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Formation Continue du Supérieur
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18 août 2013

Future Directions conference promotes skills for employment in university courses

http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTL34Z8VGZ59odiJSaF-K2sZ0O5_C-l6WpEDInat7p3bMiGnqtOJ-SEjwThe latest Future Directions conference was an opportunity for academics, careers advisers and university managers to share their experiences about how to make the sort of skills required in employment a fundamental aspect of a student's course - without significantly increasing the workload for undergraduates and their lecturers.
The Future Directions for Skills and Employability event on 15 May was jointly organised by HEFCW, QAA Wales and the HEA. The conference also addressed how people already in work could gain higher skills and qualificiations while working.
Martyn Flynn, a talent aquisition manager for the second largest graduate recruiter in the UK, Enterprise Rent-A-Car, said: "By helping universities put crucial transferrable skills at the heart of their students' courses, we are giving our future graduate trainees the edge that they need to compete in the tough recruitment market. Read more...

17 août 2013

Bourses étudiantes : 118 millions d'euros en plus dès la rentrée

http://www.gouvernement.fr/sites/default/files/images/fioraso1.pngDavantage de bourses pour davantage d’étudiants. C’est l’objectif de la réforme du système de bourses présenté par Geneviève Fioraso. 118 millions d'euros supplémentaires sont d’ores et déjà prévus pour la rentrée 2013, le double pour la rentrée 2014.
Geneviève Fioraso a présenté ce mardi 16 juillet la réforme des systèmes des bourses aux organisations représentatives étudiantes.
92 000 étudiants en bénéficieront dès la rentrée.
Deux profils d’étudiants sont principalement concernés :

  • les étudiants boursiers de l’échelon 0, exonérés jusqu’à présent des frais d’inscription et de cotisation de Sécurité sociale ;
  • les étudiants boursiers issus des familles les plus modestes, dont les parents gagnent moins de 7 540 euros par an.

La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a rappelé que la France possède l’un des taux d’échec en licence les plus importants d’Europe. Après la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche adoptée au début du mois de juillet par le Parlement, la ministre s’attaque désormais aux conditions de vie des jeunes pour leur permettre de poursuivre leurs études dans des conditions optimales. Suite de l'article...

15 août 2013

Universities exchange experiences on developing and strengthening quality cultures

http://www.eua.be/images/logo.jpgDuring spring 2013, EUA organised three training workshops for quality managers at European higher education institutions. Staff members from more than 60 EUA member institutions from 25 European countries came together in small groups to exchange experiences on how to develop and strengthen quality cultures at their institutions. Participants included vice-rectors responsible for quality assurance, members of quality assurance units, academic and administrative staff and students.
The training workshops were organised in response to EUA’s recent work which has shown that those in charge of managing quality at universities feel the need for further capacity building in how to incentivise all stakeholders to take on the responsibility for quality. The workshops sought to address this need by presenting findings from EUA’s studies on quality culture in Europe, giving an insight into current European-level trends in quality assurance, presenting case studies from the host countries, providing a forum for an open exchange of experiences and building connections among colleagues from different countries. Read more...

15 août 2013

La tutoría en la universidad. ¿ Es posible obligar a los estudiantes a tener éxito ?

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/calificaciones-y-empleo/918-16-esl-ES/Calificaciones-y-empleo_large.pngLa tutoría en la universidad. ¿ Es posible obligar a los estudiantes a tener éxito ? I. Borras. Calificaciones y empleo, n° 82, 2012, 4p.
El sistema de tutoría resulta poco atractivo para los estudiantes, especialmente para los más frágiles. Es verdad que siempre es posible mejorar su organización y su calidad. Pero, ante todo, es necesario abordar la cuestión de a quién está dirigida, y su carácter facultativo. No obstante, aunque esté orientada a un público determinado y sea obligatoria, la tutoría por sí sola no constituye una panacea. Otras posibilidades de ayuda para alcanzar el éxito deben ser exploradas. Télécharger la publication.

15 août 2013

Loi du 22 juillet 2013 relative à l’enseignement supérieur et à la recherche

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngOù en est-on ?
La loi a été promulguée le 22 juillet 2013. Elle a été publiée au Journal officielJournal officielJournal de la République française dans lequel sont publiés les lois et les règlements. du 23 juillet 2013. Le texte définitif du projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. avait été adopté le 9 juillet 2013, l’Assemblée nationale ayant adopté le texte mis au point par la Commission mixte paritaire, texte déjà adopté par le Sénat le 3 juillet 2013. Présenté en Conseil des ministresConseil des ministresFormation collégiale réunissant l’ensemble des ministres. le 20 mars 2013 par Mme Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, le projet de loi avait été adopté en première lecture par l’Assemblée nationale, avec modification, après engagement de la procédure accélérée, le 28 mai 2013 et par le Sénat, en première lecture, avec modification, le 22 juin 2013.
De quoi s'agit-il ?
Cette loi présentée à la suite des Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche organisées de juillet à décembre 2012 entend favoriser la réussite étudiante et permettre à 50% de chaque classe d’âge d’être diplômé de l’enseignement supérieur. La loi vise à donner à l’Etat le pouvoir d’accréditer les établissements d’enseignement supérieur, et non plus les diplômes, comme auparavant. Pour être accrédité, un établissement d’enseignement supérieur devra nommer ses formations selon une nomenclature nationale, fixée par arrêté ministériel.
Pour permettre aux bacheliers des filières professionnelles et technologiques d’intégrer les sections de techniciens supérieurs (STS) et les Instituts universitaires de technologie (IUT) des quotas seront mis en place qui varieront selon les disciplines et les régions. La loi prévoit une spécialisation progressive des études en premier cycle, en favorisant les passerelles et les réorientations.
Le conseil d’administration de chaque université aura un vice-président chargé du numérique. Les établissements devront rendre leurs enseignements disponibles sous forme numérique. Les étudiants seront formés à l’utilisation du numérique dès l’entrée dans le supérieur.
L’objectif est de doubler le nombre d’étudiants en alternance afin de faciliter leur insertion professionnelle. Actuellement seulement 25% des étudiants de la première année commune des études de santé (Paces) sont admis à un concours (médecine, sage-femme, odontologie ou pharmacie). La loi autorisera des expérimentations permettant une admission différée en deuxième ou troisième année pour des étudiants qui auront suivi un premier cycle adapté.
Le texte prévoit que les établissements d’enseignement supérieur se regroupent sur un territoire académique ou inter-académique, en partenariat avec les organismes de recherche. Ces regroupements élaboreront un projet commun et coordonné de leur politique de formation, de leur stratégie de recherche et de transfert. Chaque site académique ou interacadémique pourra choisir entre fusion, communauté, ou rattachement par convention à un établissement, ou une combinaison entre ces trois formules. Le ministèreMinistèreEnsemble des services de l’Etat (administration centrale et services déconcentrés) placés sous la responsabilité d’un ministre. de l’enseignement supérieur et de la recherche établira une convention avec chacun de ces regroupements sous forme de contrat de site.
Les établissements d’enseignement supérieur devront développer la mobilité des étudiants et des chercheurs en favorisant des périodes d’études ou d’activités à l’étranger.
Les enseignements en langue étrangère seront autorisés lorsqu’ils sont dispensés dans le cadre d’un accord avec une institution étrangère ou internationale.
La loi prévoit la mise en place d’un agenda stratégique de la recherche. Elaboré et révisé périodiquement sous la coordination du ministre chargé de la recherche, il définit les priorités de la stratégie nationale de recherche. Il s’appuie sur une concertation avec la communauté scientifique, le monde socioéconomique, les autres ministères concernés et les collectivités territoriales.
L’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) sera supprimée et remplacée par un Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur.
Il supprimera également les pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES), les réseaux thématiques de recherche avancée (R.T.R.A.) et les Centres thématiques de recherche et de soins (C.T.R.S.).

15 août 2013

Les universités et les centres d’action sociale : des exemples d’établissements publics national et local

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngLes universités et les centres d’action sociale illustrent la diversité de la catégorie juridique des établissements publics.
1. Les universités
La première université française a été créée à Paris à la fin du XIIe siècle. Mais, le statut moderne des universités a été fixé par la loi du 10 juillet 1896. La crise de mai 1968 a conduit ensuite à l’adoption d’un nouveau statut des universités défini par la loi d’orientation de l’enseignement supérieur du 12 novembre 1968, dite loi Edgar Faure. Cette loi a créé une nouvelle catégorie d’établissements publics : les « établissements publics à caractère scientifique et culturel ». La loi Savary du 26 janvier 1984 a ensuite changé leur appellation en « établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel » (EPSCP). Enfin, la loi du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités (dite LRU) a apporté quelques modifications à leur mode de fonctionnement. Un projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. relatif à l’enseignement supérieur, est en débat au ParlementParlementOrgane collégial qui exerce le pouvoir législatif (adoption des lois et contrôle du pouvoir exécutif). En France, le Parlement est composé de deux chambres : l’Assemblée nationale et le Sénat. au printemps 2013. Ce texte, qui vise à une plus grande « ouverture » des universités, ne remet cependant pas en cause les grands principes qui ont été posés par la « LRU ».
En réalité, les universités relèvent de la catégorie, plus vaste, des établissements publics à caractère administratif (EPAEPAEtablissement public administratif). En outre, elles constituent des établissements publics nationaux, car elles participent au service publicService publicActivité d’intérêt général prise en charge par une personne publique ou par une personne privée mais sous le contrôle d’une personne publique. On distingue les services publics d’ordre et de régulation (défense, justice...), ceux ayant pour but la protection sociale et sanitaire, ceux à vocation éducative et culturelle et ceux à caractère économique. Le régime juridique du service public est défini autour de trois principes : continuité du service public, égalité devant le service public et mutabilité (adaptabilité). de l’enseignement supérieur et sont rattachées à l’État via le ministèreMinistèreEnsemble des services de l’Etat (administration centrale et services déconcentrés) placés sous la responsabilité d’un ministre. du même nom.
Les missions confiées aux universités sont nombreuses, puisqu’elles englobent à la fois la formation initiale des étudiants, mais aussi la formation continue, la recherche et sa valorisation, l’orientation et l’insertion professionnelle, la diffusion de la culture, la coopération internationale.
Les universités jouissent de la personnalité morale et d’une autonomie à la fois pédagogique, scientifique, administrative et financière. Cette autonomie a néanmoins une limite dès lors que les personnels, enseignants ou non, sont souvent des fonctionnaires de l’État et que le recteur d’académie – chancelier des universités et représentant du ministre de l’Éducation nationale et de l’ensemble du gouvernementGouvernementOrgane collégial composé du Premier ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat chargé de l’exécution des lois et de la direction de la politique nationale. (dans ce cas, ce n’est pas le préfet) – exerce un contrôle de tutelle sur les décisions et délibérations des EPSCP à caractère réglementaire. En effet, il peut saisir le tribunal administratif en cas de décision irrégulière. Dans le même temps, la gestion de ces établissements publics doit être démocratique et, de ce fait, impliquer les enseignants, les autres personnels, les étudiants et des personnalités extérieures.
Ces exigences se reflètent dans l’organisation des universités. Leur autonomie leur permet de déterminer leur statut et structure internes (nombre d’unités de formation et de recherche -UFR- par exemple). Cependant, elles comprennent toutes un organe délibératif (conseil d’administration) et un organe exécutif (président), tous deux assistés par un conseil scientifique et par un conseil des études et de la vie universitaire (CEVU). Enfin, il existe un secrétaire général, qui est nommé par le ministre chargé de l’Enseignement supérieur, qui gère l’université sous la direction du président.
Le président de l’université est élu, depuis la réforme de 2007, à la majorité absolue de plus de la moitié des suffrages exprimés. par les membres du conseil d’administration pour un mandat de la durée d’exercice d’une fonction élective de 4 ans renouvelable une fois. Il dirige l’établissement et dispose à cet effet des pouvoirs les plus larges (gestion financière, maintien de l’ordre, autorité sur les personnels de l’université). Il préside le conseil d’administration, le conseil scientifique et le CEVU.
Le conseil d’administration (CA) a une composition variable. Il comporte, depuis 2007, de 20 à 30 membres : 8 à 14 enseignants-chercheurs, 3 à 5 représentants des étudiants, 2 ou 3 représentants du personnel non enseignant, 7 ou 8 personnalités extérieures. Les personnalités extérieures sont nommées par le président et comprennent au moins un chef d’entreprise ou cadre dirigeant, un acteur du monde économique et social et deux ou trois représentants des collectivités territoriales, dont un du conseil régional. Par ailleurs, le recteur assiste ou se fait représenter aux séances du CA. De manière assez classique au sein d’un établissement public, le CA détermine, par ses délibérations, la politique de l’établissement, vote le budget, fixe la répartition des emplois au sein de l’établissement, autorise également le président à ester en justice.
Le conseil scientifique propose pour sa part au conseil d’administration les orientations et la répartition des crédits de recherche. Il comprend, depuis la réforme de 2007, 20 à 40 membres répartis entre 60 à 80 % de représentants des personnels, 10 à 15 % de représentants des doctorants, 10 à 30 % de personnalités extérieures.
Quant au CEVU, il est consulté notamment sur les orientations en matière d’enseignement, les projets de nouvelles filières et sur les mesures de nature à améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants. Il comprend également 20 à 40 membres répartis entre 75 à 80 % de représentants à part égale des enseignants-chercheurs et des étudiants, 10 à 15 % de représentants des autres personnels et 10 à 15 % de personnalités extérieures. Suite...

15 août 2013

Autonomie des universités : les objectifs ne sont pas atteints

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngLa Commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois a publié le 3 avril 2013 un rapport sur la loi relative aux libertés et responsabilités des universités de 2007 (loi LRU). Selon les rapporteurs, Dominique Gillot et Ambroise Dupont, la loi a engendré un choc culturel dans le monde universitaire sans atteindre ses objectifs. Plutôt que de l’abroger, ils recommandent de la toiletter.
La loi LRU avait pour objectif de transférer aux universités la gestion budgétaire et financière de leurs établissements (jusque-là assurée par l’État), de réformer leur gouvernance, afin d’améliorer leurs performances. Le rapport salue l’ouverture de l’université sur le monde économique, la possibilité de mettre en place une gouvernance adaptée aux situations locales et l’évaluation externe des établissements par une agence indépendante. Cependant, le rapport regrette qu’aucune évaluation des transferts de change n’ait été réalisée au moment du passage aux "responsabilités et compétences élargies". Cette absence a eu des conséquences sur certains établissements qu’ils n’ont toujours pas surmontées. Les universités peinent toujours à s’affirmer comme une voie de formation d’excellence. Les étudiants continuent trop souvent à choisir l’université par défaut. Le recours massif à l’embauche de contractuels sur fonds propres des universités fait craindre un développement de la précarité de ces personnels d’autant que les universités n’ont pas réussi à diversifier leurs sources financement. Souvent les universités ont multiplié les nouvelles formations, sans évaluation des besoins réels de leur environnement économique et des attentes du public étudiant. Enfin, l’amélioration de la qualité de vie des étudiants, lorsqu’elle existe, est plutôt le résultat de bonnes volontés locales (Maison de la réussite à La Rochelle, création d’épiceries sociales et solidaires, etc.).
Présenté le 20 mars 2013 en Conseil des ministresConseil des ministresFormation collégiale réunissant l’ensemble des ministres., le nouveau projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. de l’enseignement supérieur et de la recherche, insiste notamment sur le retour d’un "État stratège" ayant les moyens de définir des priorités nationales pour la recherche d’ici 2020. Il doit être débattu au ParlementParlementOrgane collégial qui exerce le pouvoir législatif (adoption des lois et contrôle du pouvoir exécutif). En France, le Parlement est composé de deux chambres : l’Assemblée nationale et le Sénat. à partir du 13 mai 2013.
Sur la toile publique

14 août 2013

Cours en ligne et enseignement supérieur: les MOOCs ou "la fin de l’Université que nous connaissions"

http://www.desideespourdemain.fr/themes/desideespourdemain/imgs/logoim.pngPar Daniel Laurent. Tandis que la nouvelle loi sur l’enseignement supérieur et la recherche (ESR) prévoit de "faire entrer l’université dans l’ère du numérique", l’enseignement supérieur connaît depuis quelques années une révolution dont les universités françaises n’ont pas encore pris la mesure : les MOOCs. Cet acronyme désigne les "massive open online courses" ou cours en ligne ouverts et massifs, c’est-à-dire une formation ouverte et à distance ayant recours au télé-enseignement.
Cette révolution est née il y a quelques années aux Etats-Unis, dans l’université de Stanford (Californie) quand un cours sur l’intelligence artificielle, dispensé habituellement à une centaine d’étudiants, reçoit un succès inattendu : une fois ce cours proposé en ligne, sur les 100 000 personnes qui s’y sont inscrites, 23 000 d’entre elles le valident. Suite de l'article...

14 août 2013

Comparer les universités au regard de l'insertion professionnelle de leurs étudiants

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngComparer les universités au regard de l'insertion professionnelle de leurs étudiants. Quelques simulations à partir des enquêtes « Génération ». Par Alberto Lopez, Pierre Hallier. Net.Doc, n° 54, 2009, 25 p.
Cette note s'appuie sur les données des enquêtes « Génération ». L'idée est de mettre à profit une source de données existante pour apporter des éléments de réflexion à la mise en place d'un critère de « performance insertion » de chaque université et pour apprécier les limites de cette démarche. Les options débattues dans le groupe de travail mentionné ci-dessus ont porté sur : - le champ des sortants d'université à prendre en compte - le choix de l'indicateur d'insertion - les éléments du « contexte universitaire » à neutraliser pour évaluer la « performance insertion » de l'établissement - la méthode de neutralisation de ces éléments. Au final, positionner les universités selon l'insertion de leurs étudiants suppose de choisir parmi de multiples options qui n'aboutiraient pas au même classement. Ces choix doivent donc la plupart du temps être fortement argumentés. Télécharger la publication.

14 août 2013

Évaluation du non-recours au tutorat à l’université

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngÉvaluation du non-recours au tutorat à l’université. Par Isabelle Borras (CREG). Avec la collaboration de Nina Lendrin et Evelyne Janeau (OFE). Net.Doc, n° 85, 2011, 35p.
Le tutorat est depuis 2008 un des dispositifs d’accompagnement personnalisé et de soutien du Plan pour la réussite en licence. Largement utilisé par les universités, il peine pourtant à attirer les étudiants.
Alors que les réformes en cours de la licence le confortent, il y a urgence à mieux connaitre ce dispositif, jusqu’à présent peu évalué. Atteint-t-il sa cible ? Comment celle-ci est-elle définie ? Quel accueil est réservé à cette aide à la réussite ? Pourquoi les étudiants y ont-ils, ou non, recours ?
C’est par une entrée originale, centrée sur la question du « non-recours » qu’est ici évalué le tutorat. Une enquête par courrier électronique a été menée auprès d’étudiants de L1 et de leurs tuteurs dans deux universités (l’une de sciences, l’université Joseph Fourier à Grenoble et l’autre de sciences humaines et sociales, l’université Victor Segalen à Bordeaux). La démarche a consisté à comparer trois groupes d’étudiants, ceux qui ont refusé (33 %), suivi (51 %) ou abandonné (16 %) le tutorat proposé, et à confronter leurs réponses avec celles des tuteurs. Lire la suite de la synthèse. Télécharger la publication.

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