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Formation Continue du Supérieur

15 août 2012

Europe - les compétences des élèves en langues étrangères

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngLa Commission européenne a publié le 21 juillet 2012 la première étude sur les compétences linguistiques des élèves en Europe. L’enquête menée dans 14 pays européens, auprès de collégiens et lycéens âgés de 14 à 16 ans, relève des écarts très importants entre les pays.
L’évaluation portait sur les deux langues les plus enseignées dans chaque pays participant, parmi les cinq langues officielles les plus parlées au sein de l’Union européenne (anglais, allemand, espagnol, italien et français). L’étude montre que moins de la moitié des élèves maitrise bien leur première langue étrangère et seuls 25% sont compétents dans une autre langue. En outre, 14% des élèves européens ne savent pas s’exprimer dans leur première langue étrangère (et 20% dans la deuxième langue enseignée). Malte et la Suède présentent les meilleurs résultats, avec plus de 80% des élèves compétents dans leur première langue étrangère (l’anglais). Les plus mauvais résultats sont enregistrés en France et en Angleterre, dont les taux respectifs sont de 14% (anglais première langue étrangère) et de 9% (français première langue étrangère). L’étude constate que l’apprentissage de plusieurs langues ou le contexte sociétal et familial favorisent la maîtrise des langues étrangères.
En mai 2010, une étude de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du ministèreMinistèreEnsemble des services de l’Etat (administration centrale et services déconcentrés) placés sous la responsabilité d’un ministre. de l’éducation nationale avait déjà conclu à la faiblesse du niveau général des collégiens français en langues, avec une forte proportion d’élèves aux plus bas niveaux de l’échelle et plus particulièrement en compréhension de l’oral. Dans les deux évaluations les élèves français ont de meilleurs résultats en espagnol qu’en anglais.
Sur la toile publique

Les élèves européens doivent travailler plus les langues étrangères, Toute l’europe.eu
First European survey on foreign competences (2012), Commission européenne.
Études concernant l’apprentissage et l’enseignement des langues, Commission européenne
Les compétences en langues étrangères des élèves en fin de scolarité obligatoire: Premiers résultats de l’Étude européenne sur les compétences en langues (2011), Ministère de l’éducation nationale.
Les langues vivantes étrangères à l’école, au collège, au lycée , Ministère de l’éducation nationale.
http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.png The European Commission has published 21 July 2012 the first study on the language skills of students in Europe. The survey conducted in 14 European countries, with high school students aged 14-16 years is very significant differences between countries .
The evaluation focused on the two most widely taught languages ​​in each participating country, among the five most spoken languages ​​in the European Union (English, German, Spanish, Italian and French).
The study shows that less than half the students mastering their first foreign language well, and only 25% are proficient in another language.  In addition, 14% of European students do not know to speak in their first foreign language (and 20% in the second language taught). Malta and Sweden have the best results, with over 80% of students proficient in their first foreign language (English). The worst results were registered in France and England, whose respective rates are 14% (English first language) and 9% (French first language). More...
15 août 2012

Politique de l’emploi - le rôle des collectivités locales à clarifier

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngLe Sénat, dans un rapport publié début juillet 2012, analyse l’implication des collectivités territoriales dans la politique de l’emploi. Pour le Sénat, le rôle des collectivités territoriales est à la fois incontournable et complémentaire à celui de l’Etat, bien que la multiplication des acteurs au niveau local, à terme inefficace voire contre-productive, soit à déplorer.
La politique de l’emploi reste une compétence de l’Etat. Toutefois, et alors même que le taux de chômage a de nouveau franchi la barre des 10% au premier semestre 2012, le rapport fait le constat d’un désengagement de l’Etat s’agissant des "politiques actives de l’emploi et de lutte contre le chômage". Il précise d’ailleurs que l’insuffisance des moyens alloués à l’opérateur public "Pôle emploi" pèse sur ses résultats et sa capacité à assumer toutes ses missions. Parallèlement, le rapport relève que l’engagement des élus locaux en faveur de l’emploi est ancien, bien antérieur à la loi de programmation pour la cohésion sociale du 18 janvier 2005 qui leur a reconnu un rôle en la matière. Cet engagement s’explique notamment par la proximité des élus locaux avec le terrain, mais il dérive également des transferts de certaines compétences de l’Etat en matière de développement économique, d’insertion sociale et de formation. Ces transferts ont en effet incité les collectivités territoriales à développer une approche intégrée des politiques de l’emploi. Toutefois, sous l’effet du foisonnement des initiatives, le paysage institutionnel des politiques de l’emploi menées au niveau local est devenu un "véritable maquis".
Aussi, le rapport recommande de clarifier les interventions respectives des différents acteurs et dispositifs qui ont su faire leurs preuves (missions locales, maisons de l’emploi, plans locaux pour l’insertion et l’emploi "PLIE", etc.).
Il appelle à refonder les modalités de pilotage des politiques de l’emploi menées au niveau local, par exemple en en confiant la responsabilité aux régions et aux intercommunalités d’un certain seuil démographique, sans en exclure totalement les départements et les communes. Il préconise de renforcer les partenariats des collectivités locales avec Pôle emploi.
Sur la toile publique

Les collectivités territoriales et l’emploi: bilan d’un engagement, rapport d’information du Sénat (juillet 2012), Bibliothèque des rapports publics - La Documentation française.
Demandeurs d’emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en juin 2012, Direction de l’animation de la recherche des études et de la statistique (Dares).
Discours de Michel Sapin, ministre du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle, le 2 juillet 2012, Collection des discours publics - Vie-publique.fr.
http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.png~~V Η Σύγκλητος, σε έκθεση που δημοσιεύθηκε στις αρχές Ιουλίου 2012, αναλύει τη συμμετοχή των τοπικών αρχών στην πολιτική απασχόλησης. Για τη Γερουσία, ο ρόλος των τοπικών αρχών είναι τόσο απαραίτητη και συμπληρωματική ως προς εκείνη του κράτους, αν και ο πολλαπλασιασμός των φορέων σε τοπικό επίπεδο, τελικά αναποτελεσματικές εναντίον ακόμη και παραγωγικές, είναι λυπηρή.
Ωστόσο, ακόμη και καθώς το ποσοστό ανεργίας ξεπέρασε και πάλι το 10% κατά το πρώτο εξάμηνο του 2012, η ​​έκθεση είναι η διαπίστωση της εκποίησης σε σχέση με "ενεργητικές πολιτικές απασχόλησης και καταπολέμηση της ανεργίας".Ορίζει επίσης ότι η έλλειψη των πόρων που διατίθενται για το δημόσιο φορέα "κέντρο εργασίας" θα επιβαρύνει τα αποτελέσματα της και την ικανότητά της να εκπληρώσει όλες τις αποστολές του. Εν τω μεταξύ, η έκθεση σημειώνει ότι η δέσμευση των τοπικών συμβούλων υπέρ της απασχόλησης είναι παλιά, πολύ πριν γίνει ο προγραμματισμός Νόμου για την Κοινωνική Συνοχή, στις 18 Ιανουαρίου 2005, η οποία έχει αναγνωριστεί ρόλο στο θέμα. Περισσότερα...
15 août 2012

L'évaluation de la 2e phase de la politique des pôles

http://competitivite.gouv.fr/typo3conf/ext/stratis_website/Resources/Public/Images/titre-lettre-dinformation.gifL'évaluation de la 2e phase de la politique des pôles de compétitivité a débuté fin 2011. Ses conclusions devraient éclairer les choix du gouvernement lors de l’élaboration d’une future phase 3.
Le Directeur général de la compétitivité, de l’industrie et des services (DGCIS) et le Délégué interministériel à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale (DATAR) annoncent la réception du rapport d’évaluation de la deuxième phase de la politique des pôles de compétitivité (2009-2012), le 19 juin 2012. Consulter le communiqué de presse. Une phase de concertation est ouverte à compter du 20 juin 2012.
Le rapport de l’évaluation de la deuxième phase de la politique des pôles de compétitivité confiée au consortium Bearing Point-Erdyn-Technopolis ITD a été remis au Gouvernement le 19 juin 2012. Les conclusions de l’évaluation révèlent des résultats positifs générés par les dynamiques de coopération développées par les pôles de compétitivité en faveur de leurs membres. La majorité des entreprises membres des pôles déclarent avoir augmenté leurs investissements et effectifs en R&D depuis leur adhésion. 
Sur la base de ce rapport, le gouvernement va ouvrir une phase d’échanges et de concertation avec les principaux acteurs de la politique des pôles de compétitivité. À l’issue de ces échanges, il décidera des orientations de la politique des pôles de compétitivité pour les années à venir.
Réalisée entre décembre 2011 et juin 2012, cette deuxième évaluation a été pilotée conjointement par la Délégation interministérielle à l'aménagement du territoire et à l'attractivité régionale (DATAR) et la Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services (DGCIS). Son déroulement s’est appuyé sur un comité de pilotage associant des personnalités qualifiées, des représentants de l’Association des régions de France ainsi que les ministères et agences participant à la politique des pôles de compétitivité.   
L'ouverture d'une phase de concertation sur l'évolution de la politique des pôles, le 28 juin 2012 
Le Gouvernement réceptionne les évaluations individuelles des 71 pôles de compétitivité Le communiqué de presse du 30 juillet 2012.
Le communiqué de presse du 24 juillet 2012. Fleur Pellerin, ministre déléguée aux Petites et Moyennes Entreprises, à l’Innovation et à l’Economie Numériquea reçu les représentants des pôles de compétitivité. Cette réunion a été l’occasion d’un échange sur l’avenir de la politique des pôles de compétitivité dans le cadre de la phase de concertation ouverte par le Gouvernement depuis le 20 juin 2012.
Le communiqué de presse du 19 juin 2012 de la DGCIS et la DATAR
La synthèse du rapport d'évaluation (pdf, 1 Mo)
Le rapport complet
La préparation de l'évaluation (choix du consortium, cahier des charges, etc.).
Quelques passages sur la Formation dans les Pôles
Introduction

La politique des pôles de compétitivité a été initiée par le Comité Interministériel d’aménagement et de développement du territoire (CIADT) du 14 septembre 2004 suite au diagnostic de déficit structurel croissant de compétitivité de l’industrie française. Elle procède d’un constat de cloisonnement des acteurs de l’innovation en particulier des acteurs académiques et économiques. Elle consacre l’innovation comme vecteur de la croissance et s’assigne trois objectifs principaux:
• accroître l’innovation par la mise en réseau, le développement de synergies et de collaborations entre entreprises, instituts de recherche et organismes de formation sur des territoires donnés;
• soutenir le maintien et le développement d’activités innovantes, créatrices d’emplois et de valeur ajoutée sur les territoires concernés;
• améliorer l’attractivité de ces territoires et, plus globalement, la compétitivité industrielle française, par un rayonnement international accru...
Elle complète cette approche par trois axes directeurs:
• un pilotage stratégique des pôles renforcé ;
• le financement de projets structurants, complémentaires aux projets de R&D soutenus par le Fonds unique interministériel : les plates-formes d’innovation ;
• le renforcement du développement d’écosystèmes d’innovation et de croissance performants par la mise en valeur d’axes de développement complémentaires à la R&D: l’accès facilité aux investisseurs privés, la gestion prévisionnelle des compétences et l’adaptation des formations aux besoins du secteur, l’internationalisation ciblée des membres des pôles, l’acculturation à l’intelligence économique, la diffusion des enjeux de propriété intellectuelle, …)...
1. Pilotage et mise en oeuvre de la politique des pôles de compétitivité

Les outils de la politique
L’ensemble des acteurs associés à la dynamique des pôles de compétitivité s’est globalement bien approprié le cahier des charges établi en contrepartie de la détention du label. Tant les entreprises, les organismes publics de recherche et de formation que les collectivités territoriales souscrivent à ses objectifs et adhèrent à la dynamique collaborative promue par cette politique...
2. Les pôles et leurs activités

La gouvernance et la composition des membres des pôles
La majorité des pôles s’appuie sur une structuration classique de leur gouvernance autour d’une assemblée générale annuelle, d’un conseil d’administration assurant le pilotage stratégique et d’un « bureau » s’occupant de la gestion opérationnelle. En moyenne, les membres sont répartis de manière équilibrée entre 4 catégories: les PME, les ETI et grands groupes, les établissements de recherche et/ou de formation et les autres membres (dont les organisations professionnelles, les chambres consulaires, les représentants des collectivités et les autres associations). L’indépendance du pôle est assurée par rapport à cette dernière catégorie de membres, souvent via un statut de
membre associé ou d’observateur au comité d’administration.
Les PME sont deux fois moins représentées dans les instances de gouvernance que leurs poids dans les adhésions. Ceci peut s’expliquer par la plus forte difficulté rencontrée par ces PME pour mobiliser du temps au sein de leurs équipes. Sur la période 2008 à 2011, il n’y a pas de changement majeur au niveau de la représentation des PME. La part des ETI a connu une légère augmentation (+4%). Les organismes de formation et de recherche sont, eux, inversement surreprésentés par rapport au nombre d’adhésions avec 29% des membres des instances de gouvernance. 88% des adhérents répondants à l’enquête en ligne ont néanmoins indiqué que la représentation des membres dans la gouvernance était satisfaisante. De nombreux pôles créés lors de la phase 1 ont connu un changement de présidence entre 2010 et 2012 qui le plus souvent, a permis une nouvelle impulsion au pôle.

The evaluation of the second phase of the competitiveness clusters policy began in late 2011. Its findings should inform the choice of government in the development of a future phase 3.
The Director General of competitiveness, industry and services (DGE) and the Interministerial Delegate for Spatial Planning and regional attractiveness (Datar) announced the receipt of the evaluation report of the second phase of the competitiveness clusters policy (2009-2012), June 19, 2012. See the press release. A consultation phase is open as of June 20, 2012. More...

15 août 2012

Les enseignements des pôles de compétitivité

Cette situation ne découle pas seulement d’une propension des acteurs des pôles à ignorer ces volets, elle est révélatrice des faiblesses du système de formation continue de plus en plus éloigné de ce qui fonde sa raison d’être: l’accompagnement des mutations du système de production sous l’angle des intérêts humains. Si l’enseignement supérieur est présent dans une partie des pôles avec comme objectif le renouvellement de ses cursus, l’appareil de formation continue est à peine mentionné dans l’étude… Cette absence traduit le retard français en matière d’articulation entre innovation sociale et éducative et innovations technologiques. Or la réussite des innovations technologiques ne peut plus se réduire à des succès économiques… Les enjeux environnementaux et sociétaux (réduire les fractures sociales et culturelles) doivent désormais s’intégrer dans les projets de ré-industrialisation des territoires. De ce point de vue les pôles de compétitivité ont intérêt à élargir leurs cibles et à notamment se faire les porteurs de nouvelles conceptions en matière d’espaces de production.
Durant la phase productiviste les lieux de production ont externalisé de nombreuses fonctions contributives à la cohésion des communautés professionnelles. Cette option n’est pas étrangère aux dysfonctionnements constatés ces dernières décennies en matière de gestion des compétences et d’engagement au travail. Une situation décrite dans une tribune de Francis Mer (Le Monde du 7 août 2012 – http://www.lemonde.fr/) qui pointe la sous-estimation du potentiel humain qui règne dans de nombreuses entreprises françaises. De son point de vue la motivation et l’innovation sont devenus les principaux moteurs de la croissance. Le défi des pôles de compétitivité réside bien dans ce couple et il est donc nécessaire de s’atteler à cette synergie. Une des clefs de la motivation au travail tient notamment dans les dimensions de reconnaissance et de développement qui sous-tendent la vie au travail. Etre reconnu c’est être associé aux projets de l’entreprise. Se développer c’est prendre conscience d’acquérir des compétences nouvelles dans son entreprise. L’apport des organismes de formation professionnelle dans cette dynamique peut être déterminant, encore faut-il qu’ils se positionnent comme tels (développeurs de compétences) en lien avec les lieux de production et non comme simples prestataires de stages…
15 août 2012

Les processus informels de formation en Europe

Cette question est au cœur de la compréhension des réformes à mener en matière d’organisation des systèmes de formation continue. Ceux-ci se sont tous construits dans une logique de duplication des systèmes éducatifs fondés sur la transmission formalisée et validée des savoirs. Or le poids croissant des apprentissages informels et des savoirs expérientiels au sein d’une économie en transformation permanente remet en cause ce modèle. Un modèle qui ne s’est d’ailleurs pas développé de façon similaire dans les pays européens. Ce rapport, réalisé avec le soutien de la Commission Européenne, concerne 10 pays de l’UE et permet d’avoir un tableau représentatif de la façon dont chaque pays s’est emparé de cette question de la validation des savoirs d’expérience. Mais l’apport principal de cette étude réside dans les questionnements à l’égard des systèmes d’acteurs concernés et notamment des partenaires sociaux. Ceux-ci sont les premiers interpellés par la problématique des processus d’apprentissage et de développement au sein des entreprises et, au delà, dans les différents volets de l’activité sociale et culturelle.
La reconnaissance des acquis résultant des différentes modalités informelles de formation n’est pas une question nouvelle et la VAE a été une première réponse à cet enjeu. Cependant la construction de critères et de méthodes destinées à valider et à certifier ces acquis soulève clairement la question des espaces d’implication et de responsabilisation des acteurs économiques et sociaux. Le rapport développe notamment une série de préconisations assorties d’indicateurs de suivi:
    * enrichir la concertation et les partenariats entre acteurs au niveau territorial,
    * associer à la négociation collective de secteur et d’entreprise des protocoles de partenariat avec les organismes prestataires de formation et de validation des compétences,
    * enrichir l’observation et l’évaluation des parcours individuels pendant et après la validation,
    * diffuser largement une information accessible et précise sur les modalités de reconnaissance et de validation de la NFIL,
    * encourager la conduite d’actions expérimentales de conseil renforcé auprès de publics cibles et envisager, après évaluation, leur diffusion,
    * développer l’information et le conseil en direction des salariés des entreprises,…
Ces préconisations ont le mérite d’aborder la question des processus informels d’apprentissage et de développement comme une dynamique d’ensemble et non comme des éléments anecdotiques et annexes du système organisé de formation. De fait, cette étude réinterroge fortement les équilibres institutionnels qui se sont construits autour du rapport aux savoirs favorisant trop souvent la prédominance des systèmes éducatifs au détriment des représentants du monde du travail… Or cette domination a relativisé les acquis expérientiels et a plutôt desservi les salariés les moins qualifiés.
This question is at the heart of understanding the reforms needed for the organization of training systems. These were all built in a mirroring logic of education systems based on the transmission of knowledge formalized and validated. But the growing importance of informal learning and experiential knowledge in a changing economy continuing challenges this model. More...
15 août 2012

Bilan Formation-Emploi

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gifLe bilan Formation-Emploi propose des données essentielles sur les relations entre le système de formation et l'emploi, en une vingtaine de classeurs incluant des tableaux, des cartes et des graphiques.
Ces classeurs sont regroupés en 3 thèmes : l'école et ses sortants, l'insertion des jeunes et la formation tout au long de la vie.
Ces données ont été élaborées en coopération avec le Centre d'études et de recherches sur les qualifications (Céreq), et les ministères chargés de l'Éducation nationale et de l'Emploi. Mise à jour: 3 août 2012.
Sommaire

Tableaux sur l'école et ses sortants (T01 à T05).
Tableaux sur l'insertion des jeunes (T06 à T16).
Tableaux sur la formation tout au long de la vie (T17 à T21).

Méthodologie et sources.
La formation tout au long de la vie

Tableaux sur la formation tout au long de la vie (T17 à T21)
Télécharger l'ensemble des tableaux (format zip : 97 Ko)
T17 Formation des adultes.
T18 Formation des demandeurs d'emploi.
T19 Diplôme en formation continue.
T20 Validation des acquis de l'expérience.
T21 Formation continue financée par les entreprises.

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gif Η ισορροπία Κατάρτισης και Απασχόλησης προσφέρει τα απαραίτητα στοιχεία για τη σχέση μεταξύ του συστήματος κατάρτισης και απασχόλησης, συμπεριλαμβανομένων των είκοσι βιβλία πίνακες, χάρτες και γραφήματα. Περισσότερα...
15 août 2012

La croissance des effectifs dans la fonction publique territoriale ralentit depuis 2008

http://www.dgcl.interieur.gouv.fr/header.jpgFin 2010, près de 1,88 million d'agents, tous statuts confondus, sont employés par environ 43 600 collectivités locales: en six ans ce sont près de 287 000 emplois nets qui ont été créés, dont environ 135 000 dus aux transferts de personnel induits par la loi relative aux libertés et responsabilités locales (LRL) de 2004. Le rythme d’augmentation des effectifs - sans tenir compte de ces transferts - décroît sensiblement depuis 2008. Simultanément ces transferts ont modifié la structure des emplois: fin 2010 plus des trois quarts des agents appartiennent à la catégorie C (ouvriers et employés) et près de la moitié des agents travaillent dans la filière technique. Celle-ci est devenue prépondérante dans les régions. La fonction publique territoriale (FPT) emploie un effectif d’agents civils comparable à celui de la fonction publique d’État. Tous statuts confondus, ce sont 1,88 million d’agents qui représentent environ 1,60 million en équivalent temps plein (ETP). La FPT se caractérise par le grand nombre de ses employeurs et leur diversité: on recense près de 43 600 collectivités employant des agents sur des postes principaux (voir définitions) dont les trois quarts relèvent du secteur communal (les communes, leurs établissements et les groupements de communes).
Près des deux tiers des collectivités employeurs ont moins de 10 agents. Ce sont principalement des petites communes. À l’opposé, 43% des agents travaillent dans des collectivités ayant au moins 1 000 agents (309 collectivités, soit 0,7% des employeurs). Le secteur communal (organismes communaux et intercommunaux) concentre un peu plus des trois quarts des effectifs (76%). 20% des agents sont rémunérés par des organismes départementaux et régionaux.
Un quart des agents ne sont pas titulaires

Parmi les 1,88 million d’agents employés par les collectivités locales, 75% sont des agents titulaires. Au sein des agents non titulaires, les contrats aidés ou les assistants maternels sont des statuts spécifiques. 65 000 personnes employées fin 2010 ont été recrutées sur des contrats aidés. Le volume des contrats aidés, après avoir graduellement baissé jusqu’en 2008, augmente fortement en 2009 et 2010: +28 000 postes sur ces deux années. Plus de 90% des agents sous contrats aidés ont été embauchés par le bloc communal au sein duquel les petites communes (moins de 2 000 habitants) contribuent pour 23,3% du volume total. Les assistants maternels, qui sont en quasi-totalité des femmes, sont rémunérés par les départements et les communes.
La fonction publique territoriale se caractérise par un taux de féminisation relativement important: six agents sur dix sont des femmes. Cette proportion varie selon le type de collectivité. Ainsi, les femmes représentent près de neuf agents sur dix dans les centres communaux d’action sociale (CCAS) et les caisses des écoles (CDE) étant donnée la prévalence de la filière sociale dans ces établissements. Inversement, elles ne constituent qu’un peu plus de la moitié des effectifs dans les structures intercommunales, où la filière technique est importante. Les femmes représentent plus des deux tiers (68,2%) des agents non titulaires.
Pour avoir toute l'étude, télécharger le Bulletin d'Information n°89 de la DGCL.

http://www.dgcl.interieur.gouv.fr/header.jpg End of 2010, nearly 1.88 million workers, all categories taken together, are used by approximately 43,600 local governments: in six years there are almost 287,000 net new jobs that were created, including about 135,000 due to transfers staff induced the law on local freedoms and responsibilities (LRL) of 2004. The rate of increase in staff - regardless of transfers - decreased significantly since 2008. Simultaneously transfers have changed the structure of jobs: the end of 2010 over three quarters of agents are in category C (workers and employees) and almost half of employees work in the technical sector. More...
15 août 2012

Colloque International consacré au management par projet

http://www.iae.univ-tours.fr/images/stories/reseau_iae_gris.jpgVALLOREM et L’IAE DE TOURS VOUS INVITENT AU COLLOQUE INTERNATIONAL soutenu par l’Agence Universitaire Francophone et l’AFITEP (Association Francophone du Management de Projet) le 7 décembre 2012 dans ses locaux. Le thème du colloque est consacré au management par projets: le facteur humain.
Seront présentés les résultats du projet international AUF consacré aux situations managériales en projet, recherche qui a mobilisé, outre le laboratoire VALLOREM, des chercheurs de l’Université de São Paulo, de l’Institut Supérieur du Génie Appliqué du Maroc, de l’Université du Québec à Rimouski, de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal.
http://www.iae.univ-tours.fr/images/stories/logo_univ_gris.jpgCe sera donc l’occasion d’élargir la thématique à la dimension humaine dans le management par projets et ce dans un contexte multiculturel, ce qui n’est pas si fréquent.
Nous invitons donc chercheurs,  enseignants-chercheurs, doctorants qui travaillent sur des problématiques à la confluence des ressources humaines et des projets à proposer une communication scientifique pour le 15 octobre 2012 à l’adresse suivante: colloqueAUFprojetRH@iae.univ-tours.frCette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

http://www.iae.univ-tours.fr/images/stories/QCfrench_gris_petit.jpgVous pouvez télécharger l’appel à communication.
La veille, le 6 décembre, le Master Management de la Qualité et des Projets, en association avec l’Association francophone du Management de projet, propose un atelier d’échanges et de débats à orientation plus professionnelle et une session poster dans l’après-midi. Etudes de cas et Synthèse d’expériences sont les bienvenues. Les propositions doivent nous parvenir pour le 1er octobre 2012.
colloqueAUFprojetRH@iae.univ-tours.frCette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
Vous pouvez télécharger l'appel à intervention.

http://www.iae.univ-tours.fr/images/stories/reseau_iae_gris.jpg~~V VALLOREM Η ΙΑΕ και σας προσκαλούν να TOURS Διεθνούς Συμποσίου που υποστηρίζονται από την Agence Universitaire Γαλλοφωνίας και AFITEP (Γαλλική Ένωση Project Management) 7 Δεκεμβρίου 2012 στις εγκαταστάσεις της. Το θέμα του συνεδρίου εστιάζεται στη διαχείριση από τα έργα: ο ανθρώπινος παράγοντας.
Θα παρουσιάσει τα αποτελέσματα του διεθνούς προγράμματος αφιερώνεται στην AUF σε διευθυντικές project καταστάσεων, στην οποία συμμετείχαν την έρευνα, η προσθήκη VALLOREM εργαστήριο, οι ερευνητές του Πανεπιστημίου του Σάο Πάολο, το Ανώτερο Ινστιτούτο Εφαρμοσμένης Μηχανικής του Μαρόκου, του Πανεπιστημίου του Κεμπέκ σε Rimouski, Πανεπιστήμιο Gaston Berger της Saint-Louis, Σενεγάλη
. Περισσότερα...
15 août 2012

Zoom sur le CIF

Documents associés

Etat des lieux OPMQ.pdf (968,6 Ko)
Annuaire OPMQ.pdf (432 Ko)

http://www.fpspp.org/portail/zoomcif.pngIntroduction
This "Focus on the CIF" is available to all Internet users.
Do I need a professional project or training already chosen to consider a CIF?
Testimonials
Here you will find video testimonials of people who received a CIF.
The main themes are addressed:

Sequence 2: What advice, what support can I expect the FONGECIF? More...

15 août 2012

Centres et instituts dont les stages ou sessions ouvrent droit au congé pour formation syndicale des agents de la FPT

http://www.legifrance.gouv.fr/img/Legifrance-Le-service-public-de-l-acces-au-droit.jpgArrêté du 17 juillet 2012 modifiant l'arrêté du 9 février 1998 fixant la liste des centres et instituts dont les stages ou sessions ouvrent droit au congé pour formation syndicale des agents de la fonction publique territoriale. JORF n°0171 du 25 juillet 2012, texte n° 15.NOR: INTB1228236A.
Le ministre de l'intérieur,
Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, notamment son article 21, ensemble la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, notamment ses articles 57 (7°) et 136 ;
Vu le décret n° 85-552 du 22 mai 1985 modifié relatif à l'attribution aux agents de la fonction publique territoriale du congé pour formation syndicale ;
Vu l'arrêté du 9 février 1998 modifié fixant la liste des centres et instituts dont les stages ou sessions ouvrent droit au congé pour formation syndicale des agents de la fonction publique territoriale ;
Vu les propositions du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale en date du 4 avril 2012 et du 27 juin 2012,
Arrête :
Article 1
L'article 1er de l'arrêté du 9 février 1998 susvisé est modifié comme suit :
― au deuxième alinéa, les mots : « Centre confédéral d'éducation ouvrière » sont remplacés par les mots : « Centre de la formation syndicale CGT» ;
― après le dixième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Centre d'études et de formation interprofessionnel solidaires, 144, boulevard de la Villette, 75019 Paris » ;
― au douzième alinéa, les mots : « 37, avenue du Président-Franklin-Roosevelt, 92330 Sceaux » sont remplacés par les mots : « 16, boulevard Carnot, 92340 Bourg-la-Reine » ;
― après le vingt-deuxième alinéa, il est inséré deux alinéas ainsi rédigés :
« Institut régional du travail de l'université du Mirail-Toulouse-II, 5, allée Antonio-Machado, 31058 Toulouse Cedex ;
« Institut syndical européen pour la recherche, la formation, la santé et la sécurité (ETUI-REHS), boulevard du Roi-Albert-II, 5, box 7, B 1210 Bruxelles (Belgique). »
Article 2 En savoir plus sur cet article...
Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 17 juillet 2012.
Pour le ministre et par délégation: Le directeur général des collectivités locales, E. Jalon.
Liste complète actuelle
Article 1, Modifié par Arrêté du 17 juillet 2012 - art. 1

La liste des centres et instituts dont les stages ou les sessions ouvrent droit au congé pour formation syndicale, prévu à l'article 57 (7°) de la loi du 26 janvier 1984 susvisée, est fixée comme suit:
Centre de la formation syndicale CGT de la Confédération générale du travail (CGT), 263, rue de Paris, 93516 Montreuil Cedex;
Institut confédéral d'études et de formation syndicale de la Confédération française démocratique du travail (CFDT), 4, boulevard de La Villette, 75955 Paris Cedex 19;
Centre de formation de militants syndicalistes et centre d'éducation ouvrière de la Confédération générale du travail-Force ouvrière (CGT-FO), 141, avenue du Maine, 75680 Paris Cedex 14;
Institut syndical de formation de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC), 13, rue des Ecluses-Saint-Martin, 75483 Paris Cedex 10;
Centre de formation syndicale de la Confédération française de l'encadrement-Confédération générale des cadres (CFE-CGC), 30, rue de Gramont, 75002 Paris;
Institut de formation syndicale de la Fédération générale autonome des fonctionnaires (FGAF), 30, avenue de la Résistance, 93100 Montreuil;
Centre d'étude et de formation de l'Union nationale des syndicats autonomes (CEFU-UNSA), 32, rue Rodier, 75009 Paris;
Centre fédéral de formation syndicale de la Fédération syndicale unitaire (FSU), 104, rue Romain-Rolland, 93260 Les Lilas;
Institut de formation syndicale de la Fédération autonome de la fonction publique territoriale (IFS FA-FPT), 96, rue Blanche, 75009 Paris;
Centre d'études et de formation interprofessionnel solidaires, 144, boulevard de la Villette, 75019 Paris;
Institut du travail de l'université Robert-Schuman (Strasbourg-III), 39, avenue de la Forêt-Noire, 67000 Strasbourg;
Institut des sciences sociales du travail de l'université Paris-I, 16, boulevard Carnot, 92340 Bourg-la-Reine;
Institut national de formation et d'application du centre de culture ouvrière (INFA), 82, rue François-Rolland, 94130 Nogent-sur-Marne;
Institut régional d'éducation ouvrière Nord-Pas-de-Calais (IREO) de la faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de l'université Lille-II, 1, place Déliot, BP 629, 59024 Lille Cedex;
Institut d'études sociales de l'université des sciences sociales de Grenoble (Pierre-Mendès France), domaine universitaire de Saint-Martin-d'Hères, BP 47, 38040 Grenoble Cedex 9 ;
Institut régional du travail de l'université Aix-Marseille-II, 12, traverse Saint-Pierre, 13100 Aix-en-Provence;

Institut de formation syndicale de l'université Lumière Lyon-II, 86, rue Pasteur, 69365 Lyon Cedex 07 ;
Institut régional du travail de l'université Nancy-II, 138, avenue de la Libération, BP 3409, 54015 Nancy Cedex ;
Institut du travail de l'université Montesquieu Bordeaux-IV, faculté de droit, bureau E 205, avenue Léon-Duguit, 33608 Pessac Cedex;
Institut régional d'éducation ouvrière de Picardie, campus universitaire, 80025 Amiens Cedex 1;
Institut du travail de l'université de Saint-Etienne, 6, rue Basse-des-Rives, 42023 Saint-Etienne Cedex 2;
Institut des sciences sociales du travail de l'Ouest (ISSTO), campus Rennes-II, La Harpe, avenue Charles-Tillon, 35044 Rennes Cedex;
Institut régional du travail de l'université du Mirail-Toulouse-II, 5, allée Antonio-Machado, 31058 Toulouse Cedex;
Institut syndical européen pour la recherche, la formation, la santé et la sécurité (ETUI-REHS), boulevard du Roi-Albert-II, 5, box 7, B 1210 Bruxelles (Belgique).
http://www.legifrance.gouv.fr/img/Legifrance-Le-service-public-de-l-acces-au-droit.jpg~~V Διάταγμα της 17 του Ιουλίου 2012 που τροποποιεί την απόφαση της 9ης Φεβρουαρίου 1998 για την κατάρτιση καταλόγου των κέντρων και ινστιτούτων όπως άσκησης ή αφήνουν ανοικτές συνεδρίες δικαίωμα για το εμπόριο υπευθύνους για την κατάρτιση Ένωση οι τοπικές δημόσιες υπηρεσίες. ΦΕΚ 0171 με ημερομηνία 25 Ιούλη του 2012, το κείμενο Δεν 15.NOR: INTB1228236A. Περισσότερα...
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