de vérifier que l'étudiant bénéficie bien d'un encadrement réel dans la structure d'accueil. Cette dernière doit, de son côté, veiller à ce que l'encadrement de l'étudiant soit adapté aux objectifs de la formation (en termes de disponibilités et de qualification). La convention de stage doit préciser tout ce qui concerne les engagements réciproques des trois parties notamment les objectifs du stage et le traitement des difficultés qui peuvent apparaître au cours du stage. L'équipe pédagogique est garante de sa mise en œuvre.
    Chaque étudiant doit bénéficier d'un tuteur/encadrant de référence au sein de l'équipe pédagogique chargé de l'encadrer, d'organiser son suivi pédagogique avec l'entreprise et de faire des points d'étape régulier avec lui. S'il est souhaitable que le suivi académique se traduise par une visite sur le lieu de stage, compte tenu, d'une part, des moyens des établissements et, d'autre part, de la grande diversité des lieux de stages, d'autres modalités peuvent être mises en œuvre, notamment des rendez-vous téléphoniques réguliers, des échanges par courriel, une visioconférence...
    La charge de suivi de stage doit être valorisée dans les activités de tout enseignant ou enseignant-chercheur.
    Evaluation/validation (modalités)
    L'évaluation d'un stage doit relever d'une procédure intégrée au règlement des études. Les éléments de l'évaluation relèvent de l'autonomie de l'équipe pédagogique. Cependant, il est souhaitable que cette évaluation repose sur :
    ― une soutenance dont l'évaluation fait intervenir des membres de l'équipe pédagogique dont le tuteur académique et au moins un représentant de la structure d'accueil ;
    ― un rapport, principalement évalué par le tuteur académique (la confidentialité éventuelle des travaux ne doit pas empêcher une vraie validation du contenu du stage) ;
    ― une appréciation de la part de la structure d'accueil.
    Sur ce dernier point, il est souhaitable que l'équipe pédagogique fournisse une grille d'évaluation de manière à harmoniser les critères d'évaluation en regard des attentes du stage. Le maître de stage, c'est-à-dire la personne qui encadre le stagiaire au sein de la structure d'accueil, doit être sensibilisé à son rôle dans l'encadrement de la rédaction du rapport pour les volets concernant le déroulement de la mission.
    Au-delà de ces éléments habituels d'évaluation, il est nécessaire que l'évaluation permette à l'étudiant de traduire sa mise en application des acquis de la formation et d'exprimer les savoirs et compétences acquis ou qui ont été sollicités au cours de l'expérience qu'a constituée le stage. Cette partie doit se faire en lien avec le référent au sein de l'équipe pédagogique mais aussi avec le maître de stage au sein de la structure d'accueil. Le stage doit donc être le lieu d'un retour réflexif sur la formation, cela dans la perspective des évolutions de carrière que l'étudiant sera appelé à connaître au cours de son existence et qui devront toutes s'appuyer sur une analyse de son propre parcours. Cette analyse peut aussi se traduire par une reformulation de la part de l'étudiant de son CV comme élément simple de traduction des savoirs et compétences acquis. Elle devrait ainsi se traduire par un chapitre spécifique du rapport de stage et pourrait être présentée lors de la soutenance.
    Enfin, tout stage doit donner lieu à un retour d'expérience de la part du stagiaire sur le déroulement de son stage (accueil, suivi, intérêt...). Cette appréciation de la qualité du stage n'est pas incluse dans l'évaluation, mais doit alimenter le processus de sélection des stages par l'équipe pédagogique. Un bilan est présenté annuellement au conseil de perfectionnement.
    Mise en œuvre/modalités
    La mise en œuvre des stages ne saurait être exagérément contrainte afin de laisser une autonomie aux équipes pédagogiques. Selon leur finalité (découverte, mise en situation métier avancée, stage de fin d'études...), la durée d'un stage et son positionnement au sein du cursus peuvent être adaptées. De même, si une insertion en continu au sein de la structure d'accueil semble être préférable, un stage peut aussi être envisagé sur un mode d'alternance (par exemple sur la base de deux jours par semaine).
    Lorsqu'un stage est inscrit dans leur cursus, les étudiants sous statut salarié dont l'activité est en lien avec les objectifs de formation doivent pouvoir bénéficier d'une évaluation de cette activité pouvant participer à la validation de l'UE stage ou à la délivrance de crédits ECTS sous réserve que cela ne conduise pas à une dénaturation des objectifs prévus pour cette UE.
    Communication/information
    Comme toute unité de formation, l'UE stage doit être décrite aussi précisément que possible dans les supports d'information et de communication destinés aux personnes qui se renseignent sur la formation.
    Stages dans le cadre de tous les cursus de master
    Les étudiants des masters doivent pouvoir bénéficier dans leur cursus de période(s) de mise en situation d'exercice des métiers quel que soit le secteur vers lequel ils s'orientent. Ces cursus peuvent aussi prévoir des stages dans le monde socioéconomique.

27 septembre 2009

Charte des bonnes pratiques de la VAE suivant la COPIRE PACA

http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/image/menu_gauche/titre.gifVAE en PACA
Afin d’endiguer les difficultés soulevées par la VAE et soulignées notamment dans le rapport BESSON et par le groupe de travail sur la VAE présidé par Vincent MERLE, la Commission paritaire interprofessionnelle régionale de l’emploi (COPIRE) de Provence Alpes-Côte d’Azur (PACA) propose une Charte_des_bonnes_pratiques_de_la_VAE en trois points: les étapes en amont de l’accompagnement; les étapes et le contenu de l’accompagnement; l’aval de l’accompagnement.
Les partenaires sociaux partagent globalement l’analyse qui est faite des difficultés rencontrées dans le développement de la VAE. Les chiffres parlent d’eux‐mêmes et les objectifs fixés ne sont pas atteints. Bien qu’en diminution, le taux de déperdition des candidats tout au long de la procédure est particulièrement préoccupant et peut s’expliquer par de multiples facteurs: • Mauvaise information et orientation des candidats à la VAE, • Complexité des procédures, • Insuffisances de l’accompagnement, • Accès inégal à la certification en fonction des métiers et filières. Toutefois, la COPIRE PACA réfute toute position pessimiste sur l’avenir de la VAE et, dans la perspective d’un nouvel accord interprofessionnel sur la formation professionnelle, réaffirme son attachement à ce dispositif de certification qui – manifestement – monte en puissance et commence à porter ses fruits.
Des pistes de progression se dessinent tout au long du cheminement que le salarié suit pour aboutir à la VAE: • Un pré-accompagnement efficace est essentiel. Un certain flou perdure aujourd’hui quant à cet ensemble de prestation délivré au salarié (information/validation de projet/orientation). La solidité de cette étape permettrait de réduire sensiblement le nombre d’abandons en cours de procédure, mais aussi d’assister les salariés les moins enclins à se confronter aux procédures administratives parfois complexes. A l’heure actuelle, cette prestation n’est pas encadrée juridiquement, difficilement finançable et pourtant essentielle. La COPIRE PACA propose – à ce titre – de produire cette charte des bonnes pratiques du préaccompagnement VAE afin de fournir un cadre de référence aux organismes financeurs de la formation professionnelle et les encourager à s’engager dans ce sens.
• L’accompagnement à la VAE se doit d’être qualitativement sans concession. L’esprit même de la VAE consiste en une démarche proche du terrain et de la réalité de l’activité professionnelle. Il s’agit effectivement d’une voie de certification à part entière et le refus par principe des demandes de VAE, pour quelque raison que cela soit, restent des pratiques inacceptables que les partenaires sociaux condamnent fermement.
• L’évaluation qui conduit à la certification doit s’appuyer davantage sur les compétences et savoir-faire professionnels constatés en situation, modalité qui correspond parfaitement à l’objet de la VAE. L’abandon progressif de cette pratique est d’autant plus préjudiciable qu’elle pénalise prioritairement les bas niveaux de qualification, cible pourtant essentielle de la VAE. Source.
http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/image/menu_gauche/titre.gifVAE i PACA
Att stävja de problem som den VAE och särskilt betonas i rapporten av Besson och arbetsgruppen för VAE leds av Vincent Merle, den gemensamma Inter-regional sysselsättning (COPIRE) Provence Alpes-Cote d ' Azur (PACA) ger en Charte_des_bonnes_pratiques_de_la_VAE tre punkter: Den övre stegen i ackompanjemang, steg och innehållet i den medföljande, nedströms ackompanjemang. Arbetsmarknadens parter har ett övergripande analys görs av de svårigheter som uppstått i utvecklingen av VAE. Mer...
1 septembre 2013

Higher Education and Research-Council of Europe

http://www.guninetwork.org/utils_images/guni-1/image_preview

 The work of the Council of Europe in the field of higher education and research focuses on issues related to the recognition of qualifications, public responsibility for higher education and research, higher education governance and other fields relevant for the establishment of the European Higher Education Area by 2010. The Council of Europe also supports reform of higher education in the so-called priority regions, mainly the South East Europe, South Caucasus and CIS countries. The link address is: http://www.coe.int/t/dg4/highereducation/Default_en.asp

22 août 2013

Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) - Università di Corsica Pasquale Paoli

http://formcont.univ-corse.fr/photo/background_colonne-1-0.png?v=1305117649La procédure VAE est basée sur l'analyse argumentée  des compétences  du candidat en relation avec un diplôme ;elle permet de candidater à une certification sans suivre les enseignements du parcours universitaire qui prépare au diplôme national visé. 
Selon la voie de certification créée par la loi de modernisation sociale n° 2002-73 du 17 janvier 2002 dans son article L613-3 du code de l’éducation, la validation des acquis de l’expérience (VAE) autorise la délivrance partielle ou complète d’un diplôme national professionnalisant (hors Diplômes d'Université), par son décret n° 2002-590 du 24 avril 2002.
Toute personne détentrice d'un parcours professionnel avéré (36 mois d'activité reconnue) peut initier elle même la procédure VAE, en identifiant un ou des diplômes nationaux délivrés par l'Université de Corse (les Diplômes d'Unversité ne sont pas éligibles aux procédures de VAE) qui est (ou sont ) en relation avec son expérience professionnelle ; la personne candidate ne doit pas avoir été inscrite à la préparation d'un diplôme dans la même spécialité au cours des 2 années qui précèdent sa demande.
Sur cette base le Service Commun de la Formation Continue de l'Université de Corse gère les procédures de VAE en relation avec les composantes de l'université concernées.
Les étapes :
1 - Avoir identifier un ou des diplômes proposés dans la carte des Diplômes Nationaux  (les Diplômes d'Université ne sont pas éligibles aux procédures de VAE), délivrés par l'Université de Corse, en relation avec son expérience professionnelle,  
2 - Retirer au Service Commun de la Formation Continue ou télécharger, une fiche de recevabilité, qui fera l'objet d'un enregistrement de la recevabilité de la demande de VAE du candidat;
3 - Cet enregistrement est suivi d'un entretien individuel avec le responsable du diplôme visé et avec la directrice du Service commun de la Formation Continue, référente VAE pour l'établissement;
4 - Si l'entretien est concluant, le candidat peut s’inscrire dans l'année diplômante du cycle correspondant au diplôme visé et commencer la procédure de VAE;
5 - Après inscription, la procédure est instruite par un jury de VAE propre au candidat, jury devant lequel il présentera son mémoire de VAE.
Coûts des procédures VAE 2002 à l'Université de Corse :
· procédure accompagnée 600 EUROS (sous réserve de modification par les instances universitaires).
· procédure non accompagnée 250 EUROS (sous réserve de modification par les instances universitaires).
Les droits d'inscription d’un montant de 150 EUROS, sont à acquitter en sus.
contacts, du lundi au vendredi de 9h à 12h :
Aurélie OTTOMANI -
04.95.45.00.17 ottomani@univ-corse.fr.
Télécharger la fiche de recevabilité VAE ici
Télécharger le dossier de VAE ici
Télécharger le guide VAE à l’Université de Corse ici
Télécharger la page de garde du mémoire ici
Dans la même rubrique :
Validation des acquis
Validation des Acquis Professionnels (VAP).

16 mars 2013

Licence Pro, VAE, puis Master 2

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Directeur de la licence professionnelle Management des organisations de l’économie sociale (LP MOES) à Marne-la-Vallée, j’ai toujours conseillé aux diplômés (150 pour les promotions 2004 à 2008) de ne pas poursuivre immédiatement des études, d’entrer sur le marché du travail pour progresser en compétences et accumuler des premières expériences professionnelles. Je leur expliquais la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE instaurée en 2002) et son grand intérêt: celui de pouvoir un jour, pour les besoins de la carrière professionnelle, accéder directement à un Master 2 sans passer par un M1. Suite de l'article...
http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpg Blog Educpros Pierre Dubois. Director of professional license management organizations in the social economy (LP MOES) in Marne-la-Vallée, I have always advised graduates not to pursue studies immediately, to enter the labor market to advance skills and accumulate work experience first. More...
6 janvier 2009

La VAE (Validation des Acquis de l'Expérience) dans les Universités et le Cnam PACA

Qu'est-ce que la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) ?
C'est la quatrième façon d'obtenir un diplôme, sans suivre obligatoirement la formation, à la différence de la formation initiale, de la formation professionnelle ou de l'apprentissage.
Quelles sont les conditions à remplir ?
Vous devez avoir acquis au minimum trois ans d'expérience en relation directe avec le diplôme visé.
Comment être candidat ?
Conduisez une recherche afin de déterminer le diplôme qui paraît le mieux correspondre à votre expérience et à votre projet professionnel.
Pour le faire efficacement, visitez les pages web des Universités et du Cnam PACA : La VAE à l'Université de ProvenceLa VAE à l'Université de la Méditerranée; La VAE à l'Université Paul Cézanne; La VAE à l'Université de Nice Sophia Antipolis; La VAE à l'Université d'Avignon et des Pays de Vaucluse; La VAE à l'Université du Sud Toulon-Var; La VAE au CNAM PACA.

Qual è la convalida di esperienza (VAE)? Questo è il quarto modo per ottenere un diploma, senza seguire la formazione obbligatoria. Quali sono i requisiti? È necessario disporre di almeno tre anni di esperienza in relazione diretta con il grado richiesto. Come iscriversi? Condotta una ricerca per determinare il livello che sembra più appropriato alla vostra esperienza e la vostra carriera. Per farlo efficacemente, visitare le pagine web delle università e CNAM PACA: VAE presso l'Università di Provenza; VAE presso l'Università del Mediterraneo; VAE presso l'Università Paul Cézanne; VAE presso l'Università di Nizza Sophia Antipolis; VAE presso l'Università di Avignone et des Pays de Vaucluse; VAE presso l'Università del Sud Toulon-Var; VAE in PACA CNAM.

La Région organise ses Etats Généraux en Provence-Alpes-Côte d'Azur

What is the validation of experience (VAE)? This is the fourth way to get a diploma, without following mandatory training. What are the requirements? You must have at least three years experience in direct relation with the degree sought. How to Apply? Conduct a search to determine the degree that seems most appropriate to your experience and your career. To do this effectively, visit the web pages of Universities and CNAM PACA: VAE at the University of Provence; VAE at the University of the Mediterranean; VAE at the University Paul Cézanne; VAE at the University of Nice Sophia Antipolis;
VAE at the University of Avignon et des Pays de Vaucluse; VAE at the University of South Toulon-Var; VAE at CNAM-PACA.  

Cliquez ici ! 
19 juin 2009

Victoires de la modernisation de l’État, l’Amue sélectionnée avec Sifac

illustration sifacL'Amue avec sa nouvelle offre applicative de gestion financière et comptable, SIFAC, a été sélectionnée dans le cadre de la Victoire du Service, catégorie fonction publique d'État.
L’Amue fait partie des 36 nominés aux victoires de la modernisation de l’État dans le domaine « victoires du Services » avec la mise en place de son logiciel Sifac. Ces victoires récompensent les actions des différents acteurs publics engagés dans le programme de réforme de la fonction publique.
Parmi les 35 autres nominés on retrouve le CNRS, victoire de la Simplification, pour son action sur la dématérialisation des achats. La liste des nominés a été présentée par André Santini, secrétaire d’État chargé de la fonction publique, à l’occasion de la conférence de presse de présentation des rencontres de la modernisation de l’État et des acteurs publics qui aura lieu les 6, 7 et 8 juillet 2009.

illustratie sifacDe EUAM met de nieuwe reeks van applicatie management en de financiële boekhouding SIFAC, werd geselecteerd als onderdeel van de Victory Service, klasse van State Civil Service.
Het EUAM is een van de 36 kandidaten voor de overwinningen van de modernisering van de Staat op het gebied van "overwinningen van diensten" met de introductie van de software Sifac. Meer...

20 juin 2009

Franche-Comté : OPCALIA et le MEDEF fortement mobilisés sur le terrain de la VAE

ImageOPCALIA Franche-Comté et le MEDEF ont organisé le 10 juin une rencontre sur la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) en présence de Vincent MERLE. Professeur au Conservatoire national des Arts et Métiers, il a présidé le groupe de travail sur la VAE initié par Laurent Wauquiez, Secrétaire d'Etat à l'Emploi. Ce groupe de travail, mis en place en septembre 2008 dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle, a présenté ses travaux le 8 janvier 2009 au secrétaire d'État à l'Emploi. Le rapport aborde les questions de la mobilisation des acteurs, de la diffusion de la VAE, en particulier dans les entreprises, de son inscription dans une démarche qualité et de la régulation du système de certifications.
Cette rencontre du 10 juin a été l’occasion pour les acteurs de la VAE et les entreprises d'échanger sur les perspectives de développement de la VAE dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle continue et d’évoquer les ingrédients d’une démarche de VAE mobilisatrice et réussie.
Opcalia Franche-Comté and MEDEF organized the June 10 meeting on the Validation of Acquired Experience (VAE) in the presence of Vincent Merle. More...

15 août 2013

Le Fongecif Lorraine fête ses 30 ans le 10 octobre 2013

http://www.charte-fpspp.org/sites/default/themes/fpspp/logo.pngA l’occasion des Trente ans des FONGECIF, Le FONGECIF Lorraine souhaite partager avec ses partenaires le chemin parcouru depuis sa création en 1983.
Au cours de cette période, ce sont 30 000  salarié(e)s qui ont été accompagnés et financés dans leur projet de reconversion ou de montée en qualification en Lorraine.
Le FONGECIF est reconnu dans cette région comme un partenaire actif. Il est  au cœur des mutations économiques et sociales et des transitions professionnelles de celles et ceux qui en constituent la richesse.
Le FONGECIF Lorraine s’inscrit donc dans l’histoire de la formation professionnelle en France depuis les premiers textes initiés par la  loi de 1971. La création des OPACIF en 1983 ont donné aux salariés un véritable outil de « promotion individuelle ». Plus récemment,  la mise en place du bilan de compétences et de la VAE, la reconnaissance de la mission de conseil et d’accompagnement ont complété ces premiers dispositifs.
Les partenaires sociaux et le  législateur  continuent à adapter ces outils de promotion et de formation. Demain, le Conseil en Evolution Professionnelle  et le Compte Personnel de Formation marqueront une évolution supplémentaire au service de la qualification et de l’emploi.  
C’est à ce voyage, en présence de nombreux acteurs régionaux et nationaux que le FONGECIF invite ses partenaires !
Le lieu : Palais des Congrès de Nancy
La date : Jeudi 10 Octobre 2013 à 17 heures 30 (Accueil à partir de 17 heures 00 pour la cérémonie « Pour ses trente ans le FONGECIF se met en scène ! » Suite...

27 août 2013

Bilan de compétences (FPH) - Bretagne

http://www.seformerenbretagne.fr/images/stories/logos_footer/gref.gifLa réforme pose désormais comme principe que les fonctionnaires ont un droit à la formation professionnelle tout au long de la vie.
Les agents hospitaliers disposent de trois possibilités pour accéder à la formation :

Les établissements doivent consacrer 2,1 % au minimum des rémunérations de leurs agents au financement de la formation. Cette cotisation est versée à l'Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH), désormais agréée comme OPCA.
NDLR : Au moment de réactualiser cette page, un projet de décret en Conseil d'Etat pris en application de la loi de modernisation de la fonction publique était en préparation. Dès sa publication au Journal officiel, les sections et les fiches concernées seront complétées ou mises à jour.
Qu'est-ce qu'un bilan de compétences ?
Le bilan de compétences vous permet d'analyser voscompétences professionnelles et personnelles ainsi que vosaptitudes et motivations afin de définir un projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation.
Etes-vous concerné ?
Vous pouvez bénéficier d'un bilan de compétences :

  • si vous justifiez d'au moins de 2 années de services effectifs, consécutifs ou non, en qualité d'agent titulaire ou non titulaire de la fonction publique hospitalière ;
  • dans la limite des crédits disponibles.

Quelles démarches devez-vous entreprendre ?

  • Vous devez formuler une demande d'autorisation d'absence (comprenant les dates de la prestation et le nom de l'organisme) auprès de votre administration au plus tard 60 jours avant le début du bilan. Votre administration a 30 jours pour donner son accord ou reporter l'autorisation d'absence.
  • Vous devez présenter la demande de prise en charge des dépenses afférentes à votre bilan, accompagnée de votre autorisation d'absence, à l'organisme paritaire agréé, auquel votre établissement verse la cotisation du congé de formation professionnelle.

Comment se déroule un bilan de compétences ?
Le bilan a une durée maximum de 24 heures, réparties ou non sur plusieurs semaines. Il se décompose en une phase préliminaire, une phase d'investigation et une phase de conclusions ; un document de synthèse vous est remis à l'issue de la prestation. Les résultats du bilan vous appartiennent : aucune communication directe de ces résultats n'est faite à l'administration.
Quel financement ?
Le bilan professionnel est financé par l'organisme paritaire agréé au titre du congé de formation professionnelle ; une convention est passée entre vous, l'organisme paritaire et l'organisme prestataire.
Quelle rémunération ?
Pendant la durée de votre bilan de compétences, vous continuez à percevoir votre traitement, vos primes et indemnités y compris les indemnités à caractère familial que vous auriez perçus si vous étiez resté en poste.
Liens utiles :

14 septembre 2013

Politique européenne en faveur de la mobilité des personnels et de la formation tout au long de la vie

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgTélécharger CPU Le Mag' : Les femmes et les hommes qui font l'université : quelles politiques de ressources humaines pour l'université de demain ?
Par Maria Kristin Gylfadottir, commission européenne, DG EAC (Education and Culture).
Un manque de stratégie globale à ce jour, des outils forts pour demain
Depuis le début des années 2000, l’Union européenne manifeste des objectifs volontaristes en matière de mobilité et de formation des personnels. Toutefois, les politiques menées, très disparates, se heurtent encore à de nombreux obstacles. Des freins auxquels de nouveaux programmes ambitieux vont tenter de remédier dans les années à venir.
Les nombreux bénéfices de la mobilité internationale
Pour les personnels : accélération du développement professionnel, effet positif sur la confiance et la motivation, acquisition de compétences transversales et de bonnes pratiques, élargissement du réseau… Pour les universités : développement de partenariats, partage des ressources, attraction des profils les plus qualifiés, acquisition d’une dimension internationale et d’une vision globale, meilleure qualité de recherche et d’enseignement...
La mobilité européenne, et notamment celle des personnels, est évoquée dans tous les communiqués ministériels de la Commission ayant trait au processus de Bologne, initié en 1999. Les bénéfices de celle-ci y sont clairement exprimés. Ainsi peut-on lire dans le Plan de mobilité européen 2000/2001 : « La mobilité transnationale contribue à enrichir les différentes cultures, ainsi que la société européenne dans son ensemble, et permet aux personnes concernées d’améliorer leur culture individuelle et leur connaissance professionnelle. » Des objectifs notamment réaffirmés par la Charte européenne de qualité pour la mobilité (2006), par la Charte européenne du chercheur (2005) et dans une communication de septembre 2011, qui fait figurer « mobilité et coopération internationales » parmi les priorités. Enfin, au terme de la Conférence ministérielle de Bucarest de 2012, a été adoptée la stratégie « Mobilité pour mieux apprendre ». Cette dernière invite les établissements d’enseignement supérieur à adopter une stratégie internationale, à inciter leurs personnels à la mobilité et à l’acquisition de compétences et à mettre en place structures et conditions favorisant cette mobilité.
Des politiques très disparates, un manque de vision globale
Toutefois, au-delà de ces bonnes intentions, de nombreux obstacles subsistent. Les premiers sont d’ordre institutionnel. Il n’existe pas, au sein des États membres, de définition universelle de la mobilité des personnels. Ce qui induit des politiques très disparates. Si l’ensemble des 27 a des cursus basés sur des accords bilatéraux, moins de la moitié s’appuie sur une politique nationale. Seuls trois pays – dont la France – incluent ainsi la mobilité dans leur stratégie d’enseignement supérieur. Les autres obstacles sont d’ordre individuel : situation personnelle, difficultés à se faire remplacer, obstacles administratifs et légaux, manque d’informations, de budget…
Par ailleurs, si l’on sait que ressources financières et intérêt individuel sont les deux principaux déclencheurs de la mobilité, on déplore un manque global de données : sur l’importance accordée à l’expérience internationale dans les recrutements, sur la performance, sur les moyens de former le personnel enseignant à exercer dans un environnement international… D’une manière générale, la mobilité des personnels passe après celle des étudiants et des jeunes chercheurs.
Des outils ambitieux pour la période 2014-2020
Pourtant, toutes les études montrent l’importance des bénéfices induits par cette mobilité (cf. encadré). C’est pourquoi l’Europe a récemment mis en place de nouveaux outils. Les dernières recommandations, qui devaient être publiées le 18 juin 2013, visent à une meilleure formation des personnels et à la mise au point de stratégies internationales globales. Tandis que la priorité devrait être donnée, pour les financements européens, aux partenariats promouvant de nouvelles méthodologies d’apprentissage et d’enseignement. Instrument majeur de cette évolution : le programme « Erasmus pour tous » (2014- 2020), fort de trois actions-clés. La première est basée sur une ouverture accrue des échanges universitaires au sein de l’Union, sur le développement de cursus conjoints et sur des bourses d’études garanties. La deuxième vise à développer la coopération entre établissements européens et hors UE, pour une meilleure innovation. La troisième apporte un soutien aux politiques menées dans le cadre de l’Agenda de modernisation de l’enseignement supérieur. Au total, les quatre programmes existants (Erasmus, Leonardo da Vinci, Grundtvig et Comenius) se voient attribuer un budget de 19 millions d’euros sur 7 ans, soit une augmentation de 70 %.
Télécharger CPU Le Mag' : Les femmes et les hommes qui font l'université : quelles politiques de ressources humaines pour l'université de demain ?

4 février 2011

2e Salon des Masters à Marseille

            Salon des MastersMercredi 9 mars 2010 de 15h à 19h et Jeudi 10 mars 9h-17h. Pour la deuxième année consécutive, les quatre universités d’Aix-Marseille et Avignon présentent leur offre de formation en masters à l’Espace Villeuneuve-Bargemon à Marseille.
Pour tout savoir sur les formations universitaires à bac+5 dans l'académie: participation au 2ème salon inter-universitaire des masters.
Visite personnalisée du salon, conférences, rencontres avec les professionnels universitaires de l'orientation et de l'insertion professionnelle, et avec les enseignants-chercheurs responsables de la formation.
Le Salon des Masters vient d'être ajouté au programme des 11èmes Rencontres Enseignants-Chercheurs. Dans ce cadre, tous les professeurs des écoles, collèges, lycées et lycées professionnels de l'Académie d'Aix-Marseille peuvent s'inscrire et participer à cette manifestation le jeudi 10 mars 2011 à l'Espace Bargemon à Marseille. Pour vous inscrire, il vous suffit de faire parvenir à la Direction de l'enseignement supérieur et de la recherche votre fiche d'inscription ci-jointe signée par votre Chef d'établissement. CONTACT: marie-france.crouvisier-foglia@ac-aix-marseille.fr (Chargée de suivi des rencontres) - Tél: 04.42.91.72.81. Consultez la présentation du dispositif et téléchargez la fiche d'inscription et sa fiche descriptive associée (CODE de la rencontre: AM-MCEN-05).
Lounge MastersPer il secondo anno consecutivo, le quattro università di Aix-Marsiglia e Avignone presentare la loro offerta di formazione a padroneggiare la -Villeuneuve Bargemon spazio a Marsiglia .
Per informazioni sulla laurea Bac +5 in accademia: Partecipazione in sala secondo interuniversitario Masters.

Tour della mostra, conferenze, incontri con professionisti di orientamento scolastico e l'integrazione professionale, e con i docenti responsabili della formazione. Maggiori informazioni...
4 décembre 2009

L'Etat et les Régions à égalité pour le financement de la FPC et l’apprentissage

Ministère du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la VilleLa dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage, en 2007 (Statistiques de la DARES > Etudes et recherche > Publications Dares > Premières Informations Premières Synthèses).
Extraits concernant les Universités:
La deuxième grande dépense de l’État après l’apprentissage revient à la formation continue dans l’enseignement supérieur. Chaque année, les universités accueillent un public d’actifs qui reprennent des études, appelés post-scolaires. En 2007, ils étaient 350 000 étudiants dans cette situation. Parmi eux, 167 000 se sont inscrits en tant que particuliers ne dépendant pas d’un financement spécifique (plan de formation, CIF, aide aux demandeurs d’emploi ou autres) et ont donc bénéficié des financements classiques de l’université au même titre que les étudiants en formation initiale, soit, au prorata de leur effectif, de 1,1 milliard en provenance de l’État.
Mises à part les Régions, les collectivités territoriales contribuent peu au financement des politiques de formation professionnelle continue et d’apprentissage. Elles dépensent 32 millions d’euros pour les centres de formation d’apprentis et 21 millions d’euros pour la formation continue des actifs retournant à l’université en subventionnant ces dernières.
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006. Depuis 2004, date de la dernière réforme de la formation professionnelle, l’effort de formation de la Nation s’est stabilisé à 1,5 % du produit intérieur brut.
Présentation du document par la DARES:
Les entreprises concourent pour 42 % à la dépense globale. Depuis 1999, la place des organismes paritaires collecteurs agréés dans le financement de la formation par les entreprises n’a cessé d’augmenter. Ils ont géré, en 2007, 47 % de la dépense des entreprises pour la formation. En 2007, la décentralisation de la formation s’est poursuivie. L’État a transféré aux Régions les crédits des formations subventionnées mises en œuvre par l’Afpa pour les demandeurs d’emploi. Suite à ce transfert, qui s’opère selon les Régions entre 2006 et 2009, l’État et les Régions occupent désormais une place équivalente dans le financement de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage.
Les salariés restent les principaux bénéficiaires des fonds de la formation continue, alors que la dépense pour la formation des demandeurs d’emploi a poursuivi son repli dans un contexte de réduction du nombre de demandeurs d’emploi.
श्रम विभाग, समाज कार्य, परिवार, एकजुटता और सिटीव्यावसायिक प्रशिक्षण और प्रशिक्षण के लिए राष्ट्रीय 2007 में खर्च, (सांख्यिकी हिम्मत> अध्ययन और अनुसंधान> प्रकाशन की हिम्मत> पहले सूचना पहले संक्षेप).
विश्वविद्यालयों के लिए अर्क:
राज्य के उच्च शिक्षा के क्षेत्र में प्रशिक्षण के लिए रिटर्न सीखने के बाद दूसरा सबसे बड़ा खर्च. हर साल, विश्वविद्यालयों मेजबान एक सार्वजनिक संपत्ति का अध्ययन, पोस्ट के रूप में जाना स्कूल को लौट. सन् 2007 में वे इस स्थिति में 350 से 000 छात्र थे. उनमें से, 167 000 विशेष आर्थिक सहायता पर निर्भर नहीं व्यक्तियों के रूप में पंजीकृत (प्रशिक्षण योजना, सीआईएफ थे, नौकरी तलाशने वालों या दूसरों को मदद मिलती है) और इसलिए पारंपरिक विश्वविद्यालयों के साथ धन से लाभ कि प्रारंभिक प्रशिक्षण में छात्रों, या तो उनकी संख्या, राज्य से 1.1 अरब के अनुपात में. अतिरिक्त...
29 octobre 2009

Poste de Responsable de service FC et VAE

L'Université d'Auvergne recrute son Responsable de service Formation permanente et validation des acquis.
Pour des renseignements complémentaires, contacter : Lionel COLOMBEL
Tel: 04 73 17 72 60 - Courriel: lionel.colombel@u-clermont1.fr.
L’envoi ou le dépôt des candidatures doit être effectué au plus tard le mardi 10 novembre 2009 cachet de la poste faisant foi.
The University of Auvergne recruits its Responsible Service Adult and validation.
For additional information, contact: Lionel COLOMBEL Tel: 04 73 17 72 60 - Email: lionel.colombel@u-clermont1.fr.
The sending or receipt of applications must be made no later than Tuesday, November 10, 2009 postmark authentic. More...
21 août 2013

Communication et 10 ans de la VAE en Champagne-Ardenne

vaeCommunication
10 ans de communication plurimédias
PLATEFORME D’APPELS
Spécificité de notre région : création en octobre 2006 d’une plateforme d’appels pour obtenir des informations sur la VAE en Champagne-Ardenne: ALLO VAE : 03 26 21 99 33
CAMPAGNES SMS
La direction régionale de Pôle emploi adresse aux demandeurs d’emploi (F-H) répondant aux critères d’éligibilité à la VAE un message sur la VAE les invitant à contacter "Allo VAE"
Entre 10 et 15 campagnes SMS par an à raison d’environ 300 contacts par campagne.
WEB
Le présent site internet est actualisé régulièrement. N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques et/ou toute information en nous écrivant à : cris@arifor.fr
Une moyenne de 13 500 visites par an avec + de 80 % de nouveaux visiteurs (F-H)
- Vidéos témoignages de candidats-es VAE à retrouver dans la rubrique "Les témoignages"
- Campagne Clic sur Google de janvier à mai 2008
- Carte e-mailing adressée aux comités d’entreprise en janvier et juin 2010
- Bannières web en avril et septembre 2010 : publicité VAE sur sites ciblés
MEDIAS
La promotion de la VAE est concrétisée par :
- des insertions presse : Paru Vendu, RCA Mag, L’Union, L’Ardennais, Journal de la Haute-Marne, L’Est Eclair, Libération Champagne, L’Hebdo du Vendredi, Mag’Info, Matot Braine, ARIFOR MAG, Urban TV...
- des annonces radio : spots publicitaires sur radios locales : Fuji, Happy FM, Radio Panach, Radio Mau Nau, Champagne FM, Radio Latitude...
- FRANCE 3 Champagne-Ardenne : spot de 15 secondes en octobre et novembre 2007 ; reportage vidéo sur les missions de la CRIS réalisé le 16/06/2010 à retrouver dans la rubrique "Les témoignages".
INTERVENTIONS
- Forums emploi / formation / orientation, conférences, animations collectives pour différents publics
- Formation pour les acteurs, actrices, structures relais d’information..., réunions d’information pour différents publics
- Démarches auprès des entreprises : représentants syndicaux (F-H), direction des ressources humaines, comités d’entreprise...
PUBLICATIONS
Flyers, affichages VAE, plaquettes sectorielles, plaquettes des services de validation, plaquettes OPCA/OPACIF...

Pour en savoir Chiffres clés VAE 2009 en Champagne-Ardenne

Pour en savoir Chiffres clés VAE 2010 en Champagne-Ardenne

Pour en savoir Chiffres clés VAE 2011 en Champagne-Ardenne

10 ANS DE LA VAE

Pour en savoir 2002-2012 : 10 ans de VAE en Champagne-Ardenne.

13 septembre 2013

Espagne: face à la crise, les universités proposent «d’adopter» un étudiant

http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTaqAJ38J28TKq0FpIHdFrsF6Y4BooSfnh7QgEzkmr0yvfyqakcQiE1u-UPar Quentin Blanc. Après «Adopte Un Mec», «Adopte Un Etudiant»? En Espagne, les personnes privées pourraient être autorisées à «sponsoriser» des étudiants, afin de permettre aux jeunes en difficulté financière de poursuivre des études supérieures.
Entre l’explosion du chômage des jeunes, la hausse des frais de scolarité dans les universités publiques et le durcissement des critères d’attribution des bourses, il ne fait pas bon être étudiant en Espagne à l’heure actuelle. Pour éviter de voir leurs effectifs fondre et des jeunes prometteurs abandonner leurs études, les facultés ibériques veulent créer un fonds permettant à des donateurs privés de financer les cursus d’étudiants en difficulté financière. «De la même façon qu’il est possible de sponsoriser un enfant du tiers-monde grâce à des associations, des particuliers pourraient prendre en charge un étudiant espagnol en payant ses frais de scolarité», explique au quotidien britannique The Telegraph Adelaida de la Calle, rectrice de l’université de Malaga et présidente de l’association espagnole des présidents d’université. Suite...

27 août 2013

Congé de bilan de compétences - Basse Normandie

http://nsi.errefom.fr/nsi/mesuresEtDispositifs/img/bandeau.gifFinalité générale :
ORIENTATION - BILAN - EVALUATION
Objectifs :
Le congé de bilan de compétences permet, à tout salarié, au cours de sa vie professionnelle, de bénéficier à son initiative et à titre individuel, d'un bilan de compétences.
Description :
Le congé de bilan de compétences consiste en une autorisation d'absence accordée par l'employeur avec possibilité de maintien de la rémunération dans la limite de 24 heures.
La durée maximale du congé est de 24 heures de temps de travail consécutives ou non. Si la réalisation du bilan de compétences nécessite plus que 24 heures, les heures au-delà de cette limite peuvent se dérouler en dehors du temps de travail. Les Bilans de compétences peuvent se réaliser hors temps de travail, ce qui permet au salarié de réaliser ce bilan en toute confidentialité.
Voir aussi fiche consacrée au bilan de compétences.
Publics bénéficiaires :
Tous salariés, quelque soit la nature du contrat de travail remplissant la condition de durée d'activité suivante : 5 années de salariat consécutives ou non dont 12 mois dans l'entreprise où est effectuée la demande.
Statut des bénéficiaires :
La personne conserve son statut salarié.
Entreprises concernées :
Toutes les entreprises
Aides, financements :
Les conditions de prise en charge par l'OPACIF dont dépend l'entreprise peuvent différer d'un organisme à l'autre.
Légalement, la prise en charge de la rémunération ne peut excéder 24 heures. Tout ou partie des coûts liés au congé (prestation de bilan, frais de transports...) sont pris en charge par l'OPACIF en fonction des critères que ce dernier s'est fixé.
Les conditions de prise en charge du bilan de compétence pour le salarié peuvent dépendre également d'autres dispositifs mobilisés dans l'entreprise : plan de formation, DIF...
Modalités de mise en oeuvre :
Le salarié doit adresser une demande écrite à son employeur au moins 60 jours avant le début du bilan de compétences. Cette demande doit préciser les dates, la durée du bilan, la dénomination du prestataire de bilan retenu.
Préalablement, le salarié aura pris contact avec l'OPACIF (Ex. FONGECIF) dont il relève afin de bénéficier d'un accompagnement (conseil sur la démarche, choix d'un prestataire, information sur les modalités de prise en charge).
L'employeur dispose d'un délai de 30 jours pour répondre suivant la réception de la demande. L'autorisation doit être écrite et ne peut être refusée (sauf pour motifs de conditions requises non satisfaites ou de procédure). Elle peut toutefois être reportée (sans excéder 6 mois) pour raisons de service.
Une fois l'autorisation obtenue, une demande de prise en charge doit être adressée à l'OPACIF par le salarié.
Où se renseigner ?
Auprès du FONGECIF de Basse-Normandie (Tél : 02.31.46.26.46)
D'autres informations sur le web...
Liste des permanences du FONGECIF de Basse-Normandie sur le site de l'ERREFOM: cliquez ici.
Voir aussi les fiches suivantes
Bilan de compétences.

15 janvier 2010

Le Contrat Unique d'Insertion (CUI) : CAE ET CIE

http://www.arftlv.org/images/master_default/Logo_ARFtlv.gifL'ARFTLV publie une fiche technique n° A 1.0  sur le "Contrat Unique d'Insertion : CAE et CIE". Avec la mise en oeuvre de ce contrat unique, les fiches A 1.1 (CAE), A 1.2 (Contrat d'avenir) et A 1.9 (CIRMA) sont à supprimer. La fiche sur le CAE Croissance verte est inchangée.
Le contrat unique d’insertion (CUI) peut être conclu sous la forme d’un CAE (Contrat d'accompagnement dans l'emploi) dans le secteur non marchand ou d’un CIE (Contrat initiative emploi) dans le secteur marchand. Son objectif est de favoriser l’accès rapide à un emploi durable des personnes sans emploi rencontrant des difficultés particulières d’insertion sociale et professionnelle dans le cadre d'un contrat aidé. Un CAE particulier s’adresse à tous jeunes de 16 à 25 ans : le CAE passerelle. L’aide financière aux employeurs est attribuée par l’Etat et/ou le Département pour les bénéficiaires du RSA (règles fixées dans une convention annuelle d’objectifs et de moyens Etat-Département).
http://www.arftlv.org/images/master_default/Logo_ARFtlv.gifAng ARFTLV-publish ng isang fact sheet na No 1.0 Sa ang "solong kontrata Insertion: ACE at yelo. Sa pamamagitan ng pagpapatupad ng mga ito isang kontrata, sheet isang 1.1 (CAE), 1.2 (hinaharap kontrata) at isang 1.9 (CIRM) ay tinanggal. Ang sheet sa paglago ng ACE Green ay hindi magbabago. Ang natatanging kontrata Insert (CUI) ay matatagpuan sa anyo ng isang kontrata CAE (suporta sa trabaho) sa sektor na hindi pangkalakal o yelo (Inisyatibong Employment Contract) sa komersyal na sektor. More...
23 mars 2009

"Higher education, Enterprises and Regions: Partnerships for Innovation and Development throughout Europe"

Prauge - The Caste - Charles BridgeEURASHE Annual Conference Prague (CZ) 21-22 May 2009. The Theme: "Higher education, Enterprises and Regions: Partnerships for Innovation and Development throughout Europe". AN EVENT ORGANISED UNDER THE CZECH PRESIDENCY OF THE EUROPEAN UNION. Conference Website.

A. Employability of professional higher education graduates. What are key elements? How to incorporate these elements & keep them updated in curricula/courses effectively? What could be a role of stakeholders?
B. Innovation, applied research & development – common platform of higher education & business. What are motives and views of different stakeholders? How to cross over cultural differences between higher education & business? What are key factors and requirements (staff-, organisation-, policy-wise, etc.) for successful co-operation on the side of higher education institutions?
C. In-company training & education provided by higher education institutions – motivation of different parties, success factors, quality requirements, preconditions. Impact of such activities on “standard” activities of higher education institutions.
D. Third mission of higher education institutions – role and position within the regional development, mission & objectives of PHE institutions, scope of potential services.
E. Missions & profiles of Institutes of PHE in the post-Bologna era. What will be common elements in mission, culture, values of PHE institutions? Are there any common characteristics as regards size, structure of governance, partnerships and management of such institutions in the coming decade?
F. Human resources policy and management at professional higher education. What are specific requirements as regards staff at higher education institutions providing professionally oriented programmes and/or applied research activities? What is the range of different activities? What are approaches to knowledge innovation, keeping contact with the development of the specialisation in practice? What are qualification requirements on academic/pedagogic and other staff in different countries?
G. Life-long learning at higher education institutions. What are target groups? What are success factors for LLL programmes design and delivery at higher education institutions? What is a potential of short-cycle higher education in the context of LLL? What are quality requirements for LLL (SCHE) activities?
H. Opening up to ‘New learners’: Recognition of prior learning including formal, non-formal and informal learning. What are motives of different stakeholders? What are benefits and costs? What are effective and efficient tools? What are quality assurance approaches as regards RPL?
20 juin 2010

First European Conference of Regional Labour Market Observatories

http://www.cereq.fr/images/logoducereq.jpgPremière conférence européenne des Observatoires régionaux du marché du travail, de la qualification et de la formation. Echanges d’expériences et de pratiques d’observation dans la perspective d’un marché du travail unifié en Europe. Céreq - Marseille, 6 et 7 Octobre 2010.
Les Observatoires Régionaux du marché du travail, de la qualification et de la formation, sont les protagonistes de ces rencontres européennes. Leur action en Europe est conduite au niveau régional ou local, en produisant des données et des analyses pour une approche systématique du marché du travail régional ou sur les éléments majeurs de connaissance de celui-ci (principales branches, qualifications, compétences, publics cibles, etc.). Ils développent leurs observations de manière continue, pour trois catégories de partenaires : les décideurs institutionnels et politiques, les entreprises et les salariés, les institutions éducatives, d’orientation et de placement. Les observatoires régionaux seront invités, lors de ces rencontres, à faire part de leurs expériences comme introduction à une démarche pérenne de développement d’instruments et de référentiels communs pour la connaissance et le pilotage du marché du travail régional en Europe.
Cette première Conférence européennes de observatoires donnera des éléments de réponse aux questions suivantes : organisation des structures d’observation, gouvernance, usage des technologies nouvelles, collecte et analyses de données, définitions, méthodes de travail, communication aux usagers, évaluation de l’action publique en matière de régulation du marché du travail.
Ceci devrait permettre aussi de dégager des pistes pour l’approfondissement ultérieur des questions récurrentes que pose le fonctionnement du marché du travail régional et local, et pour progresser vers un marché du travail européen.
Dans ce cadre, les échanges de pratiques, l’effort pour l’établissement de passerelles et la mise en réseau, vont dans le sens d’un effort pour surmonter l’isolement qui caractérise de nombreuses expériences d’observatoires en Europe, en particulier en cette période de crise structurelle.
La participation à ces rencontres est ouverte aux responsables et aux experts impliqués dans l’appui aux observatoires ou directement engagés dans leurs activités d’études.
Les organisations internationales et européennes (BIT, OCDE, Commission Européenne, Parlement européen, Comité économique et social, Comité des Régions, Eurostat…), seront sollicitées pour leur patronage ainsi que pour leur contribution et participation lors de cette première Conférence européenne des observatoires régionaux du marché du travail, de la qualification et de la formation. Pour plus d’information prière de contacter Christa Larsen or Jenny Kipper.
http://www.cereq.fr/images/logoducereq.jpgErste Europäische Konferenz der regionalen Beobachtungsstellen der Arbeitsmarkt, Qualifizierung und Ausbildung. Der Austausch von Erfahrungen und Praktiken der Beobachtung im Rahmen eines einheitlichen Arbeitsmarktes in Europa. Céreq - Marseille, 6. und 7. Oktober 2010.
Die regionale Beobachtungsstellen für den Arbeitsmarkt, Qualifizierung und Ausbildung sind die Protagonisten dieser europäischen Treffen.
Ihr Handeln in Europa durchgeführt Ebene auf regionaler oder lokaler, die Bereitstellung von Daten und Analysen für einen systematischen Ansatz zur regionalen Arbeitsmarkt oder auf wichtige Elemente des Wissens von ihm (Hauptzweig, Qualifikationen, Fähigkeiten, Zielgruppen, etc..). Sie entwickeln ihre Beobachtungen kontinuierlich für drei Kategorien von Partnern: die institutionellen und politischen Entscheidungsträgern, Unternehmen und Mitarbeiter, Bildungseinrichtungen, Beratungs-und Vermittlungsdienste.  Regionale Beobachter werden diesen Sitzungen eingeladen werden, um nach Europa über ihre Erfahrungen als Einleitung zu einer nachhaltigen Entwicklung Vorgehen und gemeinsame Referenz-Tools für das Verständnis und die Verwaltung des regionalen Arbeitsmarkte. Für weitere Informationen kontaktieren Sie bitte Christa Larsen oder Jenny Kipper. Mehr...
30 juillet 2008

Teaching, Learning and Assessment for Adults: Improving Foundation Skills

Adults with low skills in language, literacy and numeracy (LLN) are numerous in many OECD countries. They can include early school leavers, older learners who have not used their skills over time, immigrant and refugee learners, or individuals with disabilities. The consequences of these low foundation skills span the economic, health and social well-being of individuals, families and communities. Investment in this sector of adult education is therefore crucial. But what is known about whether and how programmes are meeting the needs of diverse learners?
This study looks specifically inside the programmes for adult LLN learners, with a focus on formative assessment – referring to the frequent assessment of learner understanding and progress to identify needs and shape teaching and learning. Drawing upon evidence gathered in country reports, exemplary case studies and international literature reviews, it examines the impact and implementation of different teaching, learning and assessment practices for adult LLN learners; the way innovative programmes address the very diverse needs and goals of this population; and the policies that support or hinder effective practice.
This book provides a strong foundation for understanding the fundamental issues at stake in the adult LLN education, and can guide future policy, practice and research. It will be of particular interest to policy makers, teachers and instructors, researchers, and students.
A companion report which studies formative assessment in lower secondary schools was published in 2005 under the title Formative Assessment: Improving Learning in Secondary Classrooms.

16 juin 2009

Evaluation régionale des politiques d’emploi et de formation professionnelle

 

Ce colloque est organisé par le Comité Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (CCREFP) Poitou-Charentes et l’Université de Poitiers le 23 juin de 9h à 17h à la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société Campus Universitaire de Poitiers.
Le mouvement de décentralisation engagé il y a une trentaine d’années a engendré une territorialisation croissante de l’action publique et a vu se développer de nouvelles méthodes et expertises d’évaluation au niveau territorial.
En Poitou-Charentes, le Comité de Coordination Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnel (CCREFP), instance quadripartite associant l’Etat, la Région, un collège employeurs et un collège salariés et un représentant du Conseil Economique et Social, issue de la loi de modernisation sociale de janvier 2002, s’est engagé en 2005, dans des travaux d’évaluation. Les premières réalisations se sont traduites par un partenariat innovant avec l’Université de Poitiers pour développer des travaux sur les publics « jeunes ».
- « Evaluation des politiques régionales de formation professionnelle » apportera un cadrage par 3 interventions (Approche historique : la difficile émergence de l’évaluation des politiques régionales de formation professionnelle par Françoise Amat, Directrice du CNFPTLV ; Approche sociologique : vers de nouvelles cultures de l’évaluation par Jean-Paul Géhin, Université de Poitiers et Les enjeux de l’évaluation territoriale des politiques publiques par Thierry Berthet, IEP de Bordeaux)
- Présentation de la démarche d’évaluation menée dans le cadre du CCREFP Poitou-Charentes
- Quatre ateliers organisés l’après midi mettront en valeur 8 expériences d’évaluation conduites à l’échelle locale, nationale, sur des dispositifs expérimentaux ou de façon participative. Cliquez ici.
Evaluation of regional policies on employment and vocational training. This symposium is organized by the Regional Committee for Employment and Vocational Training (CCREFP) Poitou-Charentes and the University of Poitiers on 23 June from 9 to 17h à la Maison des Sciences de l'Homme et de la Société Campus University of Poitiers. More...
20 juin 2009

Mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle continue dans les entreprises

Etude réalisée par CIRCE Consultants pour la CFDT avec le financement de l’Agence d’objectifs de l'Ires. Présentation, synthèse et intégralité de l'étude. "Quelle mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle continue dans les entreprises ?" (150p). Annexe : monographies de branches et d'entreprises (190p). Synthèse en 4 pages.
L’étude conduite constitue une évaluation partielle de la réforme de la formation professionnelle dans les entreprises. Elle a pour ambition d’identifier les dynamiques amorcées pour faire le bilan de ce qui se met en place à travers la signature d’accords et les pratiques de concertation qui en découlent.
La plupart des accords de branche et d’entreprise se sont avant tout concentrés sur la mise en oeuvre du DIF, de l’entretien professionnel et du Plan de formation. Les accords d’entreprise ont finalement peu traité du thème de la professionnalisation, ou alors pour reprendre les dispositions générales contenues dans les accords de branche. De même, les outils permettant de construire des parcours – les bilans de compétences, le passeport formation ou la VAE – restent des sujets relativement peu évoqués tant au niveau des branches que des entreprises.
Study conducted by the Consultants for CIRCE CFDT with funding from the Agency objectives of the Ires. Presentation, summary and full study. "What the implementation of the reform of vocational training in enterprises?". Annex: case studies of industries and businesses (190p). Synthèse in 4 pages.
The study constitutes a partial evaluation of the reform of vocational training in enterprises. It aims to identify the dynamics initiated to take stock of what is taking place through the signing of agreements and concerted practices that flow from it. More...
12 août 2013

Espace INFO - une lettre régionale d'actualité sur la formation, l'emploi et des métiers

http://la-formation-en-continu.errefom.fr/sites/default/files/espace_info.jpgQu'est-ce qu'Espace INFO ?
Espace INFO est une lettre régionale d'actualité sur la formation, l'emploi et des métiers. Elle relaie chaque semaine les nouvelles informations publiées sur le site "La Formation en continu".
Espace INFO est un outil produit et diffusé par l'Errefom.
L'abonnement à Espace INFO est gratuit, accessible à tous les acteurs et professionnels de la formation, de l'insertion et de l'orientation. Le service documentaire associé (prêt, consultation de documents) est restreint aux usagers bas-normands. 
Accéder aux précédents numéros d'Espace INFO
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8 juillet 2015

Diplôme Santé Humanitaire - Année Universitaire 2015-2016

AccueilDiplôme Santé Humanitaire - Année Universitaire 2015-2016
Enseignants responsables : Pr. Renaud PIARROUX, Dr. Georges SOULA
Objectifs de la formation
Connaître les enjeux et défis actuels de l’humanitaire - être sensibilisés aux aspects complexes et complémentaires de l’action humanitaire - connaître les nombreux acteurs impliqués dans l’humanitaire - acquérir des comportements et une méthode d’organisation du travail indispensables pour s’intégrer, sur le terrain, dans des équipes comprenant des personnels déjà expérimentés.
Public concerné
Tout titulaire, Français ou Etranger, d’un diplôme professionnel de santé ou d’un diplôme d’enseignement supérieur, ou tout autre professionnel pouvant s’impliquer dans des actions humanitaires. (Médecins, pharmaciens, dentistes, vétérinaires, sagesfemmes, paramédicaux, logisticiens, opérateurs politiques et administratifs)
Localisation
Faculté de Médecine de Marseille, Campus Nord
Programme
Module 1 :
Concepts et définitions ; les acteurs de l’humanitaire – Enjeux de la communication en situation de crise – Education pour la santé – Intervention en situation de post-conflit : dynamique, enjeux, acteurs – Contexte juridique des interventions humanitaires – Adaptation des actions humanitaires à l’environnement socioculturel
Module 2 :
Gestion de l’aide alimentaire et réhabilitation nutritionnelle – Ethique et actions humanitaires – L’approche de santé publique – Exemple d’un programme de santé publique : le programme élargi de vaccination - Analyse et gestion des risques infectieux en milieu tropical et en situation de précarité – Eau et assainissement en situation de crise – Gestion de l’insécurité, aspects techniques de la logistique (étude de cas) - Accès aux médicaments dans les pays en développement et/ou en situation de crise.
Module 3 :
Principes et méthodes d’investigation d’une épidémie – Conduite à tenir face à une épidémie – Conduite à tenir face à une catastrophe naturelle ou technologique – Conduite à tenir devant un accident d’exposition au sang - Gestion du stress dans les situations de crise et psycho traumatisme – Conseils sanitaires avant le départ en mission – Stratégies de lutte contre le paludisme dans un camps de réfugiés.
Le corps enseignant est constitué d’intervenants provenant des universités et des organisations humanitaires internationales, intergouvernementales, gouvernementales et non gouvernementales. Ainsi, les étudiants peuvent découvrir les différents courants de pensée coexistants dans le monde de l’humanitaire, et bénéficier d’un retour d’une qualité exceptionnelle en termes de savoir-faire opérationnel et d’expérience de terrain. L'enseignement pluridisciplinaire se fait sur un mode participatif avec utilisation de techniques interactives (travaux de groupes, résolutions de problèmes, jeux de rôle).
Coût de la formation
Etudiant : 700 euros
Formation permanente : 900 euros
Formation continue : 1100 euros
Contrôle des connaissances
Contrôle continu avec examen final à la fin de chacun des 3 modules. Deux sessions d’examen.
Durée de la formation
3 semaines - 3 fois 5 jours – 120 heures
1ère semaine : du 1er février au 5 février 2016
2eme semaine : du 4 avril au 8 avril 2016
3eme semaine : du 6 juin au 10 juin 2016
Capacité d’accueil
30 étudiants

Renseignements pédagogiques et autorisation d'inscription : 
Professeur Renaud PIARROUX
Service de Parasitologie - Hôpital de la Timone Adultes - 264 rue Saint-Pierre - 13385 Marseille cedex 05
renaud.piarroux@ap-hm.fr
Tél. : 04 91 38 60 89
Inscription administrative : 
Unité Mixte de Formation Continue en Santé
Faculté de Médecine - 27 bd Jean Moulin - 13385 Marseille cedex 05
Tél. : 04 91 32 45 80 - 04 91 32 43 25 - 04 91 32 45 91
umfcs-desu@univ-amu.fr. Voir l'article...

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