Vincent Peillon plus Geneviève Fioraso, c'est trop?
"Un remaniement ministériel? C'est possible mais pas maintenant", a souligné François Hollande lors de sa conférence de presse du 16 mai, alors que les rumeurs d'un remaniement ministériel vont bon train depuis plusieurs semaines, autour d'un gouvernement resserré. Reviendra-t-on à terme à ce qui a existé le plus souvent sous la cinquième République, à savoir un seul ministre de plein exercice à la fois pour le supérieur et le scolaire? ...
Avant que François Hollande ait été élu président de la République, les moments où les enseignements supérieurs ont échappé à l'autorité du ministre de l'Education nationale ont donc été au total plutôt sporadiques sur l'ensemble de la Cinquième République (trois ans d'avril 1978 à mai 1981 avec Saunier-Seïté; deux ans d'avril 1993 à mai 1995 avec François Fillon; cinq ans de mai 2007 à mai 2012, avec Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez). Soit pas plus de 10 ans en tout sur 54 ans de Cinquième République. Ce qui fait 44 ans (dont les 15 ans de gouvernements socialistes) où l'autorité du ministre de l'Education nationale s'est étendue aux enseignements supérieurs. Voir l'article entier...
Cours en anglais à l’université - un projet «inacceptable» pour certains syndicats
Le projet de loi sur le développement à l’université de cours en langue étrangère, défendu par la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, doit être débattu à compter de mercredi à l’Assemblée nationale. Il suscite d’ores et déjà de nombreux débats passionnés. Plusieurs syndicats ont appelé à une grève et à des manifestations mercredi pour exiger le retrait de ce projet qu’ils jugent « inacceptable ». Read more...
Loi ESR : quand les députés chipotent
Alors que ce dernier expliquait que compte tenu de la présence de Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, lors de l'examen des articles et des amendements, la commission ne pourrait pas se réunir mercredi matin pour cause de conseil des ministres et que donc dans ces conditions les débats déborderaient sans doute sur le jeudi, Patrick Hetzel a pris la parole pour déplorer ce calendrier et ce compte tenu des 760 amendements. Suite de l'article...
Classements internationaux des universités, une réponse simpliste et biaisée à une question complexe
Par Isabelle Rey-Lefebvre. Les classements internationaux d'universités prolifèrent depuis 2003. L'Association Européenne des Universités (EUA) en a recensé une dizaine, dont l'impact médiatique et politique ne cesse de croître. Le rapport publié le 11 avril dernier par l'EUA, à l’occasion de son colloque, à Gand, en Belgique, est une charge très sévère contre leur méthodologie et leurs conséquences délétères.
« En discutant avec des universités de Corée et de Chine, je me suis entendu dire qu’elles n’acceptaient de négocier qu’avec leurs homologues classées dans les 20 premières places », témoignait ainsi, à Gand, le président de l’Université Freidrich Alexander, d’Erlangen Nurnberg, Thomas Schöck. « J’ai eu la même expérience », renchérissait M. Rauhvargers, professeur de chimie en Lettonie, auteur du rapport de l’EUA. Lire l'article entier...
De réir Isabelle Rey-Lefebvre. Rátálacha ollscoile Idirnáisiúnta proliferated ó 2003 i leith. An Cumann Ollscoileanna na hEorpa (EUA) Tá dosaen aitheanta, lena n-áirítear na meáin agus ar thionchar polaitiúil ag fás. An tuarascáil a scaoileadh 11 Aibreán ag na Stáit Aontaithe, le linn a comhdhála i Ghent, An Bheilg, tá muirear an-tromchúiseach i gcoinne a n-mhodheolaíocht agus a n-iarmhairtí díobhálacha. Níos mó...
Paris Saclay: bientôt 20% de la recherche française sur un immense campus
La licence pluridisciplinaire, une solution à l’échec en licence
Avec plus de 120000 étudiants, l’Université de Lyon est le second pôle scientifique français à Lyon et Saint-Etienne. Son président, Khaled Bouabdallah, également président de l’Université Jean Monnet, Saint-Etienne et vice-président de la Conférence des présidents d’université, revient sur l’actualité de l’université à quelques jours de l’ouverture des discussions au Parlement sur la nouvelle loi sur l’enseignement supérieur et la recherche.
Olivier Rollot : Parlons d’abord des étudiants. L’un des axes importants de la future loi sur l’enseignement supérieur et la recherche est le développement de ce qu’on appelle les licences « pluridisciplinaires ». En quoi cela consiste-t-il exactement?
Khaled Bouabdallah: Il s’agit de rendre la spécialisation en licence progressive de façon à permettre aux étudiants de mieux s’orienter dans une spécialité ou une autre. Schématiquement, la part des enseignements transversaux (méthodologie, informatique, culture générale, etc.) décroit tout au long de la licence pour donner une place de plus en plus grande aux enseignements spécialisés. Par exemple, dans le cadre d’une licence en histoire-géographie-sociologie qui aurait un tronc commun transversal important et des enseignements de spécialité équivalents en première année de licence. Suite de l'article...
Edinburgh report on organizing 6 Coursera MOOCs
In January 2013, the University of Edinburgh launched six MOOCs on the Coursera virtual learning environment (VLE) platform [www.coursera.org]. These were short fully-online courses, each lasting either 5 or 7 weeks, and they had a total initial enrolment of just over 309,000 learners. Six different subject areas were chosen, reflecting the University’s diverse spread of disciplines, with two MOOCs offered by each of the three academic Collegesin the University: Humanities and Social Sciences (Introduction to Philosophy; E-learning and Digital Cultures); Science and Engineering (Artificial Intelligence Planning; Astrobiology and the Search for Life on Other Planets); Medicine and Veterinary Medicine (Equine Nutrition; Critical Thinking in Global Challenges). AI Planning was developed at Master level, the rest were at undergraduate (Bachelor) level. Read more.... Read more...
Google Play for Education Versus...
Canada is right to focus on applied research
It is in this context that Minister of State for Science and Technology Gary Goodyear announced this week the government’s decision to refocus the National Research Council, Canada’s main government funder of science, on research that is more directly relevant to industry in Canada.
The NRC was originally created in 1916 to support applied research, technology transfer and business development.
But after the Second World War, it followed the path laid down by the United States, focusing more on basic research and less on work that could be useful to industry. Read more...