Par Sophie Pages, Débat Formation. La loi du 5 mars 2014 offre de nouvelles marges de manœuvre aux entreprises qui sauront s’en emparer. De nombreux acteurs s’accordent à dire que la disparition de la notion d’imputabilité va ouvrir le champ des possibles et permettre à l’entreprise de gérer son investissement formation comme elle l’entend. Mais il ne suffit pas d’une loi qui autorise, encore faut-il une envie de faire et des compétences de la part des acteurs du système de professionnalisation. L’acteur le mieux placé pour permettre à l’entreprise de tirer le meilleur parti de la réforme est-il le DRH ? Le Responsable formation ? le chef de projet formation ? … le conseiller de l’OPCA ? … voire l’ingénieur pédagogique de l’organisme de formation. Voir l'article...
Un changement en profondeur
Un changement en profondeur - Fafsea Infos n° 109.
>>> Dans un contexte économique difficile, la réforme de la formation professionnelle arrive à point nommé. Elle offre aux entreprises l’occasion d’être plus efficaces, et aux salariés la possibilité de monter durablement en compétences. La réforme de la formation professionnelle se concrétise.
Votée au Parlement il y a bientôt un an, elle entre majoritairement en vigueur au 1er janvier 2015, même si certaines de ses dispositions financières ne s’appliqueront qu’en 2016. Tous les décrets d’application n’ont pas encore été publiés, mais le nouveau système se dessine assez clairement. « C’est un changement profond, explique Yves Honoré, directeur général du Fafsea. Les obligations financières des entreprises s’allègent, mais en contrepartie, de nouvelles obligations juridiques s’imposent à elles. » Suite dans le Fafsea Infos n° 109.