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Formation Continue du Supérieur
27 septembre 2011

Le passeport orientation et formation - la fiche Unifaf

http://a-f-r.org/plume/xmedia/visuels/unifaf.pngLa mise en place du passeport orientation et formation doit permettre à chaque salarié d’identifier et de faire certifier ses compétences et aptitudes professionnelles acquises par la formation initiale ou au cours de ses expériences professionnelles. Un outil d’inspiration européenne…
Valoriser les formations suivies et les compétences acquises tout au long de votre parcours, cibler vos besoins en formation, mettre à jour votre curriculum vitae, préparer vos entretiens professionnels de formation, faciliter votre mobilité professionnelle...laissez-vous guider par le passeport formation.
Un outil incontournable pour tout salarié acteur de son parcours professionnel et qui, à tout moment et à son initiative, peut identifier ainsi et faire certifier ses compétences et ses aptitudes professionnelles, acquises soit par la formation initiale, soit du fait de ses expériences. Alors n'hésitez pas à actualiser régulièrement votre passeport formation, tour à tour mémoire de votre parcours professionnel et catalyseur d'éventuelles opportunités de carrière. Un modèle de passeport, adapté à la Branche professionnelle par les partenaires sociaux, mis en ligne est téléchargeable sur le site www.unifaf.fr. Sources: Code du travail, Article L 6315-2; Accord de Branche 2008-01, Article VII-2.
Établi à l’initiative de chaque salarié qui le souhaite, le passeport reste sa propriété: il en garde la responsabilité du contenu et d’utilisation. L’objectif du passeport orientation et formation: favoriser la mobilité interne ou externe des salariés. Un outil précieux pour construire un projet professionnel ou de formation, enclencher une démarche VAE (voir fiche A9 « La validation des acquis de l’expérience »)… Il est enfin un outil de préparation à l’entretien professionnel de formation (voir fiche A14 « L'entretien professionnel de formation »).
1) Récapituler son parcours professionnel

- Le passeport orientation et formation permet à chaque salarié de conserver la trace des étapes du développement de ses compétences à travers la formalisation des différentes phases de son parcours professionnel.
- L’établissement du passeport orientation et formation peut constituer un moment clef de mobilisation du salarié dans la construction de son projet professionnel. Ce peut être une étape importante dans la perspective d’une démarche de VAE notamment.
2) Réaliser le passeport orientation et formation

Le passeport orientation et formation ne peut être mis en oeuvre qu’à l’initiative du salarié. L’établissement ne peut l’imposer. Il peut néanmoins choisir de mobiliser ses ressources pour accompagner le salarié dans sa démarche: information, mise à disposition de lieux et personnes ressources pour concrétiser la mise en place d’un outil pertinent.
3) Formaliser et construire

Le passeport orientation et formation recense notamment:
- les diplômes et les titres obtenus;
- les expériences professionnelles acquises lors des périodes de stage ou de formation;
- les certifications à finalité professionnelle délivrées sous forme de diplôme, de titres obtenus dans le cadre de la formation continue ou de la VAE;
- la nature et la durée des actions de formation suivies au titre de la formation professionnelle continue;
- les compétences acquises en situation de travail;
- les habilitations;
- le service civique et les activités bénévoles;
- les actions de formation prescrites par Pôle emploi;
- tout ou partie des informations recueillies à l’occasion d’un entretien professionnel (voir fiche A14), d’un bilan de compétences (voir fiche A8) ou d’un bilan d’étape professionnel.
Voir aussi Orientation et Formation des Fonctionnaires, Passeport pour l'emploi 2011, Le Passeport Formation, Europass Mobilité, Lancement du passeport compétences, Passeport Aquitain de Compétences, Voyage à travers le monde de l'entreprise: Passeport Formation, Un nouveau site réservé au Passeport Formation, Qu’est-ce que le passeport formation?

http://a-f-r.org/plume/xmedia/visuels/unifaf.png The implementation of the passport guidance and training should enable each employee to identify and certify their skills and professional skills acquired through training or during their professional experience. A European-inspired tool. Enhance the training received and skills throughout your career, focus your training needs, updating your resume, prepare for your interviews professional training, facilitate your mobility... let yourself be guided by the Training Passport. See also Orientation and Training of Civil Servants, 2011 Passport for Employment, Training Passport, Mobility Europass, launched skills passport, Aquitaine Skills Passport, travel through the world of business: Training Passport, a new site dedicated to Training Passport, What the training passport? More...
11 août 2011

EURES – Aider les diplômés à trouver du travail en Europe

http://www.worky.biz/wp-content/uploads/2011/01/1-eures-253x300.jpgVous venez de décrocher votre diplôme? Vous êtes pressé de trouver votre premier emploi? Vous songez à travailler dans un autre pays d’Europe? Votre conseiller local EURES peut vous aider à identifier les possibilités qui s'offrent à vous partout en Europe.
Le fait de travailler à l’étranger, que ce soit pour une courte ou une longue durée, peut vous permettre d’acquérir de solides compétences et une expérience susceptibles de rendre votre profil plus attrayant pour les employeurs. Mais un tel parcours comporte des défis, et la préparation est cruciale pour en tirer le meilleur parti. C’est à ce moment là qu’EURES peut s’avérer utile. Les conseillers EURES travaillent en collaboration avec des conseillers d’orientation professionnelle au sein d’universités et d’établissements d’enseignement supérieur afin d’informer les étudiants et les diplômés sur les opportunités que leur offre le marché européen de l’emploi.
Depuis plusieurs années, Annie Vanserven, conseillère EURES, propose ses conseils aux étudiants et diplômés belges. Elle connaît bien les difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes en quête d’un emploi à l’étranger, et elle sait qu’une préparation est nécessaire avant de quitter le pays. Annie est souvent invitée par les universités belges de Gand et de Louvain pour y donner ses présentations sur les conditions de vie et de travail dans d’autres pays d’Europe. À l’instar de nombreux conseillers EURES, elle participe également à des actions de promotion dans de nombreux salons de l’emploi à l’intention des diplômés. Par ailleurs, Annie propose des consultations individuelles aux candidats à un emploi dans un autre pays d’Europe.
Pourquoi prendre contact avec un conseiller EURES?

«Nous fournissons des informations fiables aux étudiants et aux diplômés, nous les renseignons sur les opportunités à saisir dans d'autres pays européens et sur les aspects pratiques de la préparation en vue d’une expérience de travail à l'étranger», explique Annie. «Les entretiens en tête-à-tête constituent l’aide la plus précieuse que nous soyons à même de proposer car l’information est adaptée aux besoins individuels. Je demande à chacun de bien se préparer avant de venir me voir», ajoute-t-elle.
Comment se préparer à travailler à l’étranger: suggestions et conseils

Pour vous lancer dans la recherche d’un job dans un autre pays d’Europe, voici les suggestions et conseils d’Annie:
* assurez-vous de bien vous connaître, sachez ce que vous voulez faire et combien de temps vous souhaitez séjourner dans un autre pays car cela aura un impact sur le type de poste auquel vous pourrez prétendre ainsi que sur les formalités à accomplir avant le départ;
* ayez un projet, mais soyez réaliste. Vous pouvez être amené, dans un premier temps, à occuper un poste pour lequel vous êtes surqualifié; il faut le voir comme une étape vers le job idéal;
* consultez systématiquement la rubrique du portail EURES dédiée aux «Conditions de vie et de travail» dans le pays en question;
* avant de partir, assurez-vous que vous disposez de suffisamment de ressources pour subvenir à vos frais de dépôt de garantie, de nourriture et de transport, la plupart des employeurs payant à la fin du premier mois;
* contactez un conseiller EURES dans le pays de destination; il demeure votre meilleure source d’informations pratiques sur place.
La rubrique «Vous êtes diplômé(e)?» du portail EURES propose également «6 étapes pour démarrer une carrière professionnelle à l’étranger» et contient des informations sur les sources d’offres d’emplois, les aspects pratiques et juridiques, la rédaction de candidatures et de CV, ainsi qu’une liste de vérification (check-list) à contrôler avant de s’expatrier, et des questions à régler à votre arrivée dans un nouveau pays.
Pour en savoir plus:
Trouvez un conseiller EURES.
Vous trouverez de plus amples informations concernant les conditions de vie et de travail dans les différents pays d'Europe sur le portail EURES de la mobilité professionnelle. Cherchez un emploi dans la base de données des emplois d’EURES.
«Nous prendrons contact avec vous…» dresse une liste détaillée des dispositions à prendre par les particuliers et les entreprises qui postulent ou recrutent à l’étranger. Ce guide a été élaboré grâce aux contributions des conseillers EURES de toute l’Europe.
http://www.worky.biz/wp-content/uploads/2011/01/1-eures-253x300.jpg You just get your degree? In a hurry to find your first job? Thinking of working in another European country? Your Local EURES can help you identify the opportunities available to you anywhere in Europe.
By working abroad, whether for short or long term can help you develop strong skills and experience that could make your profile more attractive to employers.
But such a course is challenging, and preparation is crucial to make the best of it. It was at that time that EURES can help. EURES advisers are working with career counselors at universities and colleges to inform students and graduates about the opportunities offered by the European labor market.
For many years, Annie Vanserven, EURES Adviser, offers advice to students and graduates in Belgium.
She knows the difficulties faced by young people looking for a job abroad, and she knows that preparation is necessary before leaving the country. Annie is often invited by the Belgian universities of Ghent and Louvain in order to give presentations on living and working in other European countries. Like many EURES advisers, it also participates in promotional activities in many job fairs for graduates. In addition, Annie offers individual consultations to applicants for employment in another European country
. More...

22 août 2011

Avis du Ceser sur l'Apprentissage dans l'enseignement supérieur en Ile-de-France

http://www.cesr-ile-de-france.fr/images/logo.pngApprentissage dans l’enseignement supérieur. Une voie d’insertion dans l’emploi à soutenir. Télécharger le Rapport « L’apprentissage dans l’enseignement supérieur » présenté par Benoît Eurin, au nom de la commission Education, Formation, Enseignement et Recherche du CESER d’Île-de-France, présidée par Xavier Fernagu.
Les apports et les qualités de la « pédagogie de l’alternance » sont régulièrement soulignés dans la formation des jeunes. L’apprentissage s’inscrit dans ce cadre. Autrefois réservé aux formations pré-baccalauréat, l’apprentissage s’est désormais étendu à l’enseignement supérieur. En Île-de-France, le développement de la formation par l’apprentissage dans l’enseignement supérieur représente un enjeu important et un défi de taille. Voie de formation « à part entière », valorisée avec l’essor dans le supérieur, l’apprentissage offre aux étudiants qui le choisissent la possibilité de poursuivre des études supérieures et d’acquérir en même temps connaissance de l’entreprise et expérience professionnelle qui facilitent l’entrée dans le monde du travail et une insertion rapide dans un emploi durable.
Le rapport du CESER dresse un état des lieux de la situation de l’apprentissage dans le supérieur en Île-de-France, trace des enjeux et des perspectives pour son développement et avance des propositions en direction des élus régionaux. La Région d’Île-de-France, par les compétences qu’elle détient en matière d’apprentissage, les objectifs qu’elle se fixe (100000 apprentis) et les financements qu’elle apporte, joue un rôle essentiel dans ce domaine.
Un apprenti du supérieur sur trois est francilien

Sur les 97 521 apprentis du supérieur en France (2008-2009), 1 sur 3 est francilien. L’Île-de-France est la région qui génère le plus grand nombre de contrats en apprentissage. En 2000-2001, la part du niveau supérieur était de 29% et de 47% en 2010-2011, soit une progression de 18 points en 10 ans. L'apprentissage régional a progressé globalement de 34% en 10 ans et de 120% dans le supérieur. Le maintien de cette dynamique est lié à l’évolution du statut de l’apprenti, aux mesures fiscales incitatives pour les employeurs et au subventionnement par les Régions des premières années de vie active de jeunes du supérieur, via l’apprentissage. La Région qui comptait 76 760 apprentis franciliens en 2009-2010 (34239 dans le supérieur) ainsi que 1 667 pré-apprentis et 14 500 jeunes dans les dispositifs d’accès à l’apprentissage, a déjà fait beaucoup d’efforts pour soutenir le développement de l’apprentissage en général (293 M€ en 2009) et dans le supérieur en particulier. Mais tout comme les autres régions françaises, l’Île-de-France a connu un léger essoufflement dans la progression de ses effectifs dans le supérieur.
L’apprentissage facilite l’insertion dans l’emploi

Pour le CESER, il existe encore des marges de progression qui doivent se concrétiser dans les crédits consacrés au développement des effectifs et aux financements de cette filière de formation qui apporte une réelle valeur ajoutée en termes d’accès et de socialisation dans l’emploi. Ainsi, en 2009, sept mois après la fin de leur formation, 76,8% des apprentis du supérieur se déclarent en emploi, 18,3% d’entre eux sont à la recherche d’un emploi et les 4,9% restants se partagent entre stage et inactivité.
Unir les efforts et surmonter les cloisonnements

Les multiples acteurs publics et privés, qu’il s’agisse de l’État qui a en charge la formation professionnelle initiale supérieure, la Région, responsable de l’apprentissage, les branches professionnelles, les entreprises, les organismes consulaires, doivent unir leurs efforts et surmonter leurs cloisonnements pour s’assigner comme objectifs:
- de construire de véritables parcours de formation susceptibles de répondre, au plus près et le mieux possible, aux besoins des jeunes et du marché du travail;
- de faire face aux évolutions de la demande sociale et économique;
- de contribuer à orienter les flux financiers vers des formations adaptées à l’emploi et à son évolution, tout en préservant des contenus de formation qui permettent des reconversions et des évolutions dans les parcours professionnels.
Dans ce contexte, le CESER alerte le Conseil régional sur la portée de ses choix relatifs à l’apprentissage. En effet, la Région, en votant son budget 2011 et son dernier rapport cadre sur l’apprentissage sans augmentation des crédits consacrés à cette filière de formation, tout en affichant qu’elle va augmenter ceux en direction des premiers niveaux de qualification (V et IV), semble, in fine, faire le choix d’une baisse des moyens affectés à l’apprentissage dans le supérieur (niveaux III, II et I).
Le CESER constate une distorsion entre les subventions et le coût réel de la formation de l'apprentissage au détriment des formations de niveaux III de l’industrie, alors que ces niveaux (BTS et DUT) sont les cibles d’emplois les plus recherchées des PME-TPE. C’est pourquoi, le CESER recommande que ce niveau III soit développé en priorité au sein de l’apprentissage dans le supérieur en accompagnant plus particulièrement :
- l’accès au BTS pour les jeunes issus de bac pro,
- l’ouverture de sections de BTS en apprentissage en dépassant les blocages financiers actuels par une concertation Etat-Région et autres partenaires concernés.

Les propositions du CESER

Aussi, invite-t-il la Région à réviser ses dispositifs, d’autant qu’elle se donne pour objectif la ré-industrialisation du territoire.
Le CESER reste attaché à la distinction entre apprentissage et contrats de professionnalisation, du fait de leur mode principal de financement: Région pour le premier, organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) pour les seconds.
Le CESER encourage le développement des filières en apprentissage dans les CFA et recommande que les titres certifiés inscrits au RNCP - Répertoire national de la certification professionnelle (titres professionnels, bachelors, titres consulaires…) qui existent aux trois niveaux III, II et I, mais sont encore trop peu connus des jeunes, soient développés et mis en valeur dans les formations en apprentissage.
Le CESER considère que le développement de formations supérieures par l’apprentissage doit aller de pair avec l’organisation d’un appui à l’innovation pédagogique renforçant l’articulation entre les entreprises et les établissements d’enseignement supérieur. Il recommande que le niveau III (BTS, DUT, titres) soit développé en priorité au sein de l’apprentissage dans le supérieur et constate que le développement de l’apprentissage dans le supérieur, grâce à son effet d’entraînement, a contribué à valoriser cette voie de formation. Il recommande d’encourager le développement de l’apprentissage dans les Grandes Ecoles.
Le CESER recommande à la Région et à la commission des titres d’ingénieurs (CTI) d’autoriser les formations en apprentissage en dernière année d’école d’ingénieur comme c’est le cas pour les licences et les masters professionnels.
Le CESER considère que le développement de l’apprentissage dans le supérieur appelle entre autres une clarification des responsabilités des différents acteurs concernés qu’il s’agisse de l’État, des régions, des entreprises et autres « partenaires sociaux ».

Une telle démarche devra s’inscrire dans une vision prospective afin d’identifier, dans le cadre d’un partenariat associant l’ensemble des acteurs concernés, l’évolution de l’emploi, des métiers, des qualifications et des formations.
Cela suppose, dans le cadre du contrat de plan régional de développement des formations professionnelles (CPRDFP), un affichage clair d’enjeux et d’objectifs régionaux par filières et par types d’activités assortis d’engagements financiers, afin de déboucher sur un projet régional mobilisateur répondant aux attentes et aux aspirations des jeunes et des entreprises. Télécharger le Rapport « L’apprentissage dans l’enseignement supérieur » présenté par Benoît Eurin, au nom de la commission Education, Formation, Enseignement et Recherche du CESER d’Île-de-France, présidée par Xavier Fernagu.
Voir aussi l'Avis du Ceser sur Recherche et enseignement supérieur: une ambition affichée pour la Franche-Comté, l'Avis du Ceser Champagne-Ardenne sur le(s) Pôle(s) de Recherche et d’Enseignement Supérieur, les Avis du Ceser Bretagne concernant l'enseignement supérieur, l'Avis du Ceser sur Les pôles de compétitivité bourguignons - Les enjeux en termes de recherche et de formation, l'Avis du Ceser sur La mer et le littoral en Basse-Normandie - Recherche, enseignement supérieur et innovation, l'Avis du CESER pour les initiatives d'excellence des PRES de Lyon et de Grenoble, l'Avis du CESER pour le développement de l'enseignement supérieur et de la recherche en Midi-Pyrénées et Poitou-Charente - avis du CESER sur le schéma régional de l’enseignement supérieur.

http://www.cesr-ile-de-france.fr/images/logo.png Õppimine kõrgkoolis. Lõimumist tööhõive toetamiseks. Download aruande "Õppimine Higher Education" esitas Benedict Eurin nimel komisjoni hariduse, koolituse, Haridus-ja Teadusministeeriumi CESER Ile-de- Prantsusmaa juhitud Xavier Fernagu.
Panust ja omadused "pedagoogika vaheldumine" on regulaarselt esile koolitus noortele. Learning selles raamistikus. Kui reserveeritud eelnevalt bakalaureusekraadi koolitus, õpe on nüüd laiendatud kõrgharidust. Ile-de-Prantsusmaal, arengut Õpipoisiaja kõrgharidus on oluline küsimus ja väljakutse suurus. Veel...

23 juillet 2011

Les nouvelles ambitions de la formation continue universitaire

http://www.fcu.fr/images/logofcu.gifUn bilan de notre activité a été réalisé par Centre Inffo et publié dans le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
Plusieurs acteurs clés fortement impliqués dans notre activité ébauchent un bilan de celle-ci et proposent des pistes pour son développement. Un document à diffuser largement. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
La 38e conférence des directeurs de Services universitaires de formation continue (SUFC) s’est tenue à Villeneuve-d’Ascq (Nord) les 8, 9 et 10 juin derniers, un mois avant le quarantième anniversaire de la loi de 1971 qui a inscrit la formation permanente dans le Code du travail. Entretien avec Jean-Marie Filloque, président de la Conférence des directeurs des Services universitaires de formation continue (CDSUFC): “Les Universités ne communiquent pas assez sur ce qui fait leur force”
Comment expliquez-vous le peu de visibilité et d’attractivité des SUFC dans le milieu de la formation continue (FC) ?
Laissez-moi poser une autre question : alors qu’aujourd’hui, 31 % des adultes de 30 à 34 ans ont un diplôme de l’enseignement supérieur, pourquoi est-il si difficile de faire reconnaître l’Université comme un acteur légitime de la FPC, pour ses liens organiques avec la recherche et la construction des connaissances et pour la qualité attestée de ses personnels ?

Bien sûr, nous devons d’abord chercher des raisons en interne : l’image de tour d’ivoire, d’éloignement des “réalités”, l’image négative de l’échec..., mais aussi sans doute, et de manière plus réelle, l’absence jusqu’ici de stratégie d’établissement pour mettre en place des structures et des réponses adaptées, professionnelles diront certains, aux besoins socioéconomiques. La charte des Universités européennes pour l’apprentissage tout au long de la vie, adoptée par les présidents d’Université en 2008 fournit un cadre d’analyse et d’action pour les établissements. La CDSUFC s’emploie à la mettre en oeuvre. Il nous faut aussi améliorer nos outils d’interface, avec une communication plus lisible, des services d’AIOA plus développés, des fiches RNCP accessibles pour nos diplômes. Mais nous ne pouvons négliger l’externe. L’accès aux financements de la FPC suppose que bien sûr l’offre – la réponse – apportée par l’enseignement supérieur soit adaptée, mais aussi que sa légitimité et son intérêt soient reconnus des financeurs et des décideurs. Les choses s’améliorent aujourd’hui, sans que ce soit décisif. Certaines branches professionnelles ont fait le pas, comme les banques, par exemple. La part des financements issus des entreprises (au sens large) augmente dans nos recettes. Entre 2003 et 2008, elle est passée de 38 à 46 %. Nous travaillons, dans certaines régions, à la préparation des CPRDF. Nous approchons les Pôles de compétitivité pour que la dimension de la gestion des compétences ne soit pas le “parent pauvre” de leur action, au coeur de l’innovation et, demain peut-être, des futurs Idex (Initiatives d’excellence dans le cadre de l’emprunt national), quand cette dimension aura été intégrée. Les Universités sont un acteur à part entière de la formation tout au long de la vie et bénéficient de formidables ressources humaines et pédagogiques et de compétences variées. Peut-être ne communiquent-elles pas assez sur ce qui fait leur force: l’offre licence, master, doctorat, des formations courtes et longues, variées, souvent en lien avec une expertise liée à la recherche, des personnels dans les services FC qui sont des professionnels de la formation continue, etc. Les Universités sont également en pleine mutation et essaient de plus en plus d’apporter de la flexibilité dans leurs dispositifs de formation : formations modulaires, formations à distance, validation des acquis, etc.
Quel impact l’autonomie des Universités a-t-elle sur le fonctionnement de leurs Services de formation continue ?

La loi de 20073 n’a pas évoqué la question. La première mission des Universités reste la formation initiale et continue. La notion même de “formation tout au long de la vie” n’apparaît pas, alors que dès 2008, la France, à la tête de l’UE, promouvait l’adoption de la Charte européenne des Universités pour l’apprentissage tout au long de la vie. L’autonomie des Universités rend encore plus prégnante la question de la prise en compte de la formation continue dans la politique des établissements. Il nous faut veiller à maintenir cette prise en compte de la mission de service public, qui leur échoit. La stratégie des établissements “autonomes” doit l’intégrer. C’est une bataille quotidienne de notre réseau. Certains y ont vu, dans le cadre des RCE (responsabilités et compétences élargies), la possibilité de développer des recettes “libres” supplémentaires (augmenter les fonds propres!).
Lors du 36e colloque de la CDSUFC, en juin 2009, vous et vos collègues étiez résolus à renforcer le rôle de vos Services au sein de vos établissements respectifs. Où en êtes-vous ?
Effectivement, un travail important a été fait, tant au niveau des établissements qu’au niveau de la CPU et de la tutelle. Au niveau national, la CDSUFC est maintenant invitée permanente de la commission pédagogie de la Conférence des présidents d’Université (CPU). Elle est régulièrement consultée sur les questions portant sur la FC. Ceci nous permet, par là-même, de travailler avec le réseau des vice-présidents des Conseils des études et de la vie universitaire (VP Cévu) et la Conférence universitaire en réseau des responsables de l’orientation et de l’insertion professionnelle des étudiants (Courroie). Au niveau des établissements, la prise en compte politique de la FC s’est traduite dans plusieurs Universités par la nomination de vice-présidents FC ou FTLV (ou encore Relations entreprises, etc.). Mais cette meilleure prise en compte ne s’est pas faite de façon homogène, et il existe encore des marges de progrès. Nous avons organisé un séminaire spécifique sur cette question en avril dernier à Brignogan-Plages (Finistère), deux jours de réflexion et de travail sur le nouveau positionnement des Services. Ce séminaire sera suivi de séances de travail en cours d’organisation avec les DGS, DRH, Daf et agents comptables... Mais le temps manque pour aller plus vite! Propos recueillis par K.B. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.

http://www.fcu.fr/images/logofcu.gif Ülevaade meie äri oli läbi Inffo Keskus ja avaldatakse nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS. Mitmed võtmeisikud tugevalt seotud meie äri mõttes hinnata seda ja soovitab, kuidas oma arengut. Paber laialt levitada. Lae nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS.
38. direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (SUFC) toimus Villeneuve d'Ascq (Nord) 8., 9. ja 10. juunil kuu enne neljakümnendat aastapäeva 1971 seadusega, mis on lisatud elukestva õppe töökoodeks. Intervjuu Jean-Marie Filloque president direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (CDSUFC): "ülikoolid ei räägi piisavalt milline on nende tugevus"
Kuidas sa seletad vähest läbipaistvust ja atraktiivsust SUFC keset täiendõppe (CE)?
Lubage mul küsida teine küsimus: kui täna 31% täiskasvanutest 30-34 on kraad kõrghariduse, miks on nii raske ära tunda Ülikooli õigustatud näitleja CVT oma orgaanilise sidemeid teadus-ja ehituse teadmisi ja tunnustatud kvaliteet selle töötajad?
Muidugi peame kõigepealt otsida põhjendusi in-house: pilt elevandiluutorni, eemaldamine "tegelikkuse" negatiivne kuvand ei ... kuid kahtlemata ja veel reaalne, ilma et arvelduskuupäevani strateegia üles ehitada struktuuri ja asjakohaseid lahendusi, mõned ütleks, kutsealaseid ning majanduslikke ja sotsiaalseid vajadus. Veel...

4 août 2011

Rapport du médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur - La convention avec la CPU

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/img/logo-documentation-francaise.gifPar SASSIER Monique, Médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. Le rapport annuel de la médiatrice de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur rend compte de son activité et de ses collaborateurs, ainsi que des 49 médiateurs académiques. La première partie illustre cette activité à travers la présentation de cas concrets de réclamations formulées par des parents d’élèves, d’étudiants et de personnels de l’éducation nationale. La deuxième partie du rapport est consacrée aux questions d’affectation et de mutation des enseignants du premier et du second degré. Enfin, la troisième partie « La médiation, force de proposition » assure à la fois le suivi des recommandations précédentes en rendant compte de la façon dont les ministères les ont (ou pas) mises en oeuvre et la synthèse des recommandations nouvelles émises au titre de l’année 2010.
La convention Conférence des présidents d’université/Médiateur de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur

Suite au colloque du 15 décembre 2009 organisé pour les dix ans de la médiation dans l’éducation nationale et dans l’enseignement supérieur, le réseau des médiateurs et la commission juridique de la CPU ont commencé un travail de collaboration en réponse aux souhaits de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, qui s’est dit favorable à un plan d’action pour le développement et la structuration de la fonction médiation dans l’enseignement supérieur.
Depuis quelques années certaines universités se sont dotées de « médiateurs internes » nommés par le président. Un recensement non exhaustif en fait apparaître un petit nombre. La question posée était celle de l’articulation entre le réseau national de médiation et le monde universitaire dans sa diversité de conception des modes de gestion de la conflictualité.
Concernant le champ de l’enseignement supérieur, ce sont le décret n°98-1082 du 1er décembre 1998 instituant des médiateurs institutionnels et l’article 40 de la loi n°2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités dite « loi LRU » qui ont respectivement créé puis confirmé les fonctions du médiateur de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur ainsi que celles de médiateurs académiques.
Le réseau des médiateurs et la CPU ont formalisé les modalités de collaboration en signant une convention le 15 novembre 2010. Les objectifs étant de proposer aux usagers et aux personnels de l’enseignement supérieur un mode alternatif de règlement des conflits, de mieux répondre à la montée très régulière des réclamations provenant de ces deux publics, et d’offrir aux acteurs de la médiation des échanges au sein d’un
réseau, dans le respect de la charte des médiateurs du service public, des conditions de travail adéquates et des garanties personnelles en cas de mise en cause.
Les tendances actuelles amèneraient à voir plus d’établissements se doter d’un médiateur, de même que le réseau national s’enrichirait toujours plus de compétences issues du supérieur.
Le réseau des médiateurs et la CPU se sont accordés sur les deux axes d’action suivants:
– rapprocher les acteurs et construire la médiation sur la base de principes communs, et particulièrement celui « d’extériorité » qui tend à garantir au réclamant une distance entre le médiateur et l’institution dont émane la décision contestée.
– instaurer une concertation régulière.
Ainsi, pour la nomination des médiateurs académiques de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur du réseau national, il convient désormais de favoriser l’émergence d’un vivier de candidats provenant des corps de l’enseignement supérieur et que le médiateur informe les instances de la CPU lors de la nomination des médiateurs académiques issus de l’enseignement supérieur.
Enfin, il convient de réfléchir ensemble à la « carte » des médiateurs et à leur nombre pour faire face aux besoins croissants des usagers et personnels. Paris, le 15 novembre 2010, Monique Sassier, Médiatrice de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur. Télécharger le rapport. Voir aussi Rapport du médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur - 2009 - Humaniser les approches et Les recommandations sur la VAE dans le Rapport  2008 du médiateur de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur.

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/img/logo-documentation-francaise.gifPrzez Monique SASSIA, Rzecznik Praw Obywatelskich Edukacji Narodowej i Szkolnictwa Wyższego. Roczne sprawozdanie mediatora Edukacji i Szkolnictwa kont Edukacja dla jego firmy i jej pracowników, jak również 49 mediatorów akademickich.
wydanych na podstawie 2010 roku.
Konferencja Konwencji Uniwersytetu prezydentów/Mediator Edukacji i Szkolnictwa Wyższego
Po sympozjum 15 grudnia 2009 przez dziesięć lat mediacji w Nauki i Szkolnictwa Wyższego, sieć mediatorów i Komisja Prawna procesora rozpoczął współpracę w odpowiedzi na życzenia Minister Szkolnictwa Wyższego i Badań Naukowych, który opowiada się za plan działania na rzecz rozwoju i struktury funkcji mediacji w szkolnictwie wyższym. Więcej...

15 juin 2011

Remise du rapport du sénateur Demuynck sur le décrochage à l'université

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/2/2f/Logo_mesr.gifLe rapport sur la réalité du décrochage à l'université montre qu'un peu moins d’un étudiant sur cinq (19 %) sort de l’enseignement supérieur sans diplôme (soit en dessous de la moyenne des pays de l’O.C.D.E. qui est de 30%). Il préconise notamment de mieux suivre les étudiants faibles, plus de pédagogie de la part des enseignants et des quotas pour les bacheliers technologiques et professionnels. Télécharger le Rapport Demuynck.
Extraits

Notre travail de terrain a porté principalement sur le décrochage universitaire bien que le décrochage soit également une réalité importante dans les filières courtes et sélectives (environ 28 000 jeunes concernés). L’abandon d’études en université (46 000 jeunes concernés) est en effet celui qui impacte le plus fortement le niveau de décrochage définitif de l’enseignement supérieur.
Le décrochage est enfin un problème économique pour notre société qui investit lourdement dans la dépense de formation supérieure avec l’objectif raisonnable qu’au moins un jeune français sur deux d’une classe d’âge devienne diplômé de l’enseignement supérieur. Défi d’autant plus important que la faiblesse de la formation continue dans notre pays permet difficilement de rattraper les carences de la formation initiale. C’est sans doute près d’un milliard d’euros par an qui n’aboutit pas à un résultat de formation tangible. Quelle que soit la formule, l’offre d’apprentissage au sein de l’université doit se développer, se généraliser à l’ensemble des disciplines et se valoriser. A cet égard, il est regrettable qu’il existe rarement un service commun et pluridisciplinaire « apprentissage » au sein de l’organigramme des universités, ou alors il est regroupé avec la formation continue ce qui n’est pas le plus efficace.
De ce dernier point de vue, la réunion et la coordination de l’ensemble du supérieur court public au sein de « community colleges » à la française en étroite implication avec les universités semble à la mission une piste plus réaliste que la fusion lycée-premier cycle, souvent évoquée. Elle unifierait la plus grande part des formations courtes, répondraient aux besoins de proximité, aurait la professionnalisation comme caractéristique première avec y compris la formation continue.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/2/2f/Logo_mesr.gif A jelentés a valóságban egyetem befejezése azt mutatja, hogy majdnem minden ötödik diák (19%), ki a felsőoktatás nélkül diploma (vagy az átlag alatti az OECD országokban 30%). azt javasolja, különösen a pontosabb nyomon követésére az alacsony hallgatói, oktatói több részéről a tanárok és az egységek műszaki diplomával és a szakemberek. Letöltés Jelentés Demuynck.
Kivonat

A terepmunka középpontjában az istálló, míg az egyetem lemorzsolódás is fontos valóság a rövid tanfolyamok és szelektív (mintegy 28 000 fiatalt érintett).
A lemondás az egyetemi tanulmányok (46 000 résztvevő fiatalok) valóban az, amelyik leginkább hatással szintjén végleges kimaradás a felsőoktatás.
Az istálló végre egy gazdasági problémát cégünk sokat áldoz a képzési költségek, mint az ésszerű cél, hogy legalább egy, két francia fiatal korában válni végzős felsőoktatási intézményben. Challenge annál is inkább fontos, hogy a gyenge folyamatos képzési nálunk megnehezíti, hogy töltsük fel hiányosságokat az alapképzés
. Még több...
15 avril 2009

Le Masni : Master de Négociation Internationale de l’Université de Provence

Enfin, le Masni a une longue expérience d’accueil de stagiaires en formation continue et dans la pratique de la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Le volet formation continue et VAE a la certification ISO 9001-version 2008 et répond aux exigences du référentiel Qualité Région. Source.

Arabe فإن Masni : ماجستير في المفاوضات الدولية للl' Université دي بروفانس.  
Chinois 该Masni :万事达国际谈判大学普罗旺斯  
Coréen 이 Masni : 마스터 국제 협상의 프로방스 대학에서
Hindi इस Masni: मास्टर अंतर्राष्ट्रीय चर्चा का विश्वविद्यालय Provence में
Japonais のMasni :マスター国際交渉の大学プロヴァンスのではありません
Portugais (Brésil) O Masni: Mestre de Negociação Internacional da Universidade de Provence
Vietnamien Các Masni: Thạc sĩ Đàm phán Quốc tế tại Đại học Provence
6 février 2011

Observal: European Observatory of Validation of non-formal and informal activities

http://www.eucen.eu/2000site/projects/OBSERVAL/imgOBSERVAL/OBSERVALogo3.jpgExplore & find out what diversity on validation practices on non-formal and informal learning throughout the European member states exists. 
Final Report of Observal, January 24, 2011. 
The European Observatory on validation practices of non formal and informal learning in European countries is the key product of the OBSERVAL project which is funded by the Leonardo da Vinci programme and coordinated through EUCEN (European University Continuing Education Network).
Together with partner experts from 24 countries of the European Union representing the different educational sectors (higher education, vocational education and training, adult education) the project has produced and collected different materials and documents which are now available and accessible via the Observatory.
The Observatory addresses its resources to a large range of actors (decision makers at national and institutional level, social partners, human resources managers, people in charge of validation,…) facilitating materials which are usually confidential or limited in use and dissemination outside of the context where they have been produced. The presented diversity on the state of play, good practices and procedures concerning the validation of non-formal and informal learning throughout the European member states helps to deepen the understanding and allows comparison to an extent which wasn’t as easily possible before.
Doing so, the Observatory offers a platform for exchange, contributes to the ongoing and future debate in Europe on validation of non-formal and informal learning and shows new pathways for the realisation of an European Lifelong learning Area. For more information, please contact Oliver Janoschka at EUCEN: oliver.janoschka@eucen.org.
13 septembre 2013

La FC dans les rapports de l'AERES

AERESNous avons rassemblé ici l'ensemble des articles du blog consacrés à l'AERES, en particulier ce qui concerne la Formation Continue Universitaire. Nous renvoyons aussi à ce qui existe sur chaque établissement.
Nous signalons également si le site de l'Académie a une rubrique "Enseignement Supérieur", ce qui est le cas de seulement 7 d'entre elles.

L'AERES en général, de la Formation Continue en particulier

Voir les articles suivants du blog: Analyses régionales des évaluations 2007-2010, AERES 2010 – Analyses régionales des évaluations réalisées entre 2007 et 2010, Evaluation de la Formation Continue par l'AERES, La Formation Continue dans les Modalités d’évaluation de la vague B (2012-2015) de l'AERES, Evolution de l'évaluation de la Formation Continue par l'AERES, Objectifs stratégiques 2010-2014 de l'AERES, Démarche qualité de l'AERES, La formation continue dans le Rapport de synthèse de l'AERES, Rapport d'évaluation par l'AERES de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth – Liban, La Formation Continue dans les Modalités d’évaluation de la vague A (2011-2014) de l'AERES.

Rapport de l'AERES par Etablissement

Académie d'Aix-Marseille, Enseignement supérieur.
Université de Aix-Marseille 1 (Université de Provence) la FC à Provence.
Université de Aix-Marseille 2 (Université de la Méditerranée) la FC à Méditerranée.
Université de Aix-Marseille 3 (Université Paul Cézanne) la FC à Cézanne.
Université d' Avignon et des pays de Vaucluse la FC à Avignon.
Académie d'Amiens
Université d' Amiens (Université de Picardie - Jules Verne), la FC à Amiens.
Université de Technologie de Compiègne, la FC à l'UTC.
Académie des Antilles et de la Guyane
Université inter-régionale Antilles-Guyanne (Guadeloupe - Martinique - Guyane) la FC à l'UAG.
Académie de Besançon
Université de Technologie Belfort-Montbéliard, la FC à l'UTBM.
Université de Besançon (Franche Comté), la FC à Besançon.
Académie de Bordeaux, Enseignement supérieur.
Université de Bordeaux 1 (Sciences et Technologies)
Université de Bordeaux 2 (Université Victor Segalen)
Université de Bordeaux 3 (Université Michel de Montaigne : Lettres Sciences Humaines Sciences de la Terre)
Université de Bordeaux 4
Université de Pau et des Pays de l'Adour
Académie de Caen
Université de Caen Basse-Normandie, la FC à Caen.
Académie de Clermont-Ferrand
Université de Clermont-Ferrand 1 (Auvergne), la FC à Auvergne.
Université de Clermont-Ferrand 2 (Blaise Pascal), la FC à Pascal.
Académie de la Corse
Université de Corse, la FC en Corse.
Académie de Dijon
Université de Dijon (Universite de Bourgogne).
Académie de Grenoble
Université de Chambery (Savoie) la FC à l’Université de Savoie.
Université de Grenoble 1 (Joseph Fourier), la FC à Grenoble 1.
Universite de Grenoble 2 (Pierre Mendes France) la FC à l’Université Pierre Mendès France – Grenoble 2.
Université de Grenoble 3 (Stendhal) la FC à l’Université Stendhal – Grenoble 3.
Académie de Lille
Université d' Artois, la FC à Artois.
Université de Lille 1, la FC à Lille 1.
Université de Lille 2, la FC à Lille 2.
Université de Lille 3, la FC à Lille 3.
Université du Littoral, la FC à Littoral.
Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis la FC à Valenciennes.
Académie de Limoges

Université de Limoges, la FC à Limoges.
Académie de Lyon
Université de Lyon 1 (Claude Bernard) la FC à Lyon 1 (1), la FC à Lyon 1 (2).
Université de Lyon 2 (Lumière : Lettres, Arts, Sciences Humaines,Economiques & Sociales)
Université de Lyon 3 (Jean Moulin) la FC à Lyon 3.
Université de Saint-Etienne (Jean Monnet)
Académie de Montpellier, Enseignement supérieur.
Université de Montpellier 1, la FC à Montepellier 1.
Université de Montpellier 2
Université de Montpellier 3 (Paul Valery)
Université de Perpignan
Académie de Nancy-Metz, Enseignement supérieur.
Université de Metz, la FC à Metz.
Université de Nancy 1 (Henri Poincaré), la FC à Nancy 1.
Université de Nancy 2, la FC à Nancy 2.
Académie de Nantes
Université d' Angers, la FC à Angers.
Université du Mans (Maine), la FC à Maine.
Université de Nantes, la FC à Nantes.
Académie de Nice
Université de Nice Sophia-Antipolis, la FC à Nice.
Université de Toulon-Var, la FC à Toulon.
Académie d'Orléans-Tours
Université d'
Orléans, la FC à Orléans.
Université de Tours (Francois Rabelais), la FC à Tours.
Académie du Pacifique
Université de
Nouvelle Calédonie, la FC en Nouvelle-Calédonie.
Université de la Polynésie Française, la FC en Polynésie.
Académie de Paris, Enseignement supérieur.
Université de Paris 1 (Panthéon-Sorbonne) la FC à Paris 1.
Université de Paris 2 (Université Panthéon - Assas), la FC à Paris 2.
Université de Paris 3 (Sorbonne Nouvelle), la FC à Paris 3.
Université de Paris 4 (Paris Sorbonne)
Université de Paris 5 (Université Rene Descartes) la FC à Descartes 2, la FC à Descartes 1.
Université de Paris 6 (Université Pierre et Marie Curie), la FC à Paris 6.
Université de Paris 7 (Université Denis Diderot), la FC à Paris 7.
Université de Paris 9 (Université Dauphine), la FC Dauphine.
Inalco, la FC à l'Inalco.
EHESS, la FC à l'EHESS.
EPHE, la FC à l'EPHE.
Ecole nationale des chartes, la FC à l'ENC.
Académie de Créteil
Université de Marne La Vallée, la FC à Paris-Est Marne-la-Vallée.
Université de Paris 8 (Université de Vincennes - Saint-Denis), la FC à Paris 8.
Université de Paris 12 (Université Paris-Val de Marne), la FC à Paris 12.
Universite de Paris 13 (Université Paris-Nord), la FC à Paris 13.
Académie de Versailles, Enseignement supérieur.
Université de Cergy-Pontoise, la FC à Cergy.
Université d' Evry - Val d'Essonne la FC à Evry.
Université de Paris 10 (Université de Nanterre), la FC à Nanterre.
Université de Paris 11 (Université Paris Sud), la FC à Paris Sud.
Université de Versailles - Saint-Quentin, la FC à Versailles 2, la FC à Versailles 1.
Académie de Poitiers
Université de La Rochelle, la FC à La Rochelle.
Université de Poitiers, la FC à Poitiers.
Académie de Reims, Enseignement supérieur.
Université de Reims (Champagne-Ardenne), la FC à Reims.
Université de Technologie de Troyes, , la FC à l'UTT.
Académie de Rennes
Université de Brest (Universite de Bretagne Occidentale) la FC à l'UBO.
Université de Bretagne Sud la FC à l'UBS.
Université de Rennes 1 , la FC à Rennes 1.
Université de Rennes 2 - Haute Bretagne la FC à Rennes 2.
Académie de La Réunion
Université de La Réunion, la FC à La Réunion.
Académie de Rouen, Enseignement supérieur.
Université du Havre, la FC au Havre.
Université de Rouen, la FC à Rouen.
Académie de Strasbourg
Université de Haute Alsace - Mulhouse, la FC à Haute Alsace.
Université de Strasbourg 1 (Louis Pasteur), la FC à Pasteur.
Universite de Strasbourg 2 (Marc Bloch), la FC à Marc Bloch.
Université de Strasbourg 3 (Robert Schuman), la FC à Schuman.
Académie de Toulouse
Université de Toulouse 1 (Université des Sciences Sociales) la FC à Toulouse 1.
Université de Toulouse 2 (Université de Toulouse Le Mirail)
Université de Toulouse 3 (Université Paul Sabatier) la FC à Toulouse 3.
Centre universitaire de Formation et de Recherche Jean-Francois Champollion la FC à Champollion.

AERATED We have gathered here all the blog posts devoted to AERES, particularly as regards the University Continuing Education. We also refer to what exists on each establishment.
We also note if the Academy website has a section on "Higher Education", which is the case for only 7 of them.
AERES in general, particularly Continuing Education
See the following blog: Regional Analyses of assessments 2007-2010.
Report AERES by university
Aix-Marseille, Higher Education.
University of Aix-Marseille 1 (University of Provence) Provence to the CF.
University of Aix-Marseille 2 (Université de la Méditerranée) in the CF Mediterranean.
University of Aix-Marseille 3 (Université Paul Cézanne) FC to Cezanne.
University of Avignon and Pays de Vaucluse Avignon FC. More...

31 août 2013

A new publication on adult and continuing education by the European Commission

http://www.eaea.org/kuvat/EAEA-logo-2010.gifAdult and continuing education has the dual function of contributing to employability and economic growth, on the one hand, and responding to broader societal challenges, in particular promoting social cohesion, on the other.
Companies and families support important investments that have, to date, ensured important growth in both skills and the ability of the European population to innovate. Thanks to this commitment, Europe today has a wealth of organisations specialising in adult and continuing education. The sector has grown in importance, both as a increasingly significant player in the economy and in view of its capacity to respond to the demand for learning by the knowledge economy.
As the book Adult and continuing education in Europe: Using public policy to secure a growth in skills shows, adult and continuing education has a critical role to play in ensuring Europe copes with the phenomenon of education exclusion, which, repeated year after year, generation after generation, undermines social cohesion and the growth of employment. Public policies must respond to two strategic challenges: to encourage the propensity to invest in adult and continuing education and to guarantee the reduction of educational exclusion.
Download a free PDF copy of the book on the Commission's website.
Text via European Commission

31 août 2013

Les commissions d’équivalence de diplômes(CED)

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngLes commissions d’équivalence de diplôme (CED) placées auprès du CNFPT sont chargées d’instruire les demandes de personnes souhaitant s’inscrire à certains concours de la fonction publique territoriale sans posséder le diplôme requis. Les CED procèdent pour cela à une analyse comparative des diplômes et/ou de l’expérience des candidats par rapport au contenu du diplôme requis au concours. Elles ne raisonnent pas par métier.
Toute personne pouvant justifier de compétences en lien avec le diplôme requis à un concours peut saisir la commission (fonctionnaires, salariés, demandeurs d’emploi…), il suffit pour cela de remplir un dossier et de l’envoyer à la commission compétente par lettre recommandée avec avis de réception.
Les personnes reconnues travailleur handicapé souhaitant obtenir une possibilité d’intégration sans concours dans une collectivité et quel que soit le cadre d’emplois, peuvent aussi la saisir (voir le décret n°96-1087 et l’arrêté du 19 juin 2007 – article 1, alinéa 4).
La procédure est gratuite. Elle dure plusieurs semaines à partir du dépôt du dossier, aussi il ne faut pas attendre l’ouverture du concours pour la saisir. A l’issue de l’examen de la demande, le secrétariat de la CED envoie une décision par courrier au candidat, qui devra en transmettre une copie à l’organisateur du concours (ou à l’employeur pour les personnes reconnues travailleur handicapée).
Pour continuer ou voir la liste des concours concernés, cliquez ici.
Information importante : des évolutions réglementaires récentes ont modifié les diplômes requis pour l’accès à certains concours dans les filières animation, culturelle, sportive et enseignement artistique. Si vous avez obtenu une décision de la commission avant ces modifications, lisez attentivement le tableau de correspondance des décisions ci-dessous, avant toute démarche d’inscription au concours.
correspondance_decisions

30 août 2013

RERS 2013 - L'évolution des diplômes universitaires

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Ce chapitre porte sur l’évaluation des compétences au sortir de l’école ou du collège, ainsi que sur la réussite aux diplômes de l’enseignement secondaire et supérieur. Il traite de la situation des sortants du système éducatif et de leurs perspectives d’insertion professionnelle. Cette édition s'enrichit de nouvelles pages sur l'évaluation des compétences et des acquis des élèves en compréhension de l’écrit en CM1 et en histoire géographie, en fin d’école et en fin de collège. Résultats, diplômes, insertion. Les diplômes universitaires : évolution.
Les diplômes universitaires : évolution
Présentation
Depuis 2006, toutes les universités de France métropolitaine et des DOM délivrent des diplômes LMD (licences LMD et masters LMD). Les diplômes de l’ancien système ont disparu : les licences, DEA et DESS ne sont plus délivrés depuis 2009.
En 2011, le nombre de licences LMD délivrées augmente de 2 %, soit 164 400 licences dont 119 000 licences générales et 45 400 licences professionnelles. Le nombre de licences générales est en hausse après quatre années de baisse successive (+ 1,7 % par rapport au nombre de licences délivrées en 2010, qui était inférieur au nombre de licences de 2009 de 3,5 %).
Depuis leur création en 2000-2001, le nombre de licences professionnelles délivrées n’a cessé d’augmenter, passant de 3 600 à la session 2001 à 45 400 à la session 2011, soit une augmentation de plus de 32 % en moyenne annuelle. Le rythme d’accroissement ralentit nettement (+ 2,6 % à la session 2011 par rapport à la session précédente, + 9,2 % entre les sessions 2009 et 2010).
Le nombre total de masters délivrés (124 600) est en hausse de 20,3 %. Parmi ceux-ci, ce sont les masters indifférenciés qui augmentent le plus : + 63,5 % par rapport à 2010. Les masters recherche et masters professionnels se sont considérablement développés depuis 2004. Ils recommencent à augmenter après deux années de baisse : 19 600 masters recherche et 64 900 masters professionnels ont été délivrés en 2011, soit respectivement + 7,9 % et + 3,5 % (après une baisse respective de 4,2 % et 8,5 % en 2010). L’augmentation des diplômes de masters délivrés est en partie due à la réforme des concours d’enseignement, qui nécessitent désormais l’obtention préalable d’un master. Les masters préparant spécifiquement aux métiers de l’enseignement représentent ainsi 14 % de l’ensemble des masters délivrés en 2011, soit près de 18 000 diplômes.
Le nombre de doctorats augmente plus qu’en 2010, avec 3,9 % de diplômés en plus. Cette augmentation concerne principalement les doctorats de science (+ 5,1 %). Le nombre de thèses soutenues en médecine et pharmacie a augmenté en 2011 après une diminution à la session 2010.
Définitions
Champ
Sont pris en compte l’ensemble des diplômes délivrés dans les 78 universités publiques et le centre universitaire de formation et de recherche (CUFR) d’Albi.
Diplômes LMD
Les diplômes LMD (licence, master doctorat) correspondent aux normes européennes de l’enseignement supérieur Depuis 2005-2006, tous les établissements délivrent des diplômes LMD. En 2004-2005, seulement 72 d’entre eux en avaient délivrés. Les évolutions entre 2004-2005 et 2005-2006 sont donc difficilement interprétables. Les licences LMD se composent des licences générales et des licences professionnelles.
Diplômes intermédiaires (Deug et maîtrises intermédiaires)
Les étudiants inscrits en licence LMD validant les deux premières années obtiennent un Deug intermédiaire (75 800 en 2010, 80 500 en 2011). Les étudiants inscrits en première année de master LMD validant leur première année obtiennent une maîtrise intermédiaire (93 500 en 2010 et 99 800 en 2011).
HDR
Habilitation à diriger des recherches.
Télécharger Résultats, diplômes, insertion. Les diplômes universitaires : évolution.

6 décembre 2010

AERES: la FC au Centre universitaire de formation et de recherche Jean-François Champollion

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2010. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une partie spécifique Formation Continue:
VI – Un développement rapide de la formation continue

Le service de formation continue a été créé en 2004 et a commencé avec 9 stagiaires inscrits. Aujourd’hui, il y en a 364. La majorité de ceux ci (191) est inscrite au centre de criminologie et sciences humaines de Midi-Pyrénées, dont les responsables sont des MCF de l’Université de Toulouse le Mirail, ce qui traduit la porosité des structures au niveau des personnels. 60 autres sont inscrits dans les différentes LP, où ils représentent plus de 20 % des effectifs.
54 sont inscrits dans les masters et dans certains d’entre eux, ils représentent la quasi totalité des inscrits. Ce développement de la FC s’apparente ainsi davantage à l’activité d’individualités qu’à une véritable stratégie d’établissement, et devrait donc être plus transparent. La FC est une activité rentable pour le CUFR puisque 400 000 € ont été reversés pour l’ensemble des quatre dernières années au CUFR. Le service gère également la formation continue des personnels du CUFR. Un petit nombre de dossiers de VAE a été examiné, mais les chiffres diffèrent selon les services. (p.17)
III – La gestion des ressources humaines
Au travers d’un plan de formation, le service organise notamment la préparation au concours administratifs, ce qui paraît naturel dans un établissement qui compte de nombreux contractuels. Toutefois, si le service des ressources humaines définit, avec les agents, les besoins de formation, c’est le service de la formation continue qui exécute le plan de formation. On peut s’interroger sur le bien fondé de cette distinction. (p.27)
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Aquest informe és novembre de 2010. A la part de formació d'estratègia, hi ha alguns específics d'Educació Contínua:
VI - Un ràpid desenvolupament de l'educació permanent

Servei de formació es va crear el 2004 i va començar amb 9 alumnes matriculats.
Avui dia, hi ha 364. La majoria d'ells (191) posat al centre de Criminologia i Ciències Humanes, Migdia-Pirineus, els líders són FCM de la Universitat de Tolosa li Mirail, el que reflecteix el nivell de porositat de les estructures de personal. 60 més es troben en diferents LP, on representen més del 20% de la població activa. Més informació...
1 juillet 2015

Handipacte PACA, de quoi s'agit-il ?

Handipacte Fonctions publiques PACAUne action collective concertée des trois fonctions publiques en PACA pour l’emploi et le maintien dans l’emploi des personnes handicapées
Pour accroitre son soutien aux employeurs des trois fonctions publiques, le Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique (FIPHFP) a décidé de doter, pour une durée de trois ans (2014-2016), chaque région d’un outil d’animation et de développement des partenariats régionaux au service d’une politique publique pour l’insertion professionnelle et le maintien dans l’emploi des personnes handicapées.
Un comité de pilotage de ce dispositif comprenant un représentant du Directeur du FIPHFP, un représentant du Directeur régional de la DIRECCTE ainsi que le Directeur et le conseiller action sociale et environnement professionnel de la plate-forme régionale d’appui interministériel à la gestion des ressources humaines, placée auprès du SGAR, est présidé par le Préfet de région.

28 août 2013

Plan de formation et préparation aux concours fonction publique territoriale

http://www.inffolor.org/portail/public/sites/all/themes/acquia_marina/images/frontoffice/logo_inffolor.gifDocument permettant aux collectivités territoriales de planifier les actions de formations et de préparations aux concours pour leur personnel.
OBJECTIF(S)
Permettre aux agents de suivre différentes actions de formation liées, soit à des dispositions spécifiques du statut de la fonction publique territoriale, soit à des besoins de la collectivité territoriale.
PUBLICS VISÉS

  • Agent titulaire et agent non titulaire.
ADMINISTRATIONS CONCERNÉES
  • Les collectivités territoriales (commune, département, région) ainsi que leurs établissements publics administratifs tels: office public d'aménagement et de construction (OPAC), office public d'habitation à loyer modéré (OPHLM), établissements de coopération intercommunale, centre communal d'action sociale (CCAS), caisses du crédit municipal.
CONDITIONS
  • Aucune condition d'ancienneté n'est exigée.
    En cas de préparation à un concours, certaines conditions liées à l'inscription (âge, diplôme) doivent être respectées.
FORMATION
Il existe 2 catégories d'action de formation.
  • La formation préalable avant titularisation sur le poste (cette titularisation est subordonnée au suivi d'une formation initiale obligatoire après la réussite à un concours administratif).
  • La formation en cours de carrièrequi comprend :
    • la préparation à l'accès à un nouveau grade, corps, ou emploi.
      Cela correspond à des préparations à des concours ou des examens professionnels. Ces actions peuvent prendre la forme de cours par correspondance, de cours donnés hors temps de travail, ou sur le temps de travail. Dans ce dernier cas, l'autorité territoriale peut accorder des décharges partielles de services,
    • les actions de perfectionnement afin de maintenir, ou parfaire la qualification professionnelle des agents et les formations d'adaptation afin d'assurer l'adaptation aux évolutions des techniques ou des structures administratives.
Souvent, c'est le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) qui intervient pour la mise en œuvre de ces formations (catalogue des formations).
PROCÉDURE/DÉMARCHES
  • Chaque année, la collectivité ou l'établissement élabore un plan de formation en fonction de besoins de formation correspondant à des objectifs à moyen terme.
    Ce plan est soumis à l'avis du comité technique paritaire.
    A la demande du supérieur hiérarchique, des agents peuvent être tenus de suivre une formation.
    Pour bénéficier d'une formation en cours de carrière (préparation aux concours ou formation d'adaptation), l'agent doit faire une demande de formation à son supérieur hiérarchique.
    Cette demande pourra être refusée :
    • pour raison de service (l'administration ne peut opposer plus de 3 refus successifs qu'après avis de la commission administrative paritaire),
    • pour non respect d'un délai de franchise entre 2 actions de formation (12 mois si la formation précédente a été supérieure à 8 jours, 6 mois si la formation précédente était inférieure à 8 jours).
Nota bene :
le délai de franchise n'est pas appliqué si la formation n'a pu être menée à son terme en raison des nécessités de service.
STATUT
  • L'agent est maintenu en position d'activité. Le temps passé en formation est considéré comme du service effectif (prise en compte pour l'ancienneté).
RÉMUNÉRATION
  • Maintien du traitement.
PROTECTION SOCIALE
  • Maintenue.
PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE FORMATION
  • Soit par la collectivité ou l'établissement dont dépend l'agent, soit par le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT). Des indemnités de déplacement, et des indemnités de mission (repas, nuitée) sont prévues si le stage se déroule hors de la résidence administrative.
ARTICULATION AVEC D'AUTRES MESURES
  • Un délai de 12 mois doit être respecté entre une formation en cours de carrière et l'accès à un congé de formation professionnelle (CFP agents non titulaires des collectivités territoriales et CFP agents titulaires des collectivités territoriales).
  • Aucune incidence sur les autres congés : formation syndicale, formation cadre et animateur pour la jeunesse.
  • Procédure de validation des acquis.
À L'ISSUE DE LA MESURE
  • Lorsque l'agent a suivi une formation pour être titularisé, il peut être tenu de respecter, dans certains cas, une obligation de servir l'administration (durée variable).
ORGANISMES RESSOURCES
  • Service des ressources humaines de la collectivité territoriale.
  • CNFPT pour une présentation du programme de formation.
  • Représentants du personnel.
ORGANISME(S) FINANCEUR(S)
  • Collectivités territoriales
27 août 2013

L'égalité femmes-hommes dans les territoires

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Vincent Feltesse, député de la Gironde, a remis le 2 juillet 2013 à Najat Vallaud-Belkacem, un rapport sur l’« Egalité femmes-hommes dans les territoires ». Il propose un état des lieux des bonnes pratiques dans les collectivités locales et fait des recommandations pour les généraliser.
Parmi ses 20 propositions, Vincent Feltesse propose notamment d’ajouter explicitement l’objectif d’égalité Femmes-Hommes dans le code des marchés publics. Il préconise l’introduction dans le cahier des charges des appels d’offres d’une clause incitant au respect du principe d’égalité, figurant dans le dossier de consultation des entreprises souhaitant soumissionner...
Consulter le rapport Feltesse (juillet 2013, 154 p.)
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5 avril 2009

La FCU (Formation Continue Universitaire) et l'AERES (Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur) 2

Rapport de synthèse des évaluations des universités de la vague B
La formation continue

Les activités de formation initiale et de formation continue demeurent largement disjointes. Seul un nombre très restreint d’universités affichent une politique de Formation Continue correctement définie. Quant à la perception des enjeux liés à la mise en place du processus de formation tout au long de la vie, elle se révèle largement inexistante dans les établissements.

Bien que ce passage soit bref, il mérite de se pencher sur les éléments qui ont amené sa rédaction par les experts de l'Aeres. Voici établissement par établissement ce qui concerne la Formation Continue Universitaire :
La FCU dans les rapports d'évaluation des établissements de la vague B. Suite de l'article 1.
Partie 2 : Académies de Nancy-Metz, Nouvelle-Calédonie, Orléans-Tours, Paris, Polynésie, Poitiers, Reims.
Here for each individual establishment regard to continuing education: The FCU in the evaluation reports of the institutions of the wave B. Continuation of
the article 1
. More...

Académie de Nancy-Metz :
- L’université de Metz :
III – La formation continue
La Formation continue (FC) semble recéler un vrai potentiel, encore mal exploité (436 inscrits, pour 2/3 demandeurs d’emploi, pour 1/3 salariés). Elle souffre de la concurrence d’un important secteur de FC à Nancy qui regroupe les trois universités nancéennes et 70 agents pour un chiffre d’affaires total de 6 M€ ; l’équipe messine, à l’inverse, se limite à 3 agents et semble avoir des difficultés à motiver les enseignants. Il serait souhaitable que l’UPV-M soutienne le catalogue commun de formations courtes qu’envisagent de réaliser aussi bien la structure nancéenne que le responsable messin. Il faudra veiller à ce que le dynamisme bien réel de ce responsable ne soit pas entravé par une logique encore largement facultaire et par des rivalités entre composantes. Il est regrettable, à cet égard, que 60% des cahiers des charges restent sans suite, faute de réponse, alors qu’ils sont dans les capacités de l’établissement. La désignation d’une chargée de mission à l’UFR SciFA devrait permettre de pleinement révéler le potentiel de FC dans le domaine scientifique. Il faudra par ailleurs impérativement que l’université se dote d’un outil informatique pour sa gestion et que soit créé un budget annexe. Par ailleurs, la Validation des acquis de l’expérience (VAE) reste encore marginale (70 dossiers déposés en 2007, 56 avis pédagogiques rendus, 16 jurys et 10 validations totales) page 22.
III – Recommandations: Faire en sorte que la formation continue devienne un souci partagé à Metz, tout en oeuvrant de concert avec Nancy (page 30).
- L’université Henri Poincaré - Nancy I :
V – La formation continue
L’UHP a, avec le CUCES, une image régionale forte, notamment dans les métiers industriels, et reçoit l’appui financier de la région. Des modules adaptés à l’enseignement à distance ont été mis en place, accompagnés d’un tutorat, dont certains débouchent sur des diplômes universitaires, et ce avec l’appui financier de la Région. Une des contraintes pesant sur le développement de ce secteur de formation est la disponibilité des enseignants-chercheurs ou leur volonté d’investir dans ce type d’activités.
La validation des acquis professionnels fonctionne : un jury unique statue sur la recevabilité des dossiers (une centaine par an) et la définition des compléments éventuels de formation à acquérir. Les demandes sont centrées sur un petit nombre de domaines, mais on constate un nombre important d’abandons en cours de processus de validation. Le service de formation continue est tourné vers la mise en place d’un regroupement au sein de “Nancy- Université FC” des personnels des trois universités nancéennes. Ce service aurait en charge la communication, le conseil en ingénierie pédagogique en liaison avec les enseignants-chercheurs, et serait opérateur de stages courts (page 18).
- L’université Nancy 2 :
V – La formation continue et VAE
On notera que la formation continue propose également des formations à distance : c’est le cas pour le master 2 de l’IAE. Le projet de centralisation de tous les services de Formation continue sur l’ensemble de Nancy Université est en route. Dans les faits, l’objectif n’est pas de centraliser complètement le service, mais plutôt d’offrir un support aux activités de FC, qui se feront au niveau des composantes. Cela devrait permettre aux composantes qui avaient leur propre service de formation continue (l’IAE ou l’IUT par exemple) de ne pas subir une centralisation qu’elles ne souhaitent pas. Un effort de développement commercial a été consenti : deux personnes (deux contractuels) ont pour tâche de visiter les entreprises.
Si les chiffres de la VAE sont perfectibles, sur l’ensemble de Nancy Université, ils peuvent être considérés comme tout à fait honorables : sur 39 VAE totales accordées à l’échelle de Nancy Université, 14 sont le fait de Nancy 2. En fait, il apparaît qu’un nombre relativement réduit de candidats dépose un dossier (sur 249 demandes d’information, seuls 106 dossiers sont pré-déposés pour avis pédagogiques). Des actions doivent cependant être poursuivies pour améliorer les délais de traitement des dossiers et surmonter les résistances des composantes. La prise de conscience d’une amélioration possible de la performance dans ce domaine existe puisqu’une personne est chargée de mission à la VAE (page 14).
- L’institut national polytechnique de Lorraine :
IV – La formation continue
Les trois universités ont mutualisé leurs moyens pour l’organisation de leurs activités de formation continue au niveau de Nancy-Université : stages courts, formations diplômantes, formations à distance, filière Fontanet, VAE, bilans des compétences, etc. Cette réorganisation semble avoir été bénéfique. Elle a conduit à une augmentation récente des activités de formation continue et semble avoir renversé l’évolution négative qui avait été constatée à l’INPL de 2004 à 2006. L’organisation même des formations reste évidemment au niveau des UFR et des écoles où se trouve la compétence académique (page 13).
- L’école nationale d’ingénieurs de Metz :
Les ressources propres de l’école, provenant en particulier des PFE (près de 2,4 M€, dont un bénéfice pour l’opération de 859 691 € en 2006), de la taxe d’apprentissage (371 778 € en 2006) et de la formation continue permettent de disposer d’un budget confortable qui a rendu possible ces dernières années des investissements réguliers (acquisition de machines outils, équipements informatiques, matériel de visioconférence, etc.) page 9.
La formation d’ingénieur ENIM par alternance associe l’ENIM, l’Université Paul Verlaine et l’Institut des techniques d’ingénieur de l’industrie (ITII) de Lorraine. Plus attractive (élèves salariés, formation en entreprise), elle recrute de fait les meilleurs DUT et BTS. L’effectif est de 28 apprentis par an auxquels il faut ajouter 5-6 élèves en formation continue qualifiante (formation en 2 ans) page 14.
Académie de la Nouvelle Calédonie :
- L’université de la Nouvelle Calédonie :
Il existe également un département de formation continue qui offre différents programmes: le DAEU A et B, la Capacité en Droit, le DEUG Enseignement Premier Degré, et le Master mention Développement Territorial et Aménagement du Territoire, ainsi qu’une palette assez large de DU (Analyses Chimiques, …). Ce département semble fonctionner de manière satisfaisante, toutefois n’ayant pas la personnalité de service commun au sens du décret de 1985, toutes les possibilités de valorisation de ses activités peuvent ne pas être pleinement exploitées. Une réflexion dans ce domaine est engagée et la rénovation des statuts du service semble être à l’étude.

Académie d’Orléans-Tours :
- L’université François Rabelais - Tours :
V – Une politique de formation continue en cours de redéfinition
Un administrateur provisoire du SUFCO a été nommé en octobre 2006 pour réorganiser le service, isolé et en perte de vitesse. Un comité de pilotage a été constitué et le projet doit être présenté prochainement devant les instances de l’établissement. La désignation d’un correspondant pour la formation continue dans chaque UFR permettra d’établir une collaboration étroite avec les composantes. L’objectif principal est d’intégrer davantage la formation continue dans les dispositifs de formation initiale, sachant qu’il s’agit pour l’université d’une activité encore assez marginale : 1 700 stagiaires en 2005-2006, un peu plus de 40 % d’entre eux intégrant un diplôme de formation initiale. L’université examine un système de "modularisation" autour de choix d’UE spécifiques qui permettrait de proposer une offre de formation diplômante dans le cadre du dispositif Droit individuel de formation sur la base de modules de 20h.
Un travail en réseau doit être organisé pour permettre l’identification des demandes en formation continue des différents partenaires (collectivités, administrations, associations et entreprises) et pour élaborer les actions permettant d’y répondre. Un plan d’action est ainsi à définir et l’université devra se donner les moyens d’en assurer la réalisation en précisant quels objectifs précis elle souhaite atteindre.
Les éléments recueillis concernant la Validation des acquis de l’expérience (VAE) sont très partiels : l’université dénombre 500 demandes d’information, 280 dossiers reçus, mais ne connaît ni le nombre ni la nature de la validation de ceux qui ont abouti. Elle apparaît très préoccupée par l’application des règlements relatifs aux jurys VAE pour éviter tout contentieux. Cette position ne peut tenir lieu d’une politique qui devrait être précisée dans le cadre plus large du PUCVL, tout comme celle de l’apprentissage.
- L’université d’Orléans :
V – La formation continue
La gestion de la formation continue et de la formation par apprentissage est confiée au Service de formation continue et d’apprentissage de l’Université d’Orléans (SEFCO). Le service central d’Orléans, placé sous la direction d’un enseignant-chercheur nommé par le président coordonne toutes les actions à Orléans, Chartres et Châteauroux ; une antenne sur le site de Bourges assure la coordination des actions à Bourges et Issoudun.
Les Universités d’Orléans et de Tours ont créé avec le soutien de la région Centre-Val de Loire un Centre de formation d’apprentis interuniversitaire de la région Centre-Val de Loire (CFAIURC) qui compte 256 apprentis en 2006-2007. Le SEFCO met à la disposition du public relevant de la formation continue un centre de ressources d’information et de conseil (bilan de compétences, préparation de dossiers VAE, outils d’aide à la recherche d’emploi…). Composé d’environ quinze personnes, le SEFCO est un service qui s’autofinance. Il assure des services de qualité dans l’ensemble de l’université (page 11).

Académie de Paris :
- L’université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’université Panthéon-Assas - Paris 2 :
II – La formation continue et les relations avec les professionnels : un secteur performant
Si le poids des licences professionnelles est très faible par rapport aux licences générales, l’université n’en affiche pas moins depuis quelques années sa volonté de développer des formations diplômantes autres qu’en formation initiale et de renforcer ses relations avec les professionnels.
Le Centre de formation permanente (CFP) compte 11 personnes, dont 10 sont rémunérées sur ses fonds propres. Le chiffre d’affaires, en progression régulière depuis cinq ans, s’est élevé à 1,6 M€ en 2007 pour 1 100 stagiaires. Il place Paris 2 parmi les établissements performants dans ce secteur. Un professeur en sciences de gestion dirige judicieusement le service, privilégiant le développement des formations diplômantes. L’université s’efforce dans la mesure du possible de confier au même responsable les masters professionnels en formation initiale et en formation continue. Les formations en FC, qui ne sont ouvertes que si le public est suffisamment nombreux, visent à s’adapter aux besoins des stagiaires et sont organisées selon des modalités différentes de celles des formations en FI. Depuis 2004, le service assure également la gestion de la VAP et de la VAE dans une optique d’harmonisation des actions. Il déploie par ailleurs des efforts particuliers dans le domaine de l’apprentissage, qui apparaît comme un point fort de l’université, en particulier au niveau M2.
Les points à renforcer se situent à quatre niveaux : harmoniser l’offre entre le CFP et l’IPAG, qui propose quant à lui des formations dans le secteur administratif ; convaincre les enseignants que la formation permanente est un objectif central et légitime, qui justifie leur investissement dans la durée ; récompenser financièrement leur engagement dans ce cadre plutôt qu’à l’extérieur de l’établissement ; faire reconnaître l’investissement en formation permanente comme un élément des dossiers universitaires dans le cadre des demandes d’avancement.
Le positionnement de l’université dans ce domaine renvoie à la nature des relations qu’elle entretient avec les professionnels, en premier lieu avec les professions juridiques, aussi bien en formation permanente qu’en formation initiale.
Le projet, actuellement à l’étude, de fondation partenariale est une première traduction pratique et originale de mise en cohérence des actions menées par l’université avec les professions. Paris 2, on l’a dit, jouit d’une image très favorable au sein des professions juridiques : d’où la présence très massive de professionnels dans les formations (près d’un millier au total), surtout au niveau M2, et l’insertion aisée des diplômés, parfois à l’issue même de leur stage de fin de cursus. Les projets de MBA en droit et management et de création d’un institut de régulation financière sont emblématiques de ce positionnement.
L’université poursuit comme objectif de passer d’une approche sectorisée de ces relations, pour lors articulées autour du responsable de M2, à une approche globale portée par l’université elle-même (page 17-18).
- L’université de la Sorbonne nouvelle - Paris III : aucune mention de la formation continue.
- L’université Paris Descartes, Paris 5 : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’université Pierre et Marie Curie - Paris VI :
L’offre de formation recouvre : - des formations continues.
II – La politique de l’UPMC : – implication forte de l’université en formation continue (page 15).
La formation médicale continue a été conçue comme un véritable 4ème cycle. Plus de 3 000 médecins y ont été inscrits en 2007-2008 (page 16).
- L’université Paris 7 - Denis Diderot :
V – Formation des maîtres : Dans ce contexte, le travail de l’Institut de recherche sur l’enseignement des mathématiques (IREM) mérite une mention particulière pour ses efforts dans le développement de nouvelles approches pédagogiques et didactiques en Mathématiques et leur diffusion parmi les enseignants du terrain. Vu les difficultés croissantes dans l’enseignement des Mathématiques dans les écoles, il s’agit ici d’une formation continue, voire d’une formation tout au long de la vie particulièrement importante.
VI – Formation continue et parcours de formation professionnelle
L’université dispose d’un service commun (SCDFCP), qui est, comme les autres services communs, rattaché à la présidence. Assuré par une équipe de 8 IATOS sous la direction d’une enseignante-chercheur vice-présidente, il est en charge, en articulation avec les UFR, de la Formation continue (FC) et des parcours de formations qui s’adressent à un public varié. Les UFR sont responsables de la pédagogie (programme, validation de la formation, ressources pédagogiques...) et de l’administration des actions de formation continue (inscription et accueil des stagiaires, mise à disposition de documentation pédagogique, attestation de présence, facturation…). Par rapport aux UFR, le SCDFCP a un rôle d’incitation et de soutien. Il informe les UFR sur le dispositif apprentissage, il aide à la présentation des projets de licences professionnelles en vue de l’habilitation ministérielle, à l’évaluation des coûts des formations, à la préparation pour la région des dossiers d’habilitation des nouvelles formations ouvertes en apprentissage. Il participe aux négociations et aux relations avec les établissements partenaires, les CFA (Centre de formation d’apprentis), et les entreprises pour les contrats d’apprentissage. L’activité de FC a concerné entre 3 970 et 4 616 stagiaires par an (2005-2007), soit 730 000 à 851 118 heures stagiaires, avec des recettes de 2,6 à 2,8 M€, avec une implication inégale des différentes UFR.
La VAE est pratiquée depuis 2002, avec 11 diplômes totaux et 9 diplômes partiels attribués depuis 2007 sur un nombre total de demandes de 128. Ce score est très modeste, et s’explique peut-être en partie par une réticence du corps des enseignants vis-à-vis de ce type de qualification. L’établissement devrait faire un travail de communication et de sensibilisation sur ce thème.
On observe une très bonne activité du service dans la création de nouvelles formations : depuis 2006, 28 nouveaux DU/DIU ont été créés, dont 24 en 2007/2008. À ceux-ci s’ajoutent 4 Licences professionnelles (LP) et trois spécialités de masters en apprentissage créés entre 2005 et 2007, ainsi que d’autres formations qualifiantes et unités d’enseignement. En tout, l’établissement dispose de 5 LP et 10 Masters professionnels avec un total de 180 apprentis.
Le service s’implique également dans des activités culturelles par la participation à des universités européennes, à des programmes européens et autres, notamment la création de l’Institut Confucius en partenariat avec l’Université de Wuhan avec pour but la diffusion de la langue et de la culture chinoise en France.
Il se dégage des documents écrits et des entretiens sur place, l’image d’un service dynamique, qui avec créativité et avec un succès dont témoignent les chiffres avancés s’acquitte de ses missions. Ceci est remarquable dans un environnement sans tradition particulière dans ce domaine d’activité. Ceci dit, les acteurs sont conscients qu’il existe des marges de progrès quantitatives et qualitatives. Ils proposent un éventail de projets de développement et d’actions à mener dans le cadre du prochain quadriennal, dont deux thèmes centraux sont la formation tout au long de la vie et les formations professionnelles en alternance.
Sont notamment proposées les actions/projets suivants : - faciliter l’accueil ; - individualiser les parcours : modularisation des enseignements ; mise en oeuvre de tous les dispositifs législatifs : CIF, DIF, contrats et périodes de professionnalisation… ; - développement de la VAE.
Pour bien mener ces actions, le service se propose de mettre en place un comité de pilotage qui sera une “Instance de réflexion et de propositions pour le développement de l’offre de formations professionalisantes et en apprentissage”, ainsi qu’un certain nombre d’actions très concrètes pour améliorer la performance de l’université dans ce domaine d’activité.
Le service apparaît dans ses actions et ses projets, cohérent avec la politique d’ouverture et de rapprochement avec le monde socio-économique affichée par l’établissement. Il y a un grand éventail de propositions, toutes pertinentes, mais peu d’informations sur les moyens que l’université est prête à investir dans ce domaine et sur leur hiérarchisation (pages 21-22).
- L’université Paris-Dauphine :
Autre originalité de l’université, l’important secteur de formation continue et d’éducation permanente. Régulièrement, 15% des étudiants inscrits relèvent de la formation continue et ce pourcentage dépasse sans surprise 90% pour les formations diplômantes hors LMD. Les informations disponibles dans le bilan du contrat 2005-2008 ne permettent cependant pas de mettre en lumière une envolée significative du nombre des inscrits en formation continue, tant les mouvements de court terme sont contrastés : augmentation en valeurs absolue et relative pour les niveaux L et M (formation continue diplômante) et recul pour les formations hors LMD. La seule progression marquante concerne le nombre et la part des diplômés en master relevant d’un régime de formation continue, mais la période renseignée est trop brève (deux années) pour pouvoir en tirer des conclusions solides. Dans un registre voisin, on notera le développement de l’apprentissage en formation initiale et celui de la validation des acquis. Ces deux évolutions sont en phase avec la dominante “professionnalisante” qui colore nettement l’offre de formation de l’université, notamment au niveau M (page 10).
III – Conclusion : Beaucoup reste à faire pour que la stratégie d’internationalisation de Dauphine se réalise : selon son président, l’université accuse dans ce domaine un retard de dix ans. Parmi les efforts récents, on retiendra l’augmentation du nombre d’heures de cours en anglais et le développement des MBA offerts en formation continue, aujourd’hui au nombre de douze, et dont l’un est proposé en partenariat avec l’IAE de l’Université Paris 1 (MBA Management des ressources humaines ; Executive MBA Dauphine UQAM ; MBA Gouvernance et contrôle ; MBA International Paris. Il existe 9 déclinaisons de ce dernier master, organisé en partenariat avec l’IAE Panthéon-Sorbonne : Algérie, Égypte, Liban, Maroc, Océan indien, Pologne, Sénégal, Syrie et Tunisie.) page 19.
I – Les points forts : la formation continue et l’apprentissage (page 27).
- Le muséum national d’histoire naturelle :
Dans le projet 2009-2012, plusieurs priorités visent à améliorer l’offre de formation : création d’un service de formation continue (page 17).
- Le Collège de France : aucune mention de la formation continue.
- L’école nationale supérieure de Chimie de Paris :
Il est dommage que ce contexte très favorable ne se traduise ni par une politique active de création d’entreprises, ni par la mise en place d’un programme de formation continue (page 13).
L’établissement de ces liens forts a, dans le passé, dédouané l’école d’aller à la rencontre des industriels, avec comme conséquence une faible activité en formation continue et, jusqu’il y a peu de temps, la gestion de la base de données des stages industriels par le BDE plutôt que par une cellule spécialisée (mise en place de la cellule APRES en avril 2008). La formation continue, qui devait être consolidée, durant le dernier contrat quadriennal, ne l’a pas été (24 k€, contre 44 k€ auparavant). Ce point fait l’objet d’une réflexion au sein de ParisTech avec, en perspective, la mutualisation d’une offre de la part des 10 établissements membres du PRES (page 19).
II – Les points faibles: l’offre de formation continue quasi inexistante (page 27).
- L’École nationale supérieure des mines de Paris - ENSMP : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’école supérieure de physique et chimie industrielles - ESPCI : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’institut de Physique du globe de Paris : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’école nationale supérieure de techniques avancées : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’institut d’études politiques de Paris :
III – La formation continue
La place réservée par l’établissement à la Direction de la Formation Continue (DFC), qui dispose d’un service également bien doté en locaux, en personnel et en matériel (brochure, catalogues, site web) témoigne de l’importance accordée par l’IEP à la formation tout au long de la vie. Le service se trouve actuellement dans une phase de restructuration et d’expansion. L’offre de formation jouit d’une réelle attractivité en raison de la renommée de l’établissement, ce qui permet à la DFC d’envisager des perspectives de croissance satisfaisantes à moyen terme (le taux de marge net attendu pour 2008 est de 5 %, contre 4% en 2007 pour un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros).
La formation dispensée par la DFC est constituée de 8 “Executive masters” : management des médias, gestion publique, finance d’entreprise et marchés de capitaux, sociologie de l’entreprise et stratégie de changement, sociologie de l’association et action dirigeante, gestion et politique de santé, politiques gérontologiques et gestion des EHPAD (Etablissements Hébergeant des Personnes Agées Dépendantes), gestion et politique du handicap. Il s’agit de formations diplômantes (diplôme d’établissement “Sciences Po formation continue”) adaptées aux contingences du monde professionnel, mais qui font l’objet d’un suivi rigoureux (assiduité obligatoire, validation de travaux en cours de cycle, rédaction d’un mémoire et soutenance orale devant jury). Outre ces “Executive masters”, la DFC propose des formations sur catalogue, (programmes courts organisés autour de thématiques : enjeux et société, communication et expression, management et relations sociales, finance et gestion, droit et contentieux), des “cycles d’actualité” (actualité du droit du travail de la protection sociale, de la politique familiale, etc.), ainsi que des séminaires sur mesure répondant à un besoin spécifique des entreprises, des collectivités locales, des administrations, etc.
On peut déplorer que la FC soit actuellement toujours excentrée par rapport au reste de la formation de l’IEP.
L’articulation avec la formation aux niveaux M et D est faible, et le recours aux anciens élèves pour la constitution des équipes de formateurs est insuffisant. Un recentrage de la DFC au sein de l’établissement permettrait d’accroître encore davantage la visibilité des actions de l’IEP en faveur du rapprochement entre la formation universitaire de pointe et le monde professionnel.
- L’école normale supérieure - ENS : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- AgroParisTech - Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.

Académie de Versailles :
- L’université Paris X - Nanterre :
Le pôle “Métiers du livre”, localisé dans les anciens bâtiments de l’ENS à Saint-Cloud, implique quatre composantes et couvre les compétences des trois métiers du livre : édition, librairie, bibliothèque. L’IUT de Ville-d’Avray y contribue au travers de son département “info-com” avec un DUT “Métiers du livre”, l’UFR SITEC avec une licence professionnelle “Métiers de l’édition et ressources documentaires”, l’UFR LLPHI avec une licence et un master professionnels et enfin Médiadix, Centre de formation continue (service général de l’université ; service commun dérogatoire) qui forme les personnels des bibliothèques et attire de nombreux professionnels en formation continue (page 14).
IV – La formation continue
En 2004-2005, 600 personnes étaient inscrites en formation continue dont 75% au Centre d’éducation permanente (CEP) et 25% dans les composantes. En 2007-2008, 1 300 personnes sont inscrites sous le régime FC dont 55% dans les composantes et 45% au CEP. Les contrats de professionnalisation ont aussi contribué à développer la FC et leur développement est souhaité. Le chiffre d’affaires annuel est de plus de 2 millions d’euros (hors IUT de Ville-d’Avray) et un résultat financier de l’ordre de 200 K€ revient à l’université. A côté du directeur entouré de 4 MCF, 4 PRAG et 1 PRCE, le CEP emploie 17 personnes sur des emplois gagés et sur contrats.
L’activité de formation continue bénéficie de la proximité avec le pôle de la Défense et tisse de nombreux liens avec les entreprises qui y sont installées. Le CEP a des contacts avec le CNAM pour les sciences de l’éducation, des relations étroites avec la formation continue de Paris 11 et quelques liens avec celle de Paris 13. A compter du 1er septembre 2008, le CEP deviendra le CREFOP, qui devrait avoir pour mission de coordonner les démarches vers les entreprises dans une approche globale de construction de partenariat. Par ailleurs,le CREFOP devrait prendre en charge la coordination et le développement de la collecte de la taxe d’apprentissage (1,5 à 2 millions d’euros selon les années), la gestion des stages et la promotion des diplômes.
Un point faible reste la VAE. L’université est consciente des difficultés qu’elle rencontre dans le développement de la VAE qui n’est pas dans la culture de ses enseignants-chercheurs.
Avec la mise en place du CREFOP, on ne peut qu’encourager l’établissement à poursuivre le développement de ses activités de formation continue, mais aussi lui demander de répondre à ses missions en matière de VAE (page 16).
I – Points forts: La formation continue (page 31).
- L’université Paris-Sud 11 : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.
- L’école polytechnique : le rapport d'établissement n'est pas publié sur le site.

Académie de Polynésie :
- L’université de la Polynésie française :
Elle utilise également un espace “formation continue” à Mamao. En 2007 (année universitaire 2007/2008), l’Université de la Polynésie française accueille 2 542 étudiants dont
2 283 en formation initiale et 259 en formation continue (page 5).
Si l’on prend en compte l’ensemble formation initiale et formation continue, la réussite des étudiants et des différents publics de formation continue est au coeur du contrat 2004-2007.
Il est tout d’abord utile de rappeler le contexte particulier de l’UFP : un public de formation initiale comportant parmi les néo-bacheliers accueillis un pourcentage élevé de bacheliers technologiques et professionnels : 41% en 2007-2008, un public de formation continue important comportant plus de 300 stagiaires et sensiblement 260 inscriptions en formation diplômante à l’UPF.
L’offre de formation en l’absence de CEVU s’est constituée à partir des départements eux-mêmes en articulation avec le service de formation continue avant d’être soumise au Conseil d’administration. Cette articulation intéressante sur le principe (ce service n’étant pas un service commun, il ne dispose pas d’un conseil) demande à être précisée compte tenu du rôle important que ce service joue par ailleurs dans les relations avec les autorités du pays (Ministère de l’Education, du Travail, du Tourisme, et la Culture).
Le programme de la formation continue offerte est beaucoup plus abondant ; il s’appuie à la fois sur les ressources de l’université, mais aussi sur des partenariats avec des universités ou écoles de la métropole. Le service qui a vu ses activités s’accroitre fortement ces dernières années (quasi doublement du nombre d’heures stagiaires entre 2003 et 2006) se révèle très réactif intervenant dans de nombreux champs en soutien ou en prestation : EAD, participation aux forums entreprise, VAE par exemple, il n’en est que plus nécessaire que l’établissement dote le service des moyens nécessaires, mais aussi veille à ce que l’ensemble des actions corresponde à sa stratégie, y compris dans les choix des partenariats et dans l’analyse des coûts et retombées pour l’UPF des missionnaires. En ce sens, les comptes rendus annuels d’activité de la formation continue sont une excellente base de travail (page 11).

Académie de Poitiers :
- L’université de Poitiers :
L’objectif clairement affiché de l’Université de Poitiers est de développer la professionnalisation des études en formation initiale comme en formation continue... La professionnalisation passe aussi à l’UP par l’apprentissage, la formation continue et la VAE. Sur cette dimension on retrouve essentiellement l’action de l’IUT et de l’IAE. La VAE (64 VAE totales et 255 partielles en 2005) est gérée administrativement au niveau du SAFIRE alors que la formation continue (FC essentiellement diplômante) est décentralisée au niveau des composantes. Le nombre d’inscrits en FC est de l’ordre de 750 pour l’ensemble de l’université et celui des diplômés de 300 (2004-05). Bien que cette organisation de la formation continue soit efficace pour les composantes bien engagées dans cette activité, le dossier mériterait peut-être d’être davantage impulsé par le centre (page 10).
- L’université de la Rochelle :
V- Formation continue
Si la formation continue constitue un objectif opérationnel important du projet d’établissement pour le prochain contrat (et même un enjeu majeur avec la construction de la Maison de la réussite et de l’insertion professionnelle - MRIP), force est de reconnaître qu’il s’agit pour l’heure d’un chantier où tout reste à faire, comme en témoigne l’évaluation du coût des activités prévues dans ce domaine (847 000 € : 641 000 € de moyens financiers mobilisés par l’établissement, et 206 000 € de crédits demandés dans le cadre du contrat). Les données fournies aux experts pour l’évaluation font apparaître que depuis 2003, l’essentiel des actions de l’ULR a porté sur la reprise d’études, au détriment de la VAE pour laquelle l’université valide une soixantaine de dossiers par an. Les besoins semblent clairement identifiés, mais l’étendue de la tâche est telle que les résultats attendus (augmentation de 20 % du nombre des validations, réduction des abandons de 30 %) semblent optimistes. Aucune action de formation ou de perfectionnement à destination des entreprises n’apparaît dans les bilans. Aucun accord de branche ne permet d’entrevoir une progression dans ce domaine. Un effort de développement est là aussi nécessaire, surtout pour une université où la professionnalisation constitue un volet important de l’offre de formation (page 9).
La diversification toute relative des ressources de cette université pose également question. Même si l’on peut noter un effort significatif des collectivités locales qui contribuent à hauteur de 16 % aux dépenses de fonctionnement, l’absence par exemple de toute activité de formation continue ne lui permet pas de conforter son assise financière (page 26).
La formation continue : Son organisation, soumise à de graves turbulences, selon l’expression de la présidence est, semble-t-il, en voie de stabilisation au sein de la MRIP bien que sa lisibilité ne soit guère apparente au sein de cette structure. De plus, l’université, qui a centré presque uniquement son action sur la reprise d’études, devra développer des actions de formation à destination des entreprises et des salariés. Ceci est fondamental pour une université qui axe son action sur la professionnalisation de ses formations. Ces démarches sont primordiales pour rapprocher l’université des entreprises quelle qu’en soit leur taille et apporter des ressources propres à l’université. La présidence devrait s’attacher les services d’un spécialiste afin de développer cette activité en concertation avec les milieux professionnels (page 27).
II - Points faibles : - Une organisation de la formation continue embryonnaire qui limite les actions de l’établissement ;
III - Recommandations : - Rendre la formation continue lisible au sein de la MRIP et favoriser les actions de formation à destination des entreprises et des salariés (page 28).

Académie de Reims :
- L’université de Reims - Champagne Ardennes :
Elle est vécue comme un atout pour renforcer la sensibilisation aux métiers de l’enseignement (la préparation aux différents concours concerne 19 formations), améliorer l’insertion des préparations à ces métiers dans les masters sous forme de parcours identifiés et aussi consolider le rôle de l’université dans la formation continue des enseignants du secondaire et du primaire (page 14).
Paradoxalement, la formation continue des adultes est en retrait des formations initiales en ce qui concerne les partenariats économiques. Le « service universitaire d’éducation permanente » de Champagne-Ardenne (SUEPCA) porte bien son nom et reste centré sur des missions à caractère social dont la gestion est éclatée dans les composantes. Assez bien doté (8 ETP dont 5,5 autofinancés), il n’est pas en mesure d’assurer un pilotage et ne constitue pas une unité budgétaire mais seulement un centre de responsabilité. L’URCA effectue directement le prélèvement sur produits (5 ou 6 %) au profit du budget général, et son simple rôle d’expertise, de coordination et d’impulsion se trouve très biaisé par la nature des services rendus comme par les déséquilibres de fonctionnement et de financement. Le public est constitué en quasi-totalité de demandeurs d’emploi et de personnes en reprise d’études, et le SUEPCA obtient les meilleurs résultats nationaux pour le DAEU. Les IUT prennent en charge à eux seuls les 2/3 des 950 stagiaires accueillis annuellement, et la Région finance à elle seule les 2/3 des 3 millions de chiffre d’affaires (hors secteurs santé et lettres) par convention avec l’URCA sur des programmes de formation qualifiante. Le directeur souligne lui-même que son service ne peut pas être performant dans ces conditions et il souhaite positionner le SUEPCA sur le DIF pour mieux répondre aux organismes collecteurs. Il veut mobiliser son équipe en direction d’objectifs économiques par la promotion du logiciel DICOME pour la traduction des diplômes en compétences/métiers et par le recrutement prochain d’un agent commercial appelé à dynamiser la communication interne et externe. Déjà les VAE et VAP croissent sensiblement, de même que l’apprentissage et les contrats de qualification/professionnalisation. Le projet, sur un fond d’expérience solide, est d’obtenir la responsabilité budgétaire du SUEPCA et un engagement plus marqué des composantes académiques de l’URCA en direction des entreprises à un moment où les pôles de compétitivité vont susciter, dans la relation avec la recherche, des besoins nouveaux de formation continue spécifique (stages courts de requalification et d’adaptation à l’emploi). Une telle évolution, parallèlement à l’émergence du SAIC et à la dynamique entrepreneuriale qu’il contribue à créer depuis les laboratoires par la valorisation technologique des résultats transférables, peut amorcer une nouvelle étape dans la relation de l’URCA avec le monde économique (pages 19-20).
- L’université de technologie de Troyes :aucune mention ni de la FC, ni de la VAE.

17 mars 2009

Efigip : Une base de données des certifications ouvertes à la Vae

La base de données intitulée Certifications Vae, qu'Efigip vient de mettre en ligne sur son site, recense les certifications accessibles par la Vae.
La recherche d'une certification peut se faire à partir d'un nom de métier, d'un intitulé de certification, d'un domaine, d'un certificateur…
Une fiche descriptive par certification fournit des informations sur le métier, le programme, les textes officiels et renvoie sur les fiches Rncp et Rome, et selon le cas, les référentiels… Elle renseigne sur la procédure Vae et les contacts en Franche-Comté des certificateurs publics (Agriculture, Éducation nationale, Emploi, Jeunesse et Sports, Sanitaire et Social, Enseignement supérieur).
Die Datenbank über Zertifizierungen Vae, daß Efigip bringt auf seiner Website, werden die Zertifikate von der Vae zugänglich. Mehr...
17 août 2013

INFORM - Issue 13 - National qualifications frameworks: contributing to better qualifications

http://www.etf.europa.eu/webatt.nsf/0/A60E6935066CB1DCC1257B08005BB65A/$File/INFORM_13_National%20qualifications%20frameworks.pngINFORM - Issue 13 - National qualifications frameworks: contributing to better qualifications
By Michael Graham. WHAT ARE NATIONAL QUALIFICATIONS FRAMEWORKS?
National qualifications frameworks or NQFs classify qualifications according to a hierarchy of levels in a grid structure. Each level is defined by a set of descriptors indicating the learning outcomes relevant to qualifications at that level, which vary in number according to national needs. Currently NQFs have 5, 7, 8, 10 and 12 levels. Qualifications in an NQF can be compared by individuals, employers and institutions. When different countries’ NQFs are linked internationally, qualifications can be compared, which in turn supports mobility. But the implications of establishing and using an NQF go well beyond simply classifying and comparing qualifications.
Countries develop NQFs for many reasons. While many EU Member States use NQFs to coordinate their existing qualifications systems more efficiently, ETF partner countries use them to support wider national education and training reforms. These include bringing education and training closer to the labour market, developing relevant qualifications, creating progression routes linking vocational education and training (VET) with higher education, and working towards a greater recognition of qualifications within the country and abroad.
NQFs are not new, but the recent surge in the number of countries developing them is remarkable for its speed and geographical coverage. Before 2000, only a handful of countries had NQFs. Now 142 countries worldwide have embarked on developing NQFs, including 27 of the ETF’s 31 partner countries. NQFs are part of a wider search for international solutions in education and training. They are also an attempt to support mobility at a time when economies are increasingly integrated and interdependent, where technical specifications of products or services are becoming more unified and where labour migrates across borders. Download INFORM - Issue 13 - National qualifications frameworks: contributing to better qualifications.

16 juin 2009

La DRTEFP a mis en ligne sur son site le guide du candidat au Fonds social européen

Le guide du candidat a été conçu à l’usage des organismes sollicitant une aide FSE.
Il a pour objet d’apporter les principales informations nécessaires à l’élaboration et à la présentation d’une demande de financement :
- incidence des principes d’intervention du FSE sur la préparation du plan d’action et du budget prévisionnel.
- formalisation de la demande et explicitation de quelques éléments clés du dossier de candidature.
- obligations liées au financement de l’opération par le FSE, qui doivent être connues et anticipées en amont de tout engagement.
Le guide du bénéficiaire fait suite au guide du candidat.
Il s’adresse aux organismes candidats ayant obtenu une réponse favorable du comité de sélection.
Son propos est de détailler les modalités de suivi administratif et comptable des actions agréées, ainsi que d’apporter une aide pratique à la réalisation des bilans d’exécution.
Ces deux guides constituent un Vade-mecum abordant l’ensemble des étapes du projet, depuis sa conception jusqu’au paiement de la subvention FSE.
Télécharger le guide.

Žalobkyňa sprievodca bol navrhnutý pre použitie organizáciami snaží pomôcť ESF.
Jej cieľom je poskytnúť základné informácie potrebné pre prípravu a podanie žiadosti o financovanie:
- Vplyv na zásady z ESF na príprave akčného plánu a rozpočtu.
- Formalizace žiadosti a vysvetlenie niektorých kľúčových prvkov aplikácie.
- Povinnosť financovať prevádzku z Európskeho sociálneho fondu, ktoré musia byť známe a očakávané pred záväzku. Stiahnite si sprievodcu
. Viac...

1 septembre 2013

QAA guides universities on information to students

http://www.timeshighereducation.co.uk/magazine/graphics/logo.pngBy . Ensuring prospective students get accurate information on workload, class sizes and teaching is the aim of new guidance from the quality watchdog. The Quality Assurance Agency’s guidance is aimed at supporting universities and colleges in making information available to current and prospective students, and at advising students on the questions to ask about teaching when applying for a course. “There is now more choice than ever before of where and what to study, and universities and colleges need to get it right in the information they provide to their current and future students,” said Jayne Mitchell, director of research, development and partnerships at the QAA. More...

28 novembre 2008

Une charte des universités européennes pour l'apprentissage tout au long de la vie

Valérie Pécresse, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Ján Figel, Commissaire européen à l’éducation, la formation, la culture et la jeunesse, ont clos la réunion informelle des ministres européens en charge de l’enseignement et de la formation professionnels et des ministres de l’enseignement supérieur consacrée à la formation tout au long de la vie, un des axes prioritaires de la Présidence française de l’Union européenne. A l’occasion de cette réunion, la «Charte des universités européennes sur la formation tout au long de la vie» a été présentée. Elle a pour objet de soutenir les universités d’Europe dans le développement de leur rôle spécifique en tant qu’institutions d’apprentissage tout au long de la vie, et comporte une série d’engagements auxquels les universités sont invitées à souscrire. European Universities’ Charter on Lifelong learning
Réunion informelle des ministres en charge de l'enseignement et de la formation professionnels et des ministres de l'enseignement supérieur (séminaire informel à Bordeaux du 26 novembre 2008)
Cette Charte s’inscrit dans le cadre des réflexions menées, à la demande du Premier ministre, par l'Association Européenne des Universités sur la formation tout au long de la vie dans les établissements d'enseignement supérieur européens. Elle a pour objet de soutenir les universités d’Europe dans le développement de leur rôle spécifique en tant qu’institutions d’apprentissage tout au long de la vie – ce qui constitue un pilier central pour l’Europe de la connaissance.
La charte propose notamment aux universités de :
  • Intégrer les concepts d’apprentissage tout au long de la vie dans leur stratégie
  • Adapter les programmes d’études à un public diversifié pour augmenter la participation des adultes et les inciter à retourner à l’université ;
  • Fournir des services d’orientation appropriés et reconnaître les acquis de l’expérience;
  • Favoriser des démarches d’assurance-qualité;
  • Développer des partenariats au niveau local, régional et international.

Valérie PECRESSE, Ministro de Educación Superior e Investigación, y Ján Figel, Comisario europeo de Educación, Formación, Cultura y Juventud, han cerrado la reunión informal de ministros europeos responsables de la educación y formación y los ministros de educación superior dedicada a la formación durante toda la vida, una de las prioridades de la Presidencia francesa de la Unión Europea. En esta reunión, la "Carta de las universidades europeas en materia de formación durante toda la vida" se presentó. Está dirigido a apoyar a las universidades de Europa en el desarrollo de su función específica como una instituciones de aprendizaje durante toda la vida, e incluye una serie de compromisos que las universidades están invitados a suscribirse.
Universidades Europeas "Carta sobre el aprendizaje permanente"
La Charte recommande aussi aux Etats de soutenir ces objectifs notamment en levant  les obstacles juridiques qui empêchent un certain nombre d’apprenants potentiels de retourner dans l’enseignement supérieur, et  en développant des mesures d’encouragement pour l’apprentissage tout au long de la vie.
La période actuelle de "turbulence économique", qui suscitera des "besoins de reconversion", plaide également pour un développement accru des programmes de formation continue au sein des universités européennes, a assuré de son côté à la presse Valérie Pécresse, en clôture de ce séminaire européen. La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche assure que cette préoccupation est partagée par tous les États membres de l'Union. 

17 août 2013

ETF manual on the use of indicators

http://www.etf.europa.eu/webatt.nsf/0/6727DCD60EC68888C1257B95005476DA/$File/Indicators%20Manual.pngETF manual on the use of indicators
1.0 GENERAL CONCEPTS
This chapter defines the concept of an indicator and explains its characteristics. The data sources that can be used to create indicators are also discussed. An indicator is only as reliable as the data it is based on, so close attention must be paid to data sources.
1.1 WHAT IS AN INDICATOR?
The Organisation for Economic Cooperation and Development (OECD, 2002a, p.25) defines an indicator as ‘a quantitative or qualitative factor or variable that provides a simple and reliable means to measure achievement, to reflect the changes connected to an intervention, or to help assess the performance of a development actor’. In other words, an indicator is an aggregation of raw or processed data that helps us to quantify the phenomenon under study and a tool that helps us to grasp complex realities. An indicator is not raw data, but rather uses that data to characterise or assess a particular issue. For example, the absolute number of literate adults is not a particularly useful datum until we use the statistic to create an indicator such as, for example, the adult literate population as a proportion of the total adult population in the country.
1.2 WHAT ARE THE CHARACTERISTICS OF A GOOD INDICATOR?
Several issues must be considered when creating an indicator. A good indicator should be relevant, should summarise information without distorting it, and should be coordinated, structured, comparable, accurate and reliable. Indicators need to be relevant to policy goals, and it is therefore essential to identify these goals before deciding what to measure and how to do it. For example, if the goal were to increase access to education, the relevant indicator could be the rate of participation in education. An indicator should summarise existing information without distortion. For example, if we are interested in the number of students per teacher, we need data on both the number of students and the number of teachers to obtain the student-teacher ratio. However, such data is susceptible to distortion; for example, if we include both full-time and part-time teachers, the ratios we obtain will be lower but they will not be a faithful reflection of the real situation. Thus it is important to clearly understand the nature of the data available before constructing the indicator. Indicators must also be coordinated and structured; in other words, we have to ensure that they are constructed and used in a consistent, comparable and comprehensive way. Consistency is particularly important when we are monitoring data and trends over time or comparing data between countries.
If we are to produce comparable results, the definitions and calculation methods we use must be consistent. Comparable results can only be obtained using clearly defined indicators based on identical definitions to ensure consistency even when data are collected at different times and indicators are calculated by different people. Indicators should also be comprehensive, that is, they should always encompass all relevant aspects of the phenomenon under study. Finally, indicators and the data on which they are based should be accurate and reliable, and any deficiencies in the data should be made clear. An indicator is only reliable when we can trust what it shows.
1.3 WHAT DATA SOURCES ARE AVAILABLE?
To calculate an indicator, we need data, and this can be obtained from different sources. A good data source is comprehensive in coverage, unbiased, and consistent over time. Potential data sources include surveys, censuses, administrative databases, reports, interviews and focus groups. In education, most data comes from schools in the form of statistics, such as the number of students enrolled or the number of graduates. Some of this data is aggregated at the national level by education ministries. School inspection reports can be used to assess the quality of education programmes. Surveys carried on among students provide information about student satisfaction and the effectiveness of interventions. Expert surveys can be used to assess the overall quality of VET systems. All these types of data can be used to create indicators relevant to policy goals. It is important to distinguish between primary and secondary data sources. Primary sources are original documents or data providing first-hand and direct evidence (e.g. interviews with country officials). Secondary sources include the information from primary sources that has been processed and interpreted. Other secondary sources include international organisations (e.g. World Bank (WB), the International Labour Organisation (ILO), etc), whose published data and indicators are usually based on information provided directly by countries and other primary data. Thus, when data for the calculation of indicators are available from different sources, we should expect the data from each source to produce the same results if the same definitions and calculation methods are used. Sometimes, however, national and international bodies provide disparate data; in such cases, the reasons for the differences should be identified before deciding which source to use.
1.4 QUANTITATIVE, QUALITATIVE AND PROCESS INDICATORS
Decision making procedures should be based on the systematic and regular use of evidence. Evidence is the key to an in-depth understanding of the problems that affect education and training systems and is thus a prerequisite to making informed policy choices. Consequently, having and making good use of a solid evidence base is of great importance in the fields of VET and labour market research. In VET, as in any kind of research, evidence can be divided into two main types: quantitative and qualitative. Quantitative evidence is objective information about the real world and is numerical in nature. Thus quantitative indicators are expressed as numbers, for example, the number of inhabitants in a country, or the public expenditure on VET systems as a percentage of national expenditure on education. Qualitative evidence, on the other hand, deals with the qualities of the object of study and may include subjective information, opinions or judgements about an issue. Qualitative evidence is typically expressed in the form of descriptive information, although it can also be quantified and expressed numerically. There are many sources of qualitative evidence, such as case studies, observations, reports, discussions and in-depth interviews. In this manual, we restrict ourselves to the type of qualitative evidence that can be quantified. It should be noted, however, that this is only one kind of qualitative information that can be used to analyse VET. For example, we present indicators that measure the intensity of a perception, such as the results of a survey that asks experts how much corruption they perceive in a particular country. The answers, which take the form of qualitative observations, can then be assigned a score, and the resulting numerical data can be used to quantitatively compare corruption perception and to calculate summary statistics (averages, for example). The third kind of indicator described in this manual is the process indicator. Process indicators can be used to identify problems or gaps in a particular area by measuring the actual values of the process indicators against pre-defined targets or standards. They can be based on quantitative evidence (objective information) or qualitative evidence (subjective information). In chapter 3, we provide examples of how quantitative, qualitative and process indicators are created. The indicators discussed relate to the employment and education targets established by the EU for 2020 (E&E 2020), Quality Assurance for VET (EQAVET) and the ETF Torino Process and Entrepreneurial Learning initiatives.
1.5 WHAT IS A BENCHMARK AND HOW TO CHOOSE IT?
The United Nations defines a benchmark as ‘a concrete point of reference (in the form of a value, a state, or a characteristic) that has been verified by practice (in the form of empirical evidence, experience, or observation) to lead to fulfilment of more overall objectives or visions (in isolation or together with the fulfilment of other benchmarks)’ (United Nations, 2010, p. 17). While indicators serve to quantify a phenomenon, benchmarks serve as a standard or point of reference against which the current situation may be compared. Finding appropriate standards for this purpose is not always an easy task, and context is crucial for the ETF because we need to make comparisons between different partner countries. If we want to compare countries within a single region (for example, North Africa), the results may be more instructive if we find a benchmark in that region rather than use a reference from elsewhere (an EU member state for instance), which might have higher standards but in a completely different context in terms of aspects such as labour market needs and institutions. The usefulness of the exercise is vastly increased if the context of the benchmark and that of the case under study are similar.
Download ETF manual on the use of indicators.

19 août 2013

Moocs on FutureLearn to be revealed next month

http://www.timeshighereducation.co.uk/magazine/graphics/logo.pngBy . The first courses on the UK’s first massive open online course platform Futurelearn will be unveiled in mid-September, it has been announced.
Specific details of the first Moocs to be made available are thin on the ground, although Futurelearn has confirmed that they will cover topics including literature; history; social sciences; computing and IT; and physical science, and be designed to work on mobile devices.
Times Higher Education revealed in December last year that the University of Warwick’s Business School was planning to offer a behavioural science Mooc on Futurelearn, although it has not been confirmed that this will be one of the first courses to go live. More...

16 juillet 2008

Quelques documents du colloque "SSIG de formation professionnelle continue"

Le site du Parlement français à l'occasion de la Présidence française de l'Union européenne 2 juillet 2008 - Marseille, "SSIG de formation professionnelle continue"
Résolution de l'ARF : RESOLUTION SSIG.
Ouverture de Michel Vauzelle : Michel Vauzelle SSIG. Conclusions de Pascale Gérard : Pascale Gérard SSIG.
Ce colloque est un jalon dans la mise en place des SSIG : programme-ssig.
Un site européen spécifique est dédié à cette thématique : http://www.ssig-fr.org/.
Le guide SSIG des collectivités territoriales est disponible : guide-SSIG. Il s'intitule : Une Europe protectrice des services sociaux, Comment concrètement protéger les missions imparties aux services sociaux des seules forces du marché ?
Alguns documentos do simpósio "SSIG formação profissional contínua". Um local europeu que é especificamente dedicado a este tema: http://www.ssig-fr.org/. Leia mais...

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