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Formation Continue du Supérieur

19 octobre 2011

Approfondir les collaborations entre Enseignement supérieur et Culture

http://www.u-bordeaux1.fr/jnrdm/logos/mesr.JPGLes deux ministres de la Culture et de la Communication et de l'Enseignement supérieur et de la Recherche se félicitent de ce que l'enseignement supérieur Culture participe désormais pleinement à la dynamique lancée par les accords de Bologne et aux évolutions du paysage de l'Enseignement supérieur.
Après l'accès en 2005 des écoles nationales supérieures d'architecture aux trois grades universitaires, puis des écoles du patrimoine et des deux Conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Paris et de Lyon au grade de master, toutes les écoles nationales et territoriales d'art ont été habilitées au cours des derniers mois par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche à délivrer à compter de juin 2012 un diplôme conférant le grade de master.
Dans l'ensemble des secteurs, des partenariats des écoles supérieures Culture avec les universités ou les grandes écoles se sont développés, soit dans la conception des cursus, soit pour construire des projets innovants ou valoriser des complémentarités. Les deux ministres saluent ces initiatives, le développement de la présence des écoles supérieures Culture dans les pôles de recherche et d'enseignement supérieur et le succès que ces écoles ont rencontré dans les investissements d'avenir.
Laurent Wauquiez et Frédéric Mitterrand souhaitent conforter ces démarches en approfondissant les collaborations entre l'université et les écoles supérieures Culture, dans le respect des différences et des spécificités, et à ce titre avancer dans plusieurs directions:
    Identifier et valoriser les apports des partenariats existants, par des bilans qui seront réalisés dans les différents secteurs et aux divers niveaux de formation concernés,
    Encourager les écoles supérieures Culture à entrer dans les PRES afin de renforcer la visibilité de l'enseignement supérieur français au niveau international, de conforter la recherche dans les domaines culturels, de proposer aux étudiants une offre de formation élargie et de leur ouvrir le bénéfice des services mutualisés,
    Accompagner les écoles supérieures Culture dans la construction de l'offre de recherche, en s'attachant prioritairement à conforter, en partenariat avec les universités, l'adossement de l'enseignement à la recherche, qui sera au cœur des prochaines évaluations de l'AERES. Les deux ministères accompagneront parallèlement la réflexion en cours sur la recherche en art.
    Améliorer la reconnaissance de l'offre de formation au niveau L du secteur des arts plastiques, après une analyse précise des parcours et de l'insertion professionnelle des étudiants pour chacun des deux diplômes concernés.
    S'attacher à ce que l'ensemble des écoles supérieures Culture puissent s'appuyer sur le processus d'évaluation de l'AERES pour contribuer à la dynamique d'amélioration continue de la qualité des formations aujourd'hui mise en œuvre par l'Enseignement supérieur.
Frédéric Mitterrand et Laurent Wauquiez confient à Monsieur Jean de Saint-Guilhem, Inspecteur Général de l'Administration de l'Education Nationale et de la Recherche et ancien directeur d'administration centrale au ministère de la Culture et de la Communication, une mission sur la poursuite à plus long terme des évolutions de l'enseignement supérieur Culture. Ils souhaitent que des propositions opérationnelles soient faites rapidement dans ce cadre pour la création d'une conférence des établissements supérieurs Culture, lieu de partage d'expériences et de dialogue avec le ministère de la Culture et de la Communication. Cette mission sera menée en lien étroit avec l'Inspection générale des affaires culturelles et les divers acteurs concernés, notamment les collectivités territoriales.
http://www.u-bordeaux1.fr/jnrdm/logos/mesr.JPG Ministrowie Kultury i Komunikacji i Szkolnictwa Wyższego i Badań Naukowych, z zadowoleniem przyjęła kultury wyższej edukacji jest teraz w pełni dynamiki zainicjowanej przez Bolonii i zmienia krajobraz Szkolnictwa Wyższego.
Po roku 2005 dostęp wyższe krajowe szkoły architektury do trzech stopni i dziedzictwo szkół i dwa Państwowym Konserwatorium Muzyki i Tańca w Paryżu i Lyonie do rangi mistrza, wszystkich szkół w krajowych i terytorialnej sztuki zostały zatwierdzone w ostatnich miesiącach przez Ministerstwo Szkolnictwa Wyższego i Badań dostarczyć w czerwcu 2012 r. dyplom uprawniający rangi kapitana.

We wszystkich sektorach, partnerstwa szkół Kultury z uniwersytetów lub szkół biznesu rozwinięte, zarówno w zakresie projektowania programów nauczania, lub innowacyjne projekty budowy lub zwiększenia komplementarności.
Ministrowie z zadowoleniem te inicjatywy, rozwój obecność szkół w ośrodkach kultury badań i szkolnictwa wyższego oraz że sukces tych szkół spotkali się w inwestycję na przyszłość. Więcej...
19 octobre 2011

Orientation dans l’enseignement supérieur: des stratégies pour tous les profils

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgPar Olivier Rollot. Les vacances de Toussaint approchent et, avec elles, les premières interrogations sur son orientation dans l'enseignement supérieur. Or, il n’y a pas qu’une seule façon d'y réussir son parcours. Selon son profil, ses capacités, sa maturité, de nombreuses voies sont ouvertes. Sept stratégies payantes à la loupe.
Cas n°1 : Vous êtes sûr de votre projet professionnel

Depuis toujours, vous rêvez de construire des voitures ou d’être avocat et, cela tombe bien, il y a des formations toutes tracées qui y mènent. Seulement ne changerez-vous pas d’avis un jour ? Alors certes en vous lançant dans le droit, vous avez différentes professions qui s’ouvrent à vous et pouvez même envisager de totalement bifurquer, mais si vous choisissez une école d’ingénieurs spécialisée dans le transport, comme l’ESTACA, ce sera plus difficile de changer.
Et si vous voulez vite vous retrouver sur le marché du travail, privilégiez les formations en deux ans, comme le BTS ou le DUT, ou le bachelor en trois ans. Et pour être encore plus pro, faites les en apprentissage !
Cas n°2 : Vous n’êtes pas du tout sûr de ce que vous voulez faire plus tard

D’abord rassurez-vous, ce n’est pas une tare de ne pas être totalement décidé sur son avenir à 17 ou 18 ans. Etes-vous un bon élève susceptible de passer deux années dans une classe préparatoire ? Préférez-vous vous engager dans des études universitaires relativement ouvertes dans le domaine des lettres ou des sciences par exemple. Ou encore commencer par un DUT ou un BTS assez généralistes – mais plutôt un DUT – et poursuivre vos études ensuite dans les nombreuses formations qui vous reçoivent dans le cadre des poursuites d’études ?
Cas n°3 : Vous ne vous sentez pas prêt à vous engager dans de longues études

Oui mais elles pourraient vous tenter quand même. La solution est là aussi peut-être de commencer par obtenir un BTS ou un DUT avant de tenter soit une licence professionnelle, soit d’intégrer l’université ou une grande école. Sachez par exemple que pas plus d’un quart des élèves ingénieurs sont aujourd'hui titulaires d’un DUT, d’un BTS ou d’une licence. C’est en tout cas une bonne façon d’obtenir un premier diplôme quand on n’est pas certain d’avoir les moyens de s’engager tout de suite pour cinq années d’études.
Cas n°4 : Vous ne pensez qu’aux toutes meilleures grandes écoles

Sans être totalement limité au passage par les classes préparatoires, l’entrée dans les toutes meilleures grandes écoles (HEC, X, Centrale, Normale Sup) y est quand même très largement subordonnée. En première année, 100% des reçus à HEC viennent de classes préparatoires. Et pas n’importe lesquelles ! Vous n’avez quasiment aucune chance d’intégrer l’Ecole Polytechnique si vous ne sortez pas de l’une des trente meilleures prépas.
Mais il existe d’autres solutions. Sachez par exemple que vous pouvez intégrer l’Essec avec une première année de master validée. Sans compter que vous pouvez mettre une touche de grande école dans votre CV en y suivant un mastère spécialisé (après un master) ou même un MBA (master of business administration).
Cas n°5 : Vous voulez intégrer une grande école mais sans passer par la prépa

« Les prépas ne sélectionnent pas, elles classent » dit-on souvent puisque, à l’exception des prépas littéraires, il y a autant de places en prépas que dans les écoles. Mais elles cassent aussi certains jeunes pour lesquels il faudrait mieux envisager de passer par une école post bac ou par une licence, un BTS ou un DUT, autant de diplômés que les grandes écoles recrutent par le bais des admissions parallèles.
Les deux principaux concours d’entrée en écoles de commerce proposent ainsi chaque année plus de 5 000 places. 25 % des élèves ingénieurs sont déjà diplômés à bac+2 ou bac+3. Un diplômé universitaire de lettres ou de sciences a tout à fait sa place dans une grande école de commerce. Evidemment, les écoles d’ingénieurs n’accepteront elles que des profils scientifiques ! Et une fois sort de l’école, vous aurez exactement le même diplôme que vos camarades passés par la prépa.
Cas n°6 : Vous hésitez à aller vers l’université

Vous craignez de vous retrouver livré à vous-même dans des amphis surchargés, c’est compréhensible. Mais sachez d’abord que les universités font beaucoup d’effort pour éviter les échecs en licence et qu’il serait surtout dommage de vous priver de toutes les filières d’excellence que propose l’université : droit, médecine, recherche, etc. D’autant que vous pourrez y obtenir masters diplômes de grande valeur. Sans parler des IUT qui font bien partie de l’université !
Mais si quand même vous préférez aller vers des filières plus encadrées comme les prépas ou les BTS, sachez qu’il existe de nombreuses passerelles pour réintégrer la fac, que ce soit en licence professionnelle ou autre.
Cas n°7 : Vous n’avez pas les moyens de payer votre cursus

Bien sûr il existe des bourses mais elles ne peuvent pas compenser toutes vos dépenses. La solution peut alors être de choisir l’apprentissage. Non seulement vous n’aurez rien à rembourser mais en plus vous serez rémunéré par l’entreprise dans laquelle vous passerez environ la moitié de votre temps. Trop beau pour être vrai ? Un peu quand même car tous les profils ne sont pas susceptibles de réussir des études en apprentissage qui demandent une grande maturité et beaucoup de travail.
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpg Autor Olivier Rollot. sügis pühad lähenemas ja koos nendega esimest küsimusi suunast kõrghariduses. Samas puudub üks viis olla edukas oma karjääri. Vastavalt oma profiili, võimed, küpsust, palju võimalusi on avatud. Seitse strateegiad luup maksma.
Juhtum 1: Olete kindel oma karjääri planeerida

Traditsiooniliselt te unistate hoone autode või olema advokaat, ja see on hea, seal on kõik tõmmatud koosseisudes viib ta.
Mitte ainult sa muuta ei usu, et üks päev? Nii et kindlasti alustavad õige, siis on erinevad elukutsed, mis on avatud teid ja võib isegi kaaluda forking täielikult, kuid kui te otsustate Tehnikaülikoolis, mis on spetsialiseerunud transport, kuna ESTACA, seda raskem muuta.
Ja kui sa tahad kiiresti leida ennast tööturul, keskendumine väljaõppele kahe aasta jooksul, kui BTS või DUT või bakalaureusekraadi kolm aastat. Ja veelgi tootlikumaks muuta õppimist!
Velle...
18 octobre 2011

China: Tight curbs on indebted universities

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Yojana Sharma. Local authorities in China have tightened up on debts owed by universities amid fears that big-spending institutions may default on their loans. The move could affect a number of international university collaborations where local and provincial authorities have agreed to fund major construction projects.
According to China's state-run media, provincial and municipal governments are urging indebted universities to repay loans after the National Audit Office reported at the end of 2010 that some 1,164 colleges were burdened with around CNY263.5 billion (US$41.5 billion) as a result of profligate spending over the last decade.
Strict new policies have been introduced to curb new university expansion not approved in the pipeline before 2009. Other capital projects such as expensive reequipping of laboratories and new dormitories will also be frozen, as local governments have had to step in to bail out universities that overreached themselves.
In Kunshan near Shanghai, the policy has reportedly led to cutbacks on new buildings for the planned US Duke University campus financed from Kunshan city coffers. Construction of a building to house research facilities and laboratories has been postponed indefinitely, according to Chinese sources in Kunshan. The building was intended to house Duke's Global Health Institute offering special masters-level courses in China from 2012.
A number of essential buildings will be completed at the Kunshan site, but with the freeze on non-essential projects lasting until 2012, construction of the laboratory building may not resume until 2013 under current policies. In east Anhui province, new infrastructure projects linked to university campuses will not be approved if the campuses currently have the capacity to accommodate all students, according to Yang Delin, deputy director of Anhui's education department.
Universities in Anhui are strictly forbidden to take out bank loans or borrow money from other sources without government approval, Yang was quoted in the official China Daily newspaper as saying. "For those that don't pay back loans the government will cut funding used to help them pay back loans," Yang said.
In an urgent document signed by the ministries of finance and education, on reducing the debts of local higher education institutions and issued by the central government at the end of last year, every province must report the details of university debts to the central government. According to the document, "each province must develop their own plan of how to dramatically reduce university debts. If they do this they will get money from central government to reduce the debt principal - but not the interest," said said Qiang Zha, an associate professor in the faculty of education at York University in Toronto and a research fellow at Shanghai's Fudan University, who is familiar with the government document.
The move will effectively write off a proportion of the debts incurred before 2009 if universities agree to cut back on spending. In the richest provinces of Guangzhou, Jiangsu and Zhejiang some 10% of the debt will be effectively written off, with the central government providing that money in the form of a cash grant to the provincial government. But in poorer provinces they will get back as much as 45% of the principal from the central government if they are able to show a major reduction in university debt.
"This provides an incentive. If they don't reduce their [existing debt] they won't be able to get these large sums of money from the government," said Qiang. "They borrowed without thinking about capacity [to pay] and now they get substantial help - it is like a freebie for provincial governments."
Local governments will not be allowed to borrow from sources other than state-run banks to fund university projects. In recent years funding for university initiatives was sought from shadowy 'investment companies', wealthy individuals and other lenders charging usurious interest. But bank loans are becoming harder to get amid a credit squeeze in China. In central Hubei province local education authorities have urged universities to pay back all CNY13.3 billion of loans in the next five to eight years, some of it by selling underused university land.
Wuhan University in the Hubei capital of Wuhan is collaborating with Duke and Kunshan city on global health research projects at the Kunshan campus. But Wuhan city itself is regarded as one of the 10 most indebted in China, with banks there saying they have stopped lending to local government projects unless profitability is guaranteed. In Anhui the provincial government's education department last month created a university debt database to track the progress of all university loan repayments. Universities and local authorities now have to report their efforts to reduce debt on a monthly basis, said Qiang, who is also a former advisor to Anhui provincial government.
Qiang said 2010-12 was "a period to help local universities. It is clear that the debt must be reduced now because after 2012 provincial universities will not get any more financial help from the central government."
18 octobre 2011

Entrepreneuriat : le retard français

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Jean-Claude Lewandowski. La France, classée bonne dernière pour l'esprit d'entreprise: c'est l'une des conclusions les plus marquantes du Baromètre de l'entrepreneuriat, présenté aujourd'hui par Ernst & Young, en prélude au prochain « G20 des jeunes entrepreneurs », à Nice, du 31 octobre au 2 novembre, et dont « Les Echos » révèlent les grandes lignes. Une étude qui analyse les « écosystèmes entrepreneuriaux » dans les 20 pays membres.
Seuls 23% des entrepreneurs interrogés (sur plus d'un millier) pensent en effet que la France est un pays dont la culture encourage l'initiative et la création. Très loin de l'Inde, en tête avec 98% de réponses positives, ou de la Chine (92%). Très loin même de la moyenne du G20, à 76%. Ce retard apparaît comme un handicap majeur pour l'économie française, au moment où la plupart des experts s'accordent pour voir dans l'entrepreneuriat le meilleur moyen de sortir de la crise. « Partout où c'est possible, les gouvernements doivent soutenir les entrepreneurs, car ceux-ci joueront un rôle clef pour le retour de la croissance », rappelle Philippe Peuch-Lestrade, responsable du secteur public chez Ernst & Young.
Sur plusieurs autres indicateurs, la France apparaît à la traîne. Elle est ainsi l'un des trois pays (avec l'Allemagne et la Russie) où l'échec est le plus perçu comme un obstacle à de futurs projets, seuls 32% y voyant une opportunité pour apprendre.
Le rôle des « success stories »
L'étude analyse aussi quatre aspects clefs du paysage entrepreneurial: l'éducation, l'accès au financement, la réglementation et le soutien coordonné. Sur le premier point, 70% des entrepreneurs sont convaincus que les étudiants ont besoin d'une formation spécifique pour se lancer. De quoi valider la démarche d'écoles comme HEC, l'Essec, EM Lyon, Centrale Paris ou les Mines d'Alès, qui ont monté des filières spécifiques. De même, 88% estiment que les « success stories » et les programmes d'accompagnement pour créateurs contribuent à motiver les étudiants. « Il existe une forte demande pour une éducation à l'entrepreneuriat, observe Jean-François Royer, associé chez Ernst & Young. Il faut montrer aux jeunes qu'il est possible de créer son entreprise et de réussir. Les entrepreneurs eux-mêmes sont mobilisés, prêts à passer du temps dans les écoles et sur les campus. » Les pays émergents (Brésil, Chine, Inde...) sont en pointe sur ce sujet.
Un peu partout dans le monde, l'accès au financement reste un point faible: 62% des entrepreneurs le jugent difficile. « En France, plusieurs initiatives vont dans le bon sens, tempère cependant Sandra Le Grand, fondatrice de Kalidea (ex-Canal CE). C'est le cas d'Oséo, qui est une remarquable structure. La difficulté aujourd'hui vient plutôt des banques, souvent très frileuses. »
L'étude répertorie les « bonnes pratiques » mises en oeuvre ici ou là. Elle débouche sur une série de recommandations adressées aux pouvoirs publics, mais aussi aux entrepreneurs eux-mêmes. Le baromètre intégral d'Ernst & Young, l'étude de Mc Kinsey et le témoignage de Sandra Le Grand.
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.png By Jean-Claude Lewandowski. France, ranked dead last for entrepreneurship: it is one of the most striking findings of the Barometer of entrepreneurship, presented today by Ernst & Young, as a prelude to next "G20 Young Entrepreneurs" in Nice, October 31 to November 2, whose "Les Echos" reveal the outline. A study that analyzes the "entrepreneurial ecosystem" in 20 countries. More...
18 octobre 2011

Faut-il encourager l’alternance dans l’enseignement supérieur ?

http://4.bp.blogspot.com/-OuJ4mEO73qQ/TWwcWqVzvyI/AAAAAAAATyk/pg1gbIO-Lzw/s320/Capt%2B-Atlantico_logo.JPGPar Jean-Robert Pitte. Nadine Morano, ministre de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle, souhaite se battre "pour que 800 000 jeunes soient en contrat d’alternance d’ici 2015". Quels avantages pour l'étudiant et pour l'employeur? Jean-Robert Pitte y répond dans son livre "Orientation pour tous". Extraits (2/2). Voir aussi Extraits 1/2: Bien se former dès le lycée pour s'épanouir dans son métier. Extraits de Orientation pour tous: Bien se former et s'épanouir dans son métier, Bourin Editeur (6 octobre 2011).
Il existe deux types d’alternants: les « alternants sous statut scolaire et universitaire », qui bénéficient d’une convention de stage pour effectuer des périodes en entreprise, et les « alternants sous statut salarié », bénéficiant d’un CDD ou d’un CDI d’une durée de six mois à trois années selon les cas. Dans ce second cadre, deux possibilités existent. La première est l’apprentissage, qui est une forme d’alternance au sein de l’entreprise, sous la responsabilité d’un maître d’apprentissage.
Il donne lieu à un contrat d’apprentissage: le jeune est salarié et rémunéré selon un pourcentage du Smic ou du minimum conventionnel. À l’issue de cette formation (de un à trois ans, selon le niveau préparé), s’il a passé avec succès ses examens, l’apprenti reçoit un diplôme. La deuxième possibilité est la professionnalisation, qui associe sous la responsabilité d’un tuteur formation pratique et théorique, dispensée dans un organisme de formation externe ou interne à l’entreprise. La rémunération s’exprime également selon un pourcentage du Smic ou du salaire minimum conventionnel.

L’enseignement supérieur s’engage de plus en plus dans les formations en alternance

Depuis la loi de 1987, l’ouverture de l’enseignement supérieur à l’apprentissage était le fait d’initiatives locales. En 2006, le gouvernement a incité au développement de cette voie de formation. L’apprentissage reste encore largement l’apanage des formations de niveau V et IV (niveau V est celui du CAP, BEP ou toutes autres qualifications de niveau équivalent, le niveau IV, dit technicien, correspond aux baccalauréats ou titres de niveau équivalent), mais il a tendance à se développer de plus en plus dans les formations post-bac. Les principaux diplômes de l’enseignement supérieur préparés par la voie de l’apprentissage dès 2006 concernaient surtout le BTS, le BTSA, le DUT et d’autres diplômes et certifications de niveau III, la licence (niveau II), la maîtrise et d’autres diplômes de niveau I (dont les diplômes d’écoles de commerce et de management, les diplômes d’ingénieurs, le master et tout autre diplôme de niveau I). Les apprentis représentent 15% des effectifs de STS. Toutes les spécialités ne sont hélas pas encore accessibles par la voie de l’apprentissage. Les BTS les plus prisés sont les mêmes que pour la voie classique: BTS MUC (management des unités commerciales), NRC (négociation et relation client), maintenance industrielle. Les DUT sont moins préparés par apprentissage (5% de l’effectif), sauf celui des techniques de commercialisation.
De plus en plus d’écoles de commerce s’ouvrent à l’apprentissage (l’Essec dès 1993). La formule adoptée le plus souvent est celle de la première année sous statut étudiant, puis les deux suivantes sous contrat d’apprentissage. Certaines écoles réservent un quota de places à l’apprentissage (Inseec, IECS Strasbourg devenue EM Strasbourg, etc.) – 130 diplômes d'ingénieur peuvent être préparés dans près de 80 établissements. La Commission du titre d’ingénieur (CTI), qui encadre le développement de l’apprentissage dans ces écoles, observe que les jeunes ingénieurs ainsi formés s’intègrent très facilement  dans le monde économique. Il faut souligner que ce sont les écoles d’ingénieurs internes aux universités qui développent le plus la voie de l’apprentissage, ainsi que les licences professionnelles. Quant aux masters, le plus souvent, l’alternance est organisée en seconde année (M2). Parmi les universités les plus ouvertes à l’apprentissage, celle de Marne-la-Vallée offre plus de 60 diplômes professionnalisés préparés par cette voie. L’université d’Évry et celle de Metz s’y engagent résolument. Il est à souhaiter qu’elles fassent école.
Ce mode de formation offre un réel intérêt, tant pour les étudiants et l’entreprise, que pour l’université

L’apprentissage offre un accès aux savoirs par une pédagogie active, mais c’est aussi un parcours salarié qui permet de financer tout ou partie des études. Il ouvre ainsi des parcours inédits à des jeunes qui avaient peu de chances de s’insérer dans les cursus traditionnels de l’enseignement supérieur ; l’expérience professionnelle acquise plus tôt conforte la socialisation du jeune dans l’entreprise et permet une insertion professionnelle plus rapide. Pour nombre d’étudiants, il se présente également comme une deuxième chance, pendant que l’entreprise apprend à mieux connaître le monde universitaire et développe des coopérations fructueuses. Enfin, pour l’université, l’apprentissage est un moyen de diversifier ses ressources financières (taxe d’apprentissage), mais aussi de modifier et d’enrichir ses pratiques pédagogiques, de développer le travail en équipe, de multiplier les relations avec le tissu économique, y compris en contribuant aux transferts de technologies, et de bâtir de bons projets de recherche.
Certains freins, comme des difficultés d’ordre juridique, empêchent le développement de l’apprentissage dans l’enseignement supérieur. En effet, il n’existe pas de code du travail – sauf exception – pour les formations supérieures. Par exemple, si les étudiants peuvent redoubler la première année d’une formation en deux ans, les apprentis ne peuvent redoubler que l’année terminale. Enfin, les formations par apprentissage dans le supérieur sont en général plus coûteuses que celles du niveau V ou IV. Des choix sont donc à effectuer, notamment par les Régions, dans les priorités d’affectation des budgets relatifs à l’apprentissage.
Przez Jean-Robert Pitte. Nadine Morano, minister nauki i szkolenia, chce "na 800 tysięcy młodych ludzi w umowy na przemian roku 2015." Jakie są korzyści dla studenta i pracodawcy? Jean-Robert odpowiedzi Pitte w swojej książce "Orientacja dla wszystkich". Ekstrakty (2/2). Zobacz także wyodrębnić 1/2: Mimo, że powstały w szkole się rozwijać w swoim zawodzie. Fragmenty wytyczne dla wszystkich: Podczas gdy forma i rozwijać w swoim zawodzie, Bourin Publisher (06 października 2011). Więcej...
18 octobre 2011

La FFP lance son Portail Alternance

http://www.ffp-alternance.fr/img_o/structure/bgk.jpgLa FFP lance aujourd’hui son « Portail Alternance » www.ffp-alternance.fr pour aider les jeunes dans leurs démarches et leur permettre de trouver la formation adaptée à leur projet professionnel. Retrouvez le communiqué de la FFP en cliquant ici.
Aujourd’hui de plus en plus de jeunes choisissent la voie de l’alternance pour acquérir une qualification professionnelle et intégrer le monde du travail.
Parce que c’est une formule qui vous permet:
- d’accéder à une formation et d’acquérir un diplôme
- d’entrer dans la vie active et de s’enrichir d’une expérience professionnelle
- d’être un salarié à part entière et titulaire d’un contrat de travail
Les organismes privés de formation, qui sont les principaux prestataires sur l’alternance, ont acquis un réel savoir faire en matière d’insertion des jeunes et de construction de parcours qualifiants.
C’est pourquoi la FFP a décidé de créer ce site sur l’alternance pour vous aider dans vos démarches et vous permettre de trouver la formation en alternance adaptée à votre projet professionnel.
Grâce aux informations diffusées sur ce site et au moteur de recherche compilant l’ensemble des formations et les organismes de formation prêts à répondre à votre demande, vous disposez aujourd’hui d’un outil efficace, fiable et d’une garantie de professionnalisme.
http://www.ffp-alternance.fr/img_o/structure/bgk.jpg Mae'r FFP yn lansio ei "Porth gymysgedd" www.ffp-alternance.fr i helpu pobl ifanc yn eu hymdrechion a'u helpu i ddod o hyd i'r hyfforddiant perthnasol er mwyn eu cynlluniau gyrfa. Dod o hyd i'r rhyddhau FFP yn fan hyn.
Heddiw mae mwy a mwy o bobl ifanc yn dewis y llwybr y alternation i ennill cymhwyster proffesiynol ac integreiddio y byd gwaith
. Mwy...
17 octobre 2011

Fonctionnaires - Les femmes beaucoup moins payées que les hommes

http://www.acteurspublics.com/files/image/market/2011/auto_promo/Petit_logo_AP_Fond_Rouge.jpgPar Sylvain Henry. Des écarts importants de salaires entre les femmes et les hommes et des effectifs qui se stabilisent à 5,3 millions d'agents. Tels sont les enseignements majeurs du rapport annuel sur l'état de la fonction publique, que s'est procuré Acteurs publics.
Pas de parité sur les rémunérations. Les chiffres du ministère de la Fonction publique, qui portent sur l'année 2009, devraient faire bondir les défenseurs de la parité. En moyenne, un homme gagne 2604 euros net par mois dans la fonction publique d'État contre 2225 euros pour une femme. Et le salaire des cadres (non enseignants) grimpe à 4021 euros pour les hommes, contre 3498 euros. Même tendance dans la territoriale : un homme gagne 1920 euros et une femme 1742 euros, un cadre territorial 3457 euros, “une” cadre 2891 euros. Et dans l'hospitalière: 2561 euros (5199 euros pour un cadre), contre 2 017 euros (4 039 euros pour une cadre). Par ailleurs, les femmes sont toujours aussi peu représentées dans les emplois de direction: 21,4% dans l'État, 18% dans la territoriale et 40,2% dans l'hospitalière. En 2009, les secrétaires généraux d'administration centrale étaient tous masculins et le corps de préfets n'accueillait que 10% de préfètes... Le ministre de la Fonction publique François Sauvadet, qui a promis des avancées sur la parité hommes-femmes dans la fonction publique avant la fin du mandat, est très attendu sur ce sujet sensible.
Salaires moyens: 2377 euros dans l'État, 2156 euros dans l'hospitalière, 1830 euros dans la territoriale. En 2009, un agent de la fonction publique d'État percevait un salaire net moyen de 2377 euros pas mois, contre 2328 euros en 2008, soit une hausse de 2% en euros constants. Cette augmentation s'explique essentiellement par la forte croissance des primes et indemnités (+7,5%). Le salaire net moyen progresse à 1830 euros dans la territoriale (1744 euros en 2008) et s'établit à 2156 euros dans l'hospitalière (2158 euros en 2008).
Suppressions de postes dans l'État, créations dans la territoriale et l'hospitalière. Fin 2009, les trois versants de la fonction publique faisaient travailler près de 5,3 millions d'agents, soit une hausse de quelque 20 600 agents (+0,4%) par rapport à 2008. Les suppressions de postes dans la fonction publique d'État (2,4 millions d'agents, -1,2%) sont donc inférieures aux créations dans l'hospitalière (1,1 million d'agents, +1,4%) et dans les collectivités locales (1,8 million d'agents, +2%). Après des années de hausse continue, les effectifs de la fonction publique commencent cependant à se stabiliser et pourraient même avoir diminué en 2010 avec la poursuite du “un sur deux” dans l'État (31 200 suppressions en 2010), les baisses d'effectifs dans les hôpitaux publics et le gel des dotations aux collectivités, qui complique les recrutements.
Les contractuels toujours plus nombreux. Selon le rapport du ministère, les trois versants de la fonction publique faisaient travailler 891000 agents non titulaires en 2009, soit une hausse de 25 % depuis 1998. Le “poids” des contractuels est ainsi passé de 14,6% à 16,8% dans l'ensemble de la fonction publique. La territoriale est principalement concernée: un emploi sur cinq est occupé par un non-titulaire. Leur avenir semble incertain, puisque plus d’un contractuel sur deux présents en 2003 ont quitté l’État quatre ans plus tard… Et le projet de loi de François Sauvadet, étudié en décembre au Sénat, ne devrait entraîner “que” 40000 titularisations.
Les agents recrutés dans l'État sont diplômés du supérieur. Plus des deux tiers des lauréats aux emplois de la fonction publique de l'État sont diplômés de l'enseignement supérieur. Par ailleurs, les femmes réussissent mieux que les hommes les épreuves de sélection puisqu'en 2009, la part de celles-ci dans le recrutement aux concours externes s'élève à 62,4% sur 580 concours analysés. Mais la parité est respectée pour les concours non enseignants: 48,2% des lauréats sont des femmes, 51,8% sont des hommes.
Lire aussi: - Lire le rapport annuel sur l'état de la fonction publique
- Vers plus de femmes aux plus hauts postes à Bercy: l'administration a lancé un plan en faveur de l'égalité professionnelle hommes-femmes (avril 2011)
- Interview de Françoise Guégot: “Le mot « quota » a une connotation négative”. La députée UMP a remis à Nicolas Sarkozy un rapport sur l'égalité hommes-femmes dans la fonction publique (mars 2011)
- La vidéo de l'intervention de François Sauvadet aux Rencontres des acteurs publics. Le ministre de la Fonction publique déclare : “Je serai le ministre qui fera avancer la question de l'égalité hommes-femmes” (juillet 2011)
- 30 400 postes de fonctionnaires supprimés en 2012, selon le projet de loi de finances 2012 présenté en septembre (septembre 2011)
- Les suppressions de postes rapportent peu: le non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux au sein de l'État ne constitue pas le gisement d'économies attendu (février 2011).

http://www.acteurspublics.com/files/image/market/2011/auto_promo/Petit_logo_AP_Fond_Rouge.jpg By Sylvain Henry. Significant differences in wages between men and women and staff who are stabilized at 5.3 million workers. These are the major lessons of the annual report on the state of the public, which has obtained public actors. More ...

17 octobre 2011

L'usine à gaz de la recherche française

Les EchosPar Alain Perez. Alors? Tu n'as pas encore ton Labex? Pour nous, ça marche bien. On a le statut IRT et nous avons décroché deux Equipex. Mais toujours pas de SATT en vue. » Ce dialogue imaginaire entre deux chercheurs résume l'étrange novlangue désormais pratiquée dans le monde de la recherche hexagonale. Ces termes désignent des entités apparues dans la foulée du grand emprunt lancé en juin 2009. Ils s'ajoutent aux PRES, ANR, Aeres et RTRA, issus de la réforme des universités mises en oeuvre depuis 2007.

Ces concepts redessinent en profondeur la carte de la recherche hexagonale, en créant des ensembles destinés à concurrencer les grands pôles internationaux de R&D. Quand la décantation darwinienne des projets sera terminée, les meilleurs subsisteront et on y verra plus clair. En attendant, la nouvelle organisation reste illisible à une majorité de chercheurs hexagonaux... et totalement incompréhensible aux scientifiques étrangers.
Labyrinthe
En fait, seuls les initiés de Bercy ou du ministère de la Recherche sont semble-t-il capables de s'y retrouver dans ce labyrinthe scientifico-administratif où s'empilent des projets structurants, des centres et des laboratoires d'excellence, des fondations de recherche et des partenariats publics privés. « C' est une réforme majeure qui permettra à la France de briller dans la compétition mondiale », justifie Jean-Luc Tavernier, directeur adjoint du Commissariat général à l'investissement (CGI), artisan de ce grand chambardement.
« A chaque fois, on rajoute une brique sans supprimer les étages précédents  », corrige Alain Fischer, directeur de la fondation Imagine à l'hôpital Necker-Enfants malades, qui a obtenu en mars dernier le statut très envié d'institut hospitalo-universitaire (IHU). Pas de doute, le nouveau paysage de la recherche hexagonale suscite pour l'instant plus de critiques que de louanges. « Valérie Pécresse et l'ensemble de la communauté scientifique ont fait un beau travail », se félicite le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Laurent Wauquiez, qui n'entend pas se contenter « d'expédier les affaires courantes » jusqu'à mai-2012. « Il faut poursuivre un ajustement constant du système à partir des remontées provenant de nos universités », précise le ministre.
Au total 22 milliards d'euros sont en jeu. Mais l'essentiel de ce pactole sera distribué sous forme de dotations non consumptibles, c'est-à-dire versées comme un capital dont seuls les intérêts sont utilisables. Parmi les projets structurants retenus dans la première vague figurent six instituts hospitalo-universitaires (IHU), six instituts de recherche technologique (IRT) et trois initiatives d'excellence (Idex). La liste n'est pas close. Un septième IHU dédié à la cancérologie, implanté en région parisienne, est sur les rails et les pressions ne manquent pas pour décrocher ce viatique, porteur de crédits et de notoriété. « On demande à l'Institut Gustave-Roussy (IGR) de s'associer avec Saint-Louis et l'AP-HP. Ce n'est plus un centre d'excellence, mais un réseau. C'est contraire au concept initial », proteste Jean-Charles Soria, chef de service à l'IGR.
Lourdeur des procédures

A l'université Pierre-et-Marie-Curie à Paris, le vice-président Jean Chambaz estime que le ministère « jongle avec les milliards ». Selon lui, la situation comptable de l'UPMC s'est dégradée au cours des trois dernières années. « En réalité, les universités de recherche qui ont joué le jeu de l'excellence s'appauvrissent. » D'après Jean Chambaz, la Rue Descartes continue de surveiller de très près les universités et les pratiques anciennes de « micro-interventionnisme » n'ont pas cessé. « On n'a pas changé le logiciel. On ne nous fait pas confiance. En fait, nos moyens n'ont pas augmenté. Un crédit Labex ou Equipex ne sont pas des ressources nettes. Bien au contraire, ce sont des sources de dépenses récurrentes supplémentaires », tempête cet universitaire déçu par le manque d'autonomie et la lourdeur des procédures.
Du côté des IHU, la pompe à finances semble également grippée. « Cela fait six mois que nous avons obtenu le label et nous n'avons toujours pas touché un seul euro », annonce Alain Fischer. A l'Agence nationale de la recherche (ANR), grand argentier du système, la directrice générale Jacqueline Lecourtier se défend: « A la fin de l'année, 1 milliard d'euros sera engagé. Le vrai démarrage aura lieu au début 2012 ». Les partenariats public-privé, au coeur de cette stratégie créatrice de richesses et d'emplois, ne sont pas non plus au rendez vous. Par définition, ces PPP ne peuvent exister qu'avec des entreprises qui jouent le jeu en déportant une partie de leur recherche vers des laboratoires publics. Et c'est là que le bât blesse. « Il est temps que vous bougiez », s'est exclamé Laurent Wauquiez en s'adressant aux entreprises pendant la conférence Economie recherche innovation organisée récemment par « Les Echos ». Regrettant l'effort de recherche notoirement insuffisant des industriels hexagonaux, le ministre a délibérément mis les pieds dans le plat. « L'Etat fait sa part en finançant la recherche publique. Les pôles de recherche ont basculé dans un monde ouvert aux coopérations. Et vous, que faites-vous ? ».
Selon les derniers chiffres disponibles, la dépense intérieure de recherche et développement de la France (DIRD) a atteint 43,6 milliards d'euros en 2010, soit 2,26 % du PIB. De ce total, la part du public se monte à 25,78 milliards d'euros, contre 17,8 milliards d'euros pour le privé. Ce ratio 60 % public et 40  % privé est le plus faible de tous les pays industrialisés. Il est d'environ un tiers public et deux tiers privé en Allemagne et aux Etats-Unis, et proche de 25 % public et 75 % privé au Japon. « En 2010, les dépenses de recherche des laboratoires publics ont augmenté de 2,9 % et celles des entreprises de seulement 0,5 % », constate Laurent Wauquiez. Cherchez l'erreur.
Les EchosAlain Perez. Co z tego? Ty nie masz Labex? Dla nas to dobrze. Ma IRT stanu i my wygrał dwa Equipex. Ale nadal nie SATT w zasięgu wzroku. "Ten wyimaginowany dialog między naukowcami podsumował dziwne nowomowy obecnie stosowane na świecie badań sześciokątne. Terminy te odnoszą się do podmiotów pojawiły się w związku z dużą pożyczkę uruchomiony w czerwcu 2009 roku. Są oprócz PRES, ANR, przestronne i RTRA, od reformy uczelni od roku 2007. Więcej...
17 octobre 2011

Common challenges – Different responses Higher Education Trends in Latin America and Europe

http://www.ampei.org.mx/Eng/images/combo/conferencia/combo-in-slp.jpgThursday 3 November 2011, San Luis Potosi, Mexico. Conference organised in the framework of the EU-funded EU-STEP project under the Erasmus Mundus programme.
Context

In the context of internationalisation and innovation, higher education institutions in Latin America and the Caribbean must join forces to articulate effective responses to contribute to the development of countries in the region, both in economic terms and in terms of equity and access.  Creating the foundations for common areas of cooperation in these two areas is linked to strategic concerns for the second decade of this century.
Significant progress has been made with the work of the International Congress on Education of the Americas (CAIE) (in the field of internationalisation) and with the Second Dialogue of Ministers and High Authorities of Science and Technology in Latin America 2011 (the main priorities are among others the implementation of policies in terms of doctoral programmes and the training of qualified innovation staff).  Both initiatives require universities to adapt to a changing society.  They require a dynamic attitude to transform knowledge so that it can make a strong added-valued to social, economic and cultural developments.
European policies and programmes in higher education and research are at the core of Europe’s attempts to become a smart, dynamic and sustainable competitive economy in the Knowledge Society. Over the past decade these policies have resulted in higher education undergoing major transformation with the well-known Bologna Process, the Modernisation Agenda and the more recent Transparency Agenda, as well as with the Lisbon Strategy now succeeded by the EU2020 Strategy). Such changes demonstrate the emergence of a dynamic European environment, building on the diversity of Europe’s many national systems.
Key themes and expected outcome

The conference will focus on the two main themes of internationalisation and innovation.  The issues will be discussed from the perspective of the various realities of Latin America and Europe. New opportunities for practical cooperation between the European and Latin American higher education institutions, which may developed in the medium term with the new EU programs in education (Education Europe) and research (Horizon 2020), will be analyzed.
Internationalisation

In Europe the Bologna Process has significantly contributed to degree transparency across the sector and increased mobility from students and academics.  The ECTS (European Credit Transfer System), the Diploma supplement, national qualifications frameworks and quality assurance agencies have become major tools for the development of a successful European Higher Education Area. Worldwide the international impact of the Bologna Process is increasing rapidly and the Tuning initiative (www.unideusto.org/tuningeu) is now being tried in pilot projects in the US, Australia, Russia and Latin America. 
At the level of higher education institutions, all over the world internationalisation has become a core feature.  There is the need to integrate an international dimension in a coherent strategic profile, strategic processes and operations, as well as in the delivery of education and research. Internationalization of higher education in Latin America and the Caribbean is characterized by a wide variety of different contexts.  In the last decade, efforts have been made with mixed results, which have nevertheless made it possible to encourage discussions on the need to define common quality criteria and accreditation, to stimulate the mobility of managers, students, academics and researchers, to train PhD students, encourage part time PhDs and the joint supervision of PhDs as well as the development of doctoral schools.  Working with benchmarks for  internationalization and developing the capacity of key players to define institutional internationalisation strategies has become of paramount importance.
It is in this context that the initiative of establishing the foundations of an inter-American internationalization space (CAIE) has arisen, which among others aims to share models and consolidate experiences and opportunities for joint projects, with the support of specialized associations and various university networks at national or regional level.
The presentations will focus on:
- Policies, programmes and initiatives in Europe and Latin America to support higher education institutions with their internationalization strategies
- Impacts on higher education institutions in terms of current performance assessment, management and implementation of policies or institutional strategies for internationalization.  Examples of case studies will be provided.   
Innovation

Innovation is at the core of the European EU2020 Strategy to make Europe a strong player in the global Knowledge economy.  National governments are calling for universities to respond to national innovation policies by acting as a major driver for economic growth and competitiveness, urging them to respond more proactively to the needs of Society through knowledge transfer, a better preparation of graduates for the world of work and taking on board the needs to up skilling the workforce.   
At the level of higher education institutions, engaging in (regional) innovation requires clear strategy and organizational changes to support the innovation process.
The university as a knowledge generator and disseminator plays potentially a key role in innovation, which will reach its exponential value through articulation and interaction with other social actors in a political and productive level, which are essential to overcome the challenges imposed. In this context, only a small group of institutions of higher education in Latin America has been able to generate successful innovation environments (technological poles, cities of knowledge, business incubators and scientific and technological parks) to stimulate these processes. Also, in certain Latin American countries progress at public level on issues related to regulatory frameworks, capacity building, policy design and allocation of financial resources, among others has taken place.
Taking into account the lack of results in the region in terms of progress with innovation, 19 Ministers of  Science, Technology and Innovation and High Authorities in Latin America and the Caribbean, defined in Guanajuato (MX) in March 2011 six lines of action related to: Coordination of Public Policies in Science, Technology and Innovation; Survey on competencies and training needs in human resources; pilot programmes in priority areas; Survey on Regional and Sub-Regional Platforms; Surveys in Infrastructure in Science, Technology and Innovation; and Internationalisation of Science, Technology and Innovation. In addition, six major areas of work were defined: Climate Change, Health, Biotechnology applied to Health and Industry, Food Security, Energy and Biodiversity.
In this context, higher education institutions in Latin America and the Caribbean need to professionalize their human resources and define joint strategies to respond to the current challenges and demands in innovation, which should in turn be accompanied by the creation of an Inter-American area for cooperation.
16 octobre 2011

L'aide à la VAE - Pôle Emploi

http://www.pole-emploi.fr/__cache__/image/site/interpe/logo-pole-emploi.gif%5B139x90%5D.png;jsessionid=VtJ2TbGKjCvtvz6KvRn7mywQRThMDB0P9ZTms88ktyLrkrs1jKTP!1209073638!-2049865000Vous êtes demandeur d'emploi et vous effectuez une VAE (Validation des acquis de l'expérience)? Une aide peut vous dédommager de certains frais engendrés par cette action.
Objectif

Cette aide permet à tout demandeur d'emploi, indemnisé ou non, d'obtenir un diplôme ou un titre à finalité professionnelle, ou un certificat de qualification favorisant l'accès à des emplois identifiés au niveau territorial ou professionnel en finançant tout ou partie des frais générés par le processus de validation des acquis de l'expérience.
Conditions
Vous êtes demandeur d'emploi, indemnisé ou non, vous justifiez de trois années d'expérience professionnelle ou de bénévolat en rapport avec la certification visée.
Nature des aides
L'aide à la validation des acquis de l'expérience couvre tout ou partie des dépenses relatives:
- aux droits d’inscription auprès de l’organisme certificateur.
- au financement des prestations d’accompagnement y compris, le cas échéant, les frais de repas, de déplacement et d’hébergement.
- au financement des actions de validation proprement dites (frais de constitution de jury, de déplacement, de copie, de timbres ainsi que tous les frais liés à la mise en situation professionnelle tels que l’achat ou la location de matériel).
L’ensemble de ces frais est financé dans le cadre de l’enveloppe destinée aux financements liés à la démarche VAE. Elles peuvent venir en complémentarité d’autres financeurs régionaux: conseils régionaux.
Montant de l'aide

Le montant moyen de l’aide attribuée est de 640 €.
Le barème de prise en charge est défini au niveau régional.
Le montant de prise en charge peut varier selon la certification visée.
L’aide versée par Pôle emploi peut venir en cofinancement d’autres financeurs.
Pour plus d’information, renseignez-vous auprès de votre conseiller Pôle emploi.
Voir aussi L'aide à la VAE de Pôle Emploi, L'aide à la VAE de Pôle Emploi, Frais de jury VAE...

Olete töötu ja oled VAE (Validation kogemus)? Abi võib hüvitada sa teatud kulud käesoleva hagi.
Eesmärk

See toetus võimaldab igal taotlejal, tööhõive, kompenseerida või mitte, et saada diplom või turvalisusele suunatud kutsealase sertifitseerimise või juurdepääsu töökohtadele tuvastatud territoriaalsel tasandil või äri rahastamise täielikult või osaliselt tekkinud kulud akrediteerimisel eelnev kogemus
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