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Formation Continue du Supérieur
9 janvier 2009

Quelques réactions au rapport du groupe de travail sur la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE)

Deux rapports remis jeudi au gouvernement font des propositions pour donner un nouvel élan à la Validation des acquis de l'expérience (VAE) et tenter d'en finir avec "le joyeux foutoir" de l'offre de formation, selon les termes du secrétaire d'Etat à l'Emploi Laurent Wauquiez.

La VAE permet d'obtenir un diplôme ou un titre grâce à son expérience professionnelle, acquise dans le cadre d'une activité salariée ou bénévole. Le dispositif existe depuis 2002, mais n'a permis de certifier que 77.000 personnes, contre un objectif de 60.000 par an et environ six millions de personnes potentiellement concernées.
Lors d'un point presse, M. Wauquiez a regretté que la VAE s'apparente à "un parcours du combattant" alors qu'"il faut simplifier les démarches, professionnaliser les jurys".
"La VAE doit devenir un sujet de négociation entre partenaires sociaux, tous les trois ans", a également estimé le secrétaire d'Etat.
Le rapport recommande de "mobiliser le Pôle emploi", l'organisme regroupant l'ANPE et les Assedic, une idée validée par M. Wauquiez qui veut "un kit VAE, avec un interlocuteur et des financements dans chaque agence".    Retour à la page d'accueil

Some reactions to the report of the Working Group on the Validation of Acquired Experience (VAE)
Two reports
issued Thursday the government put forward proposals to give new impetus to the validation of experience (VAE) and try to end the "joyful mess" of the training, in the words of Secretary of State for Employment Laurent Wauquiez.

VAE can obtain a diploma or a title thanks to his professional experience, acquired as part of an employee or volunteer. The system has existed since 2002 but did not certify that 77,000 persons, against a target of 60,000 per year and about six million people potentially affected.

At a press briefing, he regretted that Wauquiez VAE akin to "an uphill battle" when "it should simplify the procedures, professionalize the juries."
"The VAE should become a subject of negotiation between social partners, every three years, also found the Secretary of State.
The report recommends to "mobilize the employment center," the umbrella organization and the ANPE Assedic, an idea endorsed by Mr. Wauquiez who wants a "kit VAE, with a party and financing within each agency."
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20 juillet 2016

Textes de références - La Validation des Acquis de l’Expérience (VAE)

Elle trouve son origine dans la Loi de Modernisation Sociale (LMS) du 17 janvier 2002 (loi n°2002-73)
Extraits concernant la Validation des Acquis de l’Expérience : Pour en savoir pdf 109 ko.

Arrêtés :
Arrêté du 6 avril 2007 fixant le modèle du formulaire de demande de diplôme ou de titre délivré par la validation des acquis de l’expérience au nom d’un ministère. Pour en savoir pdf 3,1 Mo.
Décrets d’application :

Décret n°2002-615 pris pour l’application de l’article 900-1 du code du travail et des articles L335 et L335-6 du code de l’éducation relatif à la validation des acquis de l’expérience pour la délivrance d’une certification professionnelle.
Décret n°2002-617 du 26 avril 2002 pris en application des articles L335-6 du code de l’éducation et L-900-1 du code du travail, relatif à la Commission nationale de la certification professionnelle. Pour en savoir pdf 101 ko.
Décret n°2002-616 du 26 avril 2002 pris en application des articles L335-6 du code de l’éducation et L900-1 du code du travail, relatif au répertoire des certifications professionnelles. Pour en savoir pdf 86 ko.
Décret n° 2002-590 du 24 avril 2002 pris pour l’application du premier alinéa de l’articleL. 613-3 et de l’article L. 613-4 du code de l’éducation et relatif à la validation des acquis de l’expérience par les établissements d’enseignement supérieur. Pour en savoir pdf 76 ko.
Décret n° 2002-529 du 16 avril 2002 pris pour l’application des articles L. 613-3 et L. 613-4 du code de l’éducation et relatif à la validation d’études supérieures accomplies en France ou à l’étranger. Pour en savoir pdf 72 ko.
Décret n° 2002-795 du 3 mai 2002 relatif au congé pour validation des acquis de l’expérience. Pour en savoir pdf 74 ko.
Décret n° 2002-1459 du 16 décembre 2002 relatif à la prise en charge par les employeurs des actions de validation des acquis de l’expérience et portant modification du titre V du livre IX du code du travail (deuxième partie : Décrets en Conseil d’Etat). Pour en savoir pdf 80 ko.
Décret n° 2002-1460 du 16 décembre 2002 relatif au contrôle des organismes qui assistent des candidats à une validation des acquis de l’expérience et modifiant le titre IX du livre IX du code du travail (deuxième partie : Décrets en Conseil d’Etat). Pour en savoir pdf 65 ko.
Décret n° 2004-171 du 19 février 2004 modifiant le décret n°2002-616 du 26 avril 2002 relatif au répertoire national des certifications professionnelles. Pour en savoir pdf 60 ko.
Décret n° 2006-166 du 15 février 2006 relatif au comité de développement de la validation des acquis de l’expérience. Pour en savoir pdf 66 ko.
Décret n° 2006-383 du 30 mars 2006 portant simplification et adaptation de diverses dispositions dans le domaine de la formation professionnelle et modifiant le code du travail (deuxième partie : Décrets en Conseil d’Etat). Pour en savoir pdf 87 ko.

Lois :

Loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales(1) - Chapitre III, La formation professionnelle - Chapitre III, De la contribution des régions. Pour en savoir pdf 464 ko.
Loi n° 2009-1437 du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie - Titre II articles 6 à 14 - Titre III articles 20 à 23. Pour en savoir pdf 92,4 ko.
Loi n°2010-241 du 10 mars 2010 relative au service civique-Article 8 "Titre 1er bis". Pour en savoir pdf 73 ko. Voir l'article...

15 juin 2009

Certifications et Validation des Acquis de l’Expérience dans l’enseignement supérieur

La construction de l’espace européen de l’enseignement supérieur demande une description partagée des certifications (diplômes, titres, certificats, …) lisible par l’ensemble des acteurs concernés par la formation tout au long de la vie.
Cette description concerne aussi bien la formation initiale, la formation continue (Jean-Michel Hotyat), la mobilité européenne, l’insertion professionnelle.
Pour répondre à cette politique européenne, la France a mis en place le Répertoire National de la Certification Professionnelle. La méthodologie retenue pour développer la plateforme VAE UniverSud Paris contribue à la déclinaison métiers – emplois – compétences des certifications en cohérence avec les attentes du RNCP. Elle permet aussi au candidat à une Validation d’Acquis de l’Expérience de mettre en relation ses acquis personnels et professionnels avec les attendus de la certification visée. Les comptes-rendus audiovisuels du Séminaire sont maintenant disponibles.
Certification and validation of experience in higher education. The construction of the European area of higher education requires a shared description of qualifications (certificates, diplomas, certificates, ...) readable by all players involved in lifelong training. The audio-visual accounts of the seminar are now available. More...

1 mars 2011

Accord ARF - CNFPT

http://www.secteurpublic.fr/templates/secteurpublic/images/head.jpgSignature entre l’ARF et le CNFPT du 1er accord-cadre en faveur de l’emploi dans la fonction publique territoriale
François Deluga, président du centre national de la fonction publique territoriale et Alain Rousset, Président de l’association des régions de France, signeront vendredi 18 février le premier accord-cadre national entre le CNFPT et l’ARF. Ce texte formalise l’intention des deux partenaires de promouvoir, de manière coordonnée, une politique globale de formation afin, d’une part, de favoriser l’accès à l’emploi dans les collectivités territoriales et les établissements publics locaux et, d’autre part, d’accompagner l’évolution des missions, des fonctions et des métiers des agents des régions.
A ce titre, l’accord-cadre entend favoriser les partenariats entre les 26 régions et les 34 structures déconcentrées du CNFPT autour, notamment, des axes de collaboration suivants:
* la promotion des métiers et des missions des collectivités et établissements publics locaux
* l’observation et le suivi des emplois et des qualifications
* le développement de l’apprentissage dans la fonction publique territoriale
* l’accès à l’emploi et son maintien
A ces premières pistes de travail pourront bien entendu être ajoutés d’autres champs d’actions pour tenir compte des besoins spécifiques des territoires ainsi que des politiques propres de chaque région, ces dernières conservant, une entière liberté d’initiative pour la définition de leurs propres partenariats.
S’ensuivra la signature, entre la délégation Aquitaine du CNFPT et le Conseil régional d’Aquitaine, du premier contrat d’objectifs rerritorialisés passé entre une délégation régionale du CNFPT et un Conseil Régional.
Depuis 2007 en effet, un partenariat étroit a permis de mener avec succès, des plans de formation des agents de la collectivité régionale dans nombre de domaines. Ce partenariat n’a cessé de s’amplifier ces trois dernières années au cours desquelles le nombre de jours de formation a été multiplié par plus de 5 passant de 864 à 4699 pour un total de 4776 agents.
Jean-Claude Deyres, Délégué régional du CNFPT et Alain Rousset, président de la région Aquitaine concrétiseront leur volonté de poursuivre dans cette voie en s’engageant contractuellement dans un processus pluriannuel défini par 12 actions relatives à la formation des agents de la Région et à un partenariat entre le CNFPT et le Conseil régional sur le champ des compétences de la région.
http://www.secteurpublic.fr/templates/secteurpublic/images/head.jpg Signed between the ARF and CNFPT 1 framework agreement for employment in the public land
François Deluga, president of the National Centre of Public and Territorial Alain Rousset, President of the Association of Regions of France, will sign Friday, February 18 the first national framework agreement between the CNFPT and ARF. This paper formalizes the intention of both partners to promote a coordinated manner, a comprehensive training policy in order, firstly, to promote access to employment in local government and local public institutions and, secondly, to accompany the evolution of the missions, functions and business agents of the regions. More...
3 mars 2011

Rémunération des stagiaires de la formation professionnelle

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)L'ARFTLV vient de mettre à jour sa fiche technique "Rémunération des stagiaires de la formation professionnelle". Extraits:
Les demandeurs d'emploi qui suivent une action de formation professionnelle peuvent, sous réserve des conditions fixées dans cette fiche, bénéficier d'une rémunération pendant leur stage:
- soit dans le cadre du régime conventionnel d'assurance chômage géré par les partenaires sociaux (Unédic) ou autre employeur public,
- soit dans le cadre du régime public lorsque le stage est agréé par l'Etat ou la Région, ou conventionné par Pôle emploi.
La rémunération est versée, selon le cas, par Pôle emploi ou la Région.
Droits à l'AREF

Le demandeur d’emploi ayant des droits Unédic (c’est à dire bénéficiaire de l’ARE) qui suit une formation prescrite par Pôle emploi au titre de son Projet personnalisé d’accès à l’emploi, peut prétendre à l’ARE Formation (AREF) financée par l’Unédic, dans la limite de la durée de ses droits à l’allocation de retour à l’emploi (ARE). Les personnes qui suivent un stage de moins de 40 heures demeurent inscrites comme demandeur d’emploi et continuent de percevoir l’ARE.
Après l'AREF

Depuis le 1er janvier 2011, l'AFDEF n'existe plus. Elle permettait pour certaines formations, de prendre le relai de l'AREF lorsque la durée de la formation excédait la durée d'indemnisation. Un dispositif équivalent pourrait être créé prochainement.
Autres demandeurs d’emploi suivant un stage agréé par l’Etat ou la Région ou conventionné par Pôle emploi (Régime public)
Les demandeurs d'emploi en formation n'ayant pas de droits à l'Assurance Chômage peuvent bénéficier du régime public de rémunération lorsque le stage est agréé par l'Etat ou la Région, ou conventionné par Pôle emploi. Les personnes reconnues travailleurs handicapés indemnisables au titre de l'AREF, peuvent par exception, opter pour le régime public s'il s'avère plus favorable.
Quant le stage est agréé par la Région, la rémunération est réservée aux personnes sorties du système éducatif depuis plus d'un an. Elle peut être bonifiée pour certaines formations qualifiantes labellisées sur un métier en tension. Une bonification mensuelle supplémentaire de 100 € est accordée pour les pères ou mères élevant seul un ou plusieurs enfants. La Région Poitou-Charente prévoit également une prime forfaitaire de 150 € à l'entrée en formation (stages de plus de 70 heures) versée à compter du sixième jour effectif de formation.
Voir aussi sur le blog Comment financer sa formation.

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)A ARFTLV csak frissíti az adatlap " javadalmazása gyakornokok szakképzés.Részletek:
Álláskeresők, akik követik a szakképzési művelet, feltéve, hogy meghatározott feltételek jelen irat, javadalmazásban részesülnek során szakmai gyakorlat:

- Vagy a hagyományos rendszerben a munkanélküli-biztosítás által kezelt szociális partnerek (Unedic) vagy más munkáltatói csoportok,

- Vagy az állami rendszer, ha a kurzus által jóváhagyott állam vagy régió, vagy a megállapodás a munkaügyi központ.

Fizetnek kártérítést, adott esetben, a munkaügyi központ, illetve a régióban
. Még több...
25 mars 2011

La formation dans le rapport 2010 du médiateur de Pôle Emploi

Le 24 mars 2011, Jean-Louis Walter, Médiateur National de Pôle emploi, a présenté son rapport pour l’année 2010.
Il donne une image de l’activité de Pôle emploi et, conformément à la loi, fait des propositions pour l’amélioration du service rendu aux usagers. S’agissant du deuxième rapport depuis la création de Pôle emploi, il fait aussi le point sur les propositions de l’année dernière et les suites qui leur ont été données.
Toutes ont fait l’objet d’un examen par les partenaires sociaux et la direction de Pôle emploi. Certaines sont d’ores et déjà appliquées, tandis que d’autres sont en passe de l’être ou font l’objet de travaux préparatoires à leur mise en œuvre.
Les propositions d’amélioration du rapport 2010 portent sur les conditions d’accès aux mesures d’aide à la reprise d’emploi, sur l’indemnisation du chômage des militaires et de certains demandeurs d’emploi étrangers, sur un assouplissement de la règlementation vis-à-vis des petites entreprises. En 2010, le réseau du Médiateur National et de ses correspondants régionaux a traité 15.000 réclamations, dont une majeure partie consacrée à l’indemnisation du chômage (60%). Jean-Louis Walter a été nommé Médiateur National de Pôle emploi en juillet 2010. Son rapport est téléchargeable sur le site institutionnel de Pôle emploi www.pole-emploi.org. Voir le premier rapport de 2009.
Extraits concernant la formation

Mieux que de longs développements, un exemple démontre la nécessité de ce mécanisme régulateur.
Madame Gwenaëlle P. est inscrite sur la liste des demandeurs d’emploi. Lors d’un entretien avec son conseiller le 13 août 2009, elle déclare vouloir entreprendre une formation pour devenir assistante de service social. Cette formation correspond à un métier en tension (c’est-à-dire qu’il est difficile de pourvoir les offres d’emploi, celles-ci étant plus nombreuses que les demandeurs d’emploi inscrits dans ces métiers) et à ce titre les personnes qui la suivent sont susceptibles de bénéficier d’un prolongement d’indemnisation au-delà du terme normal de leur droit à allocation de chômage (ARE) – par l’attribution de l’allocation en faveur des demandeurs d’emploi en formation (AFDEF). Son voeu est acté par Pôle emploi qui l’inscrit dans les conclusions d’entretien qui formalisent l’état du projet de réinsertion professionnelle convenu entre un usager et son conseiller. A partir de là, Madame Gwenaëlle P. reprend un emploi qui lui laisse suffisamment de temps libre pour préparer les épreuves du concours. Elle travaille ainsi jusqu’au 8 août 2010, date à laquelle elle se retrouve sans emploi mais lauréate du concours.
Mais quelques jours après sa réinscription sur la liste des demandeurs d’emploi, paraît l’arrêté préfectoral qui actualise la liste des métiers en tension dans la région. Or, cet arrêté ne comprend plus le métier d’assistant de service social. Madame Gwenaëlle P. ne le sait pas encore. Ce n’est que lorsqu’elle demande à bénéficier de l’AFDEF, après l’épuisement de ses droits ARE, qu’elle se voit opposer un refus fondé sur le fait que la formation ne conduit pas aux métiers en tension figurant sur la liste préfectorale. Argument irréfutable mais douloureux. L’intervention du Médiateur permettra à madame Gwenaëlle P. de poursuivre son parcours vers l’emploi. p.6-7
1.2. – Motifs de saisine

La catégorie Aides et mesures vise les aides à l’embauche et la formation. Les réclamations les plus fréquentes portent les aides à la reprise d’un emploi éloigné du domicile et la prise en charge des formations et de leurs frais annexes. p.12
3.2. – Aide à la reprise d’emploi : accorder règles de procédure et finalité du dispositif
Madame Sophie C. connaît depuis 2003 une activité professionnelle discontinue et émaillée de plusieurs inscriptions sur la liste des demandeurs d’emploi.
Le 2 août 2010, elle est embauchée en CDI dans une enseigne franchisée de commerce de meubles.
S’étant renseignée, elle parvient à la certitude qu’elle pourrait bénéficier d’une aide à la mobilité géographique puisqu’elle effectue quotidiennement un trajet de 50 km aller et 50 km retour. Elle dépose le 6 septembre une demande visant à obtenir le bénéfice de cette aide.
Las, intervant six jours trop tard, cette démarche est rejetée par Pôle emploi.
Saisi d’une réclamation, le Médiateur, ne peut que constater la tardiveté de la demande et l’exacte application de la règle.
Cependant, Madame C. argumente que pendant son premier mois de travail elle était en formation (trois semaines à Grenoble puis une semaine à Hénin Beaumont). Elle était hébergée à l’hôtel, puis chez ses parents et avait d’autres préoccupations que celle de se rendre à l’agence Pôle emploi où elle est inscrite pour demander à bénéficier d’une aide dont elle ignorait alors l’existence.
De fait, on ne peut s’empêcher de se mettre à la place de Madame C. et constater qu’on n’aurait pas agit différemment, c’est-à-dire rationnellement. Il faut donc considérer que le délai d’un mois pour déposer la demande d’aide à la reprise d’emploi est trop court. Et la brièveté de ce délai n’a rien à voir avec la nécessité d’être efficace dans le meilleur placement des demandeurs d’emploi.
Il est proposé de retirer au délai d’un mois sa valeur impérative tout en lui conservant une valeur indicative. La forclusion pourrait n’intervenir qu’après une année suivant la reprise d’emploi. p.25-26
On March 24, 2011, Jean-Louis Walter, National Ombudsman of employment center, presented his report for the year 2010.
It gives a picture of activity and employment center, according to law, makes proposals for improving service to users.
Regarding the second report since the creation of employment center, it also makes the point on the proposals last year and the responses to them were given.
All have been reviewed by the social partners and the management of employment center.
Some are already implemented, while others are about to be or are the subject of preparatory work for their implementation. Jean-Louis Walter has been appointed National Ombudsman of employment center in July 2010. His report is available on the corporate site employment center www.pole-emploi.org. See the first report of 2009. More...
7 décembre 2010

Chambre régionale des comptes PACA et les Universités d'Aix-Marseille

http://www.eurorai.org/IMG/logo%20CRC%20Provence-Alpes-C%C3%B4te%20d%27Azur.gifLe contrôle mené par la chambre concernant les différents aspects des regroupements et coopérations entre les trois universités d’Aix-Marseille, le rapport qui suit ainsi que l’annexe I sont communs aux trois établissements. Seuls l’activité et les moyens de chaque université font l’objet de développements distincts présentés à l’annexe II.
Le contrôle des universités d’Aix-Marseille s’est inscrit dans le cadre particulier de l’enquête nationale menée conjointement par la Cour des comptes et par les chambres régionales des comptes, sur le thème des « regroupements et coopérations dans l’enseignement supérieur ». Seules les problématiques communes aux trois établissements et liées directement à ce thème ont donc été étudiées au cours de ce contrôle.
Consulter les rapports: Université - Université Paul Cézanne Aix-Marseille III (Bouches-du-Rhône), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 01/09/2010, Réponse 1, Date de communicabilité: 13/10/2010, Université - Université de la Méditerranée Aix-Marseille II (Bouches-du-Rhône), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 01/09/2010, Date de communicabilité: 26/10/2010.
Extraits:
Trois volets doivent conduire à situer les établissements d’Aix-Marseille dans leur environnement, à cerner leur politique en matière de regroupement et de coopération et à en évaluer les premiers résultats.
1. Un état des lieux permettant d’appréhender globalement les activités des trois établissements (enseignement, recherche, documentation, administration et logistique), et leur articulation avec leur environnement.
2. Un volet destiné à cerner les objectifs alloués aux opérations de regroupement et de coopération, ainsi que la qualité des démarches d’analyse préalables à ces opérations.
3. Un dernier volet est présenté en termes de bilan et perspectives.
Au cours des cinq dernières années, le paysage universitaire français s’est inscrit dans un contexte politique très évolutif. Partant du constat d’une trop grande dispersion des universités françaises, d’un manque de cohérence et de lisibilité, d’un manque d’efficacité en termes de résultats aux examens et d’insertion professionnelle (taux d’échec en licence, ouverture insuffisante vers les acteurs socio-économiques) et d’une visibilité internationale insuffisante, les gouvernements successifs se sont attachés à réformer l’enseignement supérieur et la recherche. De plus, nombre d’universités disposent de locaux et d’équipements vétustes, ne permettant pas de garantir aux étudiants, aux enseignants, chercheurs et administratifs des conditions de vie et de travail satisfaisantes.
Cette volonté s’est traduite par une série de mesures. Dans le cadre de l’harmonisation des cursus européens, la nouvelle organisation LMD (licence-master-doctorat) a été mise en oeuvre en 2004 par les trois universités Aix-Marseille. La loi de programmation sur la recherche, créant notamment les PRES, a été adoptée en avril 2006. Elle a été suivie du plan licence, destiné à la lutte contre l’échec des étudiants en première année de licence, lancé en 2007. La loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités (loi LRU) a réformé les modalités de gouvernance et élargi le domaine de compétences des universités dans le but de les rendre à la fois plus autonomes et plus responsables. Annoncé en 2008, le plan Campus vise à utiliser les fonds provenant de la vente des participations de l’Etat au capital d’EDF (5 Mds €) pour financer, sur la base d’un projet cohérent, les opérations immobilières de certaines universités (Aix-Marseille fait partie des dix dossiers retenus et dispose à ce titre d’une dotation en capital de 500 M€). Enfin, en décembre 2009, l’Etat a annoncé qu’il prévoyait, dans le cadre du grand emprunt, de consacrer 11 Mds € à l’enseignement supérieur et 8 Mds € à la recherche...
Dans la perspective de la fusion, la chambre s’est intéressée à la situation actuelle des trois gouvernances, qui présentent des similitudes mais aussi des spécificités qui devront être intégrées dans la nouvelle structure.
La mise en oeuvre de la loi LRU a conduit récemment à une certaine harmonisation des trois gouvernances. Toutefois, on relève que l’organisation politique et administrative présente encore des différences d’un établissement à l’autre: nombre et missions des vice-présidents, du bureau, du secrétariat général, des chargés de mission, des services généraux et des services communs (voir annexe I.2). Ainsi, en plus des trois vice-présidents statutaires, le nombre des vice-présidents délégués (ou fonctionnels) varie du simple au double, et si trois fonctions identiques leur sont dévolues dans les trois universités (relations internationales, relations interuniversitaires et systèmes d’information), des fonctions particulières demeurent dans chaque établissement. Aux côtés du secrétaire général, on compte quatre SGA dans un établissement, un seul dans l’autre. Le nombre de chargés de mission varie du simple au triple. Les principales missions dévolues aux services généraux et aux services communs présentent des caractéristiques communes mais également quelques différences...
Née de l’histoire, la situation des trois universités Aix-Marseille se caractérise par une dispersion de la formation et de la recherche sur une multitude de sites, sans cohérence d’ensemble, avec des redondances dans certaines disciplines, voire des effets de concurrence. Cet éparpillement se traduit par un manque de lisibilité nationale et internationale et par une absence de rationalité de la carte universitaire. La nécessité d’un rapprochement s’est donc imposée depuis plusieurs années, avec la mise en commun de certaines activités (cohabilitation de certains masters, mises en commun partielles des ressources documentaires), premiers pas vers une stratégie de regroupement susceptible de doter l’ensemble universitaire Aix-Marseille d’une véritable structuration.
Les autres rapports de la Chambre régionale des comptes sur les Universités PACA:

- Université - Université sud Toulon Var (Var), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 18/09/2009, Réponse 1, Date de communicabilité: 08/10/2009,
- Université - Institut d'études Politiques d'Aix-en-Provence, Université Paul Cézanne Aix-Marseille III (Bouches-du-Rhône), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 24/07/2007, Réponse 1, Date de communicabilité: 22/09/2007,
- Université - Université de la Méditérranée (AIX MARSEILLE II) (Bouches-du-Rhône), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 13/02/2006,
- Université - Université de Nice Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 29/08/2005,
- Université
- Université de Provence Aix-Marseille (Bouches-du-Rhône), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 28/04/2005, Réponse 1,
- Université - Université du Sud Toulon Var (Var), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 10/11/2004,
- Université - Université d'Avignon (Vaucluse), Rapport d'observations définitives, C.R.C. Provence-Alpes-Côte d'Azur, 08/03/2004.
%% http://www.eurorai.org/IMG/logo 20CRC 20Provence-Alpes-C% C3% 20d%% B4tes 27Azur.gif The inspection conducted by the Board on various aspects of mergers and cooperation among the three universities of Aix-Marseille, the following report and Annex I are common to all three institutions. Only the activity and resources of each university are the subject of separate developments presented in Appendix II.
Control of the universities of Aix-Marseille enrolled in the specific context of the national survey conducted jointly by the ECA and the regional chambers of accounts, on the theme of "consolidation and cooperation in higher education. Only problem common to all three institutions and directly related to this theme have been considered during this inspection.
View reports: University - Université Paul Cézanne Aix-Marseille III (Bouches-du-Rhone), Report of final comments , CRC Provence-Alpes-Cote d'Azur, 01/09/2010, 1 Reply , Date of communicability: 13/10/2010, University - Université de la Méditerranée Aix-Marseille (Bouches-du-Rhone), Report of final comments , CRC Provence-Alpes-Cote d'Azur, 09.01.2010, Date of communicability: 26/10/2010 . More...
30 avril 2009

La formation continue universitaire connaît un bilan positif en 2006

Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la RechercheEn 2006, les établissements supérieurs publics ont réalisé un chiffre d’affaires de 317 millions d’euros au titre de la formation continue, pour un public composé de 429 000 personnes, dont 81% dans les universités. Les premiers contributeurs de la formation continue universitaire sont les entreprises avec 38% des 206 millions d’euros pour un public de 31% de stagiaires salariés. Les particuliers inscrits à leur initiative et les actifs non salariés constituent plus de la moitié des stagiaires (51 %) mais ne fournissent qu’un tiers des recettes. La part des fonds publics continue de décroître pour ne représenter que 29% des ressources. En 2006, alors que la part des stagiaires préparant un diplôme national se maintient à 25%, les formations courtes font le plein avec 29% des inscrits, au détriment des formations conduisant à un diplôme d’université qui n’attirent plus que 19% des stagiaires. La durée moyenne des formations dispensées dans les universités est plutôt en baisse : 124 heures en 2006 contre 125 heures en 2005. Les 28 000 diplômes nationaux délivrés par les universités dans le cadre de la formation continue sont principalement des DAEU (diplômes d’accès aux études universitaires), des licences professionnelles et des masters professionnels. Note d'Information n° 09.06 avril 2009.

Ministry of Higher Education and Research University continuing education has a positive balance in 2006. In 2006, public colleges have achieved a turnover of 317 million euros for training, for an audience of 429 000 people, including 81% in universities. The leading contributors of university continuing education are enterprises with 38% of 206 million euros for an audience of 31% of trainees employees. Information Note. More...

15 août 2013

Loi du 1er mars 2013 portant création du contrat de génération

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngOù en est-on ?
La loi a été promulguée le 1er mars 2013. Elle a été publiée au Journal officielJournal officielJournal de la République française dans lequel sont publiés les lois et les règlements. du 3 mars 2013. Le Conseil constitutionnel dans sa décision du 28 février 2013 avait jugé que l’article 9 relatif à un régime de prime outre-mer n’était pas conforme à la Constitution. Il avait été saisi d’un recours déposé le 14 février 2013 par plus de soixante députés. Le texte définitif du projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. a été adopté le 14 février 2013, l’Assemblée nationale ayant adopté le texte mis au point par la Commission mixte paritaire. Ce même texte avait été adopté par le Sénat le 12 février 2013. Le projet de loi, présenté en Conseil des ministresConseil des ministresFormation collégiale réunissant l’ensemble des ministres. le 12 décembre 2012 par M. Michel Sapin, ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue socialDialogue socialComprend tous les types de négociation, de consultation ou d’échanges d’informations entre les représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des questions présentant un intérêt commun relatives à la politique économique et sociale., avait été adopté en première lecture, avec modification, par l’Assemblée nationale le 23 janvier 2013 et avec modification, par le Sénat, le 6 février 2013.
De quoi s'agit-il ?
Ce projet de loi vise d’une part l’embauche des jeunes en contrat à durée indéterminée et d’autre part le maintien dans l’emploi des salariés séniors. Les modalités de mise en oeuvre du contrat de génération différent selon la taille des entreprises:

  • Les entreprises de plus de 300 salariés devront négocier des engagements portant sur l’embauche et l’intégration des jeunes dans l’entreprise, l’emploi des séniors et la transmission des compétences sous peine d’être soumises à des pénalités.
  • les entreprises de moins de 300 salariés pourront percevoir une aide lorsqu’elles embauchent en contrat à durée indéterminée un jeune de moins de 26 ans et maintiennent en emploi un sénior de 57 ans et plus, ou recruté à 55 ans et plus.
21 août 2013

La VAE, qu'est-ce que c'est ?

http://www.vae-hn.org/var/rhn/storage/images/design/site-de-la-vae-en-haute-normandie/299959-13-fre-FR/Site-de-la-VAE-en-Haute-Normandie.jpgLa Validation des Acquis de l'Expérience est :

  • Un droit individuel qui vous permet d’obtenir un diplôme, un titre, un certificat de qualification professionnelle.
  • Une reconnaissance officielle de l’expérience acquise par le travail : cette expérience est vérifiée, évaluée, et validée.
  • Une possibilité d'obtenir un diplôme qui aura la même valeur que celui obtenu par formation.
    Mais attention la VAE n’est pas une conversion automatique de l’expérience en diplôme !

Dans cette rubrique
Que vous permet la VAE ?
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Qui est concerné ?
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Quelle expérience est prise en compte ?
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Quelle durée d’expérience ?
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Quel diplôme viser ?
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1 septembre 2013

Brazil's universities take affirmative action

http://static.bbci.co.uk/frameworks/barlesque/2.48.3/desktop/3.5/img/blq-blocks_grey_alpha.pngBy Julia Carneiro. Twenty-four-year-old Antonio Oliveira was born into a poor, mixed race family in the state of Maranhao in north-east Brazil. As a teenager he had to balance his time between school and helping his parents harvest vegetables to sell at a farmer's market, and doing other small jobs to scrape by. Until recently, he says the only prospects for those growing up in his city, Colinas, were to work with crops or to get a post at the city hall - "a mediocre job that people think is heaven," as he puts it.
But Antonio has just finished his first term studying Economic Sciences at Rio de Janeiro's prestigious Federal University (UFRJ), a dream he had nurtured since his days at a rural public school. His placement represents a radical change in the Brazilian university system. More...

31 décembre 2008

Universités: La formation continue dans le cadre de la formation tout au long de la vie et la VAE

Source : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/.
Dans une perspective de formation professionnelle ou personnelle, il est possible d'alterner des périodes de formation et d'activité.
Salariés, demandeurs d'emploi et, plus largement, tous les adultes désireux de se former, de faire un bilan de compétences ou de faire valider leur expérience peuvent trouver des réponses à l'Éducation nationale. Aux niveaux scolaire et universitaires, des formations diplômantes et qualifiantes sont ouvertes à tous les publics adultes qui souhaitent reprendre des études ou compléter leur formation.
En tant qu'agents publics, les enseignants et personnels administratifs de l'Education nationale disposent aussi de droits à la formation continue.

La formation continue des adultes dans l'enseignement supérieur
La formation continue constitue l'une des missions principales des établissements d'enseignement supérieur (universités et écoles d'ingénieurs) qui, avec plus de 300 000 stagiaires formés chaque année, sont devenus un acteur majeur du secteur.
La formation continue universitaire
Les dispositifs de financement
La validation des acquis dans l'enseignement supérieur
Le D.A.E.U.
Le droit individuel à la formation dans l'enseignement supérieur

La validation des acquis de l'expérience [V.A.E.]

La validation des acquis de l'expérience est une mesure permettant à toute personne de faire valider les acquis de son expérience pour obtenir un diplôme ou un titre inscrit au "Répertoire national des certifications professionnelles".
Fonctionnement de la V.A.E.

Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche

Tiếp tục giáo dục là một trong những nhiệm vụ chính của giáo dục đại học cơ sở giáo dục (các trường đại học kỹ thuật và trường học), trong đó, với hơn 300 000 sinh viên được đào tạo mỗi năm, đã trở thành một người chơi lớn trong các lĩnh vực. Hoạt động của các VAE

26 août 2009

European guidelines for validating non‑formal and informal learning

This publication, european guidelines for validating non‑formal and informal learning, presents the conclusions of more than two years of intensive exchange of experiences - involving representatives from more than 20 European countries
The main objective is to make the outcomes of this common learning process available to a wider audience to support further development of validation of non-formal and informal learning at European, national and local levels.
These guidelines, while inspired by the common European principles on identifying and validating non-formal and informal learning adopted by the European Council in 2004, are not a policy framework approved by a law-making body: they are a practical tool, providing expert advice to be applied on a purely voluntary basis.
Their impact relies exclusively on their relevance and ability to add value at national or local levels. European guidelines for validating non‑formal and informal learning.
31 octobre 2009

Comparaison internationale des pratiques de l'autonomie des universités

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/grandBandeau4.jpgValérie Pécresse a confié au Professeur Philippe Aghion une mission de comparaison internationale des pratiques de l’autonomie des universités. Cette mission devra être très opérationnelle, et recenser les pratiques des universités étrangères qui pourraient être transposables dans notre culture académique.
Le Professeur Philippe Aghion sera ainsi chargé "d’analyser les différents systèmes d’enseignement supérieur étrangers et d’identifier les actions les plus remarquables conduites par les différents établissements", en articulant sa réflexion notamment autour de quatre questions clés, qui sont au cœur de la réforme sur l’autonomie des universités françaises :
1. Comment réussir la spécialisation progressive des étudiants tout au long du premier cycle ?
2. Quels outils les universités peuvent-elles utiliser pour faciliter l’insertion professionnelle des étudiants et comment évaluer leur efficacité ?
3. Comment concilier autonomie et ouverture des universités sur leur territoire ?
4. Comment favoriser la mobilité internationale des étudiants, notamment au sein de l’Union européenne, et l’insérer au sein de parcours universitaires cohérents ?
Philippe Aghion sera accompagné dans sa mission par une équipe d’experts internationaux qui représentent les différentes cultures académiques européennes : Mathias Dewatripont, Directeur de l'Ecole de Commerce Solvay (U.L.B., Bruxelles); Pr Martin Hellwig, Directeur de l'Institut Max Planck à Bonn (Allemagne); Bengt Holmstrom, Professeur d'Economie au MIT; Caroline Hoxby, Professeur d'Economie à l'université de Stanford; Wilhelm Krull, Secrétaire General du Volkswagen Stiftung; Andreu Mas Colell, President du European Research Council; Jo Ritzen, Président de l'université de Maastricht; Michael Sohlman, Directeur de la Fondation Nobel.
Le Professeur Aghion devra rendre ses conclusions d’ici à mars 2010.
Philippe Aghion est Professeur d'économie à l'université de Harvard. Médaille d'Argent du C.N.R.S., ancien élève de l' Ecole Normale Supérieure de Cachan, docteur d'Économie à Harvard, il a enseigné au Massachusetts Institute of Technology (MIT), au Nuffield College d’Oxford, au University College de Londres (U.C.L.), puis à Harvard. Il est membre du Conseil d'analyse économique (C.A.E.), chercheur associé à Bruegel, et a fait partie de la Commission pour la libération de la croissance française, dite Commission Attali, dont le rapport a été rendu le 23 janvier 2008 au président Nicolas Sarkozy.

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/grandBandeau4.jpgValerie Pécresse anförtros professor Philippe Aghion ett uppdrag av internationella jämförelser av praxis universitetens oberoende ställning. Detta uppdrag kommer att vara mycket operativ och identifiera metoder som utländska universitet skulle kunna införlivas i vår akademiska kultur. Mer...

19 mai 2015

Rencontres « Humanités-Société-Entreprises » d’AMU

Mercredi 20 mai  de 17h30 à 21h00
Rencontres « Humanités-Société-Entreprises » de la Faculté des Arts, Lettres, Langues et Sciences Humaines d’Aix-Marseille Université
« Les ALLSH dans le monde numérique »

Après le succès des Premières rencontres HSE du 18 décembre dernier, le théâtre Antoine Vitez accueillera les 2ème rencontres « Humanités-Société-Entreprises » de la Faculté des Arts, Lettres, Langues et Sciences Humaines d’Aix-Marseille Université sur le thème « Les ALLSH dans le monde numérique« . Réservez votre date pour cet évènement majeur de la vie intellectuelle, culturelle et économique régionale du Printemps 2015 !

8 interviews de 9 minutes chrono sur la scène du théâtre Antoine Vitez à Aix-en-Provence révéleront de nouveaux exemples remarquables des partenariats entre les 16 laboratoires de la Faculté ALLSH et les acteurs socio-économiques – institutions, startups et investisseurs du territoire !

Entrée gratuite – Réservation obligatoire sur : http://goo.gl/eFhsuo

Programme
18h00 : Accueil
18h15 : Ouverture des 2es rencontres Humanités – Société – Entreprises
18h30 : Allocution du Président Yvon Berland
18h45 – 19h30 : 4 interviews et témoignages de chercheurs
19h30 – 19h45 : Représentation artistique
19h45 – 20h30: 4 interviews et témoignages d’entrepreneurs
20h30-20h45 : Représentation artistique
21h00 : Cocktail. Voir l'article...

31 août 2013

6th Asia Pacific Conference on Educational Integrity (6APCEI)

http://www.guninetwork.org/utils_images/guni-1/image_preview

 Organized by: The University of Western Australia
The central theme of the 6th Asia Pacific Conference on Educational Integrity which will take place 2-4 October 2013 at Macquarie University, Sydney, Australia is to encourage scholarly discussion among practitioners regarding the various issues we face in this translation process. Accordingly, the overarching theme of 6APCEI is From Policy to Practice—bridging the gap. Naturally, this theme subsumes a number of relevant topics. Papers are being solicited on all topics relevant to this theme.
More information about this event…

28 août 2013

Le bilan de compétences - Languedoc-Roussillon

http://www.info-entrepriseslr.fr/design/languedoc/images/logo_lr.gifQuel est l'objectif du bilan de compétences ?
Le bilan de compétences concerne toute personne désireuse :

  • d'analyser ses aptitudes, ses compétences personnelles et professionnelles, ses motivations ;
  • d'organiser ses priorités professionnelles ;
  • d'utiliser ses atouts comme instrument de négociation pour un emploi, une formation ou en termes de choix de carrière.

Pour l'entreprise, c'est aussi l'occasion de :

  • mieux organiser la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences ;
  • favoriser la gestion des carrières et la mobilité professionnelle.

Le bilan de compétences donne lieu à la rédaction d'un document de synthèse en vue de définir ou de confirmer un projet professionnel, le cas échéant, un projet de formation. Cette prestation peut être suivie à l'initiative de l'entreprise (elle est alors inscrite dans son plan de formation) ou du salarié (dans le cadre du congé de bilan de compétences).
Comment se déroule un bilan de compétences ?
La démarche comprend trois phases sous la conduite du prestataire.
Une phase préliminaire qui a pour objet de :

  • confirmer l'engagement du bénéficiaire dans sa démarche ;
  • définir et analyser la nature de ses besoins ;
  • l'informer des conditions de déroulement du bilan de compétences, ainsi que des méthodes et techniques mises en œuvre.

Une phase d'investigation permettant au bénéficiaire :

  • d'analyser ses motivations et intérêts professionnels et personnels ;
  • d'identifier ses compétences et aptitudes professionnelles et personnelles et, le cas échéant, d'évaluer ses connaissances générales ;
  • de déterminer ses possibilités d'évolution professionnelle.

Une phase de conclusion qui, par la voie d'entretiens personnalisés, permet au bénéficiaire de :

  • prendre connaissance des résultats détaillés de la phase d'investigation ;
  • recenser les facteurs susceptibles de favoriser ou non la réalisation d'un projet professionnel et, le cas échéant, d'un projet de formation ;
  • prévoir les principales étapes de la mise en œuvre de ce projet.

Cette phase de conclusion se termine par la présentation au bénéficiaire du document de synthèse. La durée du bilan varie. Elle est au maximum de 24 heures lorsque le bilan se déroule dans le cadre du congé de bilan de compétences. Elle se répartit généralement sur plusieurs semaines. Durant les trois phases du bilan de compétences, les actions doivent être menées de façon individuelle. Toutefois, certaines actions conduites dans la phase d'investigation peuvent l'être de façon collective, à condition qu'il ne soit pas porté atteinte au respect de la vie privée des bénéficiaires. La personne qui a bénéficié du bilan est seule destinataire des conclusions détaillées du bilan de compétences qui ne peuvent être communiquées à un tiers qu'avec son accord.
Comment bénéficier d'un bilan de compétences ?
Basé sur le volontariat du salarié, le bilan de compétences peut être réalisé dans le cadre d'un congé spécifique ou du plan de formation de l'entreprise.
Le congé de bilan de compétences
Le salarié justifiant d'au moins cinq années d'activité salariée dont 12 mois dans l'entreprise, peut demander une autorisation d'absence d'une durée maximale de 24 heures à son employeur pour réaliser un bilan de compétences. La demande, écrite, doit indiquer les dates et la durée du bilan de compétences, ainsi que la dénomination de l'organisme prestataire. Elle est transmise à l'employeur au plus tard 60 jours avant le début du bilan de compétences. Dans les 30 jours suivant la réception de la demande, l'employeur doit faire connaître par écrit à l'intéressé son accord, ou les raisons de service motivant le report de l'autorisation d'absence. Ce report ne peut excéder 6 mois. Le salarié bénéficiaire d'un congé de bilan de compétences peut présenter une demande de prise en charge des dépenses afférentes à ce congé à l'organisme collecteur (FONGECIF, ou dans certains cas OPCA de branche) auquel l'employeur verse la contribution destinée au financement des congés individuels de formation. L'organisme collecteur est susceptible de refuser le financement du congé, notamment lorsque les demandes de prise en charge ne peuvent être toutes simultanément satisfaites, ou lorsque l'organisme chargé de la réalisation de ce bilan de compétences ne figure pas sur la liste arrêtée par l'organisme paritaire. La rémunération du salarié est égale à celle qu'il aurait perçue s'il était resté à son poste de travail (dans la limite de 24 heures). Elle lui est versée par l'employeur, lequel est remboursé par l'organisme collecteur. La réalisation du bilan est subordonnée à la signature d'une convention par le salarié, l'organisme prestataire de bilan et l'organisme paritaire agréé au titre du congé individuel de formation (FONGECIF, ou dans certains cas, OPCA de branche). Un travailleur ayant bénéficié d'une autorisation d'absence pour effectuer un bilan de compétences, ne peut prétendre dans la même entreprise au bénéfice d'une nouvelle autorisation d'absence dans le même but, avant l'expiration d'un délai de franchise de cinq ans. Enfin, le congé est assimilé à une période de travail pour la détermination des droits des salariés en matière de congé payé annuel et sa durée est comptabilisée pour le calcul de leur ancienneté.
Le bilan de compétences dans le cadre du plan de formation de l'entreprise
Inscrit dans le cadre du plan de formation, le bilan de compétence ne peut toutefois être réalisé qu'avec le consentement du salarié. La mise en œuvre du bilan fait l'objet d'une convention tripartite signée par l'employeur, le salarié et l'organisme prestataire de bilan. La convention vise à clarifier les modalités de réalisation du bilan et les objectifs visés. Le salarié dispose d'un délai de 10 jours pour faire connaître son acceptation. Il restitue alors à l'employeur la convention sur laquelle il aura apposé sa signature précédée de la mention « lu et approuvé ». L'absence de réponse du salarié dans ce délai équivaut à un refus de sa part. Ce refus ne constitue ni une faute ni un motif de licenciement. Pendant le bilan de compétences, le salarié conserve sa rémunération et sa protection sociale habituelles. Les frais de bilan sont à la charge de l'employeur qui peut les imputer sur son budget « plan de formation ». Qu'il résulte d'une demande de l'employeur ou du salarié, le bilan de compétences réalisé dans le cadre du plan de formation n'a pas d'incidence sur le calcul de la durée du congé payé annuel. Les résultats du bilan sont la seule propriété du salarié. Ils ne peuvent être communiqués à l'employeur ou à toute autre personne qu'avec son accord.
Les salariés sous contrat à durée déterminée ont-ils accès au congé de bilan de compétences ?
Le congé de bilan de compétences est ouvert aux salariés qui ont été titulaires de contrats à durée déterminée : les conditions d'ancienneté requises et les modalités de rémunération pendant le congé de bilan de compétences ont été spécialement aménagées pour ces salariés. Ainsi, l'intéressé doit justifier d'une ancienneté de :

  • 24 mois consécutifs ou non en qualité de salarié, quelle qu'ait été la nature des contrats successifs au cours des 5 dernières années ;
  • dont 4 mois, consécutifs ou non, sous contrat de travail à durée déterminée, au cours des 12 derniers mois.

Il peut par ailleurs obtenir de l'organisme collecteur auquel son dernier employeur verse la contribution destinée au financement des congés individuels de formation (le FONGECIF, ou dans certaines branches professionnelles, l'OPCA) une rémunération d'un montant égal à un pourcentage du salaire moyen perçu au cours des 4 derniers mois, sous contrat de travail à durée déterminée.
Où faire un bilan de compétences ?
Le bilan de compétences doit demeurer une prestation réalisée par des prestataires spécialisés, extérieurs à l'entreprise : celle-ci ne peut les organiser elle-même pour ses salariés. Elle doit recourir, sauf exception, à un organisme inscrit sur une liste établie par un organisme collecteur (FONGECIF et OPCA agréés au titre du congé individuel de formation). Il peut s'agir d'organismes privés, de centres inter-institutionnels de bilans de compétences (CIBC) par exemple. La liste des centres inter-institutionnels de bilans de compétences (CIBC) et des organismes agréés au titre du congé individuel de formation (FONGECIF, certains OPCA de branche) est disponible à la DIRECCTE ou auprès de Pôle emploi. Les personnes chargées de réaliser les bilans de compétences sont soumises aux dispositions pénales relatives au secret professionnel.
A savoir
Les conditions dans lesquelles les fonctionnaires de l'Etat peuvent bénéficier d'un bilan de compétences sont précisées par le décret n° 2007-1470 du 15 octobre 2007 (JO du 16).
Textes de références

  • Articles L. 6313-1, L. 6313-10, L. 6322-42 à L. 6322-51 et R. 6322-32 à R. 6322-63 du Code du travail.

Vos interlocuteurs

22 août 2013

Congé pour VAE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://www.carif-oref-gpe.com/templates/template/images/logo_carif_03.pngLe congé pour validation des acquis de l'expérience mentionné à l'article L. 900-1 peut être demandé en vue de la participation aux épreuves de validation organisées par l'autorité ou l'organisme habilité à délivrer une certification inscrite au répertoire national des certifications professionnelles ainsi que, le cas échéant, en vue de l'accompagnement du candidat à la préparation de cette validation (Code du travail art R.931-34).
Demande et report
La demande d'autorisation d'absence au titre du congé pour validation des acquis de l'expérience doit parvenir à l'employeur au plus tard soixante jours avant le début des actions de validation des acquis de l'expérience.
La demande précise :

-le diplôme, le titre ou le certificat de qualification postulé
-les dates, la nature et la durée des actions permettant aux salariés de faire valider les acquis de leur expérience,
-la dénomination de l'autorité ou de l'organisme qui délivre la certification.

Dans les trente jours suivant la réception de la demande, l'employeur doit faire connaître par écrit à l'intéressé son accord ou les raisons de service motivant le report de l'autorisation d'absence. Ce report ne peut excéder six mois à compter de la demande.
Durée du congé
La durée maximale du congé de validation des acquis correspond à 24 heures de temps de travail consécutives ou non (Art L.931-22).
La durée correspondante est assimilée à une période de travail effectif pour la déterminitation des droits liés à l'ancienneté (Art L.931-23) Au terme d'un congé de validation des acquis de l'expérience, le bénéficiaire de ce congé présente une attestation de fréquentation effective fournie par l'autorité ou l'organisme habilité à délivrer une certification inscrite au répertoire national des certifications professionnelles.
Le salarié qui a bénéficié d'une autorisation d'absence pour effectuer des actions de validation des acquis de l'expérience ne peut prétendre, dans la même entreprise, au bénéfice d'une nouvelle autorisation dans le même but avant un an (Art. R. 931-37).
Incidence sur les autres congés
Cette autorisation d'absence n'est pas prise en compte dans le calcul du délai de franchise applicable aux congés définis aux articles L. 931-1, L. 931-21, L. 931-28 et L. 931-29.
L'autorisation d'absence donnée pour effectuer un bilan de compétences n'est pas prise en compte dans le calcul du délai de franchise applicable aux congés définis aux articles L. 900-1, L. 931-1, L. 931-28 et L. 931-29 du code du travail.
Prise en charge
Le salarié bénéficiaire d'un congé pour validation des acquis de l'expérience a droit, dès lors qu'il a obtenu d'un organisme paritaire collecteur chargé de la gestion du congé individuel de formation la prise en charge des dépenses afférentes à ce congé, à une rémunération déterminée dans les conditions prévues à l'article R. 931-33 pour le congé bilan de compétences, c'est à-dire à ce qu'il aurait en travaillant normalement(Art. R. 931-38)
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22 août 2013

Qu'est-ce que la VAE - Guadeloupe

http://www.carif-oref-gpe.com/templates/template/images/logo_carif_03.pngLa VAE s’inscrit dans le cadre du livre IX du code du Travail.
Pour obtenir un diplôme, titre, ou qualification de branche, par validation de son expérience, deux conditions :
-justifier de 3 ans d'expérience professionnelle
-que le titre soit inscrit au R.N.C.P (répertoire national des certifications professionnelles),créé par la loi
" Peuvent être prises en compte, au titre de la validation, l'ensemble des compétences professionnelles acquises dans l'exercice d'une activité salariée, non salariée ou bénévole, en rapport direct avec le contenu du diplôme ou titre."
Pour valider l'expérience, un jury indépendant évalue les savoirs et savoir-faire acquis (les compétences) dans la vie d'adulte. A la suite de cette évaluation, le jury attribue de tout ou partie du diplôme professionnel demandé, selon que les compétences acquises correspondent à la totalité ou à une partie des exigences demandées par le diplôme visé. Le jury évalue sur dossier ou par mise en situation, selon des modalités fixées par chaque valideur. Un entretien avec le jury est possible, à votre demande ou à celle du jury. Il est obligatoire pour les diplômes de l'enseignement supérieur.
NB : Ce dispositif permet l'obtention de tout ou partie d'une qualification(diplôme, titre à finalité professionnelle)sur la base d'une expérience professionnelle salariée, non salariée (commerçant, profession libérale, agriculteur ou artisan...) et/ou bénévole (syndicale, associative) et/ou volontaire. Cette expérience en lien avec la certification visée, est validée par un jury.
Les certifications enregistrées au Répertoire National des Certifications Professionnelles (R.N.C.P) sont accessibles par la V.A.E. More...

31 août 2013

Europe et international

http://www.emploi.gouv.fr/files/files/Acteurs/CNML/cnml.pngEurope et international

Promouvoir l’accès aux programmes européens pour les jeunes des missions locales
Suite à la réunion plénière du CNML le 26 avril 2011, André Montané, président du groupe Europe international du CNML, a reçu un mandat pour faire des propositions en vue de la prochaine génération de programmes européens 2014-2020. Depuis 2005, le groupe Europe international cherche à valoriser l’intégration dans le parcours des jeunes en insertion d’une période de mobilité internationale, ainsi que le recours aux programmes européens auprès des missions locales et de leurs partenaires. Lire la suite
Liens utiles

31 août 2013

Association of American Universities (AAU)

http://www.guninetwork.org/utils_images/guni-1/image_preview

 The Association of American Universities is a nonprofit association of 61 U.S. and two Canadian preeminent public and private research universities. Founded in 1900, AAU focuses on national and institutional issues that are important to research-intensive universities, including funding for research, research and education policy, and graduate and undergraduate education. The link address is: http://www.aau.edu/

5 septembre 2013

Formation professionnelle continue - Midi-Pyrénées

Région Midi-Pyrénées - Télécharger la plaquette du Programme Régional de Formation Professionnelle 2013Dans un monde toujours plus ouvert et plus complexe, la formation professionnelle constitue plus que jamais, un enjeu majeur.
La Région Midi-Pyrénées a développé « le Programme Régional de Formation Professionnelle » pour répondre à la fois à la demande des Midi-Pyrénéens et aux besoins de l’économie régionale.Plaquette « Programme Régional de formation professionnelle ».
12 mars 2008

CFA Epure Méditerranée

Dans l'association FORMASUP, les six Universités de la région Provence Alpes Côte d'Azur et les branches professionnelles de la région vous proposent des formations universitaires diplômantes par alternance. www.cfa-epure.com.
Universités :
 * Université de Provence, Aix-Marseille I
 * Université de la Méditerranée, Aix-Marseille II
 * Université Paul Cézanne Aix-Marseille III
 * Université d'Avignon et des Pays du Vaucluse
 * Université de Nice-Sophia Antipolis
 * Université de Toulon et du Var
Partenaires professionnels :
Union Patronale Régionale Provence-Alpes-Côte d'Azur ; MEDEF PACA ; CGPME PACA ; Chambre Régionale de Commerce et d'Industrie Provence Alpes, Côte d'Azur et Corse ; Union des Industries Chimiques ; Union Française des Industries Pétrolières ; Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires du CEA de Cadarache ; Association GOL (Groupement des Opérateurs de la Logistique) ; Conseil Régional de l'Ordre des Experts Comptables et Comptables Agréés ; Fédération Régionale des Industries Alimentaires et Agro-alimentaires ; Syndicat National des Industries Pharmaceutiques ; La Poste ; Union Régionale des Industries Métallurgiques Provence-Alpes-Côte d'Azur ; Chimie Pétrole et Pharmacie ; Fédération Française des Sociétés d'Assurance.

28 août 2013

Plan de formation fonction publique hospitalière - Lorraine

http://www.inffolor.org/portail/public/sites/all/themes/acquia_marina/images/frontoffice/logo_inffolor.gifDocument permettant aux établissements relevant de la fonction publique hospitalière de planifier les actions de formation et de préparation aux concours pour leur personnel.
OBJECTIF(S)

  • Maintenir et parfaire la qualification professionnelle des agents hospitaliers publics.
  • Assurer leur adaptation à l'évolution des techniques et des conditions de travail.
PUBLICS VISÉS
  • Les agents hospitaliers titulaires ou non titulaires quel que soit leur niveau de formation : agents administratifs, agents des services de soins, personnels éducatifs et sociaux, personnels techniques et médico-techniques.
Sont exclus les médecins, biologistes, pharmaciens et odontologistes.

ADMINISTRATIONS CONCERNÉES
  • Il s'agit des établissements suivants : établissements publics de santé (CHR, CHU...), hospices publics, maisons de retraite publiques, établissements publics relevant des services départementaux de l'aide sociale à l'enfance et maisons d'enfants à caractère social, établissements publics pour mineurs ou adultes handicapés ou inadaptés, centre d'accueil et de soins hospitaliers de Nanterre.
CONDITIONS
  • L'agent doit obtenir l'accord de sa hiérarchie pour intégrer une formation.
DURÉE DE LA MESURE
  • Variable selon le type d'action suivie.
FORMATION
4 catégories d'actions figurent au plan de formation :
  • actions de préparation au concours et examens en vue de l'entrée dans une école préparatoire ou à l'accès à un grade ou un corps différent
  • études promotionnelles qui aboutissent à l'accès aux diplômes du secteur sanitaire et social (formation d'infirmier, de cadre infirmier, de sage-femme, d'orthophoniste, d'éducateur....)
  • actions d'adaptation en vue de faciliter soit la titularisation, soit l'accès à un nouvel emploi, soit le maintien de la qualification requise
  • actions de conversion en vue d'accéder à des emplois nécessitant une qualification nouvelle.
CADRES D'INTERVENTION
Les orientations nationales de formation pour l’année 2006 concernent :
    • 1/ le développement d’axes de formation à caractère pluriannuel portant sur :
      - l’accompagnement des réformes hospitalières
      - le Plan Cancer
      - le renforcement de la qualité et de la continuité des prises en charge
      -l’accompagnement de la réforme des établissements accueillant des personnes âgées
      - la prise en charge de la maladie d’Alzheimer ou de maladie apparentée
      - la mise en œuvre du programme de lutte contre les infections nosocomiales 2005/2008
      - l’accueil des personnes en situation d’exclusion
      - l’accompagnement et le suivi des actions du plan Psychiatrie et Santé mentale
      - la prévention et l’évaluation a priori des risques professionnels
      - l’amélioration des conditions de vie au travail
      - le développement des projets culturels.
  • 2/ les thématiques prioritaires des actions nationales de formation pour 2006 :
    - Développement des soins palliatifs et du travail en réseau
    - Prévention de la maltraitance en direction des adultes vulnérables
    - Autisme et troubles envahissants du développement
    - Accès aux soins des publics en situation de précarités
    - Prévention de la iatrogénie médicamenteuse évitable.
PROCÉDURE/DÉMARCHES
  • L'établissement hospitalier doit consacrer au financement des actions de formation au moins 2,1% de la masse salariale. Il peut soit gérer directement ce budget, soit adhérer à l'ANFH (association nationale pour la formation du personnel hospitalier) qui est l'organisme collecteur des fonds pour le secteur hospitalier public.
    1% an minimum du 2,1% doit être consacré au financement des actions de formation des 3 premières catégories (voir ci-dessus).
    Le recensement des besoins de formation passe en général par les chefs de service.
    Le plan de formation annuel s'élabore en concertation avec les instances consultatives : comité technique d'établissement (CTE), comité technique paritaire (CTP) et la direction de l'établissement. L'agent effectue la demande mais c'est la direction de l'établissement qui choisit les personnes qui seront bénéficiaires des actions inscrites au plan de formation.
STATUT
  • L'agent est maintenu en position d'activité.
RÉMUNÉRATION
  • L'agent bénéficie du maintien de sa rémunération : traitement, indemnités de résidence et familiales.
Par contre, sont supprimées les primes liées aux conditions concrètes de travail.

PROTECTION SOCIALE
  • Maintenue.
PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE FORMATION
  • Le coût de la formation est pris en charge par l'établissement hospitalier. L'agent peut prétendre à des indemnités de déplacement ou d'hébergement.
À L'ISSUE DE LA MESURE
  • L'agent réintègre son établissement et le poste qu'il occupait auparavant ou un poste équivalent.
    Dans certains cas, il sera tenu compte de sa nouvelle qualification pour l'affecter à un nouveau poste.
Nota bene :
pour les études promotionnelles, un engagement de servir (clause de fidélité) doit être signé. Il concernera plus spécifiquement les formations débouchant sur les métiers de personnels infirmiers, personnels de rééducation, sages-femmes, personnels médico-techniques.
La durée de l'engagement de servir est fixée au triple de la durée de formation dans la limite de 5 ans.
En cas de rupture de l'engagement, l'agent doit rembourser les sommes perçues proportionnellement au temps restant à accomplir.
Le CAFAS (certificat d'aide soignante) n'est pas soumis à la signature de cet engagement.
ARTICULATION AVEC D'AUTRES MESURES
  • L'accès au plan de formation n'a aucune incidence sur la mise en œuvre du congé de formation professionnelle (Congé de formation professionnelle Agents hospitaliers), du congé de formation syndicale, du congé de formation cadre et animateur pour la jeunesse.
ORGANISMES RESSOURCES
  • Service des ressources humaines.
  • Représentants du personnel.
ORGANISME(S) FINANCEUR(S)
  • État
1 septembre 2013

International Association of University Presidents (IAUP)

http://www.guninetwork.org/utils_images/guni-1/image_preview

 The International Association of University Presidents (IAUP) is an association of university chief executives from higher education institutions around the world. Membership is limited to those individuals who serve as presidents, rectors or vice-chancellors at regionally accredited colleges or universities. The link address is: http://iaup.org/

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