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Formation Continue du Supérieur
23 octobre 2010

L’AERES, au devant des recommandations de la commission Attali

AERESL’AERES se félicite d’avoir déjà mis en œuvre la plupart des recommandations de la commission Attali dans le rapport intitulé "Une ambition pour dix ans". Son référentiel qualité, ses guides d’évaluation et plus largement sa méthodologie intègrent les standards d’évaluation européens (ESG) comme en témoigne sa reconnaissance par l’ENQA (European Association for Quality Assurance in Higher Education). L’agence a fortement contribué au développement des politiques d’assurances qualité dans les universités.
Ainsi que le préconise la commission, elle emploie un nombre croissant d’experts étrangers (20% en moyenne). Elle s’associe à la commission pour souligner qu’une amélioration de la prise en charge des experts étrangers faciliterait leurs interventions. Elle tient à cette occasion à remercier l’ensemble des experts étrangers qui ont accepté de participer à ses évaluations dans les conditions de rémunération actuelle. La consultation des curriculum vitae, en ligne sur son site Internet, permettra à chacun d’apprécier la qualité de ces experts parmi lesquels on compte plusieurs prix Nobel.
Enfin, l’Agence a débuté depuis plusieurs mois une réflexion sur la meilleure façon de remplir sa quatrième mission de « valideur » des procédures d’évaluation des personnels des établissements et organismes et attend les premiers dossiers des établissements qui auraient mis en place de telles procédures. Voir notre article "L'université dans le second rapport Attali".
AERATED AERES is pleased to have already implemented most recommendations of the Attali commission in the report entitled "An ambition for ten years." Its reference quality, its assessment guides and more broadly its methodology include the evaluation standards in Europe (GSS) as evidenced by its recognition by ENQA (European Association for Quality Assurance in Higher Education). The agency has significantly contributed development of quality assurance policies in universities. More...
22 octobre 2010

Les dispositifs de financement de la formation professionnelle

http://www.informetiers.info/upload_actu/images/1287653616.jpg"Les dispositifs de financement de la formation professionnelle", une publication de la Mefac. Ce document fait suite à une rencontre organisée sur ce thème par la Mefac (Maison de l'emploi et de la formation de l'agglomération caennaise), le 8 octobre dernier. Ce rendez-vous a rassemblé une trentaine de participants représentant des structures d'information et de formation et différents acteurs régionaux.
Ce fut l'occasion de faire un tour d'horizon des dispositifs avec différents intervenants tels que l'Agefiph, l'Agefos-PME, Pôle emploi, la Région Basse-Normandie, l'ERREFOM, le Fongecif et la Mife.
La formation professionnelle améliore l’avenir professionnel de chacun, permet l’accès à la formation dans l’entreprise. Elle favorise le développement des compétences et l’élévation des niveaux de qualification professionnelle pour un meilleur accès ou le maintien dans l’emploi. Elle offre la possibilité de se former tout au long de la vie. Télécharger le document.
http://www.informetiers.info/upload_actu/images/1287653616.jpg "De financieringsregelingen voor beroepsopleiding", gepubliceerd door Mefac. Dit volgt op een bijeenkomst georganiseerd over dit thema door Mefac (Huis van de werkgelegenheid en opleiding van de stad Caen), op 8 oktober. Deze bijeenkomst bracht een dertigtal deelnemers de representatie van informatie structuren en opleiding en diverse regionale actoren. Meer...
22 octobre 2010

Rencontres nationales Intercarif-Oref 2010

http://www.c2r-bourgogne.org/charte/c2r-bourgogne-logo.gifPar Anne-Sophie COLLINET. Rencontres inter-Carif/Oref des 15-17 septembre 2010 à Cassis. Un thème de rassemblement qui peut paraître surprenant pour des acteurs tels que les Carif-Oref qui, comme le soulignait Thierry Berthet, chargé de recherche au CNRS et grand témoin de ces journées, ne sont a priori pas un acteur de l'orientation... Une interrogation balayée d'emblée par Pascale Gérard, Vice-présidente du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte-d'Azur. En effet, préoccupée par le développement d'une offre de formation privée de piètre qualité, surtout en matière de « pseudo-orientation » ou de « pseudo-coaching », elle a insisté sur le rôle essentiel que les Carif peuvent jouer, au-delà du recensement et du tri de l'offre, en apportant des garanties sur la qualité de l'offre de formation et d'orientation offerte. Une entrée en matière de taille pour ces rencontres nationales.
Ces journées revêtaient également une importance particulière puisque la DGEFP (Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle) est venue présenter les grandes lignes de la future circulaire sur le rôle et les missions des Carif-Oref. Pour Marie Morel, chargée de la sous-direction Politiques de formation et de contrôle, «Les Carif Oref sont des lieux neutres, facilitateurs au plan régional et disposant d'un savoir faire réel qui ont naturellement vocation à mettre en musique ces aspects de la réforme».
Concernant la commande dite « de l'Etat », l'activité des Carif doit se centrer sur deux objectifs:
- professionnaliser les réseaux régionaux de l'accueil information orientation: échanges de pratiques, production d'outils.
- garantir à court terme l'existence de bases de données répondant à des formats identiques au plan national.
Deux priorités également pour les Oref:
- fournir aux décideurs régionaux les outils d'aide à la décision et d'intégration du lien emploi-formation (diagnostics partagés, tableaux de bord, etc.), qui doivent servir notamment à l'élaboration et au suivi du CPRDF (Contrat de plan régional de développement des formations).
- la réalisation d'une analyse territoriale des qualifications et des besoins en formation. Un rapprochement avec les observatoires de branche et les OPCA doit être opéré.
L'occasion donc pour les Carif-Oref d'en savoir plus sur les attentes de l'Etat qui doivent s'inscrire «dans un mode rénové de gouvernance avec des objectifs quantifiables et mesurables», a affirmé Marie Morel.
Feuille de route de la DGEFP, attentes diverses des Régions, service public de l'orientation : autant d'éléments qui justifiaient de se retrouver pour commencer à se mettre en ordre de bataille, même si, comme l'a précisé Thierry Berthet, les Carif-Oref jouent déjà, par l'information qu'ils délivrent, un rôle clé dans les processus d'orientation, que ce soient en matière d'information des individus, de marché de travail, de filières de formation.
http://www.c2r-bourgogne.org/charte/c2r-bourgogne-logo.gifAnne-Sophie Collinet. inter-Carif/Oref üléseit szeptember 15-17 2010 Cassis. gyűjteménye téma meglepőnek tűnhet az ilyen szereplők CARIF-OREF, amely, amint arra Thierry Berthet, vezető kutató CNRS és tanúja ezekben a napokban, amelyek eleve nem egy játékos irányába ... A kérdés azonnal végigsöpört a Pascale Gerard alelnöke, a Regionális Tanács Provence-Alpes-Cote d'Azur. Sőt, aggodalmát fejezi ki a saját képzési rossz minőségű, különös tekintettel a "pszeudo-orientáció", vagy "ál-coaching", ő hangsúlyozta a kritikus szerepet játszhatnak Carife at- Túl az azonosítása és válogatás az ajánlat, azáltal, hogy biztosítja a minőségi képzés biztosítása és iránya biztosított. Bejegyzés méretű ezeket a nemzeti találkozókon. Még több...
21 octobre 2010

Le domaine d’études déterminant pour les débuts de carrière

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gifLe devenir professionnel des jeunes est lié à leur niveau de diplôme mais dépend aussi beaucoup de leur spécialité de formation. Ainsi, les jeunes titulaires de CAP et de BEP de la production s’insèrent mieux que certains diplômés du supérieur. De même, les titulaires de DUT-BTS industriels ont souvent des débuts de carrière plus favorables que les titulaires de masters en lettres et sciences humaines. Pour les niveaux de diplôme allant des CAP-BEP aux DUT-BTS, les spécialités des services débouchent souvent sur des segments saturés du marché du travail, alors que les formations en mécanique, électricité ou informatique sont très prisées par les entreprises. Document complet en version imprimable. Fichier de données complémentaires. Télécharger le tableau Diplômes et spécialités de formation.
En moyenne, sur la période 2003 - 2009, les titulaires d’un doctorat de santé ayant terminé leurs études depuis moins de onze ans, ont un taux de chômage moyen de 2%. Leur salaire net mensuel médian est supérieur à 2500 euros (toutes primes comprises en euros 2009). À l’autre extrémité, se trouvent les jeunes les plus pénalisés, ceux qui n’ont aucun diplôme. 23% d’entre eux ne sont pas présents sur le marché du travail. 31% des jeunes actifs sans diplôme sont au chômage et le salaire médian de ceux qui travaillent est proche de 1100 euros. Ces situations illustrent le rôle protecteur que joue le diplôme face au chômage.
Certains diplômés du supérieur ont des taux de chômage plus élevés (entre 9 et 15 %), comparables à ceux des bacheliers professionnels. Toutefois, ces diplômés du supérieur occupent des emplois relativement qualifiés. Il s’agit des diplômés des IUT et des STS de commerce, communication, hôtellerie et tourisme, des titulaires de licences en sciences humaines et sociales, de licences tertiaires et de masters en lettres, sciences humaines, communication et services aux personnes. Parmi ces titulaires de masters, le tiers des diplômés en sociologie, psychologie et arts occupent des emplois à temps partiel et, parmi eux, près de 40 % souhaiteraient travailler davantage. Les titulaires de Deug en lettres et sciences humaines ont pour leur part des débuts mitigés. Avec un salaire médian de 1300 euros et un taux de chômage de 15%, leur situation est  comparable à celle des titulaires de CAP ou BEP de la production.
Source
L’enquête Emploi est réalisée en continu en métropole depuis 2002. Son échantillon est partiellement renouvelé chaque trimestre. Les résultats sont exploités annuellement et trimestriellement. Plus de 38 000 ménages ordinaires (à l’exception des communautés du type foyers, cités universitaires, hôpitaux, prisons...) répondent chaque trimestre, soit plus de 72 000 personnes de 15 ans ou plus. La méthode de l’enquête Emploi diffère dans les départements d’outre-mer, notamment pour ce qui concerne la nomenclature des diplômes et spécialités de formation utilisée. Cela explique l’absence de présentation des résultats sur ces territoires dans cette étude.

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gif The professional future of youth is related to their educational level but also depends on a lot of their specialty training. AThus, the young owners of CAP and BEP production fit better than some university graduates. Similarly, holders of industrial-BTS DUT often have better career debut as holders of masters in arts and humanities. For certification levels ranging from CAP-BEP to BTS-DUT, specialty services often lead to saturated segments of the labor market, while training in mechanical, electrical or computer are very popular with businesses. Full document print version. File additional data. More...
21 octobre 2010

La Loi OFPTLV: bilan d‘étape (octobre 2010)

http://www.crefor-hn.fr/sites/default/files/imagecache/preface_normal/category_pictures/eclairage.jpgAuteur: Emmanuel CHRISTAIN. Il y a dix mois, la loi n° 2009-1437 du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie était publiée au Journal officiel.
Près d’un an après, où en est la réforme de la formation professionnelle?
Nous vous proposons dans ce nouvel Eclairage, de vous présenter l’ensemble des textes d’application dont la publication a ponctué l’année écoulée et alimenté l’actualité. Télécharger Eclairage n°21.
Ainsi, entre autres, le Délégué à l’information et à l’orientation a reçu sa feuille de route et la parution du décret sur les Opca, suscite un débat autour des questions de financement…
Nous vous signalons également les articles qui s’appliquent d’ores et déjà, ainsi que les textes encore en gestation. Eclairage est une publication gratuite du CREFOR Haute-Normandie/Pôle Information.

http://www.crefor-hn.fr/sites/default/files/imagecache/preface_normal/category_pictures/eclairage.jpgAuteur: Christain. Emmanuel Tien maanden geleden, wet nr. 2009-1437 van 24 november 2009 over de oriëntatie en opleiding gedurende het hele leven was het gepubliceerd in het Publicatieblad. Bijna een jaar later, waar is de hervorming van de beroepsopleiding? Wij stellen in deze nieuwe verlichting, om nieuws presenteren alle documenten van de toepassing waarvan de publicatie is doorspekt het afgelopen jaar en voedde het. Downloaden Lights nr. 21.
Ook, onder meer, de commissaris van voorlichting en begeleiding ontvangen de routekaart en de release van het decreet op Opca, te vragen een debat over de financiering worden geregeld. Meer...

21 octobre 2010

Réflexion et prospective sur les pôles de compétitivité

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau01.jpgA l'occasion de la journée de réflexion et de prospective sur les pôles de compétitivité organisée au C.N.R.S., la ministre a insisté sur la nécessité pour ces derniers de développer des partenariats les plus larges possibles couvrant sur un projet donné l’ensemble des besoins de recherche, qu’ils soient fondamentaux ou appliqués, publics ou industriels.
Je me réjouis tout particulièrement que le CNRS se soit pleinement engagé pour simplifier la gestion administrative et financière de ces UMR: la délégation globale de gestion va concerner 25 de ses unités mixtes réparties sur 4 grandes sites universitaires, dont l’Université Pierre et Marie Curie et l’université d’Aix-Marseille.
Une journée de réflexion et de prospective sur les pôles de compétitivité, organisée dans ce temple de la recherche française qu’est le CNRS: aurait-on pu rêver plus beau symbole des transformations de notre système d’enseignement supérieur et de recherche? Car c’est une première, une première qui vient démontrer que les murs de Berlin qui séparaient recherche publique et recherche privée, recherche fondamentale et recherche appliquée sont bel et bien tombés. Et une première qui témoigne aussi d’une évidence: dans un système de recherche qui s’est transformé pour répondre aux nouveaux défis de notre temps, le CNRS occupe plus que jamais la place qui est la sienne: celle du premier de nos organismes de recherche qui peut et doit jouer le rôle de moteur du progrès scientifique dans notre pays.
Ce progrès, Mesdames et Messieurs, il se mesure bien sûr à la somme des découvertes fondamentales qui, chaque année, sont faites par nos chercheurs, et notamment par les hommes et les femmes qui font la fierté du CNRS. Il suffit, pour s’en convaincre, d’évoquer la mémoire de Georges Charpak et de Maurice Allais, tous deux Prix Nobel et tous deux anciens chercheurs du CNRS. Mais ce progrès, il se mesure aussi à la somme des avancées technologiques et des applications techniques dont bénéficieront demain nos compatriotes: les emplois et les entreprises de demain, ce sont des innovations scientifiques d’aujourd’hui qu’ils naîtront. Et à mes yeux, le rayonnement du CNRS se mesure aussi à cette capacité à irriguer l’ensemble de la société et de l’économie française.
Pour répondre aux priorités qui avaient été définies par la stratégie nationale de recherche et d’innovation, nous avions besoin d’un système de recherche mieux organisé et plus cohérent, capable de rassembler et mobiliser ses forces rapidement et de les orienter vers la réalisation des défis majeurs qui attendent notre pays. Ce rôle de stratège, le CNRS l’a parfaitement rempli, en simplifiant sa gouvernance et en redessinant son organisation interne par la création de dix instituts, qui jouent désormais un rôle de tout premier plan dans la structuration de notre paysage scientifique. Dans certains cas, ils jouent un rôle national, comme le prouve l’Institut des mathématiques, le premier acteur véritablement national dans ce domaine. Sa création est un signe non seulement du dynamisme du CNRS, mais encore de la confiance que lui porte l’ensemble des communautés scientifiques de notre pays.
Cet effort de réorganisation interne a été d’autant plus utile qu’il s’est accompagné d’un investissement sans failles dans les alliances thématiques de recherche que nous avons lancées au niveau national. J’en veux pour preuve l’organisation de concours communs de recrutement CNRS-INSERM au sein de l’alliance pour les sciences de la vie et de la santé, ou encore la gestion commune de la flotte océanographique au sein l’alliance pour l’environnement. Quant à l’alliance Athena, l’alliance pour les sciences humaines et sociales, l’implication du CNRS est totale puisque son président, Alain Fuchs, en assure la direction pour les deux prochaines années.
Mais à mes yeux, il y a plus important encore : je veux parler du rôle décisif du CNRS dans l’accompagnement de nos universités vers l’autonomie. Je dis bien « décisif », car si la réforme de l’autonomie a remis nos universités au cœur de notre dispositif de recherche, les unités mixtes de recherche en constituent, plus que jamais, les briques essentielles.Par ailleurs je tenais à saluer le soutien qu’apporte le CNRS à nos universités et à nos PRES dans leur politique de valorisation de leurs découvertes scientifiques, grâce au mandat unique de gestion de la propriété intellectuelle pour les brevets détenus en copropriété.
Ces brevets, nous en avons besoin pour renforcer notre potentiel d’innovation, et de ce côté, l’engagement de l’Etat est total: avec la montée en puissance des pôles de compétitivité, avec le renforcement des Instituts Carnot, avec la pérennité du crédit impôt recherche dans le projet de loi de finances. Tous ces dispositifs n’ont qu’un seul but : encourager la recherche partenariale et favoriser la mobilité des chercheurs publics vers le secteur privé et le monde industriel.
Je sais que le CNRS  s’est fortement engagé dans certains de ces dispositifs, comme le prouve notamment l’implication de près de 300 unités du CNRS dans la quasi-totalité des 71 pôles de compétitivité que compte notre pays. Et je tenais à saluer la création au sein de l’organisme d’une direction dédiée entièrement à l’innovation et aux relations avec les entreprises, dont le directeur sera nommé dans les jours à venir. Par ailleurs, je souhaite que le CNRS s’engage pleinement dans la création des sociétés d’accélération du transfert de technologie, et encourage la mobilité de ses chercheurs. Plus largement, je souhaite que le CNRS s’engage dans une politique de partenariats plus ambitieuse et plus réactive avec les grands groupes comme les PME ou les start-up.
Je le disais à l’instant, les équipes du CNRS sont présentes dans la quasi-totalité des pôles de compétitivité. Or ces pôles sont, vous le savez, le lieu privilégié où convergent nos forces de recherche, avec chaque année pas moins de 20000 chercheurs, issus de tous horizons, qui répondent ensemble aux appels à projets financés par le Fonds Unique Interministériel et l’Agence Nationale de la Recherche. C’est pourquoi je compte sur les équipes du CNRS pour jouer pleinement leur rôle au sein de ces pôles et donner à travers eux un élan décisif à cette recherche ouverte et collaborative que nous souhaitons pour notre pays. Et cet effort me parait d’autant plus nécessaire qu’avec les investissements d’avenir, nous avons une occasion unique de renforcer encore plus la place de ces pôles de compétitivité dans notre système d’innovation. Grâce aux 35 milliards d’euros du plan d’investissements d’avenir, nous ferons émerger partout en France des projets d’excellence et, avec eux, de véritables écosystèmes de l’innovation qui associent largement le secteur privé.
Ce message, j’ai eu l’occasion de le porter devant les dirigeants des pôles de compétitivité lors d’une journée d’information organisée à Bercy, au début de l’été, car je suis convaincue que la participation des pôles et avec eux des entrepreneurs contribuera fortement à la réussite de ce plan d’investissement. Et la bonne nouvelle, c’est que ce message a été entendu : à en juger par mes déplacements récents en région, à Bordeaux ou à Strasbourg, tout porte à croire que les pôles de compétitivité se sont fortement mobilisés. Au-delà des programmes les concernant très directement comme les Instituts de recherche technologique ou les plateformes d’innovation, je me réjouis de constater qu’ils ont en outre répondu à l’appel des acteurs de la recherche  publique qui souhaitaient les associer à l’élaboration de leurs projets d’équipements d’excellence ou de laboratoires d’excellence.
Ma conviction c’est que les pôles de compétitivité qui auront joué le jeu sortiront renforcés de ces candidatures aux investissements d’avenir : non seulement parce qu’elles auront su faire naitre en leur sein des partenariats nouveaux construits sur un continuum de recherche allant des aspects les plus fondamentaux aux applications technologiques et industrielles, mais aussi parce que ces candidatures pourront alimenter une dynamique pour l’ensemble des projets qui seront désormais labellisés dans ces pôles.
Car c’est là un enjeu clé de la phase 2 des pôles de compétitivité : développer des partenariats les plus larges possibles couvrant sur un projet donné l’ensemble des besoins de recherche, qu’ils soient fondamentaux ou appliqués, publics ou industriels. Un enjeu qui est du reste au cœur-même de deux actions du plan d’investissement d’avenir.  L’action « projets de R&D structurants » d’abord, qui est dotée de 300 millions d’euros pour financer des projets plus importants que ceux habituellement financés et qui nécessitent des partenariats élargis entre recherche fondamentale, appliquée et industrielle. L’action « plateformes d’innovation » ensuite, dont les 200 millions d’euros permettront d’offrir des ressources mutualisées en accès ouvert afin d’accélérer le transfert des innovations de rupture vers les PME.
Le plan d’investissements d’avenir, c’est aussi l’émergence de cinq Instituts de recherche technologique ainsi que d’une dizaine d’instituts dédiés aux énergies décarbonées pour rassembler sur un même site des établissements et des centres de formation, des laboratoires de recherche appliquée publics et privés et des acteurs industriels. Ces nouvelles initiatives, vous le savez, posent clairement la question de la gouvernance. En particulier, je pense que nos établissements et nos organismes doivent pouvoir s’impliquer davantage en désignant des responsables de premier plan, capables d’engager véritablement la stratégie de recherche des établissements qu’ils représentent.
De la même manière, je souhaite que les représentants des entreprises engagées dans les pôles de compétitivité soient associés à la gouvernance des universités et des PRES quand ils existent. Il faut également élargir le champ de ces partenariats à des sujets qui sont insuffisamment traités. Je pense notamment à la professionnalisation des cursus de formation, à l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, et à la valorisation du doctorat. Enfin, ces pôles doivent être le creuset de la recherche partenariale en favorisant la mobilité des chercheurs, la mise en place de laboratoires communs, et le financement de l’amorçage des jeunes entreprises innovantes.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau01.jpgPer celebrare la giornata di riflessione e di previsione sul cluster organizzata a CNRS, il Ministro ha sottolineato la necessità per loro di sviluppare partnership con la più ampia possibile su un determinato progetto che copre tutte le esigenze di ricerca, sia fondamentale o applicata, pubbliche o industriali. Sono particolarmente lieto che il CNRS è pienamente impegnata a semplificare la gestione amministrativa e finanziaria della UMR: delegazione comporterà la gestione complessiva delle sue 25 unità si sviluppa su 4 misto siti universitari generale, inclusa l'Università Pierre e Marie Curie e l'Università di Aix-Marsiglia. Maggiori informazioni...
20 octobre 2010

Le Palmarès des universités selon la CPU

« Nous avons participé au groupe qui a travaillé sur l’enquête pendant un an. Ce qui est arrivé ensuite n’est pas ce qui était convenu », indique Jacques Fontanille, vice-président de la CPU, qui donne quelques exemples.
Le comité de pilotage n’a pas été réuni avant de présenter officiellement l’enquête, les chiffres n’ont pas fait l’objet d’une validation par les établissements, mais c’est surtout l’utilisation de l’étude qui pose problème selon lui. « L’exploitation en palmarès n’était pas prévue non plus! Nous avons travaillé sur le principe d’une enquête d’insertion destinée à évaluer la performance globale du système universitaire français. De ce côté-là d’ailleurs, le résultat est bon. Ce n’était pas l’objectif de faire des différences entre établissements ni de les classer : à 30 mois, toutes les universités se ressemblent. D'autant que les trois quarts des universités ont moins de 5 % d’écart, donc si l'on imagine une marge d’erreur statistique de seulement 5%, cela n’a déjà plus de sens », explique-t-il.
Même constat concernant l’absence des variables de population ou de bassin d’emploi, indispensables pour comparer. « Il y avait d’ailleurs un accord sur les critères mais certains n’ont pas été pris en compte dans la publication finale de l’enquête », précise le président de l’université de Limoges, qui comprend les réactions des professionnels de l’insertion professionnelle des universités. Relativisant, il reconnait qu’il s’agit d’un « apprentissage collectif ». « Nous sommes bien sûr favorable à une enquête de ce type, afin d’en faire un véritable outil de stratégie pour chaque établissement. Ce qui n’est pas possible cette fois-ci ».
Voir les articles du blog de la coordination: Comment aller plus loin dans le classement des universités et Le premier palmarès des universités.
20 octobre 2010

Les Français jugent les chercheurs "pas valorisés"

Si la science est "utile à la société" pour une écrasante majorité de Français, près des deux tiers d'entre eux jugent que le métier de chercheur n'est pas suffisamment valorisé, notamment en termes de salaire, selon un sondage publié mercredi. 95 % des personnes interrogées trouvent que la science est utile à la société, le plus haut score depuis le lancement de cette enquête, en octobre 2005, par l'institut CSA, pour le compte du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. 79 % des sondés affirment aussi que la science leur "inspire confiance".
En revanche, 65 % d'entre eux estiment que le métier de chercheur n'est pas "valorisé dans la société actuelle en France", bien que ce taux tombe à 49 % chez les jeunes de 15 à 24 ans. Logiquement, 58 % trouvent aussi que la reconnaissance salariale des chercheurs en France n'est pas à la hauteur de leur travail et de leurs compétences (seulement 42 % chez les jeunes, qui sont 55 % à penser le contraire). Deux Français sur trois (68 %) se disent donc d'accord pour "mettre en place pour les chercheurs une rémunération qui repose davantage sur le mérite". Des réponses à tempérer quelque peu, puisque 60 % des sondés reconnaissent s'intéresser peu ou pas du tout à la science. Paradoxalement, ils sont 64 % à dire que les médias ne parlent pas assez des avancées de la recherche. Sondage réalisé par téléphone les 13 et 14 octobre auprès d'un échantillon représentatif de 1051 personnes âgées de 15 ans et plus, constitué d'après la méthode des quotas.
If science is "socially useful" for an overwhelming majority of French people, nearly two thirds of them believe that being a researcher is not sufficiently valued, particularly in terms of salary, according to a poll released Wednesday. 95% of respondents feel that science is useful to society, the highest score since the launch of the survey in October 2005 by the CSA institute, on behalf of the Ministry of Higher Education and Research. 79% of respondents also claim that their science "inspires confidence". More...
20 octobre 2010

La VAE dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de la culture et de la communication

Retourner à la page d'accueil de Légifrance L'Arrêté du 1er septembre 2010, paru au JORF n°0209 du 9 septembre 2010, fixe pour l'année 2010-2011 les taux des droits de scolarité, d'examen et d'inscription ainsi que les montants des droits d'inscription en vue de l'obtention d'un diplôme par validation des acquis de l'expérience dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de la culture et de la communication.
TITRE VII : VALIDATION DES ACQUIS DE L'EXPERIENCE, Article 22

Le montant des droits pour l'inscription à la validation des acquis de l'expérience, applicable à l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de la culture et de la communication mentionnés dans le présent arrêté (à l'exception des établissements mentionnés au titre III), est de 780 €.
Le candidat acquitte un montant de 80 € pour l'analyse de recevabilité au moment où il dépose sa demande. Si la candidature est déclarée recevable, le candidat acquitte un montant de 700 € couvrant les frais de la procédure (coûts administratifs, frais de jury et suivi des prescriptions).
Dans le cas où il est attesté que le candidat n'est pas en situation de bénéficier d'un financement par un tiers (entreprise, organisme, collectivité territoriale), le chef d'établissement applique un tarif réduit s'élevant à 430 €, dont 80 € versés pour l'analyse de recevabilité.
Tilbake til startsiden Légifrance Ordenen av 1. september 2010, publisert i Official Gazette nr. 0209 datert 9. september 2010, fast for året 2010-2011 frekvensen av undervisning, eksamen og registrering og mengder av avgifter å få en diplom ved akkreditering av tidligere erfaring i institusjoner for høyere utdanning under Kultur-og kommunikasjon. Mer...
19 octobre 2010

Les retards du FPSPP: 240M d'euros engagés sur une enveloppe de 440M

http://www.localtis.info/images/Localtis/logoLoc.gifPar Emilie Zapalski. Les programmes lancés grâce au fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) commencent à se concrétiser. Le fonds a mis en ligne le 15 octobre 2010 les opérations programmées dans le cadre des appels à projets concernant la convention de reclassement personnalisé et le contrat de transition professionnelle (CTP), le congé individuel de formation pour les contrats à durée déterminée, le chômage partiel (pour les OPCA et les Opacif) et, le 18 octobre, celles de l’appel à projets sur les périodes de professionnalisation destiné aux OPCA. "On a bouclé la boucle sur tous les appels à projets prévus", estime Youcef Tayeb, conseiller technique à la CGT et administrateur à la commission de sécurisation des parcours professionnels et au FPSPP. Sur l’enveloppe budgétaire prévue initialement pour ces appels à projets qui s’élevait à 440 millions d’euros, le FPSPP a déjà engagé 240 millions d’euros au 1er octobre 2010. Un décalage d’engagement dû initialement aux négociations entre l’Etat et les syndicats, qui ont pris plus de temps que prévu, mais aussi au calage nécessaire entre le FPSPP et les OPCA sur les appels à projets. "On est parfois obligé de demander aux OPCA de revoir leurs réponses, car leurs demandes sont au-delà de nos moyens", explique Youcef Tayeb. Pour l’appel à projets sur le chômage partiel, l’enveloppe dédiée était ainsi de 45 millions d’euros et les dépôts en demande correspondaient à 100 millions d’euros… "Maintenant les OPCA ont bien compris et le rythme de travail est élevé mais on fera tout pour répondre aux besoins des OPCA et des entreprises", détaille le responsable du FPSPP. Un travail qui se fait dans un contexte d’incertitude quant à la fameuse ponction de 300 millions d’euros prévue par le gouvernement sur le budget du fonds. Selon Youcef Tayeb, "la ponction viendra pénaliser le fonctionnement du FPSPP car on ne pourra plus répondre en temps et en heure à tous les projets". "On va se retrouver avec un manque de couverture de l’ordre de 450 à 500 millions d’euros en début d’année 2011, d’autant plus qu’on est tributaire de la collecte par les entreprises et que le taux de collecte devrait être de 10%, contre 13% l’an dernier, estime-t-il. Cela dit, il s’agira en début d’année d’une insuffisance de couverture et non de trésorerie, c’est surtout en juin 2011 qu’on n’aura plus les moyens de répondre aux demandes." Or, pour le moment, la ponction prévue par le gouvernement se confirme. Elle est mentionnée à l'article 96 du projet de loi de finances pour 2011.
http://www.localtis.info/images/Localtis/logoLoc.gif Door Emilie Zapalski. De programma's gelanceerd via de gezamenlijke fonds van de carrière van veiligheid (FPSPP) beginnen te concretiseren. Het fonds heeft Geplaatst 15 oktober 2010 zal de geplande operaties kader van het project vraagt om een herschikking overeenkomst persoonlijke en professionele overgang contracten (SOC), de individuele training te laten voor contracten van bepaalde duur, de werkloosheid gedeelte (voor OPCA en OPAC) en 18 oktober, de oproep voor deze projecten over de perioden voor de professionalisering van OPCA. Meer...
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