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Formation Continue du Supérieur

30 septembre 2011

Nouveau prélèvement de 300 M€ sur le FPSPP: Projet de loi de finances pour 2012

http://www.fpspp.org/portail/LOGO%20FPSPP%20moyen.jpgArticle 63 :
Exposé des motifs:

Le présent article a pour objet de prélever une contribution de 300 M€, en 2012, sur le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) et d’affecter cette contribution à plusieurs organismes intervenant dans le champ de l’emploi et de la formation professionnelle. Les fonds ainsi prélevés contribueront au financement en 2012 de cette politique publique.
Le FPSPP, créé par la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie, est chargé à la fois de recueillir un pourcentage de la participation des employeurs à la formation professionnelle, ainsi que les excédents des organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) au titre de la professionnalisation et du congé individuel de formation, de contribuer au financement d’actions de formation professionnelle et d’organiser la péréquation des sommes dédiées à la professionnalisation et au congé individuel de formation.
La contribution prélevée sur ce fonds sera affectée:
 - à hauteur de 75 M€, à l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) pour le financement, notamment, de la mise en œuvre des titres professionnels du ministère de l’emploi;
 - à hauteur de 200 M€, à l’Agence de services et de paiements (ASP) pour le financement de la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle;
 - à hauteur de 25 M€, à Pôle emploi pour le financement de l’allocation en faveur des demandeurs d’emploi en formation (AFDEF).
%% Http://www.fpspp.org/portail/LOGO 20FPSPP 20moyen.jpg Artykuł 63:
Argument:

Ten artykuł ma na celu zebranie wkładu € 300 milionów w 2012 roku, Fundusz wspólnego bezpieczeństwa kariery (FPSPP) i przypisać ten wkład do kilku organizacji działających w obszarze zatrudnienia i kształcenia zawodowego.
Zgromadzone fundusze pozwolą funduszu w 2012 r., porządku publicznego. Więcej...
30 septembre 2011

Etude - l'enseignement des langues étrangères dans les écoles d'ingénieurs

Logo Une grande diversité de langues obligatoires ou non, est proposée par les écoles. L’ensemble consolidé des écoles enseigne au total 16 langues étrangères différentes: 10 langues européennes, 3 du Moyen-Orient (Arabe, Hébreu, Turc) et 3 d’Extrême Orient (Chinois, Japonais, Coréen). Evidemment, toutes les écoles enseignent l’anglais, 92% l’espagnol, le même pourcentage l’allemand, 71% le chinois et 53% le japonais. Télécharger l'Etude - l'enseignement des langues étrangères dans les écoles d'ingénieurs.
La connaissance d’une langue non-européenne à forte universalité potentielle est une compétence visée par les établissements et souvent les étudiants, et recherchée par les recruteurs.
Evidemment, toutes les écoles enseignent l’anglais, obligatoire selon les dispositions de la CTI. 92% des écoles enseignent l’espagnol, le même pourcentage l’allemand, 71 % le chinois et 53% le japonais.
7 langues ne sont enseignées que dans une école: basque, coréen, hébreu, turc, roumain, suédois et polonais.

Face à l’internationalisation du savoir et de la production technologique, l’école d’ingénieurs se doit de former un professionnel qui réponde aux attentes du marché du marché du travail et aux exigences des recruteurs ainsi qu’aux évolutions de celles-ci. L’ouverture à l’international est donc un besoin, que l’ensemble des écoles assume avec enthousiasme et vitalité. L’enseignement des langues étrangères accompagne cet effort de l’école à l’internationalisation. Il est un indicateur qui permet de mesurer le degré d’internationalisation de l’école...
L’enquête a montré que, pour la presque totalité des équipes de direction des écoles (97%), il est important d’intégrer plus d’une langue étrangère dans le cursus d’ingénieur. La moitié d’entre elles voudrait ajouter une langue de plus à son offre actuelle. La langue la plus fréquement citée dans ce cas a été le portugais (37%). La présente étude prétendait établir une correspondance entre les langues enseignées dans l’école et les pays, ou régions linguistiques, avec lesquels l’école a actuellement des échanges académiques ou de recherche, mais le nombre et la diversité des pays cités sont tels qu’ils ne permettent de dégager des correspondances claires. Néanmoins, les pays le plus cités ont été l’Espagne, ou autres pays hispanophones, l’Allemagne, la Chine et le Royaume-Uni (ce qui correspond aux quatre langues les plus enseignées dans l’ensemble des écoles d’ingénieurs). En revanche, pour les coopérations à venir, on voit se détacher clairement la Chine suivie du Brésil. Les écoles devancent cette tendance et font actuellement un effort important pour intégrer l’enseignement du chinois et du portugais dans le cursus.
Validation des acquis externe à l’école

Le pourcentage des écoles qui font appel à une validation des acquis externe à l’école est de 100% pour l’anglais, suivant les dispositions de la CTI, mais descend très vite pour les autres langues: 32% pour l’espagnol, 33% pour l’allemand, 10% pour l’italien, 3% pour le chinois et le russe et 0% pour le japonais, le portugais et l’arabe.
Logo Erinevaid keeli vaja või mitte, on pakutud koolides. Konsolideeritud kool õpetab kokku 16 erinevat võõrkeelt: 10 Euroopa keelt, kolm Lähis-Ida (araabia, heebrea, türgi) ja kolm Kaug-Ida (Hiina, Jaapani, Korea). Loomulikult, kõik koolid õpetavad inglise, 92% hispaania, saksa, sama protsendi võrra, 71% Hiina ja 53% Jaapani. Lae uuring - võõrkeelte õpetamise koolides insener.
Teadmised Euroopa-väliste keelte millel on suur potentsiaal universaalsus on oskus, mida asutused ja sageli õpilaste ja ihalda värbajate.

Loomulikult, kõik koolid õpetavad inglise, nõutud sätetele CTI.
92% koolides õpetama hispaania, saksa, sama protsendi võrra, 71% Hiina ja 53% Jaapani. Velle...
30 septembre 2011

Budget 2012: l'Enseignement supérieur et la Recherche restent prioritaires

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Europe_et_international/46/8/international-et-numerique_174468.43.jpgA l'occasion de la présentation du budget 2012, Laurent Wauquiez a souligné que l'Enseignement supérieur et la Recherche constituaient la priorité du Gouvernement pour la 5e année consécutive. Dossier de presse complet à télécharger.
Des engagements tenus sur la durée

Avec la présentation du budget 2012, le budget  de l'enseignement supérieur et de la recherche constitue pour la 5e année la première priorité budgétaire du Gouvernement. C'est la concrétisation de l'engagement de campagne du Président de la République de faire de l'économie de la connaissance  un pilier d'une croissance durable et du développement social a été tenu. Sur 2007-2012, l'engagement du président de la République de consacrer 9 milliards d'euros à l'enseignement supérieur et la recherche est dépassé (avec 9,3 milliards d'euros supplémentaires sur la période), indépendamment de l'effort exceptionnel réalisé dans le cadre de l'opération campus et des investissements d'avenir.
Un budget qui confirme la priorité donnée à l'Enseignement supérieur et à la Recherche

Pour 2012, les moyens budgétaires, fiscaux ainsi que les moyens dédiés à l'accélération des campus progressent de 769 millions d'euros. Par ailleurs, les investissements d'avenir, généreront près d'1,3 milliards d'euros de crédits qui irrigueront les laboratoires. Dans un contexte budgétaire contraint, le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche participe à l'effort de bonne gestion mais cet effort tient compte du choix fait par le gouvernement de lui conserver son caractère prioritaire. Il n'y a pas de rigueur aveugle et le choix a été fait de poursuivre le soutien à l'enseignement supérieur et la recherche qui constituent les leviers de croissance de demain. Conformément aux engagements du Premier ministre, l'emploi est maintenu dans les établissements d'enseignement supérieur comme dans la recherche.
L'ensemble des leviers de financement  sont mobilisés pour l'enseignement supérieur et  la recherche:
- des crédits budgétaires en faveur de l'ensemble des établissements et des dispositifs de recherche et d'enseignement supérieur, en progression en autorisation d'engagement  de + 428 millions d'euros en 2012, soit +1,7% d'augmentation pour atteindre 25788 millions d'euros;
- la poursuite de la montée en puissance du crédit impôt recherche de 174 millions d'euros doivent être ajoutés des moyens dédiés à des financements innovants: les intérêts de l'opération campus qui permettront de réaliser 167 millions d'euros d'investissements supplémentaires en 2012
- S'y ajoutent, au titre des investissements d'avenir, 1 269 millions d'euros de crédits qui seront effectivement débloqués pour la seule année 2012 au profit de l'ensemble du secteur. Ce budget conforte l'augmentation inédite des moyens de l'enseignement supérieur et de la recherche depuis 2007.
Les moyens dédiés à l'enseignement supérieur progressent de 540  M€ avec 3 priorités
Améliorer les conditions d'études pour les classes moyennes

La dépense intérieure de l'éducation à l'université, qui a augmenté de 18% en 5 ans, s'établit à 10 180 euros en 2010.
Le budget  2012  conforte une politique sociale inédite, au service de la réussite des étudiants. Avec une augmentation de 91 millions d'euros, la politique de vie étudiante se traduit par un fait marquant : l'octroi d'un dixième mois de bourses, en contrepartie de l'allongement de la durée universitaire.
Ce dixième mois intervient après une transformation en profondeur de notre système de bourses depuis 5 ans, au bénéfice des classes moyennes et des plus défavorisés, avec l'augmentation de 65000 boursiers à l'échelon 0 et la création d'un 6e échelon. Au total, la revalorisation régulière des plafonds de revenus et des taux qui a permis d'augmenter de 25,4% le nombre des boursiers et d'avoir une progression du montant des bourses de 20% en moyenne sur 2007-2011 et de 26% pour les étudiants les plus défavorisés.
Consolider l'autonomie des universités

Les établissements d'enseignement supérieur verront leur moyens augmenter de 237 millions d'euros.
- 191 millions d'euros sont dédiés à l'augmentation de la masse salariale
- 46 millions d'euros seront dédiés au fonctionnement de l'ensemble des établissements, notamment pour soutenir le passage à l'autonomie des universités qui passeront aux compétences élargies en 2012, accompagner le dialogue contractuel et poursuivre la dévolution du patrimoine immobilier. Sur 5 ans, l'Etat aura fait progresser de 627 millions d'euros les moyens de fonctionnement, contre 527 millions d'euros sur les 10 précédentes années, afin d'assurer un rattrapage dont nos établissements avaient besoin.
Bâtir le campus de demain : concrétiser le changement

Après l'effort important des années précédentes en matière immobilière, l'année 2012 permet d'accélérer quelques opérations phares: rénovation du campus de Jussieu et opération campus, pour lesquelles 167 millions d'euros d'intérêts seront dédiés au lancement de nouveau chantiers.
Donner à la recherche les moyens d'être compétitive au plus haut niveau mondial
En 2012, l'Etat consacrera 214 millions d'euros supplémentaires en faveur de la recherche.

La dépense de recherche et d'innovation aura progressé de 15% sur 2007-2010, contre 10% sur 2002-2006, notamment du fait de l'augmentation de la dépense publique (+21% sur 2007-2010). L'effort de recherche, mesuré par le ratio dépense intérieure de recherche et de développement/PIB se stabilise à 2,26%.
Les crédits budgétaires augmenteront de 40 millions d'euros. Les organismes de recherche devront réaliser des efforts de gestion, mais bénéficieront d'augmentation de leur masse salariale et de moyens pour tenir les engagements de la France sur les très grandes infrastructures de recherche;
La recherche privée est également très soutenue.

Le crédit impôt recherche, qui s'établit à près de 5,3 milliards d'euros, intervient ainsi comme un amortisseur de la crise et un élément phare d'attractivité.
Dans le cadre des investissements d'avenir, ce sont  20,6 milliards d'euros
(hors opération campus) qui  sont dédiés à la l'enseignement  supérieur, à la recherche, à l'innovation. 9,6 milliards d'euros sont déjà engagés dans 219 projets qui vont changer le quotidien des chercheurs, des étudiants, mais aussi des entreprises et bien plus largement des citoyens. En 2012, les laboratoires bénéficieront de près d'1,3 milliards d'euros de crédits à ce titre.
L'investissement sur l'enseignement supérieur et la recherche est la meilleure réponse à la crise: faire les découvertes qui positionnent notre pays au premier plan mondial, développer la compétitivité de nos entreprises, préparer les emplois de demain et assurer l'insertion de nos jeunes.
Voir aussi sur le blog: Université: l’âge d’or budgétaire est passé, Un bilan qui fait débat.

On the occasion of the budget 2012, Laurent Wauquiez said that Higher Education and Research is the Government's priority for the fifth consecutive year. Complete press kit available for download.
Commitments required over the life

With the budget 2012, budget for higher education and research for the fifth year is the first priority of the Government budget.
This is the realization of the campaign pledge of President of the Republic to make the knowledge economy a pillar of sustainable growth and social development was held. Of 2007-2012, the commitment of the president to spend 9 billion euros in higher education and research is exceeded (with an additional EUR 9.3 billion over the period), regardless of the effort Exceptional carried out as part of Operation campus and investment for the future. More...
30 septembre 2011

How to bring about lasting, system-wide improvement in schooling performance?

http://www.iiep.unesco.org/typo3temp/pics/5ccff4de10.jpgThe International Academy of Education (IAE) and IIEP are launching a new publication
System-wide Improvement in Education
by Ben Levin is the 13th booklet in the Education Policy Series, published jointly by the two institutions. It defines eight principles derived from field evidence, offers practical advice and is designed to be useful for busy policy-makers, decision-makers, educational leaders and others seeking to advance educational improvement. The author illustrates these principles with examples from Ontario (Canada), a province with a diverse population that includes many indigenous communities. The booklet emphasizes the importance of a capacity building and inquiry orientation to change.
Key aspects of this collaborative effort include careful attention to goal-setting, positive engagement, capacity building, effective communication, learning from research and innovation, maintaining focus in the midst of multiple pressures, and use of resources. Effective large-scale change requires careful attention to implementation as well as policy, and to the building of an implementation system that is up to the task of bringing about the necessary changes in daily practice.’ (Ben Levin, author of the booklet).
Ben Levin's new booklet is a comprehensive and insightful account of how systems can ensure reform delivers results. The combination of his knowledge of the literature and personal experience of leadership in the Ontario reform gives the account here unusual power.’ (Sir Michael Barber, Co-writer of McKinsey’s 2010 Report, ‘How the world’s most improved education systems keep on getting better’).
You won't get any closer to a succinct and cogent set of insights on how to achieve “whole system reform” than this booklet on “System-wide improvement in education”. No one integrates inside government reality and external research and evidence like Ben Levin.’ (Michael Fullan, Professor Emeritus, University of Toronto, and Special Adviser on Education to the Premier of Ontario).
The booklet looks very good.  It should help those who are interested in truly improving education systems, rather than paying lip service to improvement or engaging in minimalist efforts.’ (Lorin Anderson, Professor Emeritus, University of South Carolina, Fellow of the International Academy of Education).
Governments and ministries around the world are looking to find better ways to draw upon the growing evidence about what can make a difference in education.  Our ability to use this new knowledge, in ways that work for local contexts, matters for all our children and for the future of our societies. Professor Levin shows how to build on what is working well and accelerate system improvement’. (Adrienne Alton-Lee, Chair of the Editorial Board for the Education Policy Series, International Academy of Education).
About the author:
Ben Levin is Canada Research Chair in Education Leadership and Policy at the University of Toronto. As the Ontario Deputy Minister of Education he helped lead an effort that substantially lifted achievement, and reduced inequity across 5,000 primary and secondary schools in six years. This reform enabled a shift from 55% to 70% of elementary students achieving high levels of literacy and numeracy while committed to a broad, not narrowed, curriculum.  High school graduation rates increased from 68% to 82%. Levin warns of pitfalls in improvement efforts and explains how Ontario drew upon the emerging evidence of what works and how, to lead a guiding coalition for ongoing improvement. 
About the International Academy of Education
The International Academy of Education (IAE) is a not-for-profit scientific association that promotes educational research, its dissemination, and the implementation of its implications. Founded in 1986, the Academy is dedicated to strengthening the contributions of research, solving critical educational problems throughout the world, and providing better communication among policy-makers, researchers, and practitioners.  The seat of the Academy is at the Royal Academy of Science, Literature and Arts in Brussels, Belgium, and its coordinating centre is at Curtin University in Perth, Australia.
The general aim of the Academy is to foster scholarly excellence in all fields of education.  Towards this end, it provides timely syntheses of research-based evidence of international importance.  The Academy also provides critiques of research, its evidentiary basis, and its application to policy.

30 septembre 2011

Responsabilité sociale des entreprises et formation

http://blogtfs.afpa1.host.privilis.com/wp-content/uploads/2011/09/afpacouv-140x150.jpgPar Paul Santelmann, responsable de la prospective à l’AFPA. Matinée de réflexion et de débats le 22 Novembre 2011 autour du n°hors série AFPA/Education permanente en partenariat avec l’AFPA et le CNAM.
Cette matinée d’études vient relayer la publication du hors-série AFPA/Education permanente qui s’est attaqué à la connexion encore improbable entre RSE et formation. Pourtant, l’engagement des entreprises dans une démarche de responsabilité sociale (ou sociétale) présente de nombreux recoupements avec les enjeux de la formation continue. En France, elles relèvent toutes deux d’une mise en conformité avec un univers réglementaire (bien fourni), mais aussi d’une capacité à anticiper, à combiner et à piloter l’harmonisation des rapports entre l’économique et le social.
L’opportunité que représente le développement durable va permettre de revitaliser un dialogue social enfermé dans des représentations où le système de production et les enjeux de société sont appréhendés de façon séparée. En se recentrant sur la question du lien formation/RSE, on retrouve le travail comme fil conducteur des différentes synergies entre les deux dimensions. On peut même avancer qu’il n’y a de rapport conséquent aux savoirs professionnels qu’en y intégrant les différents volets de la RSE, non pas à doses homéopathiques ou comme modules alibi, mais bien comme dimension intégrée d’une réflexion/action sur les pratiques professionnelles. C’est l’objet de cette matinée que de permettre de mieux cerner les implications de ces enjeux et de ces questionnements, pour les entreprises et les organismes de formation.
Lieu: Conservatoire national des arts et métiers, 292 rue Saint-Martin – 75003 PARIS - amphithéâtre C (Abbé Grégoire) accès 16. Métro: Arts et Métiers ou Réaumur-Sébastopol.
Programme

9 h Présentation de la matinée. Paul Santelmann, responsable de la prospective à l’AFPA.
9 h 10 La RSE remet en cause les pratiques sociales, environnementales, économiques et formatives. Vincent Merle, professeur du CNAM.
9 h 40 RSE et formation: pratiques et points de vue des entreprises.
Table ronde animée par Marc Ferracci, maître de conférences à l’Université de Marne-la-Vallée, avec Elisabeth Jaskulke, directrice du développement durable chez Sofiprotéol; Anousheh Karvar, secrétaire nationale de la CFDT; Sophie Thiery, directrice de Vigeo Enterprise; Josiane Vero, chargée d’études au Centre d’études et de recherches sur les emplois et les qualifications (CEREQ).
11 h 15 RSE: quelle implication pour les organismes de formation?
Table ronde animée par Jean Besançon, directeur de l’Université ouverte des compétences, avec: Denis Cristol, responsable de la formation continue d’Advancia et de Négocia (Chambre de commerce et d’industrie de Paris); Bruno Lebatteux, délégué régional du réseau des centres de formation professionnelle et de promotion agricole de Rhône-Alpes (RESORA); Olivier Mouroux, directeur d’AFPA Ingénierie; Débat avec la salle.
12 h 45 Conclusion. Paul Santelmann, responsable de la prospective à l’AFPA.
Bulletin d’inscription
Nom, prénom ……………………………………………….
Institution (qui figurera sur le badge) ………….
Adresse de facturation …………………………………
Adresse électronique ……………………………………
Montant de l’inscription – Ce montant inclut le numéro hors série AFPA/Education permanente qui sera remis aux participants.
- 40 euros
- 20 euros étudiants, chômeurs, retraités (uniquement inscrits à titre personnel, joindre justificatif)
Bulletin à retourner accompagné de votre règlement à: Education permanente, 16, rue Berthollet – 94113 ARCUEIL. N° déclaration existence: 11940430794. Tél 01 58 50 95 30 – fax 01 58 50 05 22. E-mail educperm@wanadoo.fr. www.education-permanente.fr.
http://blogtfs.afpa1.host.privilis.com/wp-content/uploads/2011/09/afpacouv-140x150.jpg Paul Santelmann, odpowiedzialny potencjalnych AFPA. Refleksji i debaty Rano 22 listopada 2011 na całym nr AFPA okolicznościowe/Edukacja we współpracy z AFPA i CNAM.
Badanie to rano jest przekaźnik publikacji okolicznościowe AFPA/ Edukacja, która odbyła się na mało prawdopodobne, połączenie pomiędzy CSR i jeszcze szkolenia.
Jednak zaangażowanie biznesu w procesie społecznej odpowiedzialności (lub społecznych) ma wiele połączeń z wyzwań kształcenia ustawicznego. We Francji, wszystkie one są przedmiotem przestrzegania przepisów świecie (dobrze zaopatrzony), ale także zdolność do przewidywania, do łączenia i napęd harmonizacji stosunków gospodarczych i społecznych.
Możliwość zrównoważonego rozwoju pomoże ożywić dialog zamknięty w reprezentacji, gdzie system produkcji i spraw społecznych są rejestrowane oddzielnie.
Przez skoncentrowanie się na kwestii tworzenia link/CSR, znalazł pracę jako wspólny wątek z synergię pomiędzy dwoma wymiarami. Można nawet powiedzieć, że nie ma związku z wiedzy zawodowej, tak aby integracja różnych elementów CSR, a nie w małych dawkach lub jako alibi modułów, ale jako zintegrowany wymiar refleksji/akcji praktyk zawodowych. To jest przedmiotem niniejszej rano, aby lepiej zrozumieć skutki tych problemów i tych kwestii, firm i organizacji szkoleń. Więcej...
30 septembre 2011

Le site TalentsUniverCité.com

http://www.charte-diversite.com/pics/data/actualites/illustrations/96-1-150.jpgC’est quoi ?
Le site Talents UniverCité, c’est à la fois:
- Un outil gratuit pour tous
- Un site de recrutement pour mettre en relation employeurs (grandes et petites entreprises, associations, ONG, etc.) et étudiants ou jeunes diplômés de l’université
- Un site ressource pour fournir aux étudiants, aux entreprises et aux universités de l’information, des  outils et des conseils personnalisés
- Un site facilitateur pour faire connaître l’ensemble des actions et bonnes pratiques menées par les entreprises, les universités et l’IMS en faveur de l’insertion professionnelle des étudiants, et ainsi donner à d’autre l’envie de s’engager
Quels services gratuits pour vos étudiants?

Pour les étudiants et les jeunes diplômés, c’est un moyen de:
- Trouver un emploi, une alternance ou un stage en France et à l’étranger
- Obtenir de l’information (témoignages, actualités, conseils…) pour faciliter leur orientation et les aider à construire un parcours professionnel
- Participer à des évènements organisés par l’IMS et ses partenaires pour faciliter l’accès à l’emploi de ces étudiants.
Les actions à destination des universités :
Favoriser le recrutement de vos étudiants via une plateforme web gratuite dédiée à l’insertion professionnelle des étudiants et jeunes diplômés

Talents UniverCité est un site qui a pour vocation de mettre en relation étudiants et entreprises, via des offres de stages, d’alternance et d’emploi.
Sur TalentsUniverCité, vous pouvez :
- Obtenir de l’information et des pistes de travail pour développer vos relations avec les entreprises
- Donner de la visibilité et valoriser votre engagement en faveur de l’insertion professionnelle de vos étudiants
- Témoigner de vos engagements et de vos actions menées avec les entreprises
Semaine Entreprises/Universités :
Du 5 au 9 décembre prochain, l’IMS organise une semaine Entreprises & Universités avec des actions partout en France. 50 entreprises, 9 Universités participeront à des ateliers coaching, cafés pour l’emploi, présentations de métiers….
Un événement le 9 décembre au matin sur Paris sera l’occasion :
- de revenir en images et avec des témoignages sur les actions menées tout le long de cette semaine
- et de réfléchir autour d’un débat intitulé « partenariats entreprises & universités: comment aller plus loin et mieux travailler ensemble ? »
L’édition 2011 est complète à ce jour. Nous vous invitons à nous contacter pour tout renseignement dans le cadre de la prochaine édition 2012.
Pour aller plus loin : optimisez vos partenariats avec les entreprises !

Afin de faciliter les collaborations entre l’université et le monde de l’entreprise, L’IMS vous propose une formation autour de 6 modules pédagogiques :
- Etat des lieux de vos relations entreprises
- Rôles, fonctionnement et attentes de l’entreprise
- Le recrutement en entreprise
- La prospection d’entreprises
- Actions à mettre en place avec les entreprises, méthodologie
- Suivi, évaluation, valorisation des partenariats
L’objectif de cette formation est d’aider votre université à mettre en place des actions concrètes et pérennes en faveur de l’insertion professionnelle de vos étudiants et de formaliser des partenariats durables avec les entreprises.
Public de la formation :
BAIP et SCUIO, Services relations entreprises, Missions Handicap, Responsables filières, CFA, Salariés de fondations, Élus des associations étudiantes représentatives, Conseil d’Administration et Conseil Scientifique…
http://www.charte-diversite.com/pics/data/actualites/illustrations/96-1-150.jpg Mis see on?
Talents UniverCité kohas, siis on nii:

- Tasuta vahend kõigi

- Värbamise saidi link tööandjad (suured ja väikesed ettevõtted, assotsiatsioonid, valitsusvälised organisatsioonid jne.) Ja õpilased või vilistlased Ülikool

- Ressursi sait on pakkuda õpilastele, ettevõtete ja ülikoolide teabele, vahenditele ja personaalset

- Saidi abistaja teada kõiki meetmeid ja tavasid, mida ettevõtjad, kõrgkoolid ja IMS tööalast õpilased ja nii annab teisele soov tegeleda
. Velle...
30 septembre 2011

La VAE est désormais en voie de simplification, PACA pilote

http://www.isae.fr/modules/resources/download/default/Acces%20directs/img/logo%20sud%20ouest.jpgLa validation des acquis par l'expérience souffre encore de lourdeurs administratives. Sa simplification pourrait permettre un meilleur accès à l'emploi dans les SAP. La validation des acquis de l'expérience (VAE) permet à toute personne engagée dans la vie active de demander la validation de son expérience. Ceci dans le but d'obtenir un diplôme, un titre professionnel ou un certificat de qualification.
L'activité peut être salariée ou non, voire bénévole, mais le demandeur doit justifier d'au moins trois ans d'exercice, que ce soit en continu ou en discontinu, à temps plein ou partiel.
Des démarches longues

Reconnue comme un droit individuel, la VAE est encore peu utilisée. Sans doute parce que les démarches sont encore longues, voire compliquées.
Le processus s'effectue en effet en 6 étapes: le diagnostic de la VAE, la vérification de l'adéquation entre la certification et les compétences acquises, le dossier de recevabilité, l'accompagnement du candidat à la VAE, la validation des acquis par un jury, et enfin la décision du jury. Le tout peut prendre jusqu'à 18 mois.
Une porte d'accès pour les Services à la personne

Il paraît cependant évident que la VAE est une porte d'accès intéressante pour les personnes désirant exercer dans les services à la personne.
Selon Monique Bosquain, responsable de la professionnalisation à l'ANSP, « 83% des salariés dans les SAP ont plus de 3 ans d'expérience. En outre, 31% n'ont pas de diplôme. Or, il existe aujourd'hui une soixantaine de certifications de tous niveaux permettant d'accéder aux services à la personnes via les VAE ».
L'Agence nationale des services à la personne (ANSP) et Pôle emploi ont donc décidé de simplifier les procédures et testent un nouveau dispositif dans trois régions test: PACA, le Limousin et les Pays de la Loire, avant de le généraliser dans toute la France en 2013.
http://www.modernisation.gouv.fr/fileadmin/imgs/build/header_index.gifLe député Franck Riester et son groupe d’experts du numérique ont remis à Valérie Pécresse leur 2e rapport sur "Amélioration de la relation numérique à l'usager". 15 propositions du rapport seront soumises aux internautes sur le site qui donne la parole aux usagers: ensemble-simplifions.fr. Télécharger les nouvelles mesures.
Une nouvelle vague de 20 simplifications est engagée aujourd’hui pour les particuliers:

10- Améliorer l’information, l’orientation et le conseil des candidats à une validation des acquis d’expérience via le site vae.gouv.fr.
Près de 75000 candidats s’inscrivent chaque année dans une démarche de VAE et plus de 8000 certifications professionnelles différentes sont accessibles. La densité de l’offre entraine une hétérogénéité des pratiques et des modalités d’entrée dans un parcours Vae. Afin de simplifier le parcours des candidats, il leur sera proposé au 2ème trimestre 2012 un service en ligne afin de les guider dans leurs choix.
http://www.isae.fr/modules/resources/download/default/Acces 20directs/img/logo%%% 20sud 20ouest.jpg Validation of the experience is still suffering from red tape. Simplification would allow better access to jobs in SAP. The accreditation of prior learning (APL) allows any person engaged in the labor force to seek validation of his experience. This in order to graduate, a professional designation or certification. The activity can be employed or, if voluntary, but applicants must have at least three years in office, either continuously or intermittently, in full or part time. The National Agency of Human Services (ANSP) and employment center has decided to simplify procedures and test a new system test in three regions: PACA, Limousin and Pays de la Loire, before the widespread throughout the France in 2013.
http://www.modernisation.gouv.fr/fileadmin/imgs/build/header_index.gif Franck Riester MP and his group of experts have given to the digital Valérie Pécresse their second report on "Improving the numerical relation to the user".
15 proposals in the report will be submitted to internet users are on the site that gives voice to users: all-simplifions.fr. Download the new measures.
10 - Improving information, guidance and counseling of candidates for accreditation of prior experience through the site vae.gouv.fr. More...
29 septembre 2011

Un bilan qui fait débat

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Isabelle Ficek. L'enseignement supérieur et la recherche restent une priorité nette, même si nous devons participer à l'effort collectif », a martelé hier le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Laurent Wauquiez,qui affiche des crédits de paiement en hausse de 1% à 24,86 milliards (hors pensions) - pour une inflation prévue à 1,7% - et sans suppression de poste. Côté enseignement supérieur, figurent notamment 91 millions d'euros pour la vie étudiante (10e mois de bourse, etc), 191 pour la masse salariale (dont les cotisations retraite), et peu pour les moyens de fonctionnement des établissements (universités et établissements des ministères Recherche, Agriculture et Finances) avec une progression de 46 millions. Côté recherche, les crédits budgétaires progressent de 0,4%. Quant au crédit d'impôt recherche (CIR), il continue son ascension, avec un coût évalué à 5,3 milliards (mais il s'agit d'une dépense fiscale et non d'un crédit budgétaire). Les engagements sont-ils tenus pour ce quinquennat? En 2007, le chef de l'Etat avait annoncé 9 milliards supplémentaires pour la mission. Il avait aussi fixé pour objectif en 2012 un effort de recherche de 3% du PIB, contre 2,08% en 2007. Or il stagne, en 2010, à 2,26%, malgré l'effort considérable sur le CIR en cinq ans. « Bougez-vous, messieurs du privé! », a lancé Laurent Wauquiez, pointant un effort moindre que celui du public. Pour le reste, il a assuré que « l'engagement présidentiel » était « tenu », hors investissements d'avenir et hors opération Campus. Il a pointé, depuis 2007, une hausse des moyens de fonctionnement de 25%, un rattrapage sur la dépense moyenne par étudiant par an (+10,2% à 11430 euros), et agrégé, pour atteindre 9,3 milliards d'euros d'augmentation de moyens sur cinq ans 4,6 milliards de crédits budgétaires supplémentaires, la dépense fiscale du CIR ou encore des intérêts de l'opération campus...
Un décompte contesté par les syndicats, Sauvons la recherche, mais aussi les présidents d'université, qui pointent des changements de périmètre, l'agrégation de moyens budgétaires et extrabudgétaires, notamment. « L'engagement n'a pas été tenu; pour autant qu'on puisse y voir clair, la hausse avoisine les 4,5 milliards mais en comptant la dépense fiscale du CIR, qui a tout siphonné », dénonce Isabelle This Saint-Jean, chargée du secteur dans l'équipe de Martine Aubry et à la région Ile-de-France. Le groupe Marc Bloch, qui réunit 59 dirigeants de l'enseignement supérieur, a relevé sur son secteur une hausse de 1,7 milliard sur le quinquennat. La Conférence des présidents d'université (CPU), qui reconnait un effort réel, s'est inquiétée, dès le budget 2011, de sommes ne permettant d'assurer ni le fonctionnement des universités ni les nouvelles charges engendrées par leur autonomie. Deux points de négociations complexes avec l'Etat.
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.png Isabelle Ficek. Szkolnictwo wyższe i badania naukowe jest bardzo wyraźny priorytet, nawet jeśli bierzemy udział w zbiorowym wysiłkiem ", podkreślał wczoraj Ministra Szkolnictwa Wyższego i Badań Laurent Wauquiez, który wyświetla kredytów płatności o 1% do 24,86 miliardów (z wyjątkiem emerytur) - dla prognozowana inflacja na poziomie 1,7% - i bez redundancji. Side szkolnictwa wyższego są szczególnie € 91 mln euro na studenckie życie (10 miesiąc nauki, itp.), 191 dla funduszu płac (w tym składki emerytalne), a trochę na sposób działania instytucji (uczelnie i instytuty badawcze, Rolnictwa i Finansów) ze wzrostem o 46 milionów euro. Strony badawczej, budżet zwiększył się o 0,4%. Jeśli chodzi o ulgi podatkowej badań (CIR), to wciąż rośnie, z której koszt szacuje się na 5,3 mld euro (ale jest to koszt podatkowy, a nie środków). Więcej...
29 septembre 2011

What role for the EU in an era of austerity?

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Cecile Hoareau. How does the recession affect higher education in Europe and what impact will it have in the future? Public funding represents on average 75% of European universities' income. The majority of European Union member states have announced budget cuts in higher education. France and Germany have decided to invest in higher education. The Nordic countries remain unaffected.
Budgetary cuts no doubt appear significant. But it is difficult to get a full measure of their magnitude without geographic and longitudinal comparisons. For example, 70% of states in the US have experienced cuts in public spending allocated to higher education, in comparison to 66% in the European Union. The fact that cuts in public spending on higher education are an international phenomenon implies a somewhat lesser decrease in international competitivity for Europe. Moreover, these cuts actually match long-term changes in the economics of higher education.
Cuts in public budgets lead to various coping strategies, for example increasing tuition fees and class sizes, limiting permanent employment and allocating more targeted and competitive funding as opposed to block funding, which leads to a potential fragmentation of universities' budgets and management. The case of England is particularly telling. England announced much-publicised cuts to its public budget for higher education in the winter of 2010 and strong reactions followed. The Secretary of State Vince Cable and his Higher Education Minister David Willetts announced a whopping reduction of 56% in teaching capital and of 22.91% for the recurrent grant for teaching between 2010 and 2013.
In fact, the changes in budgetary allocation are more significant than changes in public spending per se. The government is channeling funding to higher education institutions away from the central funding agency, the Higher Education Funding Council for England, and through the intermediary of students via a mixture of universal maintenance grants and income-contingent loans. These loans are not cost free to the public purse and remain heavily subsidised by the Department for Business, Innovation and Skills.
This reorganisation of the allocation of funding undeniably poses a varied set of challenges for higher education institutions, mostly because it significantly increases higher education institutions' dependency on students' willingness to pay. But as far as the government's involvement goes, the picture is less drastic than it looks at first sight. The budget allocated to research admittedly decreases temporarily, but is predicted to progressively increase from 2012. Moreover, higher education remains free upfront with every student eligible for a universal maintenance grant.
In a loan format not fully dissimilar to a targeted tax, graduates and not students pay for their fees. And this repayment is significantly subsidised by the government through the income-contingent threshold, for example. In fact, the government may end up subsidising students to a greater extent than it did before, since the maintenance grant has risen for the most disadvantaged and the repayment threshold has increased. England is just one example of how European governments are looking to adapt to public spending cuts in higher education. What is the wider significance for the European Higher Education Area? Should we expect to see more integration in higher education as a result of the recession, or more disintegration?
On the one hand, the current pessimism regarding the future of the Eurozone dampens any claims of future integration for higher education. But on the other hand, a reduction in national governments' spending power could tip the balance of power toward the EU for more integration.
This is an audacious claim for many. But previous recessions often triggered significant reforms and more European integration. The Single European Act followed the recession of the early 1980s and the Treaty of Maastricht was concurrent to the recession of the 1990s. A recession creates a rationale for and, for better or worse, opens up a window of opportunity for legitimate reforms. In the United States, federal intervention in higher education takes two forms; direct support to higher education institutions and financial aid to students. The US federal government has acted on both levels.
Direct federal support for higher education institutions, adopted as part of its stimulus package, does not compensate for the shortfall in state funding, but has reduced the decline in state funding. But the federal government has also acted on the budget allocated to financial aid to students, through Pell grants and student loans. Here again, more significant than spending figures are changes in the modes of allocation of federal aid. The federal government has acquired sole responsibility for the allocation of federal student loans, which were previously allocated by private lending institutions. This centralisation changes the student loan market in the US and allocates large powers to the federal government.
This increase in federal powers is more dormant in the European Union. The EU's influence on higher education remains limited, the EU having invested EUR7 billion (US$9.5 billion) in higher education (its lifelong learning programme) over 2007-13, a relatively insignificant amount in comparison to the US's investment of US$149 billion in financial aid alone. Nevertheless, the European Union has manoeuvred a progressive increase in its powers over the past decades and has expanded cooperation programmes and benefited from large-scale European initiatives such as the Bologna process.
This progressive increase in powers has extended to direct support to individuals, a grant allocated to support mobility programmes and plans for the introduction of a publicly subsidised EU-wide student loan scheme. Deeper integration in higher education policy is likely to occur for several reasons. This is because, once public spending is allocated, it is difficult for a federal government to reduce its appropriations. Policies create long-term commitment.
Generally speaking, a federal-level commitment to supporting welfare state policies reduces the chances of it not doing so in the future. The economic recession means that there is more incentive for states to pressure federal institutions to keep high funding levels or to increase them. It is easier for the federal government in both the US and the EU to generate capital through bonds than for some states, which have a lower credit rating on the capital market.
The states that contribute the most to the federal budget would clearly be expected to be more resistant to further integration. But the voting rules actually limit the veto powers of big states in the European Council. The requirement to obtain a qualified majority means that it is possible to adopt EU legislation without the agreement of Germany, France and the UK. Hence, as state spending becomes more and more constrained in this economic climate, the EU will increase in influence, both in terms of spending and competencies, resulting, in the case of the EU, in deeper integration.
In higher education, preliminary signs of a more significant influence at the EU level, at least in terms of spending power, are taking place in the negotiations over the budget. The fund for the flagship higher education programme Erasmus is tipped to increase by 71% in the 2014-20 budget, making education the area with the highest budget increase. This budget would double the number of youths, students and academics involved in mobility programmes from 400,000 to 700,000 to 800,000 each year.
So it is likely that the EU, provided it survives the debt crisis currently shaking the foundations of the Eurozone, will continue down a path of deeper integration in higher education, manifested at least by an increase in the budget allocated to higher education. Deeper integration admittedly does not only mean an increase in the public budget.
A new political impulse and fresh ideas have yet to emerge in the European Higher Education Area since the Bologna process reached its 2010 target. Such an impulse would require policy innovators as well as provide a window of opportunity that parallels the one of the late 1990s.

29 septembre 2011

Université: l’âge d’or budgétaire est passé

http://cdn.pearltrees.com/s/preview/index?urlId=14157776Par Philippe Jacqué. Au début de l'année, l'ancienne ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse parlait d'âge d'or de l'université. D'anciens directeurs de l'enseignement supérieur s'émouvaient de la chance de Patrick Hetzel, l'actuel titulaire du poste, de pouvoir distribuer non pas quelques dizaines de milliers d'euros mais plusieurs centaines de milliers, voire quelques millions, aux universités chaque année. Il faut croire que l'époque des budgets "bénis pour l'université" est bel et bien derrière nous.
Si en 2012, l'enseignement supérieur est toujours l'une des "priorités budgétaires", selon Laurent Wauquiez, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, les universités ne devraient pas voir franchement augmenter leurs moyens. Le budget du secteur va augmenter de 769 millions d'euros, mais seulement 46 millions d'euros (hors masse salariale) iront directement aux établissements (+0,4 %). Avec une inflation prévue de 1,7 %, la majorité des universités verront dans les faits reculer leur subvention en 2012. Près de 191 millions d'euros seront dépensés en matière de masse salariale.
Un effort pour les étudiants

Avec 91 millions d'euros supplémentaires, le budget "vie étudiante" permet de financer le dixième mois de bourse est bien budgété et de poursuivre l'investissement dans le logement étudiant. En revanche, les organismes de recherche devront encore une fois se serrer la ceinture. Comme 2011, 2012 s'annonce difficile dans les laboratoires qui ne bénéficient pas d'autres ressources contractuelles (Europe, ANR, investissements d'avenir). 49 millions d'euros supplémentaires sont annoncés pour les organismes de recherche, dont 47 millions d'euros pour la seule masse salariale. L'Agence nationale de la recherche voit pour sa part baisser ses crédits de 12 millions d'euros.
Un effort pour les entreprises

Il y a un autre poste de dépenses qui ne connaît pas la crise: le crédit impôt recherche (CIR). Cette dépense "fiscale" doit représenter en 2012 5,3 milliards d'euros, contre un peu plus de 5 milliards cette année. Malgré cette aide importante publique au secteur privé, la part de la dépense privée en matière de recherche poursuit sa stagnation. Pour Laurent Wauquiez, "nous devons conserver ce CIR, car il permet l'installation en France de centres de recherche et développement. Grâce à ce dispositif, l'investissement en recherche et développement n'a pas plongé avec la crise, mais il a légèrement augmenter".
Un effort pour l'université

Quant au budget de son secteur, le ministre assure qu'"il fait toujours parti des priorités du gouvernement, puisqu'il n'est pas concerné par le non-remplacement d'un départ sur deux à la retraite, mais il est également astreint à l'effort collectif". D'autant plus, poursuit Laurent Wauquiez, que sur l'ensemble du quinquennat, les moyens alloué au secteur auront bien augmenté de 9 milliards d'euros, dont la moitié pour le CIR. Un bilan que se refuse à partager, par exemple le groupe Marc Bloch, qui a calculé une augmentation du budget de 1,7 milliards en cinq ans.
http://cdn.pearltrees.com/s/preview/index?urlId=14157776 Philippe Jacques. Varem sel aastal, endine kõrghariduse Valerie Pécresse rääkis kuldajal ülikoolis. Endiste juhtide kõrghariduse viidi õnnelik, et Patrick HETZEL praegune pandud, mitte levitada kümneid tuhandeid dollareid, kuid sadu tuhandeid, isegi miljoneid ülikoolid igal aastal. Tundub, et aeg eelarved "õnnistatud jaoks ülikool" on hästi ja tõeliselt möödas.
Kui aastal 2012, kõrgharidus on ikka üks "eelarve prioriteete," ütles Laurent Wauquiez, minister kõrghariduse ja teadustöö, peaksid ülikoolid ei näe ausalt suurendada oma vahenditega.
Eelarve sektor kasvab 769000000 €, kuid vaid 46 miljonit eurot (va palgafond) läheb otse koolides (0,4%). Koos oodatava inflatsiooni 1,7%, enamik ülikoole tegelikult vähendada oma toetust 2012. Ligi 191000000 € kulutatakse palgal. Velle...
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