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Formation Continue du Supérieur
15 janvier 2015

Master, mastère, MBA... s'y retrouver dans les appellations

En France l’appellation et la délivrance des diplômes de niveau bac+5 sont encadrés par la loi. Cela n’empêche pas nombre d’écoles de contourner la réglementation. Avant de s’engager dans des cursus prenez le temps de bien comprendre l’offre. Master, mastère spécialisé, master of sciences, mastère en sciences, master of business administration… A quelle appellation se fier ? Petit guide pour choisir en connaissance. Voir l'article...

15 janvier 2015

Réussir en licence

Chaque année, plus de 150 000 jeunes découvrent l’université. Nouvelles dimensions, nouveaux rythmes, autres repères… Pour bien négocier la transition lycée-université, il faut savoir s’adapter rapidement.
Comment organiser son temps et travailler efficacement dès la rentrée ? Comment choisir sa filière et composer son programme de cours ? Comment se faire aider dès le 1er semestre ? Ce dossier "spécial université" apporte des réponses aux (futurs) étudiants.
Conseils pratiques, témoignages d’enseignants, vidéos d’étudiants… tout ce qu’il faut savoir pour réussir ses années de licence. Et aussi, un quiz pour tester ses connaissances sur la fac. A vous de jouer. Voir l'article...

15 janvier 2015

Après le bac > La licence professionnelle

Envie de poursuivre des études en licence professionnelle ? Le point sur l’inscription, l’organisation et la validation de cette formation en 1 an. Objectif : permettre à des diplômés bac + 2 de se spécialiser ou d’acquérir une double compétence. De quoi trouver du travail, sur des postes de cadre intermédiaire.

L’accès
Le licence professionnelle s’adresse à des titulaires d'un bac + 2 qui souhaitent acquérir un niveau de qualification supérieur, une spécialisation plus fine dans un domaine proche du leur ou une double compétence.
Diplômes requis

  • DUT (diplôme universitaire de technologie),
  • BTS/BTSA (brevet de technicien supérieur/agricole),
  • DEUST (diplôme d’études universitaires scientifiques et techniques)
  • L2 (2e année de licence validée/120 crédits ECTS - European Credits Transfer System)

Recrutement
Il s’effectue sur dossier et entretien de motivation. Sont étudiés le parcours d’études (diplôme obtenu, spécialité suivie, résultats obtenus), les stages et les activités personnelles dénotant une connaissance ou un intérêt pour le secteur visé.

La validation des études
Évaluation.
La validation des études s’effectue soit en contrôle continu, soit en examen final, soit en combinant les deux.
Le projet tutoré comme le stage font l’objet d’un mémoire, évalué lors d’une soutenance orale.
Intégrée au LMD, la licence pro est validée par 60 crédits ECTS
La licence pro est validée si l’étudiant obtient 10/20 de moyenne générale sur l’ensemble des UE, et une moyenne de 10/20 au projet tutoré et au stage en entreprise.
Diplôme national
La licence professionnelle a la même valeur quel que soit l’établissement universitaire qui la délivre. La licence pro confère le grade de licence, un niveau de référence identique partout en Europe. Voir l'article...

15 janvier 2015

Langues : bien choisir son master

Enseignement, traduction, tourisme, commerce international… les spécialités de masters associant la maîtrise d’une ou plusieurs langues étrangères à d’autres compétences ne manquent pas ! Comment se préparer, parfois dès la licence, et bien choisir sa formation ? Quelle sélection y pratique-t-on ? Quelques pistes pour s’y retrouver.
Quel que soit la spécialisation visée, la licence (3 ans) reste l’étape incontournable pour acquérir des bases et envisager une poursuite d’études en master. Pour ceux qui souhaitent s’orienter en master MEEF (métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation) afin d’enseigner, la licence pose les bases des apprentissages disciplinaires.
Mentions les mieux adaptées : LLCE, qui met l’accent sur l’étude d’une langue, les cours de civilisation et de littérature, ou encore une licence de lettres avec un parcours FLE, pour  ceux dont le projet est d’enseigner le français à un public de non-francophones. En L3, il existe de nombreux parcours de sensibilisation aux métiers de l’enseignement. Du côté de la traduction, les parcours dédiés sont peu nombreux et débutent généralement en L2. Les parcours de licence LEA sont, eux, ciblés sur la maîtrise de deux langues appliquées au monde de l’entreprise. En L3, des parcours visent à compléter les compétences en langues avec des cours de droit, économie ou gestion.

Sélection : faire la différence
Attention, quelle que soit la spécialisation visée, la majorité des masters en langues effectuent une sélection sévère, le plus souvent en M2. Ceux de la filière LEA accueillent un nombre significatif d’étudiants issus d’une licence LEA mais pas seulement… les candidats viennent de divers horizons (LLCE, mais aussi économie, gestion, écoles de commerce, par exemple). L’essentiel est de maîtriser une à deux langues et d’afficher une solide motivation. Il est important de bien choisir ces parcours de pré orientation, mais également de savoir argumenter sur son projet professionnel, ses expériences (stages, séjours longs…) à l’étranger, en affichant un bon niveau de langues. Voir l'article...

15 janvier 2015

Etudes de langues : LEA ou LLCE ?

Il y a plusieurs façons d’apprendre les langues à l’université. Si la filière LEA (langues étrangères appliquées) mise sur la maîtrise de deux langues étrangères appliquées à l’entreprise, LLCE (langue, littérature et civilisation étrangère) s’attache à former des spécialistes d’une langue et d’une culture.

LLCE : plutôt pour les littéraires
En moyenne, plus de 50 % des étudiants de LLCE (langue, littérature et civilisation étrangère) étaient titulaires d’un bac L. La raison ? Cette formation théorique et très littéraire convient bien à ces profils. Les étudiants approfondissent une seule langue étrangère, à travers sa littérature et son histoire, grammaire et linguistique à l’appui. Romans, poésie, découverte d’un pays à travers les grandes étapes de son histoire … le programme s’adresse d’abord aux passionnés de littérature et de civilisation. "Il s’agit d’études de langues "classiques". Il ne suffit pas d’être un bon élève de terminale en espagnol ou en allemand, par exemple. Sans être forcément titulaire d’un bac L, il faut vraiment aimer la littérature pour se sentir à l’aise dans cette filière", résume Sandrine Deloor, directrice de la licence LLCE espagnol à l’université de Cergy-Pontoise.

LEA : les langues des affaires
De son côté, la filière LEA (langues étrangères appliquées) propose une autre approche des langues vivantes, résolument appliquées au monde de l’entreprise. Les étudiants approfondissent non pas une mais deux langues étrangères. Titulaire d’un bac ES, Clément n’a pas regretté son choix. "J'ai vraiment apprécié les matières d'application comme le commerce international, la gestion de projet ou encore l’économie internationale, souvent enseignées par des intervenants issus du monde de l'entreprise. Les exemples étaient concrets, étayés par des exemples", explique ce jeune commercial export trilingue.

Bien cerner les débouchés de ces licences
À l’image des programmes, les débouchés offerts par les deux filières affichent leurs différences.
LLCE : enseignement et traduction
LLCE reste la voie royale pour ceux qui visent l’enseignement (notamment le Capes), via un master.
Si la filière forme des spécialistes d’une langue étrangère et du ou des pays d’expression, elle n’exclut pas une poursuite d’études dans des écoles de traducteurs et d’interprètes. Un projet à préparer dès la L1, en prenant en option une seconde langue vivante, exigée dans les écoles spécialisées...
LEA : plus tournée vers l’entreprise
La filière LEA offre une large palette de débouchés dans le monde de l’entreprise : commerce international, gestion de projets interculturels…
La majorité des étudiants poursuit dans l’un des nombreux masters LEA, avec des spécialisations appréciées en import-export, logistique, marketing ou encore traduction spécialisée. Voir l'article...

15 janvier 2015

Après le bac > Licence : les mentions du domaine arts, lettres et langues

De la musique à l’archéologie en passant par la médiation culturelle, l’étude des langues (grammaire, syntaxe, vocabulaire…) et des civilisations du ou des pays d’expression (littérature, histoire, société…), le domaine d’études Arts, lettres et langues est vaste et les différentes mentions de licence bien spécifiques.
Les licences de lettres et de langues apportent un socle de connaissances générales recherchées dans d’autres domaines : documentation, communication, édition, journalisme, traduction, tourisme, commerce… Quant aux licences d’art, elles apportent une culture indispensable. Elles doivent être complétées par une spécialisation dans un autre domaine : droit, économie, management, médiation culturelle…

Accès aux licences du domaine
Les titulaires du bac L sont majoritaires dans les licences de ce domaine. Suivre certains enseignements de spécialité (en langue ou en art) au lycée ouvre parfois un accès prioritaire à ces mentions. Néanmoins, les titulaires d’un bac ES ou S peuvent postuler.
Les bacheliers technologiques et professionnels sont moins préparés pour continuer en filière littéraire, mais certains bacs techno permettent de s’inscrire dans les mentions de licence correspondant à leur spécialité d’origine : option instrument du bac TMD pour la licence musique et musicologie ou sciences et technologies du design-arts appliqués (STD2A) pour la licence arts.
Pour les mentions artistiques, mieux vaut postuler avec une pratique artistique préalable : cours de dessin, atelier de théâtre, formation en musique ou en danse au sein d’un conservatoire, etc. En musique, les étudiants sont parfois admis après audition ou tests de niveau.=
Si les licences sont ouvertes de droit aux titulaires du bac, l’inscription dans les filières de langues vivantes n’est pas automatique. Très demandées, les mentions de langues vivantes ne peuvent accueillir tous les bacheliers qui en font la demande via le site Admission-postbac (APB). Aussi, les universités sélectionnent les élèves de terminale sur dossier et tests de langues.

Accès en cours de licence
Possibilité d’accéder à la L2 ou L3 (2e ou 3e année de licence) pour ceux qui ont déjà suivi 2 années enseignement supérieur, notamment prépas littéraires ou écoles supérieures d'art.

Mention langues, littératures et civilisations étrangères et régionales
Pour qui
? Les bacheliers maîtrisant à la fois une langue vivante étrangère ou régionale (quelle qu’elle soit) et le français. Ainsi que les bacheliers ayant un réel intérêt pour la langue et la culture étudiées, ainsi qu’un bon niveau d’expression écrite et orale. Tous les bacheliers peuvent postuler.
Autre qualité attendue : de la curiosité pour la culture de la région ou des pays d’expression, notamment la littérature et l’histoire.
Avoir suivi un enseignement de spécialité langues au bac L ou être passé par une section linguistique au lycée est un avantage.
Au programme : anglais, allemand, espagnol, italien, mais aussi arabe, chinois, japonais, hébreu, polonais, russe, suédois… l’éventail des langues étrangères possible est large. Même variété du côté des langues régionales : basque, breton et celtique, catalan, créole, langue d’Oc, langue et culture corses, langues océaniennes, langues polynésiennes, occitan ou tahitien. Néanmoins, toutes les universités ne proposent pas l’ensemble des langues.
Assez littéraire, la formation s’appuie sur un socle d’enseignements en langue, en littérature, en compréhension écrite et orale de la langue choisie. Les étudiants approfondissent la grammaire et s’initient à la pratique de la traduction écrite et orale (thème et version) de textes littéraires et de textes de presse. Une étude approfondie de la phonétique et de la linguistique de la langue choisie est également au programme.
La formation s’appuie sur la culture et la littérature du (ou des) pays d’expression. Cette mention vise l’acquisition d’une culture propre à une langue étudiée.
L’un des objectifs est d’apporter une bonne maîtrise écrite et orale de la langue étudiée, ainsi qu’une connaissance de la civilisation à travers l’étude de la géographie, de l’histoire, des institutions, de la culture…
Et après ? Poursuite d’études conseillée en master (2 ans), idéalement dans la continuité du parcours professionnel choisi en L3. Inscription en  master MEEF (métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation) pour préparer les concours du professorat des écoles ou du secondaire (CAPES et agrégation, mais aussi CAPLP lettres-langues). Attention, pour les langues régionales, très peu de postes aux concours.
Autre possibilité : rejoindre un IEP (institut d’études politiques) ou une école spécialisée (communication, traduction, interprétation…).
L’accès à la fonction publique européenne ou au ministère des affaires étrangères se fait sur concours : les lauréats ont souvent un bac + 5, voire un double profil droit-langue.
En savoir plus :

15 janvier 2015

Après le bac > Licence : les mentions du domaine sciences humaines et sociales

Philosophie, histoire, géographie, théologie, psychologie…. Des mentions bien distinctes mais qui ont en commun d’être souvent plus exigeantes que prévu. Des études que l’on entreprend par goût personnel et pour la culture générale..

Accès aux licences du domaine
Les mentions de ce domaine d’études accueillent en 1re année (L1) des bacheliers généraux (L, ES, S) principalement.
Une bonne culture générale et une très bonne maîtrise de la langue française sont des atouts essentiels.

Accès en cours de licence
Possibilité d'entrer en L2 ou L3 (2e ou 3e année de licence), sur dossier, pour ceux ayant déjà effectué 2 années d'enseignement supérieures, notamment les sortants de prépas littéraires voir les titulaires d'un DUT infocom.

Les principales mentions en sciences humaines et sociales. Voir l'article...

15 janvier 2015

Après le bac > Les licences

A la rentrée 2014, les licences se déclinent en 45 mentions réparties sous 4 domaines d’enseignement. A noter le rattachement de certaines mentions à un domaine peut varier d’une université à l’autre. Pour vous y retrouver, voici un dossier spécial qui vous présente les différentes mentions de la nouvelle nomenclature auxquelles vous pouvez vous inscrire sur APB dès cette année.

Les licences du domaine Arts, lettres et langues.
Le domaine d'études Arts, lettres et langues propose 9 différentes mentions de licence : arts ; arts plastiques ; arts du spectacle ; musique et musicologie ; lettres ; langues, littératures et civilisations étrangères et régionales ; langues étrangères appliquées ; sciences du langage ; lettres, langues. Des études que l'on entreprend par goût personnel et pour la culture générale.
Les licences du domaine Sciences humaines et sociales.
Les mentions proposées en licence du domaine Sciences humaines et sociales sont au nombre de 12  : humanité ; sciences de l'homme, anthropologie, ethnologie ; histoire ; information et communication ; histoire de l'art et archéologie ; géographie et aménagement ; sociologie ; psychologie ; sciences de l'éducation ; philosophie ; sciences sociales ; théologie. Au programme : des parcours bien distincts mais qui ont en commun d’être souvent plus exigeantes que prévu. Voir l'article...

15 janvier 2015

Que faire après le bac ? Valider ses acquis professionnels

Vous avez quitté l'école sans le bac ? Il existe des solutions vous permettant de reprendre des études supérieures, passer des concours d'entrée en écoles ou encore valider vos acquis professionnels.

Valider ses acquis professionnels
Dans le cadre de la validation des acquis de l’expérience (VAE), il est possible d’obtenir tout ou partie d’un diplôme (bac pro, BTS, DUT...) ou d’un titre professionnel (CQP, titre homologué au RNCP...) avec 3 ans d’expérience au minimum. En savoir plus : portail de la VAE. Voir l'article...

15 janvier 2015

Que faire après le bac ? Préparer le diplôme d'accès aux études universitaires (DAEU)

Vous avez quitté l'école sans le bac ? Il existe des solutions vous permettant de reprendre des études supérieures, passer des concours d'entrée en écoles ou encore valider vos acquis professionnels.

Préparer le diplôme d'accès aux études universitaires (DAEU)
Comme le bac, le DAEU permet une poursuite d'études supérieures.
Pour le préparer, en 1 an, il faut avoir au moins 24 ans (ou 20 ans et 2 ans d’activité professionnelle). Il faut donc attendre 2 à 4 ans après son échec au bac pour s’y inscrire.
Le DAEU a 2 options :

  • A, littéraire, juridique (français-langues, options : histoire, géographie, mathématiques...)
  • B, scientifique (français-mathématiques, options : physique, chimie, sciences de la nature et de la vie).

Se renseigner auprès du service de formation continue des universités.
Le centre national d'études à distance (Cned) propose une préparation à distance. Voir l'article...

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