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Formation Continue du Supérieur

27 août 2012

Etudier à l'université

http://www.e-orientations.com/imgs/librairie-scolaire-en-ligne.jpgLes universités sont reparties de l'avant et se montrent innovantes pour séduire de plus en plus d'étudiants. De nombreuses formations sont proposées, à tel point qu'il en devient difficile de s'orienter.
D'autant qu'avec la loi LMD, et l'autonomie qui en découle, les universités se rapprochent des entreprises et tentent d'améliorer l'insertion de leurs étudiants.
Faculté : généralités
Université : un diplôme sinon rien
Le sénateur Christian Demuynck a remis le 14 juin 2011 à Valérie Pécresse un rapport comprenant 70 préconisations pour lutter contre le décrochage à l'université. Analyse.
Les records mondiaux de l'université
Quelle université compte le plus de prix Nobel? A la plus haute altitude? Orientations a mené l'enquête autour du monde sur tous ces records.
Autonomie des universités : ce que ça change pour les étudiants
La loi sur l'autonomie des universités, ou "loi LRU", a changé en profondeur le paysage de l'enseignement supérieur français. Retour sur les changements concrets que cette loi a apporté.
A Saclay, l'enseignement supérieur se conjugue au futur
Sur le plateau de Saclay, les travaux ont commencé. Un pôle scientifique international est en construction...
Fac et insertion professionnelle
Choisir sa voie professionnelle
Choisir sa voie professionnelle est une décision importante à déterminer en fonction de sa personnalité et en sachant ce que l’on attend de son métier.
Les universités se rapprochent des entreprises
Avec leur récente autonomie, les universités multiplient les efforts pour se rapprocher du monde économique... Insertion professionnelle : la fac s'y emploie
Longtemps apparentée aux élèves en difficulté, l'apprentissage investit aujourd'hui les facs, de bac+2 à bac+5, et séduit de plus en plus...
Les diplômes préparés
LMD késako
Simples, efficaces, et lisibles dans le monde entier, ces trois lettres, LMD, sanctionnent trois niveaux d’études: la Licence, le Master et le Doctorat.
Licence générale et licence pro
La licence constitue le premier grade universitaire reconnu au niveau européen.
Un master pour quoi faire ?
Le M du LMD, c’est le Master. De niveau bac+5, il est devenu le diplôme phare de l’université.
Les filières
Etudes en lettres et langues
Le cursus lettres comporte trois filières: lettres classiques, lettres modernes et sciences du langage.
Etudes en sciences humaines
Géographie, histoire, philosophie, psychologie, sciences politiques, sociologie: découvrez les sciences humaines! Etudes d'art
Vous avez la fibre artistique? Sachez d’ores et déjà que la fac propose un enseignement principalement théorique avec peu d’heures de pratique en atelier.
Directions: education, business, alternately, employment, school guidance Universities are spread forward and innovative show to attract more students. Many courses are offered, to the point that it becomes difficult to navigate.
Especially with the law LMD autonomy and resulting universities get closer to business and try to improve the integration of their students.

School: general

University: a diploma or nothing
Senator Christian Demuynck presented June 14, 2011 Valerie Pécresse a report containing 70 recommendations to fight against leaving university. Analysis. More...
27 août 2012

L'assurance-santé des étudiants menacée

http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20120828/QUO_208_coupee.jpgPar Francis Kessler, Maître de conférences à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne. L'état de santé des étudiants se dégrade en France. En cause, les renoncements aux soins pour un étudiant sur trois, et l'absence de médecin traitant pour près d'un étudiant sur cinq, d'après les principales conclusions d'une enquête menée par la Mutuelle des étudiants (LMDE) et la Mutualité française auprès de plus de 8000 étudiants, et publiée le 22 mai. Selon l'étude "Santé et conditions de vie des étudiants", ceux-ci "subissent de plein fouet" les reculs de l'assurance-maladie et se reportent sur les soins de premier recours, faute de complémentaire santé.
Mis à part les allocations familiales et certains dispositifs d'aide sociale sous conditions de ressources, la protection sociale de l'étudiant consiste, en effet, après son vingtième anniversaire, en une affiliation à l'assurance-santé du régime général de Sécurité sociale, moyennant une cotisation unique forfaitaire.
La gestion de cette assurance sociale a été confiée, dès 1948, par délégation des caisses d'assurance-maladie, à la Mutuelle nationale des étudiants de France (MNEF), à laquelle a succédé, en 2000, la LMDE. Il s'est par ailleurs créé, à partir de mutuelles régionales, un second mouvement mutualiste aujourd'hui regroupé en une fédération, la FAGE, qui concurrence la LMDE.
TROP ONÉREUX

L'affiliation à ce régime étudiant doit être renouvelée tous les ans, ce qui représente environ 1 600 000 opérations par an, effectuées essentiellement en trois mois (juillet, septembre et octobre). La collecte des cotisations est confiée aux universités au moment des inscriptions, ce qui soulève nombre de difficultés administratives, notamment de transmission de dossiers.
Les mutuelles étudiantes sont également financées par la Caisse nationale d'assurance-maladie, qui verse des "remises de gestion" forfaitaires rémunérant la prestation des mutuelles en tant que "centre de Sécurité sociale".
Les mutuelles proposent aussi une offre complémentaire facultative individuelle répondant aux principes mutualistes de solidarité et financée uniquement par les cotisations des adhérents. Elles ont donc, pour les étudiants qui choisissent ces offres, une double fonction de centre de remboursement de la Sécurité sociale et d'assureur complémentaire.
Pour cette dernière fonction, les mutuelles étudiantes sont en concurrence avec les autres assureurs santé, notamment les complémentaires familiales des parents.
Selon la Cour des comptes, les "remises de gestion" coûtent trop cher au régime général. Mais les caisses primaires d'assurance-maladie ne sont pour l'instant pas structurées pour gérer le renouvellement massif des droits annuels de la population étudiante.
La durée moyenne d'affiliation au régime étudiant est d'environ trois ans et demi, contre sept à neuf ans pour les salariés. Les mutuelles étudiantes sont, par ailleurs, autogérées. Elles constituent ainsi un lieu d'initiation à la démocratie sociale, même si les élections des dirigeants mutualistes, espacées dans le temps, ne rendent pas compte de la volatilité de la population étudiante, et si la communication sur l'originalité de cette offre mutualiste est défaillante.
François Hollande s'est engagé, lors de la campagne électorale, à instaurer un "chèque-santé", faisant écho à une revendication étudiante d'une aide couvrant 50% du coût d'une complémentaire santé. Mais il ne s'est pas prononcé sur une réforme de la Sécurité sociale étudiante.
Or le statu quo est impossible, car les mutuelles étudiantes devront répondre, comme tous les assureurs, à de nouvelles exigences financières et de gestion, dites de "solvabilité". Ce sera au groupe de travail sur la protection sociale et la santé des étudiants créé par la commission des affaires sociales du Sénat au printemps 2012 de se pencher sur le problème.

http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20120828/QUO_208_coupee.jpg By Francis Kessler, Senior Lecturer at the University of Paris I Panthéon-Sorbonne.'s Health deteriorates students in France. Involved, sacrifices to care for one in three, and no doctor for nearly one in five, according to the main findings of an investigation by the Mutual students (LMDE) and French Mutuality with over 8,000 students, and published on May 22 According to the study "Health and living conditions of students," they "bear the brunt" of the setbacks and insurance refer to the primary care, lack of complementary health. More...

27 août 2012

Il faut renforcer la mobilité des travailleurs européens

http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20120828/QUO_208_coupee.jpgPar László Andor, commissaire européen chargé de l'emploi, des affaires sociales et de l'inclusion. Il est facile d'oublier combien une liberté est importante une fois qu'on s'y est habitué. Cependant, la liberté de circulation des travailleurs est un principe fondamental de l'intégration européenne.
La décision du gouvernement français de faciliter l'accès des travailleurs bulgares et roumains à certaines professions constitue un pas dans la bonne direction. La décision prise récemment par l'Irlande d'ouvrir son marché du travail était déjà une réponse positive à l'appel lancé par la Commission européenne à lever ces restrictions, et j'espère que d'autres Etats membres feront de même.
La liberté de circulation des travailleurs est l'un des fondements de l'Union européenne. Faire en sorte qu'il soit facile pour les citoyens de l'UE de changer de pays pour raison professionnelle renforce le potentiel économique des pays membres.
Les études sur la mobilité au sein de l'UE consécutive à l'élargissement indiquent avec constance que les travailleurs d'autres pays de l'UE ont eu un impact positif. Ils ont contribué à donner un coup de fouet aux économies des pays d'accueil ainsi qu'à la diversification des compétences, et ils ont travaillé dans des secteurs et métiers où des postes vacants demandaient à être occupés. En outre, leur mobilité est bénéfique pour leurs pays d'origine en contribuant à leur croissance grâce aux émoluments ou aux compétences acquis à l'étranger. A l'heure actuelle, la France accueille environ 87 000 citoyens bulgares et roumains, dont plus des trois quarts sont en âge de travailler. L'ouverture totale du marché du travail serait très utile pour les secteurs qui connaissent une pénurie de compétences, tels que le bâtiment, le transport, le tourisme, l'agriculture, l'hôtellerie et la restauration.
Si nous avons l'intention de nous diriger vers un véritable marché du travail européen, nous devons lever les obstacles à la mobilité professionnelle. Les énormes fossés qui séparent pays et régions en termes de taux de chômage, d'un côté, et de taux de postes vacants, de l'autre, indiquent que nous n'exploitons pas suffisamment le potentiel que représente la mobilité. Au vu de la crise de l'emploi, caractérisée par une combinaison de niveaux de chômage qui demeurent élevés dans beaucoup de domaines, et d'offres d'emploi non pourvues dans des régions ou secteurs en forte croissance, sans parler des défis démographiques auxquels l'UE va être confrontée, nous ne pouvons pas nous permettre de restreindre la libre circulation.
Par conséquent, nous devons continuer à démanteler tout obstacle légal et pratique qui subsiste. J'ai présenté des mesures dans ce sens dans le cadre du "paquet emploi", en avril. Garantir la portabilité des retraites en fait partie, tout comme les obstacles ayant trait aux compétences auxquels la Commission s'attaque par le truchement de programmes d'apprentissage et de formation tels qu'Erasmus.
D'un autre côté, du point de vue du développement économique des pays d'Europe centrale et orientale, il est crucial également de créer les conditions pour que les jeunes restent au pays, afin que tout le monde contribue à l'économie, et d'encourager ceux qui sont partis à revenir. Cela ne veut pas dire qu'il faut mettre un frein à l'épanouissement ou à la mobilité des personnes, mais plutôt qu'il faut encourager la mise en place de réformes institutionnelles et administratives qui aboutissent à ce que suffisamment de moyens soient investis dans les infrastructures et dans le capital humain.
Afin d'améliorer la compatibilité entre emplois proposés et demandeurs d'emploi par-delà les frontières, nous prévoyons de moderniser dès cet automne le portail Eures pour les demandeurs d'emploi, en le rendant plus interactif. En outre, des programmes ciblés de mobilité professionnelle vont être lancés qui pourront se focaliser sur des groupes cibles, secteurs, métiers et pays particuliers en fonction des besoins du marché. Un exemple est votre premier emploi Eures qui a été lancé par la Commission pour aider les jeunes qui cherchent un emploi à travers toute l'Europe.
Partout en Europe nous cherchons le moyen de sortir de la crise. J'estime que cela ne sera possible qu'à travers une approche européenne de l'emploi, qui nous permette de voir plus loin que nos frontières nationales. Lever les restrictions sur la circulation des travailleurs représente un pas dans la bonne direction.
http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20120828/QUO_208_coupee.jpg Με László Andor, Επίτροπος της ΕΕ για την απασχόληση, τις κοινωνικές υποθέσεις και κοινωνική ένταξη., Είναι εύκολο να ξεχνάμε πόσο σημαντική είναι η ελευθερία τη στιγμή που θα το συνηθίσετε. Ωστόσο, η ελεύθερη κυκλοφορία των εργαζομένων αποτελεί θεμελιώδη αρχή της ευρωπαϊκής ολοκλήρωσης. Η απόφαση της γαλλικής κυβέρνησης να διευκολύνει την πρόσβαση της Βουλγαρίας και της Ρουμανίας εργαζομένων σε ορισμένα επαγγέλματα είναι ένα βήμα προς τη σωστή κατεύθυνση. Περισσότερα...
27 août 2012

De l'importance de la déclaration à la CNIL en cas d'évaluation en ligne des formations

http://up6.typepad.com/6a00e5500820fe8834014e892d89da970d-250siRédigé par Jonathan Pottiez. Nos clients nous interpellent régulièrement au sujet des démarches à entreprendre lors du passage à l'évaluation en ligne des formations (donc la dématérialisation des questionnaires d'évaluation). En dehors des aspects organisationnels liés à l'accompagnement de ce changement (comme le fait de prévoir une communication spécifique afin d'informer l'ensemble des acteurs de la démarche), nous leur conseillons systématiquement de déclarer leur fichier à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL).
En effet, le fait d'évaluer l'efficacité de ses formations génère un ensemble de données qui sont stockées dans la solution Formaeva et dont certaines sont des données à caractère personnel (DCP).
Sur ce point, deux éléments majeurs méritent d'être soulignés:
* En tant que responsable de la création et de la gestion de ce fichier (ex: mises à jour), la solution Formaeva n'étant ici "que" l'outil permettant leur stockage et leur exploitation, la CNIL stipule que c'est au client de réaliser cette déclaration. Bien entendu, l'équipe Formaeva est présente pour accompagner ses clients dans cette démarche et pour en informer le personnel. De plus, dans les plus grandes organisations, il existe généralement un correspondant informatique et libertés (CIL) en interne qui peut donc être directement sollicité.
* Passer outre cette obligation risque de vous exposer à des sanctions, notamment si vous procédez à des tests de positionnement ou à des évaluations des acquis de la formation (niveau 2 du modèle de Kirkpatrick). Sur ce point, je vous suggère vivement de lire l'article publié sur le site e-Learning-letter.com et intitulé "E-learning et données à caractère personnel...". L'auteur y recense les DCP que sont susceptibles de collecter les learning management systems (LMS) ainsi que les systèmes d'évaluation des formations, comme Formaeva.
Sachant qu'il est toujours préférable de prévenir que de guérir, je vous conseille vivement de prendre le temps de "mettre les choses au carré" afin de respecter cette obligation. Vous éviterez ainsi que votre projet de mise en oeuvre d'un nouveau système d'évaluation des formations ne soit pénalisé.
http://up6.typepad.com/6a00e5500820fe8834014e892d89da970d-250si . Οι πελάτες μας μας προκαλεί τακτικά σχετικά με τα βήματα για να λάβει κατά τη μετάβαση σε απευθείας σύνδεση εκπαίδευσης αξιολόγηση (εξ ου και η αποϋλοποίηση των ερωτηματολογίων αξιολόγησης). Εκτός από τις οργανωτικές πτυχές που συνδέονται με τη συνοδεία της αλλαγής αυτής (όπως η παροχή της συγκεκριμένης επικοινωνίας για την ενημέρωση όλων των ενδιαφερομένων μερών της διαδικασίας), τους συμβουλεύουμε να δηλώνουν συστηματικά τα αρχεία τους στην Εθνική Επιτροπή Πληροφορικής και Ελευθεριών (CNIL). Περισσότερα...
26 août 2012

Suppression de la section de criminologie au Conseil National des Universités

EnseignementLe ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche précise les raisons ayant conduit à la suppression de la section de Criminologie au Conseil national des universités.
La section de criminologie au Conseil National des Universités (CNU) a été supprimée par arrêté. La situation à laquelle avait abouti un processus de création contestable et contesté devait être apurée. Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche ne se prononce pas sur le fait de savoir si la criminologie est ou n'est pas une science; il se prononce seulement sur l'opportunité de la création d'une section du Conseil National des Universités dans de telles conditions, qui impliquaient en outre des risques non négligeables pour les éventuels docteurs candidats à la qualification.
La situation de la criminologie renvoie à deux questions bien différentes, et qui devront être traitées en cohérence mais séparément, et notamment en s'appuyant sur les futures contributions aux Assises de l'Enseignement supérieur et de la Recherche:
L'une est la gestion, par les sections disciplinaires du CNU, des carrières des enseignants-chercheurs dont le profil de recherche est pluridisciplinaire;
la criminologie est concernée, mais elle est loin d'être la seule, et la solution à mettre en œuvre doit permettre de traiter également tous les cas de même nature.
L'autre est le développement des recherches et des formations en criminologie, dans une stratégie réellement pluridisciplinaire; la criminologie est au premier chef concernée, mais bien d'autres également, puisque toute formation de nature professionnelle couvre nécessairement un ensemble de compétences complémentaires et donc pluridisciplinaires.
Teaching The Ministry of Higher Education and Research explains the reasons that led to the removal of the section of Criminology at the National Council of Universities.
Section of Criminology at the National Council of Universities (CNU) was abolished by decree.
The situation had reached a creative process contestable and contested must be discharged. The Ministry of Higher Education and Research does not comment on whether criminology is or is not a science it is pronounced only on whether the creation of a section of the National Council Universities in these conditions, which also involved significant risks for potential candidates qualifying doctors. More...
26 août 2012

Le DIF portable

Revenir à l'accueil d'AGEFOS PME PARTOUT EN FRANCEDIF portable
La loi du 24 novembre 2009 vous offre la possibilité de conserver votre crédit d’heures DIF acquis et non utilisé au moment de la rupture de votre contrat de travail.
Cette possiblité peut s'exercer soit lors de la rupture du contrat de travail (pendant la période de préavis), soit après la rupture du contrat de travail en tant que demandeur d'emploi ou salarié auprès du nouvel employeur.
Votre crédit d’heures DIF acquis et non utilisé finance tout ou partie d'une action de formation, de bilan de compétences ou de VAE (validation des acquis de l'expérience).
La portabilité du DIF s’applique à toute rupture de contrat de travail effective depuis le 26 novembre 2009.
Êtes-vous concerné ?

Tous les salariés qui connaissent une rupture du contrat de travail ou une fin de
CDD ouvrant droit à l’indemnisation chômage et qui ont acquis des droits à DIF
peuvent utiliser les heures DIF portables.
Les ruptures de contrat de travail donnant lieu à l’utilisation du DIF portable sont:
    licenciement pour motif personnel,
    licenciement pour faute grave,
    licenciement économique (hors acceptation de la convention de reclassement personnalisé ou contrat de transition professionnelle),
    rupture conventionnelle,
    fin de CDD ou la rupture anticipée du CDD,
    démission légitime au regard de la réglementation d’assurance chômage.
Quelles formations pouvez-vous suivre ?

Vous pouvez utiliser le DIF portable pour suivre une:
    action de formation,
    action de validation des acquis de l’expérience (VAE),
    action de bilan de compétences.
L’organisme choisi doit avoir un numéro de déclaration d’activité et figurer sur la liste du FONGECIF ou d’un organisme collecteur agréé au titre du congé individuel de formation.
Quelles sont les obligations d'information de votre ancien employeur ?

A l’issue du contrat de travail, l’employeur doit vous remettre un certificat de travail sur lequel est précisé, outre les mentions habituelles:
    le solde du nombre d’heures acquises au titre du DIF et non utilisées,
    la somme correspondante à ce solde (9,15 euros X solde d’heures),
    ainsi que l’organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) dont l’entreprise relève au titre de la professionnalisation.
Quel est le financement possible ?

Les heures DIF portables sont valorisées selon le calcul suivant:
Solde des heures acquises non utilisées X 9,15 euros HT
A noter : Si le coût de la formation est supérieur à la valorisation de vos heures DIF portables, alors le reliquat est à votre charge.
Comment mettre en oeuvre votre DIF portable pendant la période de préavis ?

L’employeur est tenu de mentionner dans la lettre de notification de licenciement les heures acquises au titre du DIF et non utilisées. Il doit vous informer de la possibilité de déposer une demande de DIF avant la fin de votre préavis.
L’accord de l’employeur sur le choix de la formation n’est pas nécessaire. Si vous demandez à utiliser votre droit pendant le préavis les heures acquises au titre du DIF sont valorisées par 9,15 €.
Si l'action de formation est réalisée, elle peut se dérouler pendant le préavis, après la rupture ou "à cheval sur ces deux périodes".
En l’absence de demande de votre part, la valorisation des heures DIF portables n'est due ni par votre employeur, ni par l'OPCA.
Comment mettre en oeuvre votre DIF portable en tant que demandeur d'emploi ?
Etape 1 : Préparer votre projet de formation

    Identifier la formation que vous souhaitez suivre
    Trouver l’organisme de formation pouvant assurer la formation de votre choix:
- Munissez-vous du numéro de déclaration d’activité (11 chiffres) de l’organisme de formation
- Demandez-lui un devis et le programme détaillé de la formation
- Vous pouvez bénéficier d’un appui de Pôle emploi pour la recherche d’un organisme de formation
- Si le coût de la formation est supérieur au montant figurant sur votre certificat de travail, l’organisme de formation doit établir avec vous un contrat de formation professionnelle précisant votre engagement financier.
Etape 2 : Constituer votre dossier

Prenez contact avec Pôle emploi et munissez vous des pièces suivantes:
    Devis et programme de formation,
    Copie de votre certificat de travail remis par votre ancien employeur,
    Le contrat de formation professionnelle précisant votre engagement financier, si nécessaire.
Etape 3 : Financement par AGEFOS PME

Adressez à AGEFOS PME de votre région les pièces nécessaires à l’étude de financement, 21 jours au minimum avant le début de la formation:
    Demande de prise en charge de la formation DIF portable renseignée
    Avis du conseiller Pôle emploi (favorable ou défavorable)
    Devis et programme de formation
    Copie de votre certificat de travail
    Contrat de formation professionnelle, si nécessaire
AGEFOS PME accorde le financement selon la réglementation en vigueur et envoie son accord :
    au demandeur d’emploi,
    à Pôle emploi pour information,
    à l’organisme de formation.
Seul un accord écrit garantit notre financement.
Le financement par AGEFOS PME ne saurait excéder la somme acquise au titre du DIF portable. Si le coût de la formation est supérieur à cette somme, le reliquat du coût pédagogique est à votre charge.
AGEFOS PME règle, systématiquement et directement, l’organisme de formation une fois la formation réalisée sur présentation des pièces justificatives : facture et attestation de présence/ou feuilles d’émargement établies par demie journée.
Comment mettre en oeuvre votre DIF portable auprès de votre nouvel employeur ?

Vous pouvez mobiliser votre DIF portable auprès de votre nouvel employeur.
La demande doit être faite dans les deux ans qui suivent votre embauche.
Votre demande est soumise à l’accord de l’employeur pour suivre une action de formation, de VAE ou de bilan de compétences.
En cas de désaccord de l’employeur, vous pouvez mobiliser votre DIF portable et demander le financement de l’action à l’OPCA dont relève votre nouvel employeur au titre de la professionnalisation.
L’action financée doit répondre aux priorités prévues par accord de branche ou interprofessionnel dont relève l’entreprise.
Dans ce cas, l’action se déroule hors temps de travail sans versement de l’allocation de formation.
Cas particuliers : Retraite, licenciement pour faute lourde

Vous ne pouvez pas bénéficier du DIF.
Voir aussi Uniformation: premier bilan du DIF portable, Portabilité du DIF - pas aussi simple qu’il n’y paraît, Qui peut prétendre au DIF portable, Le DIF portable prêt à décoller.

Επιστροφή στο σπίτι για τις ΜΜΕ AGEFOS ΠΑΝΤΟΥ ΣΤΗ ΓΑΛΛΙΑ DIF κινητά
Ο νόμος της 24ης Νοεμβρίου 2009 επιτρέπει σε σας για να κρατήσει ώρες πιστωτικές σας κερδίσει και αχρησιμοποίητα DIF κατά το χρόνο της σύμβασης σπάσιμο σας.

Η δυνατότητα αυτή μπορεί να ασκηθεί κατά τη λήξη της σύμβασης εργασίας (κατά τη διάρκεια της περιόδου προειδοποίησης), ή μετά τη λήξη της σύμβασης εργασίας ως αιτών εργασία ή υπάλληλος με το νέο εργοδότη
. Περισσότερα...

26 août 2012

Green Paper on University “Third Mission”

IREG - forum Warsaw(Valencia, 20 August 2012) A European Commission-funded project, “European Indicators and Ranking Methodology for University Third Mission” (E3M) has released a green paper title Fostering and Measuring “Third Mission” in Higher Education Institutions. The document not only provides information about what the E3M participating institutions learned in the course of this unique project, but perhaps more importantly, specific insights into the “kinds of beneficial impact universities can have on their host societies, and the circumstances that influence the ability of universities to deliver those impacts”.
In addition to serving as an important information dissemination tool to key stakeholders, the Green Paper authors also hope it will spur concrete action with regard to further development and implementation of “Third Mission Indicators and Metrics”. Specifically, the report provides important information about the utility of indicators and metrics to render third mission activities more “monitorable”, and therefore to some “extent influenceable or manageable”. Good indicators and metrics “well and responsibly handled” can help managers take informed decisions and leverage resources for future development. They can also help institutions communicate with and learn from one another. However, the Green Paper also clearly cautions that such tools are only useful if they are developed carefully and employed thoughtfully, taking into account the strategic goals and unique contexts of individual institutions.
The Green Paper abstains from articulating a ranking methodology for university Third Mission activity, but does suggest that there is “significant potential for the use of Third Mission metrics… to provide comparisons for small groups of comparable institutions”, i.e. benchmarking. Further conversation on how best to measure and track Third Mission activities is encouraged, with the clear preference expressed to work diligently towards achieving intelligent, useful tracking and measurement tools in this area, rather than rushing headlong into quick, careless solutions that may ultimately be more damaging than helpful.
E3M project website: www.e3mproject.eu/results.html.
See also Defining and Delivering the University’s Third Mission and Universities' Third Mission: Indicators and Good Practices.

26 août 2012

MULTRA signed by EVA (Denmark) and AQU Catalunya (Spain)

logoThe Multilateral Agreement on the Mutual Recognition of Accreditation Results regarding Joint Programmes (MULTRA) is now signed by 8 agencies.
On 14 December 2010 ECA members launched the Multilateral Agreement on the Mutual Recognition of Accreditation Results regarding Joint Programmes (MULTRA).
On 13 June 2012 two new agencies - EVA Denmark and AQU Catalunya have signed the MULTRA.
The purpose of the MULTRA is to simplify the accreditation and recognition of joint programmes and degrees awarded and to provide an efficient way to expand mutual recognition to more European Higher Education Area countries.
The MULTRA is now signed by the agencies FHR and ÖAR (Austria), EVA (Denmark), CTI (France), NVAO (The Netherlands and Flanders), PKA (Poland), ANECA (Spain), and AQU Catalunya (Spain).
For more information on the MULTRA click here.
26 août 2012

TEQSA to focus on English Language Standards

By Terri Macdonald (NTEU National Office). The HES has reported today (National regulator sharpens focus on English language standards 22/08/12) that universities, VET and private providers will all be the target of a "thematic" audit by the new regulator, TEQSA, focusing on English standards.
In particular, it was reported that TEQSA will concentrate on whether the English competence skills of students improve as they go through their course, and how the institutions assess this.
The report cites a recent study that found overseas students who started with 'competent' levels of English were unlikely to graduate with the level of language skill needed to work in Australia. However, given the recent announcement of a 2 - 3 year post study work visa for graduates, having adequate English language skills will be vital if these students are likely to be able to pursue work in their chosen professions in Australia.
This issue has been a long running one. NTEU has for a number of years, echoed the concerns of members working in universities, who see the pressure to admit larger numbers of international students is not necessarily being matched by available English language support services (and where those exist, they are often under resourced).
TEQSA's thematic audit would look at all entry standards in all pathways, language support through the curriculum, and exit standards.
However, given TEQSA's recent obsession with 'drilling down' to the micro level, we are wondering just how it will execute this audit, and what hoops the institutions will need to jump through. It would be a concern if the reason for this review - which we think has merit - is lost in a sea of compliance procedures and red tape.
Link to the story is HERE.
26 août 2012

The Council of Europe does not recognize higher education institutions

http://www.coe.int/t/dg4/highereducation/System/TB_en.jpg

In light of the increasing number of higher education providers that claim to be recognized by the Council of Europe or other international organizations, we wish to make it clear that the Council of Europe does not recognize or in any other way bestow legitimacy on any higher education institution, programme or provision. Institutional recognition is normally within the competence of national authorities and is normally conditional on the institution or programme undergoing quality assessment.
There seems to be an increasing number of higher education providers that claim to be recognized by the Council of Europe, alone or in cooperation with other international organizations, such as UNESCO, or by individuals acting on behalf of an international organization. Sometimes providers also claim that the Council of Europe/UNESCO Convention for the Recognition of Qualifications concerning Higher Education in the European Region confers recognition on their education provision. In some cases, providers claim to have been recognized by the Council of Europe, whereas in other cases their text is phrased in such a way as to give the impression that they have been recognized, even if technically they do not say so.
In light of the increasing number of such claims, we wish to make it clear that the Council of Europe does not recognize or in any other way bestow legitimacy on any higher education institution, programme or provision.

Attention is also drawn to the alert published on the UNESCO web site on this topic.
The different categories of unsubstantiated claims of recognition features on this site in large part also apply to claims of recognition by the Council of Europe.
Education provided within national systems

It should be recalled that most education provision belong to a national education system, and that the competence to determine what institution, programmes or other provision is recognized belongs to the public authority responsible for the education system in question. Increasingly, recognition or acceptance of higher education institutions by national authorities is made conditional on the institution or programme undergoing a quality assessment. In Europe, this is the policy adopted by the Ministers responsible for higher education in the framework of the Bologna Process aiming to establish a European Higher Education Area by 2010. In 2005, the Ministers adopted a set of European Quality Assurance Standards, which are based on a background report elaborated by ENQA – the European Association for Quality Assurance in Higher Education and partners.
International, transnational or cross-border education

Some of the providers claiming to be recognized also claim to provide “international” or “European” education, in other words they do not claim to belong to a higher education system. There is no competent international body, independent of national education systems, with a mandate to recognize or assess such provision. However, UNESCO and the OECD have elaborated Guidelines on Quality provision in Cross-border Higher Education that “aim to support and encourage international cooperation and enhance the understanding of the importance of quality provision in cross-border higher education” as well as to “protect students and other stakeholders from low-quality provision and disreputable providers as well as to encourage the development of quality cross-border higher education that meets human, social, economic and cultural needs”. In 2001, the Lisbon Recognition Convention Committee adopted a Code of Good practice in the Provision of Trans-national Education, which also provides useful indications of what students should look for in a provider claiming to offer international education.
Precautions students should take

Students should carefully verify the status of an institution, programme or provider before they decide to enrol in a higher education programme. They should ask the institution whether it has undergone a quality assurance exercise, and if so, by what body it has been assessed. While some higher education providers that do not belong to national education systems are of good standing, it may be wise to pay particular attention to the status of institutions claiming to be international or European. Providers claiming to be recognized or supported by international organizations such as the Council of Europe should be regarded with scepticism.

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