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Formation Continue du Supérieur

27 octobre 2011

De l'enseignement supérieur de masse à l'économie de la connaissance: la valeur des diplômes en question

http://iredu.u-bourgogne.fr/images/stories/Illustrations/logo_iredu.gifL’IREDU publie le rapport de Jean-François Giret intitulé « De l'enseignement supérieur de masse à l'économie de la connaissance: la valeur des diplômes en question ». L’étude est organisée en trois chapitres. Il s'interroge sur la réalité des rendements de l’enseignement supérieur sur le marché du travail en France et dans le monde. Le deuxième chapitre se focalise sur les évolutions de l'enseignement supérieur de masse en France et ses relations avec le marché du travail. Le dernier chapitre reviendra sur la formation doctorale.
Conclusion du Chapitre 1 - Poursuivre des études supérieures est-il rentable?
Nous nous interrogions dans le titre de ce chapitre sur la rentabilité de l’enseignement supérieur pour ses diplômés. La réponse s’impose assez largement par l’abondance des résultats des recherches que nous avons collectées jusqu’ici: l’enseignement supérieur est, en général, rentable pour ses diplômés. Il l’est certes plus ou moins selon les pays, les données et les méthodes utilisées, mais poursuivre des études supérieures reste dans les années 2000 comme dans les années 90 un investissement payant pour les jeunes.
L'évolution de ces rendements n'est cependant pas indépendante des caractéristiques de l’offre et de la demande de travail qualifié. Le niveau de développement économique du pays apparaît comme un des facteurs les plus déterminants. Si l'on fait abstraction des pays les plus pauvres où l'enseignement supérieur sert principalement à la reproduction des élites qui administrent le pays, on peut interpréter nos résultats en se basant sur la distinction faite notamment par Aghion et Cohen (2004) entre économie d'innovation et économie d'imitation.
Les premières se doivent de rémunérer les plus diplômés pour se rapprocher de leur frontière technologique alors que les secondes privilégient l'embauche de personnel moins diplômé leur permettant cependant de s'adapter aux technologies existantes. Cela explique le faible niveau des taux de rendement de l'enseignement supérieur dans de nombreux pays à revenus intermédiaires notamment, lorsque l'emploi dans le secteur des services y est peu développé. Du coté de l'offre d'éducation, nos résultats suggèrent un léger effet négatif de la massification de l'enseignement mais à partir d'un taux d'inscrits très élevé, qui concerne, tout au plus, une dizaine de pays.
Au final, les résultats proposés dans ce premier chapitre demandent à être poursuivis et complétés, au niveau des pays, des données à collecter, comme au niveau des méthodes à utiliser. La méta-analyse nous semble cependant un outil très utile pour cumuler des connaissances sur un champ de recherche, notamment lorsque celui-ci fait l’objet de controverses. Si elle demeure dépendante, comme tout outil, des choix réalisés par le chercheur dans ses lectures, dans ses hypothèses et dans ses méthodes, elle favorise la confrontation des travaux, ce qui nous paraît essentiel dans la production scientifique.
Extraits de la conclusion du Chapitre 2 - Un retour sur les contradictions de l'université de masse

L'analyse proposée dans ce chapitre souligne l'intérêt de dépasser la théorie traditionnelle de la demande d'éducation, notamment dans un contexte de déclassement d'une partie des diplômés. Écrit il y a plus de 35 ans dans un environnement universitaire très différent, le modèle d'éligibilité apparaît toujours comme un cadre théorique stimulant pour expliquer une partie du comportement étudiant dans le cadre de l'université actuelle. Les différentes estimations réalisées à partir des enquêtes de l'OVE montrent bien que le temps personnel d'études est une variable d'ajustement des étudiants lorsque les débouchés professionnels des diplômés se détériorent. Lorsque le rendement anticipé de leur investissement en capital humain baisse, les étudiants s'ajustent en réduisant leur effort studieux. La dégradation des conditions d'insertion des diplômés conduit les étudiants à moins investir dans le capital humain « universitaire » au cours d’une année d'études, mais le niveau de diplôme qu'ils souhaitent obtenir ne baisse pas. La théorie du filtre peut expliquer cette rigidité à la baisse du nombre d'années d'études, mais, conformément aux prédictions du modèle d'éligibilité, les activités rémunérées des étudiants sont également une variable d'ajustement: une baisse relative de la rémunération des diplômés augmente l'intensité du travail étudiant et la probabilité d'une absence en cours liée à une activité professionnelle. Cependant, alors que la demande de loisirs est supposée stable dans le modèle de Lévy-Garboua, nous montrons que lorsque le salaire relatif des diplômés augmente, les étudiants ont plutôt tendance à augmenter leur effort studieux en diminuant leurs loisirs...
Se pose également la question des compétences réellement acquises au sein de l'université de masse et valorisables sur le marché du travail dans une économie de la connaissance (Paul, 2002). Il n'est pas certain que le temps personnel réservé aux études dans les premières années de licence soit un des modes d'acquisition des compétences les plus efficaces, même s'il augmente en général les chances de réussite au diplôme. La question est importante sauf si l’on considère que ces premières années ne sont qu’une période inévitable de sélection. On a pu voir dans nos recherches que les activités professionnelles en cours d'études, sous forme de petits boulots étudiants, de stages obligatoires ou facultatifs apportent en général une valeur professionnelle qui est rémunérée à la sortie définitive des diplômés sur le marché du travail.
Une meilleure compréhension des différentes compétences acquises par ces jeunes dans les différentes situations d'apprentissage, de leur substituabilité et de leur complémentarité, est un enjeu pour de futures recherches. Ce type de questions bute cependant sur des considérations méthodologiques notamment dans les enquêtes quantitatives: les enquêtes que nous avons utilisées, comme CHEERS et REFLEX, se référent à des mesures autodéclaratives de compétences, acquises ou requises. Outre les risques de biais liés à la subjectivité individuelle, elles ont également tendance à réduire ou limiter les compétences techniques plus spécifiques qui constituent pourtant une partie de l'avantage compétitif des diplômés.
Conclusion du Chapitre 3 - La valeur professionnelle de la formation doctorale dans une économie de la connaissance

Ce troisième chapitre s’interrogeait sur le rôle que pouvait avoir la formation doctorale dans une économie de la connaissance. La réponse proposée, à partir de travaux portant principalement sur les trajectoires professionnelles de ses diplômés, n’est évidemment pas exhaustive. Toute une dimension des recherches sur les apports des diplômés au processus d’innovation interne à l’entreprise, sur la transmission de savoirs tacites dans laquelle ils sont impliqués ou sur les compétences collectives qu’ils contribuent à faire émerger n’a pas été directement prise en compte. Cela pourrait être une piste stimulante pour de recherches futures, notamment à partir de données d’entreprises, qui font défaut dans nos travaux. Analyser conjointement la manière dont les entreprises gèrent l’innovation et leurs ressources humaines peut s’avérer riche d’enseignements pour comprendre les compétences individuelles qu’elles souhaitent favoriser dans leur recrutement.
Le travail que nous avons mené dans ce chapitre souligne cependant toute l’ambigüité du statut de la formation doctorale. Elle doit permettre, dans la majorité des pays, le renouvellement des enseignants-chercheurs et des chercheurs dans le secteur académique. Elle doit également faciliter la dissémination des savoirs académiques en proposant au secteur privé une main-d’oeuvre rapidement performante et susceptible de contribuer au processus d’innovation. Plusieurs recherches montrent pourtant que ces objectifs ne sont pas forcément contradictoires, malgré les difficultés actuelles d’insertion des docteurs, notamment dans le secteur privé. Les compétences attendues par les employeurs du secteur privé recrutant des docteurs peuvent être parfois très proches de celles que l’on peut attendre d’un chercheur ou d’un enseignant-chercheur dans le secteur académique, si l’on fait abstraction des connaissances disciplinaires. On voit par ailleurs, qu’une partie des docteurs s’insère très bien en France dans la R&D, surtout s’ils ont été impliqués durant leur doctorat dans des contrats de recherche plus appliquée.
Pour les autres docteurs, et notamment, ceux qui ont des difficultés à accéder à l’emploi académique, se pose la question de rendre moins irréversibles les choix professionnels faits en amont de la formation. Une formation doctorale unique mais susceptible de sécuriser les trajectoires en facilitant les transitions d’un secteur à l’autre dès le début de la thèse nous apparaît comme l'une des propositions les plus compatibles avec les deux objectifs de cette formation. Cela passe cependant par une réflexion sur la manière dont on peut aider les doctorants à acquérir puis valoriser les compétences qui leur seront demandées dans le secteur privé. Ce n’est pas contradictoire avec l’objectif de former des chercheurs et des enseignants-chercheurs de qualité. Si l’on reprend la proposition de Stephan et Levin (1997) d’analyser l’inscription en thèse comme un contrat implicite entre le doctorant et son directeur de thèse, la sécurisation de débouchés en dehors de la recherche, est un des moyens pour éviter la rupture de ce contrat, présentée comme inévitable par ces chercheurs dans un contexte de dégradation des opportunités d’emploi dans l’enseignement supérieur. Elle permettrait de conserver un vivier de recrutement nécessaire aux carrières académiques en diminuant les difficultés d’une réorientation en cas d’échec. Télécharger le rapport de Jean-François Giret intitulé « De l'enseignement supérieur de masse à l'économie de la connaissance: la valeur des diplômes en question ».
http://iredu.u-bourgogne.fr/images/stories/Illustrations/logo_iredu.gif The IREDU publishes the report by Jean-François Giret entitled "From mass higher education in the knowledge economy: the value of the degrees in question." The study is organized into three chapters. He questions the reality of returns to higher education on the labor market in France and worldwide. The second chapter focuses on the evolution of mass higher education in France and its relations with the labor market. The final chapter will return to the doctoral program.
Conclusion of Chapter 1 - Pursuing higher education is cost-effective?

We wondered in the title of this chapter on the profitability of higher education for its graduates.
The answer is obvious enough largely by the abundance of research results we have collected so far: higher education is generally profitable for its graduates. He is certainly more or less depending on the country, data and methods used, but still pursue higher education in the 2000s as in the 90's a profitable investment for young people.
The evolution of these returns is not independent of the characteristics of supply and demand for skilled labor.
The level of economic development is seen as one of the most important factors. If one ignores the poorest countries where higher education is mainly used for the reproduction of elites who run the country, we can interpret our results based on the distinction including Aghion and Cohen (2004) between the economy innovation and economies of imitation. More...
27 octobre 2011

Face aux records du chômage, améliorer l’alternance et l’accompagnement

http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRQYtkj62zZXMwdPzWa7vLvRd1bf_CCG_jxye0JFRfDGDDDk2O1Le chômage a encore grimpé en septembre. Selon les statistiques de la Dares, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (non dispensés de recherche d’emploi et ne travaillant pas du tout) s’établit désormais à près de 2,8 millions de personnes: une hausse de 0,9% par rapport au mois précédent et de 3% par rapport à l’année dernière. Si l’on ajoute à ces derniers les chômeurs de catégorie B et C (personnes ayant exercé une activité réduite), ce sont près de 4,2 millions de personnes qui sont concernées par le chômage. Marc Landré tire la sonnette d’alarme dans le Figaro: le chômage se situe aujourd’hui à « un niveau non atteint depuis près de douze ans ».
C’est en particulier le chômage des seniors et le chômage de longue durée qui ont augmenté. Le nombre de chômeurs de plus de 55 ans inscrits en catégorie A connaît une hausse de 2,1% sur un mois (+ 14,3% sur un an). +0,7% de chômeurs de longue durée (inscrits à Pôle emploi depuis plus d’un an), un chiffre tiré par le haut par la hausse particulièrement préoccupante du nombre de personnes inscrites depuis plus de trois ans à Pôle emploi (+2,5% sur un mois et +21% sur un an).
En réaction à ces chiffres, le ministre du Travail et de l’Emploi a néanmoins rappelé dans un communiqué que les jeunes constituaient la priorité de l’action du gouvernement en matière d’emploi. En effet, le nombre de moins de 25 ans inscrits à Pôle emploi et n’exerçant aucune activité a progressé (de 0,6%) en septembre, réduisant ainsi la baisse sur douze mois à 2%  – contre 6% à la fin du premier semestre.
Alors que le portail gouvernemental de l’alternance a été récemment mis en ligne, Xavier Bertrand a particulièrement insisté sur l’action du gouvernement en la matière: Les entrées en formation en alternance ont, sur les neuf premiers mois de l’année, progressé de 5,6% par rapport à 2010. En outre, «les nouvelles mesures déjà applicables de la loi du 28 juillet 2011 [dite « Loi Cherpion »], et notamment la possibilité de démarrer une formation en apprentissage sans être immédiatement sous contrat d’apprentissage, les solutions pratiques apportées aux difficultés de terrain devraient permettre à tous les jeunes souhaitant entrer en alternance de pouvoir le faire ».
Rappelons que deux types de contrats d’alternance coexistent:
le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation, créé plus récemment. Leurs situations actuelles sont contrastées:
*La professionnalisation se porte bien: près de 24 000 (23 918) contrats ont été signés en septembre, contre 19 090 le même mois de l’année précédente – soit une progression de 25,3%. Sur les neuf premiers mois de l’année 2011, la progression est nette: +20,9%.
*A l’inverse, l’apprentissage patine.
Si sa baisse s’est ralentie en septembre (–0,4%), la tendance négative des neufs premiers mois de 2011 n’a pas été enrayée – une évolution inquiétante en ces mois de rentrée. Au total, la baisse est de 4,5% sur les neuf premiers mois de l’année.
Si l’alternance progresse de 4% sur les neufs premiers mois de l’année, c’est ainsi grâce à la hausse du nombre des contrats de professionnalisation, qui fait plus que compenser la baisse de l’apprentissage. Néanmoins, on peut considérer que la France peut et doit mieux faire en matière d’alternance, surtout qu’elle ne bénéficie toujours pas, dans les faits, à ceux qui en ont le plus besoin: les jeunes les moins qualifiés. L’Atelier de l’Emploi reviendra tout prochainement sur ses limites actuelles.
Par ailleurs, Marc Landré fait remarquer, au sujet de l’emploi des jeunes, que « ce sont surtout les jeunes hommes qui se sont inscrits en masse en septembre (+1,3%, contre -0,1% pour les jeunes femmes) »; une nouvelle illustration du retournement de tendance déjà évoqué en ces pages?
Parmi les pistes de solution, le Ministre du travail a souligné le rôle central de Pôle Emploi. La nouvelle feuille de route de Pôle Emploi proposée par X. Bertrand doit permettre de personnaliser et améliorer sensiblement l’accompagnement des demandeurs d’emploi, en accordant plus de souplesse et d’autonomie aux agents sur le terrain. Les services rendus aux entreprises devront aussi être améliorés.
Dernier axe de progrès : « la mise en œuvre d’un plan d’action local pour l’emploi dans chacun des 340 bassins d’emplois [pour] faciliter le rapprochement de l’offre et de la demande d’emplois au plus près des besoins et des attentes du terrain. » Le succès des premiers « Rendez-vous recrutement Europe 1-Manpower », qui ont eu lieu hier à Strasbourg et Bordeaux, démontre la pertinence de cette approche au niveau des bassin d’emplois. Le prochain billet de l’Atelier de l’Emploi, consacré à la gestion territoriale des emplois et compétences (GTEC), reviendra plus largement sur ce sujet.
Pour en savoir plus

Télécharger la publication de la Dares
(pdf).
Lire le communiqué de presse du Ministre du travail, de l’emploi et de la santé.
Lire l’article du Figaro.
Accéder à l’espace dédié à l’emploi des jeunes » sur l’Atelier de l’Emploi.
http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRQYtkj62zZXMwdPzWa7vLvRd1bf_CCG_jxye0JFRfDGDDDk2O1 Unemployment rose again in September. According to statistics from the Dares, the number of job seekers registered at employment center in category A (not exempt from job search and not working at all) now stands at nearly 2.8 million people: an increase of 0.9% over the previous month and 3% over last year. If we add to these unemployed category B and C (persons who have reduced activity), nearly 4.2 million people are affected by unemployment. Landré Marc sounding the alarm Le Figaro: unemployment is now at "a level not reached for nearly twelve years." More...
27 octobre 2011

Le projet "Les appreneuriales: je pense, donc j'agis!"

http://www-fc.univ-ubs.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?CODE_FICHIER=1305642940791&ID_FICHE=245022Dans ce cadre, l'Université de Bretagne Sud a souhaité développer une expérimentation visant à mettre en place de véritables dispositifs innovants de « fertilisation croisée » entre la formation continue et la formation initiale dans des domaines où il y a peu ou pas d'alternance. Cette expérimentation est soutenue par le Fonds d'expérimentation pour la Jeunesse et évaluée par le CAR Céreq Bretagne.
Objectifs
Développer une méthodologie de l'alternance dans les filières ou il y en a peu ou pas, pour favoriser les parcours réussis et sécuriser de nouveaux parcours professionnels.
Les partenaires: Université de Bretagne-Sud, IUT Lorient, Université Rennes 2, Rectorat de Rennes
Cadre
Projet Hirsch : Programme national d'expérimentation pour les jeunes
Axe 2 : Améliorer la transition entre formation et emploi
Programme 1 : Actions innovantes pour améliorer l'insertion professionnelle à l'université
Action 4 : Le développement de formules innovantes d'alternance dans l'enseignement supérieur.
En savoir plus...

Télécharger le descriptif du projet "Les appreneuriales".
Télécharger le document de présentation du projet.
Semaine des Appreneuriales: visualiser la conférence "La transition Ecole-Travail en passant par l'insertion professionnelle".
W tym kontekście, Uniwersytetu Południowej Bretanii chciał rozwijać eksperyment rozwijać prawdziwe innowacyjne funkcje "cross zapłodnienia" pomiędzy kształcenia ustawicznego na obszarach, gdzie jest mało lub nie ma alternatywy. To Eksperyment jest wspierane przez Fundusz na rzecz młodzieży i doświadczenie oceniane przez RAC Céreq Brytanii.
Cele

Opracowanie metodologii dla przemian w sieci i niewiele lub nie, jest promowanie sukcesu i bezpieczne trasy dla nowych karier.

Partnerzy: Uniwersytet Południowej Bretanii Lorient IUT, Université Rennes 2, Rennes Rektoratu
. Więcej...
27 octobre 2011

Chroniques sur le financement des universités

http://www.educpros.fr/uploads/RTEmagicC_Dubois_Pierre.JPG.jpgAvec les Responsabilités et Compétences Elargies (RCE), les universités accumulent les difficultés financières. Seront-elles en mesure de voter pour 2012 un budget "sincère"?
Rogner, sabrer des dépenses

La plupart des universités n’ont plus le choix: pour leur budget 2012, qui doit être “en équilibre” et “sincère”, elles sont obligées de rogner les dépenses, d’en sabrer voire d’en annuler certaines. Cette chronique dresse un inventaire à la Prévert des mesures d’économie. Ne sont pas seulement concernées les ”petites universités”, cas révélé par le dossier de [...]
Même Strasbourg sabre les dépenses

L’université de Strasbourg doit être fière de ses succès (Plan Campus, Investissements d’Avenir, Prix Nobel de médecine). Elle en attend plusieurs centaines de millions d’euros, même si elle n’en a pas encore beaucoup vu la couleur (chroniques “Les sous, c’est pour quand ?“ et “IDEX. 10Mns€ pour 1,25 Md€“). Elle semble donc riche, mais est-elle à l’abri d’une [...]
Bordeaux invente les HC non payées

Message envoyé ce matin par un enseignant-chercheur de Bordeaux 1, atterré par la décision du Conseil d’administration en date du 6 juillet 2011 et applicable au 1 septembre 2011. Cette décision concerne la mise en oeuvre de la modulation des services d’enseignement. Courrier adressé à tous les enseignants-chercheurs, le 13 octobre 2011, par Alain Boudou, président de [...]
“Les sous, c’est pour quand”?

Suite des chroniques: “Campus, Idex, Labex, Equipex, IRT…: je t’embrouille ! “. Les établissements d’enseignement supérieur n’en finissent pas de s’interroger: “les milliards d’euros du Plan Campus et des Investissements d’avenir, c’est pour quand”? Avec l’accroissement de la crise de l’endettement des Etats, ils tremblent de peur. Laurent Wauquiez a été auditionné à [...]
10 Millions € seulement par IDEX!

Il faut relire le compte-rendu de l’entretien du 26 juillet 2011 avec Jean-René Perrin, délégué général de l’IDEX de Strasbourg, une des 3 IDEX labellisées par le jury international : “Mesurer l’impact des IDEX“. “Il devrait y avoir une négociation, en août ou en septembre, avec le Commissariat général à l’investissement (CGI) et l’ANR. Objet de [...]
http://www.educpros.fr/uploads/RTEmagicC_Dubois_Pierre.JPG.jpg Laiema volitused ja kohustused (NCE), ülikoolid koguneda rahalistes raskustes. Kas nad oleks võimalik hääletada 2012 eelarve "siiras"?
Crop, vähendada kulutusi

Enamikul ülikoolidel ei ole valikut nende 2012 eelarve, mis peab olema "tasakaalustatud" ja "siiras", nad on sunnitud kärpima kulutusi, vähendada või tühistada mõned.
See veerg annab inventuuri Prévert säästmise meetmeid. Ei ole seotud vaid "väike ülikool" poolt avastatud juhtumite rekord [...]
Isegi Strasbourgis mõõk kulud

Strasbourg'i Ülikool peaks olema uhke oma edu (Campus kava, investeeringud tulevikku, Nobeli Medicine).
Ta ootab mitusada miljonit eurot, kuigi see ei ole veel näinud palju värvi (krooniline "sub on siis?" Ja "IDEX. 10mn kuni € 1250000000 €"). Tundub, rikas, kuid see on ohutu. Velle...
26 octobre 2011

Comment réussir un entretien collectif?

Aller a la home de France 5Rédigé par La rédaction. Si un entretien d'embauche en face à face avec un recruteur est un exercice difficile pour tout candidat, l'entretien collectif, appelé également entretien de groupe, peut s'avérer plus délicat encore. Conseils pour réussir à sortir du lot.
Pour recruter leurs futurs collaborateurs, certaines entreprises font passer des entretiens collectifs aux candidats. Contrairement à l'entretien d'embauche classique, où le recruteur reçoit un candidat à la fois en face à face, l'entretien collectif se déroule dans une salle de réunion et confronte plusieurs postulants… pour un même poste. Ce type d'entretien est utilisé en particulier quand le poste à pourvoir requiert des qualités relationnelles, le sens de la négociation, le goût du travail d'équipe ou du leadership. Les entretiens collectifs sont utilisés par exemple  dans le secteur de la grande distribution pour des profils de commerciaux, de managers, dans le secteur bancaire, ou de l'assurance…
Le principe de l'entretien de groupe
Le jour J de votre entretien d'embauche, vous trouverez dans la salle d'attente de l'entreprise une dizaine de candidats.  L'ensemble des postulants au poste seront réunis autour d'une table ronde. Ce type d'entretien dure en moyenne une trentaine de minutes. Au programme : débat autour d'un sujet ou mise en situation de travail de groupe (prendre une décision ou effectuer une tâche).
Généralement, l'employeur  débute par une présentation de l'entreprise et du poste à pourvoir. Ensuite, chaque candidat se présente lors du tour de table. Pensez à préparer une courte présentation orale de votre parcours et de vos compétences afin d'être clair et concis. Soyez souriant, posé, afin de faire montre de votre maîtrise du stress.
L'ensemble des candidats peuvent également être amené à travailler ensemble sur une question. Certes, les autres candidats sont vos concurrents pour le poste mais lors de cette mise en situation professionnelle vous devrez savoir travailler avec eux. Et éviter les conflits !
Ce que le recruteur attend
L'entretien collectif est une occasion pour le recruteur d'étudier le comportement des candidats, leur curiosité, leur aisance à s'exprimer en public, leur aptitude à négocier ou construire un argumentaire, leur gestion du stress. Sachez-vous démarquer en posant des questions, en montrant que vous avez fait l'effort préalable de vous informer sur l'entreprise et son activité.
L'employeur se place dans une position d'observateur afin d'évaluer le comportement des candidats au sein du groupe, de cerner leur personnalité. De fait, ne soyez ni trop offensif en voulant jouer les leaders, ni trop effacé et timide. Sachez écouter, entendre, dialoguer et échanger avec les autres candidats et ne monopoliser pas la parole. Le but n'est pas d'écraser les autres pour s'imposer mais de sortir du lot sans trop en faire.
L'entretien collectif est toujours suivi, pour ceux qui ont réussi cette étape, d'un entretien en tête-à-tête avec le recruteur, voire des tests.
Idź do domu France 5Piśmie. Jeśli twarz rozmowy kwalifikacyjnej w twarz z osobą rekrutującą do pracy jest trudnym zadaniem dla każdego kandydata, wywiad grupowy, zwany także wywiadu grupowego, może być jeszcze bardziej delikatna. Conseils pour réussir à sortir du lot. Porady z powodzeniem wyróżniać. Do rekrutacji przyszłych pracowników, niektóre firmy wydają wywiady grupowe dla kandydatów. Więcej...
26 octobre 2011

Initiatives d'excellence en formations innovantes: investir pour l'avenir des étudiants

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/94/7/IDEFI_Web_197947.79.jpgLaurent Wauquiez, Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, et René Ricol, Commissaire général à l'investissement, ont présenté au cours d'une réunion d'information, le nouvel appel à projets "Initiatives d'excellence en formations innovantes" (IDEFI).
Le 27 juin dernier le Président de la République a souhaité soutenir des projets emblématiques et innovants en matière de formation et compléter ainsi la dynamique des investissements d'avenir pour l'enseignement supérieur. Ces initiatives permettront de valoriser l'engagement des enseignants dans des projets de formation ambitieux et novateurs, au service de la réussite des étudiants.
L'appel à projets qui sera publié dans les tout prochains jours par l'Agence nationale de la recherche a vocation à soutenir un nombre limité d'initiatives ambitieuses, à la hauteur des meilleurs standards internationaux. Les projets devront préfigurer les formations universitaires du futur et promouvoir de nouvelles démarches de formation. Les innovations attendues se situent sur le plan de l'attractivité, y compris internationale, des étudiants, de leur employabilité, de la pluridisciplinarité, de l'ingénierie de formation, du lien avec la recherche, des partenariats conduits pour parvenir aux résultats attendus, y compris en termes d'égalité des chances et de variété des publics formés.
Ces "démonstrateurs" auront une portée exemplaire pour le système d'enseignement supérieur dans son ensemble.
Doté de 150 millions d'euros, l'appel à projets IDEFI permettra un soutien sur plusieurs années à vingt projets, au-delà des projets sélectionnés dans le cadre des Initiatives d'excellence. Il s'adresse à l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur, universités et écoles, y compris ceux qui sont engagés dans une Initiative d'excellence (Idex); toutefois, les financements Idex et IDEFI ne seront pas cumulables.
L'appel à projets IDEFI, par le soutien qu'il apporte au développement de l'excellence en formation complète l'effort déjà entrepris en matière de recherche par les investissements d'avenir.
Comme dans les autres actions des investissements d'avenir, les projets seront évalués par un jury international qui examinera tout particulièrement:
    * l'ampleur du projet, son caractère stratégique et transformant,
    * le caractère novateur du projet,
    * le degré de mobilisation des acteurs et la qualité des partenariats tant au plan international qu'avec le monde socio-économique,
    * l'ambition en matière de réussite des étudiants.
Les projets devront être déposés avant le 19 décembre 2011 auprès de l'Agence nationale de la recherche. Les lauréats seront annoncés en février - mars 2012.
Laurent Wauquiez, kõrghariduse ja Teadusministeeriumi ning Rene Ricol volinik General investeerimiseks, esitletakse infokoosolek, uus projektikonkursi "algatused of Excellence uuenduslike koolitus "(IDEF).
27. juunil Vabariigi Presidendi soovisid toetada juhtprojektid ja uuenduslikke koolitus ja täielik ning dünaamika investeering tulevikku kõrgharidust.
Need algatused suurendada pühendumust õpetajate koolitusprojekte ambitsioonika ja innovatiivse teenistuses üliõpilane edu. Velle...
25 octobre 2011

Senior, un atout pour l'entreprise

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)En 2009, le taux d'emploi des seniors était de 39% en France, 34% en Poitou-charentes. Des chiffres très éloignés de ceux des autres pays de l'Union Européenne où il atteint 46%, et de l'objectif de 50% fixé à Lisbonne. Par ailleurs, la situation des demandeurs d'emploi seniors s'est dégradée: entre août 2010 et août 2011 le chômage des seniors a progressé de 12,6% et de 14,9% pour les longues durées.
Pourtant, en renonçant aux compétences et à l’expérience des seniors, les territoires et les entreprises se privent d’un atout décisif. La gestion des âges au travail est donc une condition de la prospérité économique de Poitou-Charentes. Quelle place pour les seniors dans nos entreprises, quels obstacles à leur insertion et quelles solutions pour valoriser et faciliter la place des seniors dans le monde du travail ? Le colloque "Senior, un atout pour l’entreprise" organisé le 13 octobre à Angoulême par la Préfecture de Poitou-Charentes avec l'appui de l'Afpa et de l'ARFTLV, prenait appui sur l’analyse des accords et des plans seniors déposés par les entreprises de plus de 50 salariés du département de la Charente. L’objectif de ce temps d’échange était de repérer les bonnes pratiques, mettre en exergue les solutions afin de les restituer aux entreprises, aux partenaires sociaux ainsi qu’à l’ensemble des acteurs socio-économiques du territoire régional. Consulter la brochure et la bibliographie de l'ARFTLV distribuées lors du colloque.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) In 2009, the employment rate of seniors was 39% in France, 34% in Poitou-Charentes. Figures far removed from those of other countries of the European Union where it reaches 46% and 50% target set in Lisbon. Moreover, the situation of the unemployed seniors has declined: between August 2010 and August 2011 unemployment of older workers increased by 12.6% and 14.9% for long periods. More...
25 octobre 2011

Liste des titres et diplômes français ouvrant droit à dispenses d’épreuves pour le DCG et le DSCG

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Global/83/2/bandeau-bo_179832.34.jpgNOR: ESRS1100266A, arrêté du 14-10-2011, ESR - DGESIP A3. Vu ordonnance n° 45-2138 du 19-9-1945 modifiée; décret n° 2006-1706 du 22-12-2006; arrêté du 26-3-2008; arrêté du 3-3-2010; avis de la commission consultative pour la formation professionnelle des experts-comptables
Article 1 - Les épreuves du diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) et du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG) sont numérotées ainsi qu'il suit:
Épreuves du DCG:
- épreuve n° 1 : Introduction au droit ;

- épreuve n° 2 : Droit des sociétés ;
- épreuve n° 3 : Droit social ;
- épreuve n° 4 : Droit fiscal ;
- épreuve n° 5 : Économie ;
- épreuve n° 6 : Finance d'entreprise ;
- épreuve n° 7 : Management ;
- épreuve n° 8 : Systèmes d'information de gestion ;
- épreuve n° 9 : Introduction à la comptabilité ;
- épreuve n° 10 : Comptabilité approfondie ;
- épreuve n° 11 : Contrôle de gestion ;
- épreuve n° 12 : Anglais appliqué aux affaires ;
- épreuve n° 13 : Relations professionnelles.
Épreuves du DSCG :
- épreuve n° 1 : Gestion juridique, fiscale et sociale ;
- épreuve n° 2 : Finance ;
- épreuve n° 3 : Management et contrôle de gestion ;
- épreuve n° 4 : Comptabilité et audit ;
- épreuve n° 5 : Management des systèmes d'information ;
- épreuve n° 6 : Épreuve orale d'économie se déroulant partiellement en anglais ;
- épreuve n° 7 : Relations professionnelles.
Article 2 - Les dispenses d'épreuves prévues à l'article 10 du décret n° 2006-1706 du 22 décembre 2006 susvisé sont accordées aux candidats qui justifient des titres et diplômes suivants :
I - Certificats d'expertise comptable (ancien régime)
- Certificat d'études comptables, dispense des épreuves n° 8, 9, 12 du DCG.
- Certificat d'études économiques, dispenses des épreuves n° 5, 7, 12 du DCG.
- Certificat d'études juridiques, dispense des épreuves n° 1, 3, 12 du DCG.
- Certificat supérieur d'organisation et de gestion des entreprises, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur de relations économiques européennes et internationales, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur de révision comptable, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur de traitement des données et informations, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur juridique et fiscal, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Diplôme d'études comptables supérieures (régime 1963), dispense des épreuves n° 1, 3, 5, 6, 7, 8, 9, 12 du DCG.
II - Deug, DEUST, licences, maîtrises hors LMD
- Deug « administration économique et sociale », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 12 du DCG.
- Deug « droit », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 12 du DCG.
- Deug « économie et gestion », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 12 du DCG.
- Deug « ingénierie économique », IUP université Nice-Sophia-Antipolis, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 12 du DGC.
- Deug « mathématiques appliquées et sciences sociales », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 8, 12 du DCG.
- Deug « sciences économiques », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 12 du DCG.
- DEUST orienté vers la comptabilité, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- DEUST « techniques juridiques fiscales et comptables », université Aix-Marseille 3, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Licence « administration économique et sociale », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Licence « droit », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 12 du DCG.
- Licence « économie appliquée », université Paris 9, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 12 du DCG.
- Licence « ès sciences économiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 12 du DCG.
- Licence « mathématiques appliquées et sciences sociales », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 8, 12 du DCG.
- Maîtrise « administration économique et sociale », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « banque, finance, assurance », spécialité « industrie et finances internationales », université Paris 13, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « banque, finance, assurance », IUP université Paris 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit privé », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 3, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit privé », mention « droit des affaires », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit public », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « échanges internationaux », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « économétrie », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « économie appliquée », université Paris 9, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « économie et gestion de l'entreprise », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « ès sciences économiques » ou maîtrise « sciences économiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « ingénierie économique », IUP université Nice-Sophia-Antipolis, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « juriste d'entreprise », IUP université Toulouse 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « management et gestion des entreprises, économiste d'entreprise », université de Nice-Sophia-Antipolis, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « management et gestion des entreprises », spécialité « ingénierie économique », IUP université Toulouse 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « mathématiques appliquées et sciences sociales », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « méthodes informatiques appliquées à la gestion », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise « sciences juridiques et politiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « sciences politiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise de sciences de gestion, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences de gestion, université Bordeaux 4, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences de gestion, université Orléans, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « audit et gestion opérationnels de l'entreprise », université Lyon 2, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « économie d'entreprise », université Lille 2, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « économie d'entreprise », université Rennes 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques, toutes mentions juridiques, économiques, comptables ou de gestion, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Bordeaux 4, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Caen, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Nice, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Orléans, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Paris 12, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG. 
III - Capet, agrégation
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) D2 « techniques comptables », dispense du DCG et de l'épreuve n° 3 du DSCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option A économie et gestion administrative, dispense du DCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option B économie et gestion comptable, dispense du DCG et de l'épreuve n° 3 du DSCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option C économie et gestion commerciale, dispense du DCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option D économie, informatique et gestion, dispense du DCG.
- Agrégation du second degré des techniques économiques de gestion, dispense du DCG et des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option A économie et gestion administrative, dispense du DCG et des épreuves n° 3, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option B économie et gestion comptable et financière, dispense du DCG et des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option C économie et gestion commerciale, dispense du DCG et des épreuves n° 3, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option D économie, informatique et gestion, dispense du DCG et des épreuves n° 3, 5, 6, 7 du DSCG.
IV - Certificat et diplômes du Cnam
- Certificat de premier cycle (CPC) de l'Intec, délivré jusqu'en 2010 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Diplôme d'études financières et comptables (DEFC) de l'Intec, délivré jusqu'en 2010 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12 du DCG et de l'épreuve n° 5 du DSCG.
- Diplôme d'études supérieures (DES) de l'Intec, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Diplôme d'études supérieures économiques (DESE) « comptabilité et gestion », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 11, 12, 13 du DCG.
- Diplôme de gestion et de comptabilité (DGC) de l'Intec, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG.
- Diplôme supérieur de responsable comptable (DSC), délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 10, 11, 12 du DCG.
- Diplôme supérieur de responsable en gestion (DSG), délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG.
- Diplôme supérieur de gestion et de comptabilité (DSGC) de l'Intec, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
V - BTS, DUT
- BTS spécialité « comptabilité », délivré jusqu'en 1964, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- BTS spécialité « comptabilité et gestion d'entreprise », délivré jusqu'en 1989, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- BTS spécialité « comptabilité et gestion », délivré jusqu'en 2002, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- BTS spécialité « comptabilité et gestion des organisations », dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 13 du DCG.
- DUT spécialité « administration des collectivités publiques et des entreprises », option « finances comptabilité », délivré jusqu'en 2007, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- DUT spécialité « carrières juridiques », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 9, 12 du DCG.
- DUT spécialité « gestion administrative et commerciale », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 9, 12 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « finances comptabilité », dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « gestion et administration des petites et moyennes organisations », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « petites et moyennes organisations », dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 13 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « ressources humaines », dispense des épreuves n° 1, 3, 5, 13 du DCG.
VI - Diplôme national de master
- Master « droit, économie et gestion », mention « sciences du management et administration », spécialité « analyse et gestion financières », université Nancy 2, délivré jusqu'en 2010, dispense des épreuves n° 2, 3 du DSCG.
- Master « économie et gestion », mention « sciences du management », spécialité « contrôle de gestion », université Dijon, dispense des épreuves n° 3, 7 du DSCG.
- Master « économie et gestion », mention « sciences du management », spécialité « finance », université Dijon, délivré à compter de 2007, dispense des épreuves n° 2, 7 du DSCG.
- Master « économie et gestion », mention « sciences du management », spécialité « finance et pilotage des organisations », université Dijon, délivré en 2005 et 2006, dispense des épreuves n° 2, 7 du DSCG.µ
- Master « gestion », mention « sciences du management », spécialité « gestion financière et fiscalité », université Paris 1, dispense des épreuves n° 2, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), Cnam, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Aix-Marseille 3, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Amiens, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Angers, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Besançon (délivré à compter de 2010), dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Bordeaux 4, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Brest, délivré à compter de 2011, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Bretagne Sud, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Caen, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Clermont-Ferrand 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Dijon, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Évry-Val-d'Essonne, délivré à compter de 2012, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Grenoble 2, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Le Mans, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Lille 2, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Limoges, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Littotal-Côte-d'Opale, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Lyon 3, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Montpellier 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Nancy 2, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Nantes, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Nice, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Orléans, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 5, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris-Dauphine, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 10, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 11, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 12, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 13, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Marne-la-Vallée, délivré à compter de 2011, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Pau, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Poitiers, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Reims, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Rennes 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université La Réunion, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Rouen, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Saint-Étienne, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Strasbourg 3, délivré jusqu'en 2008, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Strasbourg, délivré à compter de 2009, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Toulouse 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Valenciennes, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master « sciences économiques et de gestion », mention « sciences et métiers du management et de l'international », spécialité « stratégie pilotage et contrôle dans l'entreprise », université Évry, dispense de l'épreuve n° 3 du DSCG.
- Master « sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion », mention « système d'information et contrôle de gestion », spécialité « contrôle de gestion industrielle et des services », université Rennes 1, dispense des épreuves n° 3, 5, 6, 7 du DSCG.
VII - Diplômes des écoles de commerce et de gestion
- Diplôme d'Audencia-Nantes, école de management, filière « audit, expertise comptable » délivré à compter de 2008, dispense des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG. Suite...

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Global/83/2/bandeau-bo_179832.34.jpg Zarządzenia nr 45-2138 wynika z 19-9-1945 zmienione, Dekret nr 2006-1706 z 22-12-2006; porządku 26-3-2008, aby z 03.03.2010; opinię Komitetu Doradczego szkolenia zawodowe dla księgowych
Artykuł 1 - Badanie stopnia rachunkowości i zarządzania (DCG) i Dyplom studiów wyższych w rachunkowości i zarządzania (DSCG) są numerowane w następujący sposób. Więcej...
24 octobre 2011

« L’obsession évaluative », une maladie française ?

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgSur le blog Le Monde d'Olivier Rollot. Le débat récent sur le dépistage précoce des élèves en difficulté l'a rappelé, s’il est un culte auquel se voue l’Éducation nationale, c’est bien celui de l’évaluation. On ne peut pas être élève sans subir à coups de contrôles inopinés et d’interrogations souvent surprises ce que d’aucuns appellent « l’obsession évaluative ». Et comme cela ne suffisait pas, le ministère a instauré des bilans nationaux organisés chaque année en CE1 et CM2.
Moulés dans le même système, les parents s’inquiètent eux‐mêmes dès que leur progéniture ne donne pas ses notes: pour les petits Français, le « Tu as eu de bonnes notes aujourd’hui ? » tient souvent lieu de « Bonsoir mon chéri »…
Tout cela crée un stress permanent et une relation de méfiance réciproque entre des profs payés pour être soupçonneux et des élèves qui voient parfois dans la triche le seul moyen de passer entre les mailles du filet. Et surtout de ne pas redoubler, sanction suprême du système…
Une note toute… relative

L’évaluation a sa propre science : la docimologie. Desétudes fondées sur l’exploration de copies d’examen ont par exemple démontré qu’une note n’était « stabilisée » en mathématiques qu’après avoir fait la moyenne de… 78 correcteurs. En philo, il en faut 162. C’est dire la fragilité d’un processus dans lequel la valeur est inévitablement relative. Les élèves s’en rendent vite compte dès qu’ils comparent leurs copies dans les matières scientifiques.
Tout comme ils se rendent compte qu’une fois catalogués dans une « catégorie » (bon, glandeur, fumiste, mauvais), ils peuvent difficilement en sortir et que les notes se stabilisent curieusement au niveau où le prof les a – définitivement – classés. La classe « classe »… Et déclasse quand l’évaluation devient humiliation. Le sociologue Pierre Merle soulignait ainsi en 2006 dans son ouvrage "L’élève humilié – L’école, un espace de non‐droit ?" (PUF) que «les humiliations subies par l’élève sont le produit de l’idéologie scolaire du classement qui autorise la mise en exergue de l’élève jugé faible et incapable ».
Toujours est‐il que ce sujet reste encore tabou alors qu’il est générateur de frustrations et de violence. La plupart du temps, les professeurs n’ont d’ailleurs pas conscience du poids de ces petits mots, petites remarques assassines, sur le moral de leurs élèves. Après tout, ils ont été élevés comme ça ! Ne faire que le procès de l’école en cette matière serait vraiment trop réducteur. C’est la société française tout entière qui doit s’interroger sur le poids de mots qui blessent et sur son incapacité à encourager plutôt qu’à humilier…
La « constante macabre »

La relation profs‐élèves est d’autant plus biaisée qu’il faut bien constater que les professeurs se croient toujours obligés de donner un pourcentage constant de mauvaises notes. En 2003, le professeur des universités André Atibi a inventé le terme "constante macabre" pour expliquer pourquoi et comment il y aura toujours un tiers de bons élèves, un tiers de moyens et un tiers de mauvais dans une classe. Et cela quel que soit la moyenne de la classe !
Résultat : il y a un nombre considérable d’élèves en échec alors même qu’ils ont un – relatif – bon niveau. Leur handicap ? Être dans une trop bonne classe. Depuis lors un mouvement, soutenu aujourd’hui financièrement par le ministère de l’Éducation nationale, s’est fédéré autour d’André Atibi pour inventer de nouvelles méthodes de correction à partir d’une « évaluation par contrat de confiance ».
Dans certains pays scandinaves, les élèves ne sont pas notés avant… la cinquième. Inimaginable pour nous, ce système de confiance totale n’en permet pas moins à la Finlande ou à la Norvège de se placer en tête des classements internationaux. Dans ces pays, ne pas être noté ne signifie en rien que les élèves sont livrés à eux‐mêmes. Tout au contraire, il leur est porté une attention de tous les instants, mais qui ne passe pas par une notation jugée destructrice pour les plus jeunes enfants. *À lire : "La constante macabre", 2003, « Math’adore », Nathan.
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpg Autor Olivier Rollot. hiljutine arutelu varane väljaselgitamine hädas õpilastele rõhutanud, on kultus, mis on pühendatud haridus-, on see, et hindamine. Me ei saa ilma õpilane puhub juhuslikke kontrolle ja küsimusi sageli üllatunud, mida mõned kutsuvad "hindava kinnisidee." Ja nagu sellest veel ei piisaks, Department loonud riikliku saldod toimub igal aastal CE1 ja cm2.
Valatud ühes ja samas süsteemis, vanemad on mures ise kui nende lapsed ei andnud oma märkused väike prantsuse, "Sul on häid hindeid nüüd?
» "Sageli toimib" Hello darling "...
Kõik see loob pideva stressi ja suhe vastastikune usaldamatus õpetajate vahel makstud olla kahtlane ja üliõpilased, kes on mõnikord petmine ainus viis pudene läbi võrgu.
Ja eriti ei pikendata, ultimate sanktsioonide süsteem. Velle...
24 octobre 2011

Bologna Process Update: EUA contributes to preparations for 2012 Ministerial Meeting in Bucharest

The Bologna Follow-Up Group (BFUG), which manages the follow-up of the Bologna Process in between Ministerial Meetings, met last week (13-14 October) at the Jagiellonian University in Krakow, Poland. EUA participated actively on behalf of universities in the meeting hosted by the Polish EU Presidency. The BFUG members discussed priorities and themes for the next Ministerial Communiqué to be adopted in Bucharest in April 2012 and the progress of the different BFUG working groups that are expected to present reports and recommendations to ministers next spring. The work of the different groups (on issues such as mobility, degree recognition, transparency and the social dimension) can be found on the official European Higher Education Area website.
On Friday 14 October, the E4 Group (EUA, EURASHE, ENQA and ESU) organised a thematic session focusing on quality assurance. This included presentations on the external review of the European Quality Assurance Register for higher education (EQAR) and the preliminary results of the MAP-ESG project, which looks at how the European Standards and Guidelines for Quality Assurance (ESGs) have been taken up and whether they need revising (please see this story).
Discussions on the current state of the Bologna Process and future perspectives continued from 17 to 19 October with a special two-day event in Bucharest, Romania, entitled: “Future of Higher Education − Bologna Process Researchers’ Conference (FOHE-BPRC)”. This was organised by the Romanian Ministry of Education, Research, Youth and Sports and the Executive Agency for Higher Education, Research, Development and Innovation Funding (UEFISCDI) with the support of EUA. 
The conference gathered researchers on a range of higher education topics with a direct relevance for the Bologna Process (including a number of EUA representatives) from Europe and beyond. EUA very much hopes that the outcomes of these discussions will feed into the discussions on the future development of the Bologna Process. The publication resulting from the conference will be available to participants attending the 2012 Bologna Ministerial events and a presentation will be made by the General Rapporteur and Chair of the Editorial Board, Sir Peter Scott, Institute of Education, University of London.
EUA’s work was well presented through a selection of papers, in particular on themes such as quality assurance, funding, autonomy, and teaching and learning. To find out more about developments with the Bologna Process, please visit: www.ehea.info.
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