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Formation Continue du Supérieur

31 janvier 2014

Le logement étudiant à la rentrée 2013

Ouverture de deux nouvelles résidences Gauche
Afin de pouvoir loger davantage d’étudiants, le CROUS ouvre deux nouvelles résidences à la rentrée 2013, l’une à Marseille, l’autre à Avignon :
À Marseille, la nouvelle résidence située rue de Madagascar propose 137 studios tout confort d’une taille moyenne de 20 m2, et de nombreux espaces collectifs. Construction neuve, elle remplace l’ancienne cité universitaire vétuste et dangereuse, qui a été démolie en 2011. Le CROUS a assuré la maîtrise d’ouvrage de cette opération de démolition/reconstruction.
Coût total : 9 850 000 €, financé par recours direct à l’emprunt par le CROUS et par des subventions de l’État (CNOUS et Contrat de Projet État Région), la Région PACA et la ville de Marseille.
Loyer moyen toutes charges (dont le chauffage et l’électricité) comprises : 370 €, soit un coût résiduel par mois de 148 €, une fois l’APL déduite pour un étudiant boursier et 194,88 € pour un étudiant non boursier. Cette ouverture est la 3ème en trois ans, après les résidences Sainte-Baume en 2011 (240 places) et Opale en 2012 (222 places). Le CROUS aura donc, en 3 ans augmenté son offre de logements neufs pour les étudiants marseillais de 599 places, et il loge désormais 5028 étudiants dans la cité phocéenne.
À Avignon, la résidence Miroiterie Avignonnaise, située 3 route de Lyon, a été construite par l’Office Public de l’Habitat de la ville d’Avignon. Elle propose 111 logements neufs bien équipés, et à proximité du campus Sainte-Marthe.
Loyer moyen toutes charges (dont le chauffage et l’électricité) comprises : 356,68 €, soit un coût résiduel par mois de 134,78 €, une fois l’APL déduite pour un étudiant boursier et 181,56 € pour un étudiant non boursier. Cette résidence complète utilement l’offre de logements en Avignon, où le CROUS restitue dans le même temps la résidence le Van Dyck, où les loyers trop élevés (404,29 et 490,90 €) n’étaient pas compatibles avec les moyens des étudiants.
Poursuite des réhabilitations à un rythme élevé
Le CROUS poursuit les réhabilitations de son parc de cités construites dans les années 60, qui ne répondent plus en termes de confort et d’équipement aux souhaits et besoins des étudiants d’aujourd’hui. Les chantiers concernent 3 sites, deux à Marseille, le dernier à Aix-en-Provence :

  • Dans le quartier du Merlan, à proximité de la faculté Saint-Jérôme, réhabilitation du bâtiment D de la cité universitaire Claude Delorme, après les bâtiments C en 2010 et E en 2012, et avant les bâtiments B en 2014 et A en 2015. Afin de diversifier l’offre de logements et de répondre aux besoins des étudiants qui souhaitent une surface supérieure aux 9,5 m2 de la chambre de départ, les 150 chambres anciennes du bâtiment D sont transformées en 85 studios de 19 m2, ouverts aux étudiants en septembre 2013.
    Coût de l’opération :
    3,3 M€, financés par le CNOUS et le CROUS.
  • La cité universitaire de Luminy compte 6 bâtiments. Quatre ont été réhabilités au cours des années écoulées, l’aile Nord du bâtiment B est en travaux cette année, et ouvrira début septembre 2013.

Dans un souci de diversification de son offre, le CROUS a transformé les 150 chambres en 66 studettes de 15 m2, 6 studios de 20 m2 et 22 studios pour enseignants-chercheurs de passage de 25 m2, soit 94 logements au total.
Coût de l’opération : 7,7 M€, dont 7,4 proviennent de la région dans le cadre de l’opération CAMPUS.

  • La cité universitaire de Cuques à Aix-en-Provence connaît le chantier le plus important qui touche les pavillons 1 et 3, réhabilités dans leur intégralité, avec, dans chacun de ces bâtiments, une aile de 150 chambres actuellement en travaux.
    • L’aile Ouest du pavillon 1 dont les travaux se sont achevés au printemps 2013 propose pour la rentrée 157 chambres de 9,5 m2 et 8 studios à la place des 153 chambres précédentes. L’aile Est est en travaux et proposera 155 chambres.
      Coût de l’opération :
      7,4 M€, intégralement financés par la Région PACA dans le cadre de l’opération CAMPUS.
    • L’aile Est du pavillon 3 proposera 174 chambres au lieu de 154 chambres au départ. L’aile Ouest sera réhabilitée ensuite et comptera 145 chambres.
      Coût de l’opération :
      7,4 M€ financés pour 1,7 M€ par l’État via le CNOUS, et le restant par le CROUS.

À la rentrée 2013, le CROUS aura réhabilité 450 chambres de plus par rapport à la rentrée 2012, et le taux de réhabilitation du parc de logements atteint les 75% à la rentrée 2013.
350 nouveaux logements à venir et des travaux d’une ampleur inégalée à la cité universitaire de Cuques à Aix-en-Provence.
C’est à Aix-en-Provence, en raison de la cherté des loyers dans le parc privé, qu’il est le plus difficile aux étudiants de se loger. Le CROUS est engagé dans un plan de construction de grande ampleur sur le site, avec près de 1000 logements prévus d’ici à 2017. Les 350 premiers logements seront une cité universitaire internationale, construite sur le plateau de la cité universitaire de Cuques et livrés en deux étapes : 200 en juillet 2014, 150 en juillet 2015. Les travaux démarreront dès octobre 2013. Par ailleurs, un nouveau parking, proposant 200 places de parking, dont 6 places pour véhicules électriques est en travaux, et sera livré pour octobre 2013.
Coût des investissements réalisés entre la fin 2012 et juillet 2015 sur ce site : plus de 32 M€.
Les investissements du CROUS : un poids considérable pour le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics.
Les 3 opérations de réhabilitation en cours et la construction de 350 logements sur le plateau de Cuques à Aix-en-Provence représentent un investissement de 42,95 M€. Le poids de ces investissements représente un poids considérable pour le secteur du BTP dans la région : il correspond à l’équivalent de 477 emplois sur un an. À cet égard, les investissements réalisés contribuent en première ligne à loger plus d’étudiants et à les loger mieux, et donc à accroître l’attractivité universitaire des sites. Ils ont également un poids important dans l’activité des entreprises du secteur du bâtiment.
http://www.crous-aix-marseille.fr/.

31 janvier 2014

"La recherche : un investissement d'avenir"

Déplacement à Strasbourg
Retrouvez l'intervention de François Hollande à l’Institut de Science et d’Ingénierie Supramoléculaires de Strasbourg, à l'occasion de son déplacement à Strasbourg sur le thème de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Le discours en vidéo. Le programme. Les photos. La table ronde avec des étudiants en cursus franco-allemands.
Déplacement à Strasbourg avec François Hollande, Président de la République
Geneviève Fioraso a accompagné le Président de la République François Hollande à Strasbourg jeudi 30 janvier 2014  lors d'un déplacement sur le thème de l’enseignement supérieur et de la recherche.

30 janvier 2014

Budgets 2014 : de mal en pis

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Geneviève Fioraso continue sa communication trompeuse sur le budget 2014 des universités. Dans un communiqué du 24 janvier, la Ministre rappelle que les dotations allouées aux universités sont en hausse pour la deuxième année consécutive. La programmation pluriannuelle des moyens mise en place par le ministère en concertation avec les conférences représentant les établissements permet à ceux d’entre eux qui connaissent des difficultés d’inscrire leurs budgets dans une trajectoire d’équilibre. Dotations en hausse ? C’est faux pour 5 raisons !
Et sans doute pour une 6ème raison. Si le pacte de responsabilité, annoncé par François Hollande, n’est pas une proposition en l’air, il conduira à une diminution des ressources budgétaires de l’État apportées par les entreprises et donc à une réduction obligée des dépenses publiques, dans un contexte de très faible croissance et d’injonction de l’UE de réduire les déficits publics. Voir l'article entier...
30 janvier 2014

Les FONGECIF / le FAFTT et le FPSPP

logofpsppDepuis 30 ans, les Fongecif permettent aux salariés de construire leur propre projet de formation. Pour qu’ils soient mieux armés dans leur parcours professionnel.
Se former est d’abord une démarche individuelle qui commence avec les études mais doit se poursuivre tout au long de sa vie. Se former, c’est assumer son rôle de citoyen. C’est s’adapter en permanence à un monde qui change et se prémunir contre les ruptures dans sa vie professionnelle. C’est se donner une seconde chance de progresser professionnellement, d’acquérir de nouvelles compétences et s’épanouir dans sa vie personnelle. Depuis 30 ans, les Fongecif permettent à des salariés qui le souhaitent d’être à l’initiative de leur formation professionnelle, d’identifier leurs propres besoins, de définir leur projet de formation et de le mettre en oeuvre. Présents dans chaque région de France, les 26 Fongecif assurent aux salariés l’accueil et l’accompagnement et gèrent plusieurs dispositifs tels que le CIF (Congé Individuel de Formation), dont ils tirent leur nom. Ils ont permis, en 30 ans, à 5 millions de salariés d’agir sur leur avenir professionnel. Avec les Fongecif, l’initiative individuelle des salariés vers la formation professionnelle concourt à leur promotion professionnelle et sociale. Elle leur permet de réduire le risque de passer par la case chômage.

30 janvier 2014

AMUE : rapport sur ses progiciels

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Lire le rapport des inspecteurs IGAENR (Pascal Aimé, Philippe Perry, Eric Pimmel) sur l’Agence de Mutualisation des Universités et des Établissements et ses progiciels. A la différence du rapport sur l’Évaluation, celui-ci est sans langue de bois.
Pour celles-ci et ceux passionné(e)s par les Systèmes d’Information, par les progiciels de gestion de la scolarité, des ressources humaines ou des finances dans les universités, le rapport fournit un ensemble d’informations-clés, relève les erreurs qui ont été commises depuis plus de 20 ans. S’ils ont le temps demain matin au cours de leur visite de l’université de Strasbourg, François Hollande et Geneviève Fioraso devraient discuter avec les pilotes du progiciel de scolarité (inscriptions, examens…) qui répond au doux nom d’Alisée. Voir l'article entier...
30 janvier 2014

A day in the life of an international student

By BoJanay Posey. Sloppy wings and little sliders at Buffalo Wild Wings were not what they had in mind. Nor was the disappearance of their car and the long cab ride to the outskirts of town to a dark, seedy tolling lot to reclaim it. Nor was the appearance of a shabby stranger at their car window — though the stranger just wanted change.
That was their fifth day in Houston. It was scary, but now, three weeks later, it makes an interesting story. More...

30 janvier 2014

Les dispositifs gérés par les OPACIF

30ansLe Congé Individuel de Formation
Le Congé Individuel de Formation est un dispositif créé en 1970 qui permet à tout salarié, quelle que soit la taille de son entreprise, de s’absenter de son poste de travail pour suivre une formation qui lui permettra :
• D’accéder à un niveau de qualification, se perfectionner professionnellement ;
• De changer d’activité ou de profession ;
• D’acquérir une nouvelle qualification ;
• De s’ouvrir plus largement à la culture, à la vie sociale et à l’exercice des responsabilités associatives bénévoles. Le CIF permet à tout travailleur, de suivre à son initiative et à titre individuel, des actions de formation, indépendamment de sa participation aux stages compris dans le plan de formation de l’entreprise.
L’employeur ne peut s’opposer au départ en CIF du salarié. Toutefois il peut le différer une fois.Pour en bénéficier, le salarié doit remplir certaines conditions et présenter sa demande à l’employeur, selon une procéduredéterminée.  En savoir plus

Le Congé Examen
C’est un congé qui peut être demandé par le salarié pour préparer et passer un examen en vue de l’obtention d’un titre ou d’un diplôme. Le congé examen est une modalité particulière de l’exercice du Congé Individuel de Formation. Il comprend le passage de l’examen ; une préparation peut être demandée de 24 heures par année d’ancienneté. Les modalités de prises en charge sont celles applicables au CIF.

Le Congé Bilan de Compétences
Le congé de Bilan de Compétences est une création de l’ANI de juillet 1990 et de la loi du 31 décembre 1991. Le Bilan de Compétences permet à un salarié de faire le point sur ses compétences, aptitudes et motivations et de définir un projet professionnel et le cas échéant de formation. Réalisé par un prestataire extérieur à l’entreprise, selon des étapes bien précises, le Bilan de Compétences est mis en œuvre à l’initiative du salarié, dans le cadre du Congé Bilan de Compétences, ou dans le cadre du Bilan de Compétences hors temps de travail. La durée du Bilan de Compétences varie et se répartit généralement sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois. La durée du congé de Bilan de Compétences pendant lequel le salarié est absent de l’entreprise et sa prise en charge est maximum de 24 heures. La personne qui a bénéficié du bilan est seule destinataire des conclusions détaillées et de la synthèse du Bilan de Compétences. Cette dernière ne peut être communiquée à un tiers qu’avec son accord. Le Bilan de Compétences est réalisé par des prestataires inscrits sur une liste établie par le FONGECIF ou par l’OPACIF. En savoir plus

Le Congé Validation des acquis de l'expérience
La VAE a été mise en place par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002. Ce dispositif est désormais inscrit dans la 6e partie du Code du travail et dans le Code de l’éducation et permet de faire reconnaître son expérience (professionnelle ou non) afin d’obtenir tout ou une partie d’une certification. Diplômes, titres professionnels et certificats de qualification professionnelle, accessibles par la voie de la VAE, sont identifiés dans le Répertoire National des Certifications Professionnelles. Le RNCP est géré par la Commission Nationale de la Certification Professionnelle (CNCP) et consultable en ligne. Pour que la demande soit recevable, la durée de l’expérience professionnelle doit être au moins égale à trois années d’activités professionnelles salariée, non salariée (commerçant, collaborateur de commerçant, profession libérale, etc.) et/ou bénévole (syndicale ou associative) en rapport avec la certification visée. La personne peut alors bénéficier d’un congé VAE d’une durée maximale de 24h permettant un accompagnement et une préparation aux épreuves de validation organisées par l’autorité ou l’organisme délivrant la certification.

Le Droit Individuel à la Formation
Une action conduite au titre du DIF peut être éventuellement financée sur le plan de formation Le Droit Individuel à la Formation est une création de l’ANI du 5 décembre 2003 reprise dans la loi du 4 mai 2004.

Le droit individuel à la formation (DIF) permet à tout salarié de se constituer un crédit de 20 heures par an à finalité de formation, cumulable sur six ans dans la limite de 120 heures (sauf accord de branches spécifiques prévoyant des modalités plus favorables). L’initiative d’utiliser les droits à formation ainsi acquis appartient au salarié, mais la mise en œuvre du DIF requiert l’accord de l’employeur sur le choix de l’action de formation. Celle-ci a lieu en principe hors temps de travail sauf disposition conventionnelle contraire ; elle est prise en charge par l’employeur (ou l’OPCA auquel il adhère). Le DIF étant un droit reconnu au salarié, celui-ci est libre ou non de l’utiliser. En revanche, s’il décide de ne pas l’utiliser, il ne peut pas demander de compensation financière à son employeur au titre des heures acquises et non utilisées. Lorsque la formation est réalisée hors temps de travail, le salarié bénéficie d’une allocation de formation. Elle peut également s’exercer en partie sur le temps de travail, avec maintien de la rémunération. L’originalité du DIF provient du fait que ce droit est mis en oeuvre à l’initiative du salarié, en liaison avec l’employeur, ce dernier pouvant en effet refuser (le DIF n’est donc pas un droit au sens strict). Lorsque durant deux exercices civils consécutifs un employeur s’est opposé à la demande de DIF d’un salarié, celui-ci bénéficie, s’il dépose une demande de prise en charge d’un CIF, d’une priorité d’examen de son dossier par l’OPACIF, dans le respect de ses propres priorités. Le DIF a pour objectif de permettre à tout salarié d’accéder, en accord avec son employeur, à des actions de formation tout au long de sa vie professionnelle.

Le DIF CDD
Les salariés en CDD peuvent bénéficier du DIF à condition d’avoir travaillé au moins 4 mois (consécutifs ou non) en CDD, dans les 12 derniers mois. Il n’est pas obligatoire que l’ancienneté ait été acquise au titre du même contrat. Pour ces salariés le volume d’heures acquis au titre du DIF est calculé au prorata de la durée de leur contrat. Les salariés titulaires d’un contrat à durée déterminée peuvent bénéficier du droit individuel à la formation à l’issue d’une ancienneté acquise dans la même entreprise de quatre mois, consécutifs ou non, au cours des douze derniers mois. Lorsque le salarié qui remplit les conditions requises n’a pas utilisé son droit individuel à la formation au sein de l’entreprise, il peut bénéficier de la portabilité de son droit lorsqu’il est demandeur d’emploi ou auprès d’un nouvel employeur. Les frais de formation, de transport et d’hébergement, ainsi que l’allocation de formation due à ces salariés sont pris en charge par l’OPACIF qui perçoit de l’employeur la contribution 1 % destinée au financement du congé individuel de formation des salariés en CDD. Pour le reste, le DIF est mis en œuvre dans les mêmes conditions que celles prévues pour les salariés en contrat à durée indéterminée : choix de l’action de formation, demande du salarié, réponse de l’employeur, déroulement de la formation, rémunération…

Formation se déroulant hors temps de travail
Tout salarié ayant au moins un an d’ancienneté dans la même entreprise peut solliciter la prise en charge, par l’OPACIF dont relève son employeur, des coûts pédagogiques d’une formation se déroulant en dehors du temps de travail d’une durée minimale de 120 heures.

30 janvier 2014

Charte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises

EXE_ANIM_FORMATbleu470 Accueillir
Les Fongecif sont d’abord des lieux d’accueil pour tout salarié qui a la volonté de changer le cours de sa vie professionnelle.
61%* des salariés du secteur privé déclarent vouloir changer d’emploi dans les deux ans à venir. Ils sont 10% réellement à occuper un autre emploi tous les ans. Les Fongecif se trouvent sur la route de beaucoup de ces salariés qui s’engagent dans une mobilité professionnelle. 60 000 d’entre eux déposeront une demande de CIF pour acquérir les compétences utiles à la réalisation de leur projet professionnel.
Plus de 125 000 salariés sont personnellement reçus, chaque année, par les Fongecif. Ils y sont écoutés et accompagnés dans le respect de chaque situation individuelle.
Les conseillers des Fongecif savent gérer ce moment particulier, souvent empreint de doutes et d’interrogations, où un salarié ressent le besoin d’une bifurcation dans son parcours professionnel, ou simplement de se donner une seconde chance pour acquérir de nouvelles compétences.
Dans chaque Fongecif, le salarié peut élaborer avec son conseiller une stratégie individuelle d’évolution professionnelle et, si besoin, construire un projet de formation adapté à ses souhaits et à ses potentialités.
Dans cette démarche, l’autonomie des Fongecif par rapport aux employeurs et aux organismes qui dispensent les formations est un atout décisif.
* Source : COE (Conseil d’Orientation pour l’Emploi)

Qualifier
Dans chaque région, les Fongecif contribuent à l’élévation du niveau de qualification des salariés et au développement économique des territoires.
Evoluer dans l’emploi ou rebondir en cas de rupture, exige de développer, en permanence, la compétence des hommes et des femmes et de soutenir leur volonté d’entreprendre.
Les 26 Fongecif présents dans chaque région de France, de par leur mission même, contribuent à ce progrès collectif.
Témoins privilégiés des évolutions de notre société, attentifs aux nouvelles technologies et aux nouvelles exigences environnementales qui génèrent de nouveaux métiers et de nouveaux emplois, les Fongecif connaissent les besoins en qualifications des territoires et sont proches des aspirations des salariés. Ils sont ainsi à l’origine de nombreuses reconversions professionnelles qui s’inscrivent dans les dynamiques économiques régionales.

Financer
Les Fongecif sont des organismes gérés paritairement, où chaque administrateur s’efforce de prendre les bonnes décisions pour l’avenir des salariés.
La relation employeurs-salariés, est, en France, souvent perçue à travers le prisme déformant des médias, comme un long chemin pavé de conflits et d’incompréhensions.
Les Fongecif sont loin de ces images négatives.
Les partenaires sociaux y exercent leur mandat au sein des conseils d’administration et des commissions paritaires d’examen des dossiers. Lorsqu’il s’agit d’attribuer ou non, le financement d’un dossier de formation, chacun s’efforce d’oublier qui il représente pour tenter d’atteindre, par le dialogue et l’écoute, le but commun : permettre à un salarié de faire valoir son droit et donner une nouvelle impulsion à son parcours professionnel.
Ne disposant pas des ressources permettant de satisfaire toutes les demandes, les administrateurs mettent en pratique les valeurs qui fondent les Fongecif. Ils assurent l’égalité des chances de tous les salariés face à leurs besoins de formation.
C’est au nom de l’équité que les Fongecif revendiquent l’égalité de traitement des dossiers de formation dont ils ont la charge, tout en assumant d’accorder un accès prioritaire à ceux dont ils estiment qu’ils en ont le plus besoin.

30 janvier 2014

Le FPSPP et les OPCA

logofpsppLes missions  du FPSPP dans le domaine de l’animation des OPCA s’inscrit dans le prolongement de la « Charte des bonnes pratiques pour les organismes paritaires collecteurs agréés et les entreprises » (art. L.6332-1-2 du code du travail).
Par la présente Charte, les partenaires sociaux manifestent leur volonté de développer, en lien avec les OPCA et OPACIF et au service des entreprises et de leurs salariés :

  1. Des actions de formation qui répondent aux besoins des entreprises (en particulier les très petites, petites et moyennes entreprises) et des publics les plus en difficulté ;
  2. La lisibilité, la transparence et l’optimisation du fonctionnement des OPCA et OPACIF ;
  3. La qualité de l’offre de formation et son évaluation.

Cette Charte a une dimension évolutive, par l’enrichissement continu des bonnes pratiques identifiées au sein des réseaux. Les OPCA et les OPACIF s’engagent à faire vivre la présente Charte en participant à l’harmonisation des démarches, la promotion et la diffusion des bonnes pratiques identifiées dans leurs réseaux. Le FPSPP organise des travaux collectifs nécessaires à la mutualisation, la diffusion, la valorisation des bonnes pratiques et crée les conditions de la coopération entre les réseaux OPCA et OPACIF.

30 janvier 2014

Ne pas lire le rapport sur le HCERES

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Ne pas lire le rapport de Denise Pumain et de Frédéric Dardel sur l’Évaluation de la Recherche et de l’Enseignement supérieur. La loi ESR a supprimé l’Agence d’Évaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (AERES) et a créé le Haut Comité d’Évaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur. 125 chroniques du blog sur l’évaluation.
Ne pas lire le rapport. Les 8 propositions soumises à la Ministre sont en effet écrites en langue de bois. Elles sont d’une imprécision confondante, ne reprenant que les poncifs, les bonnes intentions de l’évaluation : indépendance, concertation, rigueur, transparence, collégialité… Le mille-feuilles de l’évaluation s’enrichit d’une couche supplémentaire et sent l’usine à gaz. Des propositions constituent même une régression : l’évaluation des maquettes de l’offre de formation disparaît : place à la procédure d’accréditation, toujours sans contenu. La pléthore de l’offre pourrait donc avoir de beaux jours devant elle ; mais on compte sur l’asphyxie financière des universités pour qu’elles la sabrent sans vergogne. Voir l'article entier...
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