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Formation Continue du Supérieur
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31 août 2013

2013 1st International Conference of the African Virtual University

 

 

 

http://www.guninetwork.org/utils_images/guni-1/image_preview

Integrating eLearning and Open Education to Increase Access to Quality Education and Training in Africa
Proposed topics should consider the opportunities and/or challenges of the integration of eLearning and Open Education to increase access to quality education and training. Preferred topics can be drawn from, but is not limited to the following thematic areas:

  1. Open Education: issues including Open Educational Resources (OERs) and Massive Open Online Courses (MOOCs)
  2. Infrastructure & Access: issues including access to open and eLearning content, learning centers, mobile learning, delivery technologies, Internet connectivity etc.
  3. Accreditation and Quality Assurance
  4. Management and Delivery of open, distance and eLearning courses and programs: issues including leadership, policy, strategy, administration, financing, recruitment & retention of students, academic programs delivery & management, technology, learner support and faculty development, gender issues etc.
  5. Content: Issues in curriculum design, development & delivery, including in the following areas Science, Technology Engineering & Math (STEM) Education, Teacher Education, Computer Science and Peace & Conflict Studies etc.
  6. Gender: Issues in Science, Technology Engineering & Math (STEM) Education
  7. Design: design of instruction for various teaching and learning scenarios including online and blended formal courses, self-directed, student-centered learning, problem based learning, collaborative learning etc.
  8. Assessment and Evaluation: online assessment, E-portfolios, face-to-face assessment, recognition of prior learning, learning analytics, etc.
  9. Emerging media and technologies: including in mobile learning, flipped classrooms, 3-D printing etc.
  10. Strengthening institutional capacity for sustainable eLearning

Send all your queries relating to the conference to contact@avu.org
More information about this event…

 

 

 

31 août 2013

Universités & Territoires

30 août 2013

Université d'été de la CPU : discours d'ouverture de Jean-Loup Salzmann

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgJe suis particulièrement heureux d’ouvrir la deuxième édition de l’université d’été de la CPU, nouveau rendez-vous annuel des présidents. Ce moment privilégié où nous faisons la césure entre des congés (bien mérités) et la turbulence de la rentrée universitaire. Nous disposons ainsi de deux jours pour nous poser et nous retrouver.
L’an dernier nous étions 60 ! Cette année nous sommes encore plus nombreux, 75 présidents et directeurs se sont inscrits à l’université d’été de la CPU !
Après une première édition placée sous le signe du renouvellement de la CPU, la deuxième édition sera marquée par l’anticipation du changement.
La loi ESR, le changement du mode de financement des universités, la loi sur la décentralisation, l’accréditation, l’évaluation, l’offre de formation en santé, les futures lois sur l’attractivité de la France et sur la formation professionnelle : que de bouleversements et de sujets à fort enjeu pour nous.
La CPU est dans son rôle quand elle prépare et accompagne ses membres aux évolutions législatives et règlementaires ainsi qu’aux transformations de notre environnement. Il s’agit non seulement d’accompagner mais aussi d’anticiper par des initiatives en suggérant aux pouvoirs publics des évolutions qui nous paraissent utiles et nécessaires.
La CPU a été en première ligne pendant toute la durée de préparation de la loi ESR, depuis les Assises jusqu’au passage devant le parlement ; et nous travaillons à présent avec le Ministère sur la rédaction des décrets.
C’est aussi en concertation que se discutent les nouvelles modalités et les nouveaux équilibres de l’allocation des moyens de l’ESR au niveau du modèle SYMPA et du contrat de site. Nous souhaitons travailler et être associés, dans le même esprit, aux futures lois sur la formation professionnelle, et à celle sur l’attractivité internationale, même si elles ne seront pas directement pilotées par le MESR.
Qui dit concertation ne dit pas co-responsabilité. La CPU est écoutée, mais c’est l’Etat qui prend,  in fine, ses responsabilités.
Aujourd’hui cette université d’été est justement une nouvelle occasion de matérialiser cette concertation que nous souhaitons, c’est la raison pour laquelle nous nous réunissons entre nous. Les discussions, échanges et débats avec nos  invités et partenaires leur permettront de faire le point sur les sujets dont ils ont la charge et de recueillir nos avis et suggestions.
Nous sommes heureux de dialoguer avec ceux qui construisent avec nous l’Université française de demain. Mais c’est nous, nos étudiants et nos personnels, qui devront y vivre ! Nous sommes donc très attachés à la solidité des fondations, mais aussi aux finitions !
Ces deux jours vont être pour nous l’occasion de mieux comprendre ce que l’Etat attend de nous et également de faire passer nos messages aux pouvoirs publics.
Très chers collègues, Bonne université d’été !
Voir la photo 2013 / 2014 des présidents d'université

30 août 2013

RERS 2013 - Les étudiants des universités dans les DOM-COM et en Nouvelle-Calédonie

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Ce chapitre présente de façon détaillée les principales statistiques propres aux départements et collectivités d’outre-mer. Les différentes thématiques (élèves, étudiants, examens, personnels) y sont abordées, ainsi qu’en 2013 les résultats du baccalauréat dans les Dom. Télécharger L’outre-mer. Les étudiants des universités dans les DOM-COM et en Nouvelle-Calédonie.
Les étudiants des universités dans les DOM-COM et en Nouvelle-Calédonie
Présentation
En 2012-2013, 31 200 étudiants sont inscrits dans l’une des cinq universités françaises d’outre-mer, soit une augmentation de 5,3 % par rapport à l’année précédente. Les effectifs sont en légère hausse pour l’université d’Antilles-Guyane (+ 0,9 %), en forte hausse ailleurs : + 3,7 % à l’université de Nouvelle-Calédonie, + 5,0 % en Polynésie française et + 5,3 % à l’université de La Réunion. Le CUFR de Mayotte, ouvert pour la rentrée 2012, accueille 600 étudiants tous inscrits dans le cursus licence.
La grande majorité (76,7 %) des étudiants inscrits dans les universités d’outre-mer sont en cursus licence contre 59,9 % en France métropolitaine. Par voie de conséquence, le poids des cursus master et doctorat est faible : 20,9 % en cursus master contre 35,8 % pour la France métropolitaine ; seuls 2,4 % des étudiants sont inscrits en cursus doctorat contre 4,3 % en France métropolitaine.
30,9 % des étudiants d’outre-mer sont inscrits en lettres, en langues ou en sciences humaines, 20,1 % en sciences ou Staps, 20,0 % en sciences économiques et sociales ou administration économique et sociale, 15,9 % en droit-sciences politiques et 9,5 % dans les disciplines de santé. Enfin, ils sont 3,6 % à être inscrits dans les IUT. Les disciplines de santé et les IUT sont moins représentés dans les universités d’outre-mer qu’en France métropolitaine où la filière santé représente 14,4 % des inscriptions et les IUT 8,0 %.
En 2012-2013, le nombre de nouveaux entrants augmente fortement (+ 9,5 %) après deux faibles hausses (+ 0,9 % en 2011-2012, + 0,8 % en 2010-2011).
La proportion de femmes dans les universités d’outremer reste stable (63,4 %). En France métropolitaine, cette proportion est plus faible (56,9 %). Les femmes restent majoritaires en lettres, langues et sciences humaines (74,0 %), en droit-sciences politiques (71,0 %), dans les disciplines de santé (69,1 %) et en scienceséconomiques- AES (60,3 %), mais minoritaires en sciences (46,9 %) et Staps (24,5 %).
Définitions
DOM, COM
Le 31 mars 2011, Mayotte a changé de statut, passant de collectivité d’outre-mer (COM) à département d’outremer (DOM). Depuis la rentrée 2011, les effectifs de Mayotte sont donc comptabilisés avec ceux des DOM.
Champ
Ensemble des étudiants inscrits à une formation donnant lieu à la délivrance d’un diplôme national ou d’université au terme d’une formation d’une durée d’au moins un an, ainsi qu’aux préparations aux concours de la fonction publique. Seules les inscriptions principales sont comptabilisées. Toutes les formes d’enseignement sont prises en compte (enseignement à distance, formation continue, formation par alternance ou par apprentissage). Toutes les unités administratives sont considérées.
Universités des départements d’outre-mer (DOM), des collectivités d’outre-mer (COM) et de Nouvelle-Calédonie
Il s’agit de l’université des Antilles-Guyane, de l’université de La Réunion et du CUFR de Mayotte pour les DOM, de l’université de Polynésie française dans les COM et de l’université de Nouvelle-Calédonie.
Le CUFR de Mayotte, créé en octobre 2011, a ouvert à la rentrée 2012. Les étudiants de Mayotte étaient comptabilisés les années précédentes dans les établissements d’autres DOM, notamment La Réunion, à travers des conventions.
Depuis 2008-2009, les IUFM de La Réunion, de Nouvelle-Calédonie et du Pacifique sont intégrés dans une université de rattachement (l’IUFM du Pacifique est rattaché à l’université de Polynésie française).
Depuis la rentrée 2010, les IUFM de Guadeloupe, Guyane et Martinique sont rattachés à l’université des Antilles-Guyane.
CUFR
Centre universitaire de formation et de recherche.
Télécharger L’outre-mer. Les étudiants des universités dans les DOM-COM et en Nouvelle-Calédonie.
Archives
Télécharger Repères et références statistiques édition 2012
Télécharger Repères et références statistiques édition 2011
Télécharger Repères et références statistiques édition 2010
Télécharger Repères et références statistiques édition 2009

30 août 2013

RERS 2013 - L’aide aux étudiants

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Ce chapitre expose le financement des activités d’éducation : clés de répartition, évolution des budgets de l’éducation et de l’enseignement supérieur, coûts moyens par élève ou par étudiant, bourses et aides sociales. Télécharger Budgets, coûts et financements. L'aide aux étudiants.
L'aide aux étudiants
Présentation
En 2012-2013, 651 000 étudiants reçoivent au moins une aide financière. Ils sont un peu plus nombreux que l’année précédente, mais leur part relativement à l’ensemble des étudiants baisse de 0,3 point cette année. Avec 35,8 %d’étudiants aidés, cette proportion demeure néanmoins plus élevée qu’avant la rentrée 2008, où elle se situait aux alentours de 30 %.
Les boursiers sur critères sociaux, au nombre de 631 000 soit près de 97 % des étudiants aidés, sont en hausse de 1,7 %, rythme légèrement supérieur à la hausse des effectifs étudiants. En effet, le barème des bourses sur critères sociaux est identique en 2011 et en 2012. Le fonds national d’aide d’urgence (ponctuelle et annuelle) est versé moins fréquemment : 41 200 étudiants en 2012, contre 42 000 étudiants en 2011 [2]. 15 000 étudiants cumulent une bourse sur critères sociaux et le fonds national d’aide d’urgence ponctuelle. Amenées à disparaître, les bourses de mérite concernent 80 étudiants en 2012 (500 en 2010, 273 en 2011).
À l’université, le nombre de boursiers sur critères sociaux augmente un peu moins rapidement que l’ensemble de la population des boursiers (+ 1,5 %). Cette faible évolution fait suite aux fortes augmentations des trois dernières années (entre 4 % et 8 %). La part des étudiants boursiers s’y élève à 35,2 %, soit 7,6 points de plus qu’il y a 10 ans. C’est en STS que la part des étudiants boursiers est la plus élevée (45,4 %). Avec 27,8 %, les CPGE connaissent le plus faible taux. Cette part a néanmoins fortement augmenté, notamment depuis la rentrée 2008. Auparavant, elle n’atteignait pas 20 %.
En 2012, le nombre de boursiers sur critères sociaux augmente à chaque échelon sauf à l’échelon 2 (voir « Définitions »). C’est à l’échelon 0 que l’augmentation est la plus forte (+ 4,6 %). Dans les autres échelons, l’augmentation se situe autour de 1 %. La structure des boursiers par échelon se modifie : depuis trois ans, l’échelon 0 est celui qui regroupe le plus de boursiers (22,1 % en 2012-2013) tandis que l’échelon 6 passe en seconde position, avec 18,9 % des étudiants boursiers [3]. Les montants des bourses sur critères sociaux ont été revalorisés de 2,1 % pour tous les échelons entre 2011 et 2012. L’inflation estimée est de 2,2 % (inflation moyenne entre juillet 2012 et juin 2013) sur la période. Le pouvoir d’achat des bourses est donc stable pour tous les échelons.
Définitions
Aides financières
Sont comptabilisées en 2012, les principales aides destinées aux étudiants : bourses sur critères sociaux, bourses de mérite et fonds national d’aide d’urgence (source MESR-DGESIP).
Bourses sur critères sociaux
Elles sont accordées en fonction des ressources (revenus déclarés bruts) et des charges de la famille appréciées selon un barème national qui détermine le montant annuel de la bourse et qui croît de l’échelon 0 à l’échelon 6 (échelon pour les ressources les plus faibles créé au 1er janvier 2008). Ces bourses ne peuvent être attribuées qu’aux étudiants en formation initiale, suivant des études à temps plein, dans une formation habilitée par le ministère chargé de l’enseignement supérieur à recevoir des boursiers, avec des conditions sur l’âge, la nationalité et le diplôme.
Bourses de mérite
Ce dispositif, mis en place à la rentrée 1998 afin de permettre aux plus méritants des étudiants boursiers d’accéder dans de bonnes conditions à certaines formations supérieures, est en voie d’extinction. Il a été remplacé par les aides au mérite.
Aides au mérite
Elles sont un complément de bourse sur critères sociaux. En 2012, le montant de l’aide au mérite était en 1 800 euros et concernait 26 624 étudiants, soit 4 % des étudiants boursiers.
Fonds national d’aide d’urgence (FNAU)
Mis en place à la rentrée 2008, il permet d’apporter une aide financière rapide et personnalisée, ponctuelle ou pour la durée de l’année universitaire, aux étudiants de moins de 35 ans rencontrant de graves difficultés et à ceux qui doivent faire face à des difficultés pérennes, comme la rupture familiale, la situation d’indépendance avérée. Il est possible de cumuler les deux aides, ponctuelle et annuelle (764 étudiants en 2012-2013) ou de percevoir à la fois une bourse sur critères sociaux et l’aide d’urgence ponctuelle (14 826 étudiants concernés).
Proportion d’étudiants aidés
Le nombre d’étudiants aidés est rapporté à la population concernée, estimée en prenant en compte les étudiants des universités inscrits dans une formation ouvrant droit aux aides (principalement les diplômes nationaux de cursus licence ou master et jusqu’à la 6e année des études de santé), les étudiants inscrits en première année d’IUFM, les élèves des STS et CPGE public MEN ou sous tutelle du MEN et les étudiants inscrits en préparations intégrées, en écoles d’ingénieurs (public MESR ou sous tutelle du MESR) ou en écoles de commerce reconnues par l’État (groupes I et II, voir 6.9).
Télécharger Budgets, coûts et financements. L'aide aux étudiants.
Archives
Télécharger Repères et références statistiques édition 2012
Télécharger Repères et références statistiques édition 2011
Télécharger Repères et références statistiques édition 2010
Télécharger Repères et références statistiques édition 2009

30 août 2013

RERS 2013 - Les concours de recrutement de personnels ITRF

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Les personnels exerçant aux titres des ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur sont décrits selon le statut, l’établissement d’exercice, leur répartition territoriale, leur domaine d’intervention (enseignement, administration, encadrement), le secteur public ou privé, les concours de recrutement. Télécharger Les personnels. Les concours de recrutement de personnels ITRF.
Les enseignants du supérieur par discipline
Présentation
À la session 2012, 2 052 postes ont été ouverts au niveau national aux différents concours de recrutement de personnels ITRF (58,3 % aux concours externes, 41,7 % aux concours internes) contre plus de 2 200 en 2011, soit une baisse globale de l’ordre de 7 % [1]. Le nombre de postes diminue presque deux fois plus aux concours externes (- 9,1 %) qu’aux concours internes (- 5 %). 52,1 % des postes sont offerts aux concours de catégorie A (ingénieurs de recherche, d’études et assistants ingénieurs), 29,9 % aux concours de techniciens de catégorie B, et 18,0 % aux concours d’adjoints techniques de catégorie C. On compte près de 27 candidats inscrits pour un poste aux concours externes, 17 aux concours internes.
Plus de 1 800 candidats ont été reçus à un concours ITRF, soit un taux de couverture de 89,0 % (90,5 % en 2011), du même ordre aux concours externes (88,5 %) et aux concours internes (89,7 %) ; les concours d’adjoints techniques enregistrent les taux les plus hauts. Le taux de réussite global s’établit à 4,6 % depuis 2011. Il demeure légèrement plus élevé aux concours internes (5,4 %) qu’aux concours externes (4,1 %). Pour les deux voies de recrutement, les taux les plus élevés sont toujours associés aux concours de catégories B et C.
Pour un grand nombre de concours, l’existence de listes complémentaires (1 546 admis dont 63,3 % aux concours externes) permet de couvrir les besoins en recrutement, et de pallier les éventuels désistements.
Tous corps et toutes voies confondus, la branche d’activité professionnelle « gestion et pilotage » (BAP J) rassemble plus d’un tiers des lauréats (39,6 %) ; cette part atteint 53,4 % aux concours internes, et 29,6 % aux concours externes.
Définitions
Les concours de recrutement des ingénieurs et personnels techniques de recherche et de formation (ITRF)
Ils sont organisés par branche d’activité professionnelle (BAP) et par emploi-type. Les métiers de la recherche et de la formation sont répartis en huit BAP (A : sciences du vivant ; B : sciences chimiques et sciences des matériaux ; C : sciences de l’ingénieur et instrumentation scientifique ; D : sciences humaines et sociales ; E : informatique, statistique et calcul scientifique ; F : information, documentation, culture, communication, édition, Tice ; G : patrimoine, logistique, prévention et restauration ; J : gestion et pilotage).
À la session 2012, les techniciens de laboratoire ont été intégrés aux ITRF. Les recrutements s’opèrent désormais dans le corps des techniciens de recherche et de formation dans les BAP A et B.
L’arrêté du 28 décembre 2011 fixe les modalités d’organisation des concours de recrutement d’ITRF. Les concours de catégorie A comportent une phase d’admissibilité nationale et une phase d’admission locale. Le jury d’admission établit la liste des candidats admis au niveau de chaque établissement dans lequel au moins un poste est offert dans un emploi-type. Les concours de catégories B et C sont organisés au niveau des académies, dans le cadre de zones géographiques, par un établissement d’enseignement supérieur appartenant à chacune de ces dites zones.
Télécharger Les personnels. Les concours de recrutement de personnels ITRF.

30 août 2013

RERS 2013 - La réussite en cursus licence

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Ce chapitre porte sur l’évaluation des compétences au sortir de l’école ou du collège, ainsi que sur la réussite aux diplômes de l’enseignement secondaire et supérieur. Il traite de la situation des sortants du système éducatif et de leurs perspectives d’insertion professionnelle. Cette édition s'enrichit de nouvelles pages sur l'évaluation des compétences et des acquis des élèves en compréhension de l’écrit en CM1 et en histoire géographie, en fin d’école et en fin de collège. Résultats, diplômes, insertion. La réussite en cursus licence.
La réussite en cursus licence
Présentation
27,1 % des étudiants inscrits pour la première fois en L1 en 2007-2008 ont obtenu leur diplôme trois ans plus tard à la session 2010. Une année supplémentaire a été nécessaire pour 11,9 % des inscrits. Au total, 39,0 % des étudiants inscrits en 2007 ont obtenu leur licence en trois ou quatre ans. Les étudiants inscrits en 2008- 2009 ont un taux de réussite en trois ans équivalent à celui de la cohorte 2007 (27,3 %). Entre la cohorte 2004 et la cohorte 2008, le taux de réussite en trois ans a perdu 1,8 point, notamment sous l’effet de la moindre réussite des titulaires d’un bac général sur la période (- 2,6 points pour les bacheliers littéraires, - 3,9 points pour la série ES et - 3,1 points pour les scientifiques). Le taux de réussite en quatre ans varie peu sur la période 2004-2007, il est de 11,9 % pour la cohorte 2007.
La réussite en licence varie fortement selon les caractéristiques de l’étudiant. L’écart entre le taux de réussite en trois ans des hommes et celui des femmes de la cohorte 2007 est de 9,6 points, en faveur de ces dernières (30,8 %). La scolarité antérieure joue plus encore, puisque les titulaires d’un baccalauréat professionnel ont un taux de réussite à la licence en trois ans de 2,7 % (4,6 % en trois ou quatre ans), alors que plus du tiers des bacheliers généraux ont obtenu le diplôme trois ans après leur première inscription (près de la moitié l’ont obtenu en trois ou quatre ans). Moins de 10 % des bacheliers technologiques y parviennent en trois ans. Les étudiants non bacheliers, qui sont pour la plupart titulaires d’un titre étranger admis en équivalence, ont un taux de réussite en trois ans de 21,2 %. Obtenir son baccalauréat en retard est également très discriminant puisque 35,6 % de ceux qui sont bacheliers « à l’heure » ou « en avance » sont diplômés en trois ans, contre 17,1 % en cas de retard d’un an, et 9,1 % en cas de retard supérieur à un an. On note enfin un écart de 10,7 points entre le taux de réussite des étudiants issus de familles socialement « très favorisées » (31,8 %) et celui des étudiants appartenant à des familles « défavorisées » (21,1 %).
Les écarts selon le domaine disciplinaire d’inscription sont bien moindres, puisque le taux de réussite en trois ans va de 28,4 % en lettres-langues-arts-sciences humaines à 26,3 % en sciences-Staps et 26,0 % en droit sciences économiques-AES.
Le fait de disposer d’une année supplémentaire ne modifie pas fondamentalement la hiérarchie des critères et ne permet pas de combler les différences issues du parcours dans l’enseignement scolaire.
Définitions
Méthodologie
Le taux de réussite en licence en trois et quatre ans a été calculé à partir de la cohorte d’étudiants (bacheliers et non-bacheliers) inscrits pour la première fois en première année de cursus licence à la rentrée universitaire 2007-2008 (154 800 inscrits). Ces étudiants ont été suivis pendant quatre années consécutives afin d’observer leurs résultats au diplôme des sessions 2010 (réussite en trois ans) et 2011 (réussite en quatre ans). Les inscrits aux classes préparatoires aux grandes écoles ont été retirés de la cohorte, afin de ne pas introduire de biais dans le calcul de la réussite. La méthode retenue prend en compte les réorientations, que ce soit en termes de changement de discipline comme de changement d’établissement pour un étudiant de la cohorte. Les étudiants diplômés de la licence en trois ans et diplômés dans un autre diplôme de licence 3 en quatrième année ne sont pas comptabilisés dans la réussite en quatre ans.
Non-bacheliers
Parmi les non-bacheliers sont regroupés différentes catégories d’étudiants : ceux qui ont obtenu une dispense ou une équivalence du baccalauréat, les titulaires d’une capacité en droit ou du DAEU (Diplôme d’accès aux études universitaires). Les étudiants qui se sont inscrits à l’université après avoir bénéficié d’une validation de leurs acquis sont également dans ce groupe.
Origine sociale
Regroupements des professions et catégories socioprofessionnelles en quatre postes:
- Très favorisée : chefs d’entreprise de dix salariés ou plus, cadres et professions intellectuelles supérieures, instituteurs, professeurs des écoles.
- Favorisée : professions intermédiaires (sauf instituteurs et professeurs des écoles), retraités cadres et des professions intermédiaires.
- Assez défavorisée : agriculteurs exploitants, artisans et commerçants (et retraités correspondants), employés.
- Défavorisée : ouvriers, retraités ouvriers et employés, inactifs (chômeurs n’ayant jamais travaillé, personnes sans activité professionnelle).
Télécharger Résultats, diplômes, insertion. La réussite en cursus licence.

30 août 2013

RERS 2013 - Les diplômes universitaires par discipline

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Ce chapitre porte sur l’évaluation des compétences au sortir de l’école ou du collège, ainsi que sur la réussite aux diplômes de l’enseignement secondaire et supérieur. Il traite de la situation des sortants du système éducatif et de leurs perspectives d’insertion professionnelle. Cette édition s'enrichit de nouvelles pages sur l'évaluation des compétences et des acquis des élèves en compréhension de l’écrit en CM1 et en histoire géographie, en fin d’école et en fin de collège. Résultats, diplômes, insertion. Les diplômes universitaires par discipline.
Les diplômes universitaires par discipline
Présentation
Environ 164 400 licences LMD (119 000 licences générales et 45 400 licences professionnelles) et 124 600 masters (64 900 masters professionnels, 19 600 masters recherche et 40 100 masters indifférenciés) ont été délivrées à la session 2011. En cursus licence et master, c’est en lettres, langues et sciences humaines que le nombre de diplômes délivrés a été le plus élevé en 2011 dans les universités de France métropolitaine et des DOM s’inscrivant ainsi dans la continuité des résultats 2010. En cursus licence, près de trois diplômes sur dix ont été délivrés dans ces disciplines. Les licences professionnelles font figure d’exception avec plus de quatre sur dix délivrées en sciences. En cursus master, plus de trois diplômes sur dix ont été délivrés en lettres, langues et sciences humaines en 2011.
Les femmes sont, en proportion, plus nombreuses parmi les lauréats des diplômes de licence et master. Leur part varie selon la discipline. Les femmes sont minoritaires parmi les diplômés en sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps) et en sciences ; elles sont majoritaires dans les autres disciplines, particulièrement en lettres, langues et sciences humaines et en médecine, pharmacie, odontologie. La part des femmes parmi les diplômés de la session 2011 est supérieure à celle des inscrites en année terminale de préparation à ces différents diplômes la même année. Enfin, en licence professionnelle, les femmes représentent 47,8 % des diplômés.
En 2011, 11 450 thèses de doctorat ont été soutenues, dont plus de la moitié en sciences. Les femmes ont soutenu 5 000 thèses (43,6 % des thèses). Les femmes sont minoritaires dans toutes les disciplines, exceptées en lettres, langues et sciences humaines où elles représentent 56,7 % des diplômés. En sciences, leur part n’est que de 37,5 %. Plus de 1 900 habilitations à diriger des recherches ont été délivrées, dont plus de six sur dix en sciences.
En 2011, 27 700 diplômes ont été délivrés dans les formations de santé. Plus d’un diplôme sur deux a été délivré à une femme.
Définitions
Champ
Diplômes délivrés dans les 78 universités publiques et le centre universitaire de formation et de recherche (CUFR) d’Albi.
Cursus LMD
Licence-master-doctorat : correspond aux normes européennes de l’enseignement supérieur. Les licences LMD comprennent les licences générales et les licences professionnelles.
HDR
Habilitation à diriger des recherches.
Diplômes de la session 2011 non mentionnés dans le tableau
La capacité en droit (530 diplômés), le DAEU (5 559 diplômés), les magistères (512 diplômés) et les maîtrises (0 diplômé). 1 332 diplômes d’études universitaires scientifiques et techniques (Deust) ont été délivrés en 2011. Les diplômes d’IUP, les licences, les DEA et DESS ont disparu en 2009. Les DUT sont présentés en 8.16 et 8.17, les diplômes d’ingénieurs en 8.22.
Télécharger Résultats, diplômes, insertion. Les diplômes universitaires par discipline.

30 août 2013

RERS 2013 - L'évolution des diplômes universitaires

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Ce chapitre porte sur l’évaluation des compétences au sortir de l’école ou du collège, ainsi que sur la réussite aux diplômes de l’enseignement secondaire et supérieur. Il traite de la situation des sortants du système éducatif et de leurs perspectives d’insertion professionnelle. Cette édition s'enrichit de nouvelles pages sur l'évaluation des compétences et des acquis des élèves en compréhension de l’écrit en CM1 et en histoire géographie, en fin d’école et en fin de collège. Résultats, diplômes, insertion. Les diplômes universitaires : évolution.
Les diplômes universitaires : évolution
Présentation
Depuis 2006, toutes les universités de France métropolitaine et des DOM délivrent des diplômes LMD (licences LMD et masters LMD). Les diplômes de l’ancien système ont disparu : les licences, DEA et DESS ne sont plus délivrés depuis 2009.
En 2011, le nombre de licences LMD délivrées augmente de 2 %, soit 164 400 licences dont 119 000 licences générales et 45 400 licences professionnelles. Le nombre de licences générales est en hausse après quatre années de baisse successive (+ 1,7 % par rapport au nombre de licences délivrées en 2010, qui était inférieur au nombre de licences de 2009 de 3,5 %).
Depuis leur création en 2000-2001, le nombre de licences professionnelles délivrées n’a cessé d’augmenter, passant de 3 600 à la session 2001 à 45 400 à la session 2011, soit une augmentation de plus de 32 % en moyenne annuelle. Le rythme d’accroissement ralentit nettement (+ 2,6 % à la session 2011 par rapport à la session précédente, + 9,2 % entre les sessions 2009 et 2010).
Le nombre total de masters délivrés (124 600) est en hausse de 20,3 %. Parmi ceux-ci, ce sont les masters indifférenciés qui augmentent le plus : + 63,5 % par rapport à 2010. Les masters recherche et masters professionnels se sont considérablement développés depuis 2004. Ils recommencent à augmenter après deux années de baisse : 19 600 masters recherche et 64 900 masters professionnels ont été délivrés en 2011, soit respectivement + 7,9 % et + 3,5 % (après une baisse respective de 4,2 % et 8,5 % en 2010). L’augmentation des diplômes de masters délivrés est en partie due à la réforme des concours d’enseignement, qui nécessitent désormais l’obtention préalable d’un master. Les masters préparant spécifiquement aux métiers de l’enseignement représentent ainsi 14 % de l’ensemble des masters délivrés en 2011, soit près de 18 000 diplômes.
Le nombre de doctorats augmente plus qu’en 2010, avec 3,9 % de diplômés en plus. Cette augmentation concerne principalement les doctorats de science (+ 5,1 %). Le nombre de thèses soutenues en médecine et pharmacie a augmenté en 2011 après une diminution à la session 2010.
Définitions
Champ
Sont pris en compte l’ensemble des diplômes délivrés dans les 78 universités publiques et le centre universitaire de formation et de recherche (CUFR) d’Albi.
Diplômes LMD
Les diplômes LMD (licence, master doctorat) correspondent aux normes européennes de l’enseignement supérieur Depuis 2005-2006, tous les établissements délivrent des diplômes LMD. En 2004-2005, seulement 72 d’entre eux en avaient délivrés. Les évolutions entre 2004-2005 et 2005-2006 sont donc difficilement interprétables. Les licences LMD se composent des licences générales et des licences professionnelles.
Diplômes intermédiaires (Deug et maîtrises intermédiaires)
Les étudiants inscrits en licence LMD validant les deux premières années obtiennent un Deug intermédiaire (75 800 en 2010, 80 500 en 2011). Les étudiants inscrits en première année de master LMD validant leur première année obtiennent une maîtrise intermédiaire (93 500 en 2010 et 99 800 en 2011).
HDR
Habilitation à diriger des recherches.
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30 août 2013

RERS 2013 - Les stages effectués dans les universités

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Les étudiants
Les effectifs des étudiants des universités et des écoles d’enseignement supérieur (écoles de commerce, écoles d’ingénieur, etc.) sont présentés selon leurs caractéristiques sociodémographiques et leur répartition territoriale. La scolarisation des jeunes femmes dans l'enseignement supérieur fait l'objet d'une étude spécifique. La connaissance des filières et des flux est complétée d’une étude sur le devenir des bacheliers saisi au travers d’un panel. Les étudiants. Les stages effectués dans les universités.
Présentation

En 2011-2012, 32 % des étudiants inscrits en formation initiale dans une université française en licences professionnelles, en licences générales, en masters, en formations d’ingénieurs et en instituts universitaires de technologie ont suivi un stage. Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente.
La proportion de stagiaires augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations professionnelles et en développement dans les formations générales.
63 % durent deux mois ou plus. Un stage sur deux est gratifié ; dans 60 % des cas, la gratification mensuelle se situe entre 436 € et 600 €. Les stages effectués à l’étranger demeurent rares (9 %), sauf en cursus ingénieur. Un stage sur quatre se déroule en dehors de la région administrative de l’université.
En licence professionnelle, neuf stages sur dix durent au moins deux mois. 81 % des stages sont gratifiés et, parmi eux, 70 % le sont entre 436 et 600 €. Un stage sur dix a lieu à l’étranger.
En licence générale, 13 % des étudiants font un stage : 3 % en L1, 12 % en L2 et 32 % en L3. Les stages de deux mois ou plus sont minoritaires. 22 % des stages sont gratifiés. Parmi eux, 61 % le sont entre 436 et 600 €.
En master, 43 % des étudiants font un stage en première année et 63 % en seconde année. Plus de trois stages sur quatre (79 %) durent deux mois ou plus. Pratiquement un stage sur deux (48 %) est gratifié en première année et trois stages sur quatre en seconde année. 20 % des stages gratifiés dépassent 600 € en M1 et 30 % en M2. Un stage sur quatre se déroule hors région.
En formations d’ingénieurs, la proportion de stagiaires est de 69 % en première année, de 90 % en deuxième année et de 93 % en dernière année. 28 % des stages durent deux mois ou plus en première année, 83 % en deuxième année et 98 % en troisième année. La part des stages gratifiés au-delà de 600 € croît avec l’avancée dans le cursus. S’agissant des stages à l’étranger, ils représentent 1 stage sur 5 sur l’ensemble du cursus, 29 % en deuxième année. Concernant les stages hors région, c’est une spécificité de cette filière, ils atteignent 37 %.
En institut universitaire de technologie, 65 % des étudiants font un stage. Le stage de deux mois ou plus est plutôt rare en première année (12 %) et quasiment la règle en seconde année (78 %). 16 % des stages sont gratifiés en première année et 67 % en seconde année. 74 % des gratifications se trouvent entre 436 et 600 €.
Définitions
Champ
Dans les établissements concernés (France métropolitaine et DOM), sont pris en compte, en formation initiale et en inscription principale au 15 janvier 2012, l’ensemble des étudiants inscrits en cursus L et M (licences professionnelles, licences générales et masters), en formations d’ingénieurs et en instituts universitaires de technologie. Les autres formations (études de médecines, diplôme d’université, doctorat, etc.) ne sont pas comptabilisées. Les étudiants inscrits dans les écoles rattachées aux universités qui ont le statut d’établissement public à caractère administratif selon l’article 43 de la loi n° 84-52 du 26 janvier 1984 ou L 719-10 du code de l’éducation qui leur conservent la personnalité morale et l’autonomie financière, les étudiants inscrits dans les instituts d’études politiques rattachés à une université et enfin les étudiants inscrits dans les formations enseignantes n’entrent pas dans le champ.
Universités
Les universités (établissements publics d’enseignement) sont organisées en unités de formation et de recherche (UFR). On y a également assimilé le centre universitaire de formation et de recherche (CUFR) d’Albi. Le CUFR de Mayotte n’a pas d’étudiants inscrits à la rentrée 2011. Les étudiants de Mayotte sont inscrits dans d’autres universités (à La Réunion notamment).
Stage
Période de formation, d’apprentissage ou de perfectionnement dans une entreprise, un service ou une association. Il a pour objet, d’une part, l’application pratique en milieu professionnel de l’enseignement théorique dispensé à l’étudiant dans le cadre de son cursus, et, d’autre part, de faciliter la transition entre le monde de l’enseignement supérieur et celui du travail.
Gratification
Elle est au minimum de 436,05 euros net mensuel lorsque la durée du stage excède deux mois consécutifs.
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