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Formation Continue du Supérieur
3 août 2014

Région Picardie - conventions UTC, SUFTLV - Convention CRP 2014 - 2015

http://formation.picardie.fr/fileadmin/templates/style/img/2014/banner.pngRégion - conventions UTC, SUFTLV
Convention CRP 2014 - 2015. Voir le site...

IntituléOrganismeNiveau d'entréeFinanceurDate sessionsVille sessionsPlaces dispo
Diplôme d'accès aux études universitaires (DAEU)
Dispenser aux non-bacheliers, ne pouvant bénéficier d'une validation d'acquis, une formation leur permettant de passer...
SUFTLV VI - (scolarité obligatoire) - Amiens
E/S permanente Amiens
Capacité en droit
Ce diplôme ouvre des débouchés dans l'administration, les cabinets d'avocats, d'huissiers, de...
SUFTLV   - Amiens
DE JEPS - Diplôme d'état supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport (en concomitance avec le master de sociologie spécialité CODIR)
Former les directeurs et cadres du secteur de la jeunesse et de l'éducation populaire, et plus généralement du secteur...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme d'accès aux études universitaires (DAEU)
Dispenser aux non-bacheliers, ne pouvant bénéficier d'une validation d'acquis, une formation leur permettant de passer...
IUT de Creil VI - (scolarité obligatoire) - Creil
Diplôme d'accès aux études universitaires (DAEU)
Dispenser aux non-bacheliers, ne pouvant bénéficier d'une validation d'acquis, une formation leur permettant de passer...
INSSET - St-Quentin VI - (scolarité obligatoire) - Saint-Quentin
Diplôme d'état d'ingénierie sociale (DEIS) - 1ère, 2ème et 3ème année
La formation vise à former des cadres experts en diagnostic, réalisation d'études, conception, développement et...
SUFTLV II - (Bac+3 ou 4) 01/09/2014 Amiens
Diplôme d'ingénieur - Génie biologique
Le génie biologique est une spécialité des sciences pour l'ingénieur dont l'objectif est d'apporter...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 08/09/2014 - 15/07/2015 Compiègne
Diplôme d'ingénieur - Génie des procédés
Le génie des procédés, carrefour de disciplines, rassemble des connaissances et des savoir-faire qui permettent la...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 08/09/2014 - 15/07/2015 Compiègne
Diplôme d'ingénieur - Génie des systèmes mécaniques
Le génie des systèmes mécaniques prépare les futurs ingénieurs à l'approche de conception...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 08/09/2014 - 15/07/2015 Compiègne
Diplôme d'ingénieur - Génie des systèmes urbains
L'enseignement génie des systèmes urbains vise à former des ingénieurs préparés à intervenir...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 08/09/2014 - 15/07/2015 Compiègne
Diplôme d'ingénieur - Génie informatique
L'ingénieur en génie informatique doit être un acteur de la mutation technologique de tous les secteurs de...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 08/09/2014 - 15/07/2015 Compiègne
Diplôme d'ingénieur - Génie mécanique
Former des ingénieurs aptes à travailler dans les secteurs de la conception et de la mise en oeuvre de produits dans le domaine de...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 08/09/2014 - 15/07/2015 Compiègne
Diplôme d'université - Alcool alcoologie et alcoolisme
Acquérir et améliorer les connaissances théoriques concernant l'impact et la prise en charge sociale et...
UPJV - UFR de médecine   - Amiens
Diplôme d'université - Autisme et troubles envahissants du développement
Apporter des connaissances complémentaires sur l'autisme et les troubles envahissants du...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales   - Amiens
Diplôme d'université - Botanique de terrain
Fournir les bases théoriques et pratiques de botanique permettant la reconnaissance et l'identification des plantes, sur le...
UPJV - UFR de pharmacie IV - (niv. Bac) - Amiens
Diplôme d'université - Compétences juridiques appliquées aux relations de travail (DU COJART)
Approfondir les connaissances et les méthodes propres au Droit du Travail. Être en mesure de faire une analyse juridique...
UPJV - UFR de droit et de science politique IV - (niv. Bac) - Amiens
Diplôme d'université - Conduite de projet multimédia (DUCPM)
- Conduire et gérer un projet multimédia - Savoir analyser le besoin en système d'information...
UPJV - UFR des sciences II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme d'université - Conseiller financier
La gestion de patrimoine est au carrefour de différentes disciplines. Les acteurs de la gestion de patrimoine sont multiples et...
UPJV - IAE III - (Bac+2) - Amiens
Diplôme d'université - Coordination des soins face à un risque sanitaire exceptionnel
Former des personnels de santé responsables de services concourant à l'organisation des secours médicaux...
UPJV - UFR de médecine   - Amiens
Diplôme d'université - Création de bandes dessinées
Former en deux ans des dessinateurs qui maîtriseront l’ensemble complexe du processus de création des bandes dessinées...
UPJV - UFR des arts IV - (niv. Bac) - Amiens
Diplôme d'université - De l'éducation du patient à l'alliance thérapeutique
Favoriser par une formation conceptuelle et pratique, à la croisée des approches disciplinaires, l'acquisition de nouveaux...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales   - Amiens
Diplôme d'université - Deuil et endeuillés : comprendre pour mieux écouter et accompagner
Mieux comprendre les ressorts du deuil, mieux connaître les rites ancestraux et actuels nécessaires, mieux discerner la...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales III - (Bac+2) - Amiens
Diplôme d'université - Diriger, administrer et gérer une structure du secteur associatif (DAG)
Donner des savoirs de base en gestion indispensables à la conduite et au développement de projet...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales III - (Bac+2) - Amiens
Diplôme d'université - Enseignement théorique et pratique des méthodes d'épuration extra-rénale et plasmatique
Acquérir les connaissances théoriques concernant les principes, les indications et les conséquences des méthodes de...
UPJV - UFR de médecine II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme d'université - Éthique et santé
Permettre à tout professionnel en lien avec la santé, d'entrer dans la réflexion éthique (clinique,...
UPJV - UFR de médecine III - (Bac+2) - Amiens
Diplôme d'université - Evaluation et prise en charge des troubles cognitifs (DU EVAL)
Apporter des connaissances complémentaires, afin d’améliorer la pratique de professionnels de la santé et/ou de...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales   - Amiens
Diplôme d'université - Film documentaire, réalisation documentaire de création
- Exprimer son projet de création audiovisuelle, traduire son intention artistique et maîtriser les nombreuses potentialités...
UPJV - UFR des arts II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme d'université - Gestion de la qualité et de la sécurité alimentaire - Option enseignement à distance par le réseau Internet (GQSA)
- Apporter les références indispensables ainsi que les connaissances techniques de base, aux personnes susceptibles...
IUT de Beauvais III - (Bac+2) - Beauvais
Diplôme d'université - Gestion des associations et des entreprises du sport
Former les salariés, cadres, futurs cadres ou dirigeants des associations et futurs chefs d'entreprises du sport : acquérir et...
UPJV - UFR STAPS Amiens A déterminer - Amiens
Diplôme d'université - Information et documentation (DU I-Doc)
Préparer professionnellement et scientifiquement les enseignants souhaitant se reconvertir vers les métiers liés...
UPJV - UFR des lettres II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme d'université - Langue et culture picardes
- Apporter une information de niveau universitaire sur les spécificités culturelles picardes - Connaître les ressources...
UPJV - UFR des lettres IV - (niv. Bac) - Amiens
Diplôme d'université - Libérez vos plumes
Écrire, c'est se sentir toujours plus en confiance avec la langue, mettre ses idées en ordre, mais aussi libérer son...
UPJV - UFR des lettres A déterminer - Amiens
Diplôme d'université - Méthodologie de l'importation option enseignement à distance par le réseau Internet
Cette formation, de courte durée (équivalent présentiel 48h) a pour finalité d’apporter les...
INSSET - St-Quentin III - (Bac+2) E/S permanente Saint-Quentin
Diplôme d'université - Nutrition et diététique
Apporter une compétence qui permettra de mieux répondre aux questions des malades mais aussi à celles des personnes...
UPJV - UFR de pharmacie   - Amiens
Diplôme d'université - Observation du nourrisson selon la méthode Esther Bick et ses applications
Aider des professionnels travaillant auprès d’enfants (nourrissons, jeunes enfants, adolescents…) et de leurs familles...
UPJV - UFR de médecine   - Amiens
Diplôme d'université - Pharmacie clinique à l'hôpital et à l'officine
Cette formation vise à rendre le pharmacien apte à : - Examiner de façon critique la pharmacothérapie des...
UPJV - UFR de pharmacie   - Amiens
Diplôme d'université - Responsabilité médicale
Identifier les conséquences de l'exercice de la médecine sur la responsabilité personnelle voire...
UPJV - UFR de droit et de science politique   - Amiens
Diplôme d'université - Soins d'urgence en situation d'exception (DU cata)
Connaître l'organisation et les moyens des structures intervenant dans les situations de catastrophe sur le territoire...
SUFTLV   - Amiens
Diplôme d'université - Stress et santé au travail - option risques psychosociaux, individus et organisations (DU - STRESS et RPS)
- Former des professionnels engagés dans l’action et la prévention des risques psychosociaux. - Acquérir des...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales I - (Bac+5) - Amiens
Diplôme d'université - Systèmes d'information géographique appliqués (SIGA)
Les Systèmes d'Information Géographique (SIG) offrent de nouvelles approches sur les projets d'études...
UPJV - UFR d'histoire et de géographie   - Amiens
Diplôme d'université - Techniques de base pour le multimédia (DUTBM)
Former des concepteurs et des réalisateurs d'applications multimédias complexes en ligne et hors ligne : Spécialiste /...
UPJV - UFR des sciences II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme d'université - Techniques de l'archéologie en Europe (TAE)
Le DU s’adresse aussi bien aux passionnés d’histoire antique qu’aux fouilleurs de toutes catégories...
UPJV - UFR d'histoire et de géographie IV - (niv. Bac) - Amiens
Diplôme d'université - Valorisation des patrimoines en Europe (VaPEur)
Prolongement naturel des techniques de l’archéologie : après la fouille, la mise en valeur des découvertes. La...
UPJV - UFR d'histoire et de géographie III - (Bac+2) - Amiens
Diplôme Ingénieur : Cycle préparatoire
Le cycle préparatoire est destiné à vérifier l'aptitude des candidats à poursuivre avec profit des...
UTC Compiègne III - (Bac+2) 24/10/2014 - 26/06/2015 Compiègne
Diplôme Inter-Universitaire - Pédagogie appliquée à l'enseignement des soins d'urgence et des risques sanitaires (DIU)
Former les professionnels de santé, en charge de l'enseignement, aux méthodes pédagogiques adaptées...
UPJV - UFR de médecine III - (Bac+2) - Amiens
Diplôme Universitaire - Métiers du Spectacle Vivant : produire, diffuser, communiquer (théâtre, cirque, marionnettes)
Préparer professionnellement et scientifiquement les intermittents du spectacle ou les salariés qui souhaitent se reconvertir ou se...
SUFTLV II - (Bac+3 ou 4) - Amiens
Diplôme universitaire de formateur d'adultes - DUFA
Approfondir les contenus théoriques, méthodologiques et pratiques liés aux activités de la formation et du conseil en...
SUFTLV IV - (niv. Bac) - Amiens
Diplôme universitaire de responsable de formation (DURF)
Cette formation permet à des professionnels d'accéder à des fonctions de cadre dans le champ de la formation en leur...
SUFTLV III - (Bac+2) - Amiens
DUT - Carrières juridiques (DUT CJ) - 1ère et 2ème année
Le titulaire du DUT "carrières juridiques" se veut un technicien professionnel polyvalent potentiel. De part des connaissances...
IUT de Laon IV - (niv. Bac) E/S permanente Laon
DUT - Carrières juridiques (DUT CJ) - 1ère et 2ème année
Le titulaire du DUT "carrières juridiques" se veut un technicien professionnel polyvalent potentiel. De part des connaissances...
IUT de Cuffies IV - (niv. Bac) E/S permanente Cuffies
DUT - Génie biologique (DUT GB) - 1ère et 2ème année
Le département de Génie Biologique de l'Institut Universitaire de Technologie d'Amiens a pour mission de former des...
IUT d'Amiens IV - (niv. Bac) - Amiens
DUT - Génie chimique - Génie des procédés (GCGP) - 1ère et 2ème année
- Former des techniciens supérieurs, collaborateurs directs de l'ingénieur ou du chercheur, - Apporter la connaissance...
IUT de St-Quentin IV - (niv. Bac) E/S permanente Saint-Quentin
DUT - Génie civil (DUT GC) - 1ère et 2ème année
Le DUT Génie Civil permet aux titulaires de s'intégrer directement dans la vie professionnelle : il est reconnu par les...
IUT d'Amiens IV - (niv. Bac) - Amiens
DUT - Génie électrique et informatique industrielle (DUT GEII) - 1ère et 2éme année
Le titulaire du DUT GEII est capable d'analyser et de participer à la conception de systèmes ou d'appareillages mettant en...
IUT de Cuffies IV - (niv. Bac) E/S permanente Cuffies
DUT - Génie mécanique et productique (GMP) - 1ère et 2ème année
Le titulaire du DUT GMP de la spécialité GMP est capable de participer aux étapes qui conduisent de l'expression...
IUT de St-Quentin IV - (niv. Bac) - Saint-Quentin
DUT - Génie mécanique et productique - 1ère et 2ème année
Le titulaire du DUT GMP est capable de participer aux étapes qui conduisent de l'expression du besoin au produit : analyser,...
IUT d'Amiens IV - (niv. Bac) - Amiens
DUT - Gestion des entreprises et des administrations (DUT GEA - AS) - Année spéciale
Les étudiants devront choisir une des 2 options : Finances Comptabilité (FC), Ressources Humaines (RH). En fin de formation, un...
IUT d'Amiens III - (Bac+2) - Amiens
DUT - Gestion des entreprises et des administrations (DUT GEA) - 1ère et 2ème année
Les étudiants devront choisir une des 3 options suivantes : Finances Comptabilité (FC), Ressources Humaines (RH),...
IUT d'Amiens IV - (niv. Bac) - Amiens
DUT - Gestion des entreprises et des administrations - Option finance comptabilité et PME/PMI - 1ère et 2ème année
Elle permet de former des collaborateurs gestionnaires polyvalents maîtrisant les techniques modernes de gestion (comptabilité,...
IUT de Beauvais IV - (niv. Bac) E/S permanente Beauvais
DUT - Gestion logistique transport - 1ère et 2ème année
Développer les aptitudes à la communication, comprendre et maîtriser l'environnement de l'entreprise, connaître...
IUT de Creil IV - (niv. Bac) E/S permanente Creil
DUT - Hygiène sécurité environnement - 1ère et 2ème année
La formation hygiène sécurité environnement a pour objectif de préparer en 4 semestres des techniciens qui seront...
IUT de Creil IV - (niv. Bac) E/S permanente Creil
DUT - Informatique - 1ère et 2ème année
Acquérir des connaissances, des concepts de base et des méthodes de travail. Déployer des savoir-faire...
IUT d'Amiens IV - (niv. Bac) - Amiens
DUT - Informatique en année spéciale - Option génie informatique (DUT INFO AS)
Ce DUT forme des informaticiens généralistes capables de participer à la conception, la réalisation et la mise en...
IUT d'Amiens III - (Bac+2) - Amiens
DUT - Qualité, logistique industrielle, et organisation - Option organisation et gestion des flux (DUT QLIO)
Les entreprises sont confrontées à de nouveaux défis dus à la mondialisation des marchés et de la...
IUT de Cuffies IV - (niv. Bac) E/S permanente Cuffies
DUT - Techniques de commercialisation (DUT TC - AS) - Année spéciale
L'année spéciale Techniques de Commercialisation vous mènera à une carrière professionnelle en 2...
IUT d'Amiens III - (Bac+2) - Amiens
DUT - Techniques de commercialisation (DUT TC) - 1ère et 2ème année
La formation s'articule autour de quatre objectifs principaux : - Enseigner, c'est à dire un encadrement assuré par des...
IUT de Beauvais IV - (niv. Bac) E/S permanente Beauvais
DUT - Techniques de commercialisation (DUT TC) - 1ère et 2ème année
Le Département Techniques de Commercialisation a pour but de former des collaborateurs directs des directeurs et chefs de service...
IUT d'Amiens IV - (niv. Bac) - Amiens
DUT - Techniques de commercialisation (DUT TC) - 1ère et 2ème année
Le département TC a pour but de former des collaborateurs directs, des directeurs et chefs de services commerciaux des entreprises...
IUT de Laon IV - (niv. Bac) - Laon
DUT - Techniques de commercialisation (TC) - 1ère et 2ème année
La formation a pour but de former des cadres de la fonction commerciale dont la compétence et le savoir-faire leur permettent de...
IUT de Creil IV - (niv. Bac) E/S permanente Creil
Licence - Arts du spectacle - Option études cinématographiques et audiovisuelles
Acquérir une culture artistique générale en articulant des approches théoriques, historiques à un travail...
UPJV - UFR des arts IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Arts du spectacle - Option études théâtrales
Acquérir une culture artistique générale en articulant des approches théoriques, historiques à un travail...
UPJV - UFR des arts IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Arts plastiques
Conduire l'étudiant à savoir exploiter, plastiquement et théoriquement, des problématiques artistiques en...
UPJV - UFR des arts IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Biologie humaine - Technologie de la santé (Institut Ingénierie de la santé 2IS)
La santé est devenue véritablement un élément clé de la construction socio-économique du monde moderne....
UPJV - UFR de médecine III - (Bac+2) - Amiens
Licence - Biologie-chimie
La licence mention chimie, offre la possibilité par un choix judicieux des enseignements, d'une solide formation en chimie (chimie...
UPJV - Antenne universitaire de Beauvais IV - (niv. Bac) - Beauvais
Licence - Chimie - Parcours chimie ou biologie-chimie ou physique-chimie
- Assurer une formation cohérente sur l'ensemble des 6 semestres par un choix judicieux d'UE. - Apporter une formation solide...
UPJV - UFR des sciences IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Droit / anglais
Former des juristes ayant une compétence affirmée en langue anglaise. Cette licence donne une double compétence en...
UPJV - UFR de droit et de science politique IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Économie stratégie des entreprises ou Économie et stratégies internationales ou Monnaie et finance
Permettre aux étudiants d'acquérir des compétences solides en économie et gestion, de leur faciliter...
UPJV - UFR d'économie et de gestion IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Histoire - Parcours histoire - Droit
Maîtriser les connaissances générales et les techniques de base de la science historique et du droit public. Ce parcours leur...
UPJV - UFR d'histoire et de géographie IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Histoire / géographie
Objectifs pédagogiques : - Maîtrise des connaissances et organisation Acquisition des savoirs : - Champs disciplinaires...
UPJV - UFR d'histoire et de géographie IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Histoire des arts et archéologie
Fournir les éléments fondamentaux de l'histoire de l'art et de l'archéologie, de la préhistoire à...
UPJV - UFR des arts IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - informatique - Parcours informatique ou MIAGE ou biologie et santé
- Acquérir les connaissances fondamentales en informatique et une large culture scientifique - Développer des compétences...
UPJV - UFR des sciences IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - LCE Allemand
Maîtrise écrite et orale de la langue Connaissance des cultures germaniques. Maîtrise de la...
UPJV - UFR de langues et cultures étrangères IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - LCE Anglais
Maîtrise écrite et orale de la langue. Connaissance des cultures associées à la langue étudiée....
UPJV - UFR de langues et cultures étrangères IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - LCE Espagnol
Maîtrise écrite et orale de la langue Connaissance des cultures associées à la langue...
UPJV - UFR de langues et cultures étrangères IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Lettres et humanités
Destinée à tous ceux qui se passionnent pour les études littéraires et linguistiques, la Licence de Lettres...
UPJV - UFR des lettres IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Lettres, histoire et géographie
Acquérir une bonne connaissance dans les enseignements spécifiques de l'UFR des Lettres (littérature...
UPJV - Antenne universitaire de Beauvais IV - (niv. Bac) - Beauvais
Licence - Masso-kinésithérapie L2 L3 (institut ingiénierie de la santé)
Parcours 3 : Masso-kinésithérapie (MK) (exclusivement réservé à des...
UPJV - UFR des sciences III - (Bac+2) - Amiens
Licence - Mathématiques ou pluridisciplinaire scientifique
Acquérir les connaissances fondamentales en mathématiques et une large culture scientifique. Cette licence permet de poursuivre les...
UPJV - UFR des sciences IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Mention lettres - Parcours lettres et professorat des écoles

Destinée à tous ceux qui se passionnent pour les études littéraires et linguistiques, la Licence de Lettres...
UPJV - UFR des lettres IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Philosophie
• Acquérir les connaissances et méthodes fondamentales en philosophie • Parfaire sa maîtrise des exercices...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Physique - Parcours matériaux et énergétique
Acquérir les outils fondamentaux permettant de mieux préparer les étudiants soit à poursuivre leurs études en...
UPJV - UFR des sciences IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Physique - Parcours physique
La licence mention physique donne aux étudiants une formation de base solide dans de nombreux domaines de la physique en...
UPJV - UFR des sciences IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Psychologie
Acquérir la maîtrise des méthodes nécessaires à la réussite d'une formation...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales IV - (niv. Bac) - Amiens
Licence - Santé sécurité environnement L2 L3 (institut ingénierie de la santé I2S)
Apporter des connaissances, outils et méthodes aux étudiants, leur permettant d'identifier et de maîtriser l'ensemble...
UPJV - UFR des sciences III - (Bac+2) - Amiens
Licence - Science de l'éducation - Parcours A "Enseignement" ou parcours B "Formation d'adultes"
Cette licence permet de croiser les regards de plusieurs sciences humaines et sociales sur l'éducation et la formation Elle...
UPJV - UFR sciences humaines, sociales III - (Bac+2) - Amiens
1 août 2014

La VAE régionale en chiffres - Auvergne

AccueilVoir l'article...

Tableau de bord de la VAE en Auvergne

2013

2012

2011

2010

2009

Pour les bilans antérieurs à 2009, nous consulter.

Activité des Points Conseil en VAE et les publics accueillis
Bilan de l'activité de validation

Panorama de la VAE en Auvergne

2007 à 2013

2007 à 2012

2003 à 2010

Information conseil
L'activité de validation

La VAE à travers les régions

2011

2009/2010

2007/2008

Synthèse des données VAE des régions relative à l'activité d'information conseil, au profil des publics conseillés par les Points Relais Conseil et à l'activité de validation des certificateurs.

Etudes régionales

Parcours de bénéficiaires du congé VAE financé par le Fongécif Auvergne (2013)
Outre des informations sur le déroulement des parcours, étape par étape, cette étude s'est particulièrement attachée à recueillir des élèments sur la façon dont les candidats ont eu connaissance de la VAE, sur les modalités d'information de la VAE, ainsi que sur l'utilité et l'efficacité de celle-ci au niveau de l'engagement dans la démarche.

Téléchargez

>Enquête post congé VAE

De la candidature à la certification: le parcours des candidats à la VAE en Auvergne (cohorte 2007/2008)
Quelles sont les personnes engagées dans une démarche de VAE? Sont-elles recevables? Se présentent-elles en jury? Dans quels délais et avec quels résultats?
C'est à ces questions que cette étude à tenté de répondre tout en pointant les éléments les plus influents sur le déroulement des parcours.

Téléchargez
> Le parcours des candidats à la VAE en Auvergne
Présentation de l'étude

Enquête post validation partielle (2008)
Cette enquête a été réalisée auprès de 460 candidats concernés par une validation partielle afin d'identifier les principales problématiques rencontrées dans la mise en oeuvre des parcours complémentaires d'accès à la certification.

Téléchargez

> Enquête post validation partielle

. Voir l'article...

22 juillet 2014

Universities agree need for Arab world mobility scheme

By Karen MacGregor. An Erasmus-style exchange programme for the Arab world gained ground at the second Arab-Euro higher education conference held in Jordan last month. “It received substantial support from people who are at universities and also contribute to policy-making in the region,” said Michael Gaebel, head of higher education policy at the European University Association.
There were 250 participants – including 150 university leaders and vice-presidents as well as officials – at the AECHE conference held in Amman, Jordan, from 10-12 June and titled “Strengthening Arab-Euro University Collaboration: The importance of regional mobility”. Read more...
14 juillet 2014

Erasmus, la FRANCE 2ème pays d'envoi et 3ème pays d'accueil

Logo AgenceLa Commission européenne publie aujourd'hui de nouveaux chiffres sur le nombre d'étudiants, d'enseignants et autres membres du personnel de l'enseignement supérieur ayant participé au programme Erasmus au cours de l'année universitaire 2012-2013: 268 143 étudiants européens et 52 624 membres du personnel de l'enseignement supérieur ont bénéficié de bourses Erasmus pour se rendre à l'étranger afin d'étudier, d'effectuer un stage, d'enseigner ou de suivre une formation.

Nouveau record: plus de 270 000 étudiants Erasmus en un an ! Voir l'article...

13 juin 2014

Universités, les crédits des contrats "formation continue" à exécution pluriannuelle financés par un tiers peuvent être reportés

Légifrance, le service public de l'accès au droit - AccueilLe décret n°2014-604 du 6 juin 2014, dans son article 6, modifie l'article R719-57 du Code de l'Education.
En traduction compréhensible, au troisième alinéa, les mots : « des contrats de recherche pluriannuels » sont remplacés par les mots : « des contrats de recherche, d'enseignement, ou de formation continue à exécution pluriannuelle financés par un tiers ».

Article R719-57, modifié par Décret n°2014-604 du 6 juin 2014 - art. 6

L'exercice budgétaire correspond à l'année civile.
Les crédits ouverts au titre d'un budget ne créent aucun droit au titre du budget suivant.
L'ordonnateur peut toutefois reporter sur l'exercice budgétaire tout ou partie des crédits relatifs aux tranches annuelles non exécutées des programmes pluriannuels d'investissement et des contrats de recherche, d'enseignement, ou de formation continue à exécution pluriannuelle financés par un tiers en cours.
Cette décision donne lieu à un budget rectificatif approuvé à l'occasion de la plus prochaine réunion du conseil d'administration.

7 juin 2014

Un « mode d’emploi » pour la prospective des métiers et des qualifications en régions

Aquitaine Cap MétiersLe Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) a produit un document méthodologique intitulé « Prospective des métiers et des qualifications. Quelle démarche à suivre à l’échelon régional ? ».
Ce document s’appuie sur les travaux d’un groupe de travail, co-animé par le Céreq, constitué de représentants de Carif-Oref, de services études des Direccte, de Rectorats, de l’Insee, de la Datar, d’Observatoires de branche, de Maisons de l’emploi ainsi que des représentants d’exécutifs régionaux directement intéressés par ces questions.
9 juin 2014

Employability and Transition to the Labour Market in the Report "Modernisation of Higher Education in Europe"

Modernisation of Higher Education in Europe: Access, Retention and Employability
Date de publication: 22 mai 2014. Version complète: en. L'essentiel: en. European Press Release.
CHAPTER 4: EMPLOYABILITY AND TRANSITION TO THE LABOUR MARKET
Employability plays a central role in the European Commission's higher education reform strategy (European Commission, 2011) as well as both in the Europe 2020 (European Commission, 2010) and the Education and Training 2020 ('ET 2020') strategies. Within the ET 2020 strategy, the Council of the European Union adopted a benchmark on graduate employability in 2012. According to this benchmark, 'by 2020, the share of employed graduates (20-34 year olds) having left education and training no more than three years before the reference year should be at least 82 %'. While in this context the term 'graduates' refers not only to those finishing higher education but also to graduates with upper secondary or post-secondary, non-tertiary qualifications, both public authorities and higher education institutions have a prominent role in achieving this goal.
 European Commission policy stresses the role of higher education in equipping graduates with the knowledge and core transferable competences they need to succeed in high-skill occupations, and the importance of involving employers and labour market institutions in the design and delivery of programmes, and including practical experience in courses. It also emphasises the importance of better monitoring by institutions of the career paths of former students in order to increase the relevance of programmes (European Commission, 2011).
Against this policy background, this chapter discusses national practices aiming to enhance graduates' employability and to ease their transition to the labour market. The first section provides a brief introduction on various conceptualisations of employability, both in theory and in national practice. The second and third sections then examine some ways in which higher education institutions are seen to be able to fulfil expectations regarding labour market demand and graduates' employability. In the fourth section, the chapter turns to practices of evaluating higher education institutions' performance in these respects. The final section presents the conclusions.
4.1. Conceptualising employability
Employability is a complex concept encompassing many definitions and approaches. For this reason, this first section discusses some assumptions and limitations of the different conceptualisations of employability. In doing so, the section emphasises the importance of employability for all students and graduates, and also places employability within the widening participation agenda. The section also outlines the potential role of higher education institutions in enhancing employability, and shows how European countries define this term in their policy documents.
4.1.1. A focus on graduates' success
Definitions of employability focus on graduates' transition to the labour market after finishing higher education. There are two main types of definition: employment-centred and competence-centred. An employment-centred definition is used for example within the ET 2020 process, in the abovementioned 2012 Council conclusions on employability. These Council conclusions define employability as 'a combination of factors which enable individuals to progress towards or enter employment, to stay in employment and to progress during their career'. Similarly, within the Bologna Process, the term
is understood as 'the ability [of graduates] to gain initial meaningful employment, or to become selfemployed, to maintain employment, and to be able to move around within the labour market' (Working Group on Employability 2009, p. 5).
An alternative (or complementary) approach is to focus on the skills and competences higher education students gain during their studies. For example, Yorke (2006, p. 8.) defines employability as 'a set of achievements – skills, understandings and personal attributes – that makes graduates more likely to gain employment and be successful in their chosen occupations'. Such skills and competences are usually understood as needed (and demanded) by employers. In essence, the 'student exhibits employability in respect of a job if he or she can demonstrate a set of achievements relevant to that job' (Yorke 2006, p. 8).
There are many existing classifications of such relevant skills and competences. There are the socalled 'generic', 'transferable' or 'key skills', which are not necessarily related to specific professions, but generally enable graduates to find jobs and move around in the labour market (e.g. communication skills, entrepreneurial skills, 'learning to learn' skills, but also being able to work in a team, etc., see e.g. Teichler, 2011). In addition, there are skills and competences related to specific professions or the subject of study (e.g. medicine, law, etc.).
In terms of all definitions, however, it has to be emphasised that employability does not equal employment. Employment-centred definitions can sometimes blur the difference, especially when using employment rates as proxies for measuring employability. Competence-centred definitions – especially if formulated as in Yorke (2006) – can help to clarify the relationship between employability and employment: certain skills and competences make graduates 'more likely' to gain employment, but do not guarantee it.
Indeed, employment certainly does not only depend on the quality of education graduates had received during their studies. On the one hand, changes in the general state of the economy and the labour market are the most important determinants of job opportunities. On the other hand, there are many factors that influence the employment prospects of an individual, which means that not all graduates who received the same education have similar labour market opportunities. Such factors include the mode of study (full-time or part-time), the students' location and mobility, graduates' previous work experience as well as their age, gender, ethnicity or social class (Harvey 2001, p. 103). Regarding the last set of factors, the discriminatory practices graduates might face in the labour market are often overlooked by employability discourses (Morley, 2001). For example, as shown by Moreau and Leathwood (2006), 'non-traditional' learners (based on their ethnicity, socio-economic background, disability or other characteristics) are systematically at a disadvantage when looking for jobs in the graduate labour market (see also Gorard et al., 2006).
The policy issues related to employability therefore have a dual aspect. Firstly, it is crucial to strengthen employability for all students, and this has been identified as an issue of importance for all public authorities as well as for the EU 2020 agenda. It is also necessary to recognise that employability is an integral element of the widening participation agenda in higher education (Thomas and Jones, 2007). Widening participation does not stop at providing access to students from underrepresented groups (or in other words, to 'non-traditional' learners), but has to include measures ensuring that such students complete their studies and have a successful transition to the labour market (Ibid.). This highlights the complex role of higher education institutions in the context of employability.
4.1.2. The role of higher education institutions
A focus on graduates' labour market success necessarily leads to an 'output and outcome awareness' in higher education (Teichler 2011, p. 29). However, according to some researchers, this process may have the tendency of defining higher education output rather narrowly, overlooking a range of other individual and social outputs of higher education to concentrate on graduates' employment prospects. In this context, higher education institutions are usually perceived as having the role of 'producing' employable graduates, and in doing so, responding to the needs of the labour market. As will be shown below, there are two main perspectives in outlining employability-related outcomes in higher education. Putting emphasis on the needs of the labour market focuses more on the demandside (what higher education institutions need to respond to), while an emphasis on employable graduates implies a more supply-side perspective (what higher education institutions need to achieve in terms of output). However, in most cases, it is difficult to disentangle these different perspectives. In terms of concrete implementation, employment-centred definitions of employability leave higher education institutions' role relatively open. Many different practices at universities can increase graduates' chances of finding employment soon after graduation: examples include embedding practical training and work placements in study programmes, involving employers in teaching and curriculum development, or providing career guidance to all students (see also Section 4.3.2). Definitions focusing on skills and competences, on the other hand, foresee a more concrete task for higher education institutions. Besides providing profession-specific teaching and skills, they have to develop the 'generic', 'transferable' or 'key skills' of students. How higher education institutions achieve this, however, remains open. Institutions (or faculties, departments) can decide to 'embed' such skills and competences within existing courses (through new teaching methods, for example); or else, they can include specific courses in the curriculum aiming to develop generic skills (Mason, Williams and Cranmer, 2009).
In the context of the widening participation agenda, it is also important to highlight the role of higher education institutions in enhancing the employability of non-traditional learners. According to Thomas and Jones (2007, p. 23), besides providing access to relevant work experience for students with 'nontraditional' backgrounds, higher education institutions have a particular responsibility to ensure that non-traditional learners can receive (targeted) advice and career guidance throughout the whole student lifecycle (i.e. from the very beginning of a student career). Such guidance can contribute to: 1) developing students' awareness about employability; 2) improving the confidence and self-esteem of students; and 3) developing the appropriate job search and application skills (Ibid.). In this way, guidance can help bring down the 'indirect' barriers non-traditional learners can face on the labour market: the fact that due to their background and earlier education opportunities, they might not evaluate labour market reality and their own competences well, and as a consequence, they often exclude themselves from getting the matching graduate jobs (11) (Thomas and Jones, 2007).
4.1.3. Defining employability in European countries
After providing an insight into potential definitions of employability and higher education institutions' role in this context, this section examines how European countries reflect on this concept in their steering documents for higher education.
Very few countries define employability directly or use the term explicitly. Even translating the originally English term into many other languages might be difficult. For this reason, this section looks at employability-related conceptualisations of higher education institutions' roles instead of examining
direct definitions.
As was mentioned above, two main perspectives on higher education institutions' roles can be distinguished: a more demand-side perspective focusing on the needs of the labour market, and a more supply-side perspective focusing on graduates' employability. Certainly, these perspectives are interlinked, but countries can choose to emphasise one over the other. In a number of countries, both approaches may exist, with different emphases given according to the missions of specific institutions – some more focused on specific professional education than others. Figure 4.1 illustrates the different perspectives and provides some country examples.
The more demand-side perspective focuses on higher education institutions' need and responsibility to respond to labour market demands. This responsibility is either stated generally, or specifically refers to the need to consult employers or employers' organisations when designing study programmes. In this case, such consultation ensures that labour market information and demand is embedded in higher education curricula. Countries only generally referring to the higher education sector's need to respond to labour market demand are Estonia, Spain, Hungary, Romania, the United Kingdom (some universities refer to the demand more specifically than others) and Liechtenstein. Countries specifically mentioning the need to involve or consult employers in their steering documents are Belgium (French Community), Bulgaria, the Czech Republic, Greece, Ireland, France, Italy, Latvia, Lithuania, Austria (only universities of applied sciences), Poland, Slovenia, Montenegro, Norway and Turkey.
In the second case, higher education institutions are regarded as responsible for producing 'employable' graduates. Regarding graduates' employability, the two approaches discussed above (employment-centred and competences-centred) can also be distinguished when looking at the policy and steering documents for higher education in European countries.
Employment-centred approaches focus directly on graduates' employment prospects: higher education institutions are responsible for preparing graduates for employment. In these cases, higher education institutions are often evaluated based on graduate employment rates. This employmentcentred approach can be found in Belgium (Flemish Community), Bulgaria, the Czech Republic, Estonia, Ireland, Greece, Spain, France, Italy, Latvia, Lithuania, Hungary, Malta, Poland, Slovenia, Slovakia and the United Kingdom (Scotland).
Competences-centred approaches, on the other hand, refer to the responsibility of higher education institutions to develop the skills and competences of graduates necessary to find a job. Worth noting, however, that employment-centred and competences-centred approaches are not contradictory and often exist in parallel. In these cases, the competence-centred approach specifies ways for higher education institutions to enhance graduate employability. The competence-centred approach can be found in the Czech Republic, Germany, Ireland, Greece, Spain, Italy, Lithuania, Malta, Austria, Slovenia, Sweden, the United Kingdom (12), Iceland, Liechtenstein, Norway and Turkey.
Irrespective of their emphasised perspective or approach, European countries usually discuss employability-related concerns from the perspective of higher education institutions or the student population as a whole. This aspect of the employability agenda is thus a relatively high profile policy issue.
The large majority of countries pay no particular attention to employability with regard to specific, underrepresented social groups. The exceptions are Estonia, Greece and the United Kingdom. In Estonia, there are measures, for example, for extending the study period for students not proficient enough in the official language, and for people with disabilities or small/disabled children. In Greece, specific actions aiming to increase students' practical training include special arrangements for students with special needs, minorities, foreigners or students coming from other vulnerable social groups. In the United Kingdom (England, Wales and Northern Ireland), students with disabilities have specific access to careers education, information and guidance. In addition, in England, in 2010, the Higher Education Funding Council for England (HEFCE) provided funding for a programme to support internships for disadvantaged students with the aim of widening access to the professions.
4.2. Responding to labour market needs
In their steering documents for higher education, several countries emphasise that higher education institutions should respond to the needs of the labour market. There are basically two sources of information about such labour market demand: labour market forecasts and employers or employers' organisations. This section discusses related practices in turn.
4.2.1. Labour market forecasting as an information source
Labour market forecasting is a common way to anticipate labour market needs in terms of skills demand and supply. Labour market forecasting is usually conducted by occupation and qualification levels. According to Cedefop (2008), such forecasting practices mainly serve two purposes: they have a 'policy function', in which they inform policy planning; and they have an 'information function', in which they aid guidance and information services on labour market trends. In the case of higher education institutions, this means that labour market forecasting can potentially influence programme planning and management such as designing study programmes, determining the number of state funded places, or allocating public funding. In addition, guidance and information services can guide (potential) students in orienting themselves towards more 'demanded' fields of study.
Certainly, todays' global 'knowledge economy' can change much faster than labour market forecasts can predict. Labour market forecasts are always based on past trends and cannot foresee bigger shifts in skills demand due to changes in economic reality (e.g. economic crises). Higher education graduates themselves can change the world of work and their innovative capacity is hard to take into account. In addition, while labour market forecasts tend to be national, in the EU, labour markets are becoming increasingly 'European'. Furthermore, as was discussed above, competences students gain during their higher education studies might be more important than the qualification they receive in the end (13). Therefore, relying on labour market forecasting has its own limitations.
 Besides a few exceptions (Bulgaria, Croatia, Portugal and Liechtenstein), labour market forecasting exists at national and/or regional levels in most European countries (14). As Figure 4.2 shows, labour market forecasts are conducted in an ad hoc manner in 10 countries, while there is a regular, established system in 13 countries. In Lithuania, a regular labour market forecasting system is currently under development.
However, using such labour market information systematically in higher education policy planning is relatively rare in European countries. Only 11 countries (Ireland, France, Italy, Latvia, Lithuania, Poland, Romania, Finland, the United Kingdom, Montenegro and Norway) reported that their education authorities take account of labour market information in higher education planning and management.
Most commonly, information from labour market forecasting is used for determining the number of publicly funded study places in some or all the programmes. This is the case in seven education systems: Latvia, Lithuania, Romania, Finland, the United Kingdom (Scotland), Montenegro and Norway. Alternatively, in Ireland, Poland and the United Kingdom (England), additional funding is allocated to areas with identified skills needs or to subjects considered to be 'strategically important'.
In Ireland, the Future Skills Needs reports inform the development of specific targeted funding and education provision to address emerging skills needs. Such initiatives include the 'Springboard' and the 'ICT skills conversion' programmes. Springboard provides free part-time higher education courses for unemployed people in areas where there are identified labour market skills shortages or employment opportunities. The ICT graduate skills conversion programmes are being provided for graduate jobseekers as part of the joint industry Government ICT Action Plan to build the domestic supply of high level ICT skills.
In the United Kingdom, the Higher Education Funding Council for England (HEFCE) monitors the availability of programmes in socalled ‘strategically important and vulnerable subjects’ (SIVS), which include science, technology, engineering and mathematics (STEM), modern foreign languages, and quantitative social science. The Government is concerned to prioritise the subjects that require support to avoid undesirable reductions in the scale of provision. In 2012, HEFCE commissioned research into how other countries or states with similar higher education funding and student finance systems to England have identified and mitigated risks towards particular subjects or skills, and the policy approach adopted. HEFCE also provides additional funding for the teaching of high-cost STEM subjects, including a supplement for those which cost the most to deliver (chemistry, physics, chemical engineering and mineral, metallurgy and materials engineering). This has increased the overall level of funding for STEM teaching from 2012/13. In addition, HEFCE funded 'Routes into Languages', a £7.3 million programme that aimed to encourage the take-up of modern foreign language courses in England and which ran until July 2013.
4.2.2. The involvement of employers
Another way of including labour market information in higher education is through consulting or involving employers, employers' organisations and business representatives in the various steps of developing and evaluating higher education study programmes. Employers' participation is a more decentralised mechanism for ensuring that study programmes meet the needs of the labour market. This section considers the involvement of employers in three areas: curriculum development, teaching, and participation in decision-making or consultative bodies at national, regional, sectoral or institutional level. Employers' participation in external quality assurance will be discussed in Section 4.1.
The involvement of employers in at least one of these three areas is a requirement in 18 education systems. Out of these 18 education systems, employers' participation in decision-making or consultative bodies is required in 16 (see Figure 4.3c). These bodies can be national (e.g. in France, Latvia, Slovenia or Finland), regional (e.g. in Italy), sectoral (e.g. in Montenegro) or institutional (e.g. in Lithuania, Austria, Sweden or Norway). The involvement of employers in curriculum development is compulsory in seven education systems; their participation in teaching is a requirement in five. Yet, employers can be involved in higher education planning and programme development even if it is not required by central authorities. In practice, the involvement of employers in curriculum development and teaching, or their participation in decision-making or consultative bodies is much more widespread than what is prescribed by law. Again, as Figure 4.3c shows, involving employers is the most common in decision-making bodies at different levels: employers typically participate in such bodies in 22 education systems. Employers are involved in curriculum development in 19 education systems, and they frequently participate in teaching in 15 education systems.
Employers' participation can be facilitated by university-business cooperation projects. Through financial means, governments can provide incentives for both higher education institutions and business organisations to develop innovative projects together. In some countries (e.g. in Denmark and the United Kingdom), cooperation projects involving higher education institutions and enterprises can receive such financial support directly. Alternatively, other countries have established specific centres (e.g. Innovation and Liaison Offices in Greece and Centres of Technology Transfer in Latvia), the role of which is to facilitate cooperation between universities and businesses.
The Danish government has allocated DKK 40 million (EUR 5.3 million) for 2013 to support innovation projects at university colleges and business academies in cooperation with public and private enterprises. The projects are aimed at motivating widespread practice-based innovation and knowledge activities. The projects will focus on specific practical challenges in enterprises and involve teachers and students in strengthening the students’ innovative competencies and develop education programmes. In order to participate, enterprises will have to contribute with significant self-financing to the projects.
In Greece, the 'Education and Lifelong Learning' Operational Programme within the National Strategic Reference Framework (2007- 2013) finances Liaison Offices. Liaison Offices are meant to facilitate connections between the education sector and the labour market by developing channels of communication, networking and collaboration with businesses, employers' organizations and the wider society, as well as through the provision of comprehensive support and guidance to students and graduates for planning their further studies and personal career. The overall budget of the action amounts to EUR 10 million. The number of students benefiting from the program operating in 39 HEIs exceeds 150 000.
In addition, Innovation and Entrepreneurship Units aim to strengthen cooperation between academia and industrial partners, and to promote research in entrepreneurship-related fields. Their goal is to develop students' basic, as well as specific entrepreneurial skills and competences. The overall budget of the action amounts to EUR 9.97 million. 33 units have been created so far, while more than 37 000 students have benefited.
In Latvia, Centres of Technology Transfer have been established, partly financed from European Structural funds. Their aim is to facilitate collaboration between universities, industry and scientific institutions. There are nine such centres organised in Latvia. In the United Kingdom, the Higher Education Funding Council for England (HEFCE) operates Higher Education Innovation Funding (HEIF) worth £150 million per year to incentivise HEIs to increase their interactions with businesses, public and third sector organisations, community bodies and the wider public. The funding is designed to support the range of knowledge exchange activities that result in economic and social impact. Currently a high policy priority is to encourage activity that can help the country’s economic growth.
In some countries, there are also special degree programmes designed specifically to meet employers' demand, where curricula are developed with the involvement of employers.
In France, the professional bachelor degree, established in 1999, is issued by the university and has the prime objective of ensuring student employability. The qualification provides an opportunity for training designed and organised through close partnerships with employers. The university is required to present an application to establish a professional bachelor programme, and this is examined by a national expert commission that operates for a three year mandate and involves equal representation from experts appointed for their professional expertise and university representatives.
In the United Kingdom (England, Wales and Northern Ireland), foundation degrees, which have been available since 2001/02, are two-year higher education qualifications offering flexible and accessible ways of studying for skills that are in demand among employers. In addition, Higher Education Funding Council for England also has a workforce development programme, one of whose goals is the design and delivery of higher education courses in partnership with employers. Details of employer engagement projects focused on the development and delivery of higher education programmes with the cooperation of employers are available from the HEFCE website (15).
4.3. Enhancing graduate employability
A more supply-side perspective on employability in higher education concerns graduates' employment prospects and/or their competences enhancing their employability. This section considers two main ways of improving graduates' employability: inserting practical training and work placements into study programmes on the one hand, and career guidance provision on the other.
4.3.1. Practical training and work placements
Practical training and work placements are regarded as key elements in enhancing graduates' employability. Data from both European comparative studies and national reports show that students who participated in practical training before graduation are more likely to find jobs than their counterparts without relevant work experience (see e.g. Blackwell et al., 2001; Garrouste and Rodrigues, 2012; Mason, Williams and Cranmer, 2009; van der Velden and Allen, 2011). Thomas and Jones (2007) also emphasise the importance of work experience for non-traditional learners. Therefore, it is important to look at whether and how European countries provide incentives for higher education institutions to include structured work experiences or practical training in their study programmes.
In the European Union, Directive 2005/36/EC on the recognition of professional qualifications (16) regulates the embedding of practical training into certain, professionally oriented study programmes (e.g. for medical or pharmaceutical studies). In the majority of countries, the inclusion of practical training is required for such degrees.
For other study programmes, higher education institutions are mostly free to decide whether they include such structured work experiences and whether they are optional or compulsory. However, some countries do limit this freedom of higher education institutions. In some cases, such limitation can relate to certain types of institutions. For example, in Denmark, practical training is required at Academies of Professional Higher Education and University Colleges, but not at universities. In other countries, practical training is required for certain degree types (e.g. for the licence professionnelle in France). In Lithuania, all 1st cycle students are required to undergo practical training. In Montenegro, in the accreditation process of a new study programme, higher education institutions are obliged to enclose pre-agreements on business cooperation regarding students' practical training.
The proportion of students participating in practical training or work placements is not available in the large majority of countries. Among the countries with available data, participation is among the highest (100 %) in Finland, where all first-cycle polytechnic courses include at least three months long work placement period, and practical training is compulsory for some university degrees. Participation is also quite high in Lithuania (100 % of 1st cycle students participate), Latvia (86 % of 1st cycle and 14 % of 2nd cycle students gain work experience through practical training) and Italy (nearly 60 % of 1st cycle students and 56 % of 2nd cycle students participate).
However, besides such – mostly short – structured work placements, also other arrangements exist with the aim of ensuring that students gain professional experience during their studies. For example, in France, students can participate in a dual system (alternance) which combines theoretical studies in higher education institutions with professional experience gained at work. In this case, students have work contracts throughout their studies. Currently, 7 % of higher education students and 5 % of university students study in such an arrangement.
It is not only through regulations that governments can encourage work experience to become an integral part of an increasing number of higher education programmes. Many countries provide financial incentives to higher education institutions and employers alike to increase the number of available traineeships. These initiatives are open to all students, and in most cases, this means that the costs of practical training are – at least partly – covered by public sources (e.g. in Belgium (French Community), Bulgaria, Greece, France, Croatia, Italy, Lithuania, Portugal, Finland and the United Kingdom). Targeted initiatives focusing on disadvantaged students exist only in the United Kingdom (England).
In Bulgaria, the 'Student placements' project run within the Human Recourses Development Operational Program aims to ensure practical training in real working environment and is open for both full-time and part-time students. Funding is provided for the remuneration of students, academic mentors from universities and mentors from the employer.
In Greece, within the Operational Programme on 'Education and Lifelong Learning' of the National Strategic Reference Framework (2007-2013), a framework of incentives is developed, both to increase the number of participating students, and to attract more businesses to host internships. The overall budget of the action amounts to EUR 82.5 million. In addition, Innovation and Liaison offices operating in HEIs also organise the practical training of students.
In Croatia, the Employment Promotion Act (2012) provides opportunity for employers to contract, up to a total of 12 months, higher education graduates with no prior work experience using the so called 'agreement on professional training for work without employment' scheme. During this period, employers are exempt from paying any taxes and other contributions (health insurance, etc.) for these employees and such trainees receive from the state the monthly fee of about EUR 200. The aim of this is to enable higher education graduates without prior work experience to obtain some initial work experience and hence to make them more attractive to the labour market.
In Lithuania, the implementation of practical training is incentivized via the National Study Programme, through which support is provided for the practical training of students of both study cycles and all areas of study in private and public enterprises, institutions and organisations. The goal is to develop the entrepreneurial skills of students as well as to create partnerships between HEIs and various social partners. Eligible applicants for this support are associations of employers in partnership with HEIs, institutions and organisations. In addition, scientific practices of academically-oriented students are supported via the Researcher’s Career Programme. The measure finances placements and practical training of students of both cycles and all areas of study in leading scientific groups and institutions of the country.
In Poland, a new programme was launched in 2013 by the Ministry of Science and Higher Education and National Research and Development Centre (a governmental agency), aimed at supporting higher education institutions in providing internships for students. The funds are granted through a competitive procedure between institutions that have created the best training programmes with industry. The pilot edition of the new programme will fund at least three months training at companies for approximately 10 000 students. The budget for the programme is PLN 50 million (ca. EUR 12 million).
In the United Kingdom, the Higher Education Funding Council for England (HEFCE) has run a number of funding programmes designed to help businesses find the skills they need and also help graduates find the skills that lead to employment, e.g. internship schemes for undergraduates and graduates. In one of such programmes, HEFCE provided £1 million to 30 HEIs in 2010 to support undergraduate internships for disadvantaged students to work in professional organisations, to widen access to the professions. 850 internships were completed under this initiative.
Since 2010, the Adopt-an-Intern programme is run by the Centre for Scottish Public Policy to match graduates with businesses, offering paid, meaningful and career-enhancing internships in Scotland.
4.3.2. Career guidance
Providing labour market information, career guidance or mentoring students is another way of enhancing the employability of graduates. As mentioned above, career guidance is regarded as particularly important for non-traditional learners (Thomas and Jones, 2007), especially if it is provided throughout the whole student lifecycle.
As Figure 4.4 shows, career guidance is available throughout the whole student lifecycle in higher education institutions in almost all countries. The exceptions are the German-speaking Community of Belgium, where career guidance is only available in the last year before graduation; the Czech Republic, Latvia and Portugal, where higher education institutions are fully autonomous in their decision to establish career guidance services; Croatia, where only external services are available; Malta, where only some students have access to internal career guidance services, but all of them may access external services.
Guidance services tend to be open to all students, and respond to individual student demands. The only countries reporting targeted guidance are Greece and the United Kingdom (England, Wales and Northern Ireland). In Greece, Liaison Offices responsible for career guidance and counselling provide specific services to students and graduates coming from vulnerable social groups in order to develop their professional qualifications and to support their professional integration. In the United Kingdom (England, Wales and Northern Ireland), students with disabilities are particularly supported to ensure that they have access to the same provision as other students.
Guidance services in higher education institutions are less widespread for graduates/alumni. As Figure 4.5 depicts, alumni career services are available to all students in higher education institutions in 18 education systems, and some graduates can access such services in eight. In France, besides general alumni guidance services, there are also specific graduate placement services in the grandes écoles.
Graduate career guidance is externalised completely in the German-speaking Community of Belgium, Estonia, Croatia, Lithuania, Malta and Sweden. No such guidance services are available in Ireland, Romania, and Norway.
4.4. Evaluating employability
Higher education institutions' employability performance is often subject to external evaluation. Evaluation processes on the quality of higher education provision can include criteria on employability. Most prominently, employability criteria can form part of external quality assurance processes. In addition, several countries have established other procedures of evaluating how well higher education institutions perform in 'producing' employable graduates. This section provides an overview about such evaluation processes.
4.4.1. Quality assurance
Quality assurance is the main mechanism through which education authorities can encourage higher education institutions to enhance the employability of their graduates. Indeed, as Figure 4.6 shows, in the large majority of countries, higher education institutions are obliged to submit employability-related information to quality assurance agencies before programme accreditation or for the continuing evaluation of institutions and/or programmes. Employability-related information is considered optionally during the evaluation process in nine education systems. This may also include systems such as in Hungary, where accreditation procedures consider employability, but there is no minimum requirements connected to the criteria. Such criteria do not form part of quality assurance procedures in six countries.
Employability-related quality standards can focus on a variety of issues. Higher education institutions can be required to show that their programmes are relevant for the labour market answering an existing demand (e.g. in Belgium, Bulgaria, the Czech Republic, Italy, Austria (in case of accreditation, curricula for universities of applied sciences, not obligatory for universities) and Slovenia). In other cases, higher education institutions have to provide proof that they involve employers or include employers' perspectives in programme development (e.g. in Belgium (French Community), Bulgaria, Denmark, Estonia, Austria, Poland, Finland, Switzerland and Norway). In several countries, higher education institutions have to regularly submit data on the employment of their graduates or have to prove that they have a monitoring or tracking system in place (e.g. in Bulgaria, Denmark, Estonia, Ireland, Greece, Spain, Italy, Latvia and Lithuania). In Italy, the quality assurance agency verifies the presence of student services that can provide support for the labour market transition of graduates.
Another way of ensuring that employability criteria – the labour market relevance of programmes or the involvement of employers in programme development – are considered during the evaluation process is through the participation of employers in external quality assurance procedures. Employers participate in external quality assurance processes in around half of the education systems (see Figure 4.7). In almost all countries where employers participate, they are required to do so. The exceptions are the German-speaking Community of Belgium and Iceland, where employers are involved in external quality assurance without any formal requirements.
4.4.2. Other evaluation processes and financial schemes
Besides formal quality assurance procedures, several countries have established other processes of evaluating study programmes based on employability criteria. The basis of such evaluation is most often student and graduate surveys, where students and/or graduates can evaluate their study programme as well as can provide details on their transition to the labour market. Examples of graduate surveys and graduate tracking systems are discussed in detail in Section 4.3. Besides students and graduates, another source of information can be employers. Employers' surveys can reveal how satisfied employers are with the level of competences of their employees recruited after their studies and how well those competences match job requirements. Employers’ surveys have been conducted in many European countries (17). Ireland, for example, organised the first National Employers’ Survey in 2012, and aims to establish a regular system for evaluating higher education institutions.
Finally, another information source can be higher education institutions themselves. Besides organising their own graduate surveys or tracking systems, they can also publish their plans on how they intend to improve the employability of their graduates. For example, in the United Kingdom, higher education institutions funded by the Higher Education Funding Council for England (HEFCE) have been requested to write employability statements, short summaries of what they offered to their students to support their employability and their transition into employment and beyond. One prominent goal of setting up such evaluation processes is to make employability-related information on higher education study programmes public. This can inform current and future students on their potential career prospects. For example, Bulgaria established a Universities Ranking System (18), where graduates’ employment and income form part of the composite indicator on ‘career and relevance to labour market’. Or else, in the United Kingdom, the Unistats (19) website compares higher education course data, enabling prospective students to compare information on a course by course basis (see also Section 4.3). Information includes previous students’ satisfaction, professional body accreditation, graduate employment destinations and salary, as well as higher education institutions’ employability statements. In addition, the Higher Education Statistics Agency (HESA) publishes performance indicators for higher education institutions, one of which is the employment rate of graduates.
Several countries (e.g. the Czech Republic, Estonia (from 2016 onwards), Spain, Italy, Austria, Poland and Finland) have also developed (or are in the process of developing) systems of performance-based or purpose-specific funding, where employability-related information is not only made public, but relevant criteria can also influence the funding of higher education institutions.
In the Czech Republic, the budget that HEIs receive directly from the state is composed of many items. About 80 % of the overall budget from the state is the so-called normative part. About 75 % of the normative part is allocated by a funding formula based on the number of students enrolled; and about 25 % of the normative part is allocated by the so-called qualitative indicators, one of them being the level of employment of graduates.
In Spain, the labour insertion of graduates is one element to be taken into account in the funding of universities. Indicators to measure labour insertion include: the graduate employment rate one year after graduation; the graduate employment rate five years after graduation; and the percentage of graduates who five years after graduation achieve a higher level of income than the population with secondary studies. Nevertheless, how this information affects the universities' funding depends on the Autonomous Communities.
In Italy, internships during the study programme and the proportion of employed graduates one year after graduation on the total number of graduates of the same year are an indicator used when assigning financial resources to higher education institutions. In Austria, public universities are funded by global budgets consisting of the basic budget and the higher education area structural funds. The basic budget is to be negotiated under performance agreements (Leistungsvereinbarungen) concluded between the individual university and the Federal Ministry of Science, Research and Economy every three years. In such performance agreements, universities have to point out their plans, e.g. for the improvement of employability. Universities are then evaluated based on these agreements.
In Finland, a part of polytechnics' state funding is based on their employability performance, starting in 2014. For example, completed degrees are part of performance-based funding. Also indicators on R&D and influence on regional development and cooperation with the working life are used in calculation of performance-based funding.
4.4.3. Career tracking of graduates
Graduate surveys that rely on the self-assessment of graduates are considered to be the most accurate tools for evaluating the employability of higher education graduates (van der Velden & van Smoorenburg, 1997). Career tracking surveys (or in other words, tracer studies) do not only provide the means to measure the percentage of graduates finding employment after graduation, but they are also able to describe the quality of jobs, the length of the job search period, graduates' job satisfaction, and the match between graduates' skills and job requirements (see Teichler, 2011). Furthermore, based on graduate surveys, it is possible to conduct analyses on the relative impact of graduates' individual characteristics and the higher education programme they attended (Ibid.). This way, tracer studies are useful tools for a multi-dimensional evaluation of employability in higher education. Few comparative graduate surveys (20) exist at European level. Their advantage is the comparability of information across countries. However, these surveys took place only in a limited number of countries and only once, which does not allow for comparisons across time. In addition, it is more difficult for such information to be channelled back to higher education institutions. Therefore, graduate surveys are also needed to be conducted regularly at national level in order to allow for an efficient flow of information between graduates, higher education institutions/programmes and education authorities.
With the exception of Croatia and Montenegro, graduate surveys exist in every education system participating in this report, at least at the level of (some) higher education institutions. However, in Montenegro, a new law foresees an obligation for higher education institutions to conduct such surveys regularly. As Figure 4.8 shows, regular graduate surveys at national/regional level exist in 14 education systems, while ad hoc national/regional surveys take place in six. In Belgium, at the level of the French Community, a regular system for the tracking of graduates is currently being developed. Some examples of graduate tracking systems (21) are summarised in Figure 4.9.
However, only in a few education systems do education authorities make a systematic use of the information collected on the basis of graduate surveys. Most often, graduate surveys are used in quality assurance or other evaluation processes of higher education study programmes (e.g. in Estonia, Spain, France, Italy, Slovakia, the United Kingdom, Iceland and Norway). In Poland, such a system is starting. In addition, information and guidance services can use information to guide prospective and current higher education students.
4.5. Experience from site visits
Enhancing employability at universities
All the eight universities that were visited reported an increase in attention to issues of employability in recent years. However, there were notable differences related to study fields, with technically-oriented faculties showing a tendency to develop more systematic approaches to issues of employability than arts and humanities faculties. Nevertheless, all universities reported a general trend towards more systematic attention to facilitating the transition of graduates to the labour market, with some notable good practice examples found in places where they might not be anticipated.
The approach to issues of employability was often tied to the institutions 'position' in the university world. For example, at the highly ranked technical University of Aachen, while the employment of graduates is considered a matter of great importance, there is a perception that all graduates will have acquired the knowledge and skills that equip them for the labour market, and that there is therefore no need to pay more specific attention to this issue. In some universities, such as the Tallinn Technical University, employability has been taken up and addressed in institutional policy and practice following developments in national policy. At the University of Jyväskylä, employability issues are embedded in an integrated policy approach which aims to create more links to regional companies, and also encourages students to undertake voluntary projects to enhance skills needed in working life.
However, perhaps the most striking example of innovative thinking towards employability was found at the Athens University of Economics and Business (AUEB). Here change had clearly been accelerated by the extremely difficult economic, political and social environment, with Greece experiencing a reality described by the University Rector not merely as economic crisis but rather as structural economic collapse. Athens University of Economics and Business is a specialised university and the oldest of its kind in Greece (established in 1920) providing education in all three cycles in the fields of Economics, Business Administration, Informatics, Statistics, Marketing, Accounting and Finance. While the university is highly ranked with an excellent reputation both in the country and internationally, the focus of discussion was on initiatives related to supporting the employability of students in a reality where the labour market nationally has practically ceased to exist. Students have therefore been forced to change their labour market expectations radically. With little hope of public sector employment, or indeed of gaining typical graduate employment in the private sector, students have become increasingly interested in creating new forms of employment for themselves, and supporting each other in developing the skills that they would need. An extremely significant shift had consequently occurred at the university with support being channelled to a dynamic blend of employability and entrepreneurship. Very interesting interlinked services have been developed on careers innovation/entrepreneurship and internships.
All of these services have been developed using European structural funds by young, dynamic and highly motivated staff. Vitally, however, all services have also been guided by experienced academic staff, thus ensuring a link with the teaching and research work at the university. Staff involved clearly have a very student-centred approach. The three services were also clearly well integrated with one another and have had a great impact.
Through the career services not only is information and training provided to students throughout their studies, but the university has also been working as an agency for matching specific candidates with companies. It was reported that many students found their first employment in the company where they had had an internship. The unit also undertakes research, with a regular survey on the employment status of graduates. The office is also very active in using social media, such as Facebook and LinkedIn, to provide information and follow the progression of graduates.
In recent years, a new focus has been on promoting innovation and entrepreneurship. The university provides courses, but also seminars on different aspects of starting new businesses, with plans in the pipe-line for the establishment of a Centre for entrepreneurship. The students we met had been extraordinarily active in internships, developing their own start-ups, contributing to research projects, supporting fellow students in their endeavours, and even in advising their peers from other countries. The provision of internships was very actively supported by a specific service for the whole university, even if the internship was only mandatory in one department – and the students would receive a nominal remuneration from the government for their work. The students were prepared through seminars on how to apply, how to behave during an interview and their application was put in a database where once the application/CV had been approved was visible to potential companies who are looking for an intern. The internship lasts two-three months and there are more than 1 500 companies in the database following a recent effort to include SMEs. The administrators explained that many students found their first job through their internship, and a particular focus has also been placed on the importance of mobility. The Erasmus programme in particular is being used to offer internships in other European countries.
Another example of changes to more emphasis on employability issues can be found at the University of Jyväskylä, where it is a common theme flowing throughout the university course provision, and students were also reported to find it increasingly important to prepare what they become after finishing their studies. Therefore, there are attempts to make career guidance available throughout the studies and to include alumni both as advisors for curricula development, but also as mentors for students.
Small modules that support third mission engagement have been introduced and 1-2 ECTS are given for doing projects that have external engagement – one such project was companies that have a problem that they would like to have solved by students. An e-portfolio has been introduced which helps the student identify not their academic skills, but also other skills that are needed in the labour market. Internships are in one form or another becoming increasingly popular and efforts are made to collect information on these and make them available to students. Career service helps students in their search for employment: help to define their skills and their attitude – help with writing CVs, job applying skills. One specific tool is the above-mentioned eportfolio, another is to encourage a structured path for obtaining general skills in a variety of courses.
The portfolio is developed with both academic and extra-curricular activities, such as voluntary work which can be included in the portfolio. Their use is voluntary, so they are not used yet by so many students. Some courses at the university are labour-market oriented, or focus on obtaining skills through establishing summer school or other practical engagement in society. They are called expertise courses that are focused on career and generic skills development. There is a new course on entrepreneurship as it is expected that more graduates will become self-employed.
Conclusions
All European countries participating in this report engage in one form or another in improving the employability of higher education graduates. However, approaches differ, as does the level of engagement. As Section 1 showed, there are differences between countries in focusing on labour market demand or supply, though these approaches are often inseparable. In addition, some countries take an employment-centred approach measuring employability through graduate employment rates, others emphasise equipping students with competences relevant for the labour market, and several countries combine the two perspectives.
In addition, differences between countries exist regarding the measures through which they are encouraging higher education institutions to improve their employability performance. The most common way to promote the employability agenda is through quality assurance: 23 education systems require higher education institutions to submit employability-related information in quality assurance procedures. In addition, several countries have established alternative evaluation procedures to provide incentives for higher education institutions to improve their employability performance. One prominent mechanism through which authorities expect better results is making employability-related information public for both current and prospective students. Another, more direct mechanism is to link public funding levels with employability performance. In this latter case, partial funding of higher education institutions depends on whether they focus on enhancing their graduates' employability.
When looking at the detailed measures aiming to improve graduates' employability, similar differences between policy approaches can be detected. One prominent approach is a regulatory one: education authorities simply make it compulsory for higher education institutions to implement certain practices. For example, in 21 education systems, institutions are required to involve employers in at least one of the following areas: curriculum development, teaching, participation in decision-making bodies and external quality assurance. Or else, several countries oblige higher education institutions to include practical training in (some) higher education study programmes.
Another approach many education authorities take is providing financial incentives for higher education institutions to establish certain institutional practices. For example, authorities can fund university-business cooperation projects in order to increase the involvement of employers in higher education study programmes. Or else, they can provide funding for students' practical training in order to improve their work-related skills.
However, no matter which approach education systems take, they mostly target students or graduates as a whole, without concentrating on specific – disadvantaged – groups of students. This shows that the widening participation agenda still needs to be extended to cover employability policies as well. Evaluating the impact of existing measures and approaches is not straightforward. One way to do so is through establishing regular graduate surveys at both national and European levels. National level graduate surveys can provide better feedback for individual higher education institutions, while graduate surveys conducted on a European scale can provide a comparative insight into the effectiveness of different policy approaches.
Issues of employability were taken into account in all eight institutions that were visited, with different approaches taken, depending on the country and type of institution in question. At Athens University of Economics and Business in Greece, the changing economic environment has forced the university to think of radical ways to enhance the career prospects of students. This has resulted in a strong emphasis on entrepreneurship, as creating employment is both a major priority of the economy and the best prospect for employment of future graduates. Télécharger la Version complète du rapport "Modernisation of Higher Education in Europe" : en.

9 juin 2014

L'essentiel: Modernisation of Higher Education in Europe: Access, Retention and Employability

Modernisation of Higher Education in Europe: Access, Retention and Employability
Date de publication: 22 mai 2014. Version complète: en. L'essentiel: en. European Press Release.
L'essentiel
Supporting the development of mass higher education systems is high on the policy agendas at both national and European levels. This is because higher education systems in Europe should be designed to quickly respond and adapt to the needs of our increasingly knowledge-based economy and societies. Likewise, to expand the knowledge-base and foster progress, an increasing amount of European citizens are required to hold higher education degrees. In Europe, the EU 2020 strategy, with a goal of 40 % completion by 2020, and the modernisation agenda, for example, both focus on increasing participation in higher education.
In view of these objectives and to support optimal policy making, the Eurydice report on Modernisation of Higher Education in Europe : Access, Retention and Employability examines policy and practice in Europe related to three stages of higher education :
• Access, which includes awareness of the availability of higher education, the requirements to be admitted, and the process of admission ;
• Retention, including progression through the study programme with support that may be provided when problems are encountered ;
• Employability, including measures supporting students' transition from higher education into the labour market.
This brochure summarises key findings of the report.
Only eight countries have set targets to increase participation of specified student groups
The concept of access to higher education no longer only entails the right of eligible students to apply to, and to be considered for, a study programme. It now also encompasses a 'social dimension', which aspires for student bodies to reflect all sections of society. In practice, this means that policies should aim at removing obstacles related to disadvantages such as the social and economic background of applicants. General targets regarding access have been set by nearly all countries. However, there are only eight countries that have defined participation targets for specified student groups. Moreover, the student groups that these countries have identified as targets vary considerably. For example, in the Flemish Community of Belgium, the target refers to children whose parents do not hold a higher education qualification. Finland focuses on increasing male participation while Lithuania would like to increase female participation in maths and sciences.
Monitoring of student characteristics varies significantly between countries and data is not exploited optimally
Although nearly all countries capture basic characteristics of the student population such as age and gender, the range of student characteristics that countries monitor over time varies significantly: 'type and level of qualification achieved prior to entry to higher education' is by far the most frequently monitored aspect, whereas the 'ethnic, cultural or linguistic minority status' of the student population is rarely taken into account.
Higher education institutions rarely receive financial incentives to widen access
Another striking fact that contradicts policy ambitions lies in the lack of financial incentives to higher education institutions to widen access. Only two national governments, Ireland and the United Kingdom, reward higher education institutions that are successful in recruiting, and retaining students from under-represented groups throughout their whole study programme.
26 education systems use financial incentives for students to finish their studies on time
Facilitating access to higher education alone does not guarantee high graduation rates. That's why adequate attention needs to be paid to students actually completing their studies. While precise targets related to improving student retention are not commonly found, individual countries usually set overarching goals to reduce student drop-out and provide specific reward measures to students. 26 education systems, for example, have in place financial incentives that encourage students to complete their studies on time. In these systems, students may for example be asked to pay tuition or administrative fees only if they exceed the regular length of study. Another measure would be to limit financial student support to the regular duration of the studies.
Half of European countries offer financial incentives to institutions that work on increasing completion rates
In addition to financially rewarding individual students, countries can also give financial incentives to higher education institutions that implement measures to retain their students. Interestingly enough, only half of European countries offer such incentives. In the other half, improving completion or reducing drop-out rates has no impact on an institution’s funding.
Part-time studies are often more expensive for individuals than their full-time equivalents
Offering students more flexibility to complete their studies, such as through part-time education or distance learning, can also positively impact on both access and completion rates. Most European countries now offer an opportunity for students to formally organise their studies in a more flexible way compared to traditional full-time, on-site arrangements. Although part-time education should facilitate the lives of those who cannot study full time, such flexibility may come at a cost. In 12 education systems, for example, part-time studies are related, or are likely to be related, to higher private financial investment compared to traditional studies. In addition to higher private fees, the financial support to which they are entitled is also often limited.
17 education systems consult employers to help them match study programmes with labour market needs
National systems and higher education institutions put lots of effort into increasing the employability of their graduates. They can do so by either designing their study programmes in such a way that these respond to labour market needs, or by making sure students will be provided throughout their studies with the right skills to successfully pursue employment. Consulting or involving employers and businesses directly in the design of higher education study programmes is one mechanism for matching study programmes to the labour market. In fact, 17 education systems use this method and involve employers in curriculum development, teaching, and participation in decision-making or consultative bodies.
Quality assurance agencies rarely look at access, retention and employability data in relation to specific student profiles
While higher education quality assurance agencies take some account of access, retention and employability data, they rarely consider different student profiles. For example, agencies may be required to consider admission systems, but do not typically focus on how admissions systems may play a role in access for disadvantaged students. Likewise, quality assurance processes that look at retention may consider trends in completion rates but rarely attempt to understand the underlying causes of dropout. There is also no evidence of any country or quality assurance agency systematically analysing employment opportunities in relation to the social profiles of graduates. It is therefore impossible to know whether factors such as socio-economic disadvantage or ethnicity, which are known to have an impact on access and completion rates, also impact employment after graduation. Télécharger L'essentiel - Modernisation of Higher Education in Europe Access: Retention and Employability.

9 juin 2014

Modernisation of Higher Education in Europe: Access, Retention and Employability

Modernisation of Higher Education in Europe: Access, Retention and Employability
Date de publication: 22 mai 2014
Version complète: en
L'essentiel: en
European Press Release.
Description
Le développement de systèmes d'enseignement supérieur de masse de qualité fait partie des priorités de l'agenda politique tant au niveau national qu'européen. Un nombre croissant de citoyens européens doivent disposer de connaissances, d'aptitudes et de compétences de haut niveau pour développer la connaissance et encourager l'innovation et le progrès. Par conséquent, les systèmes d'enseignement supérieur en Europe devraient être conçus pour répondre et s'adapter aux besoins de notre économie et de nos sociétés de plus en plus basées sur la connaissance. Afin de soutenir la prise de décision basée sur la recherche, ce rapport d'Eurydice met en évidence les politiques et les pratiques nationales et institutionnelles actuelles qui visent à accroître et à élargir l'accès, à réduire les abandons et à améliorer l'employabilité des diplômés de l'enseignement supérieur en Europe. Le rapport couvre 36 pays européens ou systèmes éducatifs et consolide les informations qui émanent de trois sources différentes: les unités nationales d'Eurydice, les agences nationales pour l'assurance qualité et quelques visites à des établissements d'enseignement supérieur.

23 mai 2014

AERES: la FC à l'Université Paris-Dauphine

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est d'août 2013. Il n'y pas de partie spécifique "formation continue". Voici les passages mentionnant la "formation continue".
P.5 - L’activité de l’établissement est financée par l’État et les collectivités territoriales à hauteur de 58 M€ et par des ressources propres pour 24 M€, ces dernières représentant donc près d’un tiers des recettes. Le développement important de la formation continue et de l’apprentissage (près de 13 M€ de recettes en 2011), la collecte de taxe d’apprentissage et les droits d’inscription (qui varient de 500 à 4 000 €) sont autant de ressources (6,6 M€) qui permettent de faire face de façon significative aux dépenses de fonctionnement, d’investissement et de personnel.
P.9 - VI – Le projet de rattachement de l'IAE de Paris : une décision non tranchée
En 2009, l’UPD et l’IAE de Paris ont initié un projet visant à rattacher l’IAE à l’université de Paris-Dauphine. Sur le plan de la recherche, un processus d’intégration a été rapidement mis en place et a permis aux laboratoires de recherche en gestion de l’IAE (Gregor) et de Dauphine (DRM) de préparer ensemble le contrat quinquennal. Depuis 2012, les chercheurs du Gregor ont rejoint DRM. En matière de formation, l’intégration s’avère plus complexe. Après deux années de réflexion, les deux établissements s’étaient mis d’accord autour d’un projet de convention qui visait à rassembler leurs actions de formation continue et à diluer les formations initiales de l’IAE au sein des masters de Dauphine. Ce projet, qui transformait l’IAE en un établissement dédié uniquement à la formation continue, n’a pas obtenu l’aval du ministère ce qui conduit aujourd’hui l’UPD à envisager d’intégrer l’IAE, non plus en tant qu’établissement rattaché mais en tant que département, sans bénéficier toutefois de l’adhésion de la communauté IAE qui souhaite conserver son statut d’établissement public administratif (EPA). Dans ce contexte, la question de l’intégration de l’IAE reste encore non tranchée et appelle des décisions rapides permettant de définir, le cas échéant, les termes d’une nouvelle coopération.
P.13 - La population étudiante inscrite dans le cycle M est plus nombreuse qu’en cycle L (62 % contre 33 %) et montre une structure en pyramide inversée peu courante. Elle est plus âgée que la moyenne avec 36 % de plus de 26 ans, ce qui témoigne d’une forte activité en formation continue. Le nombre d’inscrits en formation continue diplômante est de 1 818 en 2010-2011, en croissance depuis le début du contrat, soit 18,22 % des effectifs, très au-dessus de la moyenne nationale qui s’établit autour de 10 %4. Enfin, une proportion importante des étudiants en master suit une formation dans le cadre de l’apprentissage.
P.14 - Chaque spécialité de M2 opère une sélection importante en entrée et est ouverte sur les recrutements extérieurs en particulier en formation continue.
IV – Des dispositifs de formation professionnalisants
L’analyse des publics inscrits au niveau M montre un nombre important de spécialités ouvertes en formation continue, parfois exclusivement, en argumentant sur la nécessité d’une expérience préalable importante pour construire de nouvelles professionnalités (par exemple les spécialités “Pilotage et management du changement” ou “Management, travail et développement social”). Ces choix contribuent à l’image de référence en organisation et décision souhaitée par l’établissement et sont mis en oeuvre en dehors des cadres classiques d’une université, avec une organisation pédagogique adaptée (formation le week-end par exemple) et un service administratif dédié organisé par le département d’éducation permanente. Cette offre est aussi particulièrement adaptée au montage de partenariats internationaux qui semblent s’organiser dans un cadre réglementaire peu contraint et laissés à une large autonomie des porteurs de projets. En revanche, cette orientation vers le marché ne se retrouve pas dans le développement de la validation des acquis de l’expérience3 qui mériterait d’être développée, en lien avec le fait que les diplômes sont très corrélés à la réalité professionnelle.
P.14 - Les taux de réponse sont plus élevés que la moyenne et les taux d’insertion obtenus pratiquement tous supérieurs à 90 %, dans la moyenne nationale. Ces taux sont évidemment majorés par l’inclusion dans les enquêtes des diplômés de la formation continue, nombreux dans certaines mentions.
P.17 - III – Une professionnalisation des formations et une insertion professionnelle de qualité
Les entreprises participent activement au modèle pédagogique de l’UPD et ceci à plusieurs niveaux : enseignements, stages, développement des formations par apprentissage et de la formation continue, développement de Dauphine Junior Conseil. Toutes ces actions témoignent clairement de la connexion forte de Paris-Dauphine, et donc de ses étudiants, à la réalité du monde des entreprises.
P.20 - L’offre de formation de l’UPD se décline à l’international sous forme de diplômes délocalisés de nature très diverse, tant par leur objectif que par leur flux annuel d’étudiants qui varie d’une dizaine à 200 (pour une formation dispensée sur huit sites). Hormis l’Institut Dauphine à Tunis qui délivre deux doubles diplômes de licence en formation initiale (la licence de gestion et la licence de mathématiques-informatique et applications à l’économie et l’entreprise – MI2E), les autres formations délocalisées sont majoritairement de niveau master et dédiées à la formation continue. Le pilotage de ces formations relève essentiellement des responsables de formation. Elles mériteraient de la part de l’établissement la mise en place d’une politique d’évaluation et de suivi (recommandée également par Equis). Assurer le contrôle de la qualité des établissements partenaires et des formations dispensées serait une manière de répondre aux enjeux de promotion, de reconnaissance et de maîtrise de la marque Dauphine.
P.25 - I – Les points forts
- Un développement important de la formation continue diplômante et de la formation par apprentissage.
. Télécharger le Rapport d'évaluation de l’Université Paris-Dauphine.

23 mai 2014

AERES: la FC à l'École normale supérieure (Paris)

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2013. Il n'y pas de partie spécifique "formation continue". Voici le passage mentionnant la "formation continue".
P.14 - Ce site assure des diffusions en partenariat avec France Culture, le Grand Palais, le Louvre. Il diffuse des cours pour l’enseignement en ligne dédié à un public large, de la formation continue pour les professeurs de classes préparatoires et des cours d’agrégation en ligne (ce site assure également la promotion des publications de l’école). Télécharger le Rapport d'évaluation de l'Ecole Normale Supérieure (Paris).

23 mai 2014

AERES: la FC à l'Université Paris-Sorbonne Paris IV

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de décembre 2013. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une sous-partie 5, spécifique "Formation tout au long de la vie", constituée de deux parties secondaires : La formation continue : une stratégie à développer et L’université inter-âges : un grand dynamisme.
III - La formation tout au long de la vie
1 - La formation continue : une stratégie à développer
La formation continue est gérée au niveau central par un service commun placé sous l’autorité d’un enseignant délégué. Ce service, restructuré en 2008, s’emploie désormais à mettre l’activité de l’université en la matière en conformité avec la loi, à mettre en place un dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) et à développer son offre.
Celle-ci a été recentrée sur les enseignements de langues et de culture générale et n’intègre que très modestement la formation continue diplômante. Le bilan du service fait état, pour 2011, de 1 690 stagiaires et d’un chiffre d’affaires de 565 k€ (hors Celsa) constitué à 46 % de la contribution de diverses entreprises et institutions, et à 54 % de celles d’auditeurs inscrits à titre privé. En revanche, il ne dénombrait que 319 adultes en reprise d’études, en quête de diplômes.
L’absence de dispositif de VAE montre que la formation continue n’était pas vraiment dans la culture de l’établissement jusqu’à une date très récente, à l’exception du Celsa dont le montant annuel des recettes, à hauteur de 1,7 M€, donne la mesure du dynamisme en la matière. Depuis 2009, on observe une lente progression du chiffre d’affaires (hors Celsa) qui laisse néanmoins des marges de progrès, sous réserve de diversifier l’offre et de renforce les actions de prospection et les collaborations pour compenser l’absence de formations transversales.
2 - L’université inter-âges : un grand dynamisme
L’université inter-âges fait preuve d’un grand dynamisme et contribue pleinement à la réputation de Paris-Sorbonne. Elle offre des cycles de conférences ouverts à tous dans les disciplines phares qui fondent le prestige de l’établissement et, s’inscrivant dans le cadre du PRES, elle élargit désormais cette offre à des questions d’actualité et de culture générale. Avec environ 14 000 inscrits, cette activité dégage des recettes à hauteur de 1,3 M€. De réels problèmes de locaux pour organiser son activité sur le site de la Sorbonne limitent quelque peu ses possibilités de développement. Elle a su néanmoins s’adapter à l’évolution générale de l’université et remplit au mieux sa mission.
Autre passage citant la Formation Continue
P.25 - On relève en particulier l’augmentation de l’activité de formation continue qui, avec l’université inter-âges, représente environ 30 % de ces ressources, ainsi que l’apport significatif de l’activité sur le site d’Abou Dhabi (11 %). Télécharger le Rapport d'évaluation de l'université Paris Sorbonne.

23 mai 2014

AERES: la FC au Muséum national d’Histoire naturelle

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2013. Il n'y pas de partie spécifique "formation continue". Voici le passage mentionnant la "formation continue".
P.19-20 - II – Formation des enseignants du 1er et 2nd degrés
La direction de l’enseignement, de la pédagogie et des formations (DEPF) développe plusieurs objectifs :
- la formation continue des enseignants du 1er et 2nd degrés : actualisation des connaissances, accompagnement de la démarche pédagogique (projets de classe, travaux d’initiative personnelle encadrés, travaux personnels encadrés) en s’appuyant sur les ressources et les activités du MNHN (collections, expositions, grandes expéditions, Vigie-Nature) ;
- la formation initiale dans les deux masters de formation du 1er et 2nd degrés ;
- la formation à distance sur plateforme (licence libre moodle).
Les actions de formation continue des enseignants sont réalisées dans le cadre des plans académiques de formation (PAF), avec les IGEN et les Centres régionaux de documentation pédagogique (CRDP) et sont financées par les rectorats. Les RH représentent huit personnes et neuf professeurs-relais. 3 000 enseignants ont été formés en 80 journées.
L’activité de cette direction est remarquable. Elle contribue à la notoriété du MNHN. Elle touche des prescripteurs qui contribuent à valoriser le MNHN auprès du grand public. Le succès est une raison supplémentaire pour mentionner un appui logistique à l’enseignement limité et une surcharge de travail des agents de la DEPF. Télécharger le Rapport d’évaluation du Muséum national d’Histoire naturelle.

22 mai 2014

AERES: la FC au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers)

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2013. Vu la particularité du CNAM, il n'y a pas de partie spécifique Formation Continue. Télécharger le rapport de l'AERES sur le CNAM. En voici quelques extraits:
Le réseau des centres Cnam
Alors que le premier centre régional du Cnam voit le jour en 1819, c'est en 1952 que les Centres régionaux associés sont créés par voie de décret. Par une procédure analogue, le Cnam est habilité, en 1989, à créer des centres régionaux, ce qui lui permet de développer un réseau de 52 centres, présents dans 120 villes. Ces centres sont, dans un premier temps, essentiellement gérés par des associations liées aux milieux socioéconomiques locaux et placés sous la tutelle pédagogique du Cnam (validation des diplômes, habilitation des enseignants, et ingénierie pédagogique). Les enseignants sont recrutés non seulement dans les universités de la région mais aussi parmi les entreprises ou les consultants du bassin local.
Au début des années 2000, l'AG du Cnam impose un seul centre par région (ce qui n’exclut pas des localisations satellites) et privilégie le statut associatif. Ces ARCnam (association régionale du Cnam) ont un président élu et rémunèrent leurs salariés, dont le directeur de l’association. Ce dernier bénéficie d’une délégation de l'AG du Cnam pour les questions pédagogiques. Dans cette organisation, le Cnam, minoritaire dans la majorité des conseils d’administration, n’est pas en mesure d’imposer son point de vue en cas de conflit. Par ailleurs, la fragilité du caractère associatif en matière de gestion des fonds ne peut pas être ignorée.
I – De la nécessité d'une réforme en profondeur du réseau
L’établissement a entamé, en 2009, une réforme en profondeur de la gouvernance des centres régionaux, qui, par changement de statut, sont intégrés dans le Cnam, avec la volonté affichée de les doter d'une gestion publique. Un règlement intérieur précise les conditions de création et de pilotage de ces centres. Cette stratégie est motivée par plusieurs raisons : clarifier la gestion financière, replacer la mission pédagogique au centre des activités et, surtout, mettre en oeuvre une politique capable de répondre aux risques qui pèsent sur l’avenir du Cnam.
- une trop faible part du marché de l’offre publique de formation continue supérieure tout au long de la vie. L'offre cumulée du Cnam et des services de formation continue des universités ne représente que 10% du marché total de la formation continue (soit 800 millions sur 8 milliards d'€). Il s'agit pour le Cnam de dégager de meilleures perspectives d'avenir en s'engageant dans une réelle coordination de l’offre publique des universités et du Cnam ;
- un financement trop dépendant de l'action régionale, que ce soit sous la forme de subventions ou d'appels d'offre. Ce type de financement est menacé du fait de la crise et, à présent, du développement obligatoire d'appels d’offre largement ouverts aux organismes de formation publics et privés ;
- une trop faible présence d'élèves titulaires de bacs professionnels dans les diplômes et certifications professionnels en formation continue et une absence de ciblage des chômeurs titulaires d'un baccalauréat, voire des niveaux infra-bacs. Sous l'influence d'un tropisme universitaire croissant, les acteurs de l'établissement sont peu disposés à un tel élargissement de leur mission ;
- une difficulté à garantir aux partenaires, élèves et personnels, face aux exigences complexes de la régionalisation de la formation professionnelle tout au long de la vie, une attention particulière à leur spécificité, une écoute attentive de leurs besoins et une grande réactivité à leurs sollicitations.
II – La nouvelle gouvernance du réseau : une réponse adaptée
Désormais, le Cnam entend piloter la stratégie des CCR et définir un modèle type d’organisation. Le siège parisien, qui peut seul créer de nouveaux centres, se charge de la nomination et de la rémunération de leur directeur. La voix de la puissance publique est à présent majoritaire dans tous les CCR, quel que soit leur statut. Enfin, un Comité d’orientation régional (COR) est mis en place, avec pour mission d’apporter son concours à l’identification des besoins régionaux ou locaux dans les domaines relevant des missions du Cnam afin de faire évoluer l’offre de formations et de services du centre régional. Outre qu'il repère les besoins régionaux qui peuvent être traités par une offre existante du Cnam, le COR fait remonter au siège parisien des besoins que celui-ci pourrait ignorer et qui pourraient figurer utilement dans son offre de formation.
Pour mieux assurer cette gouvernance, la direction du réseau et le comité de pilotage du réseau, créés en 2005, ont été réformés en 2009. Le comité de pilotage du réseau, qui se réunit deux fois par trimestre, regroupe les « conseillers d’établissement » qui sont chargés d’établir en permanence le lien entre le siège parisien et un groupe de CCR dont ils suivent l’activité. Le lien avec les conseils statutaires doit être assuré par un rapport annuel sur l’activité et le pilotage. La direction du réseau est chargée de mettre en oeuvre la nouvelle gouvernance du réseau et de faire évoluer les structures encore associatives dans le sens indiqué ci-dessus.
Cette nouvelle gouvernance du réseau a permis une avancée considérable en matière de pilotage de l'offre de formation des CCR, laquelle posait deux problèmes : celui de la capacité des centres à dispenser des formations d’une qualité identique à celle du siège, celui de leur capacité à identifier les besoins des territoires sur lesquels ils interviennent. À présent, les rencontres entre les équipes pédagogiques locales et les équipes nationales sont plus fréquentes, ce qui garantit une meilleure compréhension des contenus et des objectifs des formations. Les procédures d’agrément des enseignants qui interviennent dans les CCR sont devenues plus rigoureuses grâce à une mise en ligne des profils de poste et à l’outil GAGE qui permet aux responsables nationaux de prendre connaissance des dossiers des candidats avant de valider leur candidature.
Le pilotage de l’offre de formation des centres à l’étranger, qui relève de la direction des relations internationales (RI), sera traité dans ce chapitre.
III – La gouvernance du réseau : un premier bilan
Au printemps 2013, l’état du réseau est contrasté, offrant, selon une expression entendue lors de l’évaluation in situ, « l’image d’un patchwork institutionnel ne permettant pas de bien saisir les avancées réalisées ».
En termes de statut, la totalité des conseils d’administration des CCR dispose désormais d’une majorité détenue par la puissance publique. Seul un CCR est directement rattaché au Cnam : celui du Nord-Pas-de-Calais, qui sera rejoint par celui de Bourgogne à l’automne 2013. Celui de la région Midi-Pyrénées est lui aussi en gestion publique, mais dans le cadre d’un Institut supérieur du travail, avant transfert au Pres. En Corse, les formations continues du Cnam et celles de l’université seront réunies en un Groupement d’intérêt public. En fin de compte, 18 des 22 régions métropolitaines ont adopté, entre 2011 et 2012, un statut d'association de gestion (AGCnam) et seules deux régions, la Basse-Normandie et le Languedoc-Roussillon, pourraient évoluer rapidement vers une gestion publique sous l'autorité du Cnam. Cas complexe, le très gros centre Île-de-France, a une structure éclatée entre une AGCnam gérant, pour le compte de la région, les activités de formation continue en Île-de-France hors Paris, et un centre de formation parisien, le Centre d’enseignement de Paris, rattaché directement au Cnam. Outre-mer, la situation est également très contrastée: en Martinique, la formation continue est gérée par l’université, et le Cnam (dont le directeur est vice-président de l’université) se limite à certains cours du soir. En Guyane, la région souhaite intégrer le Cnam dans un service public de formation continue sous sa gestion. Il n’y a finalement qu’en Guadeloupe et à la Réunion que le Cnam fonctionne de façon autonome sous forme associative. En Polynésie, le Cnam est très peu actif. En ce qui concerne les COR, 7 seulement sont constitués, et 3 sont en cours de constitution. À ce jour, on ne compte encore que 7 directeurs de CCR salariés du Cnam. La question de la dévolution des locaux occupés par les CCR qui, dans certains cas, sont propriétés de l'association, mériterait d'être prise en compte par l'établissement.
IV – Des facteurs de blocage qui persistent
Tout porte à croire que le modèle associatif va perdurer, malgré ses inconvénients et en dépit de la stratégie mise en oeuvre par le Cnam pour en diminuer le poids. Ce modèle est vu, par un ensemble de régions et d'universités, comme un rempart local contre une possible hégémonie du siège parisien du Cnam.
Ces points de vue peuvent se nourrir de la politique de contractualisation des centres, voulue par le Cnam, laquelle s’apparente à une centralisation, même si, à travers la déconcentration, elle cherche à accroître sa flexibilité et à favoriser les liens avec les Régions. Néanmoins, certains arguments militent en faveur d'une entente entre le Cnam, les régions et les universités. Concernant les régions, le Cnam a la capacité de les aider à concevoir une ingénierie des formations continues adaptée à leur politique. Certaines régions peuvent être réceptives à cet argument, particulièrement lorsque les universités ont avec elles des rapports difficiles.
Quant au positionnement des universités par rapport au Cnam, tout l'éventail des situations existe, allant de l'absence de concurrence, comme évoquée ci-dessus, à une concurrence marquée, en particulier dans le cas des diplômes LMD généraux. S'agissant des diplômes LMD professionnels, la différence des offres de formation, dans leur étendue et leur vitesse de mise en place, joue en faveur de la complémentarité et donc de l'entente plutôt que de l'opposition des intérêts. Le message de collaboration lancé par le Cnam, sous la forme de la charte nationale CPUCnam du 15 décembre 2012, commence à être entendu, comme en témoigne la signature, le 21 mai 2013, de la première convention régionale entre le Cnam, les universités et les grands établissements en Champagne-Ardenne.
Le pouvoir dont disposent les régions en matière de formation professionnelle continue peut les conduire à souhaiter organiser directement un outil de formation continue, géré comme un service régional, plutôt que de passer par le Cnam comme opérateur privilégié. Cette option est d’autant plus tentante que les problèmes de formation continue des régions concernent, au premier chef, les bas niveaux de qualification et les chômeurs, domaines dans lesquels le Cnam n’intervient pas, ou seulement à la marge. Cette faiblesse de positionnement du Cnam mérite réflexion. Pour l’Association des régions de France (ARF), la politique de contractualisation régionale du Cnam devra s'accompagner d'une forte valeur ajoutée du dispositif, du respect des spécificités des régions, et du maintien au niveau régional des moyens distribués par celles-ci. La mutation du réseau des CCR entamée par le Cnam est donc difficile et nécessite encore, à l'avenir, beaucoup d'engagement en ciblant, en particulier :
- l’adhésion de l’entité Cnam à cette évolution ;
- la communication vers les régions et les universités, qui tendent à privilégier une gestion non partagée dans un contexte où leurs moyens financiers limitent leurs capacités d’investissement ;
- l'expertise, la réactivité et la capacité innovante du Cnam et de son réseau – les meilleurs arguments à faire valoir auprès des partenaires et des adultes en recherche de FTLV. Télécharger le rapport de l'AERES sur le CNAM.
22 mai 2014

AERES: la FC à l'Université Pierre et Marie Curie

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2013. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une sous-partie 4, spécifique "Formation Continue" :
IV – Une formation continue en relative stagnation
En matière de formation continue, les chiffres sont restés relativement constants au cours du dernier contrat. Les résultats pourraient être plus flatteurs au regard du rayonnement de l’établissement et du rôle important de prestataire de formations qu’il pourrait jouer dans le tissu économique local. Le service de formation continue gagnerait à développer des actions incitatives (en matière de prélèvement par exemple) auprès des composantes avec lesquelles il doit travailler en appui et en concertation. Des réunions régulières pourraient être instaurées entre le service de formation continue, la vice-présidence formation et la vice-présidence insertion professionnelle afin de promouvoir les synergies entre les actions de formation continue d’une part et la professionnalisation et l’insertion professionnelle dans les cycles de formation initiale d’autre part. Un portage politique de la formation continue avec la désignation d’un chargé de mission ou d’un vice-président délégué pourrait être envisagé pour soutenir les évolutions à venir. Télécharger le Rapport d'évaluation de l'Université Pierre et Marie Curie.

21 mai 2014

Promouvoir la culture numérique chez les seniors, ainsi que leur aptitude à utiliser des tablettes/PC

Author(s): Sonia HetznerAmrei Tenckhoff-Eckhardt and Anna Slyschak. Partout en Europe, des études montrent que l’intégration numérique reste un thème très important pour les générations plus âgées. La disparité entre le nombre d’utilisateurs jeunes et plus âgés de l’internet a légèrement diminué au cours de ces dernières années, mais elle demeure un sujet d’intérêt dans la mesure où le potentiel socioéconomique pour les générations plus âgées découlant de l’utilisation de l’internet n’a pas été étudié. L’utilisation de l’internet peut contribuer à améliorer la qualité de vie et l’interaction sociale sur l’internet atténue la solitude et la dépression. Le développement des aptitudes et des compétences numériques parmi le troisième âge reste un défi. Des obstacles socioéconomiques, techniques et émotionnels entravent ce processus. PDF Document application/pdf iconDigital Literacies and eCompetence From-field 38 2.pdf. See more...

5 avril 2016

Mise à jour du catalogue des aides du FIPHFP

http://www.arftlv.org/images/logos/logo.jpgLe fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) finance au cas par cas des aides techniques et humaines afin de favoriser le recrutement et le maintien dans l’emploi de personnes en situation de handicap. Tous les employeurs publics peuvent bénéficier des aides répertoriées dans ce guide.
Cette nouvelle édition du catalogue mis à jour en février 2016 fait apparaître quelques modifications, notamment en ce qui concerne l’apprentissage et l’accessibilité.

Consulter le guide. Voir l'article...

6 mars 2016

L’IAE Aix-Marseille Université précise sa stratégie

http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpgBlog Headway - Olivier Rollot. Tout juste réaccrédité Equis, l’IAE Aix Marseille université a présenté son plan stratégique 2020. « D’ici 4 à 5 ans, notre ambition ce n’est pas d’augmenter nos effectifs – ils passeront de 800 à 900 étudiants, tous de niveau master – car nous voulons conserver un taux d’encadrement d’un enseignant pour vingt élèves », explique sa directrice, Virginie de Barnier, qui tient à un « positionnement de niche » avec une sélection des étudiants qui s’effectue essentiellement sur leur niveau d’anglais. En master, les effectifs doublent ainsi entre la première année et la seconde année de master « A l’entrée en première année de master, 37% de nos étudiants possèdent un bachelor, 33% une licence et les autres ont enchaîné leur diplôme d’IUT par un DUETI », liste Virginie de Barnier. En master 2, l’IAE recrute également de nombreux diplômés d’écoles d’ingénieurs venus acquérir une double compétence en management.
Alors que les diplômes des IAE sont facturés à leurs étudiants au même prix que les autres, l’IAE Aix-Marseille Université a la particularité de proposer à ses étudiants de passer à la fois un master et un MSc. Payant – de l’ordre de 4000€ par -, ce dernier permet de passer six mois à l’étranger en séjour académique ou en stage. « La plupart de nos étudiants le financent grâce à un contrat d’apprentissage », remarque Virginie de Barnier, fière également de rappeler que son master a été distingué dans le dernier classement du Financial Times comme le 19ème meilleur au monde (et 1er en France) sur le critère du « retour sur investissement ».
Côté finances, l’IAE développera ses ressources propres : taxe, donations d’entreprises, Executive Education (un responsable vient d’être embauché), le budget devrait atteindre 12,7 millions en 2020, c’est à dire 1,7 million de plus qu’en 2016. Quatre millions d’euros seront par ailleurs consacrés à rénover le campus. « Business School publique de la plus grande université de France, AMU, notre IAE deviendra également éligible à l’accréditation AACSB », conclut la directrice. Suite...

14 novembre 2015

Mode opératoire en vue de l’inscription de certifications de niveau III, II et I, délivrées par les Universités, au CPF

logofpsppMode opératoire en vue de l’inscription de certifications de niveau III, II et I, délivrées par les Universités, sur les trois catégories de listes CPF
La Conférence des présidents d'université et la Copanef ont engagé depuis novembre 2014 un travail commun pour clarifier le mode opératoire d'inscription des certifications de l'Enseignement supérieur sur les listes CPF.
Ce travail a été validé par le Copanef et la CPU en début du mois d'octobre.
Vous trouverez ci-joint le document officiel qui est diffusé aux Coparef, aux CPNE et aux Universités, ainsi qu'à la presse spécialisée.

à télécharger :

14 avril 2016

Le DU Gestion Portuaire et Commerce International

Retour sommaireAix-Marseille Université  propose un « DU Gestion Portuaire et Commerce International à distance », dont les objectifs sont les suivants :

  • Délivrer une connaissance approfondie du système portuaire dans son organisation et dans toutes ses fonctions ;
  • Comprendre les vecteurs majeurs et connaître les principaux acteurs du commerce international dont le port est un élément essentiel ;
  • Maîtriser les processus et les documents associés aux missions du port ;
  • Appliquer les règles et processus de management de la qualité et de la sécurité des installations portuaires.

Description de la formation sur Formasup
Description de la formation sur le site Internet d'Aix Marseille Université. Voir l'article...

7 avril 2014

VAE - N’hésitez pas à prendre contact avec les Universités

Osez la VAE dans l’enseignement supérieur !
Trouvez, dans la Région PACA (Provence-Alpes-Côte d'Azur) et dans toute la France,
l'Université qui vous permettra de valider vos acquis dans l’enseignement supérieur.
En Provence-Alpes-Côte d'Azur, cinq établissements peuvent valider vos acquis dans l’enseignement supérieur :

Voir les détails et les coordonnées de ces établissements dans l'article Trouvez l'Université où vous pourrez valider vos acquis.

En France, plus de 80 autres universités peuvent valider vos acquis dans l’enseignement supérieur : Université Angers, Université d'Artois, Université d'Auvergne, Université de technologie de Belfort-Montbéliard, Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand, Université de Bordeaux, Université Bordeaux 1 - Sciences Technologies, Université Bordeaux Segalen, Université Montesquieu - Bordeaux IV, Université Bordeaux Montaigne, Université de BourgogneRéUniva4, Université Européenne de Bretagne (UEB), Université de Bretagne Occidentale (UBO), Université de Bretagne-Sud (UBS), Université Caen Basse-Normandie, Université de Cergy-Pontoise, Centre Universitaire Jean-François Champollion (CUFR), Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), Université de technologie de Compiègne, Università di Corsica Pasquale Paoli, Université d'Évry-Val d'Essonne, Université de Franche-Comté, Université de Grenoble, Université Joseph-Fourier - Grenoble 1, Université Pierre-Mendès-France, Université Stendhal-Grenoble 3, Université de Haute-Alsace - Mulhouse-Colmar, Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), Université de La Réunion, Université de La Rochelle, Université du Havre, Université Lille 1 - Sciences et Technologies, Universite Lille 2 - Droit et Santé, Université Charles de Gaulle - Lille 3, Universite de Limoges, Université du Littoral Côte d'Opale, Université de Lorraine, Université Claude-Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, Université Jean Moulin Lyon 3, Université du Maine, Université Montpellier 1, Université Montpellier 2 Sciences et Techniques, Université Paul-Valéry Montpellier 3, Université de Nantes, Université de Nîmes, Université de la Nouvelle-Calédonie, Université d'Orléans, Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne, Université Panthéon-Assas (Paris 2), Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Université Paris-Sorbonne, Université Paris Descartes, Université Pierre et Marie Curie, Université Paris Diderot Paris 7, Université Paris 8, Université Paris-Dauphine, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Université Paris-Sud, Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, Université Paris 13 Nord, Université Paris-Est Marne-la-Vallée, Université de Pau et des Pays de l'Adour, Université de Perpignan Via Domitia, Université de Picardie Jules Verne, Université de Poitiers, Université de la Polynésie française, Université de Reims Champagne-Ardenne, Université Rennes 1, Université Rennes 2, Université Jean Monnet Saint-Étienne, Université de Savoie, Université de Strasbourg, Université Toulouse 1 Capitole, Université de Toulouse II - Le Mirail, Université Toulouse III – Paul Sabatier, Université François-Rabelais de Tours, Université de Technologie de Troyes, Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.

7 septembre 2012

Evaluation de la formation continue universitaire - FCU

Blog Educpros de Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpgChroniques sur la formation tout au long de la vie dans les universités. Toutes ont un service de formation professionnelle continue (FPC). Exemples: Lorraine, Paris Est Marne-la-Vallée, Paris Ouest Nanterre la Défense, Reims Champagne-Ardenne, Strasbourg. Que sait-on de la performance de ces services? Suggestion d’indicateurs d’activités, de moyens, de résultats.
Dépense nationale pour la formation continue en 2009: 31,3 milliards d’euros. Chiffre d’affaires des universités (dont INP et IUT) en 2010: 243,4 millions d’euros (RERS 2012, indicateur 7.3)… Faible présence des universités sur le marché de la formation continue. Il leur faut progresser!
Jacques Meyer, ancien président de l’URCA et vice-président du Conseil régional de Champagne Ardenne, concluant le débat sur la contribution de la formation professionnelle continue au développement des territoires (4 septembre 2012, Châlons sur Marne).
Indicateurs d’activité. Offre de diplômes nationaux et universitaires par niveau de formation: IV - DAEU), III, II, I. Dispositifs de formation accueillis dans ces diplômes: congés individuels de formation (CIF), droit individuel à la formation (DIF), validation des acquis de l’expérience (VAE), préparations aux concours de la fonction publique, contrats de professionnalisation. Nombre et caractéristiques des “stagiaires” par statut d’origine (salariés dont ceux en reconversion et personnels de l’université, demandeurs d’emploi, inactifs) et caractéristiques individuelles (âge, sexe, niveau de formation, lieu d’habitation, secteur d’activité)…
Indicateurs de moyens (ressources et dépenses).
Catalogue des formations. Organisation des formations: heures, calendrier et localisation. Formations dédiées ou non aux publics de formation continue. Signataires des conventions de formation. Partenariats public-privé. Budgets de la formation: origines des ressources (dont les droits d’inscription), répartition des dépenses. Dépense par stagiaire et pour chacun des diplômes.
Indicateurs de résultats (évolution dans le temps). Évaluations de la formation par les stagiaires. Diplômes obtenus (dont les diplômes obtenus par la VAE). Devenir professionnel: enquêtes un certain nombre de mois après la sortie de formation (les diplômés en formation continue sont exclus des enquêtes nationales de la DGESIP).
Une telle batterie d’indicateurs n’est jamais, à ma connaissance, publiée par les universités. Si les services de pilotage les élaborent, pourquoi ne les publieraient-ils pas en toute transparence? Ce qui est sûr: ils répondent aux enquêtes ministérielles qui permettent de publier quelques résultats dans Repères et Références Statistiques (indicateur 7.3). En 2010: 338.000 stagiaires inscrits en formation continue dans les universités, 51,7 millions d’heures de formation, 153 heures de durée moyenne des formations.
Blog Educpros Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpg Χρονικά της κατάρτισης σε όλη τη ζωή σε πανεπιστήμια. Όλα έχουν ενδοϋπηρεσιακή κατάρτιση (CVT). Παραδείγματα: Lorraine, Paris Est Marne-la-Vallée, Paris Ouest Nanterre Άμυνας, Reims Champagne-Ardenne, Στρασβούργο. Αυτό που είναι γνωστό για την απόδοση των υπηρεσιών αυτών; Προτεινόμενη δείκτες των δραστηριοτήτων, πόρων, αποτελέσματα.
Εθνική δαπάνες για την εκπαίδευση το 2009: € 31,3 δισεκατομμύρια.
Ο κύκλος εργασιών των πανεπιστημίων (INP και IUT) για το 2010: € 243,4 εκατομμύρια (MEL 2012, δείκτης 7.3)... Χαμηλή παρουσία των πανεπιστημίων στην αγορά για την εκπαίδευση. Θα πρέπει να αναπτυχθούν! Περισσότερα...
14 août 2013

A propos des termes master, mastère, mastaire

http://www.cncp.gouv.fr/sites/all/themes/cncp/images/logo_cncp.gifLa CNCP reçoit de nombreuses questions sur la valeur et la reconnaissance officielle attachées à des certifications intitulées master, master 1, master 2, mastère, mastaire….
Voici quelques éléments de clarification. Lire le document.
La CNCP enregistre des certifications dont l’intitulé a fait l’objet d’une publication au journal officiel mais qui sont parfois, à l’initiative des organismes, rebaptisées pour des raisons de communication :  master, master 1, master 2, mastère, mastaire.
Attention :
- seules les appellations de certifications ayant fait l’objet d’une publication au Journal Officiel ouvrent les droits attachés à l’enregistrement au RNCP (reconnaissance du niveau sur tout le territoire, éligibilité à certains financements dont ceux pour les actions de validation des acquis de l’expérience éligibilité aux concours, etc).
- une certification professionnelle enregistrée « sur demande » dans le RNCP au niveau I (parfois au niveau II/master 1) n' ouvre ni équivalence de droit avec un diplôme de Master ni ne confère le grade de Master à ses titulaires.
Le grade de Master est attribué par arrêté du ministre chargé de l’enseignement supérieur. Les diplômes nationaux (dont les Masters) sont délivrés au nom de l'Etat par les établissements qui ont fait l'objet d'une décision d'habilitation favorable de la part du ministère de l’enseignement supérieur.
Dans les autres cas, il peut s’agir de publicité mensongère.
En cas de doute sur la valeur d’une certification professionnelle dénommée master, tout établissement doit être en mesure de présenter à un candidat l’arrêté d’habilitation du ministère.
Code de l’Education
L’Article  4 du décret du 8 avril 2002 relatifs aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux).  L'arrêté du 25 avril 2002 relatif au diplôme de master précise que l'habilitation comporte la dénomination du diplôme et le nom du responsable de la formation (art; 7 de l'arrêté).
Code de la Consommation :
L'article L.121-1 du code de la consommation définit ainsi la publicité mensongère :
" Est interdite toute publicité comportant, sous quelque forme que ce soit, des allégations, indications ou présentations fausses ou de nature à induire en erreur, lorsque celles-ci portent sur un ou plusieurs des éléments ci-après : existence, nature, composition, qualités substantielles, teneur en principes utiles, espèce, origine, quantité, mode et date de fabrication, propriétés, prix et conditions de vente de biens ou de services qui font l'objet de la publicité, conditions de leur utilisation, résultats qui peuvent être attendus de leur utilisation, motifs ou procédés de la vente ou de la prestation de services, portée des engagements pris par l'annonceur, identité, qualités ou aptitudes du fabricant, des revendeurs, des promoteurs ou des prestataires ".
L’article L.213-1 du code de la consommation interdit à un professionnel ou à un particulier de mentir sur les qualités d’un produit mis en vente.
L’annonceur pour le compte duquel la publicité est diffusée est considéré comme principal responsable de l’infraction commise.
L’article L.121-6 du code de la consommation stipule que le non respect de cette loi est passible d’une amende maximale de 38 112,25 € (250 000 frs) et de deux ans d’emprisonnement.
Il est prévu que le maximum de l’amende peut être porté à 50% des dépenses de publicité constituant le délit.
Lire le document.

12 août 2015

Qu’est-ce-que le CUI ?

accès à l'accueil - Pôle emploiLe contrat unique d’insertion (CUI) est une nouvelle mesure pour l’emploi qui s’applique depuis le 1er janvier 2010 uniquement en métropole. Il remplace les anciennes conventions suivantes :
-    le contrat d’avenir (CA)
-    le contrat d’insertion – Revenu minimum d’activité ou CI-RMA

Il regroupe les conventions contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) et contrat initiative-emploi (CIE) qui sont adaptées sous la forme :
-    CUI-CAE pour les employeurs du secteur non marchand
-    CUI-CIE pour les employeurs du secteur marchand

La convention CUI-CIE ou CUI-CAE est adossée à un contrat de travail qui peut être :
-    soit un contrat à durée déterminée (CDD) d’au moins 6 mois (3 mois pour les personnes condamnées ayant un aménagement de peine)
-    soit un contrat à durée indéterminée (CDI). Voir l'article...

27 août 2013

Bilan Jeunes - Rhône-Alpes

http://www.prao.org/images/rhone_alpes_orientation.gifLe bilan jeunes permet à un jeune d'effectuer une analyse de la situation personnelle et professionnelle, de ses acquis et aptitudes, de ses motivations et de l'orienter vers un dispositif ou une mesure adaptées à ses besoins
Bénéficiaires
- Jeunes de 16 à 25 ans révolus sortis du système scolaire et en difficulté d'insertion
Caractéristiques
Objectifs
Le bilan jeunes permet à un jeune d'effectuer une analyse de la situation personnelle et professionnelle, de ses acquis et aptitudes, de ses motivations et de l'orienter vers un dispositif ou une mesure adaptées à ses besoins
Nature et durée des actions engagées
- Une analyse de Situation Partagée
- Un bilan de compétences
- Une validation du projet professionnel,
- Une aide et un soutien individuel à l'orientation des jeunes les plus en difficulté
2 heures pour l'analyse de Situation Partagée - 14 heures pour le bilan de compétences -
10 heures pour la validation du projet professionnel - 10 heures pour l'aide à l'insertion professionnelle - 8 heures d'aide et de soutien individuel à l'orientation des jeunes les plus en difficulté
Rémunération et protection sociale
Aucune rémunération
Financement(s)
REGION
Mise en oeuvre
Prescription
Mission locale, PAIO
Textes de référence
- Délibération du Conseil régional en Commission permanente du 25 avril 2002 - du 22 janvier 2010 - du 28 mai 2010 - du 1er février 2013. www.rhonealpes.fr.

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