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Formation Continue du Supérieur
1 juillet 2011

Alternance : focus sur les mutuelles

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Les mutuelles d’assurance ont un ancrage fort sur le territoire des Deux-Sèvres et représentent un nombre de salariés très important. Conviées à la journée sur l’alternance organisée par le Service Public de l'Emploi à Niort le 23 juin, la MAIF, la MAAF et la MACIF ont exprimé leur volonté d’intégrer dans les trois prochaines années davantage de jeunes en contrat d’apprentissage et de professionnalisation. Elles ont expliqué que cette modalité de recrutement leur permettait au niveau national de préparer la relève et de s’entourer de personnes dans une logique de diversification des profils. Du Certificat de Qualification Professionnelle "Relation Clientèle Assurance" accessible aux personnes de niveau bac, aux formations Bac+2 à Bac+5 pour les métiers liés aux systèmes d’information, à la commercialisation, contrôle gestion…, de nombreuses possibilités de parcours en alternance ont été cités, y compris s’agissant de l’insertion et de l’emploi de personnes recoGauchennues travaGaucheilleurs handicapés.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Vastastikuste kindlustusseltside olema tugev pingutus territooriumil Deux-Sèvres ja esindab väga suurt hulka töötajaid. Kutsutud päeval vahelduva korraldatud Public Employment Service Niort June 23, MAIF, MAAF ja MACIF avaldanud soovi integreeruda järgmise kolme aasta jooksul rohkem noori inimesi leping õppe-ja professionaalsust. Nad selgitasid, et see meetod värbamist riigi tasandil võimaldas neil valmistuda järgmise põlvkonna ja ümbritseda end inimestega loogika mitmekesistamise profiile. Veel...
29 juin 2011

L’alternance: entrer en douceur dans la vie active

StudyramaPar Karine Darmon. Le dispositif de l’alternance se révèle être un atout majeur dans l’intégration professionnelle des jeunes diplômés. Les entreprises, investies d’une mission de formation, considèrent ce dispositif comme un sérieux canal de recrutement. Salon Sup'Alt - Spécial Rentrée 2011 Mercredi 06 juillet 2011.
Après avoir séduit les jeunes, les entreprises entendent, elles aussi, accorder une plus grande importance à l’intégration des jeunes dans l’entreprise par le dispositif de l’alternance. Celui-ci a fait ses preuves dans l’enseignement supérieur et désormais de nombreux étudiants (de moins de 26 ans) s’engagent à suivre un BTS, un DUT, voire un master, une école de commerce ou d’ingénieurs par le biais de l’alternance.

29 juin 2011

Comment réussir son alternance ?

Aller a la home de France 5Se former en alternance, l'idée fait de plus en plus son chemin. Aujourd'hui, 400 000 jeunes sont sous contrats d'apprentissage ou de professionnalisation. Pourquoi pas vous ?
Les pistes pour trouver une entreprise d'accueil
Comment faire pour décrocher un contrat en alternance sachant qu'il faut trouver l'entreprise d'accueil et l'organisme de formation ?
Les bons réflexes à adopter

Trouver un contrat en alternance s'apparente pour beaucoup à un premier emploi. Quelques réflexes pour trouver chaussure à son pied.
Go to the home of France 5 Alternate form, the idea is increasingly gaining ground. Today, 400,000 young people in apprenticeships or professional. Why not you?
Tracks to find a home business

How to get a sandwich knowing that we must find the host company and training organization?
More...
17 juin 2011

La formation en alternance recommandée par les TPE-PME

AGEFOS PME, acteur majeur de l’alternance en France représentant plus d’1/5e des contrats de professionnalisation financés, publie les résultats de son enquête sur la formation en alternance. L’étude analyse comparativement les 2 formes que peut prendre l’alternance : contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation. Les TPE-PME ont été interrogées sur leur connaissance, leur pratique et leur perception à l’égard de la formation en alternance. Il en ressort une forte notoriété des contrats d’alternance, par ailleurs largement recommandés par les chefs d’entreprise. Télécharger les résultats de l'enquête.
La formation en alternance connue de 96 % des TPE-PME

Les dirigeants ont une très bonne connaissance du contrat d’apprentissage (95 %) et du contrat de professionnalisation (75%). Plus d’1/4 des chefs d’entreprise (26%) déclare avoir eu connaissance de la formation en alternance par le biais de la demande d’un candidat et 22 % à travers un organisme de formation. Bénéficiaires et organismes de formation sont donc les 2 principaux prescripteurs des contrats d’alternance.
L’OPCA (Organisme paritaire collecteur agréé) est un vecteur de connaissance de l’alternance surtout pour les entreprises de plus de 50 salariés et celles de plus de 200, respectivement 10% et 13%. Les 2/3 des patrons interrogés ont une connaissance précise des deux dispositifs (67%). En effet, 51% d’entre eux savent que les aides ne sont pas de même ordre pour les deux types de contrats et 68% que les niveaux de salaire ne sont pas équivalents pour les deux contrats.
L’alternance comme levier d’insertion dans l’emploi

Une TPE-PME sur 2 a déjà eu recours à des contrats d’apprentissage et 22 % à des contrats de professionnalisation. La première raison du recours à l’alternance, évoquée par les entreprises, est la perspective d’embauche, à 54% pour le contrat d’apprentissage et à 62% pour le contrat de professionnalisation ; ce qui dénote un projet de développement en cours. La raison financière arrive certes en seconde position mais n’apparaît pas pour autant comme majeure dans la décision des chefs d’entreprise (23%).
Pour plus d’un chef d’entreprise sur deux (55%), l’intention d’embauche est concrétisée à l’issue d’un contrat d’apprentissage, contre 40% dans le cas d’un contrat de professionnalisation. Parmi les entreprises qui n’ont pas eu recours à l’apprentissage, plus de la moitié des chefs d’entreprise déclarent ne pas avoir de besoins. Le manque de temps est également largement évoqué pour ne pas recourir à l’alternance (30 %). A noter que la non adéquation de l’offre de formation est une raison surtout évoquée concernant le contrat d’apprentissage avec 3 répondants sur 10.
Pour 95 % des patrons, l’alternance est un excellent moyen pour les jeunes de trouver un emploi

L’enquête montre une bonne perception de la formation en alternance par les TPE-PME. Ainsi, ils sont autant à souligner que c’est le meilleur moyen de se rendre compte si l’on est vraiment fait ou pas pour un métier (94 %). L’alternance apparaît également comme favorisant l’autonomie des bénéficiaires et surtout l’application rapide des connaissances acquises dans l’entreprise.
La quasi-totalité des patrons (98 %) estime que l’alternance permet aux entreprises de former les jeunes ou de tester les candidats avant de les recruter (89 %). Ils sont également 78 % à déclarer que l’alternance s’adapte bien aux besoins de l’entreprise et 75 % à reconnaitre que c’est un réel apport de compétences. Cependant, pour 40 % des responsables, l’alternance perturbe l’organisation du service et revient à une perte de temps.
93 % des chefs d’entreprise recommandent à un jeune de suivre une formation en alternance

8 chefs d’entreprise sur 10 sont satisfaits des personnes qu’ils ont eues en apprentissage et près de 7 sur 10 (69 %) lorsqu’ils ont formés par le biais d’un contrat de professionnalisation. Ces forts taux de satisfaction se reflètent sur le niveau de recommandation des chefs d’entreprise interrogés. Ils sont par exemple 87 % à conseiller l’alternance à d’autres chefs d’entreprise.
Pour Philippe Rosay, Président, et Jean-Philippe Leroy, Vice-président d’AGEFOS PME : « L’investissement historique du réseau AGEFOS PME pour favoriser l’insertion des jeunes dans l’emploi porte ses fruits, grâce au travail constant de nos conseillers sur le terrain. Cependant, un chef d’entreprise et un bénéficiaire satisfait sont les meilleurs porte-paroles de la formation en alternance. Avec plus de 32 000 contrats de professionnalisation financés en 2010 par AGEFOS PME, soit une croissance de 5 % par rapport à 2009, notre réseau s’affirme encore plus comme un acteur de premier ordre pour le développement de l’alternance en France. Nous sommes convaincus de son importance, sociale et économique, et nous poursuivrons notre investissement pour l’insertion et la réinsertion professionnelle ».

AGEFOS a kkv-k jelentős szereplője a képzésben Franciaországban több mint 1 / 5. Képzési szerződések finanszírozott, közzéteszi a vizsgálat eredményéről a munka és a képzés. A vizsgálati elemzés összehasonlította a két formában, hogy tehet váltakozó: szerződés tanulási és szakmai szerződést. A SOHO-SME arra kérték a tudásukat, a gyakorlat és felfogás tekintetében a munka és a képzés. Az eredmény egy nagy horderejű szerződések felváltva, szintén széles körben ajánlott az üzleti vezetők. Töltse le a felmérés eredményeit . Még több...

12 juin 2011

Investissements d'avenir, Premières décisions d'investissements dans la formation en alternance et l'hébergement des apprentis

http://www.vincentabry.com/wp-content/uploads/2011/01/portail-gouvernement.jpgCe programme, dont le pilotage a été confié à la Caisse des Dépôts et pour lequel une enveloppe de 500 millions d’euros est allouée, a pour finalité la modernisation de l’appareil de formation en alternance (apprentissage et contrats de professionnalisation). Il devra favoriser une meilleure insertion des jeunes dans des métiers d'avenir, et une amélioration de leurs conditions d'hébergement en cours de formation.
A ce jour, 80 déclarations d'intention et 8 dossiers ont été reçus par la Caisse des Dépôts en réponse à l'appel à projet lancé le 16 novembre 2010. Le Comité d'évaluation, présidé par Jean-Pierre Boisivon et composé de 15 membres (représentants de l'Etat, des collectivités régionales, des entreprises et partenaires sociaux), a proposé 4 premiers projets qui ont fait l'objet d'une décision de financement du Premier ministre.
Les projets suivants ont été retenus:

- Le projet BTEC-Biovalley d'Illkirch (Bas-Rhin) (apport du PIA 9M€), est une usine-école initiée par le pôle de compétitivité Alsace Biovalley et portée par l'université de Strasbourg. Les entreprises du secteur ont contribué à la définition des besoins et participent au financement.
Ce projet dédié aux métiers de la production en milieu aseptique (salles blanches) prévoit sur le Parc d’innovation d’Illkirch la construction d’un BTEC (Biomanufacturing Training and Education Center) de type usine-école mis à la disposition de plusieurs centres de formation des apprentis (CFA), universités et opérateurs pédagogiques nationaux. Le centre aura une capacité d'accueil de 500 élèves. Un projet de 250 logements est en cours de montage avec le Crous.
- Le Pôle méditerranéen de formation et d'hébergement d'Ajaccio porté par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Corse du Sud.
- L'AEROCAMPUS de Latresne (Gironde) près de Bordeaux porté par le Conseil régional d'Aquitaine.
- La Résidence jeunes travailleurs de Bordes (Pyrénées-Atlantiques) initiée dans le cadre du pôle d'activité Aéropolis et porté par la Béarnaise Habitat.
http://www.vincentabry.com/wp-content/uploads/2011/01/portail-gouvernement.jpg Il-programm, il-kontroll tiegħu tkun ġiet fdata lill-imħażen des Caisse u li għalihom baġit ta '500 miljun euro allokati, timmira lejn l-modernizzazzjoni tat-taħriġ (apprendistati u kuntratti taħriġ professjonali).
- Proġett-BTEC Biovalley Illkirch (Bas-Rhin) (kontribuzzjoni ta '€ 9m PIA) huwa pjanti mibdija mill-iskola Biovalley cluster Alsace u mwettqa mill-Università ta' Strasbourg.
Il-kumpaniji ikkontribwew għal jiddefinixxu l-bżonnijiet u jipparteċipaw fil-finanzjament.
Dan il-proġett hija ddedikata għall-karrieri fil-produzzjoni fi ambjent asettiku (cleanroom) sakemm fuq il-Park Innovazzjoni ta 'Illkirch bini ta' BTEC (Biomanufacturing Taħriġ u Edukazzjoni Center)-iskola tip faċilità disponibbli lil ċentri ħafna taħriġ ta 'l-apprendisti (CFA), l-universitajiet u l-operaturi ta' edukazzjoni nazzjonali. Iċ-ċentru se jkollu kapaċità ta '500 student. Proġett ta '250 unità qed jitwaqqaf ma Crous. More...
2 juin 2011

Bourse de l'alternance, un outil en ligne

http://www.picardie-apprentissage.com/images-territoires/picardie/f_header.jpgLa CCIR de Picardie, en partenariat avec l'Etat, le Conseil régional et le soutien du FSE, met à la disposition des dirigeants et des jeunes de la région, un outil en ligne de dépôt et de consultation des offres et demandes de contrats en alternance (apprentissage et professionnnalisation).
La CCIR de Picardie, en partenariat avec l'Etat, le Conseil régional et le soutien du FSE, met à la disposition des dirigeants et des jeunes de la région, un outil en ligne de dépôt et de consultation des offres et demandes de contrats en alternance (apprentissage et professionnnalisation).
Ouvert le 9 mai 2011, le site www.picardie-apprentissage.com, constitue un service permettant:
- aux jeunes de trouver une formation ou un contrat en alternance dans la région, avec le dépôt de leur CV et la consultation des offfres de contrats en ligne.
- aux  entreprises de consulter les CV déposés par les jeunes sur le site. Les établissements auront la possibilité de saisir leurs propres offres de contrats.
Le site prévoit également de proposer :
- L'accès à toute l'offre de formation en apprentissage de la région Picardie,
- une information sur la règlementation des contrats en alternance,
- les coordonnées de tous les interlocuteurs locaux dédiés à l'alternance.
http://www.picardie-apprentissage.com/images-territoires/picardie/f_header.jpg The CCIR Picardie, in partnership with the State, the Regional Council and the ESF support, provides officers and area youth, an online filing and consultation of tenders and requests for contracts (apprenticeships and professionnnalisation). The site www.picardie -apprentissage.com opened May 9, 2011. More...
26 mai 2011

Des masters en alternance pour les futurs profs

Couverture du dernier numéro d'Acteurs publicsPar Sylvain Henry. Pour répondre aux critiques sur la réforme de la formation des enseignants, le ministre de l'Éducation nationale, Luc Chatel, annonce l'instauration en septembre de masters en alternance pour les étudiants souhaitant devenir enseignants. Seules quelques centaines d'élèves sont prévues.
Un an après la suppression des instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) liée à la réforme de la mastérisation, l'alternance fait un timide retour dans la formation des enseignants. À l'occasion d'une table ronde organisée à l'université de Cergy-Pontoise, le 23 mai, le ministre de l'Éducation nationale, Luc Chatel, a ainsi annoncé la création de masters en alternance à la rentrée prochaine.
Les étudiants qui suivront cette nouvelle formation, lancée dans une trentaine d'universités et 8 académies pilotes dont celles de Versailles, Lille et Aix-Marseille, pourront, dès le master 1, soit bénéficier d'un contrat d'enseignement de trois à six heures par semaine, soit occuper un poste d'assistant pédagogique à mi-temps, parallèlement à leur formation universitaire. Les deux seront rémunérés, de 3 000 à 6 000 euros par an dans le premier cas, 560 euros par mois dans le second, et cumulables avec des bourses. Mais ce dispositif ne visera que “quelques centaines d'étudiants”, selon le ministre.
“Une solution partielle”
L'ouverture des masters en alternance s'inscrit dans la continuité de la réforme de la formation des professeurs. Depuis septembre 2010, le recrutement des professeurs des écoles, collèges et lycées s'effectue au niveau master 2, c'est-à-dire à bac + 5 et non plus au niveau licence (bac + 3), ce qui a entraîné la suppression de l'année de formation en alternance en IUFM. Les limites de cette réforme d'envergure, très critiquée par les syndicats, ont été pointées dans un récent rapport d'étape sur la mastérisation de la formation initiale des enseignants. “Cette formation est déconnectée du métier d'enseignant”, constate l'auteur du rapport, Jean-Michel Jolion, président du “comité de suivi master”. Cette réforme n'est pas “la caricature que l'on a pu nous décrire”, s'est justifié Luc Chatel le 23 mai. Et d'observer : “Depuis son application, nous n'avons pas eu plus de démissions d'enseignants qu'auparavant.”
Les syndicats accueillent avec réserve les annonces du ministre. “Ces nouveaux masters confirment l'échec de la réforme des enseignants”, réagit SUD Éducation. “C'est une solution très partielle, il faut remettre à plat l'ensemble de la formation des enseignants”, prolonge Patrick Gonthier, secrétaire général du syndicat Unsa Éducation. “L'alternance doit intervenir après le concours dans un cadre défini et avec un accompagnement, complète Frédérique Rolet (Snes-FSU). Avec ces nouveaux masters, le ministère va lancer devant les élèves des jeunes sans aucune formation professionnelle. C'est un bricolage, une solution bon marché pour pallier les suppressions des postes d'enseignants remplaçants.” Ministère et syndicats devraient se rencontrer avant la rentrée pour préciser les conditions de mise en place du nouveau master.
Fedjük le a legfrissebb számában állami szereplőkÁltal Sylvain Henry . válaszul azokra a kritikákra, a reform a tanárképzés, a miniszter Nemzeti Oktatási, Luc Chatel, bemutatja szeptemberében alternatív mesterek diákok számára, hogy tanárok lesznek. Csak néhány száz diák várható.
Egy évvel eltörlése után a képzési intézetek (IUFM) reformjával összefüggő a mastering, a váltakozás lassan visszatér a tanárok.
Egy kerekasztal a University of Cergy-Pontoise május 23., a miniszter Nemzeti Oktatási, Luc Chatel bejelentette, létrehozása alternatív mesterek a jövő évben.
Diákok, akik követik ezt az új kurzus, bekapcsolódhat a harminc egyetemek és akadémiák nyolc pilóta beleértve a versailles-i, lille-i és Aix-Marseille, lehet, a master 1, vagy kap tanárként három-hat óra hetente, vagy jelentkezik egy tanársegéd a félidőben, valamint a tudományos képzés.
Mindkét kerül kifizetésre, 3 000-6 000 év az első esetben, 560 euró havonta, a második, és a kombinált ösztöndíj. De ez a készülék csak "néhány száz diák," mondta a miniszter. Még több...
23 mai 2011

Les ministres Xavier Bertrand et Nadine Morano ont fêté l’Alternance

Par Yasmina Haddou-Essom. A l’occasion de la Fête de l’Alternance organisée par le MEDEF le 19 mai 2011, Xavier Bertrand (ministre du Travail et de l’Emploi) et Nadine Morano (ministre en charge de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle) ont rappelé ô combien le dispositif de l’alternance est important aujourd’hui pour pallier au problème de l’emploi des jeunes.
Organisée à l’initiative du MEDEF Ile-de-France, « cette Fête de l’Alternance est une occasion de rapprocher les jeunes et l’entreprise, dans un cadre convivial qui favorise les contacts, a expliqué Xavier Bertrand. On voit que les jeunes sont motivés, qu’ils en veulent. Il faut multiplier les événements comme celui-ci pour leur permettre de trouver des opportunités et d’entrer directement en contact avec les employeurs ». Pour rappel, pas moins de 5000 contrats d'apprentissage ou de professionnalisation étaient proposés lors de cet événement.
L’alternance : « une nécessité »

De son côté, Nadine Morano a affirmé que « l’alternance est aujourd’hui une nécessité. En Allemagne, le taux de chômage des jeunes est de 11%. Il est faible comparé au nôtre qui flirte avec les 20% ! Il est donc primordial que les entreprises et les établissements de formation se mobilisent pour développer l’alternance, a-t-elle insisté. Pour les jeunes, il s’agit d’un levier puissant qui peut leur permettre de mettre un premier pied dans l’entreprise, de décrocher un contrat de travail et un salaire ». Mais l’alternance est aussi une forme de pré-recrutement puisque « 8 jeunes sur 10 décrochent un emploi en moins d’un an grâce à ce dispositif », a ajouté la Ministre.
L'alternance pour tous

Nadine Morano a, par ailleurs, déclaré vouloir revaloriser le dispositif en rappelant que « l’alternance fonctionne à tous les niveaux d’études, du CAP jusqu’au Bac+5, et dans tous les métiers ». Enfin, elle a invité les entreprises « à poursuivre leurs efforts pour accueillir davantage d’alternants » et ainsi, à développer la « relation gagnant-gagnant qui se crée entre le jeune et l’employeur
Organizzati fuq l-inizjattiva tal-Ile MEDEF de-France, "dan il-festival hu taħlita ta 'l-opportunità li jilħqu liż-żgħażagħ u l-kumpanija, fil-ambjent ta' ħbiberija li l-kuntatti trawwem, qal Xavier Bertrand. Naraw li Iż-żgħażagħ huma motivati, jkunu jriduhom. Għandna bżonn aktar avvenimenti bħal dan biex tgħinhom isibu l-opportunitajiet u kuntatt dirett ma 'min iħaddem. Bħala tfakkira, mhux inqas minn 5,000 kuntratti ta 'apprendistat jew professjonalizzazzjoni kienu proposti waqt dan l-avveniment. More...
18 mai 2011

Alternance: Décrets n° 2011-523 et 524 du 16 mai 2011

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Aide pour l'augmentation du nombre de jeunes en alternance dans les PME. Décret n° 2011-523 du 16 mai 2011.
Les entreprises de moins de 250 salariés peuvent demander à Pôle emploi une aide de l'Etat compensant sur un an les cotisations sociales dûes pour l'embauche de jeunes de moins de 26 ans ayant pour effet d'augmenter l'effectif annuel moyen de salariés en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation. L'embauche doit être réalisée sous l'un de ces deux contrats entre le 1er mars et le 31 décembre 2011.
L'effectif total de l'entreprise est apprécié au 31 décembre 2010. L'effectif annuel moyen des salariés en alternance calculé au terme du 1er mois de l'embauche est comparé à l'effectif correspondant au 28 février 2011. Pour les entreprises créées en 2011, l'effectif total et le nombre de salariés en alternance de référence sont appréciés à la date de l'embauche pour laquelle l'aide est demandée.
Le contrat d'apprentissage signé ne doit pas ouvrir droit à une exonération totale de cotisations patronales de sécurité sociale en vigueur à la date de l'embauche ; ce qui exclut les contrats conclus par les entreprises artisanales et les entreprises de moins de 11 salariés.
L'employeur ne doit pas avoir pas procédé, dans les 6 mois qui précèdent l'embauche, à un licenciement économique sur le poste pourvu par le recrutement et le bénéficiaire ne doit pas avoir appartenu à l'entreprise dans les 6 derniers mois. Il doit être à jour de ses obligations déclaratives et de paiement de ses charges sociales...
Pour bénéficier de l'aide, l'employeur doit adresser, avec les justificatifs nécessaires, une demande à Pôle emploi dans les 2 mois suivant le début de l'exécution du contrat ou suivant le 17 mai 2011 pour les embauches antérieures à cette date. L'aide est versée en deux fois, au terme du 3ème mois (ou en août 2011 pour les embauches antérieures au 17 mai 2011) et du 10ème mois d'exécution du contrat ; l'employeur devant attester de l'exécution du contrat dans les deux mois précédent.
Si le contrat est arrivé à échéance ou a été interrompu à l'issue du 1er versement et avant le 10ème mois, le 2nd versement n'est pas dû. Si le contrat est rompu pendant la période d'essai, ou en cas d'interdiction de l'administration (opposition, faute grave, force majeure...), l'employeur doit reverser l'aide au Trésor public, dans son intégralité si cette rupture intervient dans les 6 premiers mois du contrat, ou à due proportion de la durée effectuée si elle intervient au-delà.
Aide à l'embauche de plus de 45 ans en contrat de professionnalisation. Décret n° 2011-524 du 16 mai 2011.

Les employeurs peuvent demander le bénéfice d'une aide de l'Etat pour toute embauche réalisée après le 1er mars 2011 de demandeurs d'emploi âgés de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation.
L'aide est fixé à 2 000 € (ou à due proportion pour les salariés à temps partiel). Elle est cumulable avec les aides existantes au 17 mai 2011 pour l'embauche de salariés âgés de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation (exonération de charges sociales, aide de 2000 € déjà prévue par Pôle emploi pour le recrutement de demandeurs d'emploi de 26 ans et plus).
L'employeur ne doit pas avoir pas procédé, dans les 6 mois qui précèdent l'embauche, à un licenciement économique sur le poste pourvu par le recrutement et le bénéficiaire ne doit pas avoir appartenu à l'entreprise dans les 6 derniers mois. Il doit être à jour de ses obligations déclaratives et de paiement de ses cotisations sociales.
Pour bénéficier de l'aide, il doit adresser une demande à Pôle emploi dans les 3 mois suivant le début de l'exécution du contrat ou suivant le 17 mai 2011 pour les embauches antérieures à cette date.
Il doit joindre à cette demande une copie du contrat de professionnalisation avec la décision de prise en charge de l'OPCA ou, à défaut, la preuve de dépôt du contrat auprès de celui-ci.
Si le contrat est arrivé à échéance ou a été interrompu avant l'une de ces échéances, l'aide n'est pas due pour la période considérée. Rappelons que le ministère a indiqué que cette aide se substitue à l'aide à l'embauche des seniors prévue par la loi de réforme des retraites.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Help increase the number of young alternately in SMEs. Decree No. 2011-523 of 16 May 2011.
Firms with fewer than 250 employees can apply for an employment center to help offset the state on a year payroll taxes owed for hiring young people under 26 have the effect of increasing the average annual number of employees under apprenticeship or professional training. Hiring must be done under one of these two contracts between March 1 and December 31, 2011. More...
15 mai 2011

La formation en alternance du côté des employeurs

http://www.emploi.gouv.fr/_img/actu/photo_alternance.jpgIl n'y a que des avantages à embaucher en alternance
Pour les entreprises, embaucher une personne en contrat d'alternance c'est participer à la formation de son futur salarié, lui apprendre un métier et l'intégrer à la vie et la culture de l'entreprise. La formation en alternance, c'est la sécurité de recruter une personne adaptée aux besoins de son entreprise.
Bénéficier de nouvelles conditions de recrutement en 2011

De nouvelles aides s'ajoutent en 2011 aux avantages déjà existants (exonérations, crédits d'impôts...) pour les employeurs d'apprentis et pour les employeurs de salariés en contrat de professionnalisation.
Aide à l'embauche supplémentaire d'un alternant de moins de 26 ans

Depuis le 1er mars 2011, les entreprises de moins de 250 salariés (à l'exception, pour l'apprentissage, des entreprises de moins de 11 salariés qui bénéficient déjà d'une exonération totale des cotisations patronales), peuvent bénéficier, pendant un an, d'une compensation des charges patronales pour l'embauche d'un jeune supplémentaire en alternance. Qu’est ce qu’un alternant supplémentaire? Consulter le dépliant.
Aide à l'embauche en contrat de professionnalisation

Depuis le 1er mars 2011, les employeurs peuvent bénéficier d'une aide maximale de 2000 € pour l'embauche d'un demandeur d'emploi de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation. Consulter le dépliant.
Recruter un salarié motivé
En contrat d'apprentissage
Profil : jeunes âgés de 16 à 25 ans

L'apprenti alterne formation en centre de formation d'apprentis (CFA) et travail en entreprise pour mettre en œuvre les savoirs acquis. Un contrat d'apprentissage peut être conclu par des entreprises relevant du secteur artisanal, commercial, industriel, agricole ainsi que les employeurs du secteur public, du milieu associatif et des professions libérales. Le contrat d'apprentissage est un contrat de travail spécifique d'une durée de 1 et 3 ans en fonction du titre ou diplôme préparé. Le salaire minimum correspond à un pourcentage du SMIC. En savoir plus.
En contrat de professionnalisation
Profil: jeunes âgés de 16 à 25 ans, demandeurs d'emploi âgés de 26 ans et plus, bénéficiaires des minima sociaux, personnes ayant bénéficié d'un contrat aidé.

Le salarié alterne des périodes d'enseignement (dispensés par un organisme de formation, ou par l'entreprise elle-même) et des périodes de travail en entreprise. Tout employeur du secteur marchand assujetti au financement de la formation professionnelle peut conclure un contrat de professionnalisation. Le contrat peut être à durée déterminée pour une durée comprise entre 6 et 24 mois. Le contrat peut également être à durée indéterminée. Le montant du salaire varie en fonction de l'âge du bénéficiaire et de son niveau de formation initiale. Le salaire minimum correspond à un pourcentage du SMIC. En savoir plus.
Les développeurs de l'apprentissage

Dans chaque région, les développeurs de l'apprentissage sont chargés d'accompagner les entreprises dans le recrutement d’un apprenti.Ces développeurs de l'apprentissage sont aujourd'hui 275: 100 pour les CCI, 100 pour l'APCM et 75 pour le 3CA BTP. Dans les secteurs professionnels quelques 300 développeurs des Opca accompagnent les entreprises pour le recrutement de salariés en contrat de professionnalisation. Accéder à l'espace jeunes.

http://www.emploi.gouv.fr/_img/actu/photo_alternance.jpg Hemm vantaġġi biss għall-kiri alternattivament
Għan-negozji, il-kiri ta 'kuntratt b'mod li jalterna huwa li jipparteċipaw fit-taħriġ ta' impjegati futuri tagħha, jgħallimhom kummerċ u jintegraw fil-ħajja u l-kultura tal-kumpanija. Xogħol u t-taħriġ huwa s-sigurtà lil xi ħadd tirrekluta adattati għall-ħtiġijiet tan-negozju tagħha.
Vantaġġ ta 'kundizzjonijiet ġodda għar-reklutaġġ fl-2011
Għajnuna ġdida fl-2011 miżjuda għal benefiċċji eżistenti (l-eżenzjonijiet, krediti tat-taxxa ...) għal min iħaddem ta 'apprendisti u l- impjegaturi ta 'impjegati fil-kuntratt professjonali. More...

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