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Formation Continue du Supérieur
13 novembre 2009

UNESCO: Global Education Digest 2009 - NOW AVAILABLE

This edition explores the changing patterns in higher education worldwide. The 2009 Global Education Digest (GED) presents the latest education statistics from primary to tertiary education levels for more than 200 countries. Data are provided for the school year ending in 2007 or the latest year available, as well as for 2008 for a small number of countries. The wide range of education indicators presented in the report helps assess progress towards Education for All and Millennium Development Goals. The analytical chapter explores the changing patterns in global higher education. It analyses the rising demand for higher education, represented by an explosive growth in tertiary students worldwide since 1999. Moreover, this edition presents a unique picture of the landscape of international student mobility.
Beyond the global set of education indicators, the GED continues to report more in-depth education data for a group of 62 countries, including those that are members of the World Education Indicators (WEI) programme, the Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) and Eurostat. This data set offers cross-national comparisons of more detailed information on tertiary educational programmes, as well as on the sources and flows of tertiary education funding. The 2009 GED introduces additional time series data on tertiary education to assess progress since 1970, highlighting the rapid growth of tertiary education systems, changing patterns in tertiary education graduates by field of study, and in particular, the shift in global trends for international student mobility. It also expands reporting on upper secondary education graduates to 70 countries, which helps forecast the number of potential entrants into tertiary programmes.
The Digest is available in English, French and Spanish (Arabic version is forthcoming).
13 novembre 2009

Partenariat franco-vietnamien: nouvelle université des sciences et technologies au Vietnam

Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la RechercheUn accord de partenariat  pour la création d’une nouvelle université des sciences et technologies à Hoa Lac (U.S.T.H.),  a été signé entre Valérie Pécresse et Thien Nanh Nguyen, ministre de l’Éducation et de la Formation du Vietnam. Six thématiques scientifiques pluridisciplinaires ont été retenues : Biotechnologie et pharmacologie; Aéronautique et espace; Énergie; Sciences et technologie de l’information et de la communication (STIC); Matériaux, nanotechnologies; Environnement/eau/océanographie.
La ministre a rappelé que plus de trente établissements d’enseignement supérieur français ont constitué un consortium afin d’envisager et de détailler ce que la France pourrait apporter à la constitution de cette université, notamment en matière de gouvernance et d’orientation des enseignements. La ministre a de nouveau souligné l’aspect « gagnant-gagnant » de ce projet scientifique pour nos équipes de recherche, qui, déjà fortement implantées au Vietnam, bénéficieront du dynamisme de ce pays émergent tout en y diffusant aussi l’influence française.
Coopération universitaire franco-vietnamienne: 5 031 étudiants vietnamiens inscrits dans les universités françaises en 2008-2009, dont 45 % en licence, 41 % en master, 14 % en doctorat. Leur répartition par disciplines est caractérisée par une prédominance de la gestion, du droit et des sciences économiques (47 % des effectifs), suivies de près par les disciplines scientifiques et technologiques (40 %) ; les lettres, langues et sciences humaines ne représentant que 13 %. Ces effectifs ont triplé depuis 2001-2002, avec une augmentation de 11% par rapport à 2007-2008.  Si l’on considère l’accueil des étudiants étrangers dans les universités françaises, le Vietnam se situe au 2ème rang des pays asiatiques, après la Chine. * La France est le 4ème pays de destination des étudiants vietnamiens après l’Australie, les Etats-Unis et la Grande Bretagne. * 165 accords interuniversitaires franco-vietnamiens (sur 890 pour la zone Asie).
Bộ Giáo dục Đại học và Nghiên cứuMột thỏa thuận hợp tác cho sự sáng tạo của một trường đại học mới của khoa học và công nghệ tại Hòa Lạc (USTH) đã được ký kết giữa Valerie Pécresse nành và Thiên Nguyên, Bộ trưởng Bộ Giáo dục và Đào tạo của Việt Nam. Sáu đề tài khoa học đa ngành đã được xác định: Công nghệ sinh học và Dược, Vu trụ, Năng lượng, Khoa học và Công nghệ Thông tin và Truyền thông (STIC); vật liệu, công nghệ nano, môi trường / nước / hải dương học. Xem thêm...
25 septembre 2009

L'UTSEUS: l'Université de technologie sino-européenne de l’université de Shanghai

http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/logoHeader.pngEn Chine, le plus difficile pour un établissement d’enseignement supérieur n’est pas de signer un partenariat mais bien de le faire vivre. Retour d’expérience avec l’UTSEUS, l’établissement lancé conjointement par les trois universités de technologie françaises et l’université de Shanghai.
Après quatre ans de discrète existence, cette école d’ingénieurs, qui compte 750 étudiants chinois, veut désormais s’ouvrir à la recherche et l’international.
Tous les deux mois, les présidents des universités de technologie se rendent à Shanghai pour faire avancer l’UTSEUS (Université de technologie sino-européenne de l’université de Shanghai), l’école d’ingénieurs qu’ont lancée conjointement les universités de technologie de Belfort-Montbéliard, Compiègne et Troyes et l’université de Shanghai en Chine. Début juillet 2009, c’était au tour de Ronan Stéphan, alors président de l’UTC (Université de technologie de Compiègne), et Louis Coté, son conseiller devenu depuis administrateur provisoire de l'Université de technologie, de venir en Chine rencontrer un maximum de contacts : enseignants-chercheurs de l’université de Shanghai, industriels français, représentants de l’incubateur de la ville. Un marathon de rendez-vous pour franchir une nouvelle étape dans le développement de l’UTSEUS.
Créée en 2005, cette « université » dans l’université occupe modestement le troisième étage d’un des bâtiments du campus de Baoshan, à quarante-cinq minutes du centre ville de Shanghai. Un campus moderne et verdoyant à l’américaine de près d’un kilomètre carré. Toutes promotions confondues, près de 750 étudiants chinois suivent aujourd’hui leurs études d’ingénieur à l’UTSEUS. Ils y entrent après avoir passé le Gaokao, le concours national d’entrée à l’université. Ces étudiants passent les trois premières années à Shanghai. Les 140 meilleurs ont ensuite la possibilité de venir effectuer leurs deux années de master dans l’une des trois UT françaises. Les autres restent à l’université de Shanghai. Parallèlement, une vingtaine d’étudiants français terminent leur dernière année à Shanghai.
http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/logoHeader.pngIn China, the most difficult for an institution of higher education is not to sign a partnership but rather to make it live. Feedback with UTSEUS, establishment launched jointly by three universities of technology and the French University in Shanghai.
After four years of discreet existence, the engineering school, which has 750 Chinese students, will now be open to research and international. More...
7 août 2009

63 nouveaux masters et doctorats communs proposés en Erasmus Mundus

La Commission européenne vient de sélectionner 50 masters et 13 doctorats (Les listes des masters et doctorats retenus) communs qui viendront étoffer Erasmus Mundus, programme communautaire destiné à renforcer la coopération européenne et les liens internationaux dans le domaine de l'enseignement supérieur. Ces masters et doctorats associent 296 universités d'Europe et 70 universités partenaires de nombreux pays du monde entier. Au total, ce sont 116 masters donnant lieu à des bourses d'études qui seront proposés à la rentrée 2010/2011. La Commission a également sélectionné 13 doctorats communs; il s’agit là d’un type de doctorat instauré par la deuxième phase d'Erasmus Mundus, qui a commencé cette année. Les listes des masters et doctorats retenus.
Le premier appel à propositions pour la deuxième phase du programme Erasmus Mundus (2009-2013) a été lancé en février 2009. À cette occasion, 182 masters et 135 doctorats communs ont été proposés par des universités d'Europe et leurs partenaires des quatre coins du monde.
La grande nouveauté de cet appel à propositions, ce sont les doctorats communs Erasmus Mundus : 13 doctorats de ce type ont été retenus, qui associent 65 universités d'Europe et 12 universités de pays tiers. Ces programmes de formation et de recherche du niveau doctoral offriront également des bourses couvrant jusqu'à trois années de doctorat. Les doctorats choisis couvrent un large éventail de disciplines dans les sciences naturelles, les sciences du vivant et les sciences humaines. Les étudiants pourront s'inscrire à ces programmes à la rentrée 2010/2011.
Les masters sélectionnés auront une durée de cinq ans. Ils associeront 231 universités de 26 pays d'Europe. Les pays les plus représentés sont l'Allemagne (31 universités), la France (26), l'Espagne (25), l'Italie (22) et la Suède (21). Dans le contexte des masters, un nombre fixe de bourses Erasmus Mundus sera octroyé aux meilleurs étudiants de «pays tiers», de même qu'à des universitaires, l’objectif étant de permettre aux uns et aux autres d'enseigner ou de mener des travaux de recherche. Les 50 nouveaux masters couvrent un large éventail de disciplines, dont les plus prisées sont l'ingénierie et les technologies, les sciences sociales, les mathématiques, les sciences naturelles et l'agronomie.
Cette année – et c'est une première! –  des universités de pays tiers pourront être membres à part entière des consortiums candidats : les masters retenus associent 58 universités de ce type (environ 15 %). Les pays les plus représentés sont l'Inde, les États-Unis, le Canada, la Suisse et la Chine (Les listes des masters et doctorats retenus). Les consortiums comprenant des partenaires de pays tiers peuvent aussi octroyer des bourses à des étudiants ou à des universitaires européens pour leur permettre d'étudier, d'enseigner ou de mener des travaux de recherche dans des universités partenaires en dehors de l'Union européenne.
Pour en savoir plus : Les listes des masters et doctorats retenus, EACEA : Erasmus Mundus, Commission européenne : Erasmus Mundus.
63 नए संयुक्त मास्टर डिग्री और डॉक्टरेट इरास्मस Mundus में की पेशकश की. यूरोपीय आयोग (चयनित स्वामी और डॉक्टरेट की सूची) जो आम इरास्मस Mundus कार्यक्रम का निर्माण करेगा 50 स्वामी और 13 doctorates चुना है यूरोपीय सहयोग और उच्च शिक्षा के क्षेत्र में अंतरराष्ट्रीय संबंध मजबूत करने के लिए इच्छित. दुनिया भर के कई देशों में ये स्वामी और यूरोप में डॉक्टरेट सहयोगी 296 विश्वविद्यालयों और 70 साथी विश्वविद्यालयों. में कुल वहाँ 116 स्वामी कि 2010/2011 की शुरुआत में प्रस्तावित किया जाएगा छात्रवृत्ति के लिए नेतृत्व कर रहे हैं. इस आयोग ने भी 13 आम doctorates का चयन किया है, यह डॉक्टरेट इरास्मस Mundus है, जो इस साल के शुरू के दूसरे चरण के द्वारा शुरू की एक प्रकार है. चयनित स्वामी और doctorates की सूची. अधिक जानकारी के लिए: चयनित स्वामी और doctorates, EACEA: इरास्मस Mundus, यूरोपीय आयोग: इरास्मस Mundus की सूची. और...
14 mars 2009

Sur les traces du marché mondial de l'éducation

Extraits : L’internationalisation, vecteur de l’hégémonie culturelle ?
Pour donner une forme de conclusion à l’ensemble des observations que nous avons pu réunir sur l’enseignement supérieur, les analyses du chercheur australien Simon Marginson (2008) peuvent offrir une mise en perspective intéressante.
Marginson s’interroge sur la position particulière qu’occupe l’enseignement supérieur états-unien vis-à-vis du reste du monde. Il propose d’abord un tableau schématique de l’université américaine, qui se répartit entre deux pôles, deux « gabarits » pour reprendre ses termes :
– d’un côté, le prototype Harvard : « l’université d’élite privée à but non lucratif, centrée sur la recherche et sur la formation doctorale, compétitive, imprégnée d’esprit d’entreprise, sélectionnant sévèrement ses étu-diants, pratiquant des droits très élevés mais offrant des aides généreuses, bénéficiant de donations impor-tantes et se livrant une forte concurrence pour les meilleurs étudiants et les meilleurs enseignants-chercheurs » ;
– de l’autre, le prototype Phoenix : « l’institution d’enseignement supérieur à but lucratif, qui prépare ses étudiants à la vie professionnelle dans des matières comme la gestion, les technologies, les professions de santé, l’enseignement. Ce sont des entreprises commerciales, centrées sur le “consommateur”, expansion-nistes, efficaces, économes (on n’y fait pas de recherche), pratiquant en matière de ressources humaines la gestion de la performance et l’assurance qualité » ;
– entre les deux, des universités de plus en plus dévalorisées et marginalisées.
Marginson remarque ensuite que l’activité « exportatrice » de l’université américaine, tout importante soit-elle (9,1 milliards de dollars en 2001), pourrait l’être bien davantage « si son seul objet était mercantile ». Un autre intérêt semble donc supplanter l’intérêt économique. S’appuyant sur la définition du concept d’« hégémonie culturelle » développé par Gramsci, l’auteur défend la thèse que tel est bien cet intérêt premier. « C’est là un enjeu autrement plus important que la balance commerciale ou l’enrichissement des universités », estime-t-il.
Ce Dossier d’actualité n°42 est une publication mensuelle du service de Veille scientifique et technologique de l'INRP.
Marginson poi notato che la "esportazione" delle università americane, mentre può essere significativo (9,1 miliardi di dollari nel 2001), potrebbe essere molto più "se il suo unico scopo è stato mercantile... Questo Hot Topics n°42 è una pubblicazione mensile del servizio di monitoraggio scientifico e tecnologico del NPRI. Maggiori informazioni...

19 février 2009

Crise économique : les universités américaines « à but lucratif » tirent leur épingle du jeu

Fortement touchées par la crise économique, certaines universités américaines devraient néanmoins s'en sortir mieux que d'autres : les « for-profit colleges ». Moins chères que les établissements privés « non profit » pour les étudiants, ces universités privées « à but lucratif » sont bien équipées pour faire face à la récession, à l'heure des coupes budgétaires dans les établissements publics. Emplois du temps flexibles, formations en ligne, localisations pratiques et soutien personnalisé... autant d'atouts qui séduisent de plus en plus d'étudiants. Retour sur ce type d'établissement américain particulier, le « for-profit college » en temps de crise, vu de l'ambassade de France aux Etats-Unis (Washington DC). Un texte signé Pascal Delisle, attaché culturel, et sa collègue Isabelle Schöninger.
En 2004, 6.7 % des 17,7 millions d'étudiants étaient inscrits dans un for-profit college. S'ils ne représentent que 6.7 % des étudiants américains, ils accueillent en revanche une proportion substantielle d'étudiants issus des minorités : 16% des étudiants d'origine africaine, 14% des hispaniques contre seulement 4% d'étudiants "caucasiens".
Plus cher que les universités publiques, moins cher que les établissements privés à but non lucratif
Dans un contexte d'augmentation du nombre d'étudiants candidats, de renchérissement des droits d'inscription dans les universités privées non for profit et d'incapacité des universités publiques à accueillir ne serait-ce qu'autant d'étudiants qu'à la rentrée précédente, les for-profit colleges voient d'un bon oeil se profiler la rentrée 2009. A noter : Un rapport plus complet est également disponible sur bulletins-electroniques.com. Suite...

Depressione: università americane "profitto" derivati loro prosperare. Una relazione più completa è disponibile anche on-electroniques.com newsletter. Maggiori informazioni ...

14 février 2009

Les Seychelles demandent l’aide de la France pour créer une université

pcassuto | 15 février, 2009 23:04

Trois universités françaises ont récemment été sollicitées pour aider le gouvernement seychellois à créer une université. Situé dans l’Océan indien, au Nord des Comores, l’archipel des Seychelles, libéré de la tutelle anglaise depuis 1976, ne possède pas d’établissement d’enseignement supérieur. « Une cinquantaine d’étudiants partent chaque année vers les universités françaises, américaines ou anglaises, alors qu’un peu moins de 400 lycéens obtiennent leur bac sur 2000 jeunes de 18 ans », explique le président de la Fondation de l’Université des Seychelles (FUS), Rolph Payet.
Sous l’impulsion de l’ambassade de France à Victoria, les Seychelles ont sollicité des universités françaises pour aider le pays à créer un cadre juridique pour la future université. « Dans un second temps la FUS sollicitera à nouveau ces établissements pour l’aider à établir des programmes, et mettre en place des échanges d’étudiants et de professeurs », espère Rolph Payet. Il a rencontré des responsables des universités de la Réunion, de Montpellier 2, de Paris 1, ainsi que de l’Institut de recherche et de développement (IRD) et de l’Ifremer, deux instituts déjà présents aux Seychelles par le biais de groupes de recherche sur les milieux tropicaux.
« Nous avons fait à Rolph Payet une proposition d’échanges d’enseignants pour leur formation ainsi qu’une aide à la mise en place de licences à caractère professionnel, explique Christian Périgaud, vice-président de Montpellier 2. Cette coopération va dans le sens de notre politique éducative de coopération avec les universités du Sud. Dans la mesure où nous avons déjà un accord cadre avec l’université de Madagascar, on pourrait imaginer une offre de licences d’intérêt régional avec l’île Maurice et bien sûr l’université de la Réunion. Disposant à ce jour d’un million d’euros, la FUS estime qu’il lui faudrait « 10 à 20 millions d’euros pour mener à bien ce projet à l’horizon 2010. »
Une échéance qui paraît courte d’autant que le pays subit en ce moment une crise économique interne sans précédent. Afin de mener le projet à son terme, la FUS compte notamment sur des capitaux étrangers, venant principalement du tourisme, premier secteur économique de l’archipel.

सेशल्स एक विश्वविद्यालय बनाने के लिए फ्रांस की सहायता की आवश्यकता होती है. के साथ एक मिलियन यूरो के दिनों में FUS इसे "20 लाख यूरो करने के लिए 2010 से इस परियोजना को पूरा करने के लिए 10 लगेंगे अनुमान. के रूप में देश के वर्तमान आर्थिक संकट अप्रत्याशित आंतरिक किया जा रहा है कि कम भी लगता है एक परिपक्वता. इस परियोजना को पूरा करने के लिए, मुख्य रूप से विदेशी पूंजी पूरा पर्यटन के कारण इस FUS, इस द्वीपसमूह के पहले आर्थिक क्षेत्र. Suite...

3 janvier 2009

Reviews of Higher Education Institutions in Regional Development

Organisation for Economic Co-operation and Development  Higher education institutions (HEIs) make a significant contribution to economic, social and cultural development in their cities and regions. In 2004-2007, IMHE, in collaboration with the OECD Public Governance and Territorial Development Directorate, conducted a comparative review of regional engagement of higher education institutions in 14 regions across 12 countries (first round of reviews).
The second round of reviews will take the reviews to new geographical areas in OECD countries as well as non-member countries. The work will provide a stronger evidence base and will benefit from collaboration with partners such as the World Bank and OECD Directorate for Territorial Development and Public Governance.
The purpose is to provide HEIs, regional and national authorities, and policy makers with information and analysis to assist them in formulating and implementing policies to mobilise higher education for social, economic and cultural development.
OECD is now in the process of selecting regions to participate in the second round reviews for 2008-2010. The following regions have agreed to participate in the review: City of Amsterdam (Netherlands), Andalucia (Spain), City of Berlin (Germany), Bío Bío Region (Chile), the Galilee (Israel), the State of Paraná (Brazil), the Paso del Norte Region (US-Mexico), City-Region of Rotterdam (Netherlands), Southern Arizona (US), and Veracruz (Mexico). Negotiations are continuing with a number of other regions. The final number of participating regions is expected to be between 10 and 15.
Le but est de fournir aux établissements d'enseignement supérieur, les autorités régionales et nationales, et les décideurs politiques des informations et des analyses pour les aider dans la formulation et la mise en œuvre des politiques visant à mobiliser l'enseignement supérieur pour le développement social, économique et culturel. L'OCDE est maintenant dans le processus de sélection des régions à participer à la deuxième ronde de commentaires 2008-2010. Les régions suivantes ont accepté de participer à l'examen: la ville d'Amsterdam (Pays-Bas), Andalousie (Espagne), ville de Berlin (Allemagne), région de Bío Bío (Chili), la Galilée (Israël), l'Etat de Paraná (Brésil) , la région de Paso del Norte (États-Unis-Mexique), Ville-Région de Rotterdam (Pays-Bas), au sud de l'Arizona (États-Unis), et de Veracruz (Mexique). Les négociations se poursuivent avec un certain nombre d'autres régions. Le nombre final de régions participantes devrait se situer entre 10 et 15.
19 décembre 2008

L’international, nouvel eldorado de la formation

Les organismes de formation professionnelle s’ouvrent à l’international. Marchés visés : la Chine, les pays du Maghreb et de l’Europe de l’Est.

Alors que la formation professionnelle va connaître une réforme en profondeur, les entreprises privées du secteur – dont une grande majorité se contentent du marché domestique – ressentent la nécessité de s’ouvrir à l’export.
Elle vient tout juste de créer une « commission internationale » permanente, qui sera dirigée par Christophe Quesne, gérant de Quilotoa formation, un cabinet qui utilise les techniques de la scène à des fins pédagogiques. Ce dernier s’est déjà mis au travail. Il planche sur la participation de la FFP aux journées commerciales qu’organisera, à Pékin et Shangaï, début mars, UbiFrance, bras armé du commerce extérieur. Mises en contact avec des décideurs locaux, les boîtes de formation vont tenter, en live, d’engranger du business. Les leaders – Cegos, implanté de longue date à Shangaï, et Demos, dont le patron, Jean Wemaere, est aussi président de la FFP et qui a pignon sur rue à Pékin et Shangaï – devraient parrainer des sociétés de plus petite taille. Un premier jalon avait été posé en novembre dernier. Une dizaine d’organismes s’étaient alors rendus en Chine pour, dixit Marie-Christine Soroko, déléguée générale, « identifier la demande et voir dans quelle mesure l’expertise française peut y répondre ». Suite de l'article.

Il nuovo Eldorado internazionale della formazione.
Organismi di formazione professionale per aprire internazionale. Target mercati: Cina, Nord Africa e l'Europa orientale. Dopo l'articolo. Ubifrance.

9 décembre 2008

CONFINTEA VI Regional Preparatory Conference for the Arab States

"Investing in Adult Learning: Building Knowledge and Learning Societies in the Arab Region" 5-7 January 2009 in Tunis (Tunisia)
Organized in cooperation with the UNESCO Regional Office in Beirut on behalf of the Government of Hungary. Contact : CONFINTEA.Tunisia@unesco.org . Documents and presentation files will also be available at the CONFINTEA website: www.unesco.org.
The following countries will be covered by the CONFINTEA VI Preparatory Conference for the Arab States: Algeria; Bahrain, Egypt, Iraq, Jordan, Kuwait, Lebanon, Libyan Arab Jamahiriya, Mauritania, Morocco; Oman, Palestine Autonomous Territories, Qatar, Saudi Arabia, Sudan, Syrian Arab Republic, United Arab Emirates, Yemen, Djibouti, Somalia and Malta. General Information Note
The Regional Conference for the Arab region calls for a realisation that a leap to knowledge and learning societies can only be made when the concepts of lifelong learning and building literate societies is clearly understood. A crucial prerequisite for lifelong learning is a system that promotes demand-driven approaches and smooth progression with no programmes leading to dead-ends. Considering the alarming dropout from formal basic education in the Arab countries, resulting in 6.10 million Arab children not enrolled as well as a high proportion of young people interrupting their education, creating inclusive lifelong learning systems will be important in the Arab countries to help the smooth progression of individuals into education and work (UNESCO Regional Bureau for Education in the Arab States Sharpening Our Tools, Education for All: Mid-Term Review for the Arab States 2008).
CONFINTEA VI περιφερειακής προπαρασκευαστικής διάσκεψης για τα αραβικά κράτη. "Η επένδυση στην εκπαίδευση ενηλίκων: οικοδόμηση της γνώσης Μάθηση και Εταιρειών στην αραβική περιοχή ". 5-7 Ιανουαρίου 2009, Τύνιδα (Τυνησία). Οργανώνεται σε συνεργασία με το Περιφερειακό Γραφείο της UNESCO στη Βηρυτό για λογαριασμό της κυβέρνησης της Ουγγαρίας. Γενικές Πληροφορίες Σημείωση. Οι ακόλουθες χώρες θα καλύπτονται από το CONFINTEA VI Προπαρασκευαστικής Διάσκεψης για τα αραβικά κράτη: Αλγερία, Μπαχρέιν, Αίγυπτος, Ιράκ, Ιορδανία, Κουβέιτ, Λίβανος, Λιβυκή Αραβική Τζαμαχιρία, τη Μαυριτανία, το Μαρόκο, Ομάν, Αυτόνομη Παλαιστινιακή Εδάφη, Κατάρ, Σαουδική Αραβία, Σουδάν, Αραβική Δημοκρατία της Συρίας, Ηνωμένα Αραβικά Εμιράτα, Υεμένη, το Τζιμπουτί, τη Σομαλία και τη Μάλτα. Suite...

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