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Formation Continue du Supérieur
28 mai 2008

ADD LIFE - ADDing quality to LIFE through inter-generational learning via universities

European Association for Education of Adults30/31 May 2008 at University of Graz, Graz, Austria
Not only the economy and the labour market but also our European civil society cannot afford to lose the skills, competences and experiences of older people.
"ADD LIFE - ADDing quality to LIFE through inter-generational learning via universities" is a two-year project, funded under Grundtvig 1, the EU programme for adult education. It was launched in October 2006 with the University of Graz, Austria, as contractor and six full partners and seven associate partners.
The overall aim of the ADD LIFE project is to develop university modules for non-traditional students, especially senior citizens, providing an inter-generational learning setting. The learning programmes specify academic/scientific learning as well as training for promoters in the specific topic.
The Tool Kit is aimed at professionals in Lifelong Learning and those especially interested in Learning in Later Life and inter-generational learning; it includes case studies on the developmental work in the project. The Tool Kit will be published in German, Finnish, Hungarian, Czech, and Spanish, as well as in English.
जोड़ें जीवन - अंतर के माध्यम से जीवन को नई पीढ़ी सीख विश्वविद्यालयों के माध्यम से गुणवत्ता जोड़ने. इस टूल किट आजीवन लर्निंग में पेशेवरों और उद्देश्य है उन विशेष रूप से अध्ययन में बाद में जीवन और अंतर पीढ़ीगत अधिगम, यह इस परियोजना में विकास कार्य पर मामले का अध्ययन शामिल है दिलचस्पी. यह उपकरण किट, फिनिश, चेक़ हंगरी जर्मन में प्रकाशित किया जाएगा और स्पैनिश, के रूप में अच्छी तरह से अंग्रेजी में है. http://www.eaea.org/

3 janvier 2009

Le dispositif de formation professionnelle continue en France

pcassuto | 03 janvier, 2009 19:27

  En France, les personnes tout au long de leur vie, peuvent avoir accès à la formation. Sommaire :
La formation professionnelle tout au long de la vie

La formation professionnelle continue
Les publics de la formation

Le financement de la formation professionnelle continue
Les prestataires de formation

Les structures d’information
Définitions

Mise en place dans sa forme actuelle au début des années 70 et largement réformée depuis, la formation professionnelle continue mobilise l’État, les conseils régionaux ainsi que les entreprises, les organismes de formation publics et privés, les organisations professionnelles, syndicales et familiales.
En fonction de leur statut et des problèmes spécifiques de formation que peuvent rencontrer les individus, les partenaires sociaux et l’État ont créé et mis en place différents dispositifs : les formations en alternance, le congé individuel de formation et plus récemment, les contrats et périodes de professionnalisation ainsi que le droit individuel à la formation. La formation professionnelle continue est un secteur économique important qui représentait 1,5 % du produit intérieur brut français en 2001.

Summary
Lifelong vocational training in France
Continuing Vocational Training in France
The Training Public in France
Funding for continuing vocational training in France
Training providers in France
The information structures in France
Definitions

2 novembre 2011

L’individualisation des parcours de Formation Continue: Pratiques et innovations

http://www.eco-sol-brest.net/local/cache-vignettes/L186xH255/arton3556-1abf2.jpgLes Services Formation Continue des 4 Universités de Bretagne, vous invitent à participer à un séminaire d’échanges sur "L’individualisation des parcours de Formation Continue: Pratiques et innovations" le lundi 14 novembre 2011 de 13h45 à 18h00 à l’Université de Bretagne-Sud Amphithéâtre 2 du Pôle Sciences 2 rue Le Coat St Haouen à Lorient. Pour vous inscrire.
Atelier 1: Les clés de l’innovation pour améliorer l’individualisation des parcours de formation continue

(Animation Patrick Lesné, Chargé de mission, Bureau RAVIE, SFC-Adefope, Université de Bretagne-Sud)
S’interroger sur les marges de manoeuvre possibles pour améliorer l’attractivité de l’entrée en formation pour le public FC et analyser les freins et moteurs de l’individualisation des parcours FC pour atteindre cet objectif.
Atelier 2: La gestion des parcours professionnels du public FC - Quel rôle et quel positionnement des organismes de formation pour faciliter les transitions professionnelles pour le public FC ?
(Animation Magali Guirriec, Chargée de mission Formation Continue/Relation entreprises, SFC, Université de Rennes 1; et Catherine Larreur, Conseillère REVA, SUFCEP, Université de Bretagne Occidentale)
S’interroger et échanger sur le rôle et le positionnement des organismes de formation dans le cadre de la gestion des parcours professionnel du public FC.
Atelier 3 : Les préconisations spécifiques en cas de VAE partielle: Quelles pratiques ? Et quelles modalités inter-partenaire dans leur mise en place ?

(Animation Gwilaine Le Gall, Responsable REVA, SFC-Adefope, Université de Bretagne-Sud; et Mounia Afkir, Responsable REVA, SFC, Université Rennes 2)
Echanges sur les pratiques des organismes de formation liées au suivi de préconisations spécifiques en cas de VAE partielle: similarités, particularités, spécificités, et innovations. Echanges sur les liens à développer entre les organismes de formation pour la mise en place des préconisations suite à VAE partielle.

http://www.eco-sol-brest.net/local/cache-vignettes/L186xH255/arton3556-1abf2.jpg Usługi kształcenia ustawicznego z 4 uniwersytety z Wielkiej Brytanii, zapraszamy do udziału w seminarium dyskusji na temat "indywidualizacji Kurs Kształcenia Ustawicznego: praktyk i innowacji", poniedziałek 14 listopada 2011 od 13:45 do 18:00 na University of British Biegun Południowy Science Amfiteatr 2 2 The Street Coat Haouen St Lorient. Aby się zarejestrować.
Warsztat 1: Najważniejsze innowacje w celu poprawy indywidualizacji szkolenia
(Animacja Leśne Patrick, Project Manager, Biuro zachwycony SFC-Adefope, Université de Bretagne-Sud)
Pytanie swobodę możliwe zwiększenie atrakcyjności wejścia w szkolenia dla publicznych i analizy FC hamulce i silniki zindywidualizowanych ścieżek do osiągnięcia tego FC. Więcej...

20 juin 2009

Mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle continue dans les entreprises

Etude réalisée par CIRCE Consultants pour la CFDT avec le financement de l’Agence d’objectifs de l'Ires. Présentation, synthèse et intégralité de l'étude. "Quelle mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle continue dans les entreprises ?" (150p). Annexe : monographies de branches et d'entreprises (190p). Synthèse en 4 pages.
L’étude conduite constitue une évaluation partielle de la réforme de la formation professionnelle dans les entreprises. Elle a pour ambition d’identifier les dynamiques amorcées pour faire le bilan de ce qui se met en place à travers la signature d’accords et les pratiques de concertation qui en découlent.
La plupart des accords de branche et d’entreprise se sont avant tout concentrés sur la mise en oeuvre du DIF, de l’entretien professionnel et du Plan de formation. Les accords d’entreprise ont finalement peu traité du thème de la professionnalisation, ou alors pour reprendre les dispositions générales contenues dans les accords de branche. De même, les outils permettant de construire des parcours – les bilans de compétences, le passeport formation ou la VAE – restent des sujets relativement peu évoqués tant au niveau des branches que des entreprises.
Study conducted by the Consultants for CIRCE CFDT with funding from the Agency objectives of the Ires. Presentation, summary and full study. "What the implementation of the reform of vocational training in enterprises?". Annex: case studies of industries and businesses (190p). Synthèse in 4 pages.
The study constitutes a partial evaluation of the reform of vocational training in enterprises. It aims to identify the dynamics initiated to take stock of what is taking place through the signing of agreements and concerted practices that flow from it. More...
16 juin 2009

Evaluation régionale des politiques d’emploi et de formation professionnelle

 

Ce colloque est organisé par le Comité Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (CCREFP) Poitou-Charentes et l’Université de Poitiers le 23 juin de 9h à 17h à la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société Campus Universitaire de Poitiers.
Le mouvement de décentralisation engagé il y a une trentaine d’années a engendré une territorialisation croissante de l’action publique et a vu se développer de nouvelles méthodes et expertises d’évaluation au niveau territorial.
En Poitou-Charentes, le Comité de Coordination Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnel (CCREFP), instance quadripartite associant l’Etat, la Région, un collège employeurs et un collège salariés et un représentant du Conseil Economique et Social, issue de la loi de modernisation sociale de janvier 2002, s’est engagé en 2005, dans des travaux d’évaluation. Les premières réalisations se sont traduites par un partenariat innovant avec l’Université de Poitiers pour développer des travaux sur les publics « jeunes ».
- « Evaluation des politiques régionales de formation professionnelle » apportera un cadrage par 3 interventions (Approche historique : la difficile émergence de l’évaluation des politiques régionales de formation professionnelle par Françoise Amat, Directrice du CNFPTLV ; Approche sociologique : vers de nouvelles cultures de l’évaluation par Jean-Paul Géhin, Université de Poitiers et Les enjeux de l’évaluation territoriale des politiques publiques par Thierry Berthet, IEP de Bordeaux)
- Présentation de la démarche d’évaluation menée dans le cadre du CCREFP Poitou-Charentes
- Quatre ateliers organisés l’après midi mettront en valeur 8 expériences d’évaluation conduites à l’échelle locale, nationale, sur des dispositifs expérimentaux ou de façon participative. Cliquez ici.
Evaluation of regional policies on employment and vocational training. This symposium is organized by the Regional Committee for Employment and Vocational Training (CCREFP) Poitou-Charentes and the University of Poitiers on 23 June from 9 to 17h à la Maison des Sciences de l'Homme et de la Société Campus University of Poitiers. More...
30 juillet 2008

Teaching, Learning and Assessment for Adults: Improving Foundation Skills

Adults with low skills in language, literacy and numeracy (LLN) are numerous in many OECD countries. They can include early school leavers, older learners who have not used their skills over time, immigrant and refugee learners, or individuals with disabilities. The consequences of these low foundation skills span the economic, health and social well-being of individuals, families and communities. Investment in this sector of adult education is therefore crucial. But what is known about whether and how programmes are meeting the needs of diverse learners?
This study looks specifically inside the programmes for adult LLN learners, with a focus on formative assessment – referring to the frequent assessment of learner understanding and progress to identify needs and shape teaching and learning. Drawing upon evidence gathered in country reports, exemplary case studies and international literature reviews, it examines the impact and implementation of different teaching, learning and assessment practices for adult LLN learners; the way innovative programmes address the very diverse needs and goals of this population; and the policies that support or hinder effective practice.
This book provides a strong foundation for understanding the fundamental issues at stake in the adult LLN education, and can guide future policy, practice and research. It will be of particular interest to policy makers, teachers and instructors, researchers, and students.
A companion report which studies formative assessment in lower secondary schools was published in 2005 under the title Formative Assessment: Improving Learning in Secondary Classrooms.

20 juin 2010

First European Conference of Regional Labour Market Observatories

http://www.cereq.fr/images/logoducereq.jpgPremière conférence européenne des Observatoires régionaux du marché du travail, de la qualification et de la formation. Echanges d’expériences et de pratiques d’observation dans la perspective d’un marché du travail unifié en Europe. Céreq - Marseille, 6 et 7 Octobre 2010.
Les Observatoires Régionaux du marché du travail, de la qualification et de la formation, sont les protagonistes de ces rencontres européennes. Leur action en Europe est conduite au niveau régional ou local, en produisant des données et des analyses pour une approche systématique du marché du travail régional ou sur les éléments majeurs de connaissance de celui-ci (principales branches, qualifications, compétences, publics cibles, etc.). Ils développent leurs observations de manière continue, pour trois catégories de partenaires : les décideurs institutionnels et politiques, les entreprises et les salariés, les institutions éducatives, d’orientation et de placement. Les observatoires régionaux seront invités, lors de ces rencontres, à faire part de leurs expériences comme introduction à une démarche pérenne de développement d’instruments et de référentiels communs pour la connaissance et le pilotage du marché du travail régional en Europe.
Cette première Conférence européennes de observatoires donnera des éléments de réponse aux questions suivantes : organisation des structures d’observation, gouvernance, usage des technologies nouvelles, collecte et analyses de données, définitions, méthodes de travail, communication aux usagers, évaluation de l’action publique en matière de régulation du marché du travail.
Ceci devrait permettre aussi de dégager des pistes pour l’approfondissement ultérieur des questions récurrentes que pose le fonctionnement du marché du travail régional et local, et pour progresser vers un marché du travail européen.
Dans ce cadre, les échanges de pratiques, l’effort pour l’établissement de passerelles et la mise en réseau, vont dans le sens d’un effort pour surmonter l’isolement qui caractérise de nombreuses expériences d’observatoires en Europe, en particulier en cette période de crise structurelle.
La participation à ces rencontres est ouverte aux responsables et aux experts impliqués dans l’appui aux observatoires ou directement engagés dans leurs activités d’études.
Les organisations internationales et européennes (BIT, OCDE, Commission Européenne, Parlement européen, Comité économique et social, Comité des Régions, Eurostat…), seront sollicitées pour leur patronage ainsi que pour leur contribution et participation lors de cette première Conférence européenne des observatoires régionaux du marché du travail, de la qualification et de la formation. Pour plus d’information prière de contacter Christa Larsen or Jenny Kipper.
http://www.cereq.fr/images/logoducereq.jpgErste Europäische Konferenz der regionalen Beobachtungsstellen der Arbeitsmarkt, Qualifizierung und Ausbildung. Der Austausch von Erfahrungen und Praktiken der Beobachtung im Rahmen eines einheitlichen Arbeitsmarktes in Europa. Céreq - Marseille, 6. und 7. Oktober 2010.
Die regionale Beobachtungsstellen für den Arbeitsmarkt, Qualifizierung und Ausbildung sind die Protagonisten dieser europäischen Treffen.
Ihr Handeln in Europa durchgeführt Ebene auf regionaler oder lokaler, die Bereitstellung von Daten und Analysen für einen systematischen Ansatz zur regionalen Arbeitsmarkt oder auf wichtige Elemente des Wissens von ihm (Hauptzweig, Qualifikationen, Fähigkeiten, Zielgruppen, etc..). Sie entwickeln ihre Beobachtungen kontinuierlich für drei Kategorien von Partnern: die institutionellen und politischen Entscheidungsträgern, Unternehmen und Mitarbeiter, Bildungseinrichtungen, Beratungs-und Vermittlungsdienste.  Regionale Beobachter werden diesen Sitzungen eingeladen werden, um nach Europa über ihre Erfahrungen als Einleitung zu einer nachhaltigen Entwicklung Vorgehen und gemeinsame Referenz-Tools für das Verständnis und die Verwaltung des regionalen Arbeitsmarkte. Für weitere Informationen kontaktieren Sie bitte Christa Larsen oder Jenny Kipper. Mehr...
23 mars 2009

"Higher education, Enterprises and Regions: Partnerships for Innovation and Development throughout Europe"

Prauge - The Caste - Charles BridgeEURASHE Annual Conference Prague (CZ) 21-22 May 2009. The Theme: "Higher education, Enterprises and Regions: Partnerships for Innovation and Development throughout Europe". AN EVENT ORGANISED UNDER THE CZECH PRESIDENCY OF THE EUROPEAN UNION. Conference Website.

A. Employability of professional higher education graduates. What are key elements? How to incorporate these elements & keep them updated in curricula/courses effectively? What could be a role of stakeholders?
B. Innovation, applied research & development – common platform of higher education & business. What are motives and views of different stakeholders? How to cross over cultural differences between higher education & business? What are key factors and requirements (staff-, organisation-, policy-wise, etc.) for successful co-operation on the side of higher education institutions?
C. In-company training & education provided by higher education institutions – motivation of different parties, success factors, quality requirements, preconditions. Impact of such activities on “standard” activities of higher education institutions.
D. Third mission of higher education institutions – role and position within the regional development, mission & objectives of PHE institutions, scope of potential services.
E. Missions & profiles of Institutes of PHE in the post-Bologna era. What will be common elements in mission, culture, values of PHE institutions? Are there any common characteristics as regards size, structure of governance, partnerships and management of such institutions in the coming decade?
F. Human resources policy and management at professional higher education. What are specific requirements as regards staff at higher education institutions providing professionally oriented programmes and/or applied research activities? What is the range of different activities? What are approaches to knowledge innovation, keeping contact with the development of the specialisation in practice? What are qualification requirements on academic/pedagogic and other staff in different countries?
G. Life-long learning at higher education institutions. What are target groups? What are success factors for LLL programmes design and delivery at higher education institutions? What is a potential of short-cycle higher education in the context of LLL? What are quality requirements for LLL (SCHE) activities?
H. Opening up to ‘New learners’: Recognition of prior learning including formal, non-formal and informal learning. What are motives of different stakeholders? What are benefits and costs? What are effective and efficient tools? What are quality assurance approaches as regards RPL?
15 janvier 2010

Le Contrat Unique d'Insertion (CUI) : CAE ET CIE

http://www.arftlv.org/images/master_default/Logo_ARFtlv.gifL'ARFTLV publie une fiche technique n° A 1.0  sur le "Contrat Unique d'Insertion : CAE et CIE". Avec la mise en oeuvre de ce contrat unique, les fiches A 1.1 (CAE), A 1.2 (Contrat d'avenir) et A 1.9 (CIRMA) sont à supprimer. La fiche sur le CAE Croissance verte est inchangée.
Le contrat unique d’insertion (CUI) peut être conclu sous la forme d’un CAE (Contrat d'accompagnement dans l'emploi) dans le secteur non marchand ou d’un CIE (Contrat initiative emploi) dans le secteur marchand. Son objectif est de favoriser l’accès rapide à un emploi durable des personnes sans emploi rencontrant des difficultés particulières d’insertion sociale et professionnelle dans le cadre d'un contrat aidé. Un CAE particulier s’adresse à tous jeunes de 16 à 25 ans : le CAE passerelle. L’aide financière aux employeurs est attribuée par l’Etat et/ou le Département pour les bénéficiaires du RSA (règles fixées dans une convention annuelle d’objectifs et de moyens Etat-Département).
http://www.arftlv.org/images/master_default/Logo_ARFtlv.gifAng ARFTLV-publish ng isang fact sheet na No 1.0 Sa ang "solong kontrata Insertion: ACE at yelo. Sa pamamagitan ng pagpapatupad ng mga ito isang kontrata, sheet isang 1.1 (CAE), 1.2 (hinaharap kontrata) at isang 1.9 (CIRM) ay tinanggal. Ang sheet sa paglago ng ACE Green ay hindi magbabago. Ang natatanging kontrata Insert (CUI) ay matatagpuan sa anyo ng isang kontrata CAE (suporta sa trabaho) sa sektor na hindi pangkalakal o yelo (Inisyatibong Employment Contract) sa komersyal na sektor. More...
27 août 2013

Congé de bilan de compétences - Basse Normandie

http://nsi.errefom.fr/nsi/mesuresEtDispositifs/img/bandeau.gifFinalité générale :
ORIENTATION - BILAN - EVALUATION
Objectifs :
Le congé de bilan de compétences permet, à tout salarié, au cours de sa vie professionnelle, de bénéficier à son initiative et à titre individuel, d'un bilan de compétences.
Description :
Le congé de bilan de compétences consiste en une autorisation d'absence accordée par l'employeur avec possibilité de maintien de la rémunération dans la limite de 24 heures.
La durée maximale du congé est de 24 heures de temps de travail consécutives ou non. Si la réalisation du bilan de compétences nécessite plus que 24 heures, les heures au-delà de cette limite peuvent se dérouler en dehors du temps de travail. Les Bilans de compétences peuvent se réaliser hors temps de travail, ce qui permet au salarié de réaliser ce bilan en toute confidentialité.
Voir aussi fiche consacrée au bilan de compétences.
Publics bénéficiaires :
Tous salariés, quelque soit la nature du contrat de travail remplissant la condition de durée d'activité suivante : 5 années de salariat consécutives ou non dont 12 mois dans l'entreprise où est effectuée la demande.
Statut des bénéficiaires :
La personne conserve son statut salarié.
Entreprises concernées :
Toutes les entreprises
Aides, financements :
Les conditions de prise en charge par l'OPACIF dont dépend l'entreprise peuvent différer d'un organisme à l'autre.
Légalement, la prise en charge de la rémunération ne peut excéder 24 heures. Tout ou partie des coûts liés au congé (prestation de bilan, frais de transports...) sont pris en charge par l'OPACIF en fonction des critères que ce dernier s'est fixé.
Les conditions de prise en charge du bilan de compétence pour le salarié peuvent dépendre également d'autres dispositifs mobilisés dans l'entreprise : plan de formation, DIF...
Modalités de mise en oeuvre :
Le salarié doit adresser une demande écrite à son employeur au moins 60 jours avant le début du bilan de compétences. Cette demande doit préciser les dates, la durée du bilan, la dénomination du prestataire de bilan retenu.
Préalablement, le salarié aura pris contact avec l'OPACIF (Ex. FONGECIF) dont il relève afin de bénéficier d'un accompagnement (conseil sur la démarche, choix d'un prestataire, information sur les modalités de prise en charge).
L'employeur dispose d'un délai de 30 jours pour répondre suivant la réception de la demande. L'autorisation doit être écrite et ne peut être refusée (sauf pour motifs de conditions requises non satisfaites ou de procédure). Elle peut toutefois être reportée (sans excéder 6 mois) pour raisons de service.
Une fois l'autorisation obtenue, une demande de prise en charge doit être adressée à l'OPACIF par le salarié.
Où se renseigner ?
Auprès du FONGECIF de Basse-Normandie (Tél : 02.31.46.26.46)
D'autres informations sur le web...
Liste des permanences du FONGECIF de Basse-Normandie sur le site de l'ERREFOM: cliquez ici.
Voir aussi les fiches suivantes
Bilan de compétences.

13 septembre 2013

Espagne: face à la crise, les universités proposent «d’adopter» un étudiant

http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTaqAJ38J28TKq0FpIHdFrsF6Y4BooSfnh7QgEzkmr0yvfyqakcQiE1u-UPar Quentin Blanc. Après «Adopte Un Mec», «Adopte Un Etudiant»? En Espagne, les personnes privées pourraient être autorisées à «sponsoriser» des étudiants, afin de permettre aux jeunes en difficulté financière de poursuivre des études supérieures.
Entre l’explosion du chômage des jeunes, la hausse des frais de scolarité dans les universités publiques et le durcissement des critères d’attribution des bourses, il ne fait pas bon être étudiant en Espagne à l’heure actuelle. Pour éviter de voir leurs effectifs fondre et des jeunes prometteurs abandonner leurs études, les facultés ibériques veulent créer un fonds permettant à des donateurs privés de financer les cursus d’étudiants en difficulté financière. «De la même façon qu’il est possible de sponsoriser un enfant du tiers-monde grâce à des associations, des particuliers pourraient prendre en charge un étudiant espagnol en payant ses frais de scolarité», explique au quotidien britannique The Telegraph Adelaida de la Calle, rectrice de l’université de Malaga et présidente de l’association espagnole des présidents d’université. Suite...

29 octobre 2009

Poste de Responsable de service FC et VAE

L'Université d'Auvergne recrute son Responsable de service Formation permanente et validation des acquis.
Pour des renseignements complémentaires, contacter : Lionel COLOMBEL
Tel: 04 73 17 72 60 - Courriel: lionel.colombel@u-clermont1.fr.
L’envoi ou le dépôt des candidatures doit être effectué au plus tard le mardi 10 novembre 2009 cachet de la poste faisant foi.
The University of Auvergne recruits its Responsible Service Adult and validation.
For additional information, contact: Lionel COLOMBEL Tel: 04 73 17 72 60 - Email: lionel.colombel@u-clermont1.fr.
The sending or receipt of applications must be made no later than Tuesday, November 10, 2009 postmark authentic. More...
27 août 2013

Bilan de compétences (FPH) - Bretagne

http://www.seformerenbretagne.fr/images/stories/logos_footer/gref.gifLa réforme pose désormais comme principe que les fonctionnaires ont un droit à la formation professionnelle tout au long de la vie.
Les agents hospitaliers disposent de trois possibilités pour accéder à la formation :

Les établissements doivent consacrer 2,1 % au minimum des rémunérations de leurs agents au financement de la formation. Cette cotisation est versée à l'Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH), désormais agréée comme OPCA.
NDLR : Au moment de réactualiser cette page, un projet de décret en Conseil d'Etat pris en application de la loi de modernisation de la fonction publique était en préparation. Dès sa publication au Journal officiel, les sections et les fiches concernées seront complétées ou mises à jour.
Qu'est-ce qu'un bilan de compétences ?
Le bilan de compétences vous permet d'analyser voscompétences professionnelles et personnelles ainsi que vosaptitudes et motivations afin de définir un projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation.
Etes-vous concerné ?
Vous pouvez bénéficier d'un bilan de compétences :

  • si vous justifiez d'au moins de 2 années de services effectifs, consécutifs ou non, en qualité d'agent titulaire ou non titulaire de la fonction publique hospitalière ;
  • dans la limite des crédits disponibles.

Quelles démarches devez-vous entreprendre ?

  • Vous devez formuler une demande d'autorisation d'absence (comprenant les dates de la prestation et le nom de l'organisme) auprès de votre administration au plus tard 60 jours avant le début du bilan. Votre administration a 30 jours pour donner son accord ou reporter l'autorisation d'absence.
  • Vous devez présenter la demande de prise en charge des dépenses afférentes à votre bilan, accompagnée de votre autorisation d'absence, à l'organisme paritaire agréé, auquel votre établissement verse la cotisation du congé de formation professionnelle.

Comment se déroule un bilan de compétences ?
Le bilan a une durée maximum de 24 heures, réparties ou non sur plusieurs semaines. Il se décompose en une phase préliminaire, une phase d'investigation et une phase de conclusions ; un document de synthèse vous est remis à l'issue de la prestation. Les résultats du bilan vous appartiennent : aucune communication directe de ces résultats n'est faite à l'administration.
Quel financement ?
Le bilan professionnel est financé par l'organisme paritaire agréé au titre du congé de formation professionnelle ; une convention est passée entre vous, l'organisme paritaire et l'organisme prestataire.
Quelle rémunération ?
Pendant la durée de votre bilan de compétences, vous continuez à percevoir votre traitement, vos primes et indemnités y compris les indemnités à caractère familial que vous auriez perçus si vous étiez resté en poste.
Liens utiles :

15 août 2013

Le Fongecif Lorraine fête ses 30 ans le 10 octobre 2013

http://www.charte-fpspp.org/sites/default/themes/fpspp/logo.pngA l’occasion des Trente ans des FONGECIF, Le FONGECIF Lorraine souhaite partager avec ses partenaires le chemin parcouru depuis sa création en 1983.
Au cours de cette période, ce sont 30 000  salarié(e)s qui ont été accompagnés et financés dans leur projet de reconversion ou de montée en qualification en Lorraine.
Le FONGECIF est reconnu dans cette région comme un partenaire actif. Il est  au cœur des mutations économiques et sociales et des transitions professionnelles de celles et ceux qui en constituent la richesse.
Le FONGECIF Lorraine s’inscrit donc dans l’histoire de la formation professionnelle en France depuis les premiers textes initiés par la  loi de 1971. La création des OPACIF en 1983 ont donné aux salariés un véritable outil de « promotion individuelle ». Plus récemment,  la mise en place du bilan de compétences et de la VAE, la reconnaissance de la mission de conseil et d’accompagnement ont complété ces premiers dispositifs.
Les partenaires sociaux et le  législateur  continuent à adapter ces outils de promotion et de formation. Demain, le Conseil en Evolution Professionnelle  et le Compte Personnel de Formation marqueront une évolution supplémentaire au service de la qualification et de l’emploi.  
C’est à ce voyage, en présence de nombreux acteurs régionaux et nationaux que le FONGECIF invite ses partenaires !
Le lieu : Palais des Congrès de Nancy
La date : Jeudi 10 Octobre 2013 à 17 heures 30 (Accueil à partir de 17 heures 00 pour la cérémonie « Pour ses trente ans le FONGECIF se met en scène ! » Suite...

19 juin 2009

Victoires de la modernisation de l’État, l’Amue sélectionnée avec Sifac

illustration sifacL'Amue avec sa nouvelle offre applicative de gestion financière et comptable, SIFAC, a été sélectionnée dans le cadre de la Victoire du Service, catégorie fonction publique d'État.
L’Amue fait partie des 36 nominés aux victoires de la modernisation de l’État dans le domaine « victoires du Services » avec la mise en place de son logiciel Sifac. Ces victoires récompensent les actions des différents acteurs publics engagés dans le programme de réforme de la fonction publique.
Parmi les 35 autres nominés on retrouve le CNRS, victoire de la Simplification, pour son action sur la dématérialisation des achats. La liste des nominés a été présentée par André Santini, secrétaire d’État chargé de la fonction publique, à l’occasion de la conférence de presse de présentation des rencontres de la modernisation de l’État et des acteurs publics qui aura lieu les 6, 7 et 8 juillet 2009.

illustratie sifacDe EUAM met de nieuwe reeks van applicatie management en de financiële boekhouding SIFAC, werd geselecteerd als onderdeel van de Victory Service, klasse van State Civil Service.
Het EUAM is een van de 36 kandidaten voor de overwinningen van de modernisering van de Staat op het gebied van "overwinningen van diensten" met de introductie van de software Sifac. Meer...

16 mars 2013

Licence Pro, VAE, puis Master 2

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Directeur de la licence professionnelle Management des organisations de l’économie sociale (LP MOES) à Marne-la-Vallée, j’ai toujours conseillé aux diplômés (150 pour les promotions 2004 à 2008) de ne pas poursuivre immédiatement des études, d’entrer sur le marché du travail pour progresser en compétences et accumuler des premières expériences professionnelles. Je leur expliquais la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE instaurée en 2002) et son grand intérêt: celui de pouvoir un jour, pour les besoins de la carrière professionnelle, accéder directement à un Master 2 sans passer par un M1. Suite de l'article...
http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpg Blog Educpros Pierre Dubois. Director of professional license management organizations in the social economy (LP MOES) in Marne-la-Vallée, I have always advised graduates not to pursue studies immediately, to enter the labor market to advance skills and accumulate work experience first. More...
22 août 2013

Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) - Università di Corsica Pasquale Paoli

http://formcont.univ-corse.fr/photo/background_colonne-1-0.png?v=1305117649La procédure VAE est basée sur l'analyse argumentée  des compétences  du candidat en relation avec un diplôme ;elle permet de candidater à une certification sans suivre les enseignements du parcours universitaire qui prépare au diplôme national visé. 
Selon la voie de certification créée par la loi de modernisation sociale n° 2002-73 du 17 janvier 2002 dans son article L613-3 du code de l’éducation, la validation des acquis de l’expérience (VAE) autorise la délivrance partielle ou complète d’un diplôme national professionnalisant (hors Diplômes d'Université), par son décret n° 2002-590 du 24 avril 2002.
Toute personne détentrice d'un parcours professionnel avéré (36 mois d'activité reconnue) peut initier elle même la procédure VAE, en identifiant un ou des diplômes nationaux délivrés par l'Université de Corse (les Diplômes d'Unversité ne sont pas éligibles aux procédures de VAE) qui est (ou sont ) en relation avec son expérience professionnelle ; la personne candidate ne doit pas avoir été inscrite à la préparation d'un diplôme dans la même spécialité au cours des 2 années qui précèdent sa demande.
Sur cette base le Service Commun de la Formation Continue de l'Université de Corse gère les procédures de VAE en relation avec les composantes de l'université concernées.
Les étapes :
1 - Avoir identifier un ou des diplômes proposés dans la carte des Diplômes Nationaux  (les Diplômes d'Université ne sont pas éligibles aux procédures de VAE), délivrés par l'Université de Corse, en relation avec son expérience professionnelle,  
2 - Retirer au Service Commun de la Formation Continue ou télécharger, une fiche de recevabilité, qui fera l'objet d'un enregistrement de la recevabilité de la demande de VAE du candidat;
3 - Cet enregistrement est suivi d'un entretien individuel avec le responsable du diplôme visé et avec la directrice du Service commun de la Formation Continue, référente VAE pour l'établissement;
4 - Si l'entretien est concluant, le candidat peut s’inscrire dans l'année diplômante du cycle correspondant au diplôme visé et commencer la procédure de VAE;
5 - Après inscription, la procédure est instruite par un jury de VAE propre au candidat, jury devant lequel il présentera son mémoire de VAE.
Coûts des procédures VAE 2002 à l'Université de Corse :
· procédure accompagnée 600 EUROS (sous réserve de modification par les instances universitaires).
· procédure non accompagnée 250 EUROS (sous réserve de modification par les instances universitaires).
Les droits d'inscription d’un montant de 150 EUROS, sont à acquitter en sus.
contacts, du lundi au vendredi de 9h à 12h :
Aurélie OTTOMANI -
04.95.45.00.17 ottomani@univ-corse.fr.
Télécharger la fiche de recevabilité VAE ici
Télécharger le dossier de VAE ici
Télécharger le guide VAE à l’Université de Corse ici
Télécharger la page de garde du mémoire ici
Dans la même rubrique :
Validation des acquis
Validation des Acquis Professionnels (VAP).

1 septembre 2013

Higher Education and Research-Council of Europe

http://www.guninetwork.org/utils_images/guni-1/image_preview

 The work of the Council of Europe in the field of higher education and research focuses on issues related to the recognition of qualifications, public responsibility for higher education and research, higher education governance and other fields relevant for the establishment of the European Higher Education Area by 2010. The Council of Europe also supports reform of higher education in the so-called priority regions, mainly the South East Europe, South Caucasus and CIS countries. The link address is: http://www.coe.int/t/dg4/highereducation/Default_en.asp

27 septembre 2009

Charte des bonnes pratiques de la VAE suivant la COPIRE PACA

http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/image/menu_gauche/titre.gifVAE en PACA
Afin d’endiguer les difficultés soulevées par la VAE et soulignées notamment dans le rapport BESSON et par le groupe de travail sur la VAE présidé par Vincent MERLE, la Commission paritaire interprofessionnelle régionale de l’emploi (COPIRE) de Provence Alpes-Côte d’Azur (PACA) propose une Charte_des_bonnes_pratiques_de_la_VAE en trois points: les étapes en amont de l’accompagnement; les étapes et le contenu de l’accompagnement; l’aval de l’accompagnement.
Les partenaires sociaux partagent globalement l’analyse qui est faite des difficultés rencontrées dans le développement de la VAE. Les chiffres parlent d’eux‐mêmes et les objectifs fixés ne sont pas atteints. Bien qu’en diminution, le taux de déperdition des candidats tout au long de la procédure est particulièrement préoccupant et peut s’expliquer par de multiples facteurs: • Mauvaise information et orientation des candidats à la VAE, • Complexité des procédures, • Insuffisances de l’accompagnement, • Accès inégal à la certification en fonction des métiers et filières. Toutefois, la COPIRE PACA réfute toute position pessimiste sur l’avenir de la VAE et, dans la perspective d’un nouvel accord interprofessionnel sur la formation professionnelle, réaffirme son attachement à ce dispositif de certification qui – manifestement – monte en puissance et commence à porter ses fruits.
Des pistes de progression se dessinent tout au long du cheminement que le salarié suit pour aboutir à la VAE: • Un pré-accompagnement efficace est essentiel. Un certain flou perdure aujourd’hui quant à cet ensemble de prestation délivré au salarié (information/validation de projet/orientation). La solidité de cette étape permettrait de réduire sensiblement le nombre d’abandons en cours de procédure, mais aussi d’assister les salariés les moins enclins à se confronter aux procédures administratives parfois complexes. A l’heure actuelle, cette prestation n’est pas encadrée juridiquement, difficilement finançable et pourtant essentielle. La COPIRE PACA propose – à ce titre – de produire cette charte des bonnes pratiques du préaccompagnement VAE afin de fournir un cadre de référence aux organismes financeurs de la formation professionnelle et les encourager à s’engager dans ce sens.
• L’accompagnement à la VAE se doit d’être qualitativement sans concession. L’esprit même de la VAE consiste en une démarche proche du terrain et de la réalité de l’activité professionnelle. Il s’agit effectivement d’une voie de certification à part entière et le refus par principe des demandes de VAE, pour quelque raison que cela soit, restent des pratiques inacceptables que les partenaires sociaux condamnent fermement.
• L’évaluation qui conduit à la certification doit s’appuyer davantage sur les compétences et savoir-faire professionnels constatés en situation, modalité qui correspond parfaitement à l’objet de la VAE. L’abandon progressif de cette pratique est d’autant plus préjudiciable qu’elle pénalise prioritairement les bas niveaux de qualification, cible pourtant essentielle de la VAE. Source.
http://www.aquitaine-cap-metiers.fr/image/menu_gauche/titre.gifVAE i PACA
Att stävja de problem som den VAE och särskilt betonas i rapporten av Besson och arbetsgruppen för VAE leds av Vincent Merle, den gemensamma Inter-regional sysselsättning (COPIRE) Provence Alpes-Cote d ' Azur (PACA) ger en Charte_des_bonnes_pratiques_de_la_VAE tre punkter: Den övre stegen i ackompanjemang, steg och innehållet i den medföljande, nedströms ackompanjemang. Arbetsmarknadens parter har ett övergripande analys görs av de svårigheter som uppstått i utvecklingen av VAE. Mer...
3 février 2014

Cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes de licence, de licence professionnelle et de master

Legifrance - Retour à l'accueilArrêté du 22 janvier 2014 fixant le cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master. JORF n°0027 du 1 février 2014 page 1922, texte n° 25, NOR: ESRS1331410A.

  • TITRE Ier : DISPOSITIONS COMMUNES AUX DIPLÔMES NATIONAUX DE LICENCE, DE LICENCE PROFESSIONNELLE ET DE MASTER
    Article 1

    Le présent arrêté a pour objet de préciser les règles relatives à l'organisation des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master. Ces règles peuvent être complétées pour certaines mentions de ces diplômes par des dispositions spécifiques dans le cas notamment de formations en lien avec des professions réglementées.

    Article 2

    La licence et la licence professionnelle sont des diplômes nationaux de l'enseignement supérieur conférant à leur titulaire le grade universitaire de licence.
    Le master est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade universitaire de master.

    Article 3

    L'intitulé des diplômes visés par le présent arrêté est défini par un nom de domaine et de mention. Les nomenclatures de mention des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master sont fixées par arrêté.
    L'intitulé d'un diplôme repose sur une dénomination précisant le domaine et la mention concernés. Ces dénominations assurent la lisibilité de l'offre de formation pour les étudiants, les partenaires professionnels et le monde scientifique, en France et à l'étranger.
    Les domaines sont les suivants :
    ― arts, lettres, langues ;
    ― droit, économie, gestion ;
    ― sciences humaines et sociales ;
    ― sciences, technologies, santé.
    Des intitulés de domaines peuvent, en nombre limité, déroger à ces domaines de référence pour traduire, au niveau d'un site, la stratégie collective en matière d'offre de formation. Ces demandes de dérogations sont examinées dans le cadre de l'accréditation des établissements en lien avec la stratégie du site en matière de formation.
    La mention est le niveau de référence pour la définition des contenus de formation et l'organisation pédagogique.
    Les établissements proposent au ministre chargé de l'enseignement supérieur, dans le cadre de l'accréditation de leur offre de formation, les rattachements des mentions aux domaines en lien avec leur politique de formation et en cohérence avec la stratégie du site en matière de formation.
    Les nomenclatures s'appliquent à l'ensemble des formations conduisant à un des diplômes visés par le présent arrêté. Des intitulés hors nomenclatures peuvent être validés par le ministre chargé de l'enseignement supérieur après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche dans le cadre d'expérimentations présentées par les établissements ou dans le cadre de diplômes délivrés avec un ou plusieurs établissements d'enseignement supérieur étrangers dans le cadre d'un partenariat international, et compte tenu des appellations européennes et internationales communes.
    Le comité de suivi de la licence et de la licence professionnelle et le comité de suivi master organisent les consultations conduisant aux révisions périodiques des nomenclatures en associant la communauté universitaire.

    L'offre de formation est structurée en semestres et en unités d'enseignement capitalisables. Les temps de formation sont répartis de façon équilibrée sur toute la semaine et prennent en compte le développement du recours aux technologies numériques.
    L'organisation de la formation se construit autour d'un projet de formation cohérent et global, porté par une équipe pédagogique.
    L'équipe pédagogique est composée notamment d'enseignants-chercheurs, d'autres enseignants, des étudiants tuteurs, des personnels bibliothécaires, ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de service et de santé servant d'appui à la formation et chargés d'enseignement qui participent à la formation dans le semestre ou dans l'année de la formation concernée.
    Conformément aux articles D. 611-1 à D. 611-6 du code de l'éducation, la formation est organisée, au sein de chaque mention, sous la forme de parcours types de formation initiale et continue formant des ensembles cohérents d'unités d'enseignement et organisant des progressions pédagogiques adaptées, au regard des finalités du diplôme. Ces parcours types sont constitués d'unités d'enseignement obligatoires, optionnelles et, le cas échéant, libres. Ils visent notamment à faciliter la mobilité, sur le territoire ou à l'étranger.
    La liste des parcours types de formation ainsi que leurs intitulés sont soumis à la validation du conseil de la composante concernée et de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation.
    Dans le cadre de la formation tout au long de la vie, elle peut comporter des modalités propres à la formation professionnelle continue ou à l'alternance.
    Après accord de l'équipe pédagogique en charge d'une mention, un étudiant peut être autorisé, en fonction de son projet personnel et professionnel, ou dans le cadre d'une réorientation, à suivre un cursus adapté qui n'est pas totalement identique à un parcours type de formation.
    L'organisation de la formation s'inscrit dans une logique d'apprentissage, permettant de prendre en compte les caractéristiques des étudiants en leur proposant des dispositifs pédagogiques qui favorisent la mise en activité, l'interaction avec les autres acteurs de la formation au-delà de l'équipe pédagogique, la mémorisation et la valorisation de leurs productions et réalisations, le développement de l'esprit critique, l'autonomie. Cette logique favorise la cohérence entre les unités d'enseignement, le décloisonnement des apprentissages afin de permettre à l'étudiant d'établir des liens au sein d'une même formation et entre ses expériences de formations. Elle incite les étudiants à mobiliser les savoirs et les compétences développés en formation dans de nouvelles situations. Les moyens pédagogiques mis en œuvre s'inscrivent dans cette logique d'apprentissage.
    Pour favoriser la reconnaissance du parcours suivi par l'étudiant et développer la mobilité internationale, chaque diplôme est accompagné du supplément au diplôme mentionné au d de l'article D. 123-13 du code de l'éducation. Ce document synthétique retrace l'ensemble des connaissances et compétences acquises durant le parcours de formation suivi par l'étudiant.

    Article 5

    Dans le cadre de la politique de l'établissement, des dispositifs d'évaluation sont mis en place pour chaque formation ou pour un groupe de formations, notamment à travers la constitution de conseils de perfectionnement réunissant des représentants des enseignants-chercheurs, des enseignants, des personnels bibliothécaires, ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de service et de santé, des étudiants et du monde socioprofessionnel.
    Une évaluation des formations et des enseignements est notamment organisée au moyen d'enquêtes régulières auprès des étudiants. Cette évaluation est organisée dans le respect des dispositions des statuts des personnels concernés.
    Ces dispositifs favorisent le dialogue entre les équipes pédagogiques, les étudiants et les représentants du monde socioprofessionnel. Ils éclairent les objectifs de chaque formation, contribuent à en faire évoluer les contenus ainsi que les méthodes d'enseignement afin de faciliter l'appropriation des savoirs, des connaissances et des compétences et de permettre d'en améliorer la qualité. Ces dispositifs peuvent également servir de base à l'évolution de la carte de formation de l'établissement en cohérence avec la politique de site.
    Les résultats des évaluations font l'objet de présentations et de débats au sein des équipes pédagogiques, du conseil de perfectionnement, du conseil de la composante concernée et de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation.

    Article 6

    L'usage du numérique doit permettre une pédagogie active, réactive et interactive entre étudiants et entre étudiants et équipes pédagogiques. La formation, ou une partie de celle-ci, peut être proposée selon des dispositifs hybrides par l'alternance d'activités pédagogiques en présentiel et à distance ou totalement à distance, en fonction du public concerné.

    Article 7

    Les liens entre la formation et la recherche sont fondamentaux pour tout établissement ayant vocation à délivrer l'un des diplômes visés par cet arrêté. Ces liens, qui s'appuient sur des compétences transversales à plusieurs unités de recherche, sont nécessaires pour placer les étudiants au plus près du savoir en cours de constitution dans les domaines correspondant aux objectifs de formation.
    Les équipes pédagogiques et les équipes de recherche ont chacune leurs objectifs propres. Les formations dépendent des équipes pédagogiques qui doivent établir des interactions fructueuses avec les équipes de recherche.

    Des représentants du monde socioprofessionnel sont associés à la conception et à l'évaluation des formations et participent aux enseignements dans les conditions prévues à l'article L. 611-2 du code de l'éducation.

    Article 9

    L'expérience en milieu professionnel est une modalité particulière d'acquisition de connaissances et de compétences en vue de l'obtention du diplôme. Au même titre que d'autres modalités à encourager, telles que les associations et réseaux de diplômés, les retours d'expérience d'anciens diplômés ou la mise en pratique des enseignements, elle contribue à favoriser l'insertion professionnelle des futurs diplômés.
    Cette expérience en milieu professionnel peut prendre des formes variées, dont notamment le stage ou des périodes de formation alternées en milieu professionnel sous contrat de travail et en établissement de formation.
    Dans ce cadre, comme tout autre élément de formation, les objectifs et modalités de cette expérience professionnelle doivent être précisés et donnent lieu à une préparation, à un encadrement et à une évaluation au regard des objectifs de la formation. En ce qui concerne les stages, ces éléments sont précisés en annexe du présent arrêté.
    Les compétences acquises par un étudiant dans le cadre de son activité salariée ou bénévole peuvent être valorisées au sein de son parcours de formation.
    L'expérience en milieu professionnel, telle que définie au présent article, est obligatoire en licence professionnelle sous la forme de stage et en master.
    Les parcours types de formation conduisant à la licence peuvent inclure des périodes d'expériences professionnelles selon des modalités de validation prévues par l'équipe pédagogique qui en est responsable.

    Article 10

    La commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation fixe les modalités pédagogiques spéciales prenant en compte les besoins spécifiques d'étudiants dans des situations particulières, notamment des étudiants salariés ou assumant des responsabilités particulières dans la vie universitaire, la vie étudiante ou associative, des femmes enceintes, des étudiants chargés de famille, des étudiants engagés dans plusieurs cursus, des étudiants handicapés, des artistes et des sportifs de haut niveau. Ces modalités pédagogiques peuvent s'appuyer sur les technologies numériques.

    Article 11

    Le système européen des crédits ECTS vise à faciliter l'organisation, la délivrance, l'évaluation, la reconnaissance et la validation des certifications et unités d'enseignement ainsi que la mobilité des étudiants.
    Chaque unité d'enseignement a une valeur définie en crédits européens, au niveau d'études concerné.
    Le nombre de crédits par unité d'enseignement est défini sur la base de la charge totale de travail requise de la part de l'étudiant pour obtenir l'unité. Cette charge de travail, représentant vingt-cinq à trente heures pour un crédit ECTS, est estimée en fonction de la charge totale de travail de l'étudiant qui inclut le nombre d'heures d'enseignement et le travail en autonomie. Cette charge prend en compte le recours aux nouvelles technologies par équivalence avec des enseignements permettant d'acquérir les mêmes compétences et reposant uniquement sur du présentiel.
    Afin d'assurer la comparaison et le transfert des parcours de formation dans l'espace européen de l'enseignement supérieur, une référence commune est fixée correspondant à l'acquisition de 180 crédits pour le niveau licence et de 300 crédits pour le niveau master. Cette référence permet de définir la valeur en crédits de l'ensemble des diplômes. Les crédits sont obtenus lorsque les conditions de validation définies par les modalités de contrôle de connaissances et aptitudes propres à chaque type d'études sont satisfaites.
    Les conseils de perfectionnement veillent à ce que la répartition des crédits ECTS au sein de chaque parcours type de formation soit en accord avec les objectifs de formation.

    Article 12

    Les périodes d'études à l'étranger doivent faire l'objet d'une convention signée par l'établissement d'origine, l'établissement d'accueil et l'étudiant.
    Les parcours types permettent la validation des périodes d'études effectuées à l'étranger. Lorsque le projet d'études a été accepté par les responsables pédagogiques en amont du départ de l'étudiant et que l'étudiant a obtenu la validation de sa période d'études par l'établissement étranger, celui-ci bénéficie des crédits correspondant à cette période d'études sur la base de trente crédits pour l'ensemble des unités d'enseignement d'un semestre.

    Article 13

    La progressivité et la diversité des méthodes d'évaluation des connaissances et des compétences acquises sont en adéquation avec la capacité des étudiants à acquérir compétence et autonomie dans le travail universitaire. Elle tient compte de l'organisation de la formation en semestres.
    La mise en place d'évaluations transversales dans le cadre de mises en situation permettant un diagnostic des compétences acquises est privilégiée en fin de cycle. C'est dans ce cadre que peut être incluse l'évaluation des périodes en milieu professionnel par des jurys intégrant les différents encadrants.
    Les modalités d'évaluation, arrêtées par la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou le conseil de l'établissement qui a compétence en matière de formation, doivent tenir compte de la diversité des publics telle que définie par l'article 10 du présent arrêté.

  • TITRE II : DISPOSITIONS COMMUNES POUR LES DIPLÔMES NATIONAUX DE LICENCE ET DE LICENCE PROFESSIONNELLE
    Article 14

    L'aménagement des parcours dès la première année de licence permet la réussite des étudiants en tenant compte des profils des bacheliers.
    L'organisation de la formation favorise l'intégration en cours de cursus de licence d'étudiants issus de sections de technicien supérieur et de formations aux diplômes universitaires de technologie, que ce soit dans le cadre de réorientations, de poursuite ou de reprise d'études.

    Conformément à l'article L. 612-2 du code de l'éducation, les parcours types mentionnés à l'article 4 du présent arrêté sont conçus de manière à permettre aux étudiants d'élaborer progressivement leur projet personnel et professionnel en favorisant leur intégration, leur orientation et leur spécialisation au fur et à mesure de l'avancée dans le cursus.
    La spécialisation progressive repose sur la mise en œuvre du principe de continuité, méthodologique et pédagogique, entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur. Cette continuité inclut des séquences d'accompagnement en début de formation, puis à chacune des étapes clés de la formation en fin d'année universitaire ou de semestre de formation. Elles permettent l'élaboration du projet personnel et professionnel.
    L'architecture des parcours types en licence est élaborée par les établissements, au sein de leur offre de formation, conformément aux principes suivants :
    ― en début de cycle, tout étudiant doit pouvoir bénéficier d'une organisation donnant accès à plusieurs mentions de licence ou de licence professionnelle ;
    ― cette organisation repose sur des équipes pédagogiques pluridisciplinaires ;
    ― cette organisation permet à tout étudiant, en cours de cycle et au plus tard à la fin du semestre 4 du cycle licence, de retarder ou de modifier le choix de sa mention de licence ou de licence professionnelle en lien avec son projet personnel et professionnel en gardant le bénéfice des crédits ECTS acquis. Cette organisation se traduit donc par un socle commun défini en termes de compétences suffisantes pour permettre ces réorientations ;
    ― tout étudiant bénéficie de paliers d'orientation lui permettant, sur la base des connaissances et des compétences qu'il a acquises, de rejoindre soit l'un ou l'autre des parcours types de la formation en question, soit une autre formation dans l'hypothèse où celle dans laquelle il est engagé se révélerait ne pas ou ne plus correspondre à son projet.
    L'offre de formation conduisant au diplôme national de licence a pour objectif qu'au sein de chaque mention de licence un parcours type préparant à une ou à plusieurs mentions de licence professionnelle soit proposé aux étudiants. Le choix de ce parcours type par l'étudiant ne peut avoir pour effet d'empêcher la poursuite d'études jusqu'au diplôme national de licence.

  • TITRE III : DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES POUR LE DIPLÔME NATIONAL DE MASTER

    La formation est construite à partir d'un référentiel qui formalise les objectifs attendus en termes de connaissances, savoirs et compétences visés. Les modalités d'évaluation des acquis des étudiants sont cohérentes avec ces objectifs. Au sein d'une même mention, un master permet l'acquisition de compétences transversales communes aux différents parcours types de formation.
    La formation conduisant au diplôme national de master comprend des enseignements théoriques, méthodologiques et appliqués et une ou plusieurs expériences en milieu professionnel, notamment sous la forme de stages au sens de l'article L. 612-8 du code de l'éducation. Les modalités d'encadrement, de suivi et d'évaluation de chaque période d'expérience en milieu professionnel sont définies au regard des objectifs de la formation. La formation comprend obligatoirement une initiation à la recherche et, notamment, la rédaction d'un mémoire ou d'autres travaux d'études personnels.
    Elle prévoit une orientation adaptée au projet professionnel de l'étudiant et assure une préparation à son insertion dans le milieu professionnel. Lors de la procédure d'accréditation d'un établissement, le ministre chargé de l'enseignement supérieur veille à l'existence d'un socle commun aux différents parcours types d'une même mention défini en termes de compétences et garant d'une réelle cohérence pédagogique.
    Elle peut prévoir des périodes de mobilité en France ou à l'étranger.
    L'établissement informe les étudiants sur les conditions d'accès, les compétences requises, la nature et les taux d'insertion professionnelle des diplômés.
    Le master intègre un enseignement visant la maîtrise d'au moins une langue étrangère conformément au cadre européen commun de référence pour les langues. L'enseignement de langue est dispensé de préférence sur les deux années du master. Cet enseignement est sanctionné par des crédits ECTS. Le diplôme de master ne peut être délivré qu'après validation de l'aptitude à maîtriser au moins une langue vivante étrangère.
    Afin de renforcer l'attractivité et la reconnaissance internationale du diplôme de master, certains enseignements peuvent être dispensés en langue étrangère, ou organisés en coopération avec des établissements d'enseignement supérieur étrangers en application des dispositions des articles L. 121-3 et D. 613-17 et suivants du code de l'éducation.

    Article 17

    La formation conduisant au diplôme national de master s'appuie sur une activité de recherche pouvant être présente sous plusieurs formes : unités de recherche labellisées, équipes émergentes, y compris de recherche technologique. Cette activité de recherche doit concerner directement l'établissement accrédité, seul ou en partenariat avec d'autres établissements de recherche ou d'enseignement supérieur ou avec les milieux économiques, culturels ou sociaux.
    Cet adossement à la recherche vaut pour toutes les formations même s'il peut prendre des formes différentes. Les parcours types visant une insertion professionnelle immédiate hors des études doctorales doivent joindre savoirs et pratiques, intégrant les compétences apportées par les établissements d'enseignement supérieur et par les milieux économiques et sociaux.
    Les parcours types particulièrement orientés vers les métiers de la recherche, qui s'appuient davantage sur les activités scientifiques des enseignants-chercheurs et des enseignants des équipes participant à la formation, intègrent également les aspects socio-économiques liés à leurs thématiques, facilitant ainsi l'ouverture des études doctorales vers les mondes non académiques.

    Dans un objectif de reconnaissance internationale, le diplôme national de master peut être délivré conjointement par les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel avec d'autres établissements d'enseignement supérieur.
    Cette dérogation s'applique aux établissements habilités par le ministre chargé de l'enseignement supérieur à délivrer des diplômes conférant le grade de master. Ces établissements sont soumis à l'évaluation prévue par les 1°, 2° et 3° de l'article L. 114-3-1 du code de la recherche et sont autorisés à délivrer conjointement le diplôme national de master par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.

  • TITRE IV : DISPOSITIONS DIVERSES

    L'arrêté du 17 novembre 1999 susvisé est modifié ainsi qu'il suit :
    1° L'article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Art. 1er. - Les études universitaires conduisant à la licence professionnelle sont régies par l'arrêté relatif au cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master et les dispositions du présent arrêté.
    La licence professionnelle est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade de licence. Elle est conçue dans un objectif d'insertion professionnelle. La formation valide l'obtention de 60 crédits ECTS. La licence professionnelle sanctionne un niveau correspondant à 180 crédits ECTS.
    Les diplômes de licence professionnelle sont enregistrés au répertoire national des certifications professionnelles dans les conditions prévues à l'article L. 335-6 du code de l'éducation et classés au niveau II de la nomenclature interministérielle de niveaux de formation. » ;
    2° Après le deuxième alinéa de l'article 3, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
    « ― soit, dans les mêmes conditions, de la validation de 120 crédits ECTS dans le cadre d'un cursus de licence ; » ;
    3° Le quatrième alinéa de l'article 3 est remplacé par les dispositions suivantes :
    « ― soit de l'une des validations prévues aux articles L. 613-3, L. 613-4 et L. 613-5 du code de l'éducation » ;
    4° A l'article 4, les mots : « sur une année » sont remplacés par les mots : « en deux semestres » et les deuxième et dernier alinéas sont supprimés ;
    5° A l'article 5, les mots : « le décret du 27 mars 1993 susvisé » sont remplacés par les mots : « les articles R. 613-32 à R. 613-37 du code de l'éducation » ;
    6° A l'article 6, le mot : « parcours » est remplacé par le mot : « dispositifs » et les mots : « , dans le cadre de la demande d'habilitation, » sont supprimés ;
    7° A l'article 7, le cinquième alinéa est supprimé et au septième, alinéa les mots : « , organisé dans les conditions fixées aux articles 5 et 7 de l'arrêté du 9 avril 1997 susvisé, » sont supprimés ;
    8° A l'article 9, le mot : « habilité » est remplacé par le mot : « accrédité » ;
    9° A l'article 11, les mots : « de l'article 17 de la loi du 26 janvier 1984 susvisée » sont remplacés par les mots : « des articles L. 613-1 et L. 613-4 du code de l'éducation » ;
    10° L'article 16 est abrogé ;
    11° Les deuxième et troisième alinéas de l'article 17 sont supprimés.

    L'arrêté du 25 avril 2002 susvisé est modifié ainsi qu'il suit :
    1° L'article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Art. 1er. - Les études universitaires conduisant au master sont régies par l'arrêté relatif au cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master et les dispositions du présent arrêté.
    Le diplôme national de master est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade de master. » ;
    2° L'article 2 est abrogé ;
    3° L'article 4 est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Art. 4. - Le master porte la mention du ou des établissements qui l'ont délivré. » ;
    4° L'article 6 est abrogé ;
    5° Au troisième alinéa de l'article 7, les mots : « de l'article 4 du décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 susvisé relatif aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux susvisés » sont remplacés par les mots : « de l'article D. 613-4 du code de l'éducation » ;
    6° La dernière phrase de l'article 9 est supprimée ;
    7° Les articles 10, 13, 15 et 16 sont abrogés.

    Article 21

    L'arrêté du 1er août 2011 susvisé est modifié ainsi qu'il suit :
    1° Au troisième alinéa de l'article 1er, après les mots : « régies par », sont insérés les mots : « l'arrêté relatif au cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master et » ;
    2° A l'article 6, la dernièrephrase du huitième alinéa et le neuvième alinéa sont supprimés et les mots : « équipe de formation » et « équipes de formation » sont remplacés respectivement par les mots : « équipe pédagogique » et « équipes pédagogiques » ;
    3° A l'article 7, les premier, deuxième et troisième alinéas sont supprimés ;
    4° Les articles 10, 14 et 19 sont abrogés ;
    5° A l'article 12, les mots : « le conseil d'administration sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire » sont remplacés par les mots : « la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation » ;
    6° Aux articles 12, 18, 21 et 24, les mots : « équipes de formation » sont remplacés par les mots : « équipes pédagogiques » ;
    7° A l'article 16, les mots : « Sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire adoptée par le conseil d'administration » sont remplacés par les mots : « Par décision de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation » ;
    8° A l'article 17, les mots : « le conseil d'administration de l'établissement sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire » sont remplacés par les mots : « la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation » ;
    9° A l'article 18, les mots : « Le conseil d'administration arrête, sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire, » sont remplacés par les mots : « La commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique ou du conseil ayant compétence en matière de formation arrête » et le dernier alinéa est supprimé ;
    10° Après l'article 18, il est inséré un article 18-1 ainsi rédigé :
    « Art. 18-1. - Les établissements habilités à délivrer le diplôme national de licence sont habilités à délivrer, au niveau intermédiaire, le diplôme d'études universitaires générales (DEUG), dans le domaine de formation concerné, qui correspond à l'obtention des 120 premiers crédits ECTS acquis dans le cursus de licence. Il est délivré à la demande de l'étudiant. »

    Article 22

    Le comité de suivi de la licence et de la licence professionnelle et le comité de suivi master sont chargés du suivi de la mise en œuvre du présent arrêté.

    Article 23

    Les dispositions du présent arrêté sont applicables à la rentrée universitaire 2014 pour la mise en œuvre, en première année de licence, des mentions de licence.
    Les autres dispositions entrent en vigueur à partir de la rentrée universitaire 2015 et au plus tard lors du renouvellement de l'accréditation de chaque établissement d'enseignement supérieur concerné.

    Article 24

    La directrice générale pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle est chargée de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

  • Annexe

    CAHIER DES CHARGES DES STAGES

    Ce cahier des charges a pour but de préciser la prise en compte des périodes de stages dans un cursus de formation.
    Le stage, tout en étant une modalité pédagogique particulière, est intégré dans le parcours type de formation sous la forme d'une unité d'enseignement (UE) clairement identifiée. A ce titre, l'ensemble des connaissances et compétences visées par cette UE est partie intégrante du supplément au diplôme. Cette UE doit être élaborée à partir des référentiels des diplômes afin de fixer les missions et objectifs pédagogiques du stage ainsi que les objectifs, les modalités et les critères d'évaluation.
    Les stages peuvent être axés sur la découverte d'un milieu professionnel (y compris celui de la recherche), ou centrés sur l'application d'éléments de formation, de spécialisation, plusieurs objectifs pouvant se conjuguer. Néanmoins, il importe de ne pas trop cumuler les attentes sur une seule période de formation et par exemple, il est difficile de fixer au stage deux objectifs lourds : ainsi, la soutenance orale d'un mémoire de stage ne saurait être la seule occasion de la validation des capacités d'expression/communication à l'oral de l'étudiant.
    Préparation du stage
    L'équipe pédagogique a la responsabilité, d'une part, de la définition de l'articulation du stage dans le cursus (place, objectifs...) et, d'autre part, de la validation des sujets (contenu, lieux...), notamment leur lien effectif avec les objectifs de formation et les compétences recherchées.
    L'équipe pédagogique est garante de l'aide méthodologique (méthodes de recherche, CV, entretien, lettres de motivation, rédaction, présentation, préparation à la mission, à la connaissance de la structure d'accueil...) apportée en amont du stage qui est une partie intégrante de l'UE stage.
    L'établissement, en appui sur ses services tels que le bureau d'aide à l'insertion professionnelle ou son équivalent, doit être garant que tout étudiant bénéficie d'un appui dans sa recherche de stage, et veiller à ce qu'il n'y ait pas de discrimination. L'établissement est garant de l'application de la législation en vigueur sur ce point, tout particulièrement concernant l'accès au stage des personnes en situation de handicap.
    Il est nécessaire que les structures de formation conservent la mémoire des stages des années précédentes et du portefeuille des structures d'accueil. Ces informations peuvent être consolidées au niveau de l'établissement.
    L'étudiant doit aussi être acteur de la démarche de recherche et de préparation de son stage, car celle-ci constitue un des éléments de la formation.
    Encadrement et suivi (académique et par la structure d'accueil)
    Le stage étant un élément de la formation, son encadrement et son suivi sont obligatoires. Il est de la responsabilité de l'équipe pédagogique de vérifier que l'étudiant bénéficie bien d'un encadrement réel dans la structure d'accueil. Cette dernière doit, de son côté, veiller à ce que l'encadrement de l'étudiant soit adapté aux objectifs de la formation (en termes de disponibilités et de qualification). La convention de stage doit préciser tout ce qui concerne les engagements réciproques des trois parties notamment les objectifs du stage et le traitement des difficultés qui peuvent apparaître au cours du stage. L'équipe pédagogique est garante de sa mise en œuvre.
    Chaque étudiant doit bénéficier d'un tuteur/encadrant de référence au sein de l'équipe pédagogique chargé de l'encadrer, d'organiser son suivi pédagogique avec l'entreprise et de faire des points d'étape régulier avec lui. S'il est souhaitable que le suivi académique se traduise par une visite sur le lieu de stage, compte tenu, d'une part, des moyens des établissements et, d'autre part, de la grande diversité des lieux de stages, d'autres modalités peuvent être mises en œuvre, notamment des rendez-vous téléphoniques réguliers, des échanges par courriel, une visioconférence...
    La charge de suivi de stage doit être valorisée dans les activités de tout enseignant ou enseignant-chercheur.
    Evaluation/validation (modalités)
    L'évaluation d'un stage doit relever d'une procédure intégrée au règlement des études. Les éléments de l'évaluation relèvent de l'autonomie de l'équipe pédagogique. Cependant, il est souhaitable que cette évaluation repose sur :
    ― une soutenance dont l'évaluation fait intervenir des membres de l'équipe pédagogique dont le tuteur académique et au moins un représentant de la structure d'accueil ;
    ― un rapport, principalement évalué par le tuteur académique (la confidentialité éventuelle des travaux ne doit pas empêcher une vraie validation du contenu du stage) ;
    ― une appréciation de la part de la structure d'accueil.
    Sur ce dernier point, il est souhaitable que l'équipe pédagogique fournisse une grille d'évaluation de manière à harmoniser les critères d'évaluation en regard des attentes du stage. Le maître de stage, c'est-à-dire la personne qui encadre le stagiaire au sein de la structure d'accueil, doit être sensibilisé à son rôle dans l'encadrement de la rédaction du rapport pour les volets concernant le déroulement de la mission.
    Au-delà de ces éléments habituels d'évaluation, il est nécessaire que l'évaluation permette à l'étudiant de traduire sa mise en application des acquis de la formation et d'exprimer les savoirs et compétences acquis ou qui ont été sollicités au cours de l'expérience qu'a constituée le stage. Cette partie doit se faire en lien avec le référent au sein de l'équipe pédagogique mais aussi avec le maître de stage au sein de la structure d'accueil. Le stage doit donc être le lieu d'un retour réflexif sur la formation, cela dans la perspective des évolutions de carrière que l'étudiant sera appelé à connaître au cours de son existence et qui devront toutes s'appuyer sur une analyse de son propre parcours. Cette analyse peut aussi se traduire par une reformulation de la part de l'étudiant de son CV comme élément simple de traduction des savoirs et compétences acquis. Elle devrait ainsi se traduire par un chapitre spécifique du rapport de stage et pourrait être présentée lors de la soutenance.
    Enfin, tout stage doit donner lieu à un retour d'expérience de la part du stagiaire sur le déroulement de son stage (accueil, suivi, intérêt...). Cette appréciation de la qualité du stage n'est pas incluse dans l'évaluation, mais doit alimenter le processus de sélection des stages par l'équipe pédagogique. Un bilan est présenté annuellement au conseil de perfectionnement.
    Mise en œuvre/modalités
    La mise en œuvre des stages ne saurait être exagérément contrainte afin de laisser une autonomie aux équipes pédagogiques. Selon leur finalité (découverte, mise en situation métier avancée, stage de fin d'études...), la durée d'un stage et son positionnement au sein du cursus peuvent être adaptées. De même, si une insertion en continu au sein de la structure d'accueil semble être préférable, un stage peut aussi être envisagé sur un mode d'alternance (par exemple sur la base de deux jours par semaine).
    Lorsqu'un stage est inscrit dans leur cursus, les étudiants sous statut salarié dont l'activité est en lien avec les objectifs de formation doivent pouvoir bénéficier d'une évaluation de cette activité pouvant participer à la validation de l'UE stage ou à la délivrance de crédits ECTS sous réserve que cela ne conduise pas à une dénaturation des objectifs prévus pour cette UE.
    Communication/information
    Comme toute unité de formation, l'UE stage doit être décrite aussi précisément que possible dans les supports d'information et de communication destinés aux personnes qui se renseignent sur la formation.
    Stages dans le cadre de tous les cursus de master
    Les étudiants des masters doivent pouvoir bénéficier dans leur cursus de période(s) de mise en situation d'exercice des métiers quel que soit le secteur vers lequel ils s'orientent. Ces cursus peuvent aussi prévoir des stages dans le monde socioéconomique.

14 avril 2016

Le DU Gestion Portuaire et Commerce International

Retour sommaireAix-Marseille Université  propose un « DU Gestion Portuaire et Commerce International à distance », dont les objectifs sont les suivants :

  • Délivrer une connaissance approfondie du système portuaire dans son organisation et dans toutes ses fonctions ;
  • Comprendre les vecteurs majeurs et connaître les principaux acteurs du commerce international dont le port est un élément essentiel ;
  • Maîtriser les processus et les documents associés aux missions du port ;
  • Appliquer les règles et processus de management de la qualité et de la sécurité des installations portuaires.

Description de la formation sur Formasup
Description de la formation sur le site Internet d'Aix Marseille Université. Voir l'article...

14 novembre 2015

Mode opératoire en vue de l’inscription de certifications de niveau III, II et I, délivrées par les Universités, au CPF

logofpsppMode opératoire en vue de l’inscription de certifications de niveau III, II et I, délivrées par les Universités, sur les trois catégories de listes CPF
La Conférence des présidents d'université et la Copanef ont engagé depuis novembre 2014 un travail commun pour clarifier le mode opératoire d'inscription des certifications de l'Enseignement supérieur sur les listes CPF.
Ce travail a été validé par le Copanef et la CPU en début du mois d'octobre.
Vous trouverez ci-joint le document officiel qui est diffusé aux Coparef, aux CPNE et aux Universités, ainsi qu'à la presse spécialisée.

à télécharger :

5 avril 2016

Mise à jour du catalogue des aides du FIPHFP

http://www.arftlv.org/images/logos/logo.jpgLe fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) finance au cas par cas des aides techniques et humaines afin de favoriser le recrutement et le maintien dans l’emploi de personnes en situation de handicap. Tous les employeurs publics peuvent bénéficier des aides répertoriées dans ce guide.
Cette nouvelle édition du catalogue mis à jour en février 2016 fait apparaître quelques modifications, notamment en ce qui concerne l’apprentissage et l’accessibilité.

Consulter le guide. Voir l'article...

6 mars 2016

L’IAE Aix-Marseille Université précise sa stratégie

http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpgBlog Headway - Olivier Rollot. Tout juste réaccrédité Equis, l’IAE Aix Marseille université a présenté son plan stratégique 2020. « D’ici 4 à 5 ans, notre ambition ce n’est pas d’augmenter nos effectifs – ils passeront de 800 à 900 étudiants, tous de niveau master – car nous voulons conserver un taux d’encadrement d’un enseignant pour vingt élèves », explique sa directrice, Virginie de Barnier, qui tient à un « positionnement de niche » avec une sélection des étudiants qui s’effectue essentiellement sur leur niveau d’anglais. En master, les effectifs doublent ainsi entre la première année et la seconde année de master « A l’entrée en première année de master, 37% de nos étudiants possèdent un bachelor, 33% une licence et les autres ont enchaîné leur diplôme d’IUT par un DUETI », liste Virginie de Barnier. En master 2, l’IAE recrute également de nombreux diplômés d’écoles d’ingénieurs venus acquérir une double compétence en management.
Alors que les diplômes des IAE sont facturés à leurs étudiants au même prix que les autres, l’IAE Aix-Marseille Université a la particularité de proposer à ses étudiants de passer à la fois un master et un MSc. Payant – de l’ordre de 4000€ par -, ce dernier permet de passer six mois à l’étranger en séjour académique ou en stage. « La plupart de nos étudiants le financent grâce à un contrat d’apprentissage », remarque Virginie de Barnier, fière également de rappeler que son master a été distingué dans le dernier classement du Financial Times comme le 19ème meilleur au monde (et 1er en France) sur le critère du « retour sur investissement ».
Côté finances, l’IAE développera ses ressources propres : taxe, donations d’entreprises, Executive Education (un responsable vient d’être embauché), le budget devrait atteindre 12,7 millions en 2020, c’est à dire 1,7 million de plus qu’en 2016. Quatre millions d’euros seront par ailleurs consacrés à rénover le campus. « Business School publique de la plus grande université de France, AMU, notre IAE deviendra également éligible à l’accréditation AACSB », conclut la directrice. Suite...

19 juin 2014

Enseignement Supérieur et Recherche en Rhône-Alpes

Les missions de la D.R.R.T. Rhône-Alpes
Sous la tutelle du M.E.N.E.S.R. et placé sous l'autorité du SGAR, la D.R.R.T. Rhône-Alpes a un rôle majeur dans l'animation des différents partenaires de la recherche et de la technologie en région. A cette fin, elle est en contact permanent avec les institutions régionales (Préfecture de Région, Conseil Régional, Rectorats, Métropoles et collectivités), les acteurs de la recherche académique (COMUE, organismes de recherche publics, universités, grandes Ecoles etc.) et les entreprises privées (pôles de compétitivité, I.R.T.I.E.E.D. etc.).

Les acteurs académiques, les organismes de recherche et les grandes écoles de Rhône Alpes
8 universités, une E.N.S., un grand établissement, des écoles d’ingénieurs, des écoles de commerce, de gestion et de management, d’autres écoles spécialisées, des C.P.G.E.et des S.T.S. font partie de l’offre de formations supérieures rhônalpine. Tous les organismes de recherche publiques (E.P.S.T. et EPIC) sont également présents sur notre territoire.

Le C.P.E.R. en Rhône-Alpes
La D.R.R.T. Rhône-Alpes intervient dans 3 Grands Projets du Contrat de Plan Etat-Région 2007-2013 qui s'est prolongé jusqu'en 2014 : Grand Projet 3 : "Accompagner les pôles de compétitivité et les clusters" ;  Grand Projet 4 : "Appuyer le développement international des Pôles de recherche et d’enseignement supérieur rhônalpins" ; Grand Projet 5 : "Développer la diffusion et le transfert de technologies, l'innovation et la croissance des PME"

Le Plan Campus en Rhône-Alpes
Les 2 opérations Plan Campus de Rhône-Alpes ont été selectionnées dans le cadre de l'appel d'offres lancé par le Ministère en charge de l'enseignement supérieur et de la recherche.  Rhône-Alpes a été sélectionnée pour 2 opérations :  "Lyon Cité campus" et "Grenoble Université de l'Innovation".

Les centres d'excellence labellisés au PIA en Rhône-Alpes
Les investissements d’avenir mettent l’accent sur la recherche publique, l'innovation et l’enseignement supérieur. C’est une priorité nationale, essentielle à l’attractivité et au développement de notre pays au coeur de l'Europe. Le programme financant les centres d'excellence est articulé autour de 4 sous programmes. Rhône-Alpes a obtenu jusqu'ici de beaux succès avec : 34 Laboratoire d'excellence (LABEX) ;  28 Equipements d'excellence (EQUIPEX) ;1 Initiative d'excellence (IDEX) provisoire ; 13 Initiatives d'excellence en formation innovantes (IDEFI).

Six Très Grandes Infrastructures de Recherche (T.G.I.R.) en Rhône-Alpes
La région Rhône-Alpes bénéficie de l’implantation d’un riche potentiel structuré autour des organismes de recherche, des universités et des partenaires internationaux. On dénombre 2 T.G.I.R. en Sciences de la matière, 1 dans le domaine de Particules-noyaux, 2 en Biologie-santé, et 1 en Astrologie.

La Stratégie régionale d'innovation de Rhône-Alpes
Dans le cadre de la définition des programmes européens 2014-2020, un large processus de concertation est engagé sur le territoire. Ce processus global vise l'élaboration puis la mise en oeuvre d'une Stratégie Régionale d'Innovation pour la Spécialisation Intelligente (S.R.I.-S.I.). A la demande de la Commission européenne, ce document stratégique a pour vocation de proposer un ensemble d'actions pour le développement de l'innovation en Rhône-Alpes, en fonction des atouts et contraintes du territoire.

Les SATT (sociétés d'accélération du transfert de technologies) de Rhône-Alpes
Dans le cadre du Programme d'Investissement d'Avenir, l'État a mobilisé 900 millions d'euros pour la création de 14 Sociétés d'Accélération du Transfert de Technologie (SATT). La SATT est créée sous la forme d'une Société par Actions Simplifiée (S.A.S.) détenue par des acteurs académiques et l'État. Sa principale activité consiste à sélectionner, investir et transférer des résultats issus de la recherche académique vers le monde socio-économique. 2 SATT ont été labellisées en Rhône-Alpes : l'une à Lyon et l'autre à Grenoble.

Les Instituts Carnot de Rhône-Alpes
Créé en 2006 le label Carnot a vocation à développer la recherche partenriale, c’est-à-dire la conduite de travaux de recherche menés par des laboratoires publics en partenariat avec des acteurs socio-économiques, principalement des entreprises (de la P.M.E. aux grands groupes), en réponse à leurs besoins.

Les pôles de compétitivité de Rhône-Alpes
Productrice d’environ 10% de la richesse nationale, la région a historiquement une importante vocation industrielle diversifiée : équipements mécaniques, chimie, médicament, plasturgie, transports, tertiaire, sports et loisirs, agroalimentaire, équipements électriques et électroniques, textile et cuir. Ces deux derniers secteurs subissent une très forte concurrence des importations étrangères. Dans le domaine de l’innovation, 10 pôles de compétitivité couvrent des secteurs d’expertise aussi divers que la médecine, la physique en passant par l’environnement, le textile, le transport et le sport.
On note deux pôles de compétitivité mondiaux, Lyonbiopôle, Minalogic et un pôle labellisé à « vocation mondiale » Axelera.

L'Agence régionale de développement et d'innovation (ARDI) de Rhône-Alpes
Afin de rendre le dispositif de soutien à l’innovation plus lisible et plus cohérent, l'ARDI (Agence Régionale pour le Développement et l’Innovation) a été créée en 2008 avec le soutien de l’État et de la Région. L’Agence a pour principale mission de contribuer au développement économique durable des entreprises de la région Rhône-Alpes par l’innovation.

Le Crédit d'impôt recherche en Rhône-Alpes
La D.R.R.T. est chargée, en région Rhône-Alpes, de suivre l'ensemble des questions d'innovation, de transfert de technologies et de recherche en entreprise. A ce titre, elle exerce en particulier une fonction régalienne dans le cadre  du crédit impôt recherche (CIR) : elle expertise à la demande des services fiscaux régionaux  les dossiers de certaines entreprises contrôlées et examine les demandes d'avis prélables CIR et J.E.I..

Jeune Entreprise Innovante (J.E.I) en Rhône-Alpes
Si vous engagez des dépenses de recherche et de développement et si votre entreprise est créée depuis moins de 8 ans, vous pouvez bénéficier sous certaines conditions d'allègements fiscaux grâce au statut de Jeune Entreprise Innovante (JEI).

Les bourses CIFRE en Rhône-Alpes
Le M.E.N.E.S.R. a confié à l'A.N.R.T. la mise en œuvre du dispositif CIFRE. Son objectif est de favoriser le développement de la recherche partenariale publique-privée et de placer les doctorants dans des conditions d'emploi.

Concours national de création d'entreprises innovantes en Rhône-Alpes
Afin de renforcer la création d’entreprises innovantes, le M.E.N.E.S.R.  organise chaque année un concours national d’aide à la création d’entreprises innovantes. Ce concours permet de faire émerger et de soutenir les meilleurs projets de création d’entreprise s’appuyant sur une technologie innovante, en leur offrant un soutien financier et à un accompagnement adapté. Pour la première année, un prix "Tremplin Entrepreneuriat Etudiant" dont l'objectif est de susciter l'esprit d'entreprendre auprès des jeunes a également été lancés. 10 prix de 10 000 euros et jusqu'à 40 prix de 5 000 euros récompensent les meilleurs projets issus des Pôles étudiants pour l'innovation, le transfert et l'entrepreneuriat (PEPITE).

Les Centres de Culture Scientifique Technique et Industrielle en Rhône-Alpes
Le réseau des C.C.S.T.I. Rhône-Alpes est soutenu par la Délégation Régionale à la Recherche et à la Technologie, la Région Rhône-Alpes, et de nombreux autres partenaires publics et privés sur les départements.

La Fête de la Science en région Rhône-Alpes
Organisé sur tout le territoire Rhône-Alpin, ce rendez-vous annuel rend la Science accessible à tous les citoyens et offre l'occasion privilégiée de rencontrer ses acteurs et de dialoguer avec eux autour d'un millier d'animations.

Le Pôle territorial de référence (P.T.R.) de Rhône-Alpes
Le 22 mars 2012, les Ministres en charge de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche,  et de la Culture et de la Communication  lançaient  le Conseil National de la C.S.T.I., dans l’objectif d’impulser une vision stratégique pour la C.S.T.I.et la rendre plus visible et plus efficace. Chargés de l’animation de cette stratégie régionale au niveau local, des pôles territoriaux de référence sont désignés et mis en place. Un comité opérationnel assure le lien entre les pôles territoriaux et le conseil national.

Les plateformes technologiques de Rhône-Alpes
En 2007, l’État et la Région ont lancé l’opération "Plates-formes Technologiques Rhône-Alpes" qui vise à accompagner d’ici 2014 une vingtaine de projets structurants dans le cadre du Grand Projet 3 du C.P.E.R. 2007-2013.

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