Online courses are transforming higher education, creating new opportunities for the best and huge problems for the rest.
TOP-QUALITY teaching, stringent admissions criteria and impressive qualifications allow the world’s best universities to charge mega-fees: over $50,000 for a year of undergraduate study at Harvard. Less exalted providers have boomed too, with a similar model that sells seminars, lectures, exams and a “salad days” social life in a single bundle. Now online provision is transforming higher education, giving the best universities a chance to widen their catch, opening new opportunities for the agile, and threatening doom for the laggard and mediocre.
The roots are decades old. Britain’s Open University started teaching via radio and television in 1971, the for-profit University of Phoenix has been teaching online since 1989; MIT and others have been posting lectures on the internet for a decade. But the change in 2012 has been electrifying. Two start-ups, both spawned by Stanford University, are recruiting students at an astonishing rate for “massive open online courses” or MOOCs. In January Sebastian Thrun, a computer-science professor there, announced the launch of Udacity. It started to offer courses the next month—a nanosecond by the standards of old-style university decision making. He also gave up his Stanford tenure, saying that Udacity had “completely changed my perspective”. In October Udacity raised $15m from investors. It has 475,000 users. Read more...

By Chris Parr. Traditional values for OU-led Mooc platform that aims to rival US providers.
The institutions chosen to feature on the UK's new open online course platform have been selected on the basis of their performance in domestic league tables, according to the vice-chancellor of The Open University, which is leading the project.
Last week, the institution launched Futurelearn, which will carry so-called "Moocs" (massive open online courses) from 12 UK universities and aims to rival US providers such as Coursera, Udacity and edX.
Futurelearn is the first UK-based Mooc platform. Eight of the universities are members of the Russell Group of large research-intensive institutions, two are from the 1994 Group of small research-intensives, one is non-aligned and The Open University is part of the University Alliance. Read more...

Geneviève Fioraso se félicite du lancement les 30 et 31 janvier, du classement européen des universités, intitulé "U-Multirank".
Ce lancement est l'aboutissement d'un travail commun engagé par la Commission européenne et les pays membres de l'Union européenne, au premier rang desquels la France, pour renforcer l'attractivité internationale de l'enseignement supérieur européen et se doter, à l'échelle européenne, d'un véritable outil d'orientation. L'Observatoire des sciences et des techniques, qui était partenaire de l'étude de faisabilité, reste associé à l'exercice.
Le 16 novembre, Geneviève Fioraso, recevant Androulla Vassiliou, Commissaire européenne à l'Education, la culture, le multilinguisme et la jeunesse, avait réaffirmé le soutien de la France à ce projet et son souhait de voir ce dispositif opérationnel dès 2013.
"La diversité de nos universités nécessite que les systèmes d'évaluation et de classement soient adaptés. Le classement U-multirank sera un outil permettant de prendre en compte des points forts et spécifiques de notre enseignement supérieur européen, à savoir les sciences humaines et sociales, le nombre d'étudiants et leur taux de réussite des étudiants, le transfert vers l'industrie, la participation à l'innovation et la création d'emplois" affirme Geneviève Fioraso.
"Ce classement doit devenir une référence pour les étudiants, les enseignants, les entreprises tant au niveau européen que mondial. Nous devons être fiers de notre culture scientifique et académique et cet outil européen commun nous permettra d'en assurer plus largement et plus efficacement la promotion."

Collection Le point sur... - Numéro 151 - Les diverses réalités des formations initiales en environnement.
À la rentrée 2010-2011, les effectifs inscrits en dernière année d’une formation initiale en environnement étaient d’environ 67000, tous niveaux confondus. Ces formations, au nombre d’un millier en 2010, recouvrent des réalités différentes tant par les thématiques enseignées que par les contenus et la nature des diplômes délivrés.
Niveaux I et II : des formations souvent construites « sur mesure »
Pour les diplômes tels que licence, master et diplôme d’ingénieur, les enseignements, pas nécessairement environnementaux, sont plus spécialisés. L’enseignement général porte plutôt sur les statistiques, les techniques de recherche d’emploi… Mais ce qui caractérise avant tout les diplômes de l’enseignement supérieur, dans l’environnement comme pour l’ensemble des disciplines, ce sont les choix d’orientation proposés à l’étudiant à travers les options et parcours, offrant une construction « sur mesure » de la formation.
En troisième année de licence (LMD) « Biologie environnement », l’étudiant a le choix entre cinq parcours dont un à dominante environnementale, « Écologie et aménagement ». Il y étudie la biodiversité, l’expertise écologique, l’écologie du paysage, les écosystèmes forestiers, etc. S’il choisit le parcours « Biologie, santé et chimie environnementale », il suivra des enseignements correspondant à l’éco-toxicologie, aux biotechnologies environnementales, à l’évaluation des risques, etc. Mais les enseignements environnementaux y occuperont moins de place.
Autre exemple, un étudiant en 2e année de master recherche « Génie civil, calcul des ouvrages et génie des matériaux dans leur environnement » peut se spécialiser dans l’environnement en choisissant le parcours « Eau, environnement, génie côtier ». Les deux autres parcours proposés (Structures et ouvrages de génie civil et Phénomènes de transfert dans le bâtiment) l’orientent différemment. Même si dans quelques formations tous les enseignements sont environnementaux, notamment pour les masters, globalement, les formations environnementales ne sont pas exclusivement dédiées à l'environnement.
La diversité des diplômes en environnement
Le brevet professionnel agricole « Travaux forestiers » est considéré comme un diplôme environnemental, tout comme le CAP « Opérateurs des industries du recyclage », le Bac pro « Aménagements paysagers », le BTS « Métiers de l’eau », le DUT « Hygiène, sécurité, environnement », la licence « Sciences de la terre et de l’environnement », la licence professionnelle « Management des risques industriels », le master « Économie de l’environnement et des ressources naturelles », le diplôme d’ingénieur du génie rural, des eaux et forêts…
Il n’existe pas de définition unique et standard d’une formation environnementale. La caractérisation de ces formations est complexe, notamment en raison de leur hétérogénéité.
L’environnement couvre un vaste champ de thématiques très différentes : assainissement, prévention des risques naturels et technologiques, biodiversité, géosciences, qualité-hygiène-sécurité-environnement, ville durable, génie climatique, économie de l’environnement… Une typologie de six domaines permet d’organiser et de caractériser les formations en environnement.
Par ailleurs, l'ensemble des formations conduisent à une variété de diplômes, du CAP aux diplômes d’ingénieur: les enseignements environnementaux y sont présents à des degrés divers; ils peuvent avoir une finalité professionnelle ou généraliste, correspondre à des options ou représenter une spécialisation à part entière.
L’examen de l’ensemble de l’offre de formation environnementale en 2010 par le Service de l’observation et des statistiques (SOeS) et Défi métiers, le carif-oref francilien, a permis d’établir une radiographie de ces formations qui en illustre l’hétérogénéité.
Du traitement des pollutions au droit de l’environnement, un vaste champ d’enseignements
Les formations environnementales couvrent six domaines; les formations rattachées à chacun de ces domaines sont elles-mêmes différentes avec un poids variable de l’enseignement environnemental. Parmi le millier de formations environnementales en 2010, 63% sont à dominante environnementale; environ 25% sont considérées comme modérément environnementales, près de 12% faiblement environnementales.
Au coeur du champ « traditionnel » de l’environnement, la protection de la nature et des milieux et la prévention des pollutions
Le domaine « protection de la nature, gestion et étude des milieux et des équilibres écologiques » comprend les enseignements sur la protection de la biodiversité, des écosystèmes, la gestion des milieux (eau, air, sol, forêt), des espèces et des ressources, l’écologie. L’enseignement des sciences de la terre (géologie…) en fait également partie. Un tiers de l'offre de formation environnementale relève de ce domaine, 64% de ces formations ont une dominante environnementale.
Les formations du domaine de la « prévention et réduction des pollutions, nuisances et risques » ont trait à la lutte contre les pollutions et toutes formes de nuisances (bruit…), la gestion et le traitement des déchets, l’assainissement, la prévention des risques naturels, technologiques, la mesure des expositions, la chimie environnementale, l’éco-conception, l’éco-toxicologie. Les enseignements sur les normes environnementales (ex: ISO 14001), le génie civil appliqué à l'environnement… y sont associés. Les formations de ce domaine représentent 22% de l'offre de formation environnementale en 2010. Elles ont une dominante environnementale très marquée: 74% répondent à ce critère, soit 11 points au-dessus de la moyenne...

ASSOCIATION OF AFRICAN UNIVERSITIES (AAU), 13th General Conference: Transforming African Higher Education for Graduate Employability and Socio-Economic Development, Libreville, Gabon, May 28 – May 31, 2013
CALL FOR PAPERS
Call for Papers has been extended to 21st December 2012.
Transforming African Higher Education for Graduate Employability and Socio-Economic Development
The 13th General Conference of the Association of African Universities (AAU) will be held in Libreville, Gabon on May 28 - 31, 2013, at the invitation of Université Omar Bongo, Libreville, Gabon. The General Theme of the Conference is Transforming African Higher Education for Graduate Employability and Socio-Economic Development. Under this general theme, the following sub-themes will be covered:
1. Socio-Political Environment and Employability
2. Graduate Employability
3. Connect Between Higher Education and the Productive Sector
4. The Role of the Organised Private Sector
5. Funding Issues
The Concept Paper (http://www.aau.org/sites/default/files/gc11/concept_note_en.pdf) gives a background to the theme and sub-themes and a lively, well-informed and policy-rich discussion is anticipated. To that end, authors are invited to submit papers on the general theme and sub-themes.
Abstracts indicating the scope, nature and approach of proposed papers, and not exceeding two pages, must reach the Secretariat not later than Friday 21st December, 2012. Authors of selected abstracts would be contacted by Tuesday 15th January, 2013 for development of their papers and additional information about the Conference.
Please send abstracts and address any enquiries to:
The Secretary-General
Association of African Universities
P.O. Box AN 5744, Accra, GHANA
Email: secgen@aau.org
cc: barry@aau.org, phoba@aau.org
Tel: (233-302) 774495/761588
Fax: (233-302) 774821

Le gouvernement a défini le 18 décembre 2012 ses orientations pour la modernisation de l’action publique (qui succède à la RGPP). Des mesures  de simplification des normes et des démarches administratives entreront en vigueur dès le début 2013 et une feuille de route a été adoptée pour adapter les services publics à l’ère du numérique. Une démarche d’évaluation de l’ensemble des politiques publiques a été engagée pour améliorer leur efficacité et rénover les services publics.
Chaque ministre élaborera, au premier trimestre 2013, un “programme de modernisation et de simplification”, couvrant la période 2013-2015 et plusieurs chantiers de modernisation interministériels sont engagés notamment sur l’administration territoriale de l’État.
L’ensemble de ces travaux sera conduit avec les agents publics et l’ensemble des partenaires de l’État, notamment les associations représentant les collectivités territoriales, et les partenaires sociaux.
Concernant l'emploi, il a été décidé d'améliorer la transparence du marché du travail en facilitant la publicité des offres et de la demande. Un service permettant de faciliter la publication des offres et des CV sera lancé en phase pilote au second trimestre 2013. La base de données nationale de l’offre de formation (projet Dokelio) sera mise en place. La procédure de demande de rupture conventionnelle sera dématérialisée pour en améliorer la sécurité juridique.
Afin de réduire la complexité administrative des démarches pour les jeunes, il est prévu de développer l’inscription en ligne et le choix des options pour les élèves du collège et du lycée. La lisibilité des formations supérieures sera accrue grâce à une simplification des intitulés par grands domaines disciplinaires et par métier. Une nomenclature des intitulés de licence sera préparée dès 2013, suivie par une nomenclature des masters. Le portail numérique admission post bac (APB) devra être le point d’entrée unique d’inscription dans l’enseignement supérieur. Voir le dossier complet. Suite de l'article...
Voir aussi Ministère de l’enseignement supérieur et sureffectifs, Le Supérieur dans le document de synthèse de la journée de travail dédiée à la RGPP, Le Supérieur au 5e Conseil de modernisation des politiques publiques, RGPP au ministère de l'Enseignement supérieur, Les Rencontres de la Modernisation de l'Etat 2010.

VietNamNet Bridge – A paradox has been existing in the labor market: a lot of university graduates cannot find jobs, while businesses still lack workers because the candidates cannot meet their requirements.
Schools criticized for making out bad products
Employers always complain that it’s very difficult to find the university graduates who can satisfy their requirements and soon get adapted to the new jobs. They say new graduates don’t have deep knowledge in their fields, lack soft skills and bad foreign language skills. Therefore, experts have called on to renovate the universities’ training curriculums so as to create the products that fit enterprises. Especially, they said employers should “place orders” with universities, requesting the products which can satisfy their needs.
Director of the Thai Nguyen University Dang Kim Vui admitted that new university graduates have limited working capability both in professional knowledge and skills. However, he said the problem does not exist in all training majors. In some majors, Vui said, the curriculums have been renovated, while the trainers well consider the demand of the society. Therefore, the graduates of the majors have high qualifications and can get adapted to the jobs.
Meanwhile, the capability of the bachelors in some other majors is more limited due to many reasons. One of these is that the majors remain unfamiliar to both trainers and students. Read more...

By Pushkar. In a previous op-ed (India fails test of 'knowledge economy', Asia Times Online, November 30, 2012), I drew attention to what can be called a "research deficit" in India's higher education. In it, I mentioned a study by Thomson Reuters according to which India produced only 3.5% of the global research output in 2010 and its contribution in most disciplines - including mathematics and computer science - was lower than its overall average.
While these numbers are worrisome by themselves, in a China-envious country where India-China comparisons adorn the bookshelves of the growing breed of globetrotting Indians, the overall performance of India's higher education sector - including the poor world rankings of its universities - should be a cause for alarm. China has pulled ahead in higher education despite India's "English advantage".
A growing number of Chinese universities are breaking into world rankings, while the majority of Indian institutions remain trapped in mediocrity. While China's research output has grown significantly over the past decade, India's has stagnated and even declined in some disciplines. Read more...

By Cheng Yingqi. Confucius Institutes worldwide are starting to think long-term, with 325 of them already having their own development plans.
On Monday, at the Seventh Confucius Institute Conference in Beijing, more than 300 university presidents took part in a seminar to discuss drawing up such plans for Confucius Institutes globally.
That followed a meeting in 2011 at which the Confucius Institute Headquarters discussed its development plan.
"During the meeting in 2011, we gave some suggestions on the development plan, which included goals to achieve, key projects and some concrete measures. Then we extended some specific terms in the plan, and figured out detailed goals for 2020," said Jing Wei, deputy chief executive of the Confucius Institute Headquarters.
The headquarters published its 2012-20 development plan earlier this year, and encouraged Confucius Institutes to submit their own such plans. Read more...